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15 réponses de 1,726 à 1,740 (sur un total de 1,955)
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  • #208333

    En réponse à : la mentalité des oujdis suite

    fadi
    Membre

    Oubliez cette histoire d’Oujdi Berkani Fassi Marrakchi Blabla 🙄
    On est tous des marocains ici ..

    #201702
    manara
    Membre

    Pour juger sur pieces, voici ce texte

    Face aux intimidations islamistes, que doit faire le monde libre ?

    par Robert Redeker

    Les réactions suscitées par l’analyse de Benoît XVI sur l’islam et la violence s’inscrivent dans la tentative menée par cet islam d’étouffer ce que l’Occident a de plus précieux qui n’existe dans aucun pays musulman : la liberté de penser et de s’exprimer.

    L’islam essaie d’imposer à l’Europe ses règles : ouverture des piscines à certaines heures exclusivement aux femmes, interdiction de caricaturer cette religion, exigence d’un traitement diététique particulier des enfants musulmans dans les cantines, combat pour le port du voile à l’école, accusation d’islamophobie contre les esprits libres.

    Comment expliquer l’interdiction du string à Paris-Plages, cet été ? Étrange fut l’argument avancé : risque de «troubles à l’ordre public». Cela signifiait-il que des bandes de jeunes frustrés risquaient de devenir violents à l’affichage de la beauté ? Ou bien craignait-on des manifestations islamistes, via des brigades de la vertu, aux abords de Paris-Plages ?

    Pourtant, la non-interdiction du port du voile dans la rue est, du fait de la réprobation que ce soutien à l’oppression contre les femmes suscite, plus propre à «troubler l’ordre public» que le string. Il n’est pas déplacé de penser que cette interdiction traduit une islamisation des esprits en France, une soumission plus ou moins consciente aux diktats de l’islam. Ou, à tout le moins, qu’elle résulte de l’insidieuse pression musulmane sur les esprits. Islamisation des esprits : ceux-là même qui s’élevaient contre l’inauguration d’un Parvis Jean-Paul-II à Paris ne s’opposent pas à la construction de mosquées. L’islam tente d’obliger l’Europe à se plier à sa vision de l’homme.

    Comme jadis avec le communisme, l’Occident se retrouve sous surveillance idéologique. L’islam se présente, à l’image du défunt communisme, comme une alternative au monde occidental. À l’instar du communisme d’autrefois, l’islam, pour conquérir les esprits, joue sur une corde sensible. Il se targue d’une légitimité qui trouble la conscience occidentale, attentive à autrui : être la voix des pauvres de la planète. Hier, la voix des pauvres prétendait venir de Moscou, aujourd’hui elle viendrait de La Mecque ! Aujourd’hui à nouveau, des intellectuels incarnent cet oeil du Coran, comme ils incarnaient l’oeil de Moscou hier. Ils excommunient pour islamophobie, comme hier pour anticommunisme.

    Dans l’ouverture à autrui, propre à l’Occident, se manifeste une sécularisation du christianisme, dont le fond se résume ainsi : l’autre doit toujours passer avant moi. L’Occidental, héritier du christianisme, est l’être qui met son âme à découvert. Il prend le risque de passer pour faible. À l’identique de feu le communisme, l’islam tient la générosité, l’ouverture d’esprit, la tolérance, la douceur, la liberté de la femme et des moeurs, les valeurs démocratiques, pour des marques de décadence.

    Ce sont des faiblesses qu’il veut exploiter au moyen «d’idiots utiles», les bonnes consciences imbues de bons sentiments, afin d’imposer l’ordre coranique au monde occidental lui-même.

    Le Coran est un livre d’inouïe violence. Maxime Rodinson énonce, dans l’Encyclopédia Universalis, quelques vérités aussi importantes que taboues en France. D’une part, «Muhammad révéla à Médine des qualités insoupçonnées de dirigeant politique et de chef militaire (…) Il recourut à la guerre privée, institution courante en Arabie (…) Muhammad envoya bientôt des petits groupes de ses partisans attaquer les caravanes mekkoises, punissant ainsi ses incrédules compatriotes et du même coup acquérant un riche butin».

    D’autre part, «Muhammad profita de ce succès pour éliminer de Médine, en la faisant massacrer, la dernière tribu juive qui y restait, les Qurayza, qu’il accusait d’un comportement suspect». Enfin, «après la mort de Khadidja, il épousa une veuve, bonne ménagère, Sawda, et aussi la petite Aisha, qui avait à peine une dizaine d’années. Ses penchants érotiques, longtemps contenus, devaient lui faire contracter concurremment une dizaine de mariages».

    Exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran.

    De fait, l’Église catholique n’est pas exempte de reproches. Son histoire est jonchée de pages noires, sur lesquelles elle a fait repentance. L’Inquisition, la chasse aux sorcières, l’exécution des philosophes Bruno et Vanini, ces mal-pensants épicuriens, celle, en plein XVIIIe siècle, du chevalier de La Barre pour impiété, ne plaident pas en sa faveur. Mais ce qui différencie le christianisme de l’islam apparaît : il est toujours possible de retourner les valeurs évangéliques, la douce personne de Jésus contre les dérives de l’Église.

    Aucune des fautes de l’Église ne plonge ses racines dans l’Évangile. Jésus est non-violent. Le retour à Jésus est un recours contre les excès de l’institution ecclésiale. Le recours à Mahomet, au contraire, renforce la haine et la violence. Jésus est un maître d’amour, Mahomet un maître de haine.

