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Sujet: Nouvelle: La fille du train
Savez-vous ,les amis, qu’il faut toujours dire la vérité; fusse-t-elle amère?
Bien entendu, la plupart des vérités sont blessantes, voire même atroces pour certaines personnes!
Cela est du sûrement qu’on n’arrive pas à accepter cette vérité .Cette vérité qui ne sert pas nos intérêts et qui pourrait
nous porter des préjudices .
Donc, que faire: dévoiler cette vérité,ou la dissimuler tout simplement sous prétexte que c’est bien ainsi pour tout le
monde !
Dans ma vie, il m’est arrivé des situations auxquelles je n’avais pas assez de temps pour réfléchir .Le seul moyen que
j’avais : dire la vérité et….Adviendra que pourra !
Je vais vous raconter une aventure que j’ai vécue et qui s’est heureusement bien terminé grâce à ma franchise .Je me rappelle bien que c’était en 1990.j’avais pris le train d’ Oujda pour aller à Rabat visiter mes parents.C’était dans la période des vacances d’été.Il y avait beaucoup de voyageurs. De ce fait, les compartiments étaient plein a craquer , de même que les couloirs.Il était donc impossible de se déplacer .
De ma part, j’ai eu la chance de me trouver une place parmi un groupe de jeunes filles .Au fait, il y avait un homme avec nous .
Au début, il s’était installé sans piper mot.Quelques instants après, il lisait un journal. A peine cinq minutes de lecture, il a sombré dans les nuages.
Les filles avaient à peu près le même âge.Au fait, elles étaient six en tout.Elles étaient aussi « embellissantes » qu’un clair de lune.Elles ne cessaient de rire tout en faisant entrevoir des dents aussi bien soignées qu’un collier de perles!
L’une d’elles me regarda avec un sourire qui ferait fondre un cube de glace dans un réfrigérateur .Puis, elle m’apostropha:
_ » Excusez-moi, monsieur, je crois que je vous ai vu quelque part ….
Je l’interrompit net:
_ » Oui, il y a presque deux heures près du guichet.
Cette réponse était loin de satisfaire sa curiosité. Aussi, elle entama:
_ » Je veux dire que je vous connais.Vous ne m’êtes pas étranger .
Puis, elle s’est mise à réfléchir tout haut :
_ » A l’école, non!
Ses amies se tournèrent aussitôt vers elles et éclatèrent de rire.
L’une d’elle me dit aussitôt:
_ » Prenez garde monsieur;elle veut vous draguer!
Je lançai un regard interrogateur vers cette dernière .Celle-ci devina vite mes intentions et reprit:
_ » Vous savez, elle est célibataire !
_ Oh, ça suffit, cria aussitôt, ma première compagne .Puis m’interpelant:
_ Désolé, monsieur, ce n’était nullement mes intentions .
Et d’ajouter:
_ Croyez-moi, je suis sûr que je vous ai vu quelque part.Où ? Je ne sais pas !
J’ai beau remuer mes souvenirs pour me rappeler de cette personne; malheureusement ce beau visage ne me disait .
Pour couper court à cette discussion, je lui dis:
_ « Dites-moi, jeune fille, comment vous appelez-vous dans la vie ?
_ Aziza, pour vous servir .Et vous , monsieur, si ce n’est pas indiscrêt de ma part .
Pour toute réponse, je lui dis tout simplement:
_ Devinez !
Alors, elle me donna plusieurs prénoms usuels. A chaque fois, je hochai la tête tout en faisant la moue.
Ses amies semblaient adorer ce jeu.Aussitôt, chacune d’elles me proposa quelques noms propres, mais malheureusement
qui n’avaient rien de commun à ma personne.
A la fin, je déclarai:
_ » Permettez-moi de me présenter: je m’appelle Abdelhamid .Je suis professeur de français.Je suis marié et ma femme est enceinte de 6 mois.
