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Sujet: Belleville pdt le Ramadan
Belleville : un ramadan en or
Un quartier populaire de Paris à l’heure du ramadan
Dossier Joyeux ramadanLe quartier de Belleville de Paris est en effervescence. C’est bientôt l’heure de la rupture du jeun de ramadan. Le monde s’attroupe autour des étalages improvisés et surchargés. Tous les petits commerçants de la rue Jean-Pierre Timbaud ont sorti les tables sur les trottoirs sur lesquelles repose leur marchandise estampillée « spécial ramadan ». Car ils ont bien compris que ce mois béni pour les musulmans l’est aussi pour leurs bénéfices.
Métro Couronnes. La sortie donne sur une rue descendante où se succèdent librairies, boutiques dédiées aux vêtements islamiques et autres bazars de toutes sortes. Les djellabas, foulards, gâteaux, dattes et livres spirituels et religieux se côtoient sur les étagères et dans les bacs, et débordent parfois jusque sur le trottoir.
Les musulmans de Paris, et plus généralement d’Ile-de-France s’y retrouvent pour renouveler leur bibliothèque ou pour se réapprovisionner en nourriture orientale, voire tout simplement pour vivre l’ambiance ramadan. Car celui qui connaît quelque peu le quartier en dehors de cette « saison » un peu particulière que constitue ce mois sacré peut aisément s’apercevoir du changement radical.
Tout au long de l’année, le quartier est plutôt calme. Ceux qui y circulent en temps ordinaire font leurs emplettes et s’en vont, tandis que, durant le mois de ramadan, les trottoirs sont bondés, les tréteaux regorgent de gâteaux et autres galettes, de dattes et de figues, bref, tout ce dont la femme active ou l’étudiant esseulé pourrait avoir besoin est mis à leur disposition… à condition de délier sa bourse !
Dattes et produits laitiers sont les rois des étalages
Il est à préciser que, outre les dattes et les gâteaux, les produits laitiers constituent aussi un produit-phare et rapportent gros aux commerçants durant ce mois. Le beurre, le lait de ferme, le petit lait (laban) et surtout le lait caillé (raïb) parsèment les étalages. « C’est exceptionnellement pendant le mois de ramadan, que nous faisons venir tout ces produits frais de fermes », déclare un commerçant, qui s’est installé juste devant une boucherie halal. Sur l’emballage des produits, aucune indication quant à leur provenance n’y figure. Le commerçant explique que, tous les matins, les produits laitiers provenant d’une ferme basée dans l’Essonne sont livrés par un distributeur de Corbeil-Essonnes.
De l’autre côté de la rue, Lahcène, la vingtaine, tient lui aussi un petit étalage. Le jeune homme se réapprovisionne en lait caillé chez un fermier des Yvelines, plus précisément à Jouy-en-Josas. Le lait caillé est conditionné dans des petits paquets plastiques, et l’adresse de la ferme y est mentionnée. Sur une face, les indications sont inscrites en français et sur l’autre en arabe. Visiblement, les fermiers de la région parisienne se mettent à la page durant le mois de ramadan. « Il n’y a que les musulmans pour consommer du petit lait et du lait caillé », assure Lahcène. « Les fermiers l’ont bien compris », poursuit-il. « Nous, les musulmans, nous aimons les produits naturels et traditionnels. »
Le consommateur averti se sera rendu compte cette année de l’augmentation du prix des dattes. En moyenne, le kilo est à cinq euros. « C’est parce que c’est la récolte de l’année dernière. A Rungis, on les achète à trois euros cinquante. Dans ce prix, il y a le coût de stockage des dattes qui n’ont pas été vendues l’année précédente, c’est pour cela que le prix augmente », assure-t-il.
Lahcène fait habituellement les marchés durant l’année. Le mois de ramadan est pour lui un mois propice pour la vente des produits frais. Et il ne le cache pas. « Je sais que les gens achètent beaucoup de nourritures et de livres, les vêtements pas trop. C’est pour ça que je vends les produits laitiers et les gâteaux, ici dans ce quartier. C’est le moment de me faire un peu plus d’argent. »
De l’eau de Zamzam dans les librairies islamiques
En continuant sur ce trottoir de la rue Jean Pierre Timbaut, une librairie islamique est bondée. A l’intérieur, le client n’y trouvera pas que des livres, loin s’en faut ! A l’entrée, d’emblée des dattes de la Mecque sont entreposées. Du miel, du shampoing à base de graines de Nigel (habba sawda), des savons à l’huile d’olive et même du dentifrice halal au siwak jonchent les étagères.
