VOUS… OUI VOUS LES HOMMES AVEZ VOUS PEUR DU MARIAGE???

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15 sujets de 1 à 15 (sur un total de 49)
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    tima
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    Les hommes ont-ils peur du mariage ?

    Les femmes rêvent souvent de robes blanches et d’enfants alors que les hommes ne voient dans tout ça que la corde au cou. Vivre ensemble, se marier, avoir un bébé… autant de preuves d’amour et d’engagements que les hommes ont du mal à prendre. Vrai ou faux ? Et si c’est vrai… qu’est-ce qui leur fait peur, à la fin ?

    Vérité ou légende ? L’homo maroquinus est-il sujet à un refroidissement de ses gènes ? On a vérifié les statistiques : moins de mariages et plus de divorces. Nous sommes allés vérifier sur place auprès de ces messieurs. La partie immergée du fléau confirme la tendance sociale : le modèle “mâle” du mariage s’effondre, du moins prend un virage à 360° ! A quarante ans, Fayçal, biceps gonflés à bloc et dernier édito de Marianne en tête, lorgne sans cesse les femmes et soupire de ne pas avoir -encore- trouvé chaussure à ses pieds. Avec trois fiançailles rompues en poche et une multitude d’amourettes, Fayçal résume l’air du temps : “J’ai peur du mariage ! Malgré toutes les rencontres faites jusque-là, je n’ai jamais fait le dernier pas.” Blondes aux yeux de mer, brunes d’Arabie aux yeux de jais, taille mannequin, taille rondelette, universitaire travailleuse ou oisive glamour, Fayçal aura tout aimé. Sans comprendre pourquoi, un beau jour, ses engagements sentimentaux se dégonflent pour des raisons mystérieuses… Blocage psychologique ? Mode sociale pour faire in ? Un autre homme, Ahmed, la trentaine bétonnée de principes, voit l’affaire autrement : “C’est un choix ! Je ne suis ni angoissé ni torturé par l’idée du mariage. Je n’en veux pas par conviction personnelle. Capito ?” Les hommes sont-ils devenus allergiques aux rites de la fertilité matrimoniale ? Pour Nawal, trente-cinq ans et quelques ex qui ont filé à l’anglaise : “On ne sait plus comment aimer les hommes, ni ce qu’ils attendent finalement de leurs moitiés. Je crois qu’ils sont eux-mêmes un peu perdus !”.

    Les théoriciens de la modernité
    Etre moderne, c’est ne plus se marier sous les auspices des parents. C’est leur permettre de dire “oui” (et plus rarement) “non” à un fait établi et un lien déjà là. C’est choisir sa campagne au gré des déambulations sentimentales, avec plus de liberté et de manœuvre. Un itinéraire qui démystifie l’amour, l’éros et sépare dans le mot nikah ses deux acceptions linguistiques : acte de mariage et acte sexuel. “Lors de mes premières aventures amoureuses, se souvient Fouad, je me comportais comme si j’allais me marier à chaque fois avec mes conquêtes. C’était inévitable dans ma tête. Au fil des ans, j’ai appris à dissocier la relation amoureuse de l’objectif mariage.” Les sentiments, la sexualité des hommes, autrefois dépendant du lit conjugal, ne sont plus des institutions. Ce que résume Adil, la quarantaine : “Je ne veux pas me marier pour le sexe. Si dans les campagnes, il faut se marier pour faire l’amour, dans les grandes villes, la tendance est d’abandonner cette vision des choses.” Décryptage : L’homo maroquinus regarde un peu plus loin que le bout de son nez devant la devanture féminine. Il s’intéresse de plus en plus à la cavité cérébrale des femmes, à leurs projets professionnels et carrières, leurs idées du couple et de la vie. Le mariage lui-même demande un gros investissement de personne, de temps et d’argent et certains le placent en seconde ou troisième position dans leurs objectifs vitaux. C’est le cas des hommes qui intellectualisent l’existence et préfèrent vivre selon des principes idéalisés : “A quoi bon se marier se demande Tahar, la quarantaine ? Pour l’amour ? Il disparaît au bout de quelques années ! Pour le partage ? Je n’aime pas cette forme d’exclusivité où l’on se dit faussement : je suis à toi et toi tu es à moi ! Pour les enfants ? Je n’en veux pas, du moins pas pour les élever selon nos traditions ! Alors, je préfère rester seul. J’aime la solitude, finalement.” Un autre intello explique sa hantise du mariage par l’impossibilité de tisser un lien amoureux vrai dans notre société : “Je n’ai jamais rencontré de femme qui sied à ma mentalité et mes idées sur la vie. Se marier chez nous, c’est épouser la belle-mère et toute l’escorte qui veille à la tradition.” Quant à Abderrahim, quarante-cinq ans et pas de mariage en vue : “Je refuse d’être instrumentalisé par notre culture. Je me suis fiancé, il y a une dizaine d’années. L’achat d’un appartement est devenu une condition sine qua non pour vivre ensemble. Le comble, c’est que le grand-père de ma fiancée nous a proposé de nous acheter un appartement que nous payerions petit à petit. Et bien, la belle famille est intervenue pour confisquer l’appartement en question et le garder pour elle. Vous parler d’une vie construite à deux ?”

