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AMMAIS RECOMMANDATIONS AUX MEDECINS POUR MIEUX CONNAITRE LES MALADIES AUTOIMMUNES
Compte rendu de la 4ème journée de l’auto-immunité
Association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques
Compte rendu de la 4ème journée de l’auto-immunité
L’association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques (AMMAIS) présidée par le Dr Khadija Moussayer, spécialiste en Médecine interne et en Gériatrie a organisé le samedi 8 novembre 2014 à Casablanca sa quatrième journée de l’auto-immunité sur le thème ‘inflammation et maladies auto-immunes et systémiques’. Deux principales thématiques où l’inflammation joue un rôle central ont été au rendez-vous, la maladie de Behçet et la maladie périodique.
Dans les maladies auto-immunes, le système immunitaire se dérègle et s’attaque à l’organisme lui même. Il en découle plus d’une centaine de pathologies telles la polyarthrite rhumatoïde, le diabète de type I, la sclérose en plaques, la myasthénie, le lupus, le psoriasis. Un tout autre nouveau concept d’est dégagé ces quinze dernières années, c’est celui de l’auto-inflammation qui correspond à un dérèglement de l’immunité innée, la première ligne de défense de l’organisme.
Ont pris part à cet événement scientifique de nombreux spécialistes marocains et français, notamment le Pr Loïc Guillevin, président d’honneur d’AMMAIS et dont les travaux sur les vascularites ne cessent d’éclairer la communauté médicale. Son exposé a été axé sur les actualités des vascularites et sur la gestion du syndrome inflammatoire isolé.
La matinée a été en grande partie consacrée à la maladie de Behçet dont ses diverses manifestations ainsi que les nouveautés de son traitement ont été minutieusement passées en revue par Pr Bertrand Wechsler qui fait autorité dans ce domaine. La maladie de Behçet est une maladie systémique caractérisée notamment par des aphtes buccaux et génitaux, mais ses complications peuvent atteindre les yeux et le système nerveux central. Le Dr Hicham Ouazzani, biologiste à Casablanca, a souligné dans son propos l’importance des nouveaux marqueurs biologiques de l’inflammation dans l’évaluation de son activité et de l’efficacité thérapeutique.
Les fièvres héréditaires et leur chef de file, la maladie périodique ont été traitées sur tous leurs angles cliniques et thérapeutiques par Dr Caroline Galeotti, rhumato-pédiatre du centre de référence de ces maladies. La maladie périodique, encore appelée fièvre méditerranéenne familiale, est une maladie génétique autosomique récessive qui touche en prédilection les turcs, les arméniens, les arabes et les juifs non-ashkénazes. Elle est à l’origine, sans aucune infection sous jacente, de fièvres répétitives spontanément résolutives et d’inflammation des séreuses enveloppant les viscères.
Pr Ouafa Mkinsi , professeur de rhumatologie connue et reconnue, a finement découpé les manifestations extra- articulaires de la polyarthrite rhumatoïde et a en outre magistralement éclairé l’assistance sur la problématique de la fibromyalgie. Une maladie qui a connu de multiples rebondissements ces dernières années quant à son diagnostic et son traitement malgré les zones d’ombre qui y persistent.L’inflammation mal ou non maitrisée peut conduire au dépôt de ses produits dans les organes en particulier les reins appelée amylose. C’était tout l’objet de la remarquable intervention du Pr Ali Hda, interniste et membre du conseil scientifique de l’association.
Tout au long de la journée, un riche débat s’est engagé avec les participants. De précieux éclairages ont également été apportés par les modérateurs, les Dr Salaheddine Maaroufi, Pr Aziz Kharchafi, Dr Fouzia Chraibi, Pr Abdelhamid Mohattane, Dr Malika Benkiran ainsi que Pr Kenza Bouayed, dont l’intérêt aux fièvres héréditaires est reconnu.A la fin de la journée, un appel à la constitution d’une association marocaine de la maladie périodique a été lancé par des patients et leurs parents. Un diner de Gala a clôturé la journée avec la célébration de l’anniversaire de la 5eme année d’existence de l’association et au cours duquel, une convention de partenariat avec l’Association Marocaine de Biologie Médicale (AMBM) a été signée.
