Mme Student 79 et David-Salomon , ça Trump au logis
Mots-clés : ça Trump au logis, Mme Student 79 et David-Salomon
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janvier 2, 2018 à 1:47 #354392DR IDRISSI MY AHMEDParticipant
Mme Student 79 et David-Salomon , ça Trump au logis
Un chapeau vide, une casquette sans tête, est jetée sur le sol.
Une perruque abondante, blonde et blanche, est étendue par terre au milieu des cendres. C’est celle d’un chef qui s’est suicidé, en voulant embraser la terre.
J’entends des voix. Ça doit être un cauchemar qui reprend les infos ! ‘’C’est David qui vous parle. J’ai entendu Nethan, il m’a semblé dire ceci ’’. « J’en ai marre des microbes, des vers et des insectes ! Je ne veux plus écraser les mollusques par respect à Yahvé. Mais, je ne veux plus de crapauds verts ni de serpents barbus, comme une menace autour de la capitale et du pays de Dieu. Je dois délivrer Israël des parasites et lui annexer toute la Cisjordanie ! L’Histoire m’en sera gré. Je l’ai décidé après que Trump, notre obligé, soit venu prier devant le Mur où il a déposé un petit papier. Un talisman, un contrat de gré à gré ! Enfin, grâce à lui, le monde reconnaîtra Jérusalem comme capitale de mon grand pays ! Mon Eden doit être propre pour recevoir le Messie. Donald, le blond évangéliste est le premier cavalier de l’Apocalypse. Il me l’a garanti. Nous sommes la nation illustre des Nobels, des créateurs, des medias, des artistes, des gens super développés et des plus riches financiers. Nous méritons, plus que les barbares de retrouver notre pays. Nous devons reprendre de droit et de force, les foyers de Moïse et de David. Le royaume de Salomon, tel qu’il a été reconquis. L’Histoire, le Livre, les prophéties, l’ont exigé et nous l’ont dit et prédit. Seule compte la Tribu ; le reste, n’a ni mérite ni place sur la Terre ni au Paradis».
Je me rendors, bien fâché contre ce cauchemar qui me révulse les tripes ! Et j’entends un autre son de cloches. Ce sont des visions bouffonnes et burlesques. C’est Madame Student, la nièce du général Lyautey, préceptrice de David Salomon, le 60ème, qui reviennent du Barzakh, pour bavarder avec le toubib Maidoc. Ils discutent de philosophie et parlent de politique. Voici quelques idées de leur dialogue qui me sont revues à mon réveil, ce premier jour de l’an 18 : « Barbares et fanatiques, philosophes extrémistes, surhommes blancs, reliques des religieux, extrémistes abusés, parangons, xénophobes, richissimes racistes et fascistes surmédiatisés, ligués dans leur certitudes arrogantes jusqu’à en suffoquer dans la lie; humains tronques, et trompeurs trompés, dans leur histoire belliciste, mensongère et cynique, depuis des millénaires, qui les a formatés et ligués, face aux extrémistes de l’autre bord, les abusés, mal réveillés, maltraités, humiliés et détraqués, qui ne pensent que survivre pour leurs droits et se venger. L’existentialisme qui se défend de l’autre bord et qui les fait résister est condamné et repoussé. Incapables de lutter à armes égales face aux adversaires et aux ennemis. Atrocement nuls face à ceux qui les exploitent et les terrassent, sans espoir de liberté et sans répit ! Leurs sadiques façons de se défendre, en tuant des civils innocents, sont horribles et contreproductives. Si bêtes et inopérantes, intolérables, qu’au pire, elles sont utilisées, manœuvrées, manipulées, contre eux ! Au total, ils ne sont ni craints ni reconnus. »