_ Donc, c’est pour cela que vous voyagez seul , conclut l’une d’entre elles
_Oui, en effet.
Ma première compagne évita de me regarder un certain moment dans lequel je remarquai sa déception.
C’était la seconde fois qu’il m’était donné de voir de près un visage tellement déçu que j’aurais souhaité ne m’être pas marié pour lui dire oui , moi aussi; ne serait-ce que pour lui donner un peu de joie et d’espoir.
Comme vous constatez, je n’ai pas voulu lui mentir ou comme disent certains de mes amis,la mener en bateau!
Quelques minutes après, elle commença à pleurer .Puis soudain, elle s’était mise à rigoler tellement fort que ses amies se demandaient si elle n’aurait pas perdu les pédales!
Je la regardai longuement avec une certaine pitié. Tout mon fort intérieur criait : »tu vois Houmidi, tu viens de briser un cœur .Il t’aurait suffi un seul mot et toi tu veux jouer à l’innocent.Qu’est ce que t’as à perdre..
_ » ça suffit, m’entendais-je crier
Puis, je dévisageai mon interlocutrice , avant de dire:
_ » Je crois que je me souviens de vous . »
Son rire s’arrêta aussi net qu’une train après l’activation du signal d’alarme.
Elle s’approcha de moi , l’air éberlué , comme quelqu’un qui venait de se réveiller d’un rêve :
_ » Vous dites…
Je la rassurai:
_ » Vous avez raison, Souad..
_ Hein!!!
_Ben, vous vous appelez-bien Souad, non?
Elle hésita un moment avant de me donner raison.Puis:
_ » Qui êtes vous?
_Je vous l’ai dit Ab….
_ Je sais .S’il vous plait dites moi la vérité : est ce que vous me connaissez vraiment?A suivre……
Connue depuis la plus haute antiquité , la perle a de tout temps exercé un attrait irrésistible.Elle apparut vraisemblablement pour la première fois aux yeux d’un homme des cavernes de quelque plage tropicale.Notre ancêtre dut casser la coquille qui la renfermait , se saisir de la perle et y goûter; mais la trouvant trop dure, il dut courir la montrer à sa compagne.
La suite est facile à imaginer
Dès lors, la perle intéresse bien des gens Elle conquiert tout d’abord une certaine place dans la littérature :On en parle dans la Bible, le livre des Brahmanes , le Talmud, le Coran.
Elle est également liée au nom de personnages historiques :le trône de Néron est constellé de perles, Caligula en fait un collier pour son cheval , et Cléopâtre dissout une de ses boucles d’oreilles_ en perles naturellement_ dans du vin et boit le tout sous le regard plus ou moins ébahi de Marc Antoine (c’est du moins ce que raconte Pline)
Pline était doué d’une imagination prodigieuse .Aucune question ne le trouvait pris de court
Comment naissent les perles ?
_ » C’est très simple ! La nuit, les huîtres viennent respirer en surface ; si d’aventure une goutte de rosée se glisse entre leurs valves , celle-ci se solidifie et devient perle »
Pour fantaisiste qu’elle soit, la théorie de Pline bénéficia d’un certain crédit .C’est ainsi que Christophe Colomb notait dans son livre de bord:
« …….il doit y avoir de très nombreuses perles dans les eaux d’Amérique tropicale car une infinité de gouttes de rosée coulent des branches de mangrove auxquelles sont fixées d’innombrables huîtres. »
La vérité oblige à dire que Colomb ne ramena cependant pas une seule perle de ses nombreux voyages.
En réalité, la naissance d’une perle est finalement bien plus extraordinaire que ne le pensait Pline.
A suivre……
Aspartame: attention danger!!!
