Résultats de la recherche sur 'ALGERIEN DU MAROC'

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15 réponses de 436 à 450 (sur un total de 535)
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  • BOUAYED
    Membre

    بسم الله الرحمان الرحيم و صلى الله و سلم على سيدنا محمد و على آله وسلم تسليما
    Mr Ouartassi, je vous dois absolument une réponse avant que je voyage InchaAllah.
    Rassurez-vous, je n’ai aucun problème de fond avec Mlle Barkanita. Ce qu’il y avait c’est que je ne voulais pas que telles remarques désobligeantes proviennent d’une Chrifa (Wartassia). Mlle Dahlia a bien accusé le coup avec une cetaine finesse en répondant qu’il s’agissait bien du bon topic en ce qui concerne la première question posée par Mlle Barkanita et en détournant la conversation pour ne pas évoquer ce qui suivait. C’est très judicieux pour sa part, tel un hôte qui essaie de mettre à l’aise un invité mécontent.
    Mlle Barkanita a eu tout de même une réponse correcte émanant d’une personne posée et bien éduquée, je l’en remercie. Je lui exprime toute ma sympathie et bien venue parmi nous.

    Vous avez bien suivi tout ce qui a été dit dans ce topic et dans d’autres et vous avez vu la manière avec laquelle certaines personnes traitent les chorfas. Insultes, provocations et humiliations et cela a touché pas mal de personnes qui se sont branchés sur ce site qu’ils soient marocains, algériens, libyens ou autres et même certains arabes de la région (lamhaya ou des angads) et c’est intolérable. Comment voulez-vous qu’on puisse discuter normalement avec des gens qui ne respertent pas les déscendants du prophète et les arabes.

    Vous avez constaté, comme je l’ai expliqué dans un post de la page 5 que mon intention au début c’est de faire cette découverte sur les Idrissides et que je n’étais obligé de faire citer les hadiths du prophète que bien après pour voir la réaction des gens (les croyants jusqu’où ils peuvent tolérer cela et les impies jusqu’où peuvent aller avec leur arrogance)

    Et puis Ahl Elbait au Maroc ce ne sont pas seulement Les Idrissides mais il y a pour les Hassaniyines les Alaouites et les Kadiriyines aussi les Houssainiynes et on en parlera InchaAllah.
    Le cas des Idrissides est un peu particulier car leur mère (Kenza) est Berbère de la tribu des Ourabas du Moyen Atlas et qui ont aussi pour les déscendants des mères berbères d’autres régions du Maroc, dans l’Est marocain (Benisnassen, Rif, Figuig, Zouaoua en Algérie…) et partout dans d’autres régions du Maroc. Notre tribu Ouled Sidi Ali des hauts plateaux vivant à proximité d’autres tribus arabes(Beni Guil, Beni Mathar, Lamhaya, Oulad Sid Cheikh,…) considérées par certains comme des barbares venant foutre la pagaille au Maroc danse dans ses fêtes Ahidouss en prose Arabe comme leurs oncles berbères du Moyen Atlas.

    Je ne voulais pas au début faire de ce sujet un débat arabo-berbère entre Idrissides et ce que certains veulent appeler Amazighs jusqu’à ce que quelqu’un ou deux en fait viennent me dire qu’on devrait les remercier pour leur HOSPITALITE (C’est malsain et un manque de savoir vivre et de respect pour l’autre).
    Si on doit parler de l’Histoire, on n’oublie pas ce qu’a fait Attaghia Moussa bnou abi Alafia, émir de Meknassa qui a voulu exterminer les Idrissides à partir de 313 de l’hégire. Il a massacré les Idrissides dans toutes les régions du Maroc. A Fes il en tué énormément jusqu’à ce que l’Oued de Fès fut appelé « l’Oued Rouge » vu l’mportance des flux de sang des Chorafas Idrissides tués et massacrés. Et à Benimellal il a égorgé 400 Idrissides et l’Oued témoin de ce massacre porte le nom de « Oued Chorafa ».

    La suite après la prière InchaAllah

    #217966
    manara
    Membre

    @fadi wrote:

    J’ouvre ce topic pour continuer notre debat sur la façon dont certaines oujdis perçoivent les gens du « Gherb » ou les Ghraba – méme si j’aime pas trop ce mot – ..

    J’ai remarqué qu’il y a une certaine haine entre Oujdis et les autres Marocains, la preuve c’est qu’on apel tout ce qui viens au dela de l’oriental de Gharbi , encore pire, on se moque de sa façon de parler 🙄

    Alors pourquoi construit-on un mur entre nous Oujdis et nos compatriotes du reste du Maroc ..
    Peut etre que la proximité des frontières a fait oublier a certaines personnes qu’on est des Marocains quoi qu’il se passe ..

    Et biens à vous ..

    mais non
    je ne crois pas que cela va jusqu’à la haine quand memeje crois que ce sont juste des mal entendus qui n’ont pas lieu d’etre
    moi perso je n’ai rien contre les ghraba
    nous sommes tous des Marocains avant tout
    ce que je n’aime pas c’est certains oujdis( et sulement certains) qui passent quelque temps ds le Gharb et reviennent à oujda
    avec un accent juste pour « frimer » allant parfois à traiter les autres oujdis d’ignarts ce sont ceux là que j’ime pas
    sinon chaque personne à une preference sectaire +ou –

    en tous cas ici on est de sales Marocains, Sales algeriens…etc
    sale Arabe et sale musulmans( terroriste)
    Alors Hamdou Allah ou dirou yadd fi yadd
    kollona maghariba 😉

    dahlia
    Membre

    @BOUAYED wrote:

    @dahlia wrote:

    bonsoir .

    bref je vais essayer de conter une histoire connue entre les ouartassi ,et qui pourrait aider et etre un poînt de depart pour bouayyad ou d’autres interessés, afinde pouvoir reconstituer la genealogie des ouartassis .

    venu d’andalousie ,sidi abdelmoumen (boukabrayén) s’est installé dans la region de NADROMA entre port said (marssate ben lamhidi) et ghazaouate ,en ALGERIE .

    sidi abdelmoumen se maria et eut des enfants .

    des années plus tard il quitte l’algérie pour venir s’installer a wawélloute (ouartass),au maroc , ou il se maria encore une fois et eut des enfants qui restérent a wawellout ,sauf un qui est parti s’installer a tanger.

    mort ,les fils algeriens de sidi abdelmoumen ont eu de multiples affrontements avec les fils marocains sur le lieu d’ensevelissement de leur pére sidi abdelmoumen voulant ainsi l’ enterrer chacun dans sa tribu.

    depuis ,le cadavre ensevelli de sidi abdelmoumen a été déplacé de ouartass a (beida ou baidar 🙄 ) jusqu’au jour ou on decouvre qu’il etait sous les tombes…en algerie et au maroc d’ou cette apellation sidi abdelmoumen bou 9abrayen …. ➡ ➡

    voila c’est une des versions de l’histoire de sidi abdel moumen .

    merci pour ceux qui auront l’amabilité de me corriger ou de nous fournir davantage d’informations.

