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Aspartame: attention danger!!!
Attention à l’aspartame (Canderel…) ce sucre n’est pas bon pour la santé… Comme la plupart des filles au régime, j’ai succombé à l’idée qu’un sucre avec autant de pouvoir sucrant pouvait être moins calorique. Je ne sortais pas sans ma boîte Canderel dans le sac… Oui mais voilà, quand on y réfléchit un peu, pour retrouvrer le pouvoir sucrant d’un sucre sans les calories, il faut taper dans les produits chimiques. Et les produits chimiques ne sont pas bon pour notre petit corps… Prendre un sucre roux à la place d’une sucrette, c’est mieux. Le sucre roux est meilleur que le sucre blanc…Si vous voulez vous en persuader, lisez cet article trouvé sur Internet… ça calme!!!
« L’aspartame, méchant, méchant!
par Julie Brière
Parce que vous vous préoccupez de votre poids, vous pensez que les succédanés sont meilleurs que le sucre pour votre santé? Grave erreur…
À première vue, c’est génial : se sucrer le bec sans subir l’inconvénients des calories! Cependant, La liste des plaintes reliées à ce succédané du sucre ne cesse de s’allonger, particulièrement aux États-Unis, où on observe une importante consommation de produits « diète ». Pire, on sait maintenant que la consommation d’aspartame entraîne des effets secondaires allant du simple mal de tête à des tumeurs au cerveau…
En effet, les statistiques américaines provenant du National Cancer Institute révèlent une hausse alarmante du nombre de tumeurs au cerveau: en 1983, 2,1 % des cancers chez les hommes se situaient au cerveau; en 1987, l’incidence était passée à 8,1 % pour ces messieurs, grimpant même à 11,7 % chez les femmes! En creusant la question, les chercheurs ont constaté que cette forte hausse coïncide justement avec l’apparition, en 1983, des boissons gazeuses édulcorées à l’aspartame. Le débat pour son retrait du marché n’a pas cessé depuis.
Additif ou drogue
L’aspartame a été découvert par hasard en 1965 au laboratoire Searle, aux États-Unis, par un scientifique qui cherchait à mettre au point un médicament contre les ulcères. En goûtant une pincée de sa poudre, il se serait rendu compte qu’elle avait un goût étonnamment sucré. Cette découverte était une bénédiction pour l’industrie alimentaire, qui cherchait une solution de rechange aux cyclamates et à la saccharine, interdits dans les aliments par le gouvernement depuis que des études chez les animaux ont révélé qu’ils entraînaient des cancers. Au Canada, ces deux édulcorants sont tout de même disponibles en sachets dans les épiceries, les pharmacies et les restaurants. L’aspartame a été autorisé dans les aliments secs en 1981, puis dans les boissons gazeuses en 1983.
Commercialisé sous le nom de NutraSweet et d’Égal, l’aspartame est un édulcorant synthétique modifié génétiquement et composé de deux acides aminés (composants des protéines), la phénylalanine et l’acide aspartique. Son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé que celui du sucrose. Pourtant, le cheminement de l’aspartame laisse plutôt un goût amer dans la bouche. Il a même des allures de conspiration, puisque le Pentagone a déjà nommé l’aspartame dans un inventaire d’armes chimiques! En fait, tant G.D. Searle, la compagnie de produits chimiques et pharmaceutiques mentionnée précédemment, que Monsato, maintenant propriétaire et fabricant d’aspartame, ont des liens tangibles avec la fabrication d’armes chimiques…
Des études douteuses
C’est en 1974 que l’aspartame est approuvé pour la première fois. À la suite de deux études démontrant que cette substance cause des tumeurs chez les animaux de laboratoire, l’autorisation est abrogée. Ces études n’ont jamais été réfutées depuis. En septembre 1980, après délibération, un comité de la Food and Drug Administration (FDA) se prononce contre l’aspartame. Quatre mois plus tard, G.D. Searle soumet dix nouvelles études « bidons », qui feront pencher la balance du côté de l’aspartame par un vote: celui du commissaire Arthur Hayes… qui sera plus tard engagé par Searle! Selon le Dr Adrian Gross, ancien toxicologiste de la FDA, ces études sont de la foutaise. Il a noté que des décès d’animaux ont été cachés, que des tumeurs n’ont pas été rapportées et, dans certains cas, qu’elles ont même été extraites de l’animal qui, lui, a été remis dans l’étude!
