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LES TYRANS MÉDISANTS N’ONT PEUR NI DES TRIBUNS NI DES RHÉTEURS
*************************************************************TRUMPOLOGIE
« Pays de merde !»: Macron condamne les propos de Trump ! Il est aussi magnifique que cette sublime et dorée perle, cet extrait rare et solide qu’est l’indicible, l’inénarrable, l’inattendu Président ! Chut, pas de médisance ! Sinon on te poursuivra pour incident diplomatique et usage de gros mots.
Voici en revanche, des louanges adressées à ce merveilleux et fantasque président. Il en faut, même en retard, pour comprendre et répondre à ces contes et légendes, faits d’horribles frictions et de joutes verbeuses !
Je disais que l’inconnu du haut qui blasphème et se trompe est tel comme ce pénible et étonnant président du nouveau monde !
Tout comme, cet autre évangéliste ! Le président est petit-fils ou arrière cousin de ceux qui ont fait le nettoyage ethnique des indiens d’Amérique ! Il est toujours bel homme à son âge, et plus étincelant encore, en beau, blanc et blond ! Autant que cela ? Tu lui enduis de la pommade avant de le badigeonner d’orties !Respecte ses cheveux blancs. Il est incontournable, il est puissant. On ne va pas le laisser sympathiser en réaction avec nos adversaires et avarier notre dossier du Sahara ! Il faut le ménager, même s’il a péché ! Il peut redevenir de nos amis !
Son allure et son style viennent de son amour insatiable pour la beauté. Hélas, les renvois qui lui sortent de ses orgueilleux naseaux, occupent une place de choix dans ses hémisphères fienteux. Un encéphale plein de centres fécaux proéminents et hypertrophiés!
Il a donc un cerveau ! Oui, puisque cet organe qu’on trouve chez les serpents et les scorpions, comme chez les ours et les rhino-féroces* porte aussi ce nom de ‘’cerveau’’. En parlant de nos pays et continents, SM, l’horrible empereur, a aimé dire ou osé dire que ce sont des pays de merde !’’SHITTY COUNTRY’’
Sauf votre respect, lecteurs ! Mais c’est lui, l’homme le plus important du monde civilisé et l’un des plus riches qui l’a prononcé ! La chose qui dérange SM s’appelle ‘’merde’’ même si elle comporte deux continents et compte 4 milliards d’habitants !
Nos gens seraient pour ce magnat de l’orgueil et du stercor, que du fumier, du caca, des déchets puants, dans leur ‘’shitty country’’ ! Des miasmes que son dictionnaire scatologique, si bien policé, permet de traiter de la sorte ! Ne soyez ni inquiets ni jaloux, ce ne sont que 50 pays qui sont minorés et traités de la sorte. Leurs peuples avec. Vous et moi, les blancs becs, les mulâtres aux 50 nuances de gris, et les plus sombres de peau ! Qui a ses yeux valent moins que rien, Mais qui ne peuvent justifier ce buzz incendiaire qui hoaxe* le Whatsapps !
Le fumier politico excrémentiel, les ordures de quartier, manquent à l’évidence de diplomatie. Et il en faut du tonus, de l’éducation, de la trempe dans la bouche du président Trump, pour s’exonérer de s’exprimer ainsi ! Un délit de langue que l’on peut oublier. Une erreur qui pété trop vite du respectable cucu et que ses langes n’ont pu retenir !
Tous ces mots ont fusé à l’endroit de ceux qui n’ont pas admis la partialité de l’Amérique en son nom interfère ce dossier colonial entre guerre et paix, entre Palestiniens et Israéliens et le transfert préjudiciable à la paix de l’ambassade américaine à Jérusalem…Pourquoi pas à l’intérieur de la mosquée Al Qods ou carrément à la Mecque ?
Pourquoi pas, surtout, question d’être juste et diplomate de paix, une ambassade américaine aussi, dans la capitale de l’Etat de Palestine ! Dans les lopins restants de leur territoire, un gruyère rongé par les colonies de toutes parts, qui ne cessent de se multiplier et de s’étendre, en empoisonnant toute tentative ultérieure de sécurité et de paix ! Amen aux rêves de droits des peuples et de justice, M Trump ! Vous, dont la famille est alliée et engagée !
Qui plus est, pourquoi ne pas dire d’office et franchement, que l’état d’Israël est une partie de l’Etat américain ? Un membre de la Fédération des States ? Une étoile à six branches, de plus, parmi la cinquantaine de leur bannière étoilée, à cinq bras seulement !
AMITIE ET NEANT
A Crésus, Thanatos et Trump ! L’amitié est un altruisme rentable et utile. Une de ses formes, la confraternité est la pire des hypocrisies. Cependant, celle-ci a le courage d’indiquer dans son préfixe d’entête la connerie de ladite fraternité ! Une coopérative d’indépendants, liés en concurrents acerbes, coalisés en apparence dans une ligue, et forcés à obéir de près ou de loin à une éthique vaine, dans une cohorte loin d’être protectrice ou syndicale !
En Fait, un groupe d’indépendants, forts d’égotisme et de concurrences indéniables, limés par les sabotages perfides et lâches mixés de critiques hautaines, acerbes ou sournoises, provenant d’autres secteurs. La fidélité ingrate coopère contre-gré dans la constance des contraintes et des craintes, celles de perdre le client, la renommée et la rente.
Cupidon, c’est ton estomac insatiable de crétin, devenu inintelligent, ton ventre qui te cause des misères. Tu es Crésus et cupide à la fois. Ta ferveur de pseudo messager, à avaler toute ce que tu touches pour devenir Crésus, transforme tout ce qu’il touche en or, ta nourriture et tes ordures, jusqu’à pourrir bloqué !
Les anciens sont partis, qui morts, qui dans le déni des oublis ou des tristes infamies. Qui fatigués, attendent devant le mur de trouver un trou percé par où se jeter. Lui, son parchemin et ses vœux, dans un talisman, un code manuscrit pour aller dans l’Au-delà, en forçant l’espace-temps et le sien de destin et ses vœux.
Qui face au mur des puissants qui l’isolent et le renient, qui le tirent et le tue ? Qui, de multiples maladies traîne dans les boues et les boissons sales, rebelle face au destin criant qui le harcèle ? Qui, debout dans la boue, se la boit encore ? Qui, aux fêtes, ô charité, oublie les confrères trahis par le festin ? Qui, à la porte de l’Alzheimer, est déjà bien faisandé ? Un saut final pour un as devenu, du jour au lendemain, un sot ! Un insecte de moins qui laisse des milliards d’autres en suspens, troublés par un drame, dans l’attente de leur fin. Un de plus et un de moins, pour toujours oublié, et ne restent que les os friables et nus d’un robot sans vie….
LES LEISHMANIOSES
Traces de moustiques écrasés sur des pages. Livre ouvert sur l’insomnie, sans rêves et les mauvais sommeils. Critiques et compositions verbales par-dessus la poubelle et les urinoirs d’un soir. Un don viscéral au plus gros des moustiques, de ses saillies verbeuses et de ses racistes entrailles.
Du papier humecté de douceurs humides, de récipients châtiés et d’urinoirs de couleurs, des offrandes dans un calice d’argent sur un autel de cristal, à travers les mosaïques noires aux couleurs sans gloire. Un papier plein des relents de riches victuailles, rêche, âcre, fade et astringent, comme la paille et les lits de la racaille et des barbares sans cœur ni âme.
Diogène accoudé sur l’échafaud, la guillotine comme accessoire, regarde en complice volontaire, la masse fécale de l’empereur, l’ingrat Donald, si prolixe en stertors, dans ses mouvements turbinatoires et stercoraux !
J’ai écrit ton poème, lyrique, verbeux comme un masque de macaque boutonneux, plein d’ellipses et d’épilepsies masturbatoires. Le grand mal, le Parkinson qui fait trembler la Terre le fait tourner devant ton âme ! Un livre mal fermé, que tu m’inspires, féru de critiques, ferré de vérités, sans espoir pour toi de les atteindre ou de les comprendre. La sagesse, la bonté, tu n’en a que faire !
J’ai écrit Votre poème, devais-je dire par respect, sur un papier d’hygiène, un rouleau que je déroule, comme un tapis rouge sous vos pieds, une bible ancienne sur ses saints rouleaux, en votre scatologique honneur !IRRESPECT
J’ai écrit votre poème donc sur un manuscrit délitable dans les eaux. J’en use à l’envie et ce n’est que pour l’offrir à la mer, aux puits et à leurs profanes arcanes, afin qu’elles comprennent ce que tu ne peux guère entendre ! Hélas, j’aurais voulu voir en toi le père que j’ai perdu, un mécène, un oncle moins profane.
Seule la bobine du film, plaquée au mur, est capable de retenir les scories des gavials et des guépards. Les crocodiles et les fauves de vos aires, pires que celles de nos pays de merde, en méritent les honneurs ! Et pire encore, l’antidote de vos blasphèmes abominables et de vos matrices bucco-fécales.
Il est plus énervant que les moustiques et les leishmanioses. Il gâche votre destin qu’il dévie et qu’il salit et votre vie qui chute plus encore, quand les insectes se piquent seulement de votre sommeil seulement. Il, c’est Lui, c’est eux.Il est plus énervant que les malades dont il se plaint, alors qu’il est payé pour eux, quand il les quitte pour aller aux cliniques du privé faire des heures plus rentables pour son art !
Il est comme ce coq des voisins, Coco, qui vit ici. Là, c’est son paradis, terrestre et final, avant de voir sa photo sur le Net et de périr dans la cocotte ou la bouilloire du voisin qui l’a vu perdre des plumes et qui voudra l’égorger, ‘’halal’’, pour le sauver d’une mort inutile ! Une moustache, en qui de crête. Si Coco m’a adopté, juste pour mes mies de pains, je vais jusqu’à croquer des cacahuètes pour les lui donner en dessert. Je mâche les mots que je t’offre, Excellence, pour nourrir de bonté la bête qui est en toi.
Lui, c’est un redoutable faussaire ! Masqué, de sa face hypocrite et doucereuse, il vous enlève votre bol de la bouche et ouvre en plus gueule ! Il est spécialiste de la compétence. Ce qui le rend acerbe et plus méchant encore. Ces gens, c’est lui ! Il est particulier, intelligent, certes, malin et dangereusement riche, mais abruti par son ostracisme. Il est l’emblème, le chevalier nouveau des racistes et des xénophobes de la planète impériale.
Tous ont peur de ses actes surprises et de ses méfaits inattendus. De ses réactions démentielles ! S’ils ne sont pas ses amis, ils deviennent la cible de ses colères ou de ses ambitions de conquêtes ! Acheté par les lobbies, il ne cache pas sa nouvelle religion, mais en en grossit les ambitions, les infractions et les délires, endossant l’indécence et justifiant les crimes.
UN TRUMP, ÇA TROMPE FORT
Facile de penser à un éléphant dans un magasin de porcelaine. L’Afrique ! Trump ça trompe comme un dessin animé trafiqué ! Car il est pour de vrai solide, 3D et vivant. Il a l’âge ses maladies infantiles. Il est vigoureux et impudent. Et la folie sienne, ne compte pour rien, puisqu’il est le plus fort des princes, des roiset des présidents. Il les soumet à ses désirs, impétueux, ceux un ado en mal de cadeaux. Il lesexploite pour ainsi dire et les dirige à sa guise, et les mate en les mouillant. Comme les autres pontes, ils seront indirectement dominés par les zélotes d’Amérique, les cavaliers de l4apocalyse vue et corrigée par Sion. Il n’a pas échappé au port de la calotte, il en fait l’apologie. Il en est libre, pardi ! C’est un mur d’un roi saint, Sidna Soulimane, que même ceux d l’islam respectent.
LES DOCS ET LES TOUBABS
Pendant que vous êtes en train de parfaire vos connaissances, ne zappez pas ce texte,bonnescollations et autres copulations avec le savoir.
Ils vivaient de la charité et s’embourbaient dans les frasques des dons, des impôts, des labos et des dettes. Je n’irais en Amérique ni dans l’Au-delà, que lorsqu’il sera démis de sa fonction ou qu’il disparaîtra !Cet immonde désir de répondre au scatologique de l’illustre personnage, me torture ! Et me crampe les viscères éclaboussant de ses maux mon sommeil fragile. Si la lâcheté entre gens politiques n’est pas un mythe ou un refrain, celle entre confrères n’est pas un conte de Noël, non plus. Il me rappelle le must »Gentil Ami », ce docte et trivial savant. Il est d’Afrique aussi et ce Trump peut le traiter de tous les excrétas ! Sa bonhomie crue le fait aimer par ses clients et collègues de son patelin du sud entre frontières, montagnes et oasis !
Mais, il aura si bien trahi celui qu’il appelait ‘’Cousin’’ qu’il est devenu faux et pathétique. Vengeance sur les frustrations…Confraternellement, blasé, je vide ma place et le laisse faire ses études, le travail de sa pompeuse formation postuniversitaire. Celle d’ici-bas et de là-bas ! Je vous délaisse à vos dons ! Parce que le vide est réversible et que les criminels et les lâches disparaîtront ou qu’ils finiront par payer pour leur préjudices. Je ne vais pas encore leur lancer de mes justes malédictions.
TRUMP ET CHIMIE VISCERALE
Redites élégiaques et refrains. Ô Crésus, ô Chronos, ô Princes des ténèbres, qu’a-t ‘on fait pour que l’un des vôtres devienne le plus important, sur cette terre, l’un de nos Présidents ? Le bouton rouge est sous sons doigt ! Un sceptre, un spectre. Tant que vous y êtes, apprenez à le faire sur ordonnance et aimez ce métier et apprenez votre sujet. Le leader Nord-Coréen, Kim Jong-un, vient d’affirmer que le bouton nucléaire est sur son bureau en permanence. Informez-le que moi aussi j’ai un bouton nucléaire, mais il est beaucoup plus gros et plus puissant que le sien, et il fonctionne. Dixit le pimpant et érectile Président Trump.
La thérapie est amour, mais la thérapie est aussi l’amour. Apprenez donc à ces métèques sordides, à ces merdes dont vous vous plaignez, ce que vous avez au ventre et au cœur, en plus de vos propres et richissimes matières. Celles que vous dorlotez en votre bel intérieur et que sublimez avant de les expulser, telles vomissures pour honorer la postérité, des dons vos entrailles chéries ! De l’or, car tout ce que vous touchez devient de l’or !
Ce que vous appelez merde, ou pays de merde, ne valent pas vos expressions intimes ni vos seigneuriales approches. Et la possession démoniaque de vos sujets vous vient d’un maître en la matière.Car votre patron dans ses urnes d’églises et son tronc usuraire, au pays de Jésus, aété élu pour vous troubler vous et vos sujets et vous réveiller ô peuples gris et noirs ! Si vous appelez à bannir la merde età la haïr, ce n’est pas fairel’amour, c’est ô hypocrisie un des ferments, des éléments de ce monde basique. Un extrait, une offrande des chairs précieuses et internent qui travaillent pour vus faire vivre dans l’intime discrétion.
PARADIS AMÉRICAIN
Il est plus que la légende, plus riche que Crésus, et mieux servi qu’au paradis, entouré qu’il est d’un harem d’éphèbes, de femmes stériles et de subalternes ! Et autant de riches seigneurs, des mécènes et des bénéficiaires, des laudateurs, de puissants présidents et de grands décideurs. Il a le monde entier dans la paume de la main, ‘’ He has the whole world in his hand’’, le Pouvoir, pour ainsi dire d’agir sur milliards d’êtres et d’altérer leurs destins, faute de les aider à mieux le faire.
Il est au Paradis déjà ! L‘Amérique, la Maison blanche ! Celui qu’il s’est fabriqué, mais jusqu’à quand encore ? Car l’homme, disons des banalités, quel que soit son statut, n’échappe ni au déclin ni à la mort. Il disparaît dans le néant, si ce n’est dans l’oubli et pour toujours. S’il reste, il est telle une tâche scatologique dans nos vies, comme ces malfrats, dans notre mémoire pour les meilleurs, dans l’histoire pour leurs grandes actions et rarement dans nos cultures. Ses immeubles et ses affaires sont des preuves immuables dans son pays de géants.
Il est immense ! De ce fait, il ne sert à rien de l’injurier pour ses mots, ni de lancer des imprécations sur son caractère, ses confabulations ou ses brusqueries burlesques. Comme il ne sert à rien, non plus, de le conspuer pour ses méfaits fantasques et périlleux! Car il est entouré d’influents hypocrites et d’homme sages ! Des fourbes et des abjects, ne doivent pas manquer ! Ce sont eux qui ont la main dessus ! Il le sait, mais il n’est pas toujours aimable ni bienveillant de ce fait, malgré ses frasques, ses mots et ses foucades!
Il en est qui désespèrent et qui qui le quittent, avec un Livre incendiaire, en grand fracas.Ça ne sert plus à rien car il est Le Président. Il ne sert à rien non plus de vouloir le comprendre ou de lui expliquer, il a ses préjugés et ses convictions. Il est sur ses gardes. Impossible de faire l’hypocrite et de le tromper,il connait ça ! Car Il sait voir derrière les masques et il a une avance sur vous ! Il sait, de ce fait il n’est pas toujours aimable ni bienveillant. C’est un atout. Un Président n’est pas fait pour être doux ! Un ado plein d’ego, c’est pire encore, puisqu’il en est resté à ce stade-là, le gâteux bien gâté !
Il est grand et fort, vieux mais il croit, il sait, qu’il fut beau, la classe ! y a photos ! Quand il vous salue, sa poigne vous secoue et vous écrase, pour vous montrer que sa force persiste et que le mec est encore puissant. Il vit dans un monde, létal, morbide et éphémère, quasi virtuel, mais un monde plus beau et plus vrai que les paradis mythiques des sémites qui le commandent ! Les apparences qu’il leur offre, sont un plus, un must en cadeau ! Le reste est pour la frime et la rare vertu. La galerie, l’Occident, la Russie. Jusqu’à présent, il sait se déployer .
Envie et liberté de vos sujets. Le magnat devenu esclave, croit envier sa nudiste dulcinée. Se trompe-t-il au point de se croire encore virile sur ce sujet ? Ses adeptes ignares ont rempli leur office, alors que l’esclave blanche lui donne le bras et le ventre. Une horreur, un monstre, Satan, le Diable, le Démon l’habite ! C’est le Méchant qui l’a élu et sorti de sa boîte magique et que ses adeptes ignares, ont rempli les jours de vote, en faveur de l’Elu.
Ignare belliqueux, monstres pervers et martyrs aussi. Celuide la fausse démocratie, ordonnée sur bulletin pour chaque américain dans l’urne, le jour des Grands électeurs de son pays admiré et honni. A bas les limaces,à bas les masques ignares ! C’est son père, le malin Lucifer, qui a fait le despote. C’est lui qui lui a permis de remporter le poste de président.
PAUVRE DE NOUS, LES SHITHOOLE COUNTRIES
Les pays de merde, la sentence est ignoble. Pire elle vient d’en haut et sur nos oreilles, comme une gifle, elle a claqué ! Abjecte ! Et qu’en pense le beau et grand blond de belliqueux visage pale ! Qui sont ces individus et ces arrière-petits-fils d’esclaves qui auraient aimé que tu les diriges ? Ils sont là chez eux, ou souvent assimilés, contre gréet par la force, ne pouvant retourner ni dans leur berceau africain, ni sur leur espace de liberté. Espace de dignité, de respect de soi,et de leur nid d’Afrique, d’Hawaï et d’Haïti. Ces merdiers de ‘’shithoole countries’’!
L’AFRIQUE RUMINE EN CHŒUR
Dusses-tu Crésus, maître des divins stercors, sortir des cuisses olympiques ou du cul de Jupiter ! Tu sais que ton heureux père des dieux, Zeus, n’est qu’une invention plaisante des antiques Grecs ! Et voilà que tu falsifie et que tu vends,-Hélion, Ursamlam, la ville éternelle volée part le vieux Sion, au Nathan !
Abject étranger, tueur du reste des indiens, amour malheureux d’un fils de vikings avec une mère et non une vulgaires pute ! Abjecte extravagance, challenge d’être dieu et de traiter ses adorateurs de merde ou de pays de merde ! Tu n’es comptable de rien, tu pars sans payer, pour tes maux et tes mots.
Alors que les muezzins appellent à l’unisson pour la prière et à l’union avec Dieu, à la prière après la propreté, aux ablutions après les actes d’amour…Alors que ceux qui se lèvent tôt, à la fin de la nuit, dans cette humilité active prient le Seigneur, toi Crésus, tu restes objet de lucre, de stupre ! Mais, ô honte tu exultes et tu t’exécutes, en subalterne avec les richissimes adeptes de Sion. L’illustre lobby qui façonne les présidents a gagné !
Tes esclaves, les blondes que tu chasses et pourchasses, ces captives que tu caches, sache qu’elles obtempèrent dans la peur, quand tu leur fais tes horribles grimaces quand tu ‘en approches ! Jamais ces divas, top models et actrices, n’oseraient avancer qu’elles font l’amour pour de vrai, avec toi, pour le lucre ou sous la terreur ! Moqueur et cynique personnage ! Tu les domines, réunies sous la bannière de l’effroi, de ce fait, tu fais peur aux autres. Objets qu’elles sont, de stupre, de lucre et de criardes splendeurs !
Reste, apprenti démon, faux élu et vrai fils de Satan, l’impérialiste magnifique que tu es ! Et de la Terre, soies le plus grand saigneur ! Reste, pour mener la Terre vers son apocalypse et sa fin, sa mort de boule folle. Et morte la maboule, personne n’y bouge encore ou respire ! Acrimonieux bouffon et triste acteur ! Reste en toi-même dans tes miasmes et ta geôle ! Érection superbe d’un demi-dieu sur la plus grande des nations ! La honte de l’Amérique ! Dans ta métempsychose, et pour rester poli, étreins tes ricaines, Sorcier, jusqu’à ce que l’amour des tiens s’en suive ! Assassin des autres, tu deviens le héros planétaire, celui qui indirectement, tue, les jeunes manifestants palestiniens !
Mais où sont les libertés, quand ce que tu étreins (.), ceux que tu domines de partout, en ont marre, en ont peur, ou que humiliés et déçus de t’avoir élu, ils se révoltent ? Mais où es ta propre liberté, quand tu te détestes, dès que tu te réveilles ? Où est ta liberté, quand devant le Mur, calotte noire sur la tête…tu te laisses dicter tes conduites et que tu fasses semblant de t’adresser, en prières, à Dieu !