    Mlle Dahlia, c’est pas gentil de votre part de faire de la cachoterie quand on sait quelques choses dans le domaine.
    Chacun de nous a besoin des renseignements que peuvent apporter les autres.

    monsieur BOUAYYAD,je pense que ce serait a moi de vous dire que ce n’est pas gentil de votre part de m’accuser de cachotiere…. 😕 moi qui pensait donner tout le peu que je savais pour ce site ….je vous en excuse monsieur bouayyad….et je vous tranquilise ainsi que d’autres peut etre que je n’ai rien derriere la tete…c’est par amour a cet region et par grand respect , confiance et estimation aux administrateurs que je ne tarde pa a exposer et partager mes quelques connaissances ….
    sans oublier qu’on apprend aussi de vous et d’autres oujdinautes…..

    en fait je voulais vous preciser que je ne sais absolument rien dans ce domaine..et que je viens de m’y interesser de plus pres ces derniers temps.

    pour la question qui a été posée une fois sur le site je viens de remarquer qu’elle a été posté sous le nom d’invité et voila je vous le dis que c’etait bien moi qui l’avait posté…

    elle etait concise par manque de temps surement…..je suis loin de vouloir ou d’aimer pieger les gens 3IB OU 3AR 3LIYA ….je crois que ce ne serait pas un niveau d’une personne qui prone la liberté d’expression ,l’honneteté et la transparence non seulement sur un forum ou ces qualités sont sensées etre ,mais dans la vraie vie quotidienne que je méne…et hamdollah c’est grace a ca qu’on avance qu’on se fait respecter..et a cause de ca qu’on se heurte aussi a quelques problemes et incomprehensions……

    bref revenons au sujet.

    l’histoire que je viens de conter n’est pas une affirmation compléte et suffisante sur l’origine des ouratssa .c’est en quelques sorte l’histoire de l’apellation de  »sidi abdelmoumen bou 9abrayne » .
    comme ouartassi l’a bien dit on veut la partie qui concerne la periode ou ils etaiet en andalousie etc…..et puis si jamais il existe d’autres faits liés la vie de sidi abdelmoumen….on cherche aussi l’arbre genealogique…l’ascendance…

    cette courte histoire,m’a été raconté auparavant et je m y suis interessé mais en meme temps ca me suffisait pas et ca ne repondait pas a toutes mes questions ….

    je l’avais completement oublié et je risquais de rapporter quelque chose de pas juste, de deformé…

    vient alors le moment opportun et l’occasion d’interroger des gens (grace a berkanite et ouartassi qui m’ont redonné l’envie de chercher davantage ) qui ont eu l’amabilité de m’expliquer tout ca ….

    j’ai devant moi la feuille sur laquelle j’ai au fur et a mesure tout transcrit (tout en etant sur que je donne de vraies informations )
    et je n’ai pas pu attendre le matin pour poster…..ca se voit tres bien 😉

    donc voila j’espere m’etre bien expliquer ,et concernant l’histoire elle n’est pas complete c’est sur ,mais c’est juste un point de depart pour commencer a chercher dans les origines…..

    c’est peut etre une invitation aussi a nos amis d’algerie de nous donner plus d’informations de nous corriger ou de nous raconter l’histoire de sidi abdelmoumem qui se trouve dans la region que j’ai précité…c’est peut etre une invitation a tout ouartassi qui est de passage de rajouter quelques chose et c’est peut etre des faits clès qui ‘aideront a chercher et trouver davantage d’informations sur ces idrissides…..

    je crois que j ‘ai assez parlé.
    respectueusement a vous et desolé s’il y avait des propos hors sujet dans mon post 🙂
    respectueusement a vous .

    BOUAYED
    Membre

    @dahlia wrote:

    bonsoir .

    bref je vais essayer de conter une histoire connue entre les ouartassi ,et qui pourrait aider et etre un poînt de depart pour bouayyad ou d’autres interessés, afinde pouvoir reconstituer la genealogie des ouartassis .

    venu d’andalousie ,sidi abdelmoumen (boukabrayén) s’est installé dans la region de NADROMA entre port said (marssate ben lamhidi) et ghazaouate ,en ALGERIE .

    sidi abdelmoumen se maria et eut des enfants .

    des années plus tard il quitte l’algérie pour venir s’installer a wawélloute (ouartass),au maroc , ou il se maria encore une fois et eut des enfants qui restérent a wawellout ,sauf un qui est parti s’installer a tanger.

    mort ,les fils algeriens de sidi abdelmoumen ont eu de multiples affrontements avec les fils marocains sur le lieu d’ensevelissement de leur pére sidi abdelmoumen voulant ainsi l’ enterrer chacun dans sa tribu.

    depuis ,le cadavre ensevelli de sidi abdelmoumen a été déplacé de ouartass a (beida ou baidar 🙄 ) jusqu’au jour ou on decouvre qu’il etait sous les tombes…en algerie et au maroc d’ou cette apellation sidi abdelmoumen bou 9abrayen …. ➡ ➡

    voila c’est une des versions de l’histoire de sidi abdel moumen .

    merci pour ceux qui auront l’amabilité de me corriger ou de nous fournir davantage d’informations.

    Mlle Dahlia, c’est pas gentil de votre part de faire de la cachoterie quand on sait quelques choses dans le domaine.
    Chacun de nous a besoin des renseignements que peuvent apporter les autres.

    Merci pour tout ce que vous avez pu apporter et on a toujours besoin d’un dialogue bon et constructif.

    J’ai bien apprécié vos interventions dans le domaine qui se font directement avec simplicité, politesse et savoir vivre comme pas mal d’autres personnes notamment Mr Ouartassi dont je n’ai pas oublié la question posée sur les Khamlichiines je pense.

    Je pense aussi que la recherche des origines ou arbres généalogiques doit interesser les autres branches Idrissides et pourquoi pas les autres déscendants d’Ali.

    Pour ce qui est de l’intervention de Mlle Berkanita, à part le sujet sur les Wartasas, je n’ai pas bien compris le fond de sa pensée. Une précision de sa part entrainera surement une réponse adequate.