En 1996, le médecin et professeur Ralph G. Walton, du collège de médecine de la Northeastern Ohio Universities, décide d’analyser l’ensemble des études scientifiques reliées à la consommation d’aspartame. Ses observations parlent d’elles-mêmes: parmi les 174 études analysées, 74 étaient financées par l’industrie de l’aspartame, et 100 % d’entre elles concluaient qu’il n’y avait aucun problème avec ce produit! Cependant, sur 90 études indépendantes (non financées), 83 (92 %) ont plutôt relevé un ou plusieurs problèmes reliés à l’usage de cet édulcorant. L’aspartame est l’objet de controverse depuis son apparition; même son approbation relève d’une décision plus politique que scientifique. Mais avec des revenus se chiffrant dans les milliards de dollars par année, la compagnie Monsato n’est pas prête de lâcher le morceau…
Des effets secondaires troublants
La liste des effets secondaires liés à la consommation d’aspartame est très longue. De plus, selon la revue Headache de novembre 1997, des personnes particulièrement sensibles peuvent ressentir des effets avec de très faibles doses: une gomme à mâcher, par exemple, peut causer un mal de tête! En 1994, la FDA avait déjà accumulé près de 7000 plaintes d’effets secondaires reliés à l’aspartame (l’organisme ne veut d’ailleurs plus compiler les plaintes). Les plus fréquentes sont: maux de tête (ce qui a été confirmé par plusieurs études), vertiges, vision embrouillée, changements d’humeur, douleurs au ventre et crampes musculaires. Aux États-Unis, des pilotes d’avion ont même perdu leur permis pour avoir manifesté ces symptômes dans les heures suivant l’ingestion de boissons à l’aspartame. Des communiqués à cet effet ont d’ailleurs été émis dans les bulletins du U.S. Air Force et du U.S. Navy afin de prévenir le personnel de ce risque.
Parmi les autres symptômes figurent les dépressions, les pertes de mémoire, les douleurs aux jointures, les troubles menstruels, les crises d’épilepsie et même quelques décès! Et il ne s’agit là que d’une fraction des effets actuellement associés à la consommation d’aspartame, puisque la majorité des gens n’ont pas encore fait le lien entre leurs problèmes de santé et ce produit. Même s’ils le font, seul un léger pourcentage des gens et des professionnels de la santé prendront le temps de le rapporter aux autorités gouvernementales.
En 1991, le National Institute of Health a publié une bibliographie, Adverse Effects of Aspartame, énumérant pas moins de 167 raisons d’éviter l’aspartame. Une étude récente a également démontré que l’aspartame, tout comme le sucre, entraîne une calciurie, c’est-à-dire une perte de calcium dans les urines.
Aspartame et gain de poids
Puisque l’aspartame contient le même nombre de calories que le sucre, mais que son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé, comment le pancréas réagit-il lorsque la langue le détecte? Se pourrait-il qu’il envoie une dose massive d’insuline pour contrebalancer cette sensation trompeuse? Est-ce que la chute de sucre qui en résulterait donnerait à nouveau le désir de manger? Selon le neuroscientifique Richard Wurtman, la consommation de doses élevées d’édulcorants comme l’aspartame provoquerait effectivement des « crises » de sucre. L’American Cancer Society a confirmé cette ironie après avoir suivi 80 000 femmes durant six ans. Parmi celles qui ont pris du poids durant cette période, les femmes qui utilisaient des édulcorants artificiels en ont pris davantage que celles qui n’en consommaient pas.