Casablanca, le 12 novembre 2014
DR Khadija Moussayer, Spécialiste en médecine interne et gériatrie,
Présidente d’AMMAISAssociation marocaine des maladies auto-immunes et systémiques
******************
Recommandations de la 4ème journée de l’auto-immunité
L’association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques (AMMAIS)
appelle à un plus large dialogue entre les différents acteurs sur les maladies auto-immunesL’association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques présidée par le Dr Khadija Moussayer, spécialiste en Médecine interne et en Gériatrie a organisé le samedi 8 novembre 2014 à Casablanca sa quatrième journée de l’auto-immunité sur le thème ‘inflammation et maladies auto-immunes et systémiques’. Deux principales thématiques où l’inflammation joue un rôle central ont été particulièrement examinées, la maladie de Behçet et la maladie périodique.
Les maladies auto-immunes découlent d’un dérèglement du système immunitaire qui s’attaque aux constituants sains de l’organisme. Elles sont représentées par plus d’une centaine de pathologies chroniques et parfois graves. On peut en citer la polyarthrite rhumatoïde, la spondylarthrite ankylosante, le diabète de type I, la sclérose en plaques, la myasthénie, le lupus, le psoriasis, la majorité des affections de la thyroïde, une grande partie des pathologies du foie, des muscles, des éléments du sang, des vaisseaux sanguins et du système digestif. Un tout nouveau concept a vu le jour récemment, c’est celui de l’auto-inflammation qui est déclenchée sans cause apparente à la suite d’erreurs commises par l’immunité innée.
Le Maroc est dans la sphère étroite des pays concernés par les thématiques débattues lors de ce colloque. La maladie de Behçet, se manifestant par des aphtes buccaux et génitaux et par une potentielle inflammation des yeux et du système nerveux central, touche en particulier les pays se trouvant sur le chemin de l’ancienne route de la soie. La maladie périodique, à l’origine d’une fièvre répétitive, touche en prédilection les arméniens, les turcs, les arabes et les juifs non-ashkénazes.
Parmi les principales recommandations issues des débats, l’association avec l’appui de ses différents partenaires, a indiqué qu’elle œuvrerait à :
– Améliorer le dialogue entre les biologistes et les cliniciens avec une mise en œuvre plus large de rencontres clinico-biologiques multidisciplinaires.
– Encourager la constitution d’associations de malades concernés par les maladies examinées pour mieux faire connaitre les maladies auto-immunes et systémiques dans notre pays et ainsi en réduire le coût humain et économique.Casablanca, le 12 novembre 2014. Dr Khadija Moussayer, Spécialiste en médecine interne et gériatrie, Présidente d’AMMAIS
AVEC LES COMPLIMENTS DE L’AAMM
ET DU DR IDRISSI MY AHMEDhttp://myasthenie.forumactif.com/forum
http://www.rezoweb.com/forum/sante/myastheniagravi.shtml
Posted by maidoc at 1:17 PMDe Kamal A Zaidi
Funérailles élégiaques.