Attention à l’aspartame (Canderel…) ce sucre n’est pas bon pour la santé… Comme la plupart des filles au régime, j’ai succombé à l’idée qu’un sucre avec autant de pouvoir sucrant pouvait être moins calorique. Je ne sortais pas sans ma boîte Canderel dans le sac… Oui mais voilà, quand on y réfléchit un peu, pour retrouvrer le pouvoir sucrant d’un sucre sans les calories, il faut taper dans les produits chimiques. Et les produits chimiques ne sont pas bon pour notre petit corps… Prendre un sucre roux à la place d’une sucrette, c’est mieux. Le sucre roux est meilleur que le sucre blanc…Si vous voulez vous en persuader, lisez cet article trouvé sur Internet… ça calme!!!
« L’aspartame, méchant, méchant!
par Julie Brière
Parce que vous vous préoccupez de votre poids, vous pensez que les succédanés sont meilleurs que le sucre pour votre santé? Grave erreur…
À première vue, c’est génial : se sucrer le bec sans subir l’inconvénients des calories! Cependant, La liste des plaintes reliées à ce succédané du sucre ne cesse de s’allonger, particulièrement aux États-Unis, où on observe une importante consommation de produits « diète ». Pire, on sait maintenant que la consommation d’aspartame entraîne des effets secondaires allant du simple mal de tête à des tumeurs au cerveau…
En effet, les statistiques américaines provenant du National Cancer Institute révèlent une hausse alarmante du nombre de tumeurs au cerveau: en 1983, 2,1 % des cancers chez les hommes se situaient au cerveau; en 1987, l’incidence était passée à 8,1 % pour ces messieurs, grimpant même à 11,7 % chez les femmes! En creusant la question, les chercheurs ont constaté que cette forte hausse coïncide justement avec l’apparition, en 1983, des boissons gazeuses édulcorées à l’aspartame. Le débat pour son retrait du marché n’a pas cessé depuis.
Additif ou drogue
L’aspartame a été découvert par hasard en 1965 au laboratoire Searle, aux États-Unis, par un scientifique qui cherchait à mettre au point un médicament contre les ulcères. En goûtant une pincée de sa poudre, il se serait rendu compte qu’elle avait un goût étonnamment sucré. Cette découverte était une bénédiction pour l’industrie alimentaire, qui cherchait une solution de rechange aux cyclamates et à la saccharine, interdits dans les aliments par le gouvernement depuis que des études chez les animaux ont révélé qu’ils entraînaient des cancers. Au Canada, ces deux édulcorants sont tout de même disponibles en sachets dans les épiceries, les pharmacies et les restaurants. L’aspartame a été autorisé dans les aliments secs en 1981, puis dans les boissons gazeuses en 1983.
Commercialisé sous le nom de NutraSweet et d’Égal, l’aspartame est un édulcorant synthétique modifié génétiquement et composé de deux acides aminés (composants des protéines), la phénylalanine et l’acide aspartique. Son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé que celui du sucrose. Pourtant, le cheminement de l’aspartame laisse plutôt un goût amer dans la bouche. Il a même des allures de conspiration, puisque le Pentagone a déjà nommé l’aspartame dans un inventaire d’armes chimiques! En fait, tant G.D. Searle, la compagnie de produits chimiques et pharmaceutiques mentionnée précédemment, que Monsato, maintenant propriétaire et fabricant d’aspartame, ont des liens tangibles avec la fabrication d’armes chimiques…
Des études douteuses
C’est en 1974 que l’aspartame est approuvé pour la première fois. À la suite de deux études démontrant que cette substance cause des tumeurs chez les animaux de laboratoire, l’autorisation est abrogée. Ces études n’ont jamais été réfutées depuis. En septembre 1980, après délibération, un comité de la Food and Drug Administration (FDA) se prononce contre l’aspartame. Quatre mois plus tard, G.D. Searle soumet dix nouvelles études « bidons », qui feront pencher la balance du côté de l’aspartame par un vote: celui du commissaire Arthur Hayes… qui sera plus tard engagé par Searle! Selon le Dr Adrian Gross, ancien toxicologiste de la FDA, ces études sont de la foutaise. Il a noté que des décès d’animaux ont été cachés, que des tumeurs n’ont pas été rapportées et, dans certains cas, qu’elles ont même été extraites de l’animal qui, lui, a été remis dans l’étude!
En 1996, le médecin et professeur Ralph G. Walton, du collège de médecine de la Northeastern Ohio Universities, décide d’analyser l’ensemble des études scientifiques reliées à la consommation d’aspartame. Ses observations parlent d’elles-mêmes: parmi les 174 études analysées, 74 étaient financées par l’industrie de l’aspartame, et 100 % d’entre elles concluaient qu’il n’y avait aucun problème avec ce produit! Cependant, sur 90 études indépendantes (non financées), 83 (92 %) ont plutôt relevé un ou plusieurs problèmes reliés à l’usage de cet édulcorant. L’aspartame est l’objet de controverse depuis son apparition; même son approbation relève d’une décision plus politique que scientifique. Mais avec des revenus se chiffrant dans les milliards de dollars par année, la compagnie Monsato n’est pas prête de lâcher le morceau…
Des effets secondaires troublants
La liste des effets secondaires liés à la consommation d’aspartame est très longue. De plus, selon la revue Headache de novembre 1997, des personnes particulièrement sensibles peuvent ressentir des effets avec de très faibles doses: une gomme à mâcher, par exemple, peut causer un mal de tête! En 1994, la FDA avait déjà accumulé près de 7000 plaintes d’effets secondaires reliés à l’aspartame (l’organisme ne veut d’ailleurs plus compiler les plaintes). Les plus fréquentes sont: maux de tête (ce qui a été confirmé par plusieurs études), vertiges, vision embrouillée, changements d’humeur, douleurs au ventre et crampes musculaires. Aux États-Unis, des pilotes d’avion ont même perdu leur permis pour avoir manifesté ces symptômes dans les heures suivant l’ingestion de boissons à l’aspartame. Des communiqués à cet effet ont d’ailleurs été émis dans les bulletins du U.S. Air Force et du U.S. Navy afin de prévenir le personnel de ce risque.
Parmi les autres symptômes figurent les dépressions, les pertes de mémoire, les douleurs aux jointures, les troubles menstruels, les crises d’épilepsie et même quelques décès! Et il ne s’agit là que d’une fraction des effets actuellement associés à la consommation d’aspartame, puisque la majorité des gens n’ont pas encore fait le lien entre leurs problèmes de santé et ce produit. Même s’ils le font, seul un léger pourcentage des gens et des professionnels de la santé prendront le temps de le rapporter aux autorités gouvernementales.
En 1991, le National Institute of Health a publié une bibliographie, Adverse Effects of Aspartame, énumérant pas moins de 167 raisons d’éviter l’aspartame. Une étude récente a également démontré que l’aspartame, tout comme le sucre, entraîne une calciurie, c’est-à-dire une perte de calcium dans les urines.
Aspartame et gain de poids
Puisque l’aspartame contient le même nombre de calories que le sucre, mais que son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé, comment le pancréas réagit-il lorsque la langue le détecte? Se pourrait-il qu’il envoie une dose massive d’insuline pour contrebalancer cette sensation trompeuse? Est-ce que la chute de sucre qui en résulterait donnerait à nouveau le désir de manger? Selon le neuroscientifique Richard Wurtman, la consommation de doses élevées d’édulcorants comme l’aspartame provoquerait effectivement des « crises » de sucre. L’American Cancer Society a confirmé cette ironie après avoir suivi 80 000 femmes durant six ans. Parmi celles qui ont pris du poids durant cette période, les femmes qui utilisaient des édulcorants artificiels en ont pris davantage que celles qui n’en consommaient pas.