Je suis David ! Vous avez entendu, comme moi, que plus de 15 manifestants palestiniens ont été tués par des balles réelles, ces derniers jours. Alors dites-leur d’arrêter de manifester ! Et les bavards continuent : « C’est la merde et du sang, versé par un gang et ses lobbies, sur la Terre ! Ces hématémèses profuses, asphyxient l’idéal de vie et de paix ! Ce, depuis que le Stumpfeur a poussé le Néant yahoodi à voler Al Qods, officiellement ! Et qui plus est à effacer les siens, en surmultipliant, sans arrêt, les constructions sionistes pour asphyxier la vieille ville, et ses trois religions monothéistes. Al Qods, qui se recroqueville sur son passé aborigène, autochtone et islamique. La nouvelle guerre des religions est déclarée. Tous se battent pour Dieu. Soi-disant, le seul et même dieu, que chacun selon sa tribu et sa langue, fait mine d’écouter et d’adorer. Et de s’approprier ! La nouvelle guerre raciste, la nouvelle guerre entre riches et pauvres, entre les colons et les colonisés continue malgré la logique, la raison et la volonté de paix. Une piété et des préceptes, pas valables pour un sou, qui plus est des droits qu’on fait péter ! Entre les mêmes homos, pas sapiens pour un sou. La guerre incessante entre les mêmes sémites au long nez, pour le même lopin de terre que leurs ancêtres disparates auraient foulé un moment ou un autre de leur histoire qui s’est chevauchée. Depuis que les fils d’Abraham y ont mis leurs pieds ! Cela s’appelle politique, démocratie, droits de l’homme, égalité, humanisme, civilisation, humanité, selon les dires des envahisseurs attitrés. Vous y croyez ? »
Je me rendors, fébrile. Ils continuent de bavarder sur un autre registre et de me harceler dans mon sommeil par leurs idées conflagrationistes ou sionistes ! « Ecoutez-moi, vous les vivants, regardez les morts ! C’est Mme Student qui vous parle. C’est un petit enfant, aux cheveux mouillés, qui n’entend plus. Il est bercé par les vagues qui viennent de le ramener de loin. Ecoutez la musique ! Regardez comme il est blanc et beau ! Cet ange, immolé dans les eaux, est un innocent. Plus loin et sur vos phones, c’est un bébé quasiment nu et sans membres, qui botte un ballon du bas de son corps amputé…Vidéos sur les télés et les portaphones* que le Ciel et ses anges, témoins plus que satellitaires et camériques*, voient se produire de près. Et ils regardent d’en haut les Rohingyas massacrés en Birmanie, sans agir pour les freiner. Des mères ou des bonnes, des institutrices, frappent à mort des bébés ou des enfants…Des ados sont porteurs de dagues et de cimeterres ! En retours d’éducation, ils découpent les cous de leurs maitresses ! Cela se passe partout, sans qu’aucun aucun frein ne vienne refreiner ses ardeurs criminelles et assassines. Violences et meurtres, vols des terres par les plus puissants, les plus avancés des cadres, les plus beaux, les plus cultivés, les plus blancs, les plus riches, au nom de leurs religions assassines ! Détournements des biens et pillages des âmes, des viols tout court et des assassinats programmés ! Egoïsmes, humiliations, vols et violences, colères et guerres : ce sont des morts ininterrompues, que paient les plus faibles. Que seront-ils, demain, quand il n’y aura plus de guerres ni d’êtres humains sur terre, à liquider? »
Ouf, c’est pénible ! Student et Maidoc, ne veulent pas sortir de mon sommeil. Et au lieu d’une île de vacances et de plaisirs, je rêve de ces bavards illuminés ! A croire que je lise le journal en laissant ses traces d’encre et de violence sur ce qui me sert d’écrin et de cervelle. Voici ce qui en reste d’ailleurs comme souvenir : « Dr Maidoc, toi qui est médecin, me demande avec suspens Mme Student, que veut dire ‘’humanité’’ ? Et que signifie l’homme ? Que veut-il ou ira-t-il, une fois son orgueil malmené, mis en esclavage, colonisé ou tué ou naturellement décédé ? Que signifie l’humanité, quand tu insultes ton Adam ? Et que vous autres, les vivants, vous vous entretuez, humiliant ainsi les petits-fils du premier homme, que Dieu, lui-même a façonné, Adam ? Ce miracle, cette argile, cette eau, cette vie qui a évolué ? Vous la violez impudemment et sans répit au lieu de la protéger, en hommages à Dieu !