    Mlle Dahlia, Bien à vous et avec toute ma sympathie.

    dahlia
    Membre

    bonsoir .

    bref je vais essayer de conter une histoire connue entre les ouartassi ,et qui pourrait aider et etre un poînt de depart pour bouayyad ou d’autres interessés, afinde pouvoir reconstituer la genealogie des ouartassis .

    venu d’andalousie ,sidi abdelmoumen (boukabrayén) s’est installé dans la region de NADROMA entre port said (marssate ben lamhidi) et ghazaouate ,en ALGERIE .

    sidi abdelmoumen se maria et eut des enfants .

    des années plus tard il quitte l’algérie pour venir s’installer a wawélloute (ouartass),au maroc , ou il se maria encore une fois et eut des enfants qui restérent a wawellout ,sauf un qui est parti s’installer a tanger.

    mort ,les fils algeriens de sidi abdelmoumen ont eu de multiples affrontements avec les fils marocains sur le lieu d’ensevelissement de leur pére sidi abdelmoumen voulant ainsi l’ enterrer chacun dans sa tribu.

    depuis ,le cadavre ensevelli de sidi abdelmoumen a été déplacé de ouartass a (beida ou baidar 🙄 ) jusqu’au jour ou on decouvre qu’il etait sous les tombes…en algerie et au maroc d’ou cette apellation sidi abdelmoumen bou 9abrayen …. ➡ ➡

    voila c’est une des versions de l’histoire de sidi abdel moumen .

    merci pour ceux qui auront l’amabilité de me corriger ou de nous fournir davantage d’informations.

    #217629
    ratek84
    Participant

    dsl mé lorsqu’on parle sur l independance mr MEHDI on fé un TRES GRAND chapeau au Algérien ils sont un tres bon exemplede résistance pas comme les marocains jusqu’à mnt il n ont pa eu leur indépendance complet « SAHARA , SEBTA, MLILLIA »

    #217628
    OUJDI_PUR
    Membre

    MEHDI ce sont la bande des generaux et bouteflika qui font ce probleme
    le peuple algerien n’a rien avoir dans ce conflit
    au contraire ils pour eux le sahara est 100/100 marocain
    mais ce BOUTEFLIKA QUI EST NE A OUJDA ET Y A GRANDI ET INSTRUIT ne cesse pas de nous contrarier iwa allah yahdi ma khla9 et LE SAHARA EST MAROCAIN AHHABBA MAN AHHAB WA KARIHA MAN KARIHE

    #201827
    manara
    Membre

    voilà ce qu’un journaliste a écrit à propos du notre cher sahara
    est ce là une liberte d’expression ou insultes et provoc
    ou une jalousie maladive à propos de cet amour qu’ont les Marocains des qu’il sagit du sahara

    voilà l’article
    😥 😥

    Algérie – Le référendum pour l’autodétermination du peuple sahraoui demeure inévitable, a affirmé le président Abdelaziz Bouteflika. C’est depuis Pékin, où il effectue une visite d’Etat, que le président de la République a affirmé, hier, que l’organisation d’un référendum pour l’autodétermination du peuple sahraoui, conformément à la légalité internationale et au plan Baker, demeure inévitable balayant ainsi d’un revers de la main le projet de large autonomie en gestation prôné par le souverain marocain.

    Le roi du Maroc, Mohammed VI, à travers son discours télévisé visant à célébrer le 31e anniversaire de la «Marche verte» s’entête à vouloir imposer son propre projet de large autonomie du Sahara occidental annexé par le Royaume marocain lors du retrait des troupes espagnoles des territoires sahraouis, qu’elles ont occupé jusqu’en 1975.

    350.000 hommes avaient marché et envahi le Sahara occidental sous occupation espagnole. Une armée de civils en haillons a déferlé et envahi les territoires sahraouis, telle une nuée de sauterelles sous l’oeil témoin des caméras des télévisions du monde.

    C’était le 6 novembre 1975. Trois années auparavant, le trône chérifien a failli vaciller depuis la base militaire de Skhirat, suite à la tentative du putsch avortée contre Sa Majesté Hassan II, menée par les généraux Oufkir et Dilmi. S’ensuivie une répression sanglante et l’épopée du tristement célèbre bagne de Tazmamart qui en fut le symbole.

    C’est dans cette foulée que s’est organisée la Marche verte pour ressouder la solidarité des sujets marocains autour de leur souverain. Appui populaire en écho à un discours «populiste royal» sous le couvert d’une prétendue menace d’intégrité territoriale. Ce fut le début et le prétexte d’une colonisation qui avait du mal à cacher son nom. Le jeune roi du Maroc, Mohammed VI, semble vouloir rééditer le même coup que son défunt père, Hassan II, en déclarant qu’un Sahara occidental indépendant prôné par le Polisario avec le soutien de l’Algérie favoriserait le terrorisme au Maghreb et au Sahel.

    Et il poursuit en affirmant que c’est dans le souci d’épargner à cet espace ainsi qu’à cette région du Sahel ainsi qu’aux rives méridionale et septentrionale de la Méditerranée, les risques calamiteux de balkanisation et d’instabilité qu’une entité factice implantée doit être évitée. Le peuple sahraoui qui aspire à son indépendance est réduit à une entité factice.

    L’Algérie, qui a durement payé les affres du terrorisme à la pointe de la lutte antiterroriste, représenterait donc un danger pour le Royaume chérifien. Est-ce un appel du pied à la création d’une zone tampon sous l’oeil vigilant de l’hégémonie américaine?

    L’Algérie, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, M.Mohamed Bedjaoui, a attiré l’attention du Conseil de sécurité sur la grave dérive que constituerait une tentative autre que la légalité d’une résolution internationale concernant le Sahara occidental, qui demeure avant tout une question de décolonisation.

    L’Algérie ne saurait être partie prenante dans des négociations qui ne peuvent mettre en présence que les deux protagonistes du conflit, à savoir le Polisario d’une part, et le Maroc d’autre part. Durant le mois d’avril 2006, le ministre algérien des Affaires étrangères avait rencontré M.Wang, représentant et ambassadeur de la Chine aux Nations unies, qui avait assuré la présidence du Conseil de sécurité.

    La rencontre entre les deux hommes avait porté sur la question du Sahara occidental. Le représentant de la République populaire de Chine avait affirmé son soutien à la démarche algérienne concernant le conflit du Sahara occidental. Depuis l’université de Pékin où il a prononcé une allocution, le président de la République, M.Abdelaziz Bouteflika, a réitéré la position de l’Algérie à l’égard de ce conflit qui dure depuis trente ans.

    «Un problème de décolonisation dont la résolution incombe à la communauté internationale dans le cadre de la Charte des Nations unies et des décisions du Conseil de sécurité», a solennellement déclaré le chef de l’Etat algérien, confirmant, par là même, la résolution prise par le sommet des Non-alignés à Cuba.

    Aller à l’encontre d’une telle résolution qui demeure irréversible constituerait un déni de justice et priverait le peuple sahraoui de la légitimité d’avoir une patrie, une identité.