Une autre étude effectuée chez un petit groupe de femmes à la diète démontre qu’elles ont tendance à manger davantage durant les jours qui suivent l’ingestion de boissons sucrées à l’aspartame, comparativement à l’ingestion de boissons sucrées naturellement (étude effectuée par J.H. Lavin et ses collaborateurs, parue en janvier 1997 dans une revue scientifique internationale sur l’obésité). Même le simple fait de mâcher de la gomme sucrée à l’aspartame augmenterait l’appétit. Quelques autres études, toutefois, n’ont pu démontrer ces effets.
On suppose par ailleurs que les gens qui consomment des produits diètes auraient tendance à être moins vigilants: un faux sentiment de sécurité pourrait les porter à manger des gâteries, ici et là, puisqu’ils ont déjà « économisé »… Dans toute cette controverse, une chose est sûre: les édulcorants comme l’aspartame entretiennent le goût du sucre et ne permettent pas de modifier ses habitudes alimentaires, seul gage d’une perte de poids durable.
Diabétiques, s’abstenir
Selon le Dr H. J. Roberts, un endocrinologiste qui en a vu des « vertes et des pas mûres » avec l’aspartame, ce substitut de sucre compliquerait le contrôle de la glycémie chez les diabétiques, entraînant des crises plus fréquentes d’hypoglycémie et aggravant les complications diabétiques (cataractes, rétinopathies, neuropathies, etc.). De plus, chez un certain nombre de ses patients, on a incorrectement diagnostiqué qu’ils étaient atteints de la sclérose en plaques; les médecins dans l’erreur ignoraient que l’ingestion d’aspartame sur une base régulière entraîne des symptômes semblables.
Quoi faire?
Près de 2 % de la population est porteuse, sans le savoir, d’un des deux gènes qui causent la phénylcétonurie. Or, l’aspartame contient de la phénylalanine, un acide aminé que ces personnes ne peuvent utiliser par manque d’une enzyme spécifique. Ces gens doivent éviter tous les produits qui en contiennent – dont l’aspartame – au risque de subir des crises d’épilepsie et des troubles mentaux sévères. Dans le doute, évitez de consommer de l’aspartame.
Si vous souffrez d’un problème de santé persistant et que vous utilisez des produits édulcorés à l’aspartame (boissons diète, gommes à mâcher, sachets, yogourts, etc.), cessez complètement d’en consommer durant un mois afin de voir si vos symptômes diminuent.
Vous devrez lire attentivement les étiquettes de tous les produits que vous achetez, car l’aspartame s’est infiltré un peu partout (voir ci-bas). À mon avis, plus vous vous tiendrez loin de cet additif, mieux vous vous porterez.
Où se cache-t-il?
En 1992, l’aspartame apparaissait dans plus de 4 200 produits alimentaires aux États-Unis : certaines marques de crème glacée, yogourts, puddings, confitures, desserts préparés, céréales à déjeuner, vinaigrettes et dîners surgelés en contiennent. Les pires: les boissons gazeuses « diète », les sachets de sucre Égal et la gomme à mâcher sans sucre. Les médicaments peuvent aussi en contenir, de même que le psyllium sucré « sans sucre » et les suppléments de vitamines croquables pour enfants. Surveillez les étiquettes.
L’aspartame est peu stable dans les liquides et se décompose après une exposition à des températures élevées – ce qui se produit lorsqu’on fait chauffer l’aspartame, qu’on l’ajoute à des liquides chauds (café) ou lorsqu’il est entreposé durant de longues périodes à la température de la pièce. La dégradation du produit entraîne, entre autres, la formation de méthanol, qui se décompose par la suite en formaldéhyde (carcinogène connu), en acide formique et en diketopiperazine (DKP), tous responsables de tumeurs au cerveau.
Ressources
Plusieurs groupes de pressions, dont Mission Possible International, tentent depuis plusieurs années de faire interdire l’aspartame, dont ils dénoncent la nocivité. Cet organisme possède un site Internet rempli de données et de témoignages de médecins et de victimes.Par Hamid CHAFIK