    Les freins économiques
    Où en sommes-nous des valeurs matrimoniales au Maroc ? Confronté à une vie sentimentale et sexuelle plus riche, l’homme accepte plus facilement le concubinage ou la relation suivie sans lendemain matrimoniale. Une réalité qui explique pourquoi les hommes sont moins empressés de fonder un foyer. Pour Samir, trente-quatre ans, “l’homme est plus libre sur le plan de la conception matrimoniale. Peut-être pas dans d’autres domaines de la vie à deux, mais il est plus affranchi lorsqu’il s’agit de projet intime et de lien avec l’autre.” Pour Rajae, la trentaine, “même libérée, la femme a besoin d’un homme qui la protège. Une sorte de père. C’est une constance malgré les bouleversements socio-économiques que nous vivons.” Soit. L’homme a aussi besoin de mamelles maternelles. S’y rajoute la hantise du pourvoyeur de fonds qui surfe seul avec les exigences financières du couple. Un sujet que bien des hommes évoquent comme un frein majeur à leur épanouissement matrimonial. Pour Mohamed, trente-cinq ans : “Les choses ont beaucoup changé lorsqu’il s’agit d’argent au sein du couple. Mais quoi que l’on dise, c’est le mari qui reste la pierre angulaire de l’édifice financier.” Et d’ajouter que “le mariage reste une symphonie qui se joue à une seule main !”

    Le problème de l’argent, un dilemme dans notre culture dans la majorité
    des cas ? Dans l’exemple de Abdelhak, trente ans : “Même avec son salaire, ma fiancée ne voulait rien entendre. J’étais l’homme dans le sens sonnant et trébuchant du terme”. Les salaires modestes, les risques de chômage et les difficultés matérielles liées à la préparation du mariage stoppent net toute envie d’envol individuel. La cérémonie est jugée trop chère. Le nid du couple doit être préparé avant terme. La prise en charge (partielle ou totale) de la belle dulcinée doit être visible. L’homme doit aussi apprendre à se confectionner une image d’être aisé ou riche à faire valoir hypocritement devant les autres. Et aussi une image d’homme-père-surhumain-infaillible à créer de facto pour compenser le vide phallique de sa promise. Azeddine, quarante-deux ans : “C’est cher payé ! Ce qu’on demande à l’homme est inhumain. Un homme, c’est pas un tiroir à rêves.”

    Lorsque la peur est profonde…
    Pour d’autres hommes, toute décision, dans la vie, est difficile. S’engager est pour eux un supplice qui cache un profond malaise. Ce sont les hypocondriaques irascibles de l’hésitation et du déséquilibre sentimental. Certains ont vécu une histoire d’amour dont ils gardent un souvenir amer sur certains points. Ceux-là craignent peut-être de revivre ces moments déplaisants. Certains ne sont pas mûrs pour se lancer dans une difficile aventure. Des vagues de crise d’identité balaient la psyché masculine et la désarçonnent. Des problèmes sexuels naissent des avatars de l’urbanité cahotante. La régression des hommes est recherchée vers un nirvana inaccessible que décuple l’agression permanente des images télévisuelles. Une soupe moderne constipante que certains érigent en philosophie de vie pour mieux s’adapter à leur condition de célibataires endurcis.