Je ne te comprends pas Mamy Student lui lance son David-Salomon ! Voilà ce que je vois en ce moment et qui m’interpelle ! Intempéries, séismes telluriques, éruptions volcaniques, typhons, incendies, inondations de villes entières et pas que américaines ! Le sort en est jeté, la malédiction les a frappés ! La terre venge les siens et brûle le berceau et le lit, la matrice qu’elle représente pour ces ingrats qui s’entretuent au lieu de jouir…de la ‘’vie en paix’’. Il semble que pour les fauves et les carnivores, les guerroyeurs qui se nourrissent du sang des autres et de leurs chairs, que ce soit un dogme creux, un vice, un slogan creux que de leur parler de ‘’paix et de vie’’. Il en est d’autres slogans creux que la paix et l’amour, aussi virtuels que lubriques et faux. Ce sont les idées de liberté et de démocratie, de religion, de morale et l’humanité. »
Israël est un pays démocrate, dit –on ! Je prends un paracétamol et un relaxant et je reviens au lit, devenu froid tout d’un coup ! Le courant ne marche pas, la régie, autant que les autres racailles surfacturent les pannes et les charges ! Les charges augmentent gratis et les pannes vous devez en payer leurs factures de réparation ! Le chauffage, la voiture, les affaires la santé sont en panne ! Comme la politique nationale et tout le reste, ne marche pas. Puis voilà les compères qui reviennent à la charge encore. Vous les voyez en train de me faire souffrir. Je vous livre leur conneries, gratuitement SVP, pour tenter d’apaiser ma fatigue, qui est devenue nerveuse : « Moi David Salomon, héritier du trône d’Israël, je n’ai besoin ni de livres, ni d’habits, encore moins de femmes ou de phones ! Surtout pas de voiture à 3 milliards, même si c’est pour me l’offrir. Je veux la solitude et l’oubli, la conscience au repos et les tous sens de la vie au calme…Dans l’attente de mieux voir, de mieux connaître et de comprendre ce qui se passe entre les hommes ! Chez moi en Israël ! Par miracle ou selon un destin inconnu, je veux être objectif, Maidoc, contrairement aux miens qui méconnaissent le petit fils, le descendant direct de leurs rois et prophètes et que Je suis ! David, moi Maidoc, je veux oublier ce que vous m’avez pris et que le vide efface vos sinistres envies et nos phobies ! Que le noir du néant, que le trou béant anéantisse les rapaces injustes, les barbares, les impérialistes sanglants, les méchants et les oppresseurs. Toux ceux qui volent les biens les libertés et les droits des gens, leurs rêves, leur fierté, leur désir de vivre et leur imagination. » Ah cruel Docteur, vous me mettez dedans ! Retiens-le Mamy ton foutu Maidoc ou je crie dans ses songes pour le réveiller avec un mâle de tête qui le poussera à se masturber les méninges!
Bof, vivement le réveil ! Pour ma part je vous rends vos sacs de Dvd, enregistrés, mais restés vierges, sans qu’aucun œil ne les ait jamais visionnés! Tout à la cave ! Qui les verra ? Qui en héritera un jour ? Je me rendors ! David-Salomon et les deux compères reviennent à la charge bavarde : « Mme Student, Maidoc, moi David, je ne veux rien de la vie ! Si c’est ainsi. Je ne pas ce de cette vie. Cette vie de mensonges de ruines et de meurtres et de faussetés ! Je suis descendant de prophètes ! Mais, je veux dormir comme un damné. Dormir pour ne pas penser, ni m’épuiser. Dormir pour ne pas râler pour rien, car on ne peut rien corriger ici. Regardez les monstres qui nous gouvernent par-dessus nos propres us ! Dormir, c’est partir, se reposer, se rechercher. Dormir, c’est se recharger les batteries, sans l’ingratitude de quiconque ! C’est se retirer un peu ou beaucoup, pour en terminer. Dormir, c’est guérir et les ignorer ! Comme un dingue ou un déprimé ! Or, je n’ai besoin de personne à humilier ou à meurtrir. Je ne veux ni tuer ni calciner, à Gaza ou en Cisjordanie, pour me sentir à l’aise et fier comme un héros de ma personne. Je n’ai besoin de personne pour bavarder ou à qui me confier, besoin de quiconque pour m’aider ou pour subsister…Je suis tel un spectre, un esprit libre ! Ok, dit Student, on a compris.