    La lapidation de Satan, chaque année à La Mecque, n’est pas qu’un phénomène superstitieux. Elle ne met pas seulement en scène une foule hystérisée flirtant avec la barbarie. Sa portée est anthropologique. Voilà en effet un rite, auquel chaque musulman est invité à se soumettre, inscrivant la violence comme un devoir sacré au coeur du croyant.

    Cette lapidation, s’accompagnant annuellement de la mort par piétinement de quelques fidèles, parfois de plusieurs centaines, est un rituel qui couve la violence archaïque.

    Au lieu d’éliminer cette violence archaïque, à l’imitation du judaïsme et du christianisme, en la neutralisant (le judaïsme commence par le refus du sacrifice humain, c’est-à-dire l’entrée dans la civilisation, le christianisme transforme le sacrifice en eucharistie), l’islam lui confectionne un nid, où elle croîtra au chaud. Quand le judaïsme et le christianisme sont des religions dont les rites conjurent la violence, la délégitiment, l’islam est une religion qui, dans son texte sacré même, autant que dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine.

    Haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est éduqué, le Coran. Comme aux temps de la guerre froide, violence et intimidation sont les voies utilisées par une idéologie à vocation hégémonique, l’islam, pour poser sa chape de plomb sur le monde. Benoît XVI en souffre la cruelle expérience. Comme en ces temps-là, il faut appeler l’Occident «le monde libre» par rapport à au monde musulman, et comme en ces temps-là les adversaires de ce «monde libre», fonctionnaires zélés de l’oeil du Coran, pullulent en son sein

    😥 😥
    c le texte de ce philosophe
    à qui le tour la prochaine fois
    et dernierement une mosqueé en balieue parisienne a été cible de tags
    racistes personne n’en parle
    les autorites musulmanes ou representants des musulmans en France font pas grand chose
    😥 😥

    #214815

    En réponse à : jm trop Berkane!!!

    tachafine
    Membre

    @zhm wrote:

    mazbalate berkane ou bien mazbalate atarikh ? !!
    stp plus de précision c’est important ! car la jvien de comprendre et grace a ton poste que berkan est mazbalte atarikh .
    relis ton poste stp !

    c scientifique ce que tu vient de dire ? si c oui explique toi plus ou bien donne nous qulque chose de plus logique pour confirmer tes blagues lalla et pour dire que berkane est une mazbalat attarikh !!!! alors aray ma3andak ,;;;

    si non alors tu veut prouve klk chose que tu as dans ton crane , c’est a dire
    une maladie de dire que tu es plus civiliser ou plus eduque ou plus raciste , se sont des paroles des racistes , revoi ton language chere zhm

    BERKANE L’HISTORIQUE

    La province tire son nom de la ville de Berkane, fondée au début du siècle sur les anciennes ruines d’un village historique, baptisé du nom de l’érudit et saint Sidi Mohamed Ben Elhassan Ben Mekhlouf Errachidi plus connu sous le nom de Sidi Ahmed Aberkane mort en 868 de l’Hégire.

    la Province Berkane s’étend sur une superficie de 1985 km², soit 2.4% de la superficie de la région de l’Oriental. Elle est limitée au Nord par la Méditerranée, à l’Est par la frontière Maroco-Algérienne et la Préfecture d’Oujda-Angad, à l’Ouest par la Province de Nador et au Sud par la Province de Taourirt.
    La situation géographique privilégiée de la province de Berkane à proximité des marchés extérieurs notamment européens et maghrébins la prédispose à devenir un pôle de développement important tant pour la région de l’Oriental, qu’au niveau national.

    Données géographiques : des reliefs contrastés
    * Relief
    Le paysage est marqué par des reliefs contrastés du Nord au Sud :
    * La plaine de. Triffa dont l’altitude moyenne est de 200 mètres, s’étend sur une superficie de 61.060 hectares (dont 39.600 ha irrigués) en rive droite de l’oued Moulouya qui constitue le principal drain du réseau hydrographique de la région (1Millards m 3/an). Elle s’insère entre les monts de Béni-Snassen au sud et les collines d’Ouled Mansour au nord qui la séparent de la petite plaine côtière de Saidia.
    * La chaîne de Béni-Snassen, dont les massifs culminent à 1429 mètres, au sommet de Jbel Bou Zaâbel.
    * Climat
    Le climat dominant dans la région est de type méditerranéen semi-aride avec :
    * Une pluviométrie moyenne annuelle faible et irrégulière (300 mm) ; les précipitations sont concentrées sur les mois de décembre, janvier et avril ;
    * Des températures moyennes annuelles variant entre 5,2°C et 18,7°C l’hiver, 18,5°C et 31°C l’été.

    LE POTENTIEL TOURISTIQUE

    La Province de Berkane est parée d’atouts naturels, culturels et traditionnels qui en font une destination phare pour les visiteurs en quête de détente sur les sables dorés d’une plage méditerranéenne, pour les fervents des grands espaces désireux de respirer l’air pur de la montagne et d’explorer une nature sauvage, exotique et dépaysante ou pour ceux qui, réfractaires aux musées, veulent découvrir in situ les traditions, rites et croyances d’une culture mystérieuse et insolite.
    En effet, la Province est dotée d’un rivage méditerranéen de 14Km, de forêts naturelles qui serpentent les monts de Béni Snassen vers les gorges de Zegzel, de grottes préhistoriques, mondialement connues, et de sources thermales réputées pour leurs vertus curatives.