’’Le miracle de la mort’’, ce titre esthétique,
Est un véritable poème et un brillant écrit.Les pleurs doivent vite sécher pour dire l’amitié,
L’admiration, la douleur de la perte et la sympathie,
Pour éviter toute honte au bon soldat Zaidi.Sagesse mystique, face au néant cruel,
Face au monde sournois des laudateurs,
Prédateurs, plaintifs escrocs et prédicateurs sans foi.Faux dieux, prophètes de malheurs,
Fausses prières, fausses démocraties,
Guerres sans nom, inégales et iniques
Islams à l’envers !Au moment ou la civilisation se déchire à l’envie
Et que les barbares se vengent d’être incompris,
Au moment ou les boues de sangs innocents
Grossissent les fleuves de honte et d’infamies…Face à la diplopie des cyclopes glauques,
A hauteur de leurs vues de nains bridés,
Offensés et trépignant d’audace immonde,
Les meurtres barbares nous livrent à la haine…Ignobles tragédies et prières faussaires,
Sombres fracas où les affameurs exultent,
Avant d’aller jouir de leur restant de vie.Au milieu des fracas et des actes abjects
Ce poème élégiaque, en vers linéaires, bel écrit
Au rythme des pensées et des égards indus,
Qu’on voudrait le traduire pour l’enseigner !Le graver sur les murs, de Berlin à la Chine
Des frontières barbelées et des camps prisonniers
Pour sentir la philosophie et au monde la révéler.Ou l’écrire sur un cylindre de prières,
Le tourner à l’infini pour louer le martyr,
Et d’hommages emplir le brave qui est parti.Tisser un tapis d’admirations, brodé de louanges,
Entre les étoiles du ciel et les nuages qui ont pleuré,
A leur manière, la propitiatoire victime du hasard !Réciter vos mots, ce miracle de la mort,
Ressusciter cet homme sinon sa conduite,
Pèlerinage ultime, suprêmes oraisons,
Avant d’en remettre à Dieu nos âmes
Et nos corps, aux insatiables bières.Votre écrit, Si Kamal, votre verve éclectique,
Aux lyrics vrais et au brillant lexique,
Méritent de couvrir Si Zaidi, de votre belle ode.Comme de vêtir d’un voile arabesque,
Aux versets coraniques, la Kaaba.
Ce temple cubique qui se dresse sur la Mecque.Ainsi voilé d’espoirs et de vœux, le saint édifice
Retiendra parmi les meilleurs des nôtres,
Le nom de celui qui de son vivant nous a honorés.Avocat, procureur et maître, sa fureur de vivre,
Fut une parade, un plaidoyer, une cuirasse.
Un combat face à l’injustice et aux malheurs.
Une vie de lutte, face à la mort et sans relâche.Il git là, sous le pont de l’Oued Cherrat,
Mortel augure, que ce pont des Malheurs.
Prisonnier, noyé dans son sinistre cercueil,
Asphyxié sans suaire, dans son fourgon tombal.Dans sa vie, que furent le parlement et le Parti,
Le brillant ténor, le jour de ses obsèques,
Brille encore de jeunesse et de mille feux.Et, c’est unissant en chœur, les bras et les pleurs,
De ceux qui hier, lui en voulaient à mort,
Que la Patrie par delà les aléas, célèbre son union,
Un altissime mariage pour la clémence et la vie.Dr Idrissi My Ahmed,
Kénitra, le 16 novembre 2014
En réponse à son billet » http://www.quid.ma/billet/miracle-mort/ «
KénitraCélébration de la Nuit des galeries
Publié le : 12 novembre 2014 – Driss Lyakoubi, LE MATIN
Celebration-de-la-Nuit-des-galeries.jpg
Les deux artistes au féminin ont enchanté l’assistance grâce à leurs coups de pinceaux magiques.
Les deux plasticiennes ont en commun cette quête du sublime et du raffinement. Elles ont aussi cette capacité à réinventer un figuratif qui laisse une grande part à leur imagination. Mounia Idrissi aime à qualifier son travail de semi-abstrait. Ses œuvres sont le fruit de son imaginaire foisonnant. Son inspiration est enrichie par cet amour qu’elle voue à la science (théorie de l’évolution) et aux différentes cultures populaires. À titre indicatif, «La spirale de la vie» représente la terre et la mer. Ce tableau foisonne de symboles de sciences et de mythologies anciennes, comme le hibou. Cet animal est reconnu en Grèce antique pour sa grande sagesse et sa vigilance. À la nuit tombée, son vol présageait chez les Grecs une heureuse nouvelle. Son silence le rendait de bon augure, son apparition n’était funeste que lorsqu’il chantait. Pourtant, Minerve prit cet oiseau sous sa protection parce qu’il l’avertissait la nuit de tout ce qui se passait.