Maidoc : S’il faut revire ou ressusciter, serait-ce avec ces doutes ou des certitudes ? Des rêves ou des clichés ? S’il faut vive et perdre, ce tas de résidus, ce corps fruit de rapacité, de cette mangeaille dont il se repaît et qui le construit, ce ‘’soi’’, c’est ego, sur lequel on a construit des idées, normales ou saugrenues, persistera-t-il ? Ou que se perdra cette Personne, avec son corps, qu’il ait une âme ou un esprit ? Comment ressusciter des cendres, des sables ou des poussières, ceux qui sont sans vie ? »C’est le secret de Dieu et l’énigme des hommes, me dis-je, en me réveillant. Et puis hop, je plonge dans l’inconscience limite, càd dans le le sommeil ! « Mme Student se lance dans cette tirade de son cru ! Comment reconnaître, comme soi, ou les siens un esprit ressuscité, ou sa propre âme, son soi vrai qu’on n’a jamais aperçu ? Ressusciter pour les mêmes idées, les mêmes erreurs serait un acte imparfait. Je préfère jouir dans l’Au-delà ou dans son intermède, de quelque chose de plus grand et de plus parfait ! Comment se comporter avec une entité, qui serait soi-même, qu’on ne sait comment elle est faite, qu’on n’a jamais habillée, ni fait manger ou travailler ? Comment vivre dans un corps, un esprit étranger qui serait ‘’soi’’ tout en étant un inconnu de ‘’soi’’ ? Le vieux nôtre de ‘’soi’’, tout nourri de petits plaisirs, dans la béatitude de l’ignorance, des erreurs, des partis pris, de la perte du temps et des futilités. Un corps quasi virtuel, qui vit pour les quelques agréments de la vie, au milieu des pires problèmes, des exactions, de la fausseté et des excès. Sinon pour les nôtres, dans l’abnégation comme conduite, engourdis ou courbés, face aux besoins cruciaux ! Voire sous l’emprise des Satyres ! Ces tyrans et maîtres de nos chefs, qui usent de l’humiliation, cette arme des pervers et leurs sordides perfidies ! Allah yarham El Mehdi El Manjra ! Une arme masive, utilisée contre plusieurs milliards d’humains, qui est ressentie en pire, par les nôtres. Ces barbares, arabes et musulmans, que partout l’on hait ! Et qui font monter les enchères politiques et le poids des urnes des partis de droite en la douce Europe ! Vivre dans la jungle, en sachant ce que c’est vivre sous la bonne grâce de ces tristes sires, des fauves et de sombres rapaces, des brigands, des assassins, que l’on dénomme sans honte, les dirigeants de l’Humanité ! Seules leurs morts, telles une vengeance pugnace ou une justice immanente, viennent délivrer les plus humbles de leurs victimes et proies. Mamy tu y vas trop fort. Tu critiques ouvertement Mister Trump et son maître et complice Nathan. Ils ne vont pas aimer, ces sublimes et braves maraudeurs ! »
Par bravade pour 2017, je reviens au lit refroidi de ce lundi premier, me disant que ces bavards vont bien cesser de m’importuner. Et que je vais enfin pouvoir rêver de choses intimes, au-delà de toute pudeur. Mais, ces fantômes me harcellent. Je vous rapporte leurs dires : « Mme Student, nous avons fait ce qu’il nous semble être d’énormes progrès, techniques, neurobiologiques, psychologiques, etcoetéralogiques*. Mais toutefois, tout un chacun ne commande pas, ou presque rien de son propre corps, même pas le scatologique ! Sa biologie, sa circulation, le savoir-faire de son cerveau et de ses nerfs, sa réparation cellulaire, infime et moléculaire, sont largement au-dessus de sa conscience et de sa volonté ! Rien de ça mon bonhomme de corps ! Qu’en-est-il des esprits et des âmes, ceux des revenants et des fantômes, que nous sommes ? Tu y penses Docteur ? Toi qui es en vie un tant soit peu encore, sur cette Terre ! Damnée, pour le moins qu’on puisse en dire ! Nous ne savons presque rien de nous-mêmes, nous tes visiteurs, ô le dormeur ! Des revenants de l’entre-deux-mondes, comme vous dites, Docteur !