    D’autres vivent mal cette attente éternelle et ont parfois de bonnes raisons de désespérer. Amal sort d’une cure chez un psychologue. C’est son fiancé qui doit prendre sa place, mais ce dernier a fui le psychologue, le projet de mariage et la relation qu’il entretient avec Amal depuis deux ans. “Je ne sais pas pourquoi il a peur de me toucher. Nous n’avons que des relations éphémères et je suis la plus demandeuse des deux.” Le mariage est parfois angoissant pour les hommes parce qu’ils ont peur de dévoiler certaines vérités intimes: homosexualité refoulée, problèmes d’érection, instabilité émotionnelle qui remontent à la surface à l’heure du choix décisif. Rachid, trente-sept ans : “Je n’ai jamais pu garder un lien et mener à bien un projet matrimonial. Après quelques mois paradisiaques, commencent les malentendus, l’escalade, la rupture qui se dessine au loin. Je ne sais pas gérer ce qui m’arrive.” Les mariages heureux sont bâtis sur la confiance et l’amour inconditionnel. Deux choses qui ne peuvent cœxister avec la peur. La peur endommage le mariage parce qu’elle rend défensifs. Pour Salah, hyper timide à quarante ans : “Nous détestons admettre nos faiblesses ou nos fautes. La peur que ma conjointe s’aperçoive de mes faiblesses me place sur la défensive.” De même, l’insécurité déstabilise l’homme et mène aux luttes de pouvoir. “Afin de prouver ma compétence, confesse Salah, j’ai toujours agi en dictateur. Le résultat est qu’à chaque relation, j’entretiens un état de conflit perpétuel qui provoque mes ruptures.”

    Le rôle conciliateur de la femme
    Le dédale civilisationnel brouille et redistribue les valeurs de la vie à deux. Entrechoc des genres qui se repositionnent au coude à coude pour tracer leurs nouvelles frontières. Vécus des hommes qui explosent en une myriade d’expériences sexuelles et redéfinissent la vie. Nouveaux styles de vie célibattante qui s’imposent avec leurs libertés et leurs contraintes. Fini le mythe de Platon où chacun quête sa douce moitié ? Bientôt, un monde sans pères ni mères et des enfants conçus sans sexe ? Pas si sûr et en attendant l’humanité du troisième type, restons zen et pratique. L’amour sans concession est celui qui se vit pleinement. Sans (trop de) calcul et dans la seule perspective de construire quelque chose à deux. Les angoisses sont souvent partagées mais la femme doit ici jouer un rôle de réconciliation et les tempérer via la communication

    et une montagne de compréhension. Selon Jamal, trente-sept ans : “C’est ma femme actuelle qui m’a aidé à résoudre mes dilemmes internes et d’aller de l’avant.” Leur couple n’en est sorti que plus renforcé.

    En périodes de crises sociales, de bouleversements dans les repères et objectifs, les hommes ont besoin de mains tendues pour dépasser les obstacles moraux et financiers et aller de l’avant dans le couple. Les notions principales de liberté, d’espace de vie, de partage des responsabilités, de participation active au foyer, d’investissements pécuniaires restent des notions modelables. La fête de mariage, les valeurs de l’éducation à transmettre aux enfants, les choix liés à la tradition sont aussi malléables. Il ne s’agit pas de savoir comment chacun a envie de vivre, mais comment l’homme peut dealer avec la lourde responsabilité sociale d’être définitivement avec l’autre – même si cet autre est adoré.

    #255000
    boudir1
    Membre

    salam

    ben moi sincerement j ai peure du mariage, pas les respensabilite mais des femmes memes,car bnat lyoum avec internet parobole les emigre et leur influence.j ai vraiment peur
    si je trouve une fille qui pensse comme ma mere je l epouserai les yoeux fermer,mais ou est elle?????????

    #255001
    touria016
    Membre

    Le mariage, c’est un lien sacré qui attache deux personnes en vue de créer un foyer plein d’amour, de respect mutuel, de sacrifices et beauuucoup de sacrifices, de responsabilités…

    Donc, en mon sens la question ne se pose même pas, que ce soit pour les hommes ou même pour les femmes.

    @ Boudir : qu’est-ce-que tu veux dire par  » les emigre  » ❓ 🙄

    #255002

    kes kil on lé émigré

    moi perso je me considere pa com une fille de france vec leur tahramiate pour la plupar d’entre eux mé moi je me considere com une fille normal ki apren a cuisiné arabe a s’abillé normal etre poli (adab)
    hamdullah mé paren m’ont tout apri , g ocune diférence avec lé fille du bled 🙄

    #255003
    tima
    Membre

    enfin des interventions mazal l 7al
    👿 👿

    #255004
    compitieux
    Membre

    salam
    tout d’abord, il vaut mieux ne pas poster tout le texte quand vous le copiez d’un autre site, ça peut ne pas plaire aux propriétaires, toutefois tu peux lancer la problématique à partir du début du document et poster le lien de la source
    (c’était un avis, tout en ignorant comment ça se passe ici)

    bref .. pour ne pas virer trop loin et cela sans lire le tout, je dirai que le mariage est une fatalité, on est loin de la constitution de concubinage, si tous les jeunes auraient les moyens personne ne resterait célibataire hein?

    #255005
    touria016
    Membre

    @compitieux wrote:

    salam
    tout d’abord, il vaut mieux ne pas poster tout le texte quand vous le copiez d’un autre site, ça peut ne pas plaire aux propriétaires, toutefois tu peux lancer la problématique à partir du début du document et poster le lien de la source
    (c’était un avis, tout en ignorant comment ça se passe ici)

    bref .. pour ne pas virer trop loin et cela sans lire le tout, je dirai que le mariage est une fatalité, on est loin de la constitution de concubinage, si tous les jeunes auraient les moyens personne ne resterait célibataire hein?

    Le Prophète a incité sa Communauté au mariage, disant : « Mariez-vous, je serai fier de votre nombre devant les autres nations ». Il dit également : « Jeunes gens, quiconque parmi vous en a les moyens, qu’il se marie. Cela lui permet de rabattre le regard, et de préserver sa chasteté. »

    Alors certes, pas tout les jeunes n’ont les moyens de se marier, mais encore faut-il en mon sens les distinguer de ceux qui ont les moyens, mais qui ont en vue d’autres préoccupations qu’un engagement sollennel : le mariage.

    @ Tima : je regrette que t’aies pas mis des références à l’islam, paske avant tout ces facteurs dits économoqies, sociaux…c’est avant tout par rapport à ca, qu’on doit en tirer les leçons.

    #255006
    boudir1
    Membre

    eeeeeeeeh ya touria vous aves dites:
    Le mariage, c’est un lien sacré qui attache deux personnes en vue de créer un foyer plein d’amour, de respect mutuel, de sacrifices et beauuucoup de sacrifices, de responsabilités…

    si seulement ça existe abondament de nos jours.car les filles de chez nous biensur pas toutes mais une bonne partie pensent que en se mariant elle vas se libirez de ses parent et faire plein de chose qu elle revaie..
    mais les garçons pensent le contarire car ils font plein de conri avant le mariage et il pensent que en se mariant il vont faire une treve,la pais avec soit meme quoi….et c est seulement un cas….

    anonce:j h 25 ans travailleure cherche femme entre 18 et 25 ( lol)

    #255007
    touria016
    Membre

    @boudir1 wrote:

    eeeeeeeeh ya touria vous aves dites:
    Le mariage, c’est un lien sacré qui attache deux personnes en vue de créer un foyer plein d’amour, de respect mutuel, de sacrifices et beauuucoup de sacrifices, de responsabilités…

    si seulement ça existe abondament de nos jours.car les filles de chez nous biensur pas toutes mais une bonne partie pensent que en se mariant elle vas se libirez de ses parent et faire plein de chose qu elle revaie..
    mais les garçons pensent le contarire car ils font plein de conri avant le mariage et il pensent que en se mariant il vont faire une treve,la pais avec soit meme quoi….et c est seulement un cas….

    anonce:j h 25 ans travailleure cherche femme entre 18 et 25 ( lol)

    Pas compris ton idée.
    Merci de reformuler. 🙄 😳

    #255008
    compitieux
    Membre

    salam
    juste pour rectifier; il suffit pas d’avoir les moyens pour réussir un mariage, certaines qualités sont indispensables :
    le sens de la responsabilité, le sens du partage, le sacrifice, la maturité et surtout croire au mariage
    un enfant de 30 ans ne peut pas se marier :d

    #255009
    boudir1
    Membre

    desole touria je suis un grand ma3gaz,je ne vais pas reecrire tous c.
    en general jai peure de me marier pas la respensabilite pas economiquement je m en sort hamdoulah.
    mais khir mra ou char mra
    ou bnat lyoum mab9a ma ya3jab

    #255010
    boudir1
    Membre

    une autre chose j ai pas lue ton sujet car il est trop long j ai rependu seulement a l idee.
    lah ghalab

    mais il faut bien se mariee un jour tot o tard

    #255011
    touria016
    Membre

    @ Compitieux : certes. Mais pour l’argent, je répondais à nôtre frère Boudir qui l’évoquait. Biensur, si t’as remarqué, j’ai dit plus haut que Le mariage, c’est un lien sacré qui attache deux personnes en vue de créer un foyer plein d’amour, de respect mutuel, de sacrifices et beauuucoup de sacrifices, de responsabilités…

    @ Boudir : je comprend mieux maintenant. (lol) En fait, vu l’occidentalisation de certaines mentalités et l’autodestruction des principes, il va falloir engager l’inspecteur Tahar pour nous trouver l’âme soeur. 😆 😉

    #255012
    boudir1
    Membre

    vous avez le numero de l inspecteure tahar stp

    urgen 😳

    #255013
    ayman
    Membre

    « Li khaf slem » 😆
    et bien , à chacun sa propre situation et ses raisons , ça peut etre la peur oubien les moyens,être prêt .. avoir trouver la bonne personne..,

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