La seconde œuvre de Mounia est basée sur une technique mixte de collage sur toile et de peinture à l’huile. Dans ce tableau figure une femme paon. La plasticienne souligne, à cet égard, qu’elle se sent attirée par cette technique de relief et de suggestibilité. Selon elle, la technique est tributaire du thème proposé. En d’autres termes, un artiste n’est pas obligé d’être prisonnier d’une seule technique ou d’un seul courant. Il consacre également une grande part de son travail aux coutumes marocaines et à l’architecture traditionnelle nationale. À souligner qu’elle a exposé ses œuvres, le 21 mai 2014, à la galerie Nadira de Rabat. Elle a également organisé une autre exposition, le 20 septembre dernier, à la salle d’exposition de l’hôtel Tour Hassan de la capitale, dans le cadre d’un congrès de l’amicale des dermatologues de Rabat.
La nature morte et le ballet sont les deux thématiques principales de Hanane El Kebir. On constate dans son travail ce souci pour le détail et la perfection. Ses tableaux consacrés aux ballerines sont un hymne à la grâce et à l’élégance. Sa technique de peinture à l’huile au couteau rend son travail plus attractif et éclatant. Depuis toute petite, Hanane était fascinée par le dessin, mais son arrivée sur la scène publique artistique date d’il y a à peine trois ans. Le déclic pour la peinture s’est produit à la suite de la disparition de son père. Cet événement douloureux a libéré chez elle cette grande énergie créatrice. Elle considère les arts plastiques comme une thérapie. «La peinture est une source d’apaisement et de tranquillité intérieure», souligne-t-elle en substance
Son arrivée relativement tardive à l’univers de l’expression picturale ne l’a pas empêchée d’évoluer et d’inscrire son nom sur la scène artistique nationale. À cet égard, elle rend un grand hommage à l’artiste-peintre Abdelhak Arzima qui l’a encadrée à ses débuts
Rappelons que Kénitra est l’une des villes marocaines les plus fécondes dans le domaine de la création artistique, notamment au niveau des arts plastiques. On cite à cet effet des artistes-peintres tels que Nouredine Fidali, Moa Bennani et Mustapha Naffi.
Favoriser la convergence entre artistes
Le ministère de la Culture organise chaque année «La Nuit des galeries». Cette manifestation artistique nationale a pour objectif de faciliter la communication, la convergence entre les artistes de différentes générations et de célébrer la créativité visuelle dans ses diverses expressions. Elle permet aussi la diffusion de la culture artistique auprès du grand public marocain. La «Nuit des galeries» offre également l’occasion pour les espaces d’art de faire connaître les créations artistiques des pionniers de l’art et des jeunes talents marocains.
– See more at: http://www.lematin.ma/journal/2014/kenitra-_celebration-de-la-nuit-des-galeries/212157.html#sthash.0YYlWQfK.dpufSujet: CRASSE EN MAL D ÉLÉVATION
Crasse en mal d’élévation.
Quelle gloire de voir avec nos yeux d’insectes et nos antennes de cafards moribonds cette immensité cosmique et ce bout ce Ciel.
Autant d’étoiles à travers les nuages doublées d’emblée par ma diplopie de limace et que vient sur-multiplier pour les confondre à donner le vertige cette injuste astigmatisme qui me confond en marge du rivageQuels ravissements nous emportent et quelle extase devant autant d’astres qui répandent vers l’infini cet univers…Ces milliards d’étoiles, vieilles de d‘années et ces milliards de milliards de bêtes, ces guerres ignobles et ces êtres damnés..Civilisation antinomique du pétrole pour avancer les hommes et des têtes coupées pour libérer les siens et se rapprocher …de quels dieux ?
Un spectacle époustouflant que ternissent les nouvelles. Une prière en une seule vision, depuis la création des êtres ! Une sagesse faite d’humilité et d’espoir pour ceux qui ont la chance encore de voir. De voir et de réfléchir, avant que nos os périssent. Avant devenir pour autant des fossiles blâmables et que nos chairs n’alimentent la terre ou les enfers de leurs funestes ripailles.