Une autre étude effectuée chez un petit groupe de femmes à la diète démontre qu’elles ont tendance à manger davantage durant les jours qui suivent l’ingestion de boissons sucrées à l’aspartame, comparativement à l’ingestion de boissons sucrées naturellement (étude effectuée par J.H. Lavin et ses collaborateurs, parue en janvier 1997 dans une revue scientifique internationale sur l’obésité). Même le simple fait de mâcher de la gomme sucrée à l’aspartame augmenterait l’appétit. Quelques autres études, toutefois, n’ont pu démontrer ces effets.
On suppose par ailleurs que les gens qui consomment des produits diètes auraient tendance à être moins vigilants: un faux sentiment de sécurité pourrait les porter à manger des gâteries, ici et là, puisqu’ils ont déjà « économisé »… Dans toute cette controverse, une chose est sûre: les édulcorants comme l’aspartame entretiennent le goût du sucre et ne permettent pas de modifier ses habitudes alimentaires, seul gage d’une perte de poids durable.
Diabétiques, s’abstenir
Selon le Dr H. J. Roberts, un endocrinologiste qui en a vu des « vertes et des pas mûres » avec l’aspartame, ce substitut de sucre compliquerait le contrôle de la glycémie chez les diabétiques, entraînant des crises plus fréquentes d’hypoglycémie et aggravant les complications diabétiques (cataractes, rétinopathies, neuropathies, etc.). De plus, chez un certain nombre de ses patients, on a incorrectement diagnostiqué qu’ils étaient atteints de la sclérose en plaques; les médecins dans l’erreur ignoraient que l’ingestion d’aspartame sur une base régulière entraîne des symptômes semblables.
Quoi faire?
Près de 2 % de la population est porteuse, sans le savoir, d’un des deux gènes qui causent la phénylcétonurie. Or, l’aspartame contient de la phénylalanine, un acide aminé que ces personnes ne peuvent utiliser par manque d’une enzyme spécifique. Ces gens doivent éviter tous les produits qui en contiennent – dont l’aspartame – au risque de subir des crises d’épilepsie et des troubles mentaux sévères. Dans le doute, évitez de consommer de l’aspartame.
Si vous souffrez d’un problème de santé persistant et que vous utilisez des produits édulcorés à l’aspartame (boissons diète, gommes à mâcher, sachets, yogourts, etc.), cessez complètement d’en consommer durant un mois afin de voir si vos symptômes diminuent.
Vous devrez lire attentivement les étiquettes de tous les produits que vous achetez, car l’aspartame s’est infiltré un peu partout (voir ci-bas). À mon avis, plus vous vous tiendrez loin de cet additif, mieux vous vous porterez.
Où se cache-t-il?
En 1992, l’aspartame apparaissait dans plus de 4 200 produits alimentaires aux États-Unis : certaines marques de crème glacée, yogourts, puddings, confitures, desserts préparés, céréales à déjeuner, vinaigrettes et dîners surgelés en contiennent. Les pires: les boissons gazeuses « diète », les sachets de sucre Égal et la gomme à mâcher sans sucre. Les médicaments peuvent aussi en contenir, de même que le psyllium sucré « sans sucre » et les suppléments de vitamines croquables pour enfants. Surveillez les étiquettes.
L’aspartame est peu stable dans les liquides et se décompose après une exposition à des températures élevées – ce qui se produit lorsqu’on fait chauffer l’aspartame, qu’on l’ajoute à des liquides chauds (café) ou lorsqu’il est entreposé durant de longues périodes à la température de la pièce. La dégradation du produit entraîne, entre autres, la formation de méthanol, qui se décompose par la suite en formaldéhyde (carcinogène connu), en acide formique et en diketopiperazine (DKP), tous responsables de tumeurs au cerveau.
