Les Ouzbeks
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décembre 22, 2006 à 2:59 #202016AlainMembre
Un journaliste se rend en Ouzbékistan pour y faire quelques reportages pour son journal. Dans un village reculé, il rencontre un vieillard et lui demande: « Vous pouvez me raconter le souvenir le plus mémorable de votre vie ? »
Le vieil homme sourit et commence son histoire:
« C’est un jour, il y a très longtemps, ma chèvre s’était égarée dans la montagne. Comme c’est la tradition, tous les hommes du village s’étaient réunis pour boire de la vodka et partir à la recherche de la chèvre.Il poursuit: « Quand on l’a finalement retrouvée au petit matin, on a encore bu de la vodka et, comme c’est la tradition, tous les hommes du village se sont tapés la chèvre un par un. Qu’est ce qu’on a pu rigoler ! »
Le journaliste se dit que cette histoire est difficilement publiable et demande au vieil homme de lui en conter une autre, peut-être un peu moins grossière.
Le vieil homme sourit et dit: « Un jour, la femme de mon voisin s’est perdue dans la montagne. Comme c’est la tradition, tous les hommes du village se sont réunis pour boire de la vodka et partir à la recherche de la femme en question. Comme c’est la tradition, quand on l’a finalement retrouvée, tous les hommes du village se sont tapés la femme du voisin. On s’est bien amusé ! »
Le journaliste n’est pas encore convaincu et interroge le vieil homme: « Vous n’auriez pas une histoire plus triste ? »
Le vieil homme prend un air sombre et commence:
« Un jour, je me suis perdu dans la montagne… »décembre 22, 2006 à 3:00 #220067AlainMembreUn couple célèbre son 50e anniversaire de mariage. Leur tranquillité a toujours été le sujet de conversation dans leur village. On disait :
– Quel couple pacifique et amoureux.
Ce meme journaliste (voir blague en haut) décide donc de faire un reportage sur ce couple, afin de connaître le secret de leur bonheur.
– Eh bien, ça remonte à notre voyage de noce, explique le mari. Nous visitions le Grand Canyon et avons décidé de le traverser à dos d’âne. Nous n’avions pas encore parcouru une grande distance quand l’âne de ma femme trébucha. Ma femme, sur un ton tranquille, dit :
– Première fois.
L’âne se releva et nous avons continué. Après une courte distance l’âne trébucha à nouveau. Une fois de plus, ma femme, sur un ton tranquille, dit :
– Seconde fois.
L’âne se releva à nouveau et nous sommes repartis. Nous n’avions pas fait la moitié d’un mile que l’âne trébucha une 3ème fois.
Tranquillement, ma femme sortit un pistolet de sa bourse et tua l’âne.
C’est alors que je me suis fâché et que je lui ai dit ce que je pensais de la façon dont elle avait traité cette pauvre bête, quand soudain, elle m’a regardé et m’a dit d’une voix tranquille :
– Première fois.
Depuis ce jour, nous vivons heureux ! -
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