‘’Funé-railleries’’, torrides fantasmes et impudiques jactances ! Les gloutons de parmi les crocodiles autoritaires, tyrans de cette jungle de prédateurs excités, perdent beaucoup plus que les miséreux, avant de se ruiner en se soldant dans l’abîme létal de leurs somptueuses funérailles. Ils ont, les pauvres, beaucoup plus à perdre en mourant, que les misérables d’entre-nous qui tentent de vivre, âprement. Quel bonheur, en comparaison que celui des pauvres, de ne rien laisser à la mort leur soustraire. En dehors des guenilles et d’un squelette rabougri et sans moelle, inapte dans son inepte pauvreté à attirer les crocs des hyènes.
Je ne mérite pas cette humiliation, qu’est l’anéantissement. .Penses-tu ! Le pourrissement, les faiblesses, l’impuissance et la mort..Sauf que c’est la destinée…La marque de la fabrique… Je ne mérite pas cette disparition inutile, alors que j’adore Dieu et que je l’admire en Le louant dans mes prières. J’aurais pu lui servir, un peu mieux, encore plus et plus longtemps, si je n’étais pas fait comme un animal. Un humain subliminal, futile risible et dérisoire, issu par accident de la jouissance puérile de zombis, des êtres furtifs, des ombres en mal de paris charnels pour dribbler les Parques et vaincre la mort. Destin des limaces et des vers de terre, que cette conscience des hommes, qui veut les rendre supérieurs ! Et que je requière , Lecteur, en sachant la limite de mes espérances et la faisabilité de mes vœux !
J’aurais voulu tirer plus de sons et de mélodies de ma lyre, plus de rimes et de louanges de mes plumes, plus de clarté et de joies, que de libertés de mes ailes. De par mon zèle, je veux dépasser le terme injuste et infâme, et dévier de cette voie animale, afin de devenir, même sans plumage, un ange plus secourable et laudateur encore, à jamais auprès de l’Eternel. Puis-je changer les lois qui écrivent le destin ?
‘’Azur chimérique des puissances macabres’’…Chantais-je à 17 ans ! Ça me revient maintenant…Comme un refrain, qui a besoin de paroles pour composer un poème. Un vrai, un bon qui perce les cieux et le temps…Un chant de prières pour rassembler les hommes et les faire se pardonner.
Ça doit être un délire, l’un de mes des vœux pieux. J’hallucine, en rêvant de paix, quand je me vois soigner des bobos et d’apprendre que l’on tue par milliers ! Pour des différences de forme ou de formules dans les prières adressée au même dieu, et des barrières et des frontières terrestres entre les » bêtes » du bon dieu .Un ami m’a dit » ‘pourquoi traites-tu les bêtes de façon péjorative et injurieuse, en comparant les plus mauvais des humains aux animaux ?
Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra,
le 1er Moharram 1436, 26 Octobre 2014.
BONNE ANNEE A TOUS
» WA ETTINI WA ZAYTOUNI » .
ON ASSASSINE LES OLIVIERS A OUJDA
Les criminels botaniques et les ennemis des arbres ne craignent rien… Et pourtant une sourate du Coran, illustre l’ olivier , un arbre par lequel Allah fait un sermon !
Mieux je les défie de trouver un groupe de médecins , capables de délivrer une ordonnance médicale dans ce sens … Que les Conseillers du Roi informent Sa Majesté de ce crime …Stupide et gratuite connerie.
Et s’ils ont raison à Oujda , qu’on tue tous les oliviers du MAROC et qu’on arrache ceux qui produisent du pollen !
C’est ahurissant … Dommage pour Oujda de délivre un aussi affreux message à sa voisine…
Stoppez les ignares !
MERCI
Source : http://www.oujdacity.net/regional-article-95736-fr/« On ne dit pas au lion qu’il a mauvaise haleine »
Malgré cela vous l’avez fait sur cet article, M. Naïm Kamal. Je vous dis bravo et je vous suis et vous approuve en le réitérant autrement, ci-bas et à ma manière.
La loi de la jungle persiste, Tarzan, Moogly, les lions, les singes, les Africains ! La patrie de Lucy, cette une matrice mal connue, une contrée, qui a été revisitée par les explorateurs, les moines précurseurs et les écrivains voyageurs.
Cette découverte, une vivisection, a été complétée par les épées et les fusils des conquistadores pour être achevée par les militaires et leurs successeurs. Des espaces riches et vierges et des tribus, furent ainsi sortis de l’ignorance multimillénaire. Les terres furent vitalisées, surexploitées, des régions rasées, mais le côté humanitaire n’a pas manqué. On saupoudre de sucre pour attraper les…nigauds et s’attirer la sympathie des indigènes !
On ne colonise pas sans vertu. La brûlure coloniale laisse une civilisation, résiduelle et partielle, comme une cicatrice chéloïde. Des traces vivaces persistent même si les agents vulnérants semblaient partis. La séparation fut douloureuse, mais ce fut pour revenir, plus nostalgiques du passé, en y laissant frayer ses petits. Parce qu’on ne se sépare pas si vite de la fourrure d’une proie prédatée ou d’un vison offert pour mettre en valeur la crinière de l’aimée. Même si la peau est mal tannée, on garde la relique. On accroche la tête avec la crinière. Et les lions abattus, ça continue de donner de l’odeur et d’abriter des cancrelats, même s’ils sont haut accrochés, sur les murs des salons, à côté des photos et des fusils !
Nous sommes aussi les produits, vestigiaux et vivaces, de cette fatidique » haleine » européenne, qui a semé et essaimé. Une fantastique invasion où les mots ‘’empire’’ et ‘’colonies’’ n’étaient pas encore péjoratifs pour l’humanité.
On doit reconnaître et relever, quelque part sur les batards, les gênes parentaux de ceux qui, vini, vidi, vinci, les ont ancestralement violés ! Confère le passage de Zeus sur la belle Europe. Cette princesse qui subit le rut bovidé du père des dieux ! Je parle aussi des pays latinisés de cette même Europe qui doivent leur langue à Rome. Car, une grande partie de l’Europe fut envahie et conquise par les armées de Rome qui leur a laissé un bout de sa langue.
Une langue de quoi se délecter ! Mais pas seulement. C’est aussi leur esprit, jovial et franc, arrogant et querelleur, qui épiçant ce verbe nous permet aujourd’hui de leur crier dans leur propre patois, ‘’m…de’’ ! Ce et seulement quand, franchement, ils déconnent de travers à notre endroit. Oui, à ma manière, je dis au fauve que son haleine est fétide !Y a qu’à voir comment ils se comportent avec nous ou s’emportent, malgré l’interpénétration de nos intérêts et de nos cultures et autres conventions commerciales et politiques. Ils voient du feu, une atteinte à leurs privilèges et à leurs réserves, quand on s’approche, même pudiquement et religieusement, de l’Afrique. Ils refusent, par appréhension de leur ancienne lubie, d’être les témoins du dépècement du Maghreb, fait sur notre dos en partie. Ils taisent, en se faisant sournois et petits, nos droits sur nos terres du Sud et nos régions du Sahara. Un Désert, si largement offert à son ancien Département algérien, en cadeau de séparation !
Désolé pour l’usage de ces mots. Ce sont des remontées, des réminiscences runiques, d’un enseignement laïc et de certaines ingratitudes ! Et ça aussi, ça sent les remugles culturels et les passions ombiliquées.
Oui, à ma manière, je dis au fauve que son haleine est fétide ! Et vos éditos sur le Quid.ma, comme hier ceux de votre chronique d’hier,’’ la Puce à l’Oreille, nos ont permis de nous faire une opinion et de nous exprimer.
En réaction à votre :
« Mais semble-t-il, selon un adage du bon sens populaire de notre région, on ne dit pas au lion qu’il a mauvaise haleine. »
In : « L’Occident, Da’ech et nous » :
Sur : http://www.quid.ma/billet/loccident-daech/DR IDRISSI MY AHMED, LE 02 OCTOBRE 2014