CRITIQUES INUTILES
Pour payer une dette électorale…Combien de milliards en fait ? Et que moralement, à genou, tu plies malgré ta taille et ces honneurs où te poussent tes Ricains ? Là, devant les ruines de ce reste du temple de Salomon, que détruisirent, dit-on, les Romains, à quoi penses-tu ? Le héros en prière, sadique et maso à la fois, me fait penser à la Guillotine et à Robespierre ! La corde donc, après le pouvoir, après le fouet des humiliations et le feu des canonnières ! Le sang et la terreur, la désolation et les carnages, découvrent l’ampleur de tes horreurs et celles des assassins, tes illustres prédécesseurs ! La ‘’merde’’, comme tu dis, après le sang et les terreurs. Ivresse des excrétas que tu sors de la bouche, et qui découvrent et dénoncent l’instigateur des actes assassins, le permissif gâteux, le fauteur des horreurs !
Que tu gouvernes, oui, mais tes gaffes, tes sorties ignares, infâmes et stupides, ne sont qu’apparences ! Ta stature de Démon apprivoisé, n’est pas si bête que cela apparaît à tes détracteurs, pour qu’on dise de toi, que tes actes ne sont que les effets de l’ignorance ou de l’inconscience. Les bons dieux sémites, qui t’ont adoubé chevalier de la calotte prophétique, te lâcheront un jour !
Je rage, ô anges de la mort, mais ce n’est pas de vous dont j’ai peur ! J’ai peur que les plus pervers de ce monde ne soient que de vulgaires apprentis sorciers, des acteurs des mercenaires, ou les fils de l’élu, Lucifer. Sortis du cul de Zeus, pour châtier les humains sur terre et les hâter vers l’enfer.Allez ! Apprenez votre thérapeutique des conflits, révisez vos théories et votre sémantique, mais sachez que ‘’la merde’’ se ravale un jour ! Hypocrite fils du Démon, loin d’être cupide, stupide ou con, Hippocrate un jour, tu as sorti Alexandre de sa Grèce, Esculape de son sommeil, Cicéron et César de leurs tombes méconnues, Diogène le Cynique de son tonneau. Tous seront témoins des bavures de l’esclave de Sion, qui habite la Maison Blanche, surfe sur le Capitole, s’appuie sur le Pentagone et chie sur l’Afrique !
‘’ Ote ton cul de mon nez’’ ! Comme te dirait Diogène, si tu étais bien vivant ou si tu vivais à son époque ! Je vois ta tête, enfouie dans un sac de honte, avant qu’elle ne tombe dans le linceul. Car la terre entière et ses ‘’états de merde’’ reconnaissent ta stupidité et ta grande gueule, devenues légendaires. Mais, si tu es là, c’est le fait du destin ou par erreur ! Cette Terre te voue ces richesses et ces forces, ces avancées et ces puissants électeurs, des voleurs de terres et de faux zélateurs !
Terre d’argiles, de noirs et de merdes, c’est pour toi, kif-kif et synonyme. La terre des pères et des ancêtres, des océans, (du pétrole, que tu aimes), du fer (et du ciment que tu adores..), la terre des mères, (tu les rends orphelines, veuves et stériles et veules dans la peur), la terre, l’africaine refuse que tu la mortifies et que l’injuries encore. Du haut de ta puissance, retourne à ton Seigneur ! Si tu obtempères, que ton Seigneur te pardonne ! Que les malédictions, que tous profèrent, ne soient plus que des conseils pour toi et pas des injures !
TERRES DES NOIRS
Ils viennent de cette Afrique, de ces pays de merde. Et de ces putains de races aussi, en continuant sur le ton de ton sordide raisonnement. Ils viennent de ces contrées originelles, de ces des espèces de primates, des animaux ou des bien moins que ça ! De ces races originelles, dont les hommes de l’Atlas et d’Irhoud. Bien plus vieux que ceux d’Europe et de tes origines ! Ils viennent de l’homo sapiens, de l’homo erectus ! Ils viennent de Dieu, si tu peux faire mine d’y croire. Ils viennent de la vie, du cycle de la vie, de cette terre qui t’honore et que tu vomis, alors qu’avec tes zélotes du Lobby, tu t’exécutes et c’est là, que tu excelles !
Et un conseil, gratuit, pour faire cesser les vitupérations, afin que tu rejoignes ton vrai géniteur et père ! Mais, d’où vient-il en fait ton étranger de père ? De quels patelins de merdes et quelles origines connasses sont les tiens d’envahisseurs blancs ? Les blondins, qui dominent les States et les nouvelles terres, menaçant la paix de toutes parts, vendant les armes, causant partout des guerres pour dominer le monde, le vider de ses substances, de ses biens, en trafiquant et en détruisant les équilibres naturels, les plus anciens, en multipliant les haines, entre toutes le bêtes de l’univers. Qui te ressemblent !
SYNDROME DE STOCKHOLM
À moins qu’en superbe subalterne, tu continues toi aussi dans ta cellule aux fenêtres closes. Ton Amérique, où tu continues de subir et d’aimer subir les harcèlements et les agréments sexuels, contre-gré, de tes zélotes ! Tes mâtons qui t’élisent, te dirigent et qui te gouvernent ! Tu es leur prisonnier, sans murs autour de toi, pour te laisser crâner à l’aise ! Toi qui as baisé le mur sain du temple de Salomon ! Merci à Israël de te prendre par la main, afin de te guider vers son seul bien ! Toi qui veux faire le malin, en injuriant les pauvres et les gens biens !
Stockholm, c’est un peu en Europe, là près de tes amis et soutiens russes. Merci à ta blonde et douce chérie ! Mind, tu pourrais te faire des ennemis, malgré tout, si tu continues à chercher des poux sur la tête chauve du Sieur Poutine ! Ils ne te rateront pas… Car ce serait aussi, des êroubis pour toi, des ‘’paysans de merde’’ ! Dis leur en face qu’ils sont de la ‘’merde’’ et tu verras ce qui adviendra de ton arrogante Amérique ! Et ce ne sont pas les nations d’Asie ou d’Afrique que tu peux encore traiter de merde !
TU VIENS DE PONDRE
Cette lettre, M. le Président. «Jérusalem est, et doit, demeurer, un lieu où les Juifs prient au Mur Occidental, où les Chrétiens marchent sur les Stations du chemin de la Croix, et où les Musulmans prient à la Mosquée Al Aqsa.»
La moitié de ceux qui ont fait l’Amérique ou contribué à faire surtout les States, monsieur Trump, viennent de ce continent en burn-out de ses anciens maîtres-colons. Des criminels et des racistes. Ne faites pas pire, en les traitant de ‘’shitty country’’ de pays de merde ! Du haut du Capitole ou de la Maison blanche, qui hier encore étaient occupés par un beau brun.
Et puis quoi encore ? Quand la moitié de nos sentiments et des mots en réponse sur le web, ne suffisent pas pour améliorer la diplomatie et apaiser les humeurs de ceux qui ont été blessés, outre mesure. Brimés, dans le combat pour la liberté et pour le respect par les envahisseurs sur leurs propres terres, les voilà outrés par tes actes et tes mots. Je parle de la Palestine et d’Al-Qods encore. Mon sang, mon credo, comme diraient 2 milliards d’âmes ! Au lieu d’user de vos potentiels, de votre position éclairée, de votre influence, de votre entrisme avec les uns et les autres, pour faire la paix entre-eux, vous, tu ravages tous les espoirs de paix. Et tu mènes l’humanité à la troisième guerre mondiale, en semant la terreur, la haine et le racisme rétrograde. Quiconque, à commencer par les Juifs et les Evangélistes, y perçoit l’Apocalypse et la ruine de la terre ou tes mots et tes actes mènent.
Notre milieu; nos langues, plus que nos familles et nos maîtres, nos rues et nos relations, nos peurs, nos expériences, nos colons eux-mêmes et nos programmes, nos langues et nos morales, nos religions, s’activent tous avec leurs antinomiques paradoxes à fabriquer nos caractères et nos âmes ! Nos personnalités, malmenées, nos profils de citoyens dénigrés, ou celles de gens vivant en harmonie et en convenance, dans des pays, des tribus ou des clans. Peu d’entre nous tous, sur terre, y compris vous, Donald, évoluent
convenablement dans l’éthique idoine. Ingrats, cupides et hypocrites, paresseux, frustrés, inhibés, peureux et lâches, sont courageux, altruistes, juste et bons parfois ! Tentez le change, et l’on vous apprivoisera !Comment avec ça, un américain, un juif, un noir ou un quidam d’origine occidentale, pourrait-il être en harmonie avec les concepts des blancs locaux, des berbères, des noirs, des musulmans ou des arabes ? Melting pot et mulâtres de toutes sortes, mélanges des esprits et des espoirs, des religions et des relations, des caractères, des ambitions et des incompréhensions, des susceptibilités et des races. C’est ici la Terre, non ?
DR IDRISSI MY AHMED, KENITRA, LE 22 JANVIER 2018
CIVISME, PASSAGES-CLOUTÉS, SÉCURITÉ ET PROPRETÉ
Vous m’avez sorti de mes réserves, monsieur le Professeur !
Introduction
La ville a besoin d’être re-policée pour mériter son nom de ville. Je ne parle pas que de Kénitra, devenue un gros quartier de la capitale. Un standing, qui doit se mériter, en toute indépendance de nos respectables walis et autres responsables. Un retour au statut antes, pour être plus opérationnels et le redevenir localement. Avec plus d’efficacité de par la proximité. La rapidité, la dynamique et la décision n’en seront qu’améliorées !
Ouvrons le sujet proprement dit :
J’ai mal à ma ville . Les fumées noires la salissent et l’asphyxient. Et pourtant » Fumer tue »’ ! Les concitoyens ne se sont pas tus ! Civisme, passage cloutés, sécurité, propreté et urbanité. Les passages marqués, peints, ou tracés pour les piétons, ont rarement été cloutés au Maroc. Ils demeurent rares, très rares, et le plus souvent effacés. Trop peu repeint, si ce n’est à l’occasion !
Et SM le Roi, n’est pas obligé de passer par toutes les villes ni les rues pour obliger les municipalités à oublier la paresse et à s’activer. Le ménage, la cure auxquelles il vient de procéder doit faire école.
L’éducation scolaire a oublié ce chapitre qui gagnerait à être repris comme rôle et remâché régulièrement aux enfants et aux jeunes adultes , porteurs ou pas de cimeterres .Qui plus est par le ministère des Awqaf dans les mosquées doit aussi éveiller les prieurs. La citoyenneté n’est pas antinomique de la religion !
C’est de fond en comble que la Ville doit être revue et…corrigée. Elle toutes les villes du royaume ont besoin de bénéficier de cette INDH. Peut-être qu’elles activeraient certains de nos paresseux certains, en manque d’idées, en leur soufflant un programme.
Mon slogan serait ; » 7 jours par trimestre de propreté urbaine ». Et ce, que la municipalité soit habitée et régie par des ruraux sans certifs comme certains parlementaires, ou des citadins en aspiration de ‘’parlementarité*’’ (la retraite imméritée, mais assurée ! ). Aucune excuse pour ces ‘’braves gens’’ si ‘’elles bougent’’! Il doivent urbaniser la cité et ne pas se relâcher après les première semaine d’efforts ‘!
Il n’y a pas qu’Al Huceima qui aurait souffert du désistement léthargique des responsables des cités ! Nous aussi, on pèche des espadons et la Kasbah regarde de haut Mehdia ! Et cette réflexion appartient à toutes les régions. Il n’y a de quoi marcher pendant six mois ni se survolter jusqu’à faire tomber un gouvernement, en chasser des ministres et punir des responsables de parmi les autorités. Mais il faut parler pour être écoutés !
La rigueur du gestionnaire est offerte avec parcimonie. Il a devant lui tellement d’imperfections cumulées (durant des décennies) et qu’il lui faut corriger, qu’il s’essouffle au premier coup de pioche du chantier.
Je ne parle pas de la honte manifeste des bus, horribles révélateurs de nos déficiences génésiques. Il parait qu’on en casse un peu partout. Un nouveau rite. Les cadres responsables de la société, les cadres et les gosses, ces jeteurs de pierres qui se sont ‘’trumpés’’ de Netanyahou et de camp ! Ici, c’est le Maghreb, pas l’Orient ! Alors, les cailloux, messieurs les gamins, laissez-les par terre ! Ne vous prenez pas pour des David-s sémites en face des Goliath-s palestiniens ! Les cailloux, ce n’est pas pour casser les vitres ! C’est pour les ablutions, pour le lissage des membres, au hammam et mieux encore, pour la construction.
Qui plus est, il y a un constat ‘’ d’irresponsabilité généralisée et d’analphabétisme citoyen’’ qui sévit à fond. Il y a quand même des miracles, ne soyons pas négativistes !
Mais avouons, ce sont des marques dégradantes et destructrices de barbarie, de laisser-aller, de sous-développement et de je-m’en-foutisme ! Car nous sommes responsable en Afrique, nous devons démontrer que nous sommes à la hauteur du pari pour assurer cette politique ambitieuse, pour un pays qui est resté longtemps calfeutré sur soi-même et fâché envers les abusés et les affidés d’Alger.
Qui plus est, il y a le fameux train TGV, les autoroutes, les usines, les nôtres et celles qui se sont dépaysées, (lire délocalisées) pour faire dans les fils et autres sièges ou pièces de voitures.
Il y a ces fameux ports, sauf celui de Kénitra-Mehdya, ardemment suggéré par Abdou Rebbih, (demandez aux M’chiche et à Janah !), mais qui se fait encore désirer. Et ces belles cités, au-dessus de nos simples moyens de Généraleurs*. Et puis, merci Sidna, nous avons des satellites !Or nos villes, celles que marginalise le Sebou, ne cadrent pas avec ces inestimables progrès !
Les trottoirs, dont les carreaux sautent avant le permis d’habiter des immeubles, les plus neufs, des jardins, (sic), non encore habités, qui plus est les plus anciens. Au point que les Poilus de la Première Guerre Mondiale pourraient s’y cacher.
Venez voir mesdames, les chaussées, gonflées de chaises, qu’on les croirait devenir des cinémas de plein-air, alors que les cinés couverts, ont été totalement rasés ! Venez voir mesdames ces trottoirs où l’on vous siffle et harcèle, impudemment ! Sans arrières, ni antérieures, pensées !
Les regards et les tuyauteries des eaux usées, qui se noient dès les premiers orages et les premières ondées.
L’éclairage public, qui laissent des coins bien sombres, hélas, sans dignité ni sécurité.
Les façades privées à peindre obligatoirement pour rénover la face de la ville et lui donner plus de gueule ! Les moderniser serait heureux, partout au Maroc, bien sûr ! Même dans les quartiers des médinas, ou simplement les ré-arranger.
Ces cafés envahissants…Ça va j’ai fini ! Tout reste à faire. Et les arbres et les jardins et le stationnement, où faut-il y aller pour les voir ou les parquer ? Ça va j’ai fini, je ne vais pas parler des infrastructures…Il me suffit de parler des regards et des trous ! C’est une honte, je l’ai dit. Une humiliation constante, qui est de trop ! Baraka Trump, elli t’hagare âla essilme, we essiyassa.
Au secours Général Lyautey ! Ils ont même sauté ton Port-Lyautey. Reviens à Kénitrous pour les rééduquer ! Ils ont oublié la méthode. Je vais dire à sa nièce, Mme Student de le lui demander. Ou que le gentil et sympa Macron, pourrait marcher des fois ? Et venir de temps en temps pour le suppléer…Dr Idrissi My Ahmed, Kénitrop , le 14 Décembre 2017
Les chroniques différées de Mme Laure Student
DRAMES COURANTS, PHASE TROIS :
LES VERRUES PORTABLESJ’ai soldé mes actions, j’ai cédé mes acteurs, j’ai abandonné mon terrain de jeu et ses raclettes, puis lavé ma serviette de bain, la veille de la Saint Valentin. Les terrains sont noyés de pleurs continus et de pluies vertueuses. C’est la miséricorde qui s’étend, la clémence et l’absolution. Je ne veux plus faire de sport ni de buzz ou de blues, quand les autres vont aux cafés maures, faute de stades et d’équipes admirables. Je me mettrais en quarantaine et en question, le temps que le gouvernement soit élu et qu’il reprenne ses fonctions.
Les miens vont me regretter. Ma joie posthume est de ne pas les décevoir, quoique j’aie fait et qui eusse pu les brimer ou les déranger. Ainsi parlait le président baroudeur, avant de s’assagir sur le fauteuil roulant ou le sage ministre et avocat qui vient de nous quitter. Grandioses funérailles et cérémonie nationales d’enterrement. Certains ne partent pas, ils s’illustrent à vie, telles des icônes inoxydables pour les futures générations.
SI VILES CIVILISATIONS
Quoi penser des arabes vestigiaux et autres peuples et tribus nés dans les parages musulmans ? Des nations défuntes, éclatées, pulvérisées par les invincibles colons. Vini vidi vinci ! Déstabilisés, ravagés jusqu’aux racines des dents, les pires sévices publics, s’étalent çà et là ! Devenus arriérés, apatrides et anachroniques, ils subissent du servile néo-président de son maître et odieux acolyte, les pires ethnocides. Ceux que le monde a vu faire sur les sémites, mais que des mains insatiables et bellicistes commettent avec les terreurs que ça produit et que ça sous-tend.
Si on devait vérifier de façon scientifique et dater l’histoire d’Abraham, par-delà les Bibles et les mythes, les pères fondateurs des nations sémites, Ismaël et Itzhak , puis leurs fils, Yousef par-delà les noms oubliés, l’assujettissement de sa tribus et de ses fils en Egypte, Moïse, ses miracles et ses Commandements, la fuite à travers la mer, Samson et Dalila, les péripéties qui ont installé les rois qui ont fondé Israël dans la zone occupée par les Palestiniens, puis cette histoire de Goliath et du frondeur David, sa Bethsabée, ses psaumes et autres proverbes de Salomon, sa reine de Saba, le pouvoir, les miracles, puis les Romains et Jésus de Nazareth enfin, ses apôtres, son histoire avant sa légendaire et discutable crucifixion, pour arriver à Mohamed et les siens, que nous sommes. Quelles seraient la vérité de l’histoire, les faits, les fictions et les hypothèses, le côté imaginaire ou magique des récits, si l’on devait analyser scientifiquement ces traditions, sociologiquement ce folklore ou anthropologiquement cette longue histoire de conflits et de mésententes et mettre à plat ces affaires compliquées ? Comment extirper les mythes fédérateurs de la tradition et des axes des credos ?
Il y a un destin, un devoir de parcours et d’expansion écrits sur la Bible. La conquête de l’espace y est nettement prescrite à l’homme. Mais là, envahir et coloniser, les peuples et leurs terres, anéantir les habitants, les gommer de l’existence, effacer leurs droits et leur passé, cumuler lesbiens, voler, tuer, trahir et mentir…posent problème. La Bible ne devait pas parler de façon aussi permissive qu’odieuse de ça ! Pour promouvoir une espèce, une culture, une religion, une armée, des hommes ou simplement chercher des esclaves et exploiter des terres…Il y a des façons plus amènes ! Qu’a-t-on fait à la place ? On a liquidé des nations, gommé leurs cultures, leurs espèces et leurs civilisations.
AVOIR POUR ETRE ET PRENDRE
Collectionner, acheter, déposer, oublier manger et boire puis pour respirer, aller vomir sur le sofa…Des romains et des civilisations ultérieures pour avoir, riches et aventuriers, brigands et mercenaires s’allient pour envahir en prédateurs et subjuguer la terre entière. Cultiver un chouya ou tuer pour déposséder. Que de personnel employer pour dépoussiérer, épousseter, garder ces bazars, ces musées et ces palais ! La civilisation, le prestige, les valeurs, la dignité, le respect ou l’admiration des foules ou d’autrui sont à ce prix. Avoir, montrer, jouir pour être et se montrer, c’est ça la vie ou l’expression de la personnalité. Ses masques !
Que de tableaux moisis que de voitures inutiles, que de livres non lus que d’habits jamais portés, que d’agent en banque qui ne sera jamais dépensée. Et puis tellement d’habitants, inutiles ou inusités, chômant la plupart du temps. Exclus, incompris et ignorés, là, sur notre continent et en Asie. Des rafiots et des barques de fortunes sont offerts à la mer pour s’en débarrasser. Ils envahissent les plages comme des baleines échouées ! Ils foulent les sables, les êtres et les cœurs qui les refoulent et les haïssent !
Réfugiés et fuyards des guerres, émigrés fuyant la pauvreté, ils se voient refoulés, haïs, pourchassés, maudits eux et leurs races, leurs cultes et leurs origines. Apeurés, criant de faim et pleurant de froid, atterrés par les maladies, noyés dans les misères de toutes sortes, ils sont aux portes de gens nantis, fermés et suffisants. Des barbelés aux lames d’acier barricadent les terres des identités supérieures et l’Eden, cette paix espérée, le havre qu’ils vantent et la sécurité que les puissants leur inspirent.
Ces territoires des saints et des nantis, issus des tribus de Dieu ! Les entrées de douanes et les issues sont ferraillées et les tribus attardées, écartelées, écartées ou emmurées ! Barrages idéologiques et murailles hermétiques, hautement hissées, menaçantes de haines et de colères, odieuses et arrogantes, bloquent la respiration alterne et les entrées. Les dits sauvages des jungles et les barbares des montagnes d’Afrique, tels des microbes vénéneux et des fauves, infestent les terres qu’ils menacent, mais s’ils ne se noient pas, devant l’Espagne, l’Italie ou la Grèce, ils tombent sur les préambules, à l’orée initiatique de leurs esplanades et clairières. Pour ceux, rares, qui accèdent une autre jungle inhumaine les attend pour les inculper et les ostraciser.
Et puis, ces hordes n’ont qu’à rester se cannibaliser chez elles ! Merci aux puissants humains, si civilisés et aux Lepen, de nous le répéter de la sorte et de fabriquer des partis politiques, extrémistes, rien que pour hisser ces slogans ségrégationnistes, comme autant de bannières fédératrices…pour eux ! Qui plus est, de faire prospérer en Occident, ces ressentiments malveillants, comme autant de devises vindicatives et de volontés de croisades ! De les laisser se proférer comme autant de programmes ethnocidaires, comme une religion et un ciment, unicistes, une philosophie vigilante, vigoureuse et guerrière, afin de les faire appliquer par leurs présidents xénophobes au reste de l’univers ! La haine, pire que les religions et leurs opiums, unit les plus accros d’entre ceux-là !
