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Oujda: Le nouvel aéroport dès cet été

· Il sera le 2e après celui de Casablanca
· Coût du projet: 340 millions de DH
LE nouvel aéroport d’Oujda sera fin prêt en été. Située à quelques kilomètres seulement de la ville de Saïdia, cette structure mobilise un investissement de près de 340 millions de DH. Tous les moyens sont mis à contribution pour réaliser un aéroport avant-gardiste digne de la région de l’Oriental. Les travaux, qui ont démarré fin 2007, sont bien avancés. Une nouvelle piste d’envol orientée Nord-Sud a été déjà construite. Cette deuxième piste de 3.000 mètres de long et de 45 mètres de large est conçue pour l’accueil de tout type d’avion. Elle est dotée de balisage nocturne et d’équipements de radionavigation. Le projet prévoit, également, la création d’une nouvelle tour de contrôle ainsi qu’une nouvelle aérogare. Bien qu’il soit toujours en cours, le chantier de développement de l’aéroport d’Oujda- Angad fait déjà preuve d’une grande technicité et originalité.
Seule sa conception a nécessité près de six mois. «Nous avons proposé et voulu réaliser un projet d’exception tant sur le plan structurel que spatial», indique Abdou Lahlou, architecte en charge de la conception du futur aéroport d’Oujda. Et d’ajouter: «pour répondre au mieux aux attentes, nous avons essayé d’attribuer à ce projet tous les aspects fonctionnels, technologiques, esthétiques et environnementaux en vigueur». Aussi, de grands travaux ont été réalisés afin de dégager les espaces. L’Office national des aéroports, maître d’ouvrage du projet, s’est ainsi engagé à livrer le chantier dans un délai de 30 mois. «Une structure en charpente métallique juxtaposant l’infrastructure en béton a donné lieu à de grandes portées allant jusqu’à 40 mètres», précise Lahlou. «Ce qui nous a permis une grande liberté par rapport à la forme architecturale et la gestion spatiale intérieure du bâtiment», ajoute-t-il.
Le futur aéroport d’Oujda symbolisera «l’oiseau de fer». «Notre objectif est d’associer cette nouvelle structure à la vision d’une région, voire un pays, qui entre dans une course technologique déjà en cours», tient à préciser l’architecte. Ce qui est original dans la conception de cet aéroport, c’est l’image qu’il dégage si on le voit d’en haut. Les architectes ont voulu jouer sur l’ambivalence de vue qu’offre un aéroport depuis le ciel. Dans ce sens, les passagers auront la possibilité de contempler un aéroport sous forme d’un oiseau déployant ses ailes. Toutefois, la vue de l’extérieur (du côté du parking) restera complètement transparente et ouverte sur la ville. Vu le contraste entre l’opacité des éléments horizontaux et les vitrages de façade, les architectes ont proposé un aéroport complètement ouvert et sans limitation spatiale. D’ailleurs, ce projet aura un référentiel assez atypique. Il abritera, en effet, un jardin intérieur de 600 m2, équipé d’ascenseurs panoramiques, qui accompagnera les voyageurs le long de leur parcours de l’entrée de l’aéroport jusqu’à l’embarquement.Mieux encore. Afin d’éviter la rigidité ou l’angoisse que pourrait éprouver un voyageur une fois à l’aéroport, les espaces seront réalisés avec de grandes hauteurs sous-plafond allant de 4 à 18 mètres. «Ce qui permettra aux clients une liberté d’aménagement et un parcours très agréable où ils pourront flâner entre les commerces ou se restaurer en attendant leur départ», explique Lahlou.
Le volet artisanat et savoir-faire marocain n’est pas négligé dans ce projet. Selon l’architecte Lahlou, le fait de se référencer à la géométrie traditionnelle n’est en aucun cas en contradiction avec l’esprit moderne et contemporain des édifices. Ainsi, la nature de la future aérogare faite de verre, de métal et de pierre a permis de greffer des panneaux de tôle micro-perforée de motifs marocains tels des moucharabiehs. La fonction de ces derniers s’associera, ainsi, aux brise–soleil horizontaux classiques prévus sur la façade. Résultat: les usagers de l’aéroport seront protégés contre les méfaits de l’ensoleillement, tout en profitant d’une luminosité indirecte diffusée naturellement dans l’enceinte. L’éclairage intérieur recours, en effet et pour la première fois au Maroc, à un système de diffusion de lumière très astucieux. De plus, des capteurs solaires seront placés sur la coque supérieure de l’aéroport pour répondre aux besoins électriques de la nouvelle structure. Et pour rendre les vols de nuit attrayants, une façade nocturne est en cours de construction. Ainsi, «l’aéroport qui a emmagasiné une énergie importante pendant la journée restera dynamique même le soir», explique Lahlou.
Trois blocs
LE nouvel aéroport d’Oujda- Angad veut être à l’image des plus grands aéroports internationaux. Il sera, en effet, le 2e aéroport du Royaume après celui de Casablanca, à être équipé de pré-passerelles au nombre de six et d’un tri-bagage automatique. D’une superficie globale de 20.000 m2, sa nouvelle aérogare devrait offrir une capacité additionnelle de 2 millions de passagers par an. Toujours en cours de construction, ce nouveau terminal sera, ainsi, composé de trois blocs. Le premier abritera une zone d’embarquement et un filtre de police départs et arrivées. Un autre espace sera destiné aux enregistrements. Quant au troisième bloc, il sera dédié à la livraison des bagages. Aussi, une superficie de quelque 14.000 m2 sera réservée à un parking automobile d’une capacité totale de 800 places. Pour le stationnement des avions, il est prévu la réalisation de 12 postes supplémentaires sur une superficie de 84.000 m2.
السلام
ما رأكم إخوتي في المستوى المطلوب للباكالرياالفرسية في مادة اللغة الانجليزية، اللغة الاجنبية الاولي المختارة لشعبة علوم وآدابفي نظري مستوي يقارن نظيره الاربي، بصفة عمومية
علما ان الفرنسيين يدرسون هذه اللغة إبتداء من السن الثامن
CE2 ou CM1السؤال الثاني
هل يمكن مقارنته (أي من الجهة الرسمية اي المستوى المطلوب من طرف وزارة التعليم) مع نظيره الجزائري، علما ان في الجزائر تتم دراسة هذه اللغة مثل ما تتم دراستها كلغة اجنبية ثانية في فرنسا- اي من سن 12 او اقل .
Je vous rappelle que, en France, la langue étrangère première, ça commençait depuis l’age de 10-11 ans, et ceci depuis aumoins les années 60 du sciecle dernier.
Depuis les annes 90 – En Europe oxidentale d’une façon générale- les choses ont changées: Les enfants commencèrent à apprendre cette langue (qui est l’anglais dans 90 % des cas choisi par les parents) depuis l’age de l’école, càd CE2 ou CM1 (7 ou 8ans), et non pas le début du Collège (10-11 ans) comme auparavant. Alors que la langue étrangère n°2 ça s’apprennais depuis la mi-collège, càd 12-13 ans ; au moment où, en Algérie, les scolaires commençaient à l’apprendre comme LV1 (12-13 ans). Un pareil changement s’est produit en Algérie dans la mème période (et meme en Tunisie et beacoup ailleurs): le système éducatif Algéiens, desormais fait apprendre l’anglais à ses enfant, non plus 5ans avant le bac mais 7ans. Pour la Tunisie, si les enfants apprennaient l’anglais depuis la dernière année du Collège, cad durant 4 années avant le Bac, depuis de récentes rénovations -en 2000- ils l’apprennent comme leurs homoloques les Européens; durant aumoins 9-10 ans, avant le passage à l’epreuve du Bac.شكرا على التعقيبات
كريم