    Le tourisme balnéaire : station balnéaire de Saidia

    La Ville de Saïdia est située à l’extrême Nord-est du Maroc sur un tronçon d’une vingtaine de kilomètres, à 20 Km de la ville de Berkane et 60 Km de la ville d’Oujda. Cette petite ville littorale occupe une position géographique privilégiée et constitue un carrefour incontournable ouvert sur les marchés européens et maghrébins et à proximité des principales voies de desserte terrestres, aériennes et maritimes (à 2 heures d’avion de l’Europe, à 50 Km et 60 Km respectivement de l’aéroport Oujda-Angad et de la gare ferroviaire d’Oujda, à 80 Km du port de Nador et de l’aéroport de Aroui et à 90 Km du port et de l’aéroport de Melilla).
    Le premier noyau de la ville date de 1883 et fût l’œuvre du Sultan Hassan Premier qui bâtit une Casbah de 15.600m2 de superficie sur la rive gauche de l’embouchure de l’Oued Kiss. Ce monument, vestige seigneurial d’épopées glorieuses, servait entre autre de bastion de la résistance face à l’hégémonie des envahisseurs.
    Bien qu’elle remonte à l’orée du 19ème siècle, c’est du temps du protectorat français (1927) que la ville a été aménagée en tant que station balnéaire faisant le bonheur des autochtones et de l’ensemble de la présence coloniale dans l’Oriental.
    Transformée en commune urbaine en 1992, la ville de Saïdia compte actuellement en temps normal, quelques 3338 habitants (RGPH, 2004) et reçoit des milliers de visiteurs en période estivale attirés par ses atouts touristiques multiples et diversifiés.

    Plage – Soleil

    Considérée comme l’une des plus belles plages du Royaume, Saïdia possède des atouts naturels indéniables à même de séduire les plus exigeants en matière de tourisme balnéaire. Son climat idéal (plus de 300 jours de soleil par an avec des températures moyennes annuelles oscillant entre 18 C° l’hiver et 31 C° l’été), ses 14 Km de sable fin doré, la clarté de ses eaux propres pour la baignade et animées d’une faible houle et l’exubérance de ses paysages attirent chaque année plus de 200.000 visiteurs venus des quatre coins du pays et de l’étranger avec une forte présence des MRE (14,5% du total des estivants), plus particulièrement lors de la tenue du « Festival de Saïdia » mis sur pieds depuis 1980 pour promouvoir le patrimoine culturel et artistique que recèle l’Oriental.

    Infrastructures et Animation

    Les potentialités de cette station prêtant à une plus grande exploitation et ouvrant des perspectives d’investissements considérables, sont rehaussées par les équipements qu’offre la ville en matière touristique et renforcée par le port de plaisance, la rocade longeant le rivage méditerranéen sur 560 Km et reliant Saïdia à Tanger, l’école hôtelière et par l’essor qu’ont connu les festivités aussi bien artistiques, culturelles que sportives organisées en marge du festival rendez-vous incontournable.
    Tous ces attraits prédisposent Saïdia à devenir une importante destination touristique entraînant la mise en valeur d’autres localités proches, le long de la même côte ainsi que vers l’arrière pays (surtout la zone des Béni Snassen).

    Le tourisme vert

    Les monts de Béni Snassen
    A quelques kilomètres au sud de la ville de Berkane, les monts de Béni Snassen constituent un terrain de prédilection pour les amateurs de tourisme de montagne. On y trouve un éventail de paysages et de sites, tous aussi fascinants les uns que les autres. Le SIBE des Béni-Snassen englobe deux zones : la première (6.150 ha) comprend de magnifiques paysages (grottes, falaises, escarpements) recouverts principalement de Thuyas, et la seconde (600 ha) referme la très belle chênaie du jbel Foural, habitat naturel d’une riche faune zoologique et ornithologique (Sangliers, Lièvres, Lapins, Perdrix, Pigeons, Tourterelles, etc.). Dans ces décors paradisiaques on peut s’adonner à la randonnée pédestre ou équestre, s’assoupir à l’ombre d’un chêne bercer par les murmures des eaux argentées d’un ruisseau, escalader les façades des gorges de Zegzel, découvrir la faune et la flore locales, savourer à l’issue d’une battue de chasse l’ivresse d’une belle capture ou se détendre dans la quiétude qui règne à Tafoghalt, un pittoresque petit village rustique situé en pleine forêt méditerranéenne (Thuya Chênes verts, Genévrier, Oxycèdre, Pin d’Alep, etc.). Son climat doux et frais l’été soulage les visiteurs de la chaleur qui sévi en plaine pendant cette saison. Il est fréquent que les cimes avoisinantes se tapissent l’hiver d’une couche de neige évoquant les fabuleux paysages du Haut Atlas marocain.

    Vallée de Zegzel
    Emprunter la vallée de Zegzel c’est aller à la rencontre d’une végétation luxuriante, offrande généreuse de l’Oued Zegzel qui du cœur des montagnes de Béni-Snassen dévale les pentes au fond de gorges abruptes. Tout au long de ses méandres orangers, citronniers, néfliers, amandiers, légumes et céréales, jardins en terrasse verdoyants suspendus aux versants et constituant une toile bariolée aux tons impressionnistes, semblent s’accrocher de toutes leurs racines à la terre qui leur a donné vie. Les versants plus ou moins raides de ces monts et la rigueur de leurs hivers n’ont pas dissuadé leurs habitants, tirant leur subsistance d’une agriculture artisanale, de l’élevage et de la forêt, d’y bâtir des villages parfaitement intégrés à l’environnement.