Merci aux crinières léonines et blondasses, des States, de Hollande, de France et de Navarre, de penser si bien de ces bruns et métis ! Nous n’avons pas choisi nos couleurs. Et voilà que le nouveau mammouth des States y va de sa Trump ! 25 milliards de dollars pour ériger un mur entre le Mexique et les USA, dixit rugissant l’ostensible et frileux Donald Trump. Il préfère et c’est un bon choix, Poutine et les blondes. Les latines de brunes, non, c’est non ! C’est à Mexico de les cracher les dollars pour protéger la pusillanime et xénophobe Amérique! De plantureux présidents et de sémillants princes, des financiers repus, maîtres du monde, machiavéliques agitateurs, illuminés d’Amérique et d’Occident, impitoyables richards, amassent sur tous les fronts et dépensent plus que l’Orient, son pétrole et ses richesses…
Les gentils indigènes et virils enturbannés, ne gardent dans cet interlope marche de dupes, qu’un pactole de 10 pour cent des bénefs ! Une fortune relative et partielle qu’ils répandent aux amis pour les fructifier ou pour acheter des armes. Une partie reste en sécurité dans leurs banques blanches ou dans leurs boîtes de charmes. Mais l’immense majorité, reste entre les mains des blancs, ces investisseurs, technocrates et prospecteurs, qui leur vendent en retour des gadgets, pour pétarader !
De pauvres hères, des Bassous sans chance ni vitalité ni sous, il y en a partout. Et partout dans le monde vous verrez cette image multiple et obsédante. Amaigri, flasque, courbé, délaissé, son cœur dans la solitude est brisé. La misère et l’ennui sont devenus de son lot. Est-ce une punition méritée ? Appauvri, il attend au coin d’une rue, là, sous la pluie battante qu’une âme charitable lui donne, par pitié de quoi manger. Déjà sur terre, c’est l’enfer pour lui. L’ignorance est-elle la cause de la solitude, ou est-ce l’âge et la maladie ? Ce qu’il ressent est terrible par rapport à ce qu’il pense d’autrui.
LES LIBERTES DE LA PAONNE
Il y a longtemps que j’ai jeté les voiles, mais il y a cette ancre qui me retient en votre mer noire et ses reliefs profonds. Tantôt c’est un coq, tantôt c’est un groupe de moineaux qui cherchent leur pitance en s’invitant devant votre fenêtre. Un perroquet ou une colombe, auraient plus d’effets et de lyrisme comme baumes. C’est un chat de gouttières, une chatte grosse, qui se dandine entre vos pieds pour quémander un peu de viande ou de chair crue. C’est un chien qui aboie par là. Plus loin….Les loups s’entretuent et se mélangent aux hommes pour persister. Nous allons dans un moment le voir. Les émigrés, c’est un peu ça !
Résumé de tous les romans. Maintenant c’est un singe, un veuf éthylique, un ancien de ses malades, qui loue ses services. Depuis, il l’amène les dimanches aux hôtels. Ils se promènent et bavardent, mangent aux cafés des lacs. Il mire les mots d’amour qui coulent sur ses joues, mais elle refuse quand il lui prend la main. Elle ne dépense rien pour la bouffe. Il ne lui a rien encore acheté, le manant. Il lui donne et elle prend cette fois-ci ses deux sous pour se payer un bain. Ils projettent de se marier, halal, il cède finalement à ses lubies, pour la conquérir. Dernier chapitre. Alternative: ils vécurent heureux, ou qu’ils moururent et n’eurent point d’enfants. Beaucoup de films et souvent les romans se résument à ça. Sauf que l’émigré et ses projets conjugaux, en restent là !DES REVES FUGITIFS
Comment me souvenir de mes rêves quand je n’arrive pas à relire mes écrits ? Je parle de mes notes. Les vies, ce sont des feuilles qui se détachent de l’arbre, pour nourrir le sol et les racines, laissant à d’autres pousses de reverdir les branches, afin de porter d’autres fruits.
Dématérialisée, une ombre dessine la silhouette et passe devant la vérité. L’air est serré. Quelque chose ondule. Une pression accouche. Un esprit qui dormait jaillit en dansant pour devenir de la lumière. Tu voulais voir un signe, un présage. Celui qui te confirmerait l’écoute de Dieu en réponse à tes vœux et prières. Là, ce furtif tremblement, doit être un mirage…Une réponse à ton miracle, comme un privilège, qu’on réserve aux saints et aux rois…Les présidents, niet !
Je ne connais pas la psychologie des moustiques ni leurs repères. Ni celles des pâtres qui nous dirigent et nous facilitent de brouter, par-ci et par là. Encore moins celles de leurs compères et autres comparses qui les dominent et les forcent de s’exécuter à l’ombre parraine de leur umbrella. La pyramide, la hiérarchie des actes est régie en échelle de valeurs telles les branches d’un arbre. La vie est ainsi faite. On dit des bestioles qu’elles proviennent des eaux torpides. On dit de ces insectes voraces qu’ils sont issus des urines des dieux. N’y croyant guère, les impérialistes les protègent tandis que les sionistes vendent leurs os pour élever des cités sur les terres des esclaves. Je parlais des hommes en fait. Les insectes, c’est pour la cynique et sinistre parodie.
Certains mangent des serpents et croquent des scorpions, pour de vrai, quand vous préférez le poulet, le lapin; la paonne ou le porc. Qui est le meilleur mets à mettre sous vos nobles dents, mon cher cannibale et érotique carnivore ? Un paon, une tourterelle pour t’exciter, avant de les occire pour les assimiler…D’autres aiment lire et vanter leur opinion, leurs histoires et leurs livres ! Ecoutez, regardez, ils reviennent, les envahisseurs.ZEUS NOUS DIT …
Qui nous dit que c’est Jupiter ou Yahvé, Dieu dans ses poèmes allégués comme bibliques, qui aurait élevé ce peuple, élu ou qui l’ait choisi, d’entre tous les autres humains ? Ce sont des paroles, intuitives, des slogans qu’il convient, depuis, de remettre à leurs justes places. Ce sont leurs paroles exclusives qu’ils offrent, rubis sur ongles, comme des perles ou de précieux grains. Les céréaliers vantent leurs blés comme des bijoutiers et nous les vendent depuis des millénaires. Du vent ou des tempêtes, destinés aux autres, pour les ruiner et les dominer. Cela, embaumé du sacré et enjolivé dans le cadre du nom divin qu’ils commercent et prospèrent. Cela au dit-nom de leur dite-religion, qu’ils veulent appliquer pour dominer et utiliser à leurs seules fins ! Allégations, subjugations, vols et suprématie ! Quel est le peuple ou l’état qui ne voudrait pas faire ce commerce-là ?
Allégations ! Qui nous dit que c’est Dieu, par-delà les milliards d’années lumières, et l’éthique divine, l’équité démocratique entre les peuples, les siens, qui délaisserait ses nombreuses créatures au profit d’une seule entité ? Sont-ce des façons, Yahvé, pour écraser les nombreuses tribus au profit d’une seule autre? Dieu aurait été soumis, domestiqué, approprié, pour servir de nounours à ses électifs propriétaires ! Qui s’en vantent, électivement, sans honte de lui appartenir, exclusivement ! Tirant leurs dérives égotistes de sa volonté divine, ils refusent aux autres des humains, leurs simples prières, vouées qu’elles sont à l’esprit de justice et d’amour, au sublime et universel divin, le Premier, l’Un !
L’anatomie de ces minuscules moucherons infra millimétriques ! Ils ont des ailes, un ventre, une queue pour forniquer instinctivement. Ils ont des hormones pour se reproduire. Ils ont une tête et de quoi manger, respirer et prendre l’air. S’ils se parlent, c’est une chose, s’ils se comprennent, c’est certain. Toutes ces tribus élégiaques, rompues de superlatifs, c’est un peu des moucherons, perdus dans cet immense univers…LA SECTE DES INSECTES
Noires ou brunes toutes les fourmis de la clôturé ou de l’allée, se ressemblent pour nous. Les moustiques, femelles de ce soir, c’est tout comme.
Trois ou quatre ‘’jumelles’’ se sont retournées au plafond, bien requinquées, ce soir. Leurs ailes neuves comme des robes de soirées étaient signées. Elles me narguent et me menacent. Elles sont au bord du lit maintenant. L’une d’elles m’attaque après avoir lancé son hallali. Le chant guerrier siffle près de mon oreille et autour de moi. Satisfaites de chair et rassasiées du rêve où tu étais plongé, elles se perdent en te palpant. Elles espéraient que le sang nouveau, nectar du nique-tard et ambroisie, allait les revigorer pour leur offrir une meilleure vie, une ponte et des œufs et des larves et puis…Des stances, un standing, une vie plus méritoire, pour la gente ailée qu’elles sont ! Enfin un tremplin dans l’espèce, une métempsychose pour un autre karma. Devenir vampires ou vaches ou les deux à la fois. Eléphants ou crocodiles, sur un autre Nil. Le Nirvana ? Ça leur va ! Ou tout ça à la fois. Autant rêver en grand, si c’est dans la fiction…Moustiques, que nous sommes, nous avons autant d’imagination que d’ambition.
Une tape de magazine, où l’on voyait en première page, Chabat crucifié devant le Parlement et les voilà les 3 jumelles écrasées d’un seul coup. Le leader de l’hebdo a bonne presse. Il les écrase toutes du premier coup. Les médias en font un tabac. Le mur blême se rit des nouvelles inutiles tâches rouges et se rassasie de mon propre sang !LES VERRUES INSTABLES
Le maudit, le mahdi, le mal-dit, ou le Maqli fe zitou ? C’est ainsi que l’on veut voir le leader, syndicaliste cycliste, de la rurale Taza de l’époque ! Un Bouhmara ! Mis à mal, mis à plat dans l’arène, sur le sable qu’il a boursicoté. Trait d’union advenu par hasard, le populiste porteur du vieux discours, est mis sur l’autel en attendant l’échafaud. Pourtant sa sortie refait prospérer la diplomatie de nouveau, entre les voisins hautains. Ces maures du même terroir que nous occupons, malgré les vicissitudes !
Un gladiateur sur la croix, ça doit faire rigoler ceux qui ont voulu l’élire et puis l’enterrer comme un vulgaire taulard. Edifiant exemple, prophétique et proverbial, à l’usage des hommes. Une sagesse, une mise en garde, une fable de Jean De La Fontaine ou d’Esope, pour le petit peuple des zélecteurs* ! Une affiche géante de parmi les immanents édifices qui peuplent nos avenues de consumérables messages géants. Les arrogants parangons, immenses richards, devenus intrigants ingrats et narquois, doivent y lire qu’ils n’ont qu’à bien se tenir la langue, dans la poche, sous peine d’être bannis des vivants.
Consommez vos adversaires frais ! Un Christ de plus, ça fait longtemps qu’on en n’a pas eu ! Ce sont des guerres de religions plus chaudes, des séries et des croisades, plus radicalisées contre les gens du livre et du palais qui font jazzer ! Fin de l’intermède chabatique ! Parlons des simples mortels !
Paix à l’âme de l’éminent Ssi M’hamed Boucetta qui vient de nous quitter ! Pendant ce temps notre bon Roi fait redécouvrir le Grand Maroc aux Africains. La semaine prochaine, nous parlerons dans cette chronique différée, vouée à Mme Student, de l’amiral Benky et de son fédératif et largissime gouvernement. Bon anniversaire d’ici là.Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 19 février 2017.
Bankimoonade !
Et vous irez encore alléguer, que ‘’ l’occupant’’ est un envahisseur et un colonisateur !Confidence ou conviction : ce n’est pas le cas du Maroc, messieurs de l’ONU ! Aux autres de changer d’avis et de clarifier leurs données à la lumière de l’avenir du Maghreb et de l’histoire. Devez-vous cacher au monde la vérité et continuer de mentir, pour nous vendre des armes ? Nous sommes viscéralement engagés pour la paix et nous y militons armés de la justesse de nos droits.
Je suis certain Si Omar Alter de la compréhension des Algériens ! Et qui plus est de celle des Juifs, hélas partis, des Espagnols, des Français et de beaucoup, beaucoup d’Algériens, qui furent de mes camarades d’écoles et lycées de type ou carrément de Mission.
Je ne nie pas que les programmes scolaires, la rue et la famille, forment, structurent, éduquent ou déforment des fois, sinon trompent, limitent ou cachent le plus souvent.
Je ne renie pas mes cours à l’école Lalla Aicha de Talaâ Sghira, lorsque nous y fûmes placés, à la suite de la fermeture de l’école européenne de Bab Riafa du fait de la grève de nos camarades algériens. Alors que nous autres Marocains étions libérés du Protectorat français depuis 2 ans, notre maîtresse de français et d’histoire, une française de souche, de la métropole, nous affirmait et nous inculquait, au kilomètre carré près, que le Maroc était bien plus vaste que ce lopin où nous vivions ! Et qu’il comprenait ce qui est devenu par inadvertance et mauvaise politique, la Mauritanie ! Je sais que des voix d’orfraies vont s’élever là pour chasser nos pigeons et leurs branches d’oliviers.
Dey Oueld Sidi ! Mais depuis quand ce pays ou cet état existait-il déjà ? Et que tentaient de faire au Palais royal de Rabat, les étudiants qui voulurent y rencontrer Mohammed V en cette époque ? Mais reconnu de tous, cet état existe fièrement et librement maintenant ! Toutefois, on se souviendra des Almoravides, des Sahariens qui sont remontés du Sahara vers le Nord pour y établir leur dynastie sur cet ensemble. Bien auparavant, plus près de l’Empire romain, nous étions la ‘’Mauritanie tingitane !
C’est dire nos arrières et notre passé commun, confondus par les colonisations, déchiré puis éparpillé, ventilé pour se perdre à jamais, entre des barrières immondes, imposées par les colons. Je vois encore comme des vestiges virtuels ces pages que nous montrait la Prof ! Anachronismes ? Faut-il en vivre à mon âge et espérer encore ? Madame l’institutrice, vous m’auriez raconté des mensonges et enseigné des balivernes, que vos états actuel d’Europe sont incapables honnêtement d’en témoigner ?
J’ai visité, jeune par trois fois l’Algérie ! J’aurais dû le faire bien plus souvent, par estime, par alliance et par parenté. N’est-ce pas ma petite Benky. Nour ? Aucun Maghrébin, juste, fier et loyal envers le passé commun et ses racines, aucun »Nordaf », qui parie sur l’avenir et non sur les sécessions, ne doute de ce devoir d’union, fédérale ou autre, pour demain.
Toi, pardon vous, monsieur Cédric, je ne vous ai pas bassiné ! Je ne vous connais pas et ça me suffit, comme égards. Rien ne vous force de me lire ni à croire en mes propos, ni moi aux vôtres, non plus. Par respect aux identités, cristallisées et fossiles, par méfiance de leurs suffisances et autres avanies et endoctrinements, par respect pour tout Lecteur aussi. Si vous avez vos allégations, j’ai mes convictions ! Si je les respecte, mais pas leur ton du tout, c’est par politesse envers tout un chacun dans cette » tribune populaire. L’Agora où il ne faut pas élever le ton ni se croire encore en situation paternaliste, de conquérant ou de donneur de leçons ! Chacun son instruction ou son formatage ! Les miens concernent ma région. Vous, vous avez un compte à régler avec les guerres coloniales que vous ne cessez de propager. Et qui plus est celles que vous ne de susciter et de propager ailleurs ! La nouvelle guerre Mondiale est faite, non pas seulement de batailles et d’alliés, mais de guerres délocalisées et exportées !
Maidoc, comment se défaire des slogans et se libérer de l’intox, comment se dépêtrer des conditionnements entrés dans l’ADN des gens ? Comment se libérer de l’enseignement et des médias qui fossilisent les pensée et enkystent les opinions quand elles enferment et opposent les enkystés, les uns aux autres ? Identités égotistes, tribus racistes et nations xénophobes, sont les ferments des haines et des guerres. La propriété, les terres, les crédos en sont évidemment les défenses, les ciments et les barrières.
Si Ali, comment purger et déconditionner les schémas qui défigurent les esprits et les corps en répandant les haines et les guerres ? Commençons, à travers le monde, les sites et les médias, à cultiver et à imposer le respect à travers les forums haineux de l’Internet. Ils sont la facette, la douane et le visa, la couleur, la lame, les lynchages et la mitraille, sinon la main tendue de cette mondialisation. On se doit, c’est le rôle de l’ONU et de l’UNESCO, de purger nos systèmes d’enseignement et les vôtres ! Elaguer les bourrages de crânes, les matraquages devenus plus péremptoires que ne furent les religions. Primo les erreurs égocentristes ! ! Une obole pour certain, un formatage pour d’autres !
Cédric, si vous avez des problèmes avec tous vos textos sur les Orientaux, des chicanes sur les Arabes ou les Juifs, ce n’est ni mon plat préféré ni mon rayon d’action. L’Algérie n’a rien volé, elle n’a même pas pris, Monsieur ! Elle a juste gardé, ce que la France, témoin de nos déchirures, acteur cisailleur et puis colon, nous a volé ! Que ce soit dit littéralement, car c’était manu militari. Demandez aux gens d’Oujda ou de Figuig d’où proviennent mes ancêtres, ce qu’ils pensent de la pénétration guerrière de notre espace national !
Que reste-t-il ? Chacun a ses propres Gaulois ! Parce que c’est la seule chose de vraie dans cette ‘‘glorieuse’’ péripétie et pathétique histoire ! Un fait, avec ses ratés, ses apports oui et ses morts. Rome et ses latins vous ont laissé leur langue, tirée pour vous moquer, en partant. Vous la parlez si mal maintenant, que c’est devenu du charabia pour eux ! Nous faisons cela nous même du français ou de l’espagnol, avec nos élucubrations linguistique ! On n’a pas peur de tiquer ou de vous critiquer dans votre belle langue. Si ça peut réveiller Racine, Taieb Seddiki et Molière.
Azzed, ils ont oublié l’opération ‘’Ecouvillon’’ et la guerre du Rif ! je peux me tromper, mais je crois savoir que c’est feu le roi HASSAN II , qui le premier, par ouverture politique au monde occidental et aux Africains, dopés , ouverts ou trompés, sur nos droits et notre histoire dans la région, a lancé le premier donc, l’idée d’un référendum pour pacifier le struggle à propos du Sahara Marocain. Contre l’avis de nos socialistes, une de leur grande figure historique, un de leur ministre fut mis en prison pour son opposition à cette hypothèse et suggestion royale ! Elle est venue en son temps de Rabat cette proposition. Message de circonstance, opportunité ou offre, il en est d’autres ! Mais, les Algéro-polisariens y tiennent encore, s’estimant assurés de l’emporter par les urnes, pour avoir grossi les camps de votants potentiels, avec des ressortissants étrangers comme mercenaires !
On eût pu la lancer, cette idée de référendum à toutes les tribus, avant de leur donner leurs indépendances post coloniales, ou de les faire adhérer, elles et leurs territoires de parcours, dans tel pays ou tels autre. Que ne pas l’appliquer, ce Référendum qui vous chagrine tant, à l’endroit de toutes les tribus des chameliers qui parcouraient le très très large désert du Sahara ?
Mais les dessinateurs des frontières entre les peuples, Haj Hakim, avaient décidé autrement. Après, les envahisseurs, les colons devenus par la suite, armuriers et vendeurs, ne furent pas de cet avis »démocratique » ! Ils s’en foutaient, car cette option est faite pour les élites et ne se devait pas s’appliquer, sur leur départ furtif à des Colonies ! Sur de simples autochtones, laissés en l’état d’ignares ! Des bachi-bouzouks, qui comme les Indiens d’Amérique, ces frères dans ‘ l’apachité » qui furent massacrés sinon relégués aux montagnes faute de déserts de sables. On nous traite ainsi d’apaches, sans majuscules, nous nous autres les canaques locaux, quand on veut nous mépriser, entre gens bien, dans les salons des hautes sphères !
Les bienfaiteurs civilisationnels et autres grandes gueules inappropriées, parfois, nous laissèrent leurs langues en otage, avec leur sens des libertés, leurs types de lois, en passant outre nos particularités, nos proximités tribales et nos propriétés terriennes antérieures. Un peu comme les romains firent en Ibérie ou en Gaule !
Si Bouabid. A leur dite sortie, après avoir semé ce qui est scatologique comme bévues , à travers le monde, (regardez les incessants foyers de guerres), les sultans et les rois, comme les adjudants des maquis et autres résistants, firent ce qu’ils ont pu, avec leurs irrédentistes indigènes, leurs semblables ou les restants fidèles de parmi les colons. Ceux qui s’estimaient être de la race supérieure.
Il en est resté de nombreux nostalgiques de cette époque parmi nous ! Interdépendance dans un seul sens oblige. Et il en est qui persistent devant nos plus célèbres décideurs, assis entre deux ou plusieurs chaises ! Grand bien leur fasse ! Le monde n’est-il pas dévolu à la mondialisation ? Ils en sont les méritants de parmi les promoteurs. Là, ça, vous l’avez dit, ailleurs dans vos propos, Cédric ! Des réflexions ingénues, des gauloiseries, si riches à parcourir pour se connaître. Et s’estimer peut-être ? Mais, je ne suis pas totalement d’accord, pour vos guerres d’Orient. On en reparlera.
On m’appelle. Le Devoir, messieurs. A plus !
Kénitra, le20 mars 2016
Dr Idrissi My AhmedMarche des instits ou grève ? Marche et crève ou marche, réussit et rêve !
Marche ou grève ? Marche et crève ou marche, réussit et rêve !
Marche ou grève ? Marche et crève ou marche et rêve ! Ce genre de situations rétrogrades et douloureuses décernent par erreur, une très mauvaise note à la réputation du Maroc et font de la peine à la population, laquelle regarde ses fils blessés dans leurs existentielles sollicitations de l’Etat. Par-dessus tout, cela casse par ricochet notre affaire nationale, celle du Sahara, comme notre droit à la juste considération des peuples nantis et avancés pour les progrès réalisés, contrevents et marais, par notre nation. Ceux de notre pays sous nos rois. Comme ces incidents sabotent cette large ouverture du Maroc devant les investisseurs de tous les pays d’Europe, d’Amérique, d’Asie et d’Afrique.