Ressources
Plusieurs groupes de pressions, dont Mission Possible International, tentent depuis plusieurs années de faire interdire l’aspartame, dont ils dénoncent la nocivité. Cet organisme possède un site Internet rempli de données et de témoignages de médecins et de victimes.Par Hamid CHAFIK
Allah exalté soit-Il dit : [ [Les actions des mécréants] sont encore semblables à des ténèbres sur une mer profonde : des vagues la recouvrent, [vagues] au dessus desquelles s’élèvent [d’autres] vagues, sur lesquelles il y a [d’épais] nuages. Ténèbres [entassées] les unes au-dessus des autres. Quand quelqu’un étend la main, il ne la distingue presque pas. Celui qu’Allah prive de lumière n’a aucune lumière. ] (An-Nour : 40)
La Vérité Scientifique:
L’encyclopédie britannique dit : « Comme l’on peut le constater à partir des images satellitaires, le plus souvent, les mers et les océans profonds sont couverts de nuages opaques peu translucide. Ces nuages reflètent une grande partie de la lumière du soleil dont ils ne laissent passer qu’une petite partie. Quant à la quantité de lumière qui réussit à passer à travers ces nuages, elle est en partie reflétée par les eaux de la mer et en partie absorbée par la mer. La quantité de lumière absorbée par la mer s’amenuise au fur et à mesure que l’on va en profondeur, créant un certain degré d’obscurité qui prévaut jusqu’à deux cent mètres de profondeur. L’obscurité prend de l’ampleur après 1000 mètres de profondeur jusqu’au point qu’il n’y ait plus de visibilité. Le Disque de Secchi fut le premier appareil utilisé pour mesurer la transparence de l’eau des océans.
• Les savants parvinrent à apercevoir (entre 600 et 2700 mètres de profondeur) des poissons qui voyaient et attrapaient leurs proies à l’aide d’organes lumineux.
• A la fin du dix-neuvième siècle et au début du vingtième siècle, surtout après l’utilisation des appareils photographiques développés dans les années trente, les savants utilisèrent des cellules électroluminescentes qui permirent la découverte de forts courants dans les mers profondes. L’encyclopédie britannique dit : « L’homme ne prit connaissance du phénomène des vagues internes des mers profondes que 100 ans jadis. Ces vagues internes naissent entre deux couches d’eaux différentes du point de vue de la densité, de la pression, de la chaleur, du flux et du reflux et de l’impact du vent. A l’interface des deux niveaux de densités différentes, là où il y a la plus basse température, se forment les vagues internes qui séparent les eaux chaudes de surface des eaux froides des profondeurs. Ces vagues internes qui se forment à l’interface de deux couches d’eaux différentes du point de vue de la densité, de la salinité et de la température, ressemblent fort bien aux vagues de surface quoiqu’il soit difficile de les apercevoir de la surface de l’eau. Par ailleurs, la formation de ces vagues internes nécessite une énergie qui serait en mesure de faire avancer un bateau. Mais l’on trouve souvent des bateaux qui n’arrivent plus à avancer après s’être retrouvés dans une zone d’eau stagnante dont le mérite de la découverte revient au docteur suédois Van W. Ekman au début du vingtième siècle.Aspect Miraculeux :