    Sites archéologiques et historiques

    Grotte des pigeons
    La grotte karstique dite ‘’grotte des pigeons’’ à cause des nombreux pigeons qui y vivent, se trouve à l’entrée de la vallée de Zegzel, à 2 km à l’Est du village rustique de Tafoghalt. C’est une grande cavité largement ouverte vers l’extérieur présentant une entrée en forme d’arche. Découverte en 1908, la grotte est un gisement préhistorique mondialement connu en raison de l’importance des résultats scientifiques qu’elle a permis d’obtenir. Les fouilles entreprises en 1959 ont mis à jour plusieurs niveaux archéologiques contenant des restes d’animaux et des outils de pierre taillée datant du Paléolithique ( entre 40000 et 100000 ans). La grotte a ensuite connu 23 occupations successives au cours de l’Epipaléothique par une population de chasseurs qui allumaient à l’intérieur de grand feux provoquant la formation de couches cendreuses pouvant atteindre plus de quatre mètres. Les mesures de radiocarbone ont permis de dater ces couches cendreuses de 10.500 à 12.500 ans. Les spécialistes déterrèrent plus de 100.000 outils en pierre taillée, des restes d’animaux et surtout 180 sépultures d’individus appartenant à une race autochtone baptisée « homme de Tafoghalt » qui est à l’origine des populations berbères actuelles. Ces individus ont été enterrés selon un rituel funéraire qui laisse penser que les Epipaléolithiques avaient des sentiments religieux. Tous ces résultats font de la grotte de Tafoghalt un gisement unique au Maghreb qui n’a d’équivalent qu’en Egypte ou au Proche Orient.

    Grotte du chameau
    Perdu parmi les contreforts de l’Oriental, la grotte du chameau est un site historique et archéologique qui fait partie de ces havres de paix, de beauté et de calme où l’on peut se réfugier loin de la pollution et du stress des grandes villes. C’est également un haut lieu de spéléologie où d’insolites silhouettes de terre s’élancent vers le plafond à la rencontre d’autres descendantes, les stalagmites et les stalactites forment un rempart de multiples colonnes patiemment sculptées dans le calcaire par les eaux d’infiltration durant des millénaires. Vu sa dimension, sa valeur comme habitat préhistorique, la beauté exceptionnelle de son site, son accessibilité, sa situation géographique privilégiée au sein des Béni-Snassen, à proximité du centre d’estivage de Tafoghalt et de la grotte des pigeons ( 5km),la grotte du chameau est une destination de choix pour les épris des grands espaces.La grotte s’ouvre dans la vallée de l’oued Farrouj, affluent de l’oued Zegzel, au coeur du massif des Béni-Snassen, sur la rive droite duquel elle présente deux entrées. C’est une grotte à trois étages de galeries, dont la partie inférieure est toujours en activité après de fortes pluies. On accède à la grotte par une entrée supérieure ; une concrétion en forme de chameau qui a donné son nom à la grotte.

    Le tourisme écologique

    Le Site d’Intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) de la Moulouya
    Sur une superficie de 2700 Ha s’étale le SIBE de la Moulouya, un site naturel particulier sans équivalent sur la côte méditerranéenne orientale en matière de biodiversité, en particulier pour l’Herpétofaune et l’Avifaune, avec la présence de nombreuses espèces menacées et remarquables.
    L’Embouchure de la Moulouya (le seul cours d’eau marocain important se déversant dans la Méditerranée) est classée comme site d’intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) sur une superficie de 2.700 Hectares environ. Il comprend l’oued Moulouya ( de l’embouchure jusqu’à Ain Zerga), le cap sableux (Est de l’embouchure), l’arrière plage (falaises incluses) et les marais d’Ain Zerga, des Chrarba et gueltat Sidi Boudiaqui. Ces marais constituent de superbes étendues d’eau douce provenant de l’accumulation de précipitations pluviales et de résurgences ; ils sont cernés par une dense végétation palustre (Salicornes, Typhas, Roseaux,…), qui les rend quasiment inaccessibles. Ces zones abritent une avifaune riche et diversifiée comprenant des espèces endémiques d’importance mondiale à savoir : L’Ibis chauve, la Sarcelle marbrée, le Goéland d’Audouin, etc, et d’importantes populations d’oiseaux nicheurs tels que les poules sultanes, le héron pourpré, le busard cendré et Plusieurs espèces de fauvettes aquatiques. Elles constituent, par ailleurs, la plus importante escale migratoire de l’oriental, accueillant des espèces hivernantes dont certaines sont menacées d’extinction tels que les canards colverts, les oies cendrées, etc. Le tapis végétal environnant est composé de sansouïres à salicornes accompagnées de phragmites, de jonc, etc. L’herpétofaune (reptiles et amphibiens) de ce site est remarquable avec des espèces reliques endémiques de la région de Kebdana et l’Oranais, considérées comme éteintes de la planète depuis un siècle (Chalcides mauritanicus et Chalcides parallelus). Ces lieux d’une rare beauté où on peut contempler des levées et couchées de soleil féeriques, offrent un cadre agréable pour le tourisme vert.