On y trouve même de l’eau de Zamzam conditionnée soit dans des jars en plastiques, soit dans des petites bouteilles. Cette eau provient de la source Zamzam située à La Mecque. Selon la tradition islamique, cette source a été donnée par Dieu par le biais de l’ange Gabriel à Hagar, mère d’Ismaël et femme d’Abraham, alors qu’elle se trouvait seule dans le désert avec son fils. Source inépuisable, on rapporte qu’en la buvant, toutes les invocations du fidèle sont exaucées.
A trois euros cinquante la bouteille de cinq cents millilitres, l’eau de Zamzam est aussi une source de bénéfice pour les libraires. Finalement, les commerçants ont bien compris que ce mois béni pour les musulmans l’est aussi pour leurs bénéfices.
vendredi 13 octobre 2006,
Nicolas Mom, pour SaphirNews
et sa77a ftourek
Allah ya9bal
bonjour à tous les Franciliens du forum 😉 😉Sujet: tous pour berkane
BERKANE L’HISTORIQUE
La province tire son nom de la ville de Berkane, fondée au début du siècle sur les anciennes ruines d’un village historique, baptisé du nom de l’érudit et saint Sidi Mohamed Ben Elhassan Ben Mekhlouf Errachidi plus connu sous le nom de Sidi Ahmed Aberkane mort en 868 de l’Hégire.
Dans cette note j’invite tous les visiteurs de ce forum et qui s’intéressent à la ville de Berkane de contribuer a donner des suggestions ou meme des idees pour faire face a cette marginalisation , socio-economie , culturelles sports ….
Pour juger sur pieces, voici ce texte
Face aux intimidations islamistes, que doit faire le monde libre ?
par Robert Redeker
Les réactions suscitées par l’analyse de Benoît XVI sur l’islam et la violence s’inscrivent dans la tentative menée par cet islam d’étouffer ce que l’Occident a de plus précieux qui n’existe dans aucun pays musulman : la liberté de penser et de s’exprimer.
L’islam essaie d’imposer à l’Europe ses règles : ouverture des piscines à certaines heures exclusivement aux femmes, interdiction de caricaturer cette religion, exigence d’un traitement diététique particulier des enfants musulmans dans les cantines, combat pour le port du voile à l’école, accusation d’islamophobie contre les esprits libres.
Comment expliquer l’interdiction du string à Paris-Plages, cet été ? Étrange fut l’argument avancé : risque de «troubles à l’ordre public». Cela signifiait-il que des bandes de jeunes frustrés risquaient de devenir violents à l’affichage de la beauté ? Ou bien craignait-on des manifestations islamistes, via des brigades de la vertu, aux abords de Paris-Plages ?
Pourtant, la non-interdiction du port du voile dans la rue est, du fait de la réprobation que ce soutien à l’oppression contre les femmes suscite, plus propre à «troubler l’ordre public» que le string. Il n’est pas déplacé de penser que cette interdiction traduit une islamisation des esprits en France, une soumission plus ou moins consciente aux diktats de l’islam. Ou, à tout le moins, qu’elle résulte de l’insidieuse pression musulmane sur les esprits. Islamisation des esprits : ceux-là même qui s’élevaient contre l’inauguration d’un Parvis Jean-Paul-II à Paris ne s’opposent pas à la construction de mosquées. L’islam tente d’obliger l’Europe à se plier à sa vision de l’homme.
Comme jadis avec le communisme, l’Occident se retrouve sous surveillance idéologique. L’islam se présente, à l’image du défunt communisme, comme une alternative au monde occidental. À l’instar du communisme d’autrefois, l’islam, pour conquérir les esprits, joue sur une corde sensible. Il se targue d’une légitimité qui trouble la conscience occidentale, attentive à autrui : être la voix des pauvres de la planète. Hier, la voix des pauvres prétendait venir de Moscou, aujourd’hui elle viendrait de La Mecque ! Aujourd’hui à nouveau, des intellectuels incarnent cet oeil du Coran, comme ils incarnaient l’oeil de Moscou hier. Ils excommunient pour islamophobie, comme hier pour anticommunisme.