Dommage, car les libertés en prennent un sale coup. La mal-vie nous guette. Et ça nous dégrade devant nos adversaires et nos pires concurrents. On voudrait réparer ça, cette dérive, cette erreur et ne plus ternir notre image de pays démocratique avancé. Ne serait-ce que par rapport, disais-je, face à nos pairs de la région !
Hommages aux instituteurs. J’aime bien votre contenu serein et vos retenues par respect indu à l’Etat. Ce malgré les dépassements subis par ces futurs formateurs. J’apprécie la lecture cordiale des limites de chacun dans son magistère au gouvernement. Des déclarations, peinées ou paradoxales, voire contradictoires, agitent l’opinion et les médias.
Qu’est-ce qu’ils attendent, nos instits, quels sont leurs droits et les limites de l’Etat pour les satisfaire ou pour les convaincre, sans passer par les bastonnades ? Hier ou demain !
Que comprendre ? Comment devoir demain et comment s’expliquer aujourd’hui, sur le pourquoi et les dépassements, des uns et des autres. Cette gestion, cette réaction névralgique, valable pour d’autres temps ou d’autres régions encore, en état de guerre civile ou de guerres imposées, n’apportent rien de bon pour la tranquillité de notre pays, le Maroc !
Rien hélas pour nos bons gouvernants. Et c’est heureux qu’ils maintiennent la paix régionale dans notre pays, contre vents et marais. Pourquoi dès lors créer la houle, messieurs, quand SM le Roi, donne pour Sa part, la meilleure image de sympathie, de grandeur et de gentillesse auprès des foules ? Pourquoi vouloir ternir Son aura par des actes incongrus ? Mais ce ne sera jamais fait ni atteint. Vos erreurs ou vos fautes seront nécessairement analysées et réparées. Gare aux galéjades et aux manipulations si des erreurs d’approche ont été faites ou qu’elles continuent de parodier la vérité et de se railler l’opinion des gens. Les caricatures et les facéties, les canulars, il faut laisser ça aux canards et non aux experts de la conduite des gens !
Le hooliganisme ne doit pas venir des services de sécurité. Il fallait convaincre les instits comme on a su, plus ou moins bien gérer les doctorants ! Il est dommage de ternir l’image des Services de sécurité et de Police, eux qui font tout pour nous protéger des extrémismes divers et pour assurer la paix !
On doit avoir le souci d’éviter toutes les bavures, pour sauver la quiétude des gens, la justice, les droits, mais surtout nos avancées régionales pacifistes et notre cohésion sociale.
Cela nous fait et nous cause des soucis politiques, devant les chefs des grandes puissances amies ! Une opinion adverse, que doivent partager des millions de parents d’élèves et d’enseignants.
Blessés et outrés, ils ont du se mettre de chair et de cœur, à la place de ces stagiaires brimés, rudoyés et malmenés. Ce n’est pas qu’ils aient raison ou tort dans leurs dossiers, ou dans leur manière d’interpeller le gouvernement ! C’est le climat terroriste et fanatique, qui éclate autour de nous, qui a fait que pour les » gérer » par la Sécu, les policiers ont eu la main lourde ! Cependant, ce n’est pas parce qu’ils s’appellent » enseignants » qu’il faut les faire saigner. Pour les convaincre à bien se ranger et à rester muets. N’y-a-t-il pas d’autres manières, moins brutales et plus civilisées ? Des consignes plus apaisées et plus aisées, démocratiquement plus évoluées !
Avant, il y a des lustres, les pères qui plaçaient leurs gamins à l’école coranique disaient au fqih du quartier » Inta debahe, wana nasslakhe ! »
Il y a 15 jours de ça, ma petite fille de près de 8 ans m’en a voulu de l’avoir écartée d’une petite tape, de mon clavier. Nour m’avait rétorqué alors : » Et les droits des enfants, qu’est-ce que tu en fais ? Tu n’as pas le droit de me frapper ! » Elle vient de me préciser ses mots à l’instant par un slogan scolaire. Un pensum : ‘’ Il ne faut pas me frapper, ça fait partie des droits de l’enfant.’’ C’est entendu ! Et le Parlement des Jeunes, qu’elle est sa position ? Et où sont les déclarations des parlementaires, absentéistes, ou présents, qui cherchent eux aussi à représenter les électeurs. Que pensez-vous que les instits, humiliés et battus, qu’ils enseigneront à leurs ouailles ? Nos enfants !
C’est à croire que vu de l’optique de la Police, vis-à-vis des foules rangées, avec ou sans autorisation, menaçantes ou pas, que cette police pense un peu, comme moi. « Heya eddire lebsalla we zeâama, we tangour, we yla baâdetiha be chi dréba ! Ma kharejek meâha la cadeau, la tahjira ! »
Mais là, concédons-nous un fait libérateur. Disons-leur, à toutes les parties en conflit, que Si Driss Basri est mort et qu’il ne faut pas, il ne faut plus le réveiller ! C’est contreproductif, localement, économiquement, financièrement et géopolitiquement ! Et que ses méthodes de gestion, plombées dans les caveaux, ont été depuis, revues à la douce !
Nostalgies. Je me rappelle que jeune étudiant, après avoir eu mon bac mission, faute de bourse, que j’ai été répétiteur chargé de cours à la Qaraouiyne. Une aubaine, qui m’avait fait perdre des années ! Là, j’avais évité le pire de peu. Celui d’un caillassage mémorable qui venait du cimetière voisin et échappé aux rétorsions des troupes de l’ordre et des goumiers, qui dans leurs poursuites des étudiants, ces ‘’vandales’’ qui demandaient leurs droits, avaient fait des blessés même parmi les jeunes profs. Confusions obligent ! On ne demande pas leurs cartes professionnelles à ceux que l’on frappe pour les rééduquer ou les ranger.
Devenu résidant à la cité U de l’Agdal après qu’on m’ait inscrit à la fac de médecine. Là un jour, je vous raconte, j’ai subi des déboires qui m’ont marqués à vie. Je revenais des lavabos, théière en main et j’ai refermé ma porte du 112. La première chambre de droite après l’escalier ! Soudain, elle fut brutalement ouverte. Trois policiers y pénétrèrent en trombe. ‘’Allez vite, fais tes bagages’’ ! Je n’ai rien compris. Je me suis exécuté. Mettre tous les papiers, livres, affaires et biens ridicules, sens dessus dessous n’est pas facile ni rapide.
‘’ Allez presse-toi. Serbi ‘’ ! Dégage ! Fit l’un d’eux. C’est ce que je fais ! Répondis-je ! Et vlan, une gifle immense et puissante m’a éberlué. Une secousse tellurique qui a gravé ses remous dans mes chromosomes d’étudiant pacifiste ! Je suis ressorti après un instant. La cité s’est vidée. Je portais deux lourdes valises…
Que faire ? Je me suis adressé à ce qu’il me semblait être un officier. Il était seul, debout stoïquement en face de l’entrée, devant une estafette, stationnée en bas des marches ! Je ne savais quoi faire. Je lui ai dit que je n’ai pas de quoi prendre un taxi pour déguerpir de la cité. Sans me répondre, il dit au chauffeur : ‘’Conduis-le où il veut ’’. Rue du Sénégal, s’il vous plait ! L’officier en faction, c’était Dlimi. M’a-t-on dit, des années après.
Ça fait 50 ans que cette séquence me marque avec ambivalence. Ma joue en tremble encore de honte et de mépris ! Est-ce que c’est cette main, paternaliste ou maladive, trop hâtive, qui m’a marqué, au point d’activer mon psoriasis et de déclencher ma myasthénie ?
Lors de ces manifs des instits ou des autres on pense à autrui. J’aurais pu être, moi ou votre fils, avec ces médecins internes de Baddou ou ceux de Louardi, ou de ces spécialistes grugés qui n’ont pas manifesté face à leur gourou de réanimateur, ou encore de parmi ces instituteurs qui ont été malmenés, la semaine dernière. Ceci pour avoir osé se montrer, afin d’exprimer leurs droits. Mal leur en prit de vouloir être des citoyens, libérés, méritants et prometteurs !
Les anciens militants, devenus des taulards célèbres, parvenus aux affaires depuis, en esprits courageux et avancés qu’ils restent, comprendront mieux cet état et ces pensées. Ils se doivent d’expliquer qu’il faut à nos Cadres policés, de mieux ménager le paysage qu’ils protègent et qu’ils embellissent. Soigner la société de demain en encourageant et en respectant les futurs instituteurs et l’expression citoyenne de leurs opinions comme de leurs droits.
N’étant pas dans cette ‘’maîtrise lourde des maîtres’’, je ne sais pas, si j’étais responsable, policier, parlementaire ou ministre, comment j’aurais agi, ce face à la menace sécuritaire des nombreux manifestants. Comment réagir à la crise pour en curer les causes et les dégâts collatéraux qui l’ont assombrie ? C‘est ça le devoir urgent des régisseurs, en toute sincérité, pour tranquilliser les esprits.
Comment gérer la post-crise, dès lors, sans en gêner encore le Palais ? D’éventuels dégâts collatéraux, inhérents aux risques sécuritaires, doivent être mieux instruits ! Ceux du maintien de l’ordre, priment, coûte que coûte et ceux d’apaiser le peuple, en rassurant les citoyens sont hyper-importants.
Aller et s’assoir à table ou simplement être honnêtes avec les courageux instits. Ces hommes qui façonnent les autres, ceux d’un demain proche et urgent…Ces enseignants respectables que notre tradition illustre quand elle proclame : ‘’ L’instituteur a failli être un prophète ’’! ‘’Kada el mouâlimou ane yakouna rassoula ’’!
Qu’ils n’oublient pas, nos protecteurs policés, le tribut payé par les tunisiens pour quelques œillets versés au dit Printemps arabe ! Quel printemps ? Quand on sait le chaos des peuples éclatés pour des riens ! Des mots arrogants, des actes belliqueux, des cris mobilisateurs, des critiques ou des soulèvements déclenchés de loin.
Quel est le résultat fâcheux de ces descentes et autres mauvaises gestions des marches et des attroupements ? Des acteurs meurtriers, instrumentalisés politiquement, impulsés de l’étranger, des fanatiques qui déchirent maintenant l’Orient et qui répandent le sang et les populations, fugitives, vers la mort et la fuite. Eclatés qu’ils sont par centaines de milliers, entre la misère et la haine, s’ils survivent ! Une honte pour toute l’humanité. Que nous apporte-il de les frapper ? Wa laou chouya !
Les cadres sont au service des administrés et de leur pays. Sa sécurité, sa justice, son avancement et ses progrès. Il faut oublier le principe de l’autorité pour l’autorité. L’autocratie et tyrannie datent comme leurs gens et leurs espèces ! C’est d’un autre âge forclos pour les gens évolués ! C’est depuis des ères que ces pratiques surannées et fossilisées ont été oubliées ! S’expliquer, vaut mieux que de frapper, à première vue.
Ainsi, faut-il se remettre dare-dare, au travail. ‘’22 heures par jour’’ et plus ! Leur rendre leur estime de soi, à ces instits, visiter leurs blessés alités. S’acquitter à leur donner leurs ‘’ 2 francs’’ avec tous les égards indus. Rendons justice à l’endroit de ces enseignants, sans plaisanter. Eux, dont on sait le besoin et l’utilité pour revoir les cursus et les langues, versatiles ou vestigiales, de notre patchwork d’enseignement. Ce malade schizophrène est de l’avis de tous, dans notre pays polyglotte, dans un piteux état.
Et je vous dis l’attente des gens et leurs sentiments d’indignation. Eux, qui dans leur ignorance et leurs hésitations, refusent cet état de chose qui stigmatise la démocratie, qui les repousse des urnes et qui éloigne des Partis !
Il est crucial de créer une ambiance de cohérence entre les Partis politiques et les syndicats. Quels que soient leurs bords, en vue de leur entente, si déterminante pour se lever afin de mieux travailler ce pays, sa démocratie, son développement, et ce dans la sécurité ! Parce qu’une manif nationale, ça invite le tout-venant. Ça instrumentalise et ça fait craindre le pire, la sédition ! SM le Roi n’a pas dû aimer ça !
Que dis-je quand je parle d’unité dans la paix ? C’est dans la cohésion, la fédération des partis politiques, le remembrement de ces quarante factions, autour des valeurs patriotiques et de SM le Roi, que le pays de renforcera. Ça ne vous rappelle pas l’esprit d’une certaine Marche Verte ?
SM le Roi, approuvera ! Et cette synergie devra opérer sans sabotages populistes et sans sabordage des parties aux affaires ! Sans dénigrements, ceci est un appel sincère de ma part. Celle d’un citoyen militant.
Merci alors, d’admettre ma franchise comme un devoir et de comprendre mon amour pour l’ordre dans ma Patrie, en réitérant mon appel pour assumer et assurer les droits et la justice pour tous. Les tranches affaiblies les premières et les cadres impérativement utiles, sans lésiner avec la calculette. Si l’Etat est le premier employeur pour les fonctionnaires, leur casser leur salaire en milieu de parcours, pour des gens déjà inscrits, manque de discernement et de gouvernance. Qu’en disaient en fait les textes et les statuts au moment de leur inscription ? N’y-a-t-il pas un engagement de l’Etat à honorer ses engagements initiaux, sans révisionnisme, envers ces jeunes ? Et ceux des étudiants à respecter les normes ? En tout état de causes, quel est le prix matériel de la paix sociale et de leur contentement à ces apprentis instituteurs ?
Dr Idrissi My Ahmed
Kénitra, le 15 Janvier 2016HOMMAGES A MES MAÎTRES ET COURAGE AUX INSTITUTEURS BLESSES
TITRES DE PRESSE
Enseignants stagiaires : Le gouvernement fait dans la répression
Violence contre les enseignants stagiaires : le ministère de l’intérieur justifie à la bastonnadeMON OPINION
Voici en primeur ces mots du Dimanche. Un appel non pompeux du 11 janvier. Ce genre de situations rétrogrades et douloureuses collent une très mauvaise réputation au Maroc.
Cela casse notre affaire nationale, celle du Sahara, notre droit à la juste considération pour les progrès réalisés, ceux de notre pays sous nos rois, comme cette large ouverture du Maroc devant les investisseurs de tous les pays d’Europe, d’Amérique, d’Afrique et d’Asie.
Dommage, car les libertés en prennent un sale coup. La mal-vie nous guette. Et ça nous dégrade devant nos adversaires et nos concurrents. On voudrait réparer ça, cette dérive, cette erreur et ne plus ternir notre image de pays démocratique avancé. Ne serait-ce que par rapport, disais-je, face à nos pairs de la région !
J’aime bien votre contenu et serein, malgré les dépassements subis par ces futurs formateurs. J’apprécie aussi votre lecture cordiale des limites de chacun dans son magistère au gouvernement.
Qu’est-ce qu’ils attendent, nos instits, quels sont leurs droits et les limites de l’Etat pour les satisfaire ou pour les convaincre, sans passer par les bastonnades ?
Que comprendre ? Comment devoir demain ou d’expliquer aujourd’hui, le pourquoi et les dépassements, des uns et des autres. Cette gestion , cette réaction névralgique, valable pour d’autres temps ou d’autres régions encore, en état de guerre civile ou de guerres imposées, n’apportent rien de bon pour la tranquillité de notre pays, le Maroc!
Rien hélas pour nos bons gouvernants. Et c’est heureux qu’ils maintiennent la paix régionale dans notre pays, contre vents et marais. Pourquoi alors créer la houle quand SM le Roi, donne pour sa part, la meilleure image de sympathie, de grandeur et de gentillesse auprès des foules ? Pourquoi vouloir ternir son aura par des actes incongrus ? Mais ce ne sera jamais fait. Vos erreurs ou vos fautes seront nécessairement analysées et réparées.
Le hooliganisme ne doit pas venir des services de sécurité. Il fallait convaincre les instits comme on a su, plus ou moins bien gérer les doctorants ! Il est dommage de ternir l’image des Services de sécurité et de Police, eux qui font tout pour nous protéger des extrémismes divers !
On doit avoir le soucis d’éviter toutes les bavures, pour sauver la paix , la justice, les droits, mais surtout nos avancées régionales pacifistes et notre cohésion sociale .
Cela nous fait et nous cause des soucis politiques, devant les chefs des grandes puissances amies ! Une opinion, que doivent partager des millions de parents d’élèves et d’enseignants.
Blessés et outrés, ils ont du se mettre de chair et de cœur, à la place de ces stagiaires, rudoyés et malmenés. Ce n’est pas qu’ils aient raison ou tort dans leurs dossiers, ou leur manière d’interpeller le gouvernement ! C’est le climat terroriste et fanatique, autour de nous, qui a fait que pour les » gérer » par la Sécu, les policiers ont eu la main trop lourde ! Or, ce n’est pas parce qu’ils s’appellent » enseignants » qu’il faut les faire saigner ! N’y-a-t-il pas d’autres manières, moins brutales et plus cool? Des consignes plus apaisées et plus aisées, démocratiquement évoluées !
Avant, il y des lustres, les pères qui plaçaient leurs bambins à l’école coranique disaient au fqih du quartier » Inta debah, we ana nasslakh ! ». Il y a 15 jours, ma petite fille de presque 7 ans m’en a voulu de l’avoir écartée d’une petite tape, de mon clavier. Nour m’avait alors rétorqué : » Et les droits des enfants, qu’est-ce que tu en fais ? Tu n’as pas le droit de me frapper ! ». Elle vient de me préciser ses mots à l’instant par un slogan scolaire. Un pensum : ‘’ Il ne faut pas me frapper, ça fait partie des droits de l’enfant.’’ C’est entendu !
C’est à croire que vu de l’optique de la Police, vis-à-vis des foules rangées, avec ou sans autorisation, menaçantes ou pas, que cette police pense un peu, comme moi. « Heyaeddirlebsalla ,wezeâama , wetangour, yelabaêditiha , be chi dréba! »… Mais là, concédons-nous un fait libérateur. Disons-leur que Si Basri est mort et qu’il ne faut pas le réveiller ! C’est contreproductif : localement, économiquement, financièrement et géopolitiquement ! Et que ses méthodes de gestion, plombées dans les caveaux, ont été revues à plus douce, depuis !
Nostalgies. Je me rappelle jeune étudiant, après eu mon bac mission, j’ai été répétiteur, chargé de cours à la Qaraouiyne. Ce faute de bourse. Je suis devenu résidant à la cité Ude l’Agdal après qu’on m’ait inscrit à la facde médecine. Là un jour j’ai avoir subi des déboiresqui m’ont marqués à vie. Je revenais des lavabos, théière en main et j’ai refermé ma porte du 112.
Soudain, elle fut brutalement ouverte. Trois policiers y pénètrent en trombe. ‘’Allez vite, fais tes bagages’’ ! Je n’ai rien compris. Je me suis exécuté. Mettre tous les papiers, livres, affaires et biens ridicules, sens dessus dessous n’est pas facile ni rapide.
‘’ Allezpresse-toi. Serbi‘’ ! Dit l’un. C’est ce que je fais !Une gifleimmense et puissante ma éberlué. Jeressorsaprès un instant. La cité est vidée. Je portedeux lourdesvalises. Que faire ? Je m’adresse à un officier il me semble. Seul debout en face de l’entrée et devant une estafette ! Je ne sais que faire. Je luis dis que je n’ai pas de quoi prendre un taxi pour déguerpir de la cité. Il dit au chauffeur, sans me répondre. ‘’Conduis-le où il veut’’. Rue du Sénégal, s’il vous plait !
C’était Dlimi; l’officier en faction, m’a-t-on dit, des années après.Ça fait 50 ans que cette séquence me marque. Ma joue en tremble encore de honte et de mépris ! Est-ce, cette main trop hâtive, qui m’a marqué au point d’activer mon psoriasis et de déclencher ma myasthénie ?
J’aurais pu être, moi ou votre fils, parmi ces médecins internes de Baddou ou ceux de Louardi, ces spécialistes grugés qui n’ont pas manifesté, ou ces instituteurs qui ont été malmenés,la semaine dernière, pour avoir osé se montrer afin d’exprimer leurs droits. Mal leur en prit de vouloir être des citoyens libérés. Les anciens taulards, aux affaires depuis, en esprits courageux et avancésqu’ils restent, comprendront mieux. Ils se doivent d’expliquer qu’il faut à nos Cadres policés, mieux ménager le paysage qu’ils protègent et embellissent.
N’étant pas dans cette ‘’maîtrise lourde des maîtres’’, je ne sais, si j’étais responsable, policier, parlementaire ou ministre, comment j’aurais agi, ce face à la menace sécuritaire des nombreux manifestants. Comment réagir à la crise pour en curer les causes et les dégâts collatéraux qui l’ont assombrie ? C‘est le devoir urgent des régisseurs, en toute sincérité.
Comment gérer la post-crise, dès lors, sans en gêner encore le Palais ? D’éventuels dégâts collatéraux, inhérents aux risques sécuritaires doivent être mieux instruits ! Ceux du maintien de l’ordre, coûte que coûte et ceux d’apaiser le peuple, en rassurant les citoyens.
Aller à table ou simplement être honnêtes avec les courageux instits. Ces hommes qui façonnent les autres ! Ces enseignants respectables dont notre tradition professe : ‘’ L’instituteur a failli être un prophète ’’!
Qu’ils n’oublient pas nos protecteurs policés le tribut payé par les tunisiens pour quelques œillets versés au dit Printemps arabe !
Quel printemps ? Quand on sait le chaos des peuples éclatés pour des riens ! Des mots arrogants, des actes belliqueux, des cris mobilisateurs, des critiques ou des soulèvements déclenchés de loin.Des acteurs meurtriers, instrumentalisés politiquement, impulsés de l’étranger, qui déchirent maintenant l’Orient et qui répandent le sang et les populations fugitives, vers la mort et la fuite, éclatés entre la misère et la haine, s’ils survivent ! La honte de toute l’humanité.
Il faut se remettre dare-dare, ‘’au travail, 22 heures par jour’’ ! Leur rendre leur estime de soi, visiter les blessés alités. S’acquitter de leur donner leurs ‘’ 2 francs’’ avec tous les égards indus. Rendre justice à l’endroit de ces enseignants, sans plaisanter, dont on sait le besoin pour revoir les cursus et les langues, versatiles ou vestigiales, de notre patchwork d’enseignement.
Bonne lectures et merci d’excuser ma franchise et mon amour pour l’ordre, les droits et la justice, dans ma patrie.