    Phyto-écologie : 95 espèces représentant 38 familles avec de nombreuses formes endémiques, rares, remarquables et plantes médicinales qui abritent de nombreuses espèces dont 12 endémiques et rares.
    Habitat : Ripisylve de Tamarix d’une densité exceptionnelle abritant un peuplement spécifique d’une diversité unique au Maroc.
    Invertébrés Terrestres : sur 216 taxons retenus, 8 n’ont pas été trouvé ces 230 dernières années, 19 endémiques, 32 rares au Maroc et 5 classés comme espèces vulnérables inscrites sur la liste des espèces protégées au Maroc.
    Herpétologie : 23 espèces dont 8 remarquables par leur endémisme et leur rareté, notamment Testudo graeca et Chamaeleo chamaeleo, deux espèces qui figurent sur la liste rouge internationale.

    Site de la cigogne blanche
    A la sortie de la ville de Berkane, sur la rive droite de l’Oued Cherâa à proximité du ‘’Darih’’ de Sidi Ahmed Aberkane saint, patron de la ville, et à quelques dizaines de mètres de la grande mosquée, se localise le SIBE de la cigogne blanche. On y dénombré 33 nids juchés en haut de vieux et grands eucalyptus témoins silencieux de l’évolution et de l’extension de cette agglomération. Cette colonie est l’une des deux plus importantes du Maroc après celle des murailles de Dar El Kbira de Méknes (42 nids). Ce site constitue, d’ailleurs, l’un des rares points de concentration où ces grands échassiers se reproduisent normalement.

    Le Thermalisme

    La source de Fezouane

    merci a http://said35.chez-alice.fr/
    La source thermale de Fezouane est située au piémont nord des Béni Snassen. Elle est née à l’issue d’une intense activité volcanique durant la fin du tertiaire et le début du quaternaire. Elle a pris du renom et de l’importance avec le premier sondage effectué par les pouvoirs publics entre le 29 Octobre 1961 et le 14 Janvier 1962.
    Ses eaux de bonne qualité, appartiennent au groupe des bicarbonates calco- magnésiennes. Elles sont appréciées pour leurs propriétés curatives, notamment dans le traitement des maladies des reins.

    La source thermale de Chouihiya

    Une source dont les eaux possèdent des propriétés thérapeutiques en dermatologie, se situe au centre de la commune rurale de Chouihiya à 30 Km de la ville de Berkane.

    L’héritage culturel

    Toute forme d’art est une source de renseignement sur la vie, la pensée et la sensibilité des hommes qui le crée. Le patrimoine culturel de la région de l’oriental s’est imprégné au cours de son histoire de traditions héritées des différentes civilisations qui s’y sont relayées.

    Artisanat

    Les produits de l’artisanat locale offrent une variété appréciable d’articles tels que couvertures, tapis, djellabas, robes et caftans au style Oujdi (mansouj), et produits de vannerie, ainsi que différents autres objets à base d’Alfa (paniers,…), se sont de véritables œuvres d’art reflétant la créativité et la sensibilité des artisans de cette région.

    Chants, musiques et danses traditionnelles

    Cette région se distingue par ses chants, ses musiques et ses danses populaires : Ahidous, Laâlaoui et ses variantes le Mengouchi , le Nhari et le Sghairi, des formes d’expression rythmées riches en percussions. Ces danses séculaires exécutées par plusieurs danseurs se tenant à coude et se mouvant comme un seul corps, exaltent le courage et la solidité des guerriers face à l’ennemi. La province possède également des groupes de Bardias, uniques en leur genre au Maroc. Se sont des guerriers à pied exécutant des figures expressives ; fusils à la main ils terminent leur prestation dans un nuage de poudre.

    😉 😉 😉 😉

    Anonymous
    Membre

    @Anonymous wrote:

    @Mokhtar wrote:

    ………. car j’estime que mr iznassen a une demarche honnete , même si certains peuvent avoir d’autres points de vue . Mais ceci est normal, quels sont les historiens qui n’ont pas des variantes dans certains évenements ou certaines histoires ? … l’essentiel est l’esprit constructif , l’honnêteté intellectuelle et surtout la recherche de la vérité .

    A+

    salam
    on ne peut parler d’honettetè dans les propos d’IZNASSEN » pour la simple raison que dans plusieurs interventions dans d’autre topics mais toujours en ralation avec la » berberitè du Maroc « ;Monsieur Iznassen n’arrete pas de proner son combat pour les minoritès et leurs droits ,et montre bien sa haine pour: et je le cite « arabisation aberante « 
    or comme il est relatè dans plusieurs ouvrages concernant le maroc et dont je cite un de memoire « Rencontre avec le maroc »
    il est bien defini que la population Marocaine est a 80% Berbere donc on peut la qualifier de tout sauf de minoritè .
    ceci dit que le combat que mene monsieur iznassen est pour la majoritè pas pour la minoritè qui est par definition les 20 % constituè d’arabe……. ce qui me pousse a dire a monsieur Iznassen si minoritè il ya a defendre c’est bel et bien celle des arabes qui constitue les 20% sinon dans le cas contraire je ne crois pas que ce soit un combat pour la minoritè mais une incitation a la haine raciale

    Mchichi
    Membre

    بسم الله الرحمـان الرحيم

    Un grand bonjour à toi Dr. Bouayad, et Merci pour les efforts consentis pour nous éclairer, et comme chaque fois vous nous impressionné, et en se basant toujours sur des références. C’est une chance de vous avoir.