    Par Mohamed Touati – L’Expression, le 8 novembre 2006.

    http://www.algerie-monde.com/actualite/article1607.html

    MEHYAWI
    Membre

    salam alikoum. bon moi personellement je vie a l etranger pressisiment dans une ville ou il y as une consontration algerienne masive.le contacte est entre nous est tres bien des fois je me sent mieux avec des algerien que avec marocain (ouest) peut etre c du a la proximite des 2 culture;et en se qui concerne le conflit c est du a l ingnorence des peuples car avec ma ptite experience issi les gens qui ont une hainne vers les autre cote algerien il ne parle que de boumedien et ses expoit imaginaire et dise des histoire sur l maroc malgre qui il n ont jamais mient les pied la bas cote marocain c pareille il y as que les (3robiya) qui parlent de cela.
    prenet l exemple europeen;il sont 25 pays presque 25 langue difirante 25 culture et meme la religion des fois change mais ils se sont reunifier grace a la volante des peuples asurmenter leur diference au profis de la prospirite…

    domage nous c le contraire mais la vie c est une equoition si ont la calcule pas bien impossble de s ensortir…
    <>
    mais moi aussi je ne sait pas resoudre cette equoition lah yahdina

    #216936

    En réponse à : تونس و الحجاب

    manara
    Membre

    Tunisie – Qatar : Al Jazeera provoque le clash
    Tunis a fermé son ambassade pour protester contre la ligne éditoriale de la chaîne

    jeudi 26 octobre 2006, par Saïd Aït-Hatrit

    La Tunisie a rappelé mercredi son ambassadeur au Qatar pour protester « contre une campagne hostile » de la chaîne Al Jazeera. Les autorités tunisiennes n’ont pas apprécié les sorties de l’opposant Moncef Marzouki sur la chaîne d’informations et sont fatiguées d’y voir la pratique religieuse nationale brocardée. Depuis sa création en 1996, la chaîne à gratter qatarie irrite autant le Etats-Unis que les régimes arabes.

    Al Jazeera est regardée dans les pays arabes autant qu’elle est abhorrée par leurs régimes. Mercredi, la Tunisie a fermé son ambassade à Doha, au Qatar, pour protester contre la chaîne d’information internationale. Le cheikh Hamad bin Khalifa Al Thani, émir de la péninsule pétrolière, en est le principal actionnaire. Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères accuse Al Jazeera de tourner « le dos à la vérité et à l’objectivité, chaque fois qu’elle aborde l’actualité en Tunisie », et de « mener une campagne hostile destinée à [lui] nuire ». Le 14 octobre dernier, les autorités tunisiennes avaient rappelé leur ambassadeur après que la chaîne ait diffusé l’interview de Moncef Marzouki, l’un de ses plus virulents opposants. Le chef du Congrès pour la République, un parti non reconnu, y appelait la « population » à « une résistance civile en utilisant tous les moyens pacifiques ». Etabli depuis cinq ans en France, il est rentré samedi à Tunis sans être inquiété, malgré une convocation devant le juge d’instruction pour « incitation de la population à la désobéissance civile ». Al Jazeera a diffusé quelques heures après son arrivée une seconde interview dans laquelle il déclare refuser de répondre à la convocation.

    Tunis a également été irritée par la manière dont Al Jazeera a couvert l’actualité religieuse nationale depuis plusieurs années. La CNN arabe a récemment organisé un débat autour de la question du voile islamique, en Tunisie, dans laquelle les autorités ont été accusées de « violation des droits individuels ». Au début du mois, elles se sont prononcées pour l’application d’un décret de 1981 condamnant le port du voile dans les lieux publics. Le président Zine el-Abidine en personne, suivi par ses ministres, s’est prononcé contre les voiles « d’inspiration sectaire importés de l’extérieur ».

    La Tunisie « indexée » par les religieux

    « Ici, Al Jazeera est très regardée. Les gens regardent notamment les programmes où la parole est donnée aux islamistes, car leurs partis sont interdits en Tunisie, et c’est l’occasion de les connaître », explique un journaliste basé à Tunis. « Mais il ne s’agit pas seulement des islamistes, poursuit-il. La Tunisie est en avance sur tous les pays arabes en matière de liberté de la femme et de modernité de la société. Et les religieux qui interviennent sur Al Jazeera ont tendance à indexer la Tunisie sur ce point. Les autorités nationales se plaignent du fait que la chaîne qatarie ne donnerait la parole qu’à ses opposants ».

    « La Tunisie, qui respecte et exerce la liberté d’opinion et d’expression, et qui apprécie à sa juste valeur toute information honnête, a fait siennes ces nobles valeurs », indique un peu exagérément le communiqué des Affaires étangères, dans un pays souvent rappelé à l’ordre pour des violations de la liberté d’opinion. « Cependant, poursuit le document, par ses prises de position délibérément malveillantes à l’égard de la Tunisie, Al Jazeera a dépassé toutes les limites et transgressé les règles morales sur lesquelles repose la pratique journalistique. »

    « Pas d’agenda politique contre la Tunisie »

    Jeudi, Waddah Khanfar, le directeur général de la chaîne, a assuré ne pas avoir « d’agenda politique contre la Tunisie ou contre une quelconque autre partie. Nous regrettons la décision tunisienne et réaffirmons que nous nous engageons à fournir une plateforme à des opinions différentes », a-t-il déclaré à l’AFP. Tunis avait déjà rappelé son ambassadeur en 2001 pour contester contre la couverture de la Tunisie par Al Jazeera. La république n’a jamais permis l’ouverture d’un bureau de la chaîne à Tunis, ni accrédité son correspondant sur place.

    En juin 2004, ce sont les autorités algériennes qui ont fermé le bureau de la chaîne à Alger, prétextant une réorganisation du travail des correspondants de la presse étrangère. Selon Reporters sans frontières, ce gèle serait consécutif à la diffusion d’un débat où des « opposants avaient critiqué les généraux algériens ainsi que la politique de réconciliation nationale du président Abdelaziz Bouteflika ». Seul le Maroc, dans le « petit Maghreb », accueil aujourd’hui une officine de la chaîne à gratter qatarie. A partir du 15 novembre, elle va lancer un « journal du Maghreb » d’une durée d’une heure depuis Rabat.

    Anonymous
    Membre

    Les divorces «explosent» à Oran
    Les mariages et les divorces explosent à Oran, mais les séparations sont plus nombreuses que les unions. Ces dernières années, le nombre des mariages était plus ou moins égal à celui des divorces. Cependant, cet équilibre s’est brutalement rompu l’année passée avec un taux de divorce record de 78%, selon le service des mariages de la commune d’Oran. «On n’a jamais vu autant de divorces que l’année passée. C’est incroyable. Même cette année, nous avons remarqué qu’il y a beaucoup de couples qui divorcent», affirme une employée du service des mariages. Le taux de divorce de 78% atteint l’année passée est sur toutes les bouches au niveau de la mairie d’Oran. Tout le monde en parle. Chacun essaie d’analyser, à sa façon, le phénomène qui gangrène la société algérienne.