Dr Idrissi My Ahmed Kénitra, le 10 Janvier 2016
POUR UNE UNIVERSITÉ ŒCUMÉNIQUE DES RELIGIONS,
UN TEMPLE DE CULTURE ET DE PAIX, OUVERT SUR LE MONDE CULTUEL,
SIS AU MAROC.A MONSIEUR LE CONSEILLER DE SM ,
Une idée pareille, communiquée à- l’Académie à notre doyen le Professeur Berbich, il y a plus de 22 ans, mérite bien de nos jours quelques courageuses et proactives décisions.
Ce projet va dans le sens bien compris de notre ouverture et de nos appels à la paix dans le monde. Ce sont des convictions, qui enseignées par nos illustres rois, se sont cristallisées dans nos concepts cultuels civilisateurs.
Cette compréhension humaine semble paradoxale, déplacée à l’heure actuelle, au vu des dérives très graves que traverse notre humanité mortifiée.
Seulement, ce projet, ce défi de paix des cultes, représente bien la volonté du Maroc, quelles que soient les turpitudes. C’est me semble-t-il celle éminente de la sagesse de nos Rois et de leur philosophie activement impliquée dans le chemin du respect de l’autre de ses libertés, disons de la tolérance.
Ces bases identitaires assurent et rassurent de la solidité de nos convictions. Rien ne nous empêche alors de briller dans le monde, grâce à la culture musulmane, bien comprise et toujours évoluée. Personnel
Dès lors ouvrez, participez à ce chantier Excellence. Vous en aurez demain le mérite devant Allah, SM le Roi et les hommes.
Merci de votre bonne écoute, Monsieur.
Dr Idrissi My AhmedKénitra, le 07 Janvier 2016
COPIE D’UN TEXTE D’ARCHIVE ET FIDELE REPRODUCTION
POUR UNE UNIVERSITÉ ŒCUMÉNIQUE DES RELIGIONS,UN TEMPLE DE CULTURE ET DE PAIX OUVERT SUR LE MONDE CULTUEL
A PARTIR DU MAROC.« La guerre, par définition, est inhumaine. La guerre ne me suggère pas la moindre idée digne d’être exprimée. » Kafka
L’amour de nos Rois et de notre Peuple pour la paix n’a d’égal que celui de la haute culture que font les marocains de la Tolérance. Que ce soit dans Sa défense fidèle de la Palestine depuis le début de son drame, que d’Al Qods Echarif, dont il est l’un des flambeaux les plus brillant et l’un des conseillers les mieux écoutés. Ce qui nous honore tous.
L’amour de S.M. pour la paix et sa philosophie du dialogue, empruntes de pragmatisme, sa grande culture et son sens aigu de la coopération Nord-Sud, sont la base de la politique que mène le Royaume. SM a rendu notre pays grand devant les nations. Prestige acquis grâce aux efforts personnels et particuliers que mène notre Souverain bien aimé, que Dieu le protège ! Cette ouverture, cette intelligence de l’évolution que connaît le monde conforte L’esprit du Maroc qui s’est ouvert inéluctablement au libre-échange.Cette lumineuse clarté a permis au Maroc pacifiste d’acquérir un statut de fierté et de respect, que son seul poids spécifique ou ses richesses ne lui auraient pas donné. Dans cette la démonstration qui va suivre et que je vous souhaite non fastidieuse, j’avertis que je nulle animosité envers les Juifs, parmi lesquels je compte de véritables amis. Je ne montrerai nulle animosité, mais j’userais d’un verbe franc, pensant avec bonheur être libre de le faire. Par ailleurs, je reste fier d’une francophonie héritée, que l’on a comparée à un tribut de l’ère coloniale, mais que je qualifie de trophée d’une bataille culturelle, gagnée par la Civilisation ! Ce sont les racines les plus vivaces qui remportent la gloire pour fleurir les troncs les plus puissants. Et pour faire face à la haine, à la peur, et aux sombres et sanglantes rancœurs !
La culture arabe et la langue islamique, et vice versa, sont stimulées et se dépassent grâce à la greffe et au ferment qu’une juste jalousie lance dans la concurrence des langues coloniales pour s’épanouir sur de plus larges horizons. Non dénuées de complexes, ces sphères aux interférences engrenées, se trouvent aujourd’hui confrontées, elles ne le font pas sans fractures. Le revers de la médaille est qu’une vindicte non bue, exaspérée par la culture des différences raciales, colporte encore la haine des croisades aux générations actuelles. Quinze siècles après le siège des lieux sacrés ! Aujourd’hui encore, cette néfaste animosité, au départ religieuse, corrompt les relations commerciales, inhibe les échanges culturels et restreint la saine circulation des hommes bien au-delà des frontières des différences. Dans le raisonnement qui va suivre, je ne soulèverai donc pas le pan pluri chrétien. Car il me semble acquis.
Un travail d’académiciens militants du culturel
Du simple fait que la session des académies et parlements se seraient depuis des années penchées sur Al Qods tout particulièrement. Si, pour éviter des longueurs, et à priori j’exclus le tiers des participants, C’est que je pense que les responsables du Vatican, fervents adeptes du dialogue entre les religions, parce qu’ils l’empruntent souvent, seront vite intéressés par cette idée d’un Temple des Religions et d’une cité d’études théologiques
Mon très cher maître, permettez-moi de commencer cette lettre par un avertissement préliminaire. Je ne parle pas des Juifs ! Lesquels, pris en dehors des complexes communs à nous tous, sont un à un et à l’intérieur des vielles communautés, des plus courtois et des plus intelligents que l’on puisse connaître. Que de Nobels, de professeurs que de médecins et d’artistes ont enrichi l’humanité à travers et illustré leur nation.
Je parle du racisme, quelle que soient sa couleur et son discours politique ! Le thème des discussions de cette session sur Al-Qods, retenu pour ce semestre par votre admirable collège, se voit rehaussé dans son impact par la présence politique des parlementaires islamiques.
La réflexion des académiciens donne le pas au dialogue politique pour continuer à s’activer et à œuvrer avec sagesse afin de recouvrer les biens et les droits sacrés du monde arabo islamique. Cette disponibilité pacifiste, de lutter avec sérénité et constance, contre un adversaire des plus retors est à saluer comme l’unique recours, enfin compris. La force de la paix, armée du seul droit historique, devrait convaincre à la longue l’adversaire manœuvrier et belliciste, ainsi que ses puissants et inconditionnels partisans. Le monde abusé par les multiples tergiversations, et leurré par les sempiternels cris de souffrance, ne doit pas occulter et obvier les souffrances faites à tous les peuples, esclavagisés*, colonisés et asservis, avant et après la crise du pétrole. Les retards accusés par les pays arabo-islamiques, confinés dans la gestion de cette affaire d’honneur sacralisé, sont dus expressément à cette guerre larvée qui leur est faite. Finalement, nous payons tous, les décours du racisme ethno religieux, fossile, mais résurgent, réduit à une haine simple de la civilisation passée sur le vu d’artificiels accoutrements pas plus ridicules que ceux qui font prospérer la mode. Le monde devient Un, avec des ouvertures pour les uns et des fosses communes pour les autres.
Un énième état américain au moyen orient
n Nous avons affaire donc, comme l’on se plait à galvauder, comme à un énième état des U.S. qui ne diffère en rien des autres, que par le port d’une branche de plus sur son étoile. Il n’y a aucune honte à cela ! Libre à lui de le faire sans parcimonie ! Mais, face à la mainmise de ce fascisme international monolithique , tel qu’il s’est développé pour son unique profit et celui de l’hégémonie suprême sioniste dans bien des secteurs, face au capital et aux médias , dont ses ressortissants disposent avec une incroyable intelligence, face aux puissances qui l’arment avec démesure, Israël s’exacerbe. Elle persiste dans l’entêtement et redouble d’extrémisme politique. Un accoutrement colonialiste, fasciste, raciste qui n’a rien d’une religion ! C’est là le tort ! Israël dépasse dans la démesure le monstre qui l’a fait souffrir. C’est vrai ! Israël affiche, comme une obligation pour tous, le respect de sa religiosité péremptoire et sur-politisée. Israël vit et se développe comme une puissance coloniale sous-traitante d’un impérialisme, dont la superbe ne cache plus son véritable nom ! C’est là le tort encore ! Et c’est un détournement de la religion. C’est un affairisme militariste, anti humanitaire, sous les oripeaux commerciaux, financiers, fallacieusement civilisés ou démocratiques, qui crache avec violence la haine de l’autre à vouloir son ethnocide ! Cet état de fait mondialement rebelle est désavoué. Il sème la vindicte et suscite la révolte. A travers le monde compréhensif, plus que bienséant et quasi désabusé, cet état d’hystérie fomente la résistance et provoque la rébellion. Alors que nous voulons la paix au moyen orient et dans les pays islamiques.
Cette situation, quasi impérialiste de surhommes, dotés de la force des grandes puissances et de la sainteté d’ethnie divine, teinté de religiosité est ubuesque et anachronique. Nous le déplorons.
Dans un monde malade, le terrorisme des états fricote avec celui des gangs et des guerres sécessionnistes dont les soulèvements sont commandités de l’extérieur. Face aux retards des uns et à leur morosité la morgue des progrès incommensurables des autres s’affiche comme un frein à leur idéal de paix et de développement. Le monde, qu’il est devenu banal de comparer à une jungle, perd ses valeurs et ses repères. L’homme marqué par l’individualisme et par la corruption de ses mœurs est confronté à un monde frappé par le doute, le manque de principes, d’éthique et l’absence de credo. Pourtant, la fausseté religieuse d’une morale perverse, se lit dans les visions pseudo-prophétiques des extrémistes sionistes et dans les bavures terroristes des orthodoxes.
Si ces visées se révèlent à la réflexion comme d’éhontées manipulations, toutes les sphères du monde développé, ne les ont pas perçues comme ce qu’elles sont en fait, de sordides supercheries ! Bien des intellectuels de par le monde et combien de bonnes volontés, attachés pourtant à l’idéal d’équité et à la modernité, ne perçoivent pas à leur juste dimension ces leurres exécrables. Dès lors, leur analyse permet de leur montrer et démontrer les limites suspectes. Les thèses israéliennes, saugrenues et entachée de xénophobie génésique, se révèlent être comme des mythes fallacieux, appartenant à un autre âge qu’on voudrait avec eux oublier. Pourtant ces thèses hypocrites dévoilent leur attardement et ne doivent engager que leurs promoteurs.
Dialogue cultuel, sans chauvinisme
Aussi, sans haine aucune, sans faire montre de révisionnisme, sans renier les souffrances injustifiées des juifs, dans certains pays autres que les nôtres, il faut enseigner et faire connaître l’histoire de nos rivaux pour les comprendre s’il le faut, ou, les dénoncer quand il le faut. Scientifiquement toujours, diplomatiquement, pacifiquement et sans dénigrement aucun !
Leur histoire doit être clarifiée pour servir de base au jugement de leurs parrains, souvent abusés. Le but est de rétablir la vérité et de collaborer dans la paix et l’équité. Cependant, Ça ne sert à rien de faire la guerre, si on ne peut pas crier la vérité Ignorer ses adversaires n’instruit pas non plus sur les méthodes à prendre pour les confondre ! Il faut les faire faire mieux connaître au monde, pour séparer les fables et les légendes colportées à leur avantage de la simple justice et du droit à la vérité. Faire découvrir les supercheries et stopper les allégations. Mais s’ils sont instrumentalisés, diriez-vous, et qu’ils le savent ! On peut alors dès qu’on se pose cette question, admettre avec un donc, que les maîtres du monde connaissent la réalité.
Il ne reste que la voix de la paix, têtue et émancipée. Gandhi n’aurait pas dit mieux.
Des lors, rien ne servirait de faire la quête, à l’échelle internationale, pour construire, au Maroc-terre-de-paix-et-de-dialogue, ce Temple des Religions Monothéistes, dont l’idée serait combattue sans pitié, parce que émanant d’un pays, encore à la recherche de lui-même inclus dans une zone sous-développée. Or, c’est le contraire qu’il faut soutenir. Chez-nous, c’est tout indiqué de créer un Organe de paix, étant nous-mêmes menacés par des intégrismes multiples dont on représente le rempart. Cette vérité est à enseigner avec clarté et intelligence aux électeurs de nos détracteurs, dans leurs différents pays ! Bien sûr qu’il s’agit là d’un travail de longue haleine, sur plusieurs générations. Une tâche exaltante pour l’Isesco et l’Onu qui devront disposer d’énormes moyens. Une tâche nouvelle pour tous les organes de nos diverses diplomaties arabo-islamiques. Tous sont victimes du préjugé millénaire qu’ils doivent combattre par le verbe, la science et les médias.
L’université théologique, œcuménique de toutes les religions
Dans cette Université des Religions, le but ne sera pas la critique stérile des dogmes, mais leur étude, indépendante, respectueuse, côte à côte ! Ça se fait hélas sans grandes cultures ni hautes structures. L’idéal serait de préparer de nouvelles générations de penseurs pour la cité-Terre, globalisée. Lesquels, et c’est leur finalité, devront chasser et dénoncer le racisme cultuel et les privilèges politiques dont il se nourrit ! Ces études, assurées par les pays émetteurs qui y auront compris la mission et collaboré, se feront dans l’intelligence et la bonne concorde. Les dogmes en eux-mêmes sont à respecter comme les credo qui les soutiennent. Sans toutefois oublier de les apurer des archaïsmes de leurs traditions, manipulées ou alourdies, depuis des milliers d’années, qui méritent d’être revisitées par les scientifiques modernes. Le voudraient-ils ? Faire leur autocritique de leur religion et de ses privilèges ? De leur pouvoir ! Le voudraient-ils L’oseraient-ils ?
Seulement du fait qu’ils s’entêtent, avec racisme à se croire pour certains, le centre du monde, ou les membres de la Nation Elue de Dieu….la peine en serait lente, voire inutile de fait, diriez-vous ! Qui, détenteur d’un pouvoir, aussi usurpé et faussaire, soit-il, voudrait le mettre en balance ?
Inclusion fantaisiste ou inoculation de la déité, elle-même, dans un fonds de commerce tout à fait séculier. Une forme suprême d’apostasie et de prévarication sur le dos du Seigneur ! Diriez-vous encore !Mais notre but est de les comprendre
Et de leur demander d’enseigner chez-nous, librement, leur religion pour aller la pratiquer chez eux. Quelle que soit la religion…La médiatisation, le Temple Œcuménique, sont les seules voix, la juste façon de combattre les errements et de dénoncer les supercheries des colportages qui forcent la pitié de nobles donateurs. Souffrances historiques et victimisations vraies, mais qui font toujours chanter les coupables et les anciens éradicateurs. Ces aides abondantes et incalculables renforcent Israël dans son entêtement. Va pour Israël mais non pour le sionisme ! L’idéologie politique qui a fait le rapt de la tribu, pris possession de son historicité de ses souffrances marchandisées et de son credo détourné.
A contrario, elles ouvrent la voie à l’injustice permettant de se venger d’un passé ! Sauf que les musulmans sont, strictement et historiquement, innocents ! Le prophète Sidna Mohammed, paix sur lui, préconisait de respecter le gens du Livre !
Si l’insurrection des jeteurs de pierre est insuffisante pour exorciser le grand-démon qui possède la région, et la veut seul, dominer. La seule arme, l’ultime lutte est dès lors informative et culturelle. Oui je parle de luttes culturelles. Où le culte, au lieu d’être l’objet de discordes, servirait de but au dialogue et de lien à l’amitié. On ne devrait plus dire, les visées sionistes ou les visions du grand Israël, mais la mainmise expansive, patente, coloniale, antihistorique et anachronique sur Israël!Cette politique faussaire, aux prétextes activistes et fanatiques certains, est criarde de religiosité. Cette supercherie doit être vilipendée avec rigueur et défendue à travers toutes les scènes du monde, à toutes les occasions. Une véritable ‘’campagne culturelle’’ pourrait ou devrait être menée non seulement par le Comité Al Qods, mais, pacifiquement par tous les pays islamiques, et chrétiens. Nous les prenons à témoins ! Ce déni de justice, ce vol territorial, cet empoisonnement constant de la vie et de la région, cette occupation armée, ostentatoire est hargneuse et belliciste du fait qu’elle met la région et le monde en situation constante de guerre. Ces vues dangereuses et étriquées, doivent être exhibées à la face du monde pour être dénoncées comme des mensonges historiques.
Le Dieu d’Israël n’est pas un liquidateur des autres sémites !
Le dieu d’Israël se devant d’être unique, est le même que celui des autres religions. Et avec les temps qui courent, rares sont les courants de pensées polythéistes. C’est déjà trop bien de trouver des gens qui croient en un seul dieu ! De ce fait Israël n’a aucun mérite, aucune vertu à vouloir paraître comme le peuple élu.
Fantasme populiste, cultivé pendant des millénaires, qui n’est somme toutes qu’un mythe. Un concept fédérateur et libérateur, certes ! Devenu racisme, cette exacerbation du tribalisme sioniste, est un anachronisme. Il provoque la résurgence des guerres de religions. Et l’on sait que les marchands de canons en raffolent. Israël, tribu des juges et des religieux, est devenu une principauté de prédateurs. De plus, Israël possédée, se veut être ou demeurer cette (maxi) tribu réfractaire à toute ouverture de sa propre religion sur les autres humains. Même convaincu par la religion judéo hébraïque, vous ne pourriez jamais devenir l’un des leurs, ni un adepte de leur religion ! C’est la seule religion qui n’a pas de budget de propagande*. Mais ça les regarde !
Le judaïsme s’est développé comme si la religion musulmane ne devait comporter que des arabes sémitiquement* purs ou que le christianisme ne devait être que blanc, réservé aux seuls autochtones de Judée. Les autres, inaptes génésiques, ne peuvent être candidats au judaïsme. Les trans-religieux, les éventuels néophytes demeurent persona non grata.
C’est dire le poids de certaines traditions et la force du vase clos dans l’apparition des tares rigoristes ! Le seul credo qui n’ait pas besoin de messianisme pour se répandre. Mais qui demeure redevable des siens pour perfectionner une tradition de doute voire d’animosité envers les étrangers afin de garantir la pureté raciale et les préjugés historiques. Et ce malgré le mal et les souffrances horribles subies lors de cette horreur unique, la Shoah !
S’il le fallait le démontrer encore, je viens de soutenir, que le sionisme a fait de la pauvre Israël est une tribu raciste, nonobstant ses allégations. Je ne parle pas des juifs ! Lesquels pris un à un, sont des plus courtois et des plus intelligents que l’on puisse connaître. Je les admire je les défie !Ceci, paradoxalement, va à l’encontre d’une mondialisation,
Juste et égalitaire dont l’immense capital juif est et sera le premier bénéficiaire. Israël, qui signifie étymologiquement la famille de Dieu, se targue d’être littéralement la tribu préférée de Dieu. Alors qu’elle aime les autres humains ! Sans préjugés ! Sans les amoindrir ni les terrasser, ou comme esclaves les ruiner, les effacer ou les posséder !
Le Dieu Yahvé d’Israël aurait créé des sous races de sous-hommes, pour remplir le monde, et ce afin qu’elles soient asservies par la Sienne ! Isra Ael. Ousrat Ael ou Ousrat El Ilah ! Justice divine ! Entendu ainsi, cela émet des doutes réels et spécifiques sur son unicité à ce bon Dieu ! Tel qu’il est traité à la sauce haïssable des traditions orthodoxes et extrémistes israélotes* !Cependant le Dieu Chrétien, est par exemple, on ne peut plus ouvert. A voir comment les africains ont accueilli et adhéré aux préceptes chrétiens, et, comment avec certains américains et asiatiques, ils représentent le plus grand apport de fidèles à cette belle religion ! Amour, quand tu nous tiens ! La race supérieure, la nation d’essence divine, s’est américanisée et européanisée pour se fondre dans la société, comme poisson dans l’eau. Tant mieux pour elle ! Mais elle vit avec arrogance des reliques de ses mythes fondateurs en contraignant les autres. Voir les thèses opportunes et permissives du grand penseur Maïmonide, qui permirent aux plus riches bourgeois ibéro hébraïques, de ne pas être extradés de l’Andalousie catholique, et sans renier au fond d’eux-mêmes, la religion de Yahvé, de porter l’étiquette religieuse qui sauvait leur peau !
Tandis qu’alors, les plus démunis, auront étés largués sur les côtes hospitalières du Maroc ! Cette erreur de l’Espagne est le plus beau compliment fait au Maroc. Un cadeau andalou aux mauresques ! Le Maroc musulman y aura gagné en maturité pendant que les autres s’enfermaient en Europe dans la xénophobie. Et, la vie sauve comme la prospérité des Juifs, nouveaux venus, furent assurée, dans ce vieux Maroc, dont on peut être fier de son ouverture!
Les Juifs, quelles que soient leurs nationalités, doubles ou multiples, qu’ils empruntent, pour commercer et voter à travers le monde, vivent de traditions cultuelles qui se centralisent autour d’un leurre qualifié, colporté à travers les âges. Celui du Dieu commun qui se serait fait le Leur. Seuls ! Vengeur et protecteur, pour assurer leur suprématie sur les autres tribus qui peuplaient la terre. Le peuple d’Israël est victime d’un mythe fédérateur celui du surhomme. Ils l’auront partagé avec Hitler, à leurs dépens, hélas ! Et c’est dommage, car si Israël, victime certaine, a investi la Palestine, c’est surtout à Hitler, indirectement, qu’ils doivent cette compensation posthume. Les Palestiniens continuent quant à eux d’être les victimes de l’hitlérisme ! Victimes propitiatoires ! Cette vieille xénophobie, ce sectarisme ségrégatif, doit être dénoncé sur le plan culturel : Le comportement d’Israël en Palestine, est le cousin germain du nazisme ! Crime contre l’humanité qui aura été le seul mouvement historique à avoir causé le plus horrible des nettoyages ethniques en s’appuyant, là aussi, sur des foutaises ethniques!
Alors venez, parlons de droits, d’éthique et de paix !
Oublions ensemble, les passifs des passés clos et décomposés ! La Terre ne peut rester l’otage guerrier des crédos assassins, instrumentalisés par les sphères du pouvoir, qui exploitent Le Dieu. Lourd héritage que sont les traditions ! Israël n’en sortirait qu’agrandi et allégé, s’il arrivait à oublier les horreurs de son passé et dépasser celles du vingtième siècle, qu’il n’est pourtant pas le seul à comptabiliser !