    Un salut également à notre ami et voisin de Tlemcen, Mr. Bouayad, concernant le livre dont il est question, nous pouvons le procurer du Maroc, car je vais assister à une conférence là bas au mois de novembre, je peux l’ajouter dans ma liste de livres que j’ai l’intention de me les procurer. Ces livres concernent l’histoire des grandes familles (Ouled M’chich, etc.). Et ceci cher compatriote de Tlemcen peut constitué un thème de recherche et d’exposé à l’université tant le nom Bouayad et (Tabet par alliance) est porté par de nombreuses personnes à Tlemcen, Oujda, Sidi-Bel-Abbès, Oran etc…Ceci peut nous emmener même très loin vers des archives à Istambul, car sans doute, il existe la bas aussi des gens qui s’intéresse sur le sujet, et il y’a à Istambul une communauté francophone très instruite et qui peut aider à élaborer ce genre de thème.

    Avec toutes mes amitiés et des plus sincères.
    رمضان كريــــــــــم وكـــل عـــام ومغربنا العربـــــي الإسلامـــي بخيـــر

    و السلام عليكم و رحمة الله

    Miloua Fodil (M’chichi)
    Universiatire Sidi-Bel-Abbès.
    Algérie.

    #201686
    Mchichi
    Membre

    بسم الله الرحمـان الرحيم

    Un grand bonjour à toi Dr. Bouayad, et Merci pour les efforts consentis pour nous éclairer, et comme chaque fois vous nous impressionné, et en se basant toujours sur des références. C’est une chance de vous avoir.

    Un salut également à notre ami et voisin de Tlemcen, Mr. Bouayad, concernant le livre dont il est question, nous pouvons le procurer du Maroc, car je vais assister à une conférence là bas au mois de novembre, je peux l’ajouter dans ma liste de livres que j’ai l’intention de me les procurer. Ces livres concernent l’histoire des grandes familles (Ouled M’chich, etc.). Et ceci cher compatriote de Tlemcen peut constitué un thème de recherche et d’exposé à l’université tant le nom Bouayad et (Tabet par alliance) est porté par de nombreuses personnes à Tlemcen, Oujda, Sidi-Bel-Abbès, Oran etc…Ceci peut nous emmener même très loin vers des archives à Istambul, car sans doute, il existe la bas aussi des gens qui s’intéresse sur le sujet, et il y’a à Istambul une communauté francophone très instruite et qui peut aider à élaborer ce genre de thème.

    Avec toutes mes amitiés et des plus sincères.
    رمضان كريــــــــــم وكـــل عـــام ومغربنا العربـــــي الإسلامـــي بخيـــر

    و السلام عليكم و رحمة الله

    Miloua Fodil (M’chichi)
    Universiatire Sidi-Bel-Abbès.
    Algérie. 😛

    #216223

    En réponse à : vive berkane

    hatim70
    Membre

    😆 c vrais je suis de berkane et jusqu’a present je ne comprend pas pourquoi ont dit des blagues surtout sur les brakanas , ca c sur que c une maladie de cette region c sur peut etre que les gents n’ont rien a faire que de raconter des blagues sur une region de l’oriental qui a une tres grande histoire dans le combat du colonialisme francais , retourner a l’histoire ; liser ce qu’ont fait les combattants de beni yaznassen , est ce ces combattants la etaient MKALKHINE qu’il ont combatu les francais avec bravoure et courage pour notre pays ,c pas juste de dire ces blagues , ca n’avancera a rien .
    venez a berkane et vous allez voir pourquoi les francais ont construit la premiere ecole au maroc en 1909 maintenant lycee  »abou al kheir » a cette ville ; a cette ville il a eu des naissances des grands hommes ,comme bekkay lahbil le premier ministre du 1er gouvernement du pays qui est de berkane.
    domage on souffre a berkane de la marginalisation de cette superbe ville situe dans le milieu/ saidia 23klm ,oujda 60km,nador80km, ahfir 19km,tafoughalt 15km,fezouane 08km c pour ca ont doit lutter pour faire vivre cette ville des combattants …

    #208018

    En réponse à : BARKANI

    hatim70
    Membre

    fiere d’etre berkani ,la ville des revolte de beni yeznzssen ,les montagnes de tafoughalte vous donneront l’histoire des berkanis qui ont pu dire non a l’occupation francaise , des vrais combattants , des vrais moujhadines en arabe RJAL DYAL HAD LABLAD et maintenant ont entend dire des blagues sur les berkanis pourqoui cet acharnement cette haine pour rien, a quoi sert de dire des blagues sur les citoyens de notre ville ,est ce vous aller ricolter qlq chose , vous ne semer que de la haine entre les musulmans avec ses blague ,ca c sur et certains ,revener a l’origine de cette region cambattante et vous aller trouver une reponse a vos blagues ; en tout cas mois je suis de berkane mon pere de tafoughalt et ma mere d’oujda et je suis fiere que je soi berkani ,eh oui je suis fiere je le redit ana berkani; je suis de blad chouhada ou blad rjal galou rassna kassah parce que je n’aime pas les mounafikin et les tricheures , j’ai ma parole et j’aime tout les fideles de la region de beni yaznassen ;;;; pour les chouhada de berkane beni yaznassen ……………… 😮