    Certains accusent le nouveau code de la famille, d’autres la crise économique et sociale. Le logement serait l’une des causes principales de l’augmentation des cas de divorce. Les mariages de complaisance sont également les plus fragiles, d’autant que les familles sont de moins en moins associées dans les décisions de mariage. «Les jeunes se marient en été et divorcent en hiver. En six mois, ils découvrent, pour une raison ou une autre, qu’ils ne peuvent pas continuer à vivre ensemble. Certains se remarient juste après. En août dernier, nous avons atteint les 110 mariages par jour. Un record. C’était vraiment beau de voir autant de nouveaux mariés chaque jour à la mairie. Même durant le Ramadhan, les mariages ne s’arrêtent pas, avec une moyenne de 20 par jour. Mais quelques mois après, les filles en larmes commencent à venir pour signaler le divorce», explique une employée de la mairie. Autre phénomène qui prend de l’ampleur, de plus en plus d’adolescents se marient. Filles et garçons qui n’ont pas atteint l’âge légal du mariage sont de plus en plus nombreux à célébrer leurs noces. «Ils ramènent une dérogation de la justice et se marient. Ce sont ceux-là qui divorcent le plus, contrairement aux couples dont la moyenne d’âge est plus grande», affirme une autre employée qui s’attend à une fin d’année «bien chargée» et des divorces à la pelle.

    Hamid G. Quotidien d’Oran, le Dimanche 22 Octobre 2006.
    Précision : Code de la famille en Algérie = Moudaouana au Maroc.
    Alors, que vont nous dire maintenant les défenseurs « du droit de la femme ».

    #201717
    Anonymous
    Membre

    je suis un jeune algerien mes defunt parents on vecu au maroc plus precisement a trigue ael aounia.
    et ils nous disaient que notre grand pere hadj madani etais un homme riche ainsi que notre pere on avais une mosque un boulangerie et toute une chaine comecials a cette epoque est ce que on peut recuperer ces biens on as su que certaisn on eus deja cette oportunitie esperant qu’on trouve quelqun un avocat ou quoi que ce sois qui peut nous aidez nos parents sont morts et il nous ont laisser un secret.
    mon emeil est abdelghani.haddou@caramail.com s’il y’as quoi que ce soint contacter moi

    #208334

    En réponse à : la mentalité des oujdis suite

    manara
    Membre

    @birouk wrote:


    Les oujdis c’est vrais sont assez défaitistes devant les épreuves, battent leurs femmes et feraient n’importe quoi pour travailler à la police ou à la Dst, ils sont comme ça, lunettes sombres et sourires jaunes.
    Par définition ils sont laches, parlent comme des algériens et se masturbent en cachette dans les toilettes des cinémas.

    Ils n’ont pas compris que le monde est entrain de changer, ils ont peur des algériens et finissent par épouser leur filles.
    D’ailleurs dans cette ville, il ya 50% de marocains d’origine algérienne.

    Les Oujdis, ne sont pas des marocains à part entière mais entierement à part.

    t’es atteint depuis quand?
    Allah ychafi!!

    #214815

    En réponse à : jm trop Berkane!!!

    tachafine
    Membre

    @zhm wrote:

    mazbalate berkane ou bien mazbalate atarikh ? !!
    stp plus de précision c’est important ! car la jvien de comprendre et grace a ton poste que berkan est mazbalte atarikh .
    relis ton poste stp !

    c scientifique ce que tu vient de dire ? si c oui explique toi plus ou bien donne nous qulque chose de plus logique pour confirmer tes blagues lalla et pour dire que berkane est une mazbalat attarikh !!!! alors aray ma3andak ,;;;

    si non alors tu veut prouve klk chose que tu as dans ton crane , c’est a dire
    une maladie de dire que tu es plus civiliser ou plus eduque ou plus raciste , se sont des paroles des racistes , revoi ton language chere zhm

    BERKANE L’HISTORIQUE

    La province tire son nom de la ville de Berkane, fondée au début du siècle sur les anciennes ruines d’un village historique, baptisé du nom de l’érudit et saint Sidi Mohamed Ben Elhassan Ben Mekhlouf Errachidi plus connu sous le nom de Sidi Ahmed Aberkane mort en 868 de l’Hégire.

    la Province Berkane s’étend sur une superficie de 1985 km², soit 2.4% de la superficie de la région de l’Oriental. Elle est limitée au Nord par la Méditerranée, à l’Est par la frontière Maroco-Algérienne et la Préfecture d’Oujda-Angad, à l’Ouest par la Province de Nador et au Sud par la Province de Taourirt.
    La situation géographique privilégiée de la province de Berkane à proximité des marchés extérieurs notamment européens et maghrébins la prédispose à devenir un pôle de développement important tant pour la région de l’Oriental, qu’au niveau national.

    Données géographiques : des reliefs contrastés
    * Relief
    Le paysage est marqué par des reliefs contrastés du Nord au Sud :
    * La plaine de. Triffa dont l’altitude moyenne est de 200 mètres, s’étend sur une superficie de 61.060 hectares (dont 39.600 ha irrigués) en rive droite de l’oued Moulouya qui constitue le principal drain du réseau hydrographique de la région (1Millards m 3/an). Elle s’insère entre les monts de Béni-Snassen au sud et les collines d’Ouled Mansour au nord qui la séparent de la petite plaine côtière de Saidia.
    * La chaîne de Béni-Snassen, dont les massifs culminent à 1429 mètres, au sommet de Jbel Bou Zaâbel.
    * Climat
    Le climat dominant dans la région est de type méditerranéen semi-aride avec :
    * Une pluviométrie moyenne annuelle faible et irrégulière (300 mm) ; les précipitations sont concentrées sur les mois de décembre, janvier et avril ;
    * Des températures moyennes annuelles variant entre 5,2°C et 18,7°C l’hiver, 18,5°C et 31°C l’été.

    LE POTENTIEL TOURISTIQUE

    La Province de Berkane est parée d’atouts naturels, culturels et traditionnels qui en font une destination phare pour les visiteurs en quête de détente sur les sables dorés d’une plage méditerranéenne, pour les fervents des grands espaces désireux de respirer l’air pur de la montagne et d’explorer une nature sauvage, exotique et dépaysante ou pour ceux qui, réfractaires aux musées, veulent découvrir in situ les traditions, rites et croyances d’une culture mystérieuse et insolite.
    En effet, la Province est dotée d’un rivage méditerranéen de 14Km, de forêts naturelles qui serpentent les monts de Béni Snassen vers les gorges de Zegzel, de grottes préhistoriques, mondialement connues, et de sources thermales réputées pour leurs vertus curatives.

    Le tourisme balnéaire : station balnéaire de Saidia

    La Ville de Saïdia est située à l’extrême Nord-est du Maroc sur un tronçon d’une vingtaine de kilomètres, à 20 Km de la ville de Berkane et 60 Km de la ville d’Oujda. Cette petite ville littorale occupe une position géographique privilégiée et constitue un carrefour incontournable ouvert sur les marchés européens et maghrébins et à proximité des principales voies de desserte terrestres, aériennes et maritimes (à 2 heures d’avion de l’Europe, à 50 Km et 60 Km respectivement de l’aéroport Oujda-Angad et de la gare ferroviaire d’Oujda, à 80 Km du port de Nador et de l’aéroport de Aroui et à 90 Km du port et de l’aéroport de Melilla).
    Le premier noyau de la ville date de 1883 et fût l’œuvre du Sultan Hassan Premier qui bâtit une Casbah de 15.600m2 de superficie sur la rive gauche de l’embouchure de l’Oued Kiss. Ce monument, vestige seigneurial d’épopées glorieuses, servait entre autre de bastion de la résistance face à l’hégémonie des envahisseurs.
    Bien qu’elle remonte à l’orée du 19ème siècle, c’est du temps du protectorat français (1927) que la ville a été aménagée en tant que station balnéaire faisant le bonheur des autochtones et de l’ensemble de la présence coloniale dans l’Oriental.
    Transformée en commune urbaine en 1992, la ville de Saïdia compte actuellement en temps normal, quelques 3338 habitants (RGPH, 2004) et reçoit des milliers de visiteurs en période estivale attirés par ses atouts touristiques multiples et diversifiés.

    Plage – Soleil

    Considérée comme l’une des plus belles plages du Royaume, Saïdia possède des atouts naturels indéniables à même de séduire les plus exigeants en matière de tourisme balnéaire. Son climat idéal (plus de 300 jours de soleil par an avec des températures moyennes annuelles oscillant entre 18 C° l’hiver et 31 C° l’été), ses 14 Km de sable fin doré, la clarté de ses eaux propres pour la baignade et animées d’une faible houle et l’exubérance de ses paysages attirent chaque année plus de 200.000 visiteurs venus des quatre coins du pays et de l’étranger avec une forte présence des MRE (14,5% du total des estivants), plus particulièrement lors de la tenue du « Festival de Saïdia » mis sur pieds depuis 1980 pour promouvoir le patrimoine culturel et artistique que recèle l’Oriental.

    Infrastructures et Animation

    Les potentialités de cette station prêtant à une plus grande exploitation et ouvrant des perspectives d’investissements considérables, sont rehaussées par les équipements qu’offre la ville en matière touristique et renforcée par le port de plaisance, la rocade longeant le rivage méditerranéen sur 560 Km et reliant Saïdia à Tanger, l’école hôtelière et par l’essor qu’ont connu les festivités aussi bien artistiques, culturelles que sportives organisées en marge du festival rendez-vous incontournable.
    Tous ces attraits prédisposent Saïdia à devenir une importante destination touristique entraînant la mise en valeur d’autres localités proches, le long de la même côte ainsi que vers l’arrière pays (surtout la zone des Béni Snassen).

    Le tourisme vert

    Les monts de Béni Snassen
    A quelques kilomètres au sud de la ville de Berkane, les monts de Béni Snassen constituent un terrain de prédilection pour les amateurs de tourisme de montagne. On y trouve un éventail de paysages et de sites, tous aussi fascinants les uns que les autres. Le SIBE des Béni-Snassen englobe deux zones : la première (6.150 ha) comprend de magnifiques paysages (grottes, falaises, escarpements) recouverts principalement de Thuyas, et la seconde (600 ha) referme la très belle chênaie du jbel Foural, habitat naturel d’une riche faune zoologique et ornithologique (Sangliers, Lièvres, Lapins, Perdrix, Pigeons, Tourterelles, etc.). Dans ces décors paradisiaques on peut s’adonner à la randonnée pédestre ou équestre, s’assoupir à l’ombre d’un chêne bercer par les murmures des eaux argentées d’un ruisseau, escalader les façades des gorges de Zegzel, découvrir la faune et la flore locales, savourer à l’issue d’une battue de chasse l’ivresse d’une belle capture ou se détendre dans la quiétude qui règne à Tafoghalt, un pittoresque petit village rustique situé en pleine forêt méditerranéenne (Thuya Chênes verts, Genévrier, Oxycèdre, Pin d’Alep, etc.). Son climat doux et frais l’été soulage les visiteurs de la chaleur qui sévi en plaine pendant cette saison. Il est fréquent que les cimes avoisinantes se tapissent l’hiver d’une couche de neige évoquant les fabuleux paysages du Haut Atlas marocain.

    Vallée de Zegzel
    Emprunter la vallée de Zegzel c’est aller à la rencontre d’une végétation luxuriante, offrande généreuse de l’Oued Zegzel qui du cœur des montagnes de Béni-Snassen dévale les pentes au fond de gorges abruptes. Tout au long de ses méandres orangers, citronniers, néfliers, amandiers, légumes et céréales, jardins en terrasse verdoyants suspendus aux versants et constituant une toile bariolée aux tons impressionnistes, semblent s’accrocher de toutes leurs racines à la terre qui leur a donné vie. Les versants plus ou moins raides de ces monts et la rigueur de leurs hivers n’ont pas dissuadé leurs habitants, tirant leur subsistance d’une agriculture artisanale, de l’élevage et de la forêt, d’y bâtir des villages parfaitement intégrés à l’environnement.

    Sites archéologiques et historiques

    Grotte des pigeons
    La grotte karstique dite ‘’grotte des pigeons’’ à cause des nombreux pigeons qui y vivent, se trouve à l’entrée de la vallée de Zegzel, à 2 km à l’Est du village rustique de Tafoghalt. C’est une grande cavité largement ouverte vers l’extérieur présentant une entrée en forme d’arche. Découverte en 1908, la grotte est un gisement préhistorique mondialement connu en raison de l’importance des résultats scientifiques qu’elle a permis d’obtenir. Les fouilles entreprises en 1959 ont mis à jour plusieurs niveaux archéologiques contenant des restes d’animaux et des outils de pierre taillée datant du Paléolithique ( entre 40000 et 100000 ans). La grotte a ensuite connu 23 occupations successives au cours de l’Epipaléothique par une population de chasseurs qui allumaient à l’intérieur de grand feux provoquant la formation de couches cendreuses pouvant atteindre plus de quatre mètres. Les mesures de radiocarbone ont permis de dater ces couches cendreuses de 10.500 à 12.500 ans. Les spécialistes déterrèrent plus de 100.000 outils en pierre taillée, des restes d’animaux et surtout 180 sépultures d’individus appartenant à une race autochtone baptisée « homme de Tafoghalt » qui est à l’origine des populations berbères actuelles. Ces individus ont été enterrés selon un rituel funéraire qui laisse penser que les Epipaléolithiques avaient des sentiments religieux. Tous ces résultats font de la grotte de Tafoghalt un gisement unique au Maghreb qui n’a d’équivalent qu’en Egypte ou au Proche Orient.

    Grotte du chameau
    Perdu parmi les contreforts de l’Oriental, la grotte du chameau est un site historique et archéologique qui fait partie de ces havres de paix, de beauté et de calme où l’on peut se réfugier loin de la pollution et du stress des grandes villes. C’est également un haut lieu de spéléologie où d’insolites silhouettes de terre s’élancent vers le plafond à la rencontre d’autres descendantes, les stalagmites et les stalactites forment un rempart de multiples colonnes patiemment sculptées dans le calcaire par les eaux d’infiltration durant des millénaires. Vu sa dimension, sa valeur comme habitat préhistorique, la beauté exceptionnelle de son site, son accessibilité, sa situation géographique privilégiée au sein des Béni-Snassen, à proximité du centre d’estivage de Tafoghalt et de la grotte des pigeons ( 5km),la grotte du chameau est une destination de choix pour les épris des grands espaces.La grotte s’ouvre dans la vallée de l’oued Farrouj, affluent de l’oued Zegzel, au coeur du massif des Béni-Snassen, sur la rive droite duquel elle présente deux entrées. C’est une grotte à trois étages de galeries, dont la partie inférieure est toujours en activité après de fortes pluies. On accède à la grotte par une entrée supérieure ; une concrétion en forme de chameau qui a donné son nom à la grotte.

    Le tourisme écologique

    Le Site d’Intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) de la Moulouya
    Sur une superficie de 2700 Ha s’étale le SIBE de la Moulouya, un site naturel particulier sans équivalent sur la côte méditerranéenne orientale en matière de biodiversité, en particulier pour l’Herpétofaune et l’Avifaune, avec la présence de nombreuses espèces menacées et remarquables.
    L’Embouchure de la Moulouya (le seul cours d’eau marocain important se déversant dans la Méditerranée) est classée comme site d’intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) sur une superficie de 2.700 Hectares environ. Il comprend l’oued Moulouya ( de l’embouchure jusqu’à Ain Zerga), le cap sableux (Est de l’embouchure), l’arrière plage (falaises incluses) et les marais d’Ain Zerga, des Chrarba et gueltat Sidi Boudiaqui. Ces marais constituent de superbes étendues d’eau douce provenant de l’accumulation de précipitations pluviales et de résurgences ; ils sont cernés par une dense végétation palustre (Salicornes, Typhas, Roseaux,…), qui les rend quasiment inaccessibles. Ces zones abritent une avifaune riche et diversifiée comprenant des espèces endémiques d’importance mondiale à savoir : L’Ibis chauve, la Sarcelle marbrée, le Goéland d’Audouin, etc, et d’importantes populations d’oiseaux nicheurs tels que les poules sultanes, le héron pourpré, le busard cendré et Plusieurs espèces de fauvettes aquatiques. Elles constituent, par ailleurs, la plus importante escale migratoire de l’oriental, accueillant des espèces hivernantes dont certaines sont menacées d’extinction tels que les canards colverts, les oies cendrées, etc. Le tapis végétal environnant est composé de sansouïres à salicornes accompagnées de phragmites, de jonc, etc. L’herpétofaune (reptiles et amphibiens) de ce site est remarquable avec des espèces reliques endémiques de la région de Kebdana et l’Oranais, considérées comme éteintes de la planète depuis un siècle (Chalcides mauritanicus et Chalcides parallelus). Ces lieux d’une rare beauté où on peut contempler des levées et couchées de soleil féeriques, offrent un cadre agréable pour le tourisme vert.

    Phyto-écologie : 95 espèces représentant 38 familles avec de nombreuses formes endémiques, rares, remarquables et plantes médicinales qui abritent de nombreuses espèces dont 12 endémiques et rares.
    Habitat : Ripisylve de Tamarix d’une densité exceptionnelle abritant un peuplement spécifique d’une diversité unique au Maroc.
    Invertébrés Terrestres : sur 216 taxons retenus, 8 n’ont pas été trouvé ces 230 dernières années, 19 endémiques, 32 rares au Maroc et 5 classés comme espèces vulnérables inscrites sur la liste des espèces protégées au Maroc.
    Herpétologie : 23 espèces dont 8 remarquables par leur endémisme et leur rareté, notamment Testudo graeca et Chamaeleo chamaeleo, deux espèces qui figurent sur la liste rouge internationale.

    Site de la cigogne blanche
    A la sortie de la ville de Berkane, sur la rive droite de l’Oued Cherâa à proximité du ‘’Darih’’ de Sidi Ahmed Aberkane saint, patron de la ville, et à quelques dizaines de mètres de la grande mosquée, se localise le SIBE de la cigogne blanche. On y dénombré 33 nids juchés en haut de vieux et grands eucalyptus témoins silencieux de l’évolution et de l’extension de cette agglomération. Cette colonie est l’une des deux plus importantes du Maroc après celle des murailles de Dar El Kbira de Méknes (42 nids). Ce site constitue, d’ailleurs, l’un des rares points de concentration où ces grands échassiers se reproduisent normalement.

    Le Thermalisme

    La source de Fezouane

    merci a http://said35.chez-alice.fr/
    La source thermale de Fezouane est située au piémont nord des Béni Snassen. Elle est née à l’issue d’une intense activité volcanique durant la fin du tertiaire et le début du quaternaire. Elle a pris du renom et de l’importance avec le premier sondage effectué par les pouvoirs publics entre le 29 Octobre 1961 et le 14 Janvier 1962.
    Ses eaux de bonne qualité, appartiennent au groupe des bicarbonates calco- magnésiennes. Elles sont appréciées pour leurs propriétés curatives, notamment dans le traitement des maladies des reins.

    La source thermale de Chouihiya

    Une source dont les eaux possèdent des propriétés thérapeutiques en dermatologie, se situe au centre de la commune rurale de Chouihiya à 30 Km de la ville de Berkane.

    L’héritage culturel

    Toute forme d’art est une source de renseignement sur la vie, la pensée et la sensibilité des hommes qui le crée. Le patrimoine culturel de la région de l’oriental s’est imprégné au cours de son histoire de traditions héritées des différentes civilisations qui s’y sont relayées.

    Artisanat

    Les produits de l’artisanat locale offrent une variété appréciable d’articles tels que couvertures, tapis, djellabas, robes et caftans au style Oujdi (mansouj), et produits de vannerie, ainsi que différents autres objets à base d’Alfa (paniers,…), se sont de véritables œuvres d’art reflétant la créativité et la sensibilité des artisans de cette région.