En tant que musulmans, pensant que Dieu n’est ni mort ni qu’il ait pu être tué, ( ce qui fait la force de notre monothéisme ), nous n’imputerons pas à Israël, l’actuel colon de Palestine, d’avoir été un déicide sur la personne de Jésus, le Dieu Christ des chrétiens.
Cette querelle n’est pas la nôtre comme elle n’a plus cours, depuis ! Alors oublions nous aussi, leurs querelles. Chrétiens et Juifs, quelle que soit la part des uns et des autres dans les pogroms et autres terreurs subies par les minorités juives, sont devenus des amis, qu’il est impensable de séparer mais d’acclamer pour ce dépassement.Très cher Maître, Nous croyions, par un souverain esprit de syncrétisme, aux missions prophétiques de leurs différents messagers. Malgré leur animosité soutenue par la forte duplicité de leurs puissants souteneurs, par-delà la culture excipée de tout prosélytisme, j’ai imaginé, que la sagesse devrait dépasser la diatribe et les guerres. Pour contribuer au dialogue des religions j’ai souhaité le choix du cadre au Maroc pour placer et édifier une cité culturelle théologique. Bien sûr, le dialogue garde à sa base les credo, mais par-delà les miracles et les croyances. Le dialogue est d’abord bienséance avant d’être raison. Sans se départir de franchise ! Sans haine pour autrui ni pour ses différences ! Nos critiques n’échappent à personne. Le franc parler de ma lettre n’est pas preuve de manquement à la courtoisie ni à la diplomatie, mais il est preuve de tolérance respectueuse et libérée.
Dévoyé de son premier but, si le Sionisme, fait mal à Israël, il me fait mal aussi ! Dirait chaque homme de la terre, épris de paix.
Université des religions
L’Université des religions, c’est un outil, un moyen, un lieu universel du dialogue des civilisations. Tout le projet est politique et se veut concilier les gens par le dialogue étant entendu, qu’il s’agit de créer une faculté théologique sur un même site. J’ai proposé le Gharb, quelque part dans la forêt de Maamora, entre Salé et Kenitra, non loin des universités et des sites culturels de la capitale.
A moins que ce ne soit à Fès, là où le milieu historico-religieux dicte son droit de préhension ! L’idée princeps a été de créer un temple des trois religions. Dans le même élan, on peut y placer logiquement toutes les autres ! Avec une salle de cérémonie commune et centrale. Des conférences, groupant tous les séminaristes y seront célébrées périodiquement, comme centre d’appel à l’entente et à la paix. Le projet ne s’arrête pas là. Il sera le fruit d’une collaboration internationale. Chaque religion aurait sa faculté, son internat, ses bibliothèques, ses terrains de plaisance, etc. ! Des groupes de réflexion communs devront être provoqués. Des échanges seront programmés à l’intérieur du campus. L’été, le centre international s’ouvrirait par ses séminaires à l’extérieur et sur le tourisme culturo-cultuel. Les gens y viendraient de toutes les parties du monde, quelles que soient leurs religions pour se ressourcer.
Pour le construire notre pays donnera le terrain et l’idée,
Etant promoteur de ce qui sera un élément, un organe de paix, une force de compréhension entre les bonnes consciences. Une contribution devra être proposée à l’ensemble des pays concernés, conscients du nécessaire dépassement des visions étriquées. Quelles que soient les principes religieux qui les sous-tendent et les idiosyncrasies politiques. Sans s’écarter pourtant du libre choix et de la capacité même pour des religieux de donner leurs opinions même en matière de politique ! C’est dire que l’affection pour une politique ne stérilise pas du sens religieux et vice versa. Et c’est justement pour cela qu’on confrontera les étudiants lors de leur formation, sans stériliser en eux les paramètres politiques, politiques afin de laisser la courtoisie dominer en eux les principes les plus sacrés.
Et c’est là qu’on innovera. Les étudiants, ayant faits leurs classes dans la tolérance et dans un cadre de collaboration internationale, seront plus à même de délivrer des avis tempérés et tolérants à leurs ouailles. Ce qu’on recherchera à développer, a priori, en les formant. Ceci bien sûr, sans volonté de dénaturer les religions enseignées par un œcuménisme stérilisateur. Des confusions de ce type pourraient faire écarter ces cadres, devenus suspects pour leurs propres ouailles. On les incriminera d’intelligence avec les adversaires pour les exclure des coulisses du pouvoir ou du clergé. Là où l’on voudrait qu’ils agissent pour faire évoluer l’homme du troisième millénaire.
Le but premier est de faire penser et faire agir pour le bien de l’humanité. Voici donc le propos que je vous demanderais, mon très cher maître de souffler à qui de droit, SM le Roi. Avec le doigté d’un bon clinicien afin de continuer comme vous faites de servir la quête de la paix, de la justice et de la tolérance. Éclectique mission dont vous a honoré Sa Majesté, que Dieu le garde.
Avec mes sentiments soutenus d’admiration cher Maître, pour votre personne et de respect immense à nos chefs et Souverain.
TIRE DES ARCHIVES 82-84 DU DR IDRISSI MY AHMEDPOST SCRIPTUM
Avec ma reconnaissance, très chers lecteurs, députés, ministres, décideurs et maîtres, de tout ce que vous continuez à faire de prestigieux pour la médecine, le droit, l’économie, la presse ou les autres secteurs, comme pour le prestige ajouté des nôtres à notre pays et à sa culture, ouverte sur le monde et le civisme universel, stimulé en cela par l’aura resplendissante de notre grand Roi et de son Sémillant héritier Sidi Mohammed VI, emblème du renouveau.
POUR UNE UNIVERSITÉ ŒCUMÉNIQUE DES RELIGIONS,
UN TEMPLE DE CULTURE ET DE PAIX
OUVERT SUR LE MONDE CULTUEL
A PARTIR DU MAROC.« La guerre, par définition, est inhumaine. »
« La guerre ne me suggère pas la moindre idée digne d’être exprimée. »Kafka
Merci de votre lecture, de votre compréhension et de votre adhésion.
LES RHAGADES ET LES NAÏMADES*
Envoi de DR IDRISSI MY AHMED (xxx.xxx.xxx.216) le 16 Juillet 2015 20:49:14:
LES RHAGADES ET LES NAÏMADES*
Merci Dame Narjis et vous, Mister Kamal de m’avoir, inspiré ces mots, cette reconnaissance aux journalistes que je me dois de publier.
INSTITS OU HLAIQUEYAS,
Instits ou placebos hlaiquéyas, on les oublie. J’ai rarement vu donner des Wissames et de faire des reconnaissances publiques au 4ème pouvoir et aux toubibs de mon bled ! Ils se suffisent de leurs suffisances ! De leurs médailles écrites, des colonnes et des ordonnances à longueur de journées ! Pas besoin d’en faire des masses !
Une nourriture que la presse, avec ses pages fraîches qui font éternuer et ses écrans qui donnent le vertige ! La presse nourrit notre curiosité et contribue à forcer notre personnalité, si elle détend ou passionne, elle éveille notre civisme et nous pousse à la citoyenneté.YA MAALEM !
J’ai toujours aimé votre façon d’écrire depuis l’Opinion. Sel et poivre, citron et brillance, les condiments de votre style ! Etudiant et jeune médecin, alors, je crois que j’achetais l’Opinion pour vous lire. Comme je le faisais pour Libé du temps de ses ‘’cactus’’ et d’Al Bayane, avec ses ‘Mais, dit l’autre’’. Les éditos, ça doit être une école, ça façonne ! Dommage que les Partis actuels n’aient pas fructifié dans ces 6ème colonnes pour nous aider à les comprendre. Sinon pour eux de refaire le monde, avec des adeptes newlook ! Avec des énergies nouvelles, des lecteurs, sensés s’être sensibilisés o leur lecture pour adhérer à leur idées et s’affilier à leurs partis !
Depuis que sorti de la Haca, vous excellez plus encore. Comme pour nous rembourser de cette dette de plusieurs années de silence…sans chroniques ni éditos.
Une dynamique ardente, du cran, qui ajoute le caractère à l’énergie et les communique, et voila le Quid qui rajeunit. Ces jus, sèves effervescentes, extraites d’une sagesse énergisante, une expérience, un viatique vitaminique, dont vous nous enivrez, étaient devenus si rares.Vos idées, des bulles extatiques, sans nous faire perdre »le » pied, viennent nous échauder et nous faire frissonner à la fois.
On vous saisit à travers les nuances et le choix cinglant de la courbure des mots. Du rouge élégant et persuasif mélangé au classique d’un gris mordoré.VOLCANISME OU VIRULENCE ?
Quand la réalité passe à une énième dimension elle bouillonne de vitalité sous votre plume. De la réalité et des erreurs qui nous tenaillent, ou que l’on nous cache et que vous divulguez sous une autre facette, nous sortons à la fois enrichis et rafraîchis, aguichés et blanchis. Merci Narjis, je vous fais un papier à part.
Oui, c’est le plaisir de vous lire, qui se confond avec la douche froide pour certains, les flammes ou les ruades inattendues, pour expliquer et réveiller les somnolences Voire des devises en poche et des idées incendiaires et en effervescentes sous le crâne. Vous voila devenu instituteur, régénérateur Voilà, une journée de jeûne bien remplie. Je vous offre ces divagations ramadanesques en admiration, sincère et en partage. Bon appétit et bonne fête. Merci à ceux qui nous publient
POLITIQUE DE TACLE ?
IL BOUGE DONC IL VIT.
Le Maroc se meut avec une minerve au cou et s’écrit avec les misères de son sang et les bleus grisés de ses aurores. Son torse et ses atours en vente, il coule nu et ambisexe. Avec quel miracle tient-il encore sur ses pieds de sables. L’étoile sourit aux uns en se reverdissant pour faire honneur au rares étoilés du ciel. Honte aux nuages déchiquetés, sous les vents torrides qui couvent la canicule. Allez comprendre les paraboles du destin et ce que ses décrets nous réservent ! Poètes, regardez le ciel, les étoiles et les nuages, sentez le vent. Admirez la souplesse et la vitesse de ces hirondelles, qui tournoient au dessus de nos têtes, sous les trainées des réacteurs qui nous survolent. Adorez cette paix et ces libertés, quoique partielles, rendez grâce au ciel, en continuant d’exiger vos droits, de respirer et air pur !
LES HERAUTS
Avec des garde-chiourmes comme guides, et des mameloukes en chamade, la caravane ahane et passe sous les échos stridents des mordeurs aux aguets. En parade, sous la zénitude des parapluies en liesse, à l’ombre des parasols spirituels, les gardes veillent sur nos vies. Lassitude sous le soleil. Dans le désert de leurs certitudes prophétiques et assimilées comme telles, ils résistent qui mieux, mieux aux intempéries qui soufflent du Nord.
LES FABLES DE BEAUDELAIRE…
Ou les fleurs de La Fontaine ? Les cancrelats et les cigales rampent et chantent, fiers des relents d’égouts qu’ils emportent jusqu’à nos bouches pour pincer nos langues ! Craignant plus que tout, les effluves et les échos des tsunamis sismiques qui brisent nos frères, ils s’imposent faute d’anges gardiens, comme nos protecteurs inéluctables.
Ce sont des artificiers aux raisons profondes qui s’activent, comme des titans face aux hercules, avec nous pauvres insectes, sous les pas rugueux et les chocs de leurs glaives. Attention aux urnes les frères ! Oubliez bon Peuple ces minables chicanes. Sortez du cachot, ôtez votre couverture, le cauchemar est fini. N’ayez pas peur des zombies et des crocodiles, allez dès demain voter.LES HORREURS
Chacun a ses peurs ataviques au ventre, des bruits de tonnerre affolants, les bottes de l’apocalypse. Nous les vivons dans nos viscères et nos chairs, entre les meurtres et les noyades ! Et autant sinon plus, sous les lames assassines, les décapitations et les fosses communes. Toutes ces explosions, toutes ces destructions que nous subissons à travers les injustices, les haines, les meurtres, les horreurs. Toutes ces peines qu’endurent, envers l’ennemi ou entre-eux, nos frères. Nos frères et nos voisins. Ce sont les frontières de ces pays dévastés par l’entité qui se refont. Ces pertes de leurs identités, de leurs civilisations. De leurs musées et de leurs vieux murs, de leur histoire et de leurs stèles. Ces déchirements devant les injustices, les égoïsmes et les stupidités d’une autre ère, d’une autre catastrophe, guerrière planétaire….. Ces sales guerres que subissent nos frères nous sont en horreur. Pitié, pour les vaincus, offrez-leur la paix, ils ne savent pas la gagner.
Idrissi Ahmed, Kénitra, le 16 Juillet 2015
ARCHIVES DU DR IDRISSI DE 1984
LE TEMPLE ŒCUMÉNIQUE DES RELIGIONS
Envoi de DR IDRISSI MY AHMED (29/06/2007)» …Le Maroc, pays de tolérance et de paix entre les religions, est le symbole actif de la cohabitation entre les descendant d’Abraham, acte de civilisation dont il a toujours donné lebel exemple … ». Mme Student.
POUR ÉDIFIER LE TEMPLE ŒCUMÉNIQUE DES RELIGIONS
En 1984 j’ai eu cette idée. Depuis des années, elle a été communiquée à plusieurs personnalités de mon pays. Lisez-la au moins une fois en tant que témoins privilégiées.
COPIE D’UN TEXTE PLACE BIEN APRES SUR LE NET
http://www.rezoweb.com/forum/sante/myastheniagravi/232.shtml
UNE PREMIERE :
POUR UNE UNIVERSITÉ ŒCUMÉNIQUE DES RELIGIONS AU MAROCENVOI DE DR IDRISSI MY AHMED LE 07 AVRIL 2002. LA, JE VOUS ADRESSE CE TEXTE CONTENANT CETTE IDÉE VIEILLE DE QUINZE ANS. COPIE D’ARCHIVES.
POUR UNE UNIVERSITE ŒCUMÉNIQUE DES RELIGIONS AU MAROC
« La guerre par, définition, est inhumaine. La guerre ne me suggère pas la moindre idée digne d’être exprimée. » Kafka
POUR UN TEMPLE DES RELIGIONS AU MAROC, DÉDIE A LA CAUSE D’ALQODS, AFIN QUE L’ISLAM NE SOIT PAS EXCLU DE JÉRUSALEM, ET QUE LA TOLÉRANCE, CONVICTION DE LA NATION MAROCAINE, MAGNIFIÉE A TRAVERS LES PEUPLES, PUISSE DESSERVIR LA CAUSE DE LA PAIX ET LE DÉVELOPPEMENT DES PAYS DE LA RÉGION.
Chers lecteurs,
Sénateurs, députés, ambassadeurs, cadres et ministres et vous autres leurs électeurs,
A l’occasion des assises, dont vous gérez avec brio les succès et le développement, je voudrais reprendre avec vous, si vous permettez et vous vous en souvenez, cette idée qui m’est restée chère.
Le Temple des religions monothéistes.
UNE UNIVERSITÉ INTERNATIONALE
Laquelle idée, cadre bien avec la politique bénie de Sidna. Il existe un frein apparemment à cette œuvre œcuménique, quels que soient le travail de sape et les résultats néfastes et dilatoires de l’actuelle équipe au pouvoir en Israël ! L’idée de cette université pan-religieuse, et sa réalisation internationale, ne pouvait naître qu’au Maroc.
L’amour de nos Rois et de notre Peuple pour la paix n’a d’égal que celui de la haute culture que font les marocains de la Tolérance Que ce soit dans Sa défense de la Palestine depuis le début de son drame, que d’Al Qods Echaarif, dont il est l’un des flambeaux les plus brillant et l’un des conseillers les mieux écoutés. Ce qui nous honore tous. L’amour de S.M. pour la paix et sa philosophie du dialogue, empruntes de pragmatisme, sa grande culture et son sens aigu de la coopération nord-sud, sont la base de la politique que mène le Royaume. Sidna, a rendu notre pays grand devant les nations. Prestige acquis grâce aux efforts personnels et particuliers que mène notre Souverain bien aimé, que Dieu le protège ! Cette ouverture, cette intelligence de l’évolution que connaît le monde conforte L’esprit du Maroc qui s’est ouvert inéluctablement au libre échange et a la mondialisation.
Cette lumineuse clarté a permis au Maroc PACIFISTE d’acquérir un statut de fierté et de respect, que son seul poids spécifique ou ses richesses ne lui auraient pas donné. Dans cette la démonstration qui va suivre et que je vous souhaite non fastidieuse, j’avertis que je nulle animosité envers les juifs, parmi lesquels je compte de véritables amis. Je ne montrerai nulle animosité, mais j’userais d’un verbe franc, pensant avec bonheur libre de le faire. Par ailleurs, fier d’une francophonie héritée, que l’on a comparé à un tribut de l’ère coloniale, mais que je qualifie de trophée d’une bataille culturelle. Ce sont les racines les plus vivaces qui remportent la gloire pour fleurir les troncs les plus puissants.
La culture arabe et la langue islamique sont stimulées et se dépassent grâce à la greffe et au ferment qu’une juste jalousie lance dans la concurrence des langues coloniales pour s’épanouir sur de plus larges horizons. Non dénués de complexes, ces sphères aux interférences engrenées, se trouvent aujourd’hui confrontés, elles ne le font pas sans fractures. Le revers de la médaille est qu’une vindicte non bue, exaspérée par la culture des différences raciales, colporte encore la haine des croisades aux générations actuelles. Quinze siècles après le siège des lieux sacré ! Aujourd’hui encore, cette néfaste animosité, au départ religieuse, corrompt les relations commerciales, inhibe les échanges culturels et restreint la saine circulation des hommes bien au delà des frontières des différences. Dans le raisonnement qui va suivre, je ne soulèverai donc pas le pan chrétien.
Du simple fait que la session des académies et parlements se seraient depuis des années penchées sur Al Qods tout particulièrement. Si, pour éviter des longueurs, et à priori j’exclus le tiers des participants, C’est que je pense que les responsables du Vatican, fervents adeptes du dialogue entre les religions, parce qu’ils l’empruntent souvent, seront vite intéressés par cette idée d’un temple des religions et d’une cité d’études théologiques
Mon très cher maître,
Permettez-moi de commencer cette lettre par un avertissement préliminaire : Je ne parle pas des juifs ! Lesquels, pris en dehors des complexes communs à nous tous , sont un à un, et à l’intérieur des vielles communautés, des plus courtois et des plus intelligents que l’on puisse connaître.
Je parle du racisme, quelles que soient sa couleur et son discours politique ! Le thème des discussions de cette session sur Al-Qods, retenu pour ce semestre par votre admirable collège, se voit rehaussé dans son impact par la présence politique des parlementaires islamiques.
La réflexion des académiciens donne le pas au dialogue politique pour continuer à s’activer et à œuvrer avec sagesse afin de recouvrer les biens et les droits sacrés du monde arabo islamique. Cette disponibilité pacifiste, de lutter avec sérénité et constance, contre un adversaire des plus retors est à saluer comme l’unique recours, enfin compris. La force de la paix, armée du seul droit historique, devrait convaincre à la longue l’adversaire manœuvrier et belliciste, ainsi que ses puissants et inconditionnels partisans. Le monde abusé par les multiples tergiversations, et leurré par les sempiternels cris de souffrance juive, ne doit pas occulter et obvier les souffrances faites à tous les peuples, esclavagisés*, colonisés et asservis, avant et après la crise du pétrole. Les retards accusés par les pays arabo-islamiques, confinés dans la gestion de cette affaire d’honneur sacralisé, sont dus expressément à cette guerre larvée qui leur est faite. Finalement, nous payons tous, les décours du racisme ethno religieux, fossile mais résurgent, réduit à une haine simple de la civilisation passée sur le vu d’artificiels accoutrements pas plus ridicules que ceux qui font prospérer la mode. Le monde devient Un, avec des ouvertures pour les uns et des fosses communes pour les autres.
Nous avons affaire donc, comme l’on se plait à galvauder, COMME à un énième état des U.S. qui ne diffère en rien des autres, que par le port d’une branche de plus sur son étoile. Libre à lui , mais, face à la mainmise de ce fascisme international monolithique , tel qu’il s’est développé pour son unique profit et celui de l’hégémonie suprême israélienne dans bien des secteurs, face au capital et aux médias dont ses ressortissants disposent avec une incroyable intelligence, face aux puissances qui l’arment avec démesure, Israël s’exacerbe dans l’entêtement et redouble d’extrémisme politique. Israël dépasse dans la démesure le monstre qui l’a fait souffrir. Israël affiche, comme une obligation pour tous, le respect de sa religiosité péremptoire et sur-politisée. Israël vit et se développe comme une puissance coloniale sous-traitante d’un impérialisme dont la superbe ne cache plus son véritable nom !
Dans un monde malade, le terrorisme des états fricote avec celui des gangs et des guerres sécessionnistes dont les soulèvements sont commandités de l’extérieur. Face aux retards des uns et à leur morosité la morgue des progrès incommensurables des autres s’affiche comme un frein à leur idéal de paix et de développement. Le monde, qu’il est devenu banal de comparer à une jungle, perd ses valeurs et ses repères. L’homme marqué par l’individualisme et par la corruption de ses mœurs est confronté à un monde frappé par le doute, le manque de principes, d’éthique et l’absence de credo. Pourtant la fausseté religieuse d’une morale perverse se lit dans les visions pseudo-prophétiques des extrémistes sionistes et dans les bavures terroristes des orthodoxes.
Si ces visées se révèlent à la réflexion comme d’éhontées manipulations, toutes les sphères du monde développé, ne les ont pas perçues comme ce qu’elles sont en fait, de sordides supercheries ! Bien des intellectuels de par le monde et combien de bonnes volontés, attachés pourtant à l’idéal d’équité et à la modernité, ne perçoivent pas à leur juste dimension ces leurres exécrables. Dès lors, leur analyse permet de leur montrer et démontrer les limites suspectes. Les thèses israéliennes, saugrenues et entachée de xénophobie génésique, se révèlent être comme des mythes fallacieux, appartenant à un autre âge qu’on voudrait avec eux oublier. Pourtant ces thèses hypocrites dévoilent leur attardement et ne doivent engager que leurs promoteurs.