    #213642

    En réponse à : chorfas ou sherifs

    manara
    Membre

    @dawy wrote:

    Chère MANARA salut !
    Veux-tu bien diriger vers nous ton manar et etre plus explicite?.

    moi manara toi dawy 😆
    sbah lkhir
    je disais donc que ce terme de chrofa ou de chrif
    normalement n’a pas lieu d’etre
    je dis bien normalement car il est tjrs là et ce depuis des lustres
    et dans l’histoire de la civilisation arabo musulmane
    ce chorafa aw charaf est utilse pour justifier la légimite au pouvoir
    et ça va par fois à des guerre intestines des guerres de clans
    moi plus chrif que toi …etc
    ( les fatimides par exemple ont legitimer leur pouvoir car  » yantassibou ila fatima radiya Allaho 3anha)
    ton sujet est vraiment tres interressant et je te remercie de l’avoir poste
    d’autre part: le cherif à l’echelle des ptites tribues orientale à oujda et sa region releve de lahogra et de l’esclavage
    et on oublie carrement le mot ta9wa

    Anonymous
    Membre

    @Anonymous wrote:

    @Mokhtar wrote:

    ………. car j’estime que mr iznassen a une demarche honnete , même si certains peuvent avoir d’autres points de vue . Mais ceci est normal, quels sont les historiens qui n’ont pas des variantes dans certains évenements ou certaines histoires ? … l’essentiel est l’esprit constructif , l’honnêteté intellectuelle et surtout la recherche de la vérité .

    A+

    salam
    on ne peut parler d’honettetè dans les propos d’IZNASSEN » pour la simple raison que dans plusieurs interventions dans d’autre topics mais toujours en ralation avec la » berberitè du Maroc « ;Monsieur Iznassen n’arrete pas de proner son combat pour les minoritès et leurs droits ,et montre bien sa haine pour: et je le cite « arabisation aberante « 
    or comme il est relatè dans plusieurs ouvrages concernant le maroc et dont je cite un de memoire « Rencontre avec le maroc »
    il est bien defini que la population Marocaine est a 80% Berbere donc on peut la qualifier de tout sauf de minoritè .
    ceci dit que le combat que mene monsieur iznassen est pour la majoritè pas pour la minoritè qui est par definition les 20 % constituè d’arabe……. ce qui me pousse a dire a monsieur Iznassen si minoritè il ya a defendre c’est bel et bien celle des arabes qui constitue les 20% sinon dans le cas contraire je ne crois pas que ce soit un combat pour la minoritè mais une incitation a la haine raciale

    #215421

    En réponse à : Le Pape !

    Alaa-eddine
    Participant

    Quelle est la réflexion d’un mulsuman découvrant que les Chrétiens « rattrapent » en quelque sorte les musulmans, en ayant à leur tour un Chef de file intégriste ?

    J’aimerai tout d’abord lever un peu l’ambiguité de cette phrase !
    de quel chef intégriste musulmant parlez vous ?
    jusqu’a quand le monde vas continuer à confondre (intentionnelement ou par manque d’informations) entre l’islam qui est une religion et l’islamisation qui est une idéologie !?

    c’est peut etre aussi un peu à cause de nous musulmants qui faisons pas assez d’efforts pour faire connaitre les vrais principes de nos religion, mais surtout de fous intégristes de toutes les religions qui font tous pour revoir exploser une guerre des religions!

    personnelement, je n’admet meme pas l’utilisation du mot islamiste dérivé directement du mot islam pour décrire un intégriste, la première ambiguité viens de là …

    bref

    pour revenir au pape, le problème de benoit XVI c’est qu’il n’arrive pas à decroché de sont passé en theolgie, que ca soit intentionnel ou non, un pape doit avoir un minimum de recule et de connaissance, et surtout etre concient de l’influance que peuvent avoir ses paroles et en assumer les concéquances …. ce qui n’est aparament pas le cas pour Benoit XVI

    je ne veux pas entrer dans les details de l’histoire, mais il suffit de jetter un petit coup d’oeil dans les livres d’histoire pour voir que les catholiques ne sont pas blancs comme neige non plus …

    concernant l’histoire du chef musulmant et chef chretien, je pense que cette question n’est pas du tout fondé, puisque les deux religions ne sont pas comparrables à ce niveau : il n’ya pas de système hierarchique en islam !

    et pour finir, je pense que maintenant les choses sont claires, sans tourner autour du probleme, admettons tous qu’il y’a des entitées dans ce monde qui pour leur propre interrets sont prets à utiliser ce qu’il y’a de plus personnel et de plus proffond chez l’etre humain , ses valeurs et ses convictions pour sa propre destruction …
    appellez les des integristes, des fou, des idéologistes …. mais pour une fois, arretons de lier une religion au simple act d’un homme ou d’un groupe.

    Anonymous
    Membre

    Salakoum wa rahmat allah wa barakatouhou,
    chèr frère merci pour votre message. Tout d’abord concernant la présence othomane en Algérie mon avis est que cette dernière a eu ces cotés positifs mais aussi a ramené beaucoups de choses négatifs, néaumoins, mon sujet precedent n’avait rien avoir avec cela c’est seulement concernant mon nom de famille qui d’après certains les bouayed etaient d’origine turcs. CEci parceque il y’a une fraction des bouayed sont dénomé bouayed agha. D’après certaines recherches ce agha est juste un titre qui penedant l’empire etait délivré meme aux arabes. Par contre on est rentré en contact avec les bouayed de turquie et ces derniers nous ont confirmé que leurs grands pères étaient des arabes qui avaient suivit leurs femmes turcs en turquie après lque la france etait venue coloniser l’Algérie.
    D’autre part, Tlemcen, ville d’art et d’histoire, ancienne capital du maghreb, ville possedant 70% de monuments historiques musulmans que comporte le maghreb tout entier si elle a été toujours marginaliser et si a ce jour elle n’est plus ce qu’elle etait c’est tout simplement une chose voulue par les politiques qui n’ont jamais rien fait pour la sauvegarde du patrimoine et de la culture. C’est un sujet dont la plupart des vrais tlemceniens ne veulent meme plus en parler tellement notre ville nous fait mal, l’exode rural nous a fait tres mal, le terorisme a ramené un nouvel exode qui a encore fait plus mal a laville maintenant on la pleur. Enfin, j’espère que fes n’a pas subit le meme sort et j’espère que ces habitants sauront en prendre soin, car n’oublier pas que tlemcen et fez ont toujours etaient jumelles et que leurs habitants sont cousins depuis l’andalousie a ne voir que le dialècte avec le aw aw commun qui en dit long sur des siècles de civilisation.
    Amicalement Bouayed de Tlemcen

    Anonymous
    Membre

    الله الرحمـان الرحيم
    Cher Bouayad de Tlemcen.
    Nous sommes très ravis qu’un Tlemcènien enfin, et en plus du nom de Bouayad, participe à ce forum, car Tlemcen faut t-il le rappeler est une des villes les plus historiques d’Algérie, dont je trouve que le rayonnement culturelle et civilisationnel n’est pas assez mis en valeur en Algérie, comparativement à la ville de Fès, que je connais bien, au Maroc.

    Seulement là ou je risque de ne pas être d’accord avec vous c’est dans cette tendance à voir de la présence ottomane en Algérie (et non turque) quelque chose de « péjoratif », au contraire la présence ottomane en Algérie a évité beaucoup de tragédies en Algérie, en plus les ottomans ont réalisé ce que les arabes n’ont jamais fait, un vrai empire. Donc je crois qu’il faut être fière que nous avons plusieurs siècles d’histoire commune avec les frères dans notre religion les « turques » (ou plutôt les ottomans), et il faut de temps en temps être un peu reconnaissants. Je le dis même si je suis personnellement un descendant des iddrissids, donc plutôt arabe.

    Cela étant, je suis certain que notre cher Bouayad, vous apportera des informations supplémentaires concernant la recherche de votre arbre généalogique, chose qui est tout à fait légitime, d’ailleurs cet arbre m’intéresse à juste titre car j’ai des voisins à Sidi-Bel-Abbès qui sont des Bouayad, et ce qui m’a été annoncé, jusqu’à maintenant, c’est qu’ils ne sont pas d’origine ottomane, ça reste donc à vérifier.

    Avec toutes mes amitiés et des plus sincères.

    و السلام عليكم و رحمة الله

    Miloua Fodil (M’chichi)
    Sidi-Bel-Abbès.

    #215202
    chrif
    Membre

    Decoller oujda fine tawsal ? demadez un peu l histoire d oujda , les gens qui y habitaient n etaient pas forcement des oujdis ou des marocains meme , mais ils aimaient cette ville comme un morceau de leur corp de leur maison de leur famille, les gens de nos jours meme s is sont nes a oujda n ont d ‘appartenance que le nom, les gens qui aiment oujda sont hors de la ville et sont entrain de souffrire a chaque moment de retour de l etat de cette ville , mon conseil c est aimer en premier lieu votre ville respectez vous vous meme respecter la rue respecter le code de la route respeter les droits des autres ecouter l autre parler ne croyez jamais que vous avez toujours raison avez vous participe a une conversation un debat , on entre avec l idee que nous devons gagner que nous avons toujours raison , le changement doit se faire dans les mentalites dans le comportement apprendre a respecter l autre et ses idees , respecter la loi, et ne jamais juger une personne de ce qu il a ou de son poste social, etre ould oujda ou pas c est pas ca qui compte , mais etre un bon citoyen et qu apres un siecle les enfants de cet etrager qui a habite oujda seront de purs oujdis comme j en connais pas mal qui sont venus d ailleurs et qui ont donne de tous leurs coeur a oujda et qui ont vendu meme leurs meubles pour decoller cette ville .
    merci mes cheres amis (es) et a bientot ➡ frappez moin fort

    #201651
    Anonymous
    Membre

    bonsoir,

    je suis en l2 droit et j’ai suivi en l1 le parcours gestion (compta). En fait, j’aimerais si possible faire du notariat plus tard, mais je ne sais pas si j’y arriverai étant donné la difficulté et la demande de cette filière. Pourriez vous me donner votre avis concernant le parcours que je dois choisir (le + sûr, dans les cas où j’arriverai ou non à faire du notariat))entre gestion (analyse financière et marketing) et juridique (sciences criminelles et histoire du droit).

    De plus, je suis à la fac de vannes et je ne sais pas si je pourrais être reçue dans une fac faisant le master de notariat étant donné que c’est une petite fac sans doute avec un niveau moindre que celui de rennes ou de nantes … qu’en pensez vous ?!

    Merci d’avance pour vos réponses 🙂

15 réponses de 1,726 à 1,740 (sur un total de 1,955)
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