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15 réponses de 526 à 540 (sur un total de 71,542)
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  • #280866

    En réponse à : cheb bakr (lihoudia)

    houmidi59
    Participant

    Cela concerne toujours la chanson : lihoudia cette fois chantée par cheb lhbitri

    http://www.youtube.com/watch?v=c9ajQL0DcG0

    Une autre chanson toujours lihoudia
    Régale-toi
    Tu n’auras pas cette occasion

    http://www.youtube.com/watch?v=wYJfUdMvMH0

    #280865

    En réponse à : cheb bakr (lihoudia)

    houmidi59
    Participant

    Salut Compitieux; j’espère que tout va bien avec le Ramadan et les vacances d’été
    Voilà ce que tu cherches

    http://www.youtube.com/watch?v=ibU82nEa0wA

    #222967
    Anonyme
    Invité

    bonjour jai un compresseur de 200L ref difair V204710 achete depuis 13 mois il narrive plus a compresser , la petite soupape en sortie du cylindre crache en permanence pouvez vous mexpliquer son role , jai debranche les deux sorties et la les cylindres ont lair de compresser il y a bien une aspiration mais des que lon rebranche les deux cylindres ensemble il y en a un qui n a plus daspiration , jai regarde les clapets rien me semble anormal avez vous une idee ? pouvez vous menvoyer vos commentaires a cocajcyahoo.fr

    merci

    Anonymous
    Membre
    Anonymous
    Membre
    #280673

    En réponse à : SPECTRES DE CAUCHEMARS

    Anonymous
    Membre
    #207064
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    LE COMBAT DES TITANS

    Le « réalisme onirique » nous sert de référence identitaire et d’ancrage dans le passé. Entre les arcanes des démons et les visions des caïmans, il n’y pas de place pour incrédules ! La culture populaire fossilisée, est un zoo vivant, un fabliau plein de sentences. Les images affichées, sont un symbole édifiant, un diagnostic en une langue claire. Tout un programme est véhiculé par la faune usitée dans l’imagerie populaire, depuis Esope le grec, l’hindou Bidpay et le perse Saadi.

    Assagis quelque peu, les trublions d’hier sont devenus les mentors d’aujourd’hui. Des leaders aux bons mots pour leurs admirateurs, des dealers qui commercent des invectives virulentes et négocient des sentences épicées, pour leurs détracteurs. La seule façon pour eux d’édifier les électeurs est de leur livrer des anachronismes culturels en épatant de leur cinéma, pensent-ils !

    Les nôtres sont empesés dans la poix culturelle, empêtrés dans la nuit schizophrénique qui les inhibe dans leurs perplexités. Les racines arrachées, le tronc courbé, leurs branches repoussées par les bises du Nord. Dépouillés, dénudés devant les ouvertures éclatées, les pieds cimentés dans le passé, leurs yeux torves sont sur l’avenir figés. Subtilement, mais inconsciemment, les gens comprennent, tout en restant dans le doute sur les hommes politiques, leurs inspirateurs et leurs programmes. Le votant basique les étiquette sur la base de leurs travers antérieurs et leur éthique volage, à partir des symboles électoralistes. Comme sur ces caricatures, ces objets de bazar tristes, qui les représentent auprès des électeurs, infantilisés et agacés. Les flyers électoraux en décorent les rues. C’est tout ce qui reste du civisme et des serments, jusqu’aux rendez-vous suivants avec les urnes citoyennes !

    Des images péjoratives, tirées des djinns bibliques et des monstres orientaux, surgissent, dialectalement évocatrices. Elles s’ajoutent aux labels avariés, comme des avatars séniles, des qualificatifs indignes de ces  »icônes », ces candidats maladroitement hissés !

    Les cryptes cachent des dragons repus et des serviteurs blasés. Les songes du passé surgissent de leurs rêves éveillés, éclaboussant les zombis ahuris. Qu’ils soient républicains ou libéraux, les chefs sont devenus des illuminés mosaïques. Pour un peu les vrais prophètes vont se syndiquer ! Leurs visions fantasques, aux référentiels glauques, sont servies sur le tapis d’une mystique lunatique. Les aborigènes seraient encore crédules et si fidèles au passé. Des instructions, aux allures messianiques, imposent les nouveaux élus, des vengeurs aux yeux des zélateurs. Le peuple des électeurs est agenouillé loyalement devant ses nouveaux messies. Des commandements surgissent des monts, comme s’ils venaient du Makhzen ou d’Allah. Voici vos ministres, vos envoyés et vos pasteurs…

    Ce qu’il nous reste de légendes sur nos cultures antiques et de nos bribes de nos civilisations passées, leur sert d’artifices pour conquérir les zélotes. Leur cœur, leur compréhension, leurs espoirs et leurs pensées d’électeurs sont magnétisés. Les affidés sont assujettis aux espérances de nouvelles élections, servant tour à tour de garanties et de menaces, pour marcher à la demande de leurs séides et au besoin de manifester. On devine, on sait, on prétend, on intimide par la force des bravades ! Le peuple ainsi vacciné, veut des élections, une constitution nouvelle. Barra le système et que vivent les nouveaux messagers ! Que des vœux et des slogans !
    Ici et là, dans les berges opposées qui s’affrontent sur l’Oued, pour faire peur et avoir raison, on agite le spectre du Printemps comme si on avait les ficelles de la rue et les cordes des pantins ! Ces jeunes marionnettes férues de Facebook et d’Internet ! Finis les awbaches éméchés, finie la baguette symbole ambivalent de la paix sociale et du pouvoir, si cher à si Driss. La mascotte est prête? On prêche sur les PC.
    C’est un cheval de Troie en marche sur le Pouvoir pour sa conquête. La Kasbah s’est pourtant ouverte et c’est sur le beffroi qu’ils clament et fulminent des menaces ! Le Printemps est réquisitionné. On l’adopte comme ouvrage. On s’en empare ou on le parasite, c’est une mode, un mode de gouvernance, à la sauce partisane ! La pagaille effrontée hooliganise les marches, après les casseurs, les subversifs en tous genres, les manipulateurs infiltrent les jeunes. C’est logique et clair. Ceux qu’on casse et que l’on case. Qu’on place ici ou là pour faire de l’ordre, ou qui après avoir été hissés, on les casse. Les icônes disparaissent après usage. On les fait fondre…dans le paysage. Révolutions blanches ou fleuries, les Marches bouffent, elles aussi, leurs petits.
    Amen ! Mais en cas de succès, après toutes ces élections que nous avons vécues, elles ne donneront que les mêmes hommes, asservis aux mêmes rites et programmes. Car les principes de base et l’idéologie majoritaire, conservent au pays ses paradigmes et parades millénaires. La constitution est stable malgré ses variantes affables et conjoncturelles. Quitte, pour plaire et évoluer, de la requinquer par moment. L’appliquer de but en blanc, est une autre affaire ! Le cuivre n’a-t-il pas besoin d’être frotté pour briller ? Même si c’est d’ors et d’argent, de pouvoirs et de privilèges que l’on parle ! Evoluer en douceur, comme le recommandait Sa Sémillante Majesté, Hassan II, et à doses homéopathiques. Vaccinantes, ajouterais-je, aujourd’hui !

    Les programmes électoraux restent de ce fait, sensiblement les mêmes. Que ce soit durant les libéraux, les démocrates ou les socialistes, qui ont accédé aux différents gouvernements. Puisqu’ils se devaient tous de composer pour travailler, raisonnablement assagis, en groupe sous la même férule. Et d’en respecter, de façon vitale, les mêmes obligations. Obéir aux mêmes symboles comme horizons sublimes et aux mêmes garde-fous, comme valeurs identitaires ! Face à l’aventurisme et ses poussées telluriques de fièvre guerrière civile. La paix et la quiétude de tous, l’évolution et les progrès, sont à ce prix. Compromis pour les uns, compromissions pour les plus durs !

    Seulement, que coûtent les révoltes au peuple comme sacrifices, au pays comme destructions et à la nation comme antipathies et déchirures ? Même si après des millions de morts on décrète la paix. Qu’apportent-elles finalement ces guerres civiles ? De la Bosnie au Ruanda ! De l’Irak à la Lybie et jusqu’en Syrie. Ce qu’on voit ailleurs et ces morts inutiles, entre arabes, entre musulmans, entre citoyens de tribus diverses des mêmes pays…Ne sont-ils pas une menace négative et le degré zéro de l’humanité ?

    N’importe quel gouvernant doit aimer plus que soi son pays. Mais les formes de l’amour sont subjectives. Chacun l’aime selon ses critères et selon les paramètres dont il a la mesure. Le prisme de sa vision est fonction de la lumière qu’il perçoit comme informations sur le peuple et sur ses adversaires, leurs moyens et ses défenses, les menaces et son immunité, ses risques potentiels et ses protections éventuels. Seulement la réalité est sujette aux erreurs, aux impondérables, et aux hasards des manipulations des clans adverses. Fuite, reddition, poursuite et chasse et rarement jugement. Et si ce ne sont pas les balles perdues des rebelles et des mercenaires, c’est la corde ou le ciment qui ont été réservés aux tyrans d’Afrique et du Moyen-Orient. Chassons ces images loin de chez nous et de notre esprit. Nous avons la baraka et l’exception et encore beaucoup d’amour et de respect entre-nous. Ce qui doit nous aider à progresser et nous rassurer. Encore faut-il qu’on reste sous le parasol de nos amis, loin des manipulations exogènes et des subversions qu’elles peuvent distiller.
    Vivement alors les progrès pacifiques et la volonté réelle de se corriger pour changer en mieux, pour le bien ultime de tous. Pour toutes les tranches sociales et les classes de ce pays ! Pour demeurer dans les avancées et les défis, l’un des parangons de la région, car on ose l’affirmer. Comme pour montrer et démontrer, s’il le faut encore, l’indispensable et incontournable besoin de rester en légitime monarchique. En régime parlementaire réel, et ce qu’il le faut ! Mais pour ces avancées dans la séparation des pouvoirs, il faut, il manque de vrais parlementaires, des hommes de métier suffisamment formés en droit. Non pas les bailleurs ennuyés, les spectateurs de halqa, ou des dormeurs de la caverne. Ces fossiles qui laissent l’évolution de la cité, celle de la nation, se faire sans eux !

    Les citoyens, pacifiques par essence, souvent humbles, crédules et avenants, rassemblés par la peur et les menaces, s’unissent par la phobies du vide et la haine du sang qui gicle entre frères. Ailleurs ou juste à côté. Seulement, ils sont désorientés, perdus entre près de 40 partis, préfabriqués ou factices, aux symboles distinctifs, mineurs, mesquins ou burlesques. Des repères équivoques qui leurrent les gens sur des différences aléatoires et factices.

    Je crois qu’il faut commencer par là et que c’est indispensable pour commencer à réfléchir et pour travailler plus sérieusement le pays. C’est appel est un devoir pour toute cette panoplie composite de partis qui sont conviés à s’unir pour persister. Se fédérer pour se renforcer et pour recueillir l’adhésion des jeunes. Réveiller les grévistes de la politique, de tous les milieux, par nationalisme et par esprit de démocratie, afin de mieux encadrer la vie politique. Sans attendre les batailles de foire électoralistes, pour s’inventer des slogans de cérémonie. Se fédérer enfin, sur des programmes solvables et réalistes, afin de regarder sans complexe l’avenir, avec mérite, assurance et dignité.

    Car cette foison de partis, qui parasite l’atmosphère, nous dessert. Elle fait fuir les votants par les perplexes complications programmatiques et identificatrices que leur nombre faramineux installe. Elle évince les citoyens du jeu électoral. Ce qui de fait, détruit la démocratie, en privant les gens de la possibilité du choix raisonné ou de la logique des votes. Un état de la chose, qui faute de la pleurer, peut justifier qu’elle soit risible et sinistrée. La schizophrénie rend cyniques et déprimés, les gens qui hésitent.

    Pire, avec le ventre nu dont nous a amusé untel, sans respect de l’assemblée ni des électeurs qui fixent le spectacle sur leurs télés, ce n’est le simple leader que l’on moque ou que l’on rit, ou le parti qui le supporte. C’est le pays entier qui force la dérision, l’absence de sérieux et l’irrespect des nations qui nous méjugent et nous attendent dans le cadre des investissements potentiels ou des grands conflits. Imaginez une femme qui eût fait l’objet de cette scène. Les érotiques défonceuses du Femen en seraient amoindries, dans leurs provocateurs effets. C’est vrai qu’on a vu ailleurs des parlementaires en venir aux mains. Mais, ce n’est nullement une excuse ni un critère.

    Avec des chefs de cette carrure, décriés s’ils ne s’insultent pas face à face, devant le peuple indisposé…On est éberlués ou plutôt comme le bon peuple, épatés. Ça, chez-nous ? S’étonnent les uns ! Pourquoi s’en priver, des bons mots de notre Benky ? On a fait des progrès ! S’il amuse le roi, pourquoi pas nous ? De bon cœur, je dirais oui ! Le politique est un être naturel, sans complexes, libéré chez-nous ! Oui, il sort de sa gangue, il réagit ! Et si ça donne parfois des minauderies et du style, ce sont souvent des approches grossières, mensongères ou ridicules. Peu importe ! On est là pour leur pardonner ! On en a entendu et vu de ces des vannes ! Des sorties bonnes à jeter aux orties. Pour faire fortune pardi, puisque les cactus et l’agave, leurs huiles sont bonifiées par la mode et dans l’aire.

    Nature paradoxale, qui relève du même imaginaire fantasque ! Dans le monde, il y a des cactus ! La chansonnette est dans cet air-là aussi. Les jeux de gosses qui s’étranglent lors de puérils combats de titans, sont au programme. Faites vos jeux et pariez ! Prenez vos tickets de ciné pour aller voter. Ils arrivent, Zorro, E.T. et les 3 mousquetaires ! Ou les 7 mercenaires ? Au fait, où sont passés les salles de théâtres et de cinéma ? A la télé ? Oui, vraiment !

    Oui, c’est indéniable, on apprend tous la Démocratie. On fait des progrès et on en attend encore. La pulsion vient d’en haut et c’est la base qui soutient le sommet de la pyramide ! Que l’Olympe nous comprenne enfin ! Sinon, nous demeurons résignés. Mais jusqu’à quand ? Jusqu’où la tige du bambou peut-elle résister et encore se courber pour supporter le poids de celui qui la monte ?

    Les amendements cosmétiques, les déviances adroites, les progrès, ça ne vient pas suffisamment vite, pour combler les retards importants, les exigences locales et plus stressantes de l’extérieur. Ni leurs demandes itératives et insistantes de meilleure gouvernance, qui hypothèquent toute reconnaissance franche de nos dossiers et autres formules de coopérations et d’entraides. A l’horizon, ces requêtes aspirent à plus de dignité et de justice, sur la voie des droits de l’homme et de la modernité. Entre les volontés disparates, les éléments de stagnation et de retenue, les coups bas et les sabotages, les criques de résistances des hommes du pouvoir et des nantis, existent et pèsent de leur poids. On les comprend, car ils veulent garder les privilèges, les excès et la mains sur les extrs.

    Et là, on appréhende mieux le besoin de faire usage en politique des fables de La Fontaine ! Les contes et les fables sont faits pour édifier les hommes et les rendre plus adaptés, plus alertes et plus intelligents. On admet du coup et un peu mieux, les allégories zoologiques et les forces démoniaque, citées dans les hâbleries de Benky ! La diatribe est vivante, le peuple est sauf, puisqu’il sait s’amuser, des diableries et de ceux qui les colportent. De façon inattendue, sympathique ou saugrenue. Car c’est le langage du Peuple et il lui est éminemment adapté.

    Mais ce tango des entités, cette valse entre les plus aisés et les plus blasés, ces démissions et ces fractures, pour rien ou pour si peu, sous le regard des aigris et des outragés, est d’une cacophonie lamentable. La palette est d’une confusion affligeante. Qu’allez-vous faire les amis, de plus ou de mieux? Voire de pire, dans l’opposition ? Ou pour d’aucuns, dans leur retour aux affaires d’Etat, dans une cabine de commande disparate, où il y a la mêlée, les hors-jeux, les suspensions, sinon la chute du panier dans cohue ! Ça ne nous est pas étranger, de voir des compétitions perdues, mais si on a raté souvent les coupes, il y a tellement de matchs à préparer !

    Dr Idrissi My Ahmed
    Le 22 Juillet 2013

    #207870

    En réponse à : taourirt pas de changement

    Anonymous
    Membre

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    #207063
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    BOUCHES COSMIQUES SPATIO-TEMPORELLES

    Flux et marées,
    Etincelles d’étoiles sur les rives
    Sur le sable, sous le vent,
    Passerelles vers l’inconnu,
    Se bercent et se versent
    Les rivières de diamants.

    A l’orée du visage,
    Devant la porte écarlate,
    Qui leur sert de buse et d’auvent,
    Valsent les parfums…

    Et se mélangent
    Entre l’espace et le temps.
    Dans le cratère de l’abîme
    Et les vallées du ravin.

    Barrées de perles canines
    Fenêtres vers le vide,
    Eclats dans le son,
    Les vagues s’éloignent des rives,
    Pour se noyer dans l’océan.

    Dans la bouche, qui leur sert d’issue
    D’exutoire et de prémisses,
    De puits, pour fuir leur prison,
    Elles coulent vers le néant
    Plus fières que le sang.

    Et devant l’Eden
    Aux sept portes du ciel ouvertes
    Palpite, tremble et tourbillonne
    Le meilleur de nos éléments,
    Pour partir, en sueurs,
    Dans la transe en giclant.

    Dans l’absurde et le vide,
    Sanctuaires eternels,
    Repos du guerrier,
    Fragiles et futiles,
    Ivres de rêves oubliés…

    Les parcelles de vie,
    Recyclées et absurdes,
    Chantent en échos
    Et ricanent en valsant.

    Entre les plis qui trémoussent
    Et qui dansent en s’effaçant,
    Convergent les eaux
    Pour se frayer un chemin,

    Afin de jeter en obole,
    En offrande ou en sacrifice aux dieux
    Leurs bulles, effervescentes,
    Evanescentes et chaudes,
    Entre l’azimut et le néant.

    DR IDRISSI MY AHMED
    Kénitra, le 22 juillet 2013

    #262977

    En réponse à : lycée abdelmoumen d’Oujda

    Anonyme
    Invité

    Bonjour tout le monde,
    Quand j’ai intégré le lycée Abdelmoumen j’avais moins de 12 ans et c’était en octobre 1966. Quand j’ai quitté le lycée en juin 1973 j’en avait presque 19. Je dois donc à ce lycée, et surtout aux hommes et aux femmes qui étaient derrière, une partie cruciale de ma formation; C’est là que j’ai tout appris avant d’aller vers d’autres horizons. En juin 1986, et à l’occasion d’une très brève incursion au lycée et malgré les petits changements opérés alors, je reconnaissais toujours le lycée Abdelmoumen d’antan. En novembre 2012, j’ai décidé avec un ami, lui aussi ancien Abdemoumnard, de faire une visite au lycée…là je ne l’ai plus reconnu. Que de changements ! et malheureusement en mal !!
    Quand nous nous sommes présentés devant la porte principale, personne n’est venu nous demander ce que nous cherchions. Les élèves entraient et sortaient librement par cette porte, autrefois réservée aux seuls professeurs. Je suis arrivé au moment de la récréation et quand la sonnerie de la reprise a retenti, la cour était toujours pleine d’ élèves qui ne montraient aucune hâte à rejoindre leurs classes. D’autres attendaient devant le bureau du Directeur; Dans le temps, les problèmes des élèves trouvaient leurs solutions au niveau des répétiteurs et si on arrivait devant un S.G. c’est que le cas est vraiment grave. Chacun faisant sont travail alors qu’actuellement, et dans tous les établissements, on ne sait plus qui fait quoi !! La dégradation des lieux m’a fait mal au cœur; Le réfectoire, qui était autrefois une salle polyvalente et qui avait de grandes portes vitrées qui s’ouvraient sur la cour, se trouve maintenant « muré »; Une vraie catastrophe.
    J’ai constaté également la disparition d’un bloc de salles là où j’avais fait ma 2e A.S. en 1969 avec Mme PATIN et M.LOUDIYI…Les deux arbres géants ( Btom) qui se trouvaient devant ce bloc n’existent plus. Comment se fait-il que les anciens bâtiments construits dès 1945 tiennent toujours alors les plus récents commencent à disparaitre ??
    Ma seule consolation fût de visiter la salle où j’avais fait ma classe d’Observation en 1967 dans le bloc restant, elle est si petite alors que je la croyais très vaste, j’en étais très ému. J’ai pensé à mes professeurs d’alors: M.VINCENSINI (français),M.TALHAOUI (arabe),M.MARECHAL (math)…
    Dans le temps, il y avait au lycée une infirmerie et une infirmière-stagiaire répondant au nom d’Amina.
    Que de changements !!!
    Si ce lycée doit être un jour rénové, j’espère que l’on tiendra compte de son passé en tant que patrimoine et non seulement en tant qu’établissement scolaire.

    Najib

    Anonyme
    Invité

    Salamou alaykoum à toutes et à tous dans ce forum,

    Je suis très contente d’avoir vu que certaines personnes parlent des Tmimi (en arabe (التميمي)) dans ce Forum, puisque je fais parti de cette belle est grande famille. Cependant, certaine pendules doivent être ajustées comme on dit par chez-nous.

    Premièrement, les Tmimi sont descendants de Chourfa el adarissa mais plus précisément des banou Tamim qui sont descendents de ahl el bait descendance direct du prophète Mohammed (SWS). De plus, je réponds directement aux propos de M. Hassani Nassreddine. Notre famille n’a jamais eu quelques prétentions et surtout d’utiliser sa position pour arriver à ses fins. D’ailleurs, dans notre éducation nos parents nous apprennent très jeune d’être modeste, humble et être à l’écoute de son prochain, car C un devoir de le faire étant donné qu’on doit suivre ce que notre bien aimé prophète Mohammed (SWS). Pour aller chercher la chajara de notre famille il faut aller plus loin que l’époque des adarissa.

    Personnellement, j’habite en Amérique-du-nord (j’ai grandi au Maroc jusqu’à l’âge de 8 ans à Oujda) et franchement je connaissais déjà l’histoire de notre famille et le tout C encore plus confirmer lorsque j’ai rencontrer des gens qui connaissent très bien la descendance de notre bien aimé le prophète Mohammed (SWS). Et détrompez vous les Tmimi sont nombreux par juste au Maroc mais dans les pays arabo-musulmans entre autre Palestine, Doubaï, Aboudabi, Arabie-Saoudite, Irak (première terre d’exile pour notre famille une fois que Ahal el bait ont été chasser de la Mecque et de Médine), etc.

    Le problème dont il est question est en lien avec le vol de terrains par certaines personnes sans vergogne que je ne nommerai pas. De plus, on a jamais fait usage de notre position, car si on l’aurait fait on ne serait pas entrain d’en parler. Mais nous privilégions la voix de la justice et non pas de la position ou l’usage de la force comme certains marocains sembles utiliser sans aucun soucis.

    Je vous demande M. Hassani Nassreddine avant de pointer du doigt les gens que vous ne connaissait pas il faut mieux se taire. Et si vous voulez parler alors faites-le vous êtes libre de le faire mais de grâce faite-le avec respect sinon ne dites rien et n’oubliez pas que le prophète (SWS) a mis en garde ceux qui mal traite Ahl el bait par leurs paroles, gestes, écrits.

    Avec tous mes respects.

    #232475

    En réponse à : Recherche Developpeur Web

    Anonyme
    Invité

    je recherche un pignon entraineur de tronconneuse Mc culloch 849, si vous connaissez un magasin de pieces d’ occasions ou neuve merci d’ avance car j’ ai fait des tas de magasins sans succs et cette piece est impossible a trouver

    #232853
    Anonymous
    Membre

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    #233383
    Anonyme
    Invité

    Je m’excuse, mais cette variante ne me convient pas. Qui encore que peut souffler ?

    #207062

    Sujet: TANGO POUR UN AVATAR

    dans le forum Débats
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    TANGO POUR UN AVATAR

    Un ange et sa lyre, aux plumes qui riment,
    Du haut des nuages sourit aux éléments.
    Je veux acheter cette fresque sublime,
    Œuvre de Dieu, destinée aux seuls rois !

    Tableau vivant, qui parle et qui aime,
    Qui chante et qui danse en riant.
    Mais je n’ai ni force ni voix ni argent,
    Pour te ravir et dire au régent
    Harbach, sir bhalek, va-t-en !

    Sans voix, qui puis-je élire comme sultan?
    Mon luth s’est éteint et mon violon
    A cassé ses cordes depuis longtemps.
    Mon corps étique et ma flute livide
    Ont perdu leur souffle d’antan.

    Et le chef d’orchestre, rendu fou
    Est parti comme un dément,
    S’il ne se pend dans le fracas
    De tes sillons en se lamentant.

    Chœur de déesse aux charmes ardents
    Ta jeunesse brille, Circée, de belles dents.
    Tu changes en pourceaux les hommes
    Qui te désirent et t’admirent,
    Et en sirènes, les reines et leurs démons !

    Tes joues de lumière embrasent le soleil
    Tu défies le ciel de ton front étincelant.
    Le croissant de lune s’étire et s’efface
    Pâle devant la morgue de ton menton.

    Méduse, quand tu secoues tes mèches,
    Ton haleine aux parfums d’éden
    Jaillit de tes boucles d’ébène
    Et tu paralyses celui qui t’entend
    Tuant d’envies folles le mâle qui te sent

    De ton cou de marbre opalescent,
    Des vagues de verdeur roulent sur les flancs
    Du bateau ivre au mât vacillant.
    ô princesse sort tes voiles maintenant
    Et vogue au loin en m’emportant !

    Bercé par ta vue, je croule littéralement
    Asphyxié dans le vertige des vagues
    Qui déferlent et me hissent, ô misère,
    Jusqu’aux courbes taboues du firmament.

    Dans les vallées de ton Olympe d’airain
    Tes dunes diaphanes, en torrents bouillonnants,
    Ivres de rosées suaves et de givres salins,
    Cascades d’ambroisie et de nectars
    Inondent de sueurs les replis de tes reins.
    Pour que me prives-tu de mes aliments ?

    ô privations, ô miracles, ô détresse des saints !
    Mais qui donc est ton prince, Déesse,
    Ou ton Cerbère pour m’ignorer autant ?

    Tes divines ondées giclent en glissant
    Sur le mont vénusien de tes printemps
    Rien ne reste pour inspirer tes aèdes,
    Tu as mangé tous tes amants !

    L’âme et la vie, le bonheur et le temps,
    Réaniment d’espoirs mes souvenirs de manant.
    Enserrées de tabous; tes méninges closes,
    Exilent au néant mes fols entêtements.

    Appendus à tes lèvres, lié au serment,
    Attaché comme Ulysse à l’artimon,
    J’espère le privilège de tes châtiments !

    ô cruelles épines serties de piquants,
    Où sont les perles où sont les diamants ?

    Roses en bouton, cactus ou asphodèles ?
    Orchidées, tulipes, œillets, clivias,
    Amaryllis, dahlias, Eve ou Zahra ?

    Une fleur coupée ne saurait durer tant,
    Quelle que soit l’élue déifiée qui la sent !

    Mais tu n’es qu’une image de légende,
    Un mirage pervers, osé et turbulent,
    Bonne à te jouer du barde et de sa raison,
    De ses bouquets fleuris et gluants sentiments.

    Un jour mes vers te sortiront de la fiction.
    De ton harem, de ton jeûne, de ton ramadan,
    De l’écran obscur où zappe ton avatar d’aura.

    Et je te donnerais ton esclave Bassou,
    Comme illustre amant pour te délivrer
    De la tombe cynique ou tu te plais tant.

    Dr Idrissi My Ahmed

    Kénitra le 11 Juillet 2013

15 réponses de 526 à 540 (sur un total de 71,542)
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