Aussi, sans haine aucune, sans faire montre de révisionnisme, sans renier les souffrances injustifiées des juifs, dans certains pays autres que les nôtres, il faut enseigner et faire connaître l’histoire de nos rivaux pour les comprendre s’il le faut, ou, les dénoncer quand il le faut. Scientifiquement toujours et sans dénigrement aucun ! Leur histoire doit être clarifiée pour servir de base au jugement de leurs parrains, souvent abusés. Le but est de rétablir la vérité et de collaborer dans la paix et l’équité. Cependant, Ça ne sert à rien de faire la guerre, si on ne peut pas crier la vérité Ignorer ses adversaires n’instruit pas non plus sur les méthodes à prendre pour les confondre ! Il faut les faire faire mieux connaître au monde, pour séparer les fables et les légendes colportées à leur avantage. Faire découvrir les supercheries et stopper les allégations. Mais s’ils sont instrumentalisés, diriez-vous, et qu’ils le savent ! On peut alors dès qu’on se pose cette question, admettre avec un donc, que les maîtres du monde connaissent la réalité.
Des lors, rien ne servirait de faire la quête, à l’échelle internationale, pour construire, au Maroc-terre-de-paix-et-de-dialogue, ce Temple des Religions Monothéistes, dont l’idée serait combattue sans pitié, parce que émanant d’un pays, encore à la recherche de lui même inclus dans une zone sous-développée. Or, c’est le contraire qu’il faut soutenir. Chez-nous, c’est tout indiqué de créer un Organe de paix, étant nous mêmes menacés par des intégrismes multiples dont on représente le rempart. Cette vérité est à enseigner avec clarté et intelligence aux électeurs de nos détracteurs, dans leurs différents pays ! Bien sûr qu’il s’agit là d’un travail de longue haleine, sur plusieurs générations. Une tâche exaltante pour l’ISESCO, qui devra disposer d’énormes moyens. Une tâche nouvelle pour tous les organes de nos diverses diplomaties arabo-islamiques. Tous sont victimes du préjugé millénaire qu’ils doivent combattre par le verbe, la science et les médias.
Dans cette Université des Religions, le but ne sera pas la critique stérile des dogmes, (ça se fait hélas sans grandes cultures), mais leur étude. L’idéal sera de préparer de nouvelles générations de penseurs pour la cité-Terre, globalisée. Lesquels, et c’est leur finalité, devront chasser et dénoncer le racisme cultuel et les privilèges politiques dont il se nourrit ! Ces études, assurées par les pays émetteurs qui y auront compris la mission et collaboré, se feront dans l’intelligence et la bonne concorde. Les dogmes en eux-mêmes sont à respecter comme les credo qui les soutiennent. Sans toutefois oublier de les apurer des archaïsmes de leurs traditions, manipulées depuis cinq mille ans, qui méritent d’être revisitées par les scientifiques modernes. Seulement du fait qu’ils s’entêtent, avec racisme à se croire pour certains le centre du monde, ou membres de la Nation Elue de Dieu. Inclusion fantaisiste ou inoculation de la déité, elle-même, dans un fond de commerce tout à fait séculier. Une forme suprême d’apostasie et de prévarication sur le dos du Seigneur !
La médiatisation, le Temple Œcuménique, sont les seules voix, la juste façon de combattre ces errements et de dénoncer la supercherie des colportages qui forcent la pitié de nobles donateurs et qui fait toujours chanter les coupables et anciens éradicateurs. Ces aides abondantes et incalculables renforcent Israël dans son entêtement. A contrario, elles ouvrent la voie à l’injustice permettant de se venger d’un passé ! Sauf que les musulmans sont, strictement et historiquement, innocents ! Le prophète Sidna Mohammed, paix sur lui, préconisait de respecter le gens du Livre ! Si l’insurrection des jeteurs de pierre est insuffisante pour exorciser le grand-démon qui possède la région, et la veut seul, dominer. La seule arme, l’ultime lutte est dès lors informative et culturelle. Oui je parle de luttes culturelles. Où le culte, au lieu d’être l’objet de discordes, servirait de but au dialogue et de lien à l’amitié. On ne devrait plus dire, les visées sionistes ou les visions du grand Israël, mais la mainmise expansive, patente, coloniale, antihistorique et anachronique d’Israël !
Cette politique faussaire, aux prétextes activistes et fanatiques certains, est criarde de religiosité. Cette supercherie doit être vilipendée avec rigueur et défendue à travers toutes les scènes du monde, à toutes les occasions. Une véritable croisade culturelle pourrait ou devrait être menée non seulement par le Comité al Qods, mais, pacifiquement par tous les pays islamiques, et chrétiens. Nous les prenons à témoins ! Ce déni de justice, ce vol territorial, cet empoisonnement constant de la vie et de la région, cette occupation armée, ostentatoire est hargneuse et belliciste du fait qu’elle met la région et le monde en situation constante de guerre. Ces vues dangereuses et étriquées, doivent être exhibées à la face du monde pour être dénoncées comme des mensonges historiques. Le dieu d’Israël n’est pas un liquidateur des autres sémites. Le dieu d’Israël se devant d’être unique, est le même que celui des autres religions. Et avec les temps qui courent, rares sont les courants de pensées polythéistes. C’est déjà trop bien de trouver des gens qui croient en un seul dieu ! De ce fait Israël n’a aucun mérite, aucune vertu à vouloir paraître comme le peuple élu.
Fantasme populiste, cultivé pendant des millénaires, qui n’est somme toutes qu’un mythe. Un concept fédérateur et libérateur, certes ! Devenu racisme, cette exacerbation du tribalisme sioniste, est un anachronisme. Il provoque la résurgence des guerres de religions. Et l’on sait que les marchands de canons en raffolent. Israël, tribu des juges et des religieux, est devenu une principauté de prédateurs. De plus, Israël, se veut être ou demeurer cette (maxi) tribu réfractaire à toute ouverture de sa propre religion sur les autres humains. Même convaincu par la religion judéo hébraïque, vous ne pourriez jamais devenir l’un des leurs, ni un adepte de leur religion ! C’est la seule religion qui n’a pas de budget de propagande*. Le judaïsme s’est développé comme si la religion musulmane ne devait comporter que des arabes sémitiquement* purs ou que le christianisme ne devait être que blanc, réservé aux seuls autochtones de Judée. Les autres, inaptes génésiques, ne peuvent être candidats au judaïsme. Les trans-religieux, les éventuels néophytes demeurent persona non grata.
C’est dire le poids de certaines traditions et la force du vase clos dans l’apparition des… tares ! Le seul qui n’a pas besoin de messianisme pour se répandre. Mais qui demeure redevable des siens pour perfectionner une tradition de haine des étrangers afin de garantir la pureté raciale et les préjugés historiques. Et ce malgré le mal et les souffrances horribles subies lors de cette horreur unique, la Shoah ! S’il le fallait le démontrer encore, je viens de soutenir, que, Israël est une tribu raciste, nonobstant ses allégations. Je ne parle pas des juifs ! Lesquels pris un à un, sont des plus courtois et des plus intelligents que l’on puisse connaître. Ceci, paradoxalement, va à l’encontre d’une juste et égalitaire mondialisation, dont l’immense capital juif est et sera le premier bénéficiaire. Israël, qui signifie étymologiquement la famille de Dieu, se targue d’être littéralement la tribu préférée de Dieu. Le Dieu Yahvé d’Israël aurait créé des sous races de sous-hommes, pour remplir le monde, et ce afin qu’elles soient asservies par la Sienne ! Isra Ael. Ousrat Ael ou Ousrat El Ilah ! Justice divine ! Entendu ainsi, cela émet des doutes réels et spécifiques sur son unicité, ce bon Dieu traité à la sauce des traditions orthodoxes et extrémistes juives !
Cependant le Dieu Chrétien, est par exemple, on ne peut plus ouvert. A voir comment les africains on accueilli et adhéré aux préceptes chrétiens, et, comment avec certains américains et asiatiques, ils représentent le plus grand apport de fidèles à cette belle religion ! Amour, quand tu nous tiens ! La race supérieure, la nation d’essence divine, s’est américanisée et européanisée pour se fondre dans la société, comme poisson dans l’eau. (Voir les thèses opportunes et permissives du grand penseur Maimonide, qui permirent aux plus riches bourgeois ibéro hébraïques, de ne pas être extradés de l’Andalousie catholique, et sans renier au fond d’eux-mêmes, la religion de Yahvé, de porter l’étiquette religieuse qui sauvait leur peau ! Tandis que les plus démunis, auront étés largués sur les côtes hospitalières du Maroc ! Cette erreur de l’Espagne est le plus beau compliment fait au Maroc. Le Maroc musulman y aura gagné en maturité pendant que les autres s’enfermaient en Europe dans la xénophobie. Et, la vie sauve comme la prospérité des Juifs, nouveaux venus, furent assurée, dans ce vieux Maroc, dont on peut être fier de son ouverture !
Les Juifs, quelles que soient leurs nationalités doubles qu’ils empruntent, pour commercer et voter à travers le monde, vivent de traditions cultuelles qui se centralisent autour d’un leurre qualifié, colporté à travers les âges. Celui du Dieu commun qui se serait fait le Leur. Vengeur et protecteur, pour assurer leur suprématie sur les autres tribus qui peuplaient la terre. Le peuple d’Israël est victime d’un mythe fédérateur celui du surhomme. Ils l’auront partagé avec Hitler, à leurs dépens ! Et c’est dommage, car si Israël, victime certaine, a investi la Palestine, c’est surtout à Hitler, indirectement, qu’ils doivent cette compensation posthume. Les Palestiniens continuent quant à eux d être les victimes de l’hitlérisme ! Victimes propitiatoires ! Cette vieille xénophobie, ce sectarisme ségrégatif, doit être dénoncé sur le plan culturel : Le comportement d’Israël en Palestine, est le cousin germain du nazisme ! Crime contre l’humanité qui aura été le seul mouvement historique à avoir causé le plus horrible des nettoyages ethniques en s’appuyant, là aussi, sur des foutaises ethniques !
Lourd héritage que sont les traditions ! Israël n’en sortirait qu’agrandi et allégé, s’il arrivait à oublier les horreurs de son passé et dépasser celles du vingtième siècle, qu’il n’est pourtant pas le seul à comptabiliser ! En tant que musulmans, pensant que Dieu n’est ni mort ni qu’il ait pu être tué, ( ce qui fait la force de notre monothéisme ), nous n’imputerons pas à Israël, l’actuel colon de Palestine, d’avoir été un déicide sur la personne de Jésus, le Dieu Christ des chrétiens. Cette querelle n’est pas la nôtre comme elle n’a plus cours, depuis ! Alors oublions nous aussi, leurs querelles. Chrétiens et juifs, quelle que soit la part des uns et des autres dans les pogroms et autres terreurs subies par les minorités juives, sont devenus des amis, qu’il est impensable de séparer mais d’acclamer pour ce dépassement.
Très cher Maître,
Nous croyions, par un souverain esprit de syncrétisme, aux missions prophétiques de leurs différents messagers. Malgré leur animosité soutenue par la forte duplicité de leurs puissants souteneurs, par delà la culture excipée de tout prosélytisme, j’ai imaginé, que la sagesse devrait dépasser la diatribe et les guerres. Pour contribuer au dialogue des religions j’ai souhaité le choix du cadre au Maroc pour placer et édifier une cité culturelle théologique. Bien sur, le dialogue garde à sa base les credo, mais par delà les miracles et les croyances, le dialogue est d’abord bienséance avant d’être raison. Sans se départir de franchise ! Sans haine pour autrui ni pour ses différences ! Nos critiques n’échappent à personne. Le franc parler de ma lettre n’est pas preuve de manquement à la courtoisie ni à la diplomatie, mais il est preuve de tolérance respectueuse et libérée.
Pourtant tout le projet est politique et se veut concilier les gens par le dialogue étant entendu, qu’il s’agit de créer une faculté théologique sur un même site. J’ai proposé le Gharb, quelque part dans la forêt de Maamora, entre Salé et Kenitra, non loin des universités et des sites culturels de la capitale. A moins que ce ne soit à Fès, là où le milieu historico-religieux dicte son droit de préhension ! L’idée princeps a été de créer un temple des trois religions. Dans le même élan, on peut y caser les autres ! Avec une salle de cérémonie commune et centrale. Des conférences, groupant tous les séminaristes y seront célébrées. Le projet ne s’arrête pas là. Il sera le fruit d’une collaboration internationale. Chaque religion aurait sa faculté, son internat, ses bibliothèques, ses terrains de plaisance, etc. ! Des groupes de réflexion communs devront être provoqués. Des échanges seront programmés à l’intérieur du campus. L’été, le centre international s’ouvrirait par ses séminaires à l’extérieur et sur le tourisme culturo-cultuel. Les gens y viendraient de toutes les parties du monde, quelles que soient leurs religions pour se ressourcer. Pour le construire notre pays donnera le terrain et l’idée, étant promoteur de ce qui sera un élément, un organe de paix, une force de compréhension entre les bonnes consciences.
Une contribution devra être proposée à l’ensemble des pays concernés, conscients du nécessaire dépassement des visions étriquées. Quelles que soient les principes religieux qui les sous-tendent et les idiosyncrasies politiques. Sans s’écarter pourtant du libre choix et de la capacité même pour des religieux de donner leurs opinions même en matière de politique ! C’est dire que l’affection pour une politique ne stérilise pas du sens religieux et vice versa. Et c’est justement pour cela qu’on confrontera les étudiants lors de leur formation, sans stériliser en eux les paramètres politiques, politiques afin de laisser la courtoisie dominer en eux les principes les plus sacrés.
Et c’est là qu’on innovera. Les étudiants, ayant faits leurs classes dans la tolérance et dans un cadre de collaboration internationale, seront plus à même que certains de délivrer des avis tempérés et tolérants leurs à leurs ouailles. Ce qu’on recherchera à développer, a priori, en les formant. Ceci bien sûr, sans volonté de dénaturer les religions enseignées par un œcuménisme stérilisateur. Des confusions de ce type pourraient faire écarter ces cadres, devenus suspects pour leurs propres. On les incriminera d’intelligence avec les adversaires pour les exclure des coulisses du pouvoir ou du clergé. Là où l’on voudrait qu’ils agissent pour faire évoluer l’homme du troisième millénaire.
Le but est de faire penser et faire agir pour le bien de l’humanité. Voici donc le propos que je vous demanderais, mon très cher maître de souffler à qui de droit. Avec le doigté d’un bon clinicien afin de continuer comme vous faites de servir la quête de la paix, de la justice et de la tolérance. Éclectique mission dont vous a honoré Sa Majesté, que Dieu le garde.
Avec mes sentiments soutenus d’admiration, pour votre personne et de respect immense à nos chefs et Souverain.
Avec ma reconnaissance, très chers lecteurs, députés, ministres, décideurs et maîtres, de tout ce que vous continuez à faire de prestigieux pour la médecine le droit l’économie la presse ou les autres secteurs, comme pour le prestige ajouté des nôtres à notre pays et à sa culture, ouverte sur le monde et le civisme universel, stimulé en cela par l’aura resplendissante de notre grand Roi et de son Sémillant héritier Sidi Mohammed VI, Emblème du Renouveau.
ET PUIS CE TEXTE RECENT
RECEMMENT J’AI LU CECI ET C’EST LE STARTER DE CETTE REEDITION DE MA LETTRE
UN SEUL LIEU DE CULTE POUR TROIS RELIGIONS
Gilles Devers Lundi 23 Juin 2014
Alors que l’heure est au repli sur soi et au confort des divisions, voici une initiative à contre-courant : l’unité, en assumant les différences, avec pour très beau projet, la construction à Berlin d’un lieu de culte commun aux chrétiens, aux juifs et aux musulmans.
Le projet a déjà un nom « La Maison de l’Un ». Il trouve son origine en 2009, quand des archéologues ont retrouvé au cœur de Berlin, sur la Place Saint Pierre «Petriplatz » les vestiges de la plus ancienne église de la ville, la « Petrikirche », édifiée au XIIIe siècle et détruite pendant la 2° Guerre Mondiale.
Ce terrain appartenait au culte protestant, et Gregor Hohberg, le pasteur qui est à l’initiative du projet explique : « Nous avons voulu ressusciter ce lieu, pas en construisant à nouveau une église, mais en construisant un lieu qui dise quelque chose de la vie des religions aujourd’hui à Berlin. Berlin est une ville dont les habitants viennent des quatre coins du monde et nous voulons donner un exemple de cohésion ».
Gregor Hohberg travaille avec un rabbin, Tovia Ben Chorin, et un imam, Kadir Sanci, et ça phosphore. Le bâtiment sera dédié à « la prière, la contemplation et ouvert à tous, croyants comme athées ». Chaque culte se verra doté d’espaces identiques, et une grande salle commune desservira la mosquée, l’église et la synagogue. Chaque religion aurait ensuite un espace de taille égale.
L’architecte Wilfried Kuehn a dessiné les plans, et le cout est estimé à 43,5 millions, à réunir par dons. Les trois responsables religieux ont posé la première pierre ce début juin, et ils envisagent le début du chantier en 2016, pour une première prière en 2018.
http://lesactualitesdudroit.com/2014/06/23/un-seul-lieu-de-culte-pour-trois-religions /
Lundi 23 Juin 2014
PS…..
MISCELLANÉES RAMADANESQUES, PENSÉES ET RUMEURS
EXTRAIT DE CARNET DE NOTES :
LES CALCINES DU CAIRE
Les calcinés du Caire fument encore, celui-ci garde encore ses lunettes sur le nez. Sa barbe n’a pas flambé. Cet autre s’agrippe à la barre, autre croix du Christ qui doit encore pleurer ! Brûlés pour avoir manifesté pour leurs droits légitimes et leur foi en la démocratie. Râ brûle au lieu d’éclairer le Nil. Pharaon est effaré qu’on ait négligé les urnes. Oum Kaltoum, Abdelwahab, Farid, Asmahane et Abdelhalim, doivent se morfondre dans leurs tombes et vouloir changer de nationalité.
LA LUNE N’EST PLUS RONDE
Animaux que nous sommes, oiseaux de proie, bêtes de somme, dites, combien d’heures, combien de journées nous reste-t-il avant que la « panne », la vague finale, à jamais, ne nous emporte ? Si ce n’est pas la fin du monde, serait-ce celle de l’homme, de par les mains l’homme ?
PLAISIRS HÉDONISTES, HOMO HEDONICUS
1- EXISTER
Vous avez un moment pour regarder par la fenêtre et puis disparaître ! Fin de match, le sifflet, avant le son du cor, l’olifant céleste ! C’est un ordre, une loi ! Et votre conscience vous en fait souffrir. Mais, c’est le sort de la vie et sur terre, des vivants ! Le destin incontournable, le sort des animaux, en particulier celui des humains.
Dès lors pourquoi tant d’empressements, d’arrogance de haine et de mépris, entre les primates que nous sommes ? Quand on sait la galaxie immense de ses milliards de soleils et de planètes, et que les plus forts des reptiles, les sauriens vécurent bien avant nous. Qu’a-t-on de plus qu’eux, la langue, une conscience plus aigues ? Des découvertes, des conquêtes, la science, la culture, le goût des plaisirs, le sens de la religion ?
Et puis après ? Tout passe et nous sommes des vétilles, labiles. Sauf qu’il y a tant à faire et tants de choses auxquelles on tient. ‘’A peine montée dans le car, le préposé me dit qu’il faut descendre ‘’dit souvent Khity. Ok, pour le stage, le périple, mais où est donc la vie ?
Son sens ? Il y a tant de choses à voir et à connaître, à avoir et qu’on veut posséder, que c’est pour toujours qu’on veut rester. Ici ! Sauf que c’est très court et que même s’il y a l’amour, parfois, il y a la vieillesse et les maladies, la richesse ou le dénuement. Tenir à la vie, ça dépend pour quelles gens, où et à quels moments. La tristesse de dégager, reste le plus gros problème. Y penser constamment vous rend fou !
Alors on s’invente une âme, un esprit et un dieu, au point de lui parler, sans le percevoir. Certains y arrivent, d’autres encore pas ! Et la religion, parallèlement à son côté moral et civisme, apporte le programme, avec la certitude de sa réalisation. Tant mieux pour les fidèles et les croyants. Pour les autres, quelle tristesse que ce néant imparable, ne justifie pas assez l’amour de la vie! L’utilité de la vie… Mais, passons !2-POUR JOUIR
Pour les musulmans dans cette première proposition de la sentence du prophète, à propos des conduites : ‘’ Fais pour ce monde comme si tu devais vivre éternellement… Une permissivité qui laisse songeur. Mais elle est vite tempérée par la suivante qui la complète.
‘’Deuxième partie de la citation du prophète Mohammad ‘’ Et pour l’Au-delà, fais comme si tu allais mourir demain’’. La boucle est close. C’est le paradoxe du juste milieu, de la philosophie et de la conduite sensées être pragmatique des musulmans. Un juste milieu, un frein contre les extrémismes et les dérives fanatiques de toutes sortes.
Dans le sens pratique. La veille, en attendant la rature, le dégommage, faut-il éviter les excès, les friandises de toutes sortes, les plaisirs et les joies ? Ou au contraire en profiter, en consommer, en abuser, larga manu, plus qu’à satiété ? Leurs suppressions, leurs fins, sans être au bout de la corde, ternissent nos jours et nous dépriment sans fin ! La suspension, la cessation de cette drogue que sont les plaisirs des sens, assombrit le bonheur qui va avec. Et c’est le stress consécutif et la dépression mortelle qui s’ensuit. La psychose, l’hystérie ! L’addiction, les habitudes contrites, qui peuvent augmenter les peines, la tristesse et le désarroi. Ne serait-ce que du fait de leurs simples retards ou de leurs arrêts momentanés ! Un seul plaisir vous manque est toute la vie est à condamner ! Non pas mourir de plaisir, mais mourir par manque de plaisirs !
Est-ce un sport psychique dès lors, que de délaisser ces agréments hédonistiques, ces agréments et ces bonheurs ? Ce confort, quand il existe ! Ces plaisirs, auxquels on se livre par culture ou par instinct et sans relâche, afin de ne pas cultiver les peines ni s’en soucier le jour de leur perte !