Maidoc, de mémoire d’explorateur, marin qui mieux est, je n’ai jamais vu comment les mers font naître les nuages. S’ils s’en évaporent ? Oui ! Ils sont pourtant là, été comme hiver ! Et qu’en est-il des sciences qui les étudient ou des facteurs physicochimiques qui les forment et les font tomber, en pluies à des milliers de kilomètres, de là et d’où ils sortent ? Et qu’en est encore du destin et du hasard ? Surtout, quand les formes de ces nuages se dilatent dans le ciel, si beau et si bleu, de ce premier jour de 2018. Selon quelles lois et avec quelles précisions que leurs dentelles se déchirent et détachent de leurs cumulo-nimbus ? Et, quand les nues larguent les bouts blancs cotonneux de leurs costumes et qu’ils s’étalent à la dérive…Vois-tu ces voiles de demoiselles pudiques, qui s’estompent derrière les grosses nuées teintées de rose? Elles s’effacent, comme par pudeur ou par faiblesses, devant-elles ! Arroser le jardin, par un jour d’hiver et répondre aux cuicuis de ces oiseaux, en leur jetant du pain, ça donne des idées qui approchent la simple observation et la réflexion du délire…Ou de Dieu. Délire mystique ? Tant ces questions, inattendues sont saugrenues, stériles et inutiles ! Poésie et mythes, ne sont plus au programme ! Inutiles, car ces mastodontes impérialistes, ces monstres bellicistes et ces anéantisseurs* n’ont en cure ! Pas plus que ces gouvernants effilochés que nous vivons ici depuis un an. Tels ces nuages qui passent et qui se déchirent, avant de se fondre sur le sol ! La terre qui les aspire où que ces rus ramènent des monts vers les mers. »
Un soubresaut pour pisser les liqueurs d’hier et je me rendors pour écouter encore ces misères, me dire : « Mm Student, mon amie, tentant de me souvenir de mes dîners des précédents jours, du nom des parfums qu’on m’a refilé, très cher, des livres oubliés pour en partager avec vous les souvenirs, je me suis mis à penser à ceci. Comment exercer mon corps, sa mémoire ou mon âme, à me souvenir de cette vie et de ce qu’on y fait lors du passage dans cette vie même. Et pourquoi que cette mémoire ne se souviendrait pas de ce que son corps ou elle-même, auront fait, si elle doit rendre des comptes, pour son corps ? Et quid de ses vies antérieures ? De ce qu’elles sont advenues et de que je serais, avec elles, encore ? Que dalle, ou pire avec cet Alzheimer !
Et pourquoi n’aurais-je qu’une âme ? Et que je ne serais pas plusieurs, dans plusieurs vies et en plusieurs corps ? Vous n’avez jamais pensé à cette réduction de ce que nous sommes ou de ce que nous devrions être ? Et cette vanité de se croire unique et qui plus est, si rare et si sobres ! En fait, si simple, si commun, tellement fragile et vénal ! Mortel et c’est encore, pire ! Que peut-on faire de bien extra, avec une seule âme et un égo, singulier, égotiste et si étroit ? Quasi virtuel, comme j’aime souvent l’écrire ! Le vent fait bouger l’arbre immobile et ses branchent qui respirent et palpitent. Elles dansent sous l’effet de l’air, le souffle étrange, le rythme et l’esprit, qui les aime, les arme et les anime ! »
Ainsi sont les âmes pour ces corps !
Les wallabies sont des kangourous !
Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 1er Janvier 2018
janvier 2, 2018 à 1:31 #354393DR IDRISSI MY AHMEDParticipantlouisa56 [ MP ]Aujourd’hui, 05:32 salam,magnifique comme d’habitude!merci de me régaler!
l’âme négligée erre et agis a sa guise,il faut la désavouer et l’exposer a sa turpitude afin de l’obliger a revenir dans le droit chemin,lui barrer toutes les issues qui poussent l’humain a se vautrer dans son orgueil et dans les plaisirs illicites ici bas! plus facile a dire qu’a faire,je le concède,mais avec un peu d’entrainement chacun peut s’améliorer,les religions ne sont que le fruit d’hommes avides de reconnaissance et de pouvoir,de tordus,malades et psychopathes qui veulent avilir les humains,la vérité est incontestablement unique,l’islam,la soumission AU DIGNE DE CONFIANCE,d’ABRAHAM a MOISE,ISSA ect….tous étaient muslims!soumis a un seul et unique dieu ALLAH
l’islam triomphera,nous le savons tous au fond de notre coeur de musulmans!janvier 2, 2018 à 1:32 #354394DR IDRISSI MY AHMEDParticipantjanvier 2, 2018 à 1:33 #354395DR IDRISSI MY AHMEDParticipantjanvier 4, 2018 à 11:11 #354396 -
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