L’homme a longtemps cru à des légendes qui avaient trait à la mer et aux océans. Les marins n’avaient pas alors d’informations scientifiques réelles concernant les mers profondes. Car il y avait si peu d’informations sur les courants maritimes. Ainsi, les légendes purent s’approprier des eaux stagnantes que les bateaux échouent à traverser. Les anciens romains crurent alors qu’il y avait des poissons suceurs dotés de vertus magiques qui causent l’immobilisation des bateaux. Bien que ces anciens savaient l’impact du vent sur les vagues et les courants de surface, il leur était très difficile de savoir quoi que ce soit sur les vagues internes des mers profondes. L’histoire de la science démontre que les études océanographiques n’ont vraiment connu leur essor qu’au début du vingtième siècle et précisément après l’invention des appareils adéquats pour ce type d’études minutieuses. L’océanographie moderne a donc réussi à percer les mystères des mers profondes et des océans en découvrant deux phénomènes importants qui sont d’une part, l’obscurité des mers profondes et d’autre part, les mouvements des vagues internes. Le verset coranique cité plus haut fait allusion à ces deux phénomènes de façon explicite : Ce verset indique les ténèbres des mers profondes en qualifiant la mer de profonde et en affirmant que l’obscurité qui y règne est superposée. Les exégètes disent à ce propos que les ténèbres en question sont l’ensemble des obscurités des nuages, des vagues et de la mer. Ténèbres qui privent de la vue quiconque y plonge. Les nuages condensés qui sont au-dessus de ces mers reflètent une partie de la lumière du soleil tout comme les vagues de surface reflètent une autre partie de la lumière du soleil. Après quoi les eaux absorbent les couleurs du spectre qui proviennent du soleil, couleur après couleur jusqu’à ce que ces couleurs s’effacent complètement. Puis vient le rôle des vagues internes qui plongent les mers profondes dans une obscurité si noire que même l’on ne pourrait y voir sa propre main. L’expression coranique [Ténèbres [entassées] les unes au-dessus des autres] décrit minutieusement la réalité des mers profondes. D’autre part, il faut noter que les poissons de ces mers profondes ne sont pas dotés d’yeux mais plutôt d’organes lumineux dont Allah les a dotés pour éclairer leurs routes. Raison pour laquelle, Allah exalté soit-Il dit dans le verset mentionné plus haut : [Celui qu’Allah prive de lumière n’a aucune lumière]. Ce même verset fait allusion aux vagues internes en ces termes : […sur une mer profonde : des vagues la recouvrent, [vagues] au dessus desquelles s’élèvent [d’autres] vagues…] Ce qui veut dire que la vague interne est au dessus de la mer profonde. Les océanographes corroborent cela en affirmant que la mer profonde est différente de la mer de surface en ce sens que des vagues autres que les vagues de surface se forment à l’interface des deux mers. Ce que l’on ignorait cent ans auparavant. Le Coran a mentionné ces réalités scientifiques étonnants quatorze siècles jadis. Qui a pu communiquer ces informations à Mohammad ? Il va de soi que Seul Allah exalté soit-Il a pu le faire !
La médiathèque de la ville d’Oujda
La médiathèque de la ville d’Oujda est l’aboutissement d’un projet commun : pour la promotion du réseau de lecture publique marocain initié par Le Ministère de la Culture en partenariat avec le Service de Coopération et d’Action culturelle de l’Ambassade de France au Maroc et la commune urbaine de la ville d’Oujda.
La médiathèque est riche d’une collection bilingue (arabe/français) de 10 000 livres et d’un fonds audiovisuel de 1 000 CD, DVD et CD-rom. Elle offre également des espaces de consultation bien équipés pour permettre au plus large public de se former, de s’informer mais aussi de se détendre dans un cadre accueillant et chaleureux.Des bibliothèques satellites graviteront autour de la médiathèque de la ville D’Oujda à « Ain sfaae, Aklim… », aux collections plus modestes, elles proposent toutefois aux populations rurales et périurbaines concernées un service de grande qualité grâce à l’implication de leur « tête de réseau » (prêt, échange de collections, programme commun d’animations) et au soutien apporté par la direction du livre, des bibliothèques et des archives du ministère de la Culture.
La médiathèque proposer des collections riches et diverses pour « donner à tous libre accès aux trésors de la pensée et de l’imagination de l’Homme », c’est l’ambition qu’elle se donne en collaboration avec les autres médiathèques du réseau et les bibliothèques satellites, s’inspirant du manifeste de l’UNESCO. Elles invitent en effet les publics de tous âges, sexes et catégories socioprofessionnelles, à venir trouver dans un cadre accueillant les documents les plus variés. D’un roman policier à un site Internet spécialisé en gastronomie, d’un disque de contes pour enfant à un documentaire sur les maladies infectieuses : tous les supports sont disponibles dans les collections du réseau de lecture publique.Promouvoir le livre et l’information, c’est aussi en faciliter l’accès. La médiathèque est donc ouverte à tous gratuitement. Les collections sont en libre accès pour qu’un utilisateur puisse, seul ou avec l’aide d’un bibliothécaire, trouver le document qui l’intéresse et l’emprunter après s’être inscrit. L’ensemble du fonds documentaire du réseau est également recensé dans un catalogue collectif informatisé, interrogeable via l’Internet ou sur place. Les espaces de consultation de la médiathèque a été conçus pour s’adapter aux besoins et aux pratiques de chaque public (tout-petits, enfants, jeunes, adultes).
Car, au-delà de leur vocation traditionnelle de mise à disposition et de prêt de documents, ces médiathèques et bibliothèques sont également des espaces de vie culturelle qui invitent aux plaisirs de la découverte et de la connaissance : des animations (rencontres, lectures, expositions, débats, ateliers…) y sont organisées régulièrement par les équipes en place ou les associations culturelles locales à l’attention du plus large public.La médiathèque de la ville d’Oujda travaille dans l’ensemble d’un réseau de 10 médiathèque réparties dans les villes suivantes : Oujda, Taza, Mekhnès, Al Jadida, Sala aljadida, Khribga, Beni mellal, Larache, Ouarzazate, Tiznit.
Le travail en coopération mené par les médiathécaires du réseau s’illustre d’abord par la création d’un catalogue commun recensant l’ensemble des collections du réseau lecture publique. Géré par la Direction du livre, des bibliothèques et des archives du ministère de la Culture, ce catalogue est consultable via Internet et permet aux utilisateurs d’interroger aussi bien le fonds de la médiathèque de leur province que celui des autres médiathèques du réseau.
Son élaboration a nécessité en amont l’adoption de procédures communes (plan de classement, manuel de catalogage notamment), diffusées par l’association des médiathécaires du réseau de lecture publique créée en 2006.La médiathèque de la ville d’Oujda : Mohamed Ben Amarra
Les partenaires pour la création la médiathèque :
• Ministère de la Culture
• La commune urbaine de la ville d’Oujda
• L’ambassade de FranceCaractéristiques de la médiathèque :
o La surface : 320 m2
o Les espaces : la médiathèque contient trois espaces de lecture ; espace adulte, jeunesse et enfance. Il y’aura une salle de traitement du fond et un bureau du responsable ainsi que des toilettes.Fonds documentaire :
• La dotation totale du fonds documentaire imprimé est de 10 000 titres.
• Le fonds documentaire audiovisuel atteindra 1000 titres
• La répartition du fonds est la suivante :
o 1/3 de livres pour les enfants, 1/3 pour la jeunesse, 1/3 pour les adultes.
o 50% de livres en arabe et 50% en français.Budget alloué à la création de la médiathèque (en dhs) :
Collections imprimées : 946 374
Fonds audiovisuel : 46 066
Mobilier de bibliothèque : 765 824
Equipement informatique : 177 275
Equipement audiovisuel : 50 736
Total : 275 986 1Toutes les fonctions de la médiathèque sont informatisées :
o la gestion du fonds documentaire
o Les transactions prêt/retour
o La gestion des utilisateurs
o Les statistiques.Fonctions de la médiathèque :
o Accueil et orientation du public
o Accès aux fonds documentaires imprimés et audiovisuels
o Recherche dans le catalogue collectif
o Prêt des documents
o Accès à l’Internet
o Animation autour du livre et de la lecture.note : pour plus d’information sur le le réseau de lecture publique marocain Veuillez consulter :