Faut-il s’appliquer une cure préventive ? S’auto-recommander un processus préventif d’évitement des joies ? Aux fins de s’éviter tout risque d’échec dans la recherche du bonheur ! Les délaisser le bonheur avant que ne nous fuient les joies ? De peur de laisser impromptus, les plaisirs nous manquer. Une précaution, automutilation masochiste ! Autocensure pour s’éviter les peines et les tristesses qu’occasionne le déplaisir. Ne rien avoir pour ne rien regretter? Las, la philosophie du dénuement, n’est pas marocaine ! Un gourou hindou nous y conseillerait en nous guidant avec plus de professionnalisme ! Des racontars ! Mais heureusement Épicure convole dans le juste contraire ! Mais pas pour beaucoup ni pour toujours pour cette minorité !3-ERRER OU BÂTIR
Les majdoubs* et les heddaouis*, ne font plus d’adeptes, quoique nos rues soient pleines de déments armés et d’autres errantes personnes plus pacifiques. Des SDF, les fous sont largués sur les villes ! Pour les désorienter encore plus qu’ils ne le sont dans l’esprit et les dévitaliser de toute humanité. Faute de place dans les hospices, faute de soins et de suivis, faute d’humanité en fait ! Faute d’encadrement et de réhabilitation, faute de gîtes, faute de politique psychiatrique en fait. On s’occupe des pauvres économiques, depuis SM Mohammed VI et de son chantier de règne. L’INDH est là pour sauver ceux qui sont à la limite de l’exclusion, sur les marges de la pauvreté, par le travail péri-associatif, dans divers secteurs, de l’artisanat de l’agriculture ou de la pêche, autour des coopératives ! Pourquoi pas ne s’occupe-t-on point des fous ? Et des ères !
S’ILS N’ONT PERSONNE POUR LES DÉFENDRE ?
Ceux qui ne peuvent rester adaptés à la vie sociale. On s’occupe bien des aveugles, pourquoi pas de ceux et celles, qui ont une cécité cérébrale ? Les victimes qui ont flippé du fait de leurs échecs dans la vie. Ceux repus de drogues et en manque ou ceux qui, saturés de problèmes, deviennent désadaptés à la société ! Étrangers à la famille, aux familles fragiles, qui repoussent ces ‘’déments’’. Des fous et des désaxés, partiels ou temporaires, il y en a partout. Ils réagissent en plaçant leur cerveau, au repos. Et leur intelligence dans les poubelles ou au frigo ! Trop trash ! Là, où ils cherchent pitance pour s’alimenter aux yeux de tous. Chez nous, c’est frappant. ô musulmans que nous sommes ? Et même traumatisant pour les croyants, car où est passé l’Islam ? Avons-nous un cœur, une conscience, une quelconque dignité ? Adieu civisme, adieu les religions, adieu socialisme, adieu humanité. Ceux qui doivent vous sauver sont absents, occupés, aveugles et sourds.
REVENONS AUX AMOURS
Aimer, c’est tenir à quelque chose qu’on apprécie. Par prophylaxie, apprendre à se détacher du mal des choses et de celui des hormones ! Par prévention, éviter d’aimer pour ne pas être choqués par les pertes d’amour et les déchéances de celui-ci ! J’ai entendu cela d’un patient, fort misogyne. C’est encore théorique. Car qui pourrait contenir les maladies d’amour, la perte de ses sentiments, de ses biens, de son argent et sa fortune ? Peu peuvent relativiser les décrépitudes physiques et les admettre de bonne foi ! Ainsi en est-il des maladies nerveuses consécutives aux pertes de la motricité et des organes des sens, l en va de même de l’angoisse, des délires et des colères, les peurs et les haines, tiennent les records . Tiens, c’est un sermon de prêtre-là !
C’est probablement une variante de sadomasochisme, conjuguée à la première personne ! Une auto flagellation, que je vous relate ici. Une punition préventive, autodidactique, qui immunise contre des méfaits plus graves. Ceux que les circonstances inattendues apportent. Qui sait si ça vous prendre, vous convaincre et vous intéresser. Il faudra mettre ça sur papier et essayer ! Chiche, on commence par vous ! Cessez d’aimer ! Apprenez à vous délester de vos biens et de vos réactions, égoïstes ou brutales, afin de garder le self contrôle, en ne s’attachant qu’à ce qui essentiel. Et avec le doute que rien n’est sûr ni constant ! Ne vous attachez à rien pour des lendemains radieux ! Rien pour l’avenir, rien pour les enfants ? Rien pour soi, non plus !? De pareilles écoles existent, même si ça vous effraie ! Inscrivez-vous chez le plus proche gourou !
FOURMI AILÉE OU MOUCHERON ?
1- LE DÉFI DE LA VIE
Sais-tu que le petit moucheron, fourmi ailée qu’il était, qui voletait au raz de la table de salle à manger, en ce ramadan cet été, s’est posé sur mon poignet. Ce Moucheron-fourmi qui me prend pour un aérodrome, a fini par se poser sur le toit de la tour. La salière dont il a rapidement sondé les trous pour s’envoler et reprendre pied sur une fleur. Ils étaient ainsi trois ou quatre, d’un genre que je n’ai jamais vu auparavant.
Sait-il, ce miracle de la nature ailé, d’où qu’il provient et où il va aller ? De quoi il est fait et ce qu’il sera demain? Que ses ailes minuscules et cendrées deviendront d’infimes poussières. Avalée par un prédateur, un gecko, l’un de nos crocodiles et autres démons, ou écrasés comme ces mouches d’Irak, ces cafards du Nord ou de Libye, ces frelons de Syrie et ces scarabées d’Egypte ?
Tous les cancrelats, riches ou pauvres, des plus puissants aux plus nantis, extrémistes ou laïques, seront recyclées dans la terre par les plantes et les micro-éléments. Espoir ou vengeance des pauvres ou des démunis, des analphabètes comme de ceux qui ont la science infuse, qu’ils ne partagent pas en toute démocraties ! Comme qui dirait que les cycles de la nature, ces mécaniques vitales, d’assimilation, de biochimie et de physique, dont nous sortons et dont vous vivons, les uns des autres, nous rendent quasiment égalitaires et démocratiques. Néanmoins, il y a de petites proies et de grosses bêtes.
Sait-il cet autre moucheron, de 1 millimètre au plus, avec sa cervelle supposée et ses viscères nécessaires, ses quêtes de satisfactions multiples et de vie, d’instinct ou mécaniques ? Sait-il où il va quand il vole autour de moi ? Et notre fourmi ailée, que sait-elle de ses organes et ses cellules, de ses atomes et ses molécules, lesquels si fragiles n’ont jamais été à elle ou à lui ? (Parabole ou parallèle pour parler de nous). Sait-il donc, que ce sont de gros systèmes, analogues aux constellations ! Comme les galaxies du cosmos qui peuplent l’espace. Sait-il qu’il contient des analogues des sphères célestes et des étoiles, de l’univers, en plus petit ? Avec ses électrons qui tournent, relativement de loin et qui gravitent très vite autour de leurs noyaux, dans ses atomes, ses molécules, ses cellules, ses tissus, ses organes ! Certes, non !
Il sait peu, par rapport à ce qu’il ignore, comme vous et moi ! Tels ces hommes du palais, les conseillers de toutes les cours des émirs, les empereurs enrichis des hautes sphères, les anges et les démons des légendes et des mythes. Et ceux qui le croient pour de vrai ! Les amis des présidents et des émirs, les gros banquiers, les multinationales qui sont les vrais rois ! Avec plein de stress existentiels et dynastiques, en moins !
2- PS
Sans rien ajouter en corrigeant cette note. J’ai écris ceci avant l’éclatement du David-Galvangate. Cet espagnol de nationalité, espion irakien exfiltré, est un pédophile qui a sévi à Kénitra en abusant 11 jeunes enfants de 2 à 14 ans. Il fut condamné à 30 ans de prison. Sa grâce, parmi celles de 48 espagnols, s’est produite après une belle visite de Juan Carlos au Maroc. Cette relaxe a choqué le monde et surtout indigné les Marocains.
Galvanisés, ils ont manifesté malgré le reflexe pathétique des gourdins.
Cet incident sur une affaire immonde a montré au bon Roi qu’on abuse de Sa confiance, autour de Lui ! Les Partis étant restés muets, il faut le rappeler, ainsi que le Gouvernement Benkirane du PJD, qui était aux abonnés absents, occupé à se refaire avec le RNI, depuis la défection chabatique de l’Istiqlal. Le fera-t-il ou démissionnera-t-il pour provoquer d’autres élections qui consolideront les Frères, toutes tendances confondues, et qui fragiliseront le Maroc qui tente de percer, de surnager, malgré les crises mondiales qui l’entourent de leurs ruades et les adversités malveillantes et contraires…CULTURE DE L’IGNORANCE ET INFLUENCE SUR LES DESTINS
L’IGNORANCE
On sait peu et comme dit l’autre « On nous cache tout ! « Que sait on des forces qui régissent l’univers, son devenir et le nôtre ? Hein ? Sont-ce des délires quand on sait ce que représentent le moucheron et nous-mêmes ? Des idées, des questions qui dépassent nos têtes et pour lesquelles, vous avez vu juste, on n’y peut rien ! Alors pourquoi en parler ici ou ailleurs ? Pourquoi stresser avec ce qui est inutile, vous et moi ?
Ces questions et leurs impossibles réponses, dans le réel, présentement, ou dans notre future, dépasseront toujours notre condition d’humains d’insectes ou de mammifères ! Et notre entendement. Mais à quoi servent les chercheurs s’ils n’explorent pas l’univers en nous apportant, en vous apportant dans le futur, moins de doutes, plus de sérénité et d’explications. De quoi rejoindre les dires des sages et des prophètes, les illuminations des penseurs, des inventeurs ou des créateurs de fictions!
Phrase, expression démocratique pour n’évacuer personne. Pour pouvoir entendre librement toutes les idées critiques. Même celles des délirants et des illuminés, des extrémistes de tous les bords, en incluant pour le sport didactique, les paroles acides des nihilistes anonymes et des détracteurs invétérés.
Sauf celles des jeteurs de sorts ! Ces odieux disciples de Satan qui polluent les murs, les marches, les portes de leurs maléfices, mais aussi les tribunes et les rues de leurs imprécations !Es-maîtres des traîtrises et des félonies, perfides sorcières, ignobles manipulateurs et abjects persifleurs, ils se sont alliés au Diable, leur père, pour trahir et piéger les humains. Nous en avons vu de ces impeccables généraux et autres sémillants leaders ! Leurs rejetons excrémentiels polluent nos jours, nos villes et nos vies. Faites un tour dans votre quartier et regardez le laisser-aller. Aucune marque d’ignorance ou de paresse, aucune bavure, pas de turpitudes, ni de corruption ou de partialité ! Hum ! Juste le contraire partout dans nos pays ! Rien que des immondices. Ça c’est le bien commun, la cité, la bourgade et les citoyens.
Sur le plan des idées et des faits, c’est plus abject que ça n’en a l’air. Je parle de ceux qui polluent nos caractères, influencent nos idées, nos conduites et nous perturbent. Je parle de tous ceux qui font l’opinion, des politiciens aux journalistes, sans objectivité. De ceux qui relatent les mensonges, qui créent la rumeur, formatent ou décident… Ceux qui pire, influencent les conduites des plus grands et qui forcent les destins des gens, en agissant sur le ‘’marché des idées’’. Je parle des financiers flamboyants, oui ceux d’ici et surtout d’ailleurs. Je fais allusion aux puissants lobbies et aux multinationales. Les faiseurs d’émis et d’empereurs, les tombeurs de président. Ils font la mode, créent le besoin et façonnent les comportements, ceux des gens simples, consommateurs et électeurs. Ils dictent les peurs et les décisions à leurs agents ! Aux chefs politiques eux-mêmes et à leurs représentants ! Ils décident de notre sort, de nos droits, de nos libertés et de notre destin, en fin de parcours.
ALLONS VERS LE CIEL QUI NOUS GUETTE !
Comme des nuages donc, les électrons étoffent les noyaux et leur donnent leurs propriétés chimiques, leurs pouvoirs et leurs propriétés ! Ce à la vitesse de la lumière sans éclater ! A moins que l’homme ne les pousse pour produire cet effet.
C’est prodigieux et décourageant à la fois, admirable et faramineux. Il n’est pas nécessaire d’être un astronome ou un islamiste pour s’extasier devant le ciel. Même un athée est droit et en devoir de trouver l’univers grandiose ! Ainsi quelles que soient notre culture et ses profondeurs, quels que soient la place, le mérite, la force et la grandeur de nos supposés chefs et maîtres, l’univers qui est en face de nous nous perturbe et nous défie, nous confondant tous à rester infimes, inquiets et si faibles. Tous autant que nous sommes.
NOTRE PLACE COSMIQUE EST…
Mais c’est bon d’avoir une idée de sa démesure et de notre place de démons ou d’anges, de cochons ou de crocodiles. Qu’on soit sujets de Sa Majesté, leaders, chef des chefs ou dirigeants. Des niaiseries si vraies qu’elles ne manquent pas d’incrédules ou de sardoniques moqueurs, de caustiques satires et de sarcastique râleurs. Une aura cosmique de détracteurs? La galerie du Net qui s’amuse sur Youtube, Facebook, Twitter, aime les plaisanteries et les vannes ! Elle a ses gangs de hackers et de hooligans et de bons amateurs. Pour se protéger du mauvais œil, des printemps zombies, ils s’offrent des séances photos avec à la main ou dans les méninges, des roses, des œillets ou du jasmin. Peut-être des encens aux églises du santal dans les mosquées, espérant s’approcher les sympathies divines ? Pour protéger leurs amitiés romanesques avec le bon Dieu !
Parabole. Afin pour d’aucuns de sauvegarder leurs privilèges, de se fabriquer des comme soldats pour leurs défenses conjointes et comme des sénateurs pour se fabriquer des lois à l’instar des plus belles démocraties. Réactions de justesse, c’est humain, face à cette « plèbe » subversive, qui râle et qui menace, depuis l’époque des Romains.
Et bien avant les Latins, chez les Grecs et les Egyptiens. Oui, les militaires qui ont enfermé, on ne sait où leur Morsi de président dans une pyramide inconnue. Vont-ils le planquer dans un sarcophage ? Pour le montrer aux touristes dans 5 millénaires L’embaumer ou l’abîmer ? Le transformer en martyr ou en saint ? On a besoin de miracles à la façon dont ça tourne chez les Frères et leurs martiaux matons !
SUR LES CHAMPS DE MARS,
En passant, si la guerre civile est nette en Irak et en Syrie, et que c’est criminel de les laisser persister, on laisse ou on pousse les Égyptiens à commettre l’irréparable et à clasher* leurs civilisations, leurs arts, leur musique et leur arabité, dans la guerre civile ! On défend son opinion bec et ongle, ses droits et ses libertés, ses biens et les siens, son foyer sa patrie, mais plus que ça, la dignité des uns et des autres summums des valeurs de la personne les poussent aux exacerbations existentielles.
Les haines et les meurtres, quand il n’y a plus de concordance ni d’écoute. Conflit et guerres civile, fractures, séparatisme et sécession. Si ce n’est pas face aux voisins, qui s’infiltrent dans vos affaires et vos causes, suscitent et encadrent vos opposants, les financent et les manipulent, pour se forger le statut de ‘’partie concernée’’. En tant que quoi ? A quel titre ? Libérateur de l’Afrique ? Et pour quelle raison et ambitions ? Ce que je rejette et dénigre totalement.Alger, de partie ‘’intéressée’’ au conflit, en sait quelque chose, pour avoir conçu son avorton polisarien, avec la complicité de Kadhafi et de ses semences…financières. Elle agite depuis 40 ans son Muppet’s show, pour déstabiliser le Maroc et le morceler. La pétreuse et militariste cousine, devenue richissime égérie sous ses mâles émirs, hyper galonnés, veut par la même, socialisme de sous-développé oblige, jeter barra la monarchie anachronique. Ce régime millénaire antinomique, représente un obstacle devant sa volonté, à elle. Celle de libérer les peuples du Maghreb et d’y étendre sa pax algériana ! Vive, selon elle, la république marocaine ! A bas son ciment fossile et ses charges monarchiques ! Le roi à la mer, veulent-ils nous imposer, pour s’installer sur la côte atlantique, en suzerain prussien.
Initiées et poussés de l’extérieur, les milices sécessionnistes du Polisario, gonflées par l’endoctrinement, fanatisme, matraquage, endoctrinement importés et prosélytisme à profusion. Valeurs au goût du jour et à la mode, contagieux pour certains. Échaudés par les rêves altruistes, humanistes, démocratiques, louables espérances, on véhicule ces théories et Alger en instructeur, instille ces valeurs républicaines, volontiers chez les voisins ! Les opposants, renégats serviles, sécessionnistes, servent de mercenaires et de causes à défendre pour donner aux ambitions des maîtres tyrans, un sens existentiel ! Eux, les militaires qui ne tiennent pas appliquer ces ‘’valeurs démocratiques’’ chez eux, les premiers ! Alors on échauffe les oreilles des subversifs sahraouis. On les arme et leur donne un front. Puis une république, pour affronter comme ennemis leurs frères marocains. L’OUA éclate sous la vindicte et la corruption.
Ailleurs et de l’intérieur de leurs pays, d’immondes factions de sunnites et de chiites, entre-tuent, sans honte, pour illustrer la voie de l’islam et la grandeur arabe, les carnages insoutenables et odieux, horribles tares des guerres, qu’on ne peut accepter ni supporter ! Là, au Moyen-Orient, sous le regard amusé ou cynique de leur adversaire, atavique. Là, dans le sang, les cris, les pleurs et les explosions de dynamite, des milliers de blessés, des milliers de meurtres, des corps horriblement éclatés, dans les anciens pays du front, contre l’extension d’Israël, là chez la nation de Dieu. Allah, Allah, je suis triste et déçu de tes musulmans chéris ! Raisons : le pouvoir, les amis d’Israël qui cherchent à annihiler les menaces et à casser les moindres velléités de risques pour Israël. Pour le pétrole, certes, mais aussi pour leur primauté dans la région, face aux meneurs de l’ancien duo du bloc socialiste, là de mèche, les Chinois et les Russes ! Concurrents néanmoins des States, quoique aujourd’hui assagis, malgré la chute du mur de Berlin !
Des opportuns donc, des méchants au sens biblique ou satanique du terme, qui clachent leurs démons sur leurs avoirs et leurs gains et qui veulent les en chasser pour les déposséder, point ! Et les jaloux, ceux qui veuillent les déloger de leur privilèges indus et de les expulser, barra ! Les Privilèges sont toujours, irréguliers, indus sinon ce sont des primes qui corrompent et qui fabriquent des mercenaires. Mais ce sont des moteurs des mobiles, des arrhes et des garanties, qui asservissent les bons amis ! Qu’est-ce qu’on ne peut pas faire pour développer les richesses, starters de l’économie, afin de développer les commerce et l’industrie, conditions du progrès dans le pays. Amen
LA LUNE N’EST PLUS RONDE
Superstitions, malédiction ! La fin du monde arrive ! Et c’est le dire-vrai des sociétés hermétiques qui se justifie. La prophétie des et des extrémistes de tous les bords qui se vérifie ! Dépêchez-vous de croire de demander pardon et de regretter ! C’est d’abord les tsunamis et les tremblements de terre. L’eau va noyer les terres. C’est tout. La terre polluée pompée, vidée, déchiquetée, assombrie de nuages et de sangs, va avorter ses créatures. Ils l’on bien cherché!
Non ce sont vos yeux qui ternissent et votre cristallin qui s’opacifie. La Lune est encore ronde, vous pouvez lever les yeux au ciel ou y aller la vérifier ! Tiens ça fait longtemps que les astronautes n’y ont plus mis les pieds. A en croire sceptiques et les détracteurs de l’épopée américaine! Les astronautes nous ont menti ! Les péripéties racontées là-dessus ne furent que mensonges, mises en scène pour monter au monde qui si les expéditions russes de ancienne URSS ont envoyé une chienne, Laïka, les Américains eux, en labo ou de vrai ?
Eux, les êtres supérieurs qui ont sauvé l’Europe et l’Asie des deux guerres, eux les maîtres du monde actuel, avec beaucoup de dette et de crédits, y ont mis le pied dans les années 60 déjà ! Allez comprendre et vérifier ! Autant que les mythes! Les histoires fantastiques, de science fiction, de vampires, de revenants et de sorcières ! Pourtant la Lune nous ensorcelle encore. Littérature colportée qui nous inonde, façonne nos pensées, en nous berçant, dès jeunes, de mystères, de fantasmes ou de fantaisies ! Que des aimer et ma regarder encore scintiller surtout si vous êtes amoureux, plongé dans le spleen romantique ou simplement déçu !
CHAIR, OS, VISAGES ET MESSAGES
Mechidia ! Fouilles archéologiques des héritages et de la mémoire conspuée, savamment pollués par tant de conspirations. Rien que pour dégager un squelette, ça demande de l’argent et du temps.
Que dire d’une fosse commune, d’un charnier ? Qui plus est l’exhumation des idées que l’on se doit d’extirper de la gangue des manipulations, des oublis, des négations, du néga-sionisme*, des haines héritées, des clanismes divers et des guerres insatiables ? Il faut réveiller les humains du néant, de leur Alzheimer recherché qui prospère dans toutes les têtes et les cités. Les sortir des saumures de la peur, des censures organisées par les encenseurs et les partis pris ! Les libérer des prisons virtuelles ou réelles où les gens se cachent, par leurs craintes exacerbées, devenues des préceptes de morale civique et des principes de sagesse héréditaire. Des opinions stigmatisées et des vérités obviées par le pouvoir, les polices et les militaires ! Programmes enseignés, prosélytismes divers, écoles dans lesquelles ils ont été produits, modélisés, endoctrinés, nourris d’idées étanches, rigides et renfermées. Personne ne sera épargné, si on ne s’attaque pas aux idoles du passé qui nous ont formatés. Autrement, nous n’aurons à faire qu’à des extrémismes belliqueux, hermétiques et fanatisés.
Mechidia . Ce n’est ni de la fiction, ni des approximations ni des excès. Ces paramètres, ces machiavéliques manigances, ces manipulations exubérantes sont des méthodes de gestion que les pouvoirs publics, locaux ou étrangers, ont sur les gens, pour les endiguer et les guider. Sociologues et anthropologues vous le diront mieux que moi.
HÉRITAGE DES ANCÊTRES.
ÉLÉGIE DU PR BENSOUDA MOHAMED.
Il était l’un des plus jeunes et plus beaux de la promotion, , brillant professeur de chirurgie, compétent anatomiste, d’extraction bourgeoise et andalouse, pas très riche mais riche d’une haute alliance, celle d’une belle nièce, devenue princesse ! Il vient de partir pour prospecter l’Au-delà ou s’y reposer! Entre les mains de Dieu, Amen ! Ses connaissances se rappelleront de lui.
LA LUNE N’EST PLUS RONDE
Elle a une bosse comme sourcil, une calotte, je la vois bien ! C’est du n’importe quoