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Sujet: Marjane s’implante à Saïdia
Marjane s’implante au centre commercial de la station touristique Méditerrania Saïdia, la première station du plan “Azur ».
En effet, Marjane Holding et le Groupe Fadesa Maroc ouvriront un nouvel hypermarché sous le nom «Marjane Market», à Medina Center Saïdia, le centre commercial de la station touristique, qui ouvrira ses portes en juin 2009. « S’étendant sur 40 ha, Medina Center Saïdia est destiné à devenir la nouvelle destination shopping et de loisirs de la région de par la diversité de son offre en termes de commerces et de loisirs», selon les deux partenaires. Ainsi, fait-on savoir, la galerie marchande accueillera de nombreuses enseignes présentant une offre large et variée : alimentation, équipement de maisons, magasins spécialisés (sport, jouets, etc.), mode et accessoires, services, artisanat, restauration et loisirs. Ce centre accueillera également des magasins de petite taille.
«Medina Center Saïdia se caractérise par une architecture traditionnelle, un urbanisme chaleureux et une ambiance conviviale, semblable à une médina classique, avec ses portes, ses bâtiments typiques, ses palais, ses places, ses patios, ses terrasses…», fait-on valoir.Pour garantir une gestion optimale à ce nouveau centre commercial, le GFM Maroc a opté pour une formule locative garantissant une animation en permanence du centre dont la gestion est assurée par City Center Developer.
Par ailleurs, il est à rappeler que la station Méditerrania Saïdia est bâtie sur un site de plus de 700 ha et comprend 9 hôtels de haut standing, un port de plaisance, trois golfs de 18 trous chacun, un centre commercial, une clinique, un héliport et un large registre de services. La station de Saïdia est aussi un projet résidentiel avec plus de 3000 résidences de différents types et de différentes architectures, avec un port de plaisance (Marina Saïdia) qui est réalisé sur une surface de 25 ha pouvant accueillir près de 1400 bateaux, devenant ainsi le 3e plus grand port de plaisance de la Méditerranée. L’offre hôtelière, d’une capacité de 17000 lits, ajoutée au plus de 40 ha dédiés à la zone commerciale, aux nombreux restaurants, aux centres thermal et médical de Saïdia une véritable référence pour le tourisme sur la Méditerranée.En effet, cette station touristique est dotée de «Medina Center» qui occupe 43000 m2 pouvant accueillir 160 enseignes. Ce méga-projet est le premier du plan Azur, émanant d’une vision globale de l’industrie touristique pour le Royaume. Cette station, la première du genre, va permettre la création de plusieurs opportunités d’investissements et contribuer au développement économique, selon le ministère du Tourisme. Par ailleurs, il est à rappeler qu’un protocole d’accord a été signé en novembre dernier à Palma de Majorque en Espagne, dans lequel l’ensemble des partenaires impliqués dans la construction et la gestion de la station touristique de Saïdia se sont engagés à fournir les efforts nécessaires pour l’ouverture de cette station l’été prochain.
Par L.O | LE MATINhttp://www.lematin.ma/Actualite/Journal/Article.asp?idr=113&id=111684
Aspartame: attention danger!!!
Attention à l’aspartame (Canderel…) ce sucre n’est pas bon pour la santé… Comme la plupart des filles au régime, j’ai succombé à l’idée qu’un sucre avec autant de pouvoir sucrant pouvait être moins calorique. Je ne sortais pas sans ma boîte Canderel dans le sac… Oui mais voilà, quand on y réfléchit un peu, pour retrouvrer le pouvoir sucrant d’un sucre sans les calories, il faut taper dans les produits chimiques. Et les produits chimiques ne sont pas bon pour notre petit corps… Prendre un sucre roux à la place d’une sucrette, c’est mieux. Le sucre roux est meilleur que le sucre blanc…Si vous voulez vous en persuader, lisez cet article trouvé sur Internet… ça calme!!!
« L’aspartame, méchant, méchant!
par Julie Brière
Parce que vous vous préoccupez de votre poids, vous pensez que les succédanés sont meilleurs que le sucre pour votre santé? Grave erreur…
À première vue, c’est génial : se sucrer le bec sans subir l’inconvénients des calories! Cependant, La liste des plaintes reliées à ce succédané du sucre ne cesse de s’allonger, particulièrement aux États-Unis, où on observe une importante consommation de produits « diète ». Pire, on sait maintenant que la consommation d’aspartame entraîne des effets secondaires allant du simple mal de tête à des tumeurs au cerveau…
En effet, les statistiques américaines provenant du National Cancer Institute révèlent une hausse alarmante du nombre de tumeurs au cerveau: en 1983, 2,1 % des cancers chez les hommes se situaient au cerveau; en 1987, l’incidence était passée à 8,1 % pour ces messieurs, grimpant même à 11,7 % chez les femmes! En creusant la question, les chercheurs ont constaté que cette forte hausse coïncide justement avec l’apparition, en 1983, des boissons gazeuses édulcorées à l’aspartame. Le débat pour son retrait du marché n’a pas cessé depuis.
Additif ou drogue
L’aspartame a été découvert par hasard en 1965 au laboratoire Searle, aux États-Unis, par un scientifique qui cherchait à mettre au point un médicament contre les ulcères. En goûtant une pincée de sa poudre, il se serait rendu compte qu’elle avait un goût étonnamment sucré. Cette découverte était une bénédiction pour l’industrie alimentaire, qui cherchait une solution de rechange aux cyclamates et à la saccharine, interdits dans les aliments par le gouvernement depuis que des études chez les animaux ont révélé qu’ils entraînaient des cancers. Au Canada, ces deux édulcorants sont tout de même disponibles en sachets dans les épiceries, les pharmacies et les restaurants. L’aspartame a été autorisé dans les aliments secs en 1981, puis dans les boissons gazeuses en 1983.
Commercialisé sous le nom de NutraSweet et d’Égal, l’aspartame est un édulcorant synthétique modifié génétiquement et composé de deux acides aminés (composants des protéines), la phénylalanine et l’acide aspartique. Son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé que celui du sucrose. Pourtant, le cheminement de l’aspartame laisse plutôt un goût amer dans la bouche. Il a même des allures de conspiration, puisque le Pentagone a déjà nommé l’aspartame dans un inventaire d’armes chimiques! En fait, tant G.D. Searle, la compagnie de produits chimiques et pharmaceutiques mentionnée précédemment, que Monsato, maintenant propriétaire et fabricant d’aspartame, ont des liens tangibles avec la fabrication d’armes chimiques…
Des études douteuses
C’est en 1974 que l’aspartame est approuvé pour la première fois. À la suite de deux études démontrant que cette substance cause des tumeurs chez les animaux de laboratoire, l’autorisation est abrogée. Ces études n’ont jamais été réfutées depuis. En septembre 1980, après délibération, un comité de la Food and Drug Administration (FDA) se prononce contre l’aspartame. Quatre mois plus tard, G.D. Searle soumet dix nouvelles études « bidons », qui feront pencher la balance du côté de l’aspartame par un vote: celui du commissaire Arthur Hayes… qui sera plus tard engagé par Searle! Selon le Dr Adrian Gross, ancien toxicologiste de la FDA, ces études sont de la foutaise. Il a noté que des décès d’animaux ont été cachés, que des tumeurs n’ont pas été rapportées et, dans certains cas, qu’elles ont même été extraites de l’animal qui, lui, a été remis dans l’étude!
En 1996, le médecin et professeur Ralph G. Walton, du collège de médecine de la Northeastern Ohio Universities, décide d’analyser l’ensemble des études scientifiques reliées à la consommation d’aspartame. Ses observations parlent d’elles-mêmes: parmi les 174 études analysées, 74 étaient financées par l’industrie de l’aspartame, et 100 % d’entre elles concluaient qu’il n’y avait aucun problème avec ce produit! Cependant, sur 90 études indépendantes (non financées), 83 (92 %) ont plutôt relevé un ou plusieurs problèmes reliés à l’usage de cet édulcorant. L’aspartame est l’objet de controverse depuis son apparition; même son approbation relève d’une décision plus politique que scientifique. Mais avec des revenus se chiffrant dans les milliards de dollars par année, la compagnie Monsato n’est pas prête de lâcher le morceau…
Des effets secondaires troublants
La liste des effets secondaires liés à la consommation d’aspartame est très longue. De plus, selon la revue Headache de novembre 1997, des personnes particulièrement sensibles peuvent ressentir des effets avec de très faibles doses: une gomme à mâcher, par exemple, peut causer un mal de tête! En 1994, la FDA avait déjà accumulé près de 7000 plaintes d’effets secondaires reliés à l’aspartame (l’organisme ne veut d’ailleurs plus compiler les plaintes). Les plus fréquentes sont: maux de tête (ce qui a été confirmé par plusieurs études), vertiges, vision embrouillée, changements d’humeur, douleurs au ventre et crampes musculaires. Aux États-Unis, des pilotes d’avion ont même perdu leur permis pour avoir manifesté ces symptômes dans les heures suivant l’ingestion de boissons à l’aspartame. Des communiqués à cet effet ont d’ailleurs été émis dans les bulletins du U.S. Air Force et du U.S. Navy afin de prévenir le personnel de ce risque.
Parmi les autres symptômes figurent les dépressions, les pertes de mémoire, les douleurs aux jointures, les troubles menstruels, les crises d’épilepsie et même quelques décès! Et il ne s’agit là que d’une fraction des effets actuellement associés à la consommation d’aspartame, puisque la majorité des gens n’ont pas encore fait le lien entre leurs problèmes de santé et ce produit. Même s’ils le font, seul un léger pourcentage des gens et des professionnels de la santé prendront le temps de le rapporter aux autorités gouvernementales.
En 1991, le National Institute of Health a publié une bibliographie, Adverse Effects of Aspartame, énumérant pas moins de 167 raisons d’éviter l’aspartame. Une étude récente a également démontré que l’aspartame, tout comme le sucre, entraîne une calciurie, c’est-à-dire une perte de calcium dans les urines.
Aspartame et gain de poids
Puisque l’aspartame contient le même nombre de calories que le sucre, mais que son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé, comment le pancréas réagit-il lorsque la langue le détecte? Se pourrait-il qu’il envoie une dose massive d’insuline pour contrebalancer cette sensation trompeuse? Est-ce que la chute de sucre qui en résulterait donnerait à nouveau le désir de manger? Selon le neuroscientifique Richard Wurtman, la consommation de doses élevées d’édulcorants comme l’aspartame provoquerait effectivement des « crises » de sucre. L’American Cancer Society a confirmé cette ironie après avoir suivi 80 000 femmes durant six ans. Parmi celles qui ont pris du poids durant cette période, les femmes qui utilisaient des édulcorants artificiels en ont pris davantage que celles qui n’en consommaient pas.
Une autre étude effectuée chez un petit groupe de femmes à la diète démontre qu’elles ont tendance à manger davantage durant les jours qui suivent l’ingestion de boissons sucrées à l’aspartame, comparativement à l’ingestion de boissons sucrées naturellement (étude effectuée par J.H. Lavin et ses collaborateurs, parue en janvier 1997 dans une revue scientifique internationale sur l’obésité). Même le simple fait de mâcher de la gomme sucrée à l’aspartame augmenterait l’appétit. Quelques autres études, toutefois, n’ont pu démontrer ces effets.
On suppose par ailleurs que les gens qui consomment des produits diètes auraient tendance à être moins vigilants: un faux sentiment de sécurité pourrait les porter à manger des gâteries, ici et là, puisqu’ils ont déjà « économisé »… Dans toute cette controverse, une chose est sûre: les édulcorants comme l’aspartame entretiennent le goût du sucre et ne permettent pas de modifier ses habitudes alimentaires, seul gage d’une perte de poids durable.
Diabétiques, s’abstenir
Selon le Dr H. J. Roberts, un endocrinologiste qui en a vu des « vertes et des pas mûres » avec l’aspartame, ce substitut de sucre compliquerait le contrôle de la glycémie chez les diabétiques, entraînant des crises plus fréquentes d’hypoglycémie et aggravant les complications diabétiques (cataractes, rétinopathies, neuropathies, etc.). De plus, chez un certain nombre de ses patients, on a incorrectement diagnostiqué qu’ils étaient atteints de la sclérose en plaques; les médecins dans l’erreur ignoraient que l’ingestion d’aspartame sur une base régulière entraîne des symptômes semblables.
Quoi faire?
Près de 2 % de la population est porteuse, sans le savoir, d’un des deux gènes qui causent la phénylcétonurie. Or, l’aspartame contient de la phénylalanine, un acide aminé que ces personnes ne peuvent utiliser par manque d’une enzyme spécifique. Ces gens doivent éviter tous les produits qui en contiennent – dont l’aspartame – au risque de subir des crises d’épilepsie et des troubles mentaux sévères. Dans le doute, évitez de consommer de l’aspartame.
Si vous souffrez d’un problème de santé persistant et que vous utilisez des produits édulcorés à l’aspartame (boissons diète, gommes à mâcher, sachets, yogourts, etc.), cessez complètement d’en consommer durant un mois afin de voir si vos symptômes diminuent.
Vous devrez lire attentivement les étiquettes de tous les produits que vous achetez, car l’aspartame s’est infiltré un peu partout (voir ci-bas). À mon avis, plus vous vous tiendrez loin de cet additif, mieux vous vous porterez.
Où se cache-t-il?
En 1992, l’aspartame apparaissait dans plus de 4 200 produits alimentaires aux États-Unis : certaines marques de crème glacée, yogourts, puddings, confitures, desserts préparés, céréales à déjeuner, vinaigrettes et dîners surgelés en contiennent. Les pires: les boissons gazeuses « diète », les sachets de sucre Égal et la gomme à mâcher sans sucre. Les médicaments peuvent aussi en contenir, de même que le psyllium sucré « sans sucre » et les suppléments de vitamines croquables pour enfants. Surveillez les étiquettes.
L’aspartame est peu stable dans les liquides et se décompose après une exposition à des températures élevées – ce qui se produit lorsqu’on fait chauffer l’aspartame, qu’on l’ajoute à des liquides chauds (café) ou lorsqu’il est entreposé durant de longues périodes à la température de la pièce. La dégradation du produit entraîne, entre autres, la formation de méthanol, qui se décompose par la suite en formaldéhyde (carcinogène connu), en acide formique et en diketopiperazine (DKP), tous responsables de tumeurs au cerveau.
Ressources
Plusieurs groupes de pressions, dont Mission Possible International, tentent depuis plusieurs années de faire interdire l’aspartame, dont ils dénoncent la nocivité. Cet organisme possède un site Internet rempli de données et de témoignages de médecins et de victimes.Par Hamid CHAFIK