    Chants, musiques et danses traditionnelles

    Cette région se distingue par ses chants, ses musiques et ses danses populaires : Ahidous, Laâlaoui et ses variantes le Mengouchi , le Nhari et le Sghairi, des formes d’expression rythmées riches en percussions. Ces danses séculaires exécutées par plusieurs danseurs se tenant à coude et se mouvant comme un seul corps, exaltent le courage et la solidité des guerriers face à l’ennemi. La province possède également des groupes de Bardias, uniques en leur genre au Maroc. Se sont des guerriers à pied exécutant des figures expressives ; fusils à la main ils terminent leur prestation dans un nuage de poudre.

    😉 😉 😉 😉

    #207431
    saidi
    Membre

    Chère SOUMYA, bonjour.

    J’ai bien lu ton message où tu donnes ton opinion pour ce qui est de la frontière entre le Maroc et l’Algérie. Certes, vu sous un angle un peu restreint, on serait tenté de comprendre tes arguments, malheureusement, la réalité est différente. En effet, malgré tous les exemples que tu cites et qui te paraissent bénéfiques pour la population pauvre frontalière, je ne pense pas être de ton avis, je m’explique: Nous savons tous que la population marocaine frontalière y trouve son compte (je ne te caches pas que lorsque je suis de passage à Oujda, mes pleins de réservoir de carburant pour mon véhicule, je les fait avec du carburant provenant en contrebande de l’algérie), ceci n’est qu’un exemple parmis tant d’autres. Il est vrai aussi qu’on a l’impression que la vie des gens paraît plus abordable. Mais ce que je voudrais te dire que c’est un système qui n’est pas viable ni durable. Pour exemple, si la population frontalière continue à se servir des différents produits provenant de la contrebande et par conséquent moins chèrs que les produits marocains (produits algériens, en provenance de Melilla, produits provenant d’autres pays sans même transiter par l’algérie etc…) Tu dois savoir que ce n’est pas la population pauvre qui profite de l’essentiel, ceux qui profitent de l’essentiel, c’est nos contrebandiers marocains en connivence avec les contrebandiers algériens qui ramassent le plus gros des gains au point qu’ils ne savent que faire de leurs gains si ce n’est d’ériger des bâtiments que tout le monde se pose la question de savoir à quoi peuvent-ils servir et combien de gens sont mis au travail pour résorber le chômage. D’un autre côté, tu ne dois pas oublier, que c’est une politique dangereuse en ce sens qu’il suffit aux gouvernants de l’autre côté de la frontière de donner un coup de vis pour arrêter cette contrebande et tu sais qu’ils sont capables, pourqu’on soit placé dans une très mauvaise position. J’ajouterais à celà que tout ce marché informell est nuisible à notre région, peutêtre pas à court terme mais sûrement à long terme. On doit se poser la question de savoir qui sont les investisseurs qui vont s’interesser à venir installer des usines dans la région s’ils savent qu’ils ne pourront jamais concurencer les prix des produits de la contrebande, alors? on doit continuer dans cette voie qui me paraît fragile et incertaine où faire un effort pour permettre à nos hommes d’affaires de venir installer leurs usines pour, je le repète engager, engager, engager car c’est la seule voie qui pourra permettre à nos jeunes universitaires diplômés passer des journées à pousser des charettes pour ventre des fruits et légumes ce qui nous désole tous quand on se rend à Oujda pour y passer quelques semaines(il faut aller voir en hiver ce que deviennent ces jeunes hormis le rêve d’attente d’un éventuel contrat pour venir grossir les rangs de chômeurs qui existent en europe). Pour bien te faire comprendre ces choses, sais tu que le complexe touristique que FADESA réalise à SAIDIA se répercute déjà sur pas mal de corps de métiers? comme nos hommes d’affaires ont souvent une vue courte sur l’avenir, au lieu de se mettre au travail, aggrandir leurs usines, multiplier l’embauche, il m’est venu à l’oreille (celà reste à prouver) que nos hommes d’affaires, au lieu de réagir comme je l’ai dit, ils se contentent malheureusement de faire venir des marchandises en contrebande en provenance de l’algérie pour pouvoir faire face à la demande pressante du groupe FADESA? cet exemple parmis tant d’autres doit nous donner à réflechir! ces hommes d’affaire, ce qui les interesse, ce n’est pas d’avoir le sens du civisme et de la citoyenneté et se mettre au travail pour développer notre région, non, ce qui les interesse, c’est de se procurer de la marchandise d’où qu’elle vienne pour peu qu’elle soit à moindre coût et que les bénéfices qu’ils feront soient colossaux.

    Même si celà nous paraît à tous presque utopique, compte tenu des différents diplomatiques et politiques, je persiste à croire que le developpement de la région passera necessairement par l’ouverture des frontières, quand je dis celà, je ne parle pas que de l’algérie mais de l’UMA qu’on nous a toujours fait miroiter et que nous ne voyons toujours aucune prémisse qui permet d’être optimiste.

    Vous voulez des exemples? pourquoi croyez vous que l’EUROPE de Bruxelles s’acharne à faire élargir son cercle en se tournant notamment vers les pays de l’Est? croyez vous que c’est pour sortir certains de ces pays de la misère qu’il le font? non! il le font pour attendre le retour de la manivelle, en élevant le niveau de vie de ces pays, ils finiront par devenir des consommateurs, et qui va leur fournir les produits de consommation? c’est les pays initiateurs qui n’arrêtent pas de les bombarder à coups de milliards d’euros, c’est parcequ’ils savent qu’il y aura un jour ou l’autre ce fameux retour de manivelle. Voilà, je ne veux pas me comparer à ces puissances, mais je suis convaincu, compte tenu du marché potentiel que nous avons d’abord entre les pays de l’UMA et pourquoi pas prendre les devant et viser les pays subsahariens.
    Raisonner en termes des frontières en faisant allusion à la pastèque marocaine, au yaghourt algérien et les boissons qui ont d’ailleurs changées de sens puisque le cocacola dont rêvait l’algérien d’hier est devenu un commerce qui se fait dans le sens inverse puisque dans les familles d’Oujda, on voit rârement une bouteille de coca marocaine mais plûtot algérienne et à des prix défiant toute conccurence, celà pourrait être vrai demain pour beaucoup d’autres produits, que restera alors au maroc? fermer l’usine de coca d’oujda comme celà a déjà été évoqué à plusieurs reprises avec tous les licenciements qui suivront et les drames sociaux qui en découleront à moins qu’on se contente de dire que nous resterons supérieurs en leur fournissant des substances nocives sur lesquelles on ne doit malheureusement pas baser l’économie d’une région. Je vous demande de m’excuser d’avoir été long. salutations

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