Dans l’ouverture à autrui, propre à l’Occident, se manifeste une sécularisation du christianisme, dont le fond se résume ainsi : l’autre doit toujours passer avant moi. L’Occidental, héritier du christianisme, est l’être qui met son âme à découvert. Il prend le risque de passer pour faible. À l’identique de feu le communisme, l’islam tient la générosité, l’ouverture d’esprit, la tolérance, la douceur, la liberté de la femme et des moeurs, les valeurs démocratiques, pour des marques de décadence.
Ce sont des faiblesses qu’il veut exploiter au moyen «d’idiots utiles», les bonnes consciences imbues de bons sentiments, afin d’imposer l’ordre coranique au monde occidental lui-même.
Le Coran est un livre d’inouïe violence. Maxime Rodinson énonce, dans l’Encyclopédia Universalis, quelques vérités aussi importantes que taboues en France. D’une part, «Muhammad révéla à Médine des qualités insoupçonnées de dirigeant politique et de chef militaire (…) Il recourut à la guerre privée, institution courante en Arabie (…) Muhammad envoya bientôt des petits groupes de ses partisans attaquer les caravanes mekkoises, punissant ainsi ses incrédules compatriotes et du même coup acquérant un riche butin».
D’autre part, «Muhammad profita de ce succès pour éliminer de Médine, en la faisant massacrer, la dernière tribu juive qui y restait, les Qurayza, qu’il accusait d’un comportement suspect». Enfin, «après la mort de Khadidja, il épousa une veuve, bonne ménagère, Sawda, et aussi la petite Aisha, qui avait à peine une dizaine d’années. Ses penchants érotiques, longtemps contenus, devaient lui faire contracter concurremment une dizaine de mariages».
Exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran.
De fait, l’Église catholique n’est pas exempte de reproches. Son histoire est jonchée de pages noires, sur lesquelles elle a fait repentance. L’Inquisition, la chasse aux sorcières, l’exécution des philosophes Bruno et Vanini, ces mal-pensants épicuriens, celle, en plein XVIIIe siècle, du chevalier de La Barre pour impiété, ne plaident pas en sa faveur. Mais ce qui différencie le christianisme de l’islam apparaît : il est toujours possible de retourner les valeurs évangéliques, la douce personne de Jésus contre les dérives de l’Église.
Aucune des fautes de l’Église ne plonge ses racines dans l’Évangile. Jésus est non-violent. Le retour à Jésus est un recours contre les excès de l’institution ecclésiale. Le recours à Mahomet, au contraire, renforce la haine et la violence. Jésus est un maître d’amour, Mahomet un maître de haine.
La lapidation de Satan, chaque année à La Mecque, n’est pas qu’un phénomène superstitieux. Elle ne met pas seulement en scène une foule hystérisée flirtant avec la barbarie. Sa portée est anthropologique. Voilà en effet un rite, auquel chaque musulman est invité à se soumettre, inscrivant la violence comme un devoir sacré au coeur du croyant.
Cette lapidation, s’accompagnant annuellement de la mort par piétinement de quelques fidèles, parfois de plusieurs centaines, est un rituel qui couve la violence archaïque.
Au lieu d’éliminer cette violence archaïque, à l’imitation du judaïsme et du christianisme, en la neutralisant (le judaïsme commence par le refus du sacrifice humain, c’est-à-dire l’entrée dans la civilisation, le christianisme transforme le sacrifice en eucharistie), l’islam lui confectionne un nid, où elle croîtra au chaud. Quand le judaïsme et le christianisme sont des religions dont les rites conjurent la violence, la délégitiment, l’islam est une religion qui, dans son texte sacré même, autant que dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine.
Haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est éduqué, le Coran. Comme aux temps de la guerre froide, violence et intimidation sont les voies utilisées par une idéologie à vocation hégémonique, l’islam, pour poser sa chape de plomb sur le monde. Benoît XVI en souffre la cruelle expérience. Comme en ces temps-là, il faut appeler l’Occident «le monde libre» par rapport à au monde musulman, et comme en ces temps-là les adversaires de ce «monde libre», fonctionnaires zélés de l’oeil du Coran, pullulent en son sein
😥 😥
c le texte de ce philosophe
à qui le tour la prochaine fois
et dernierement une mosqueé en balieue parisienne a été cible de tags
racistes personne n’en parle
les autorites musulmanes ou representants des musulmans en France font pas grand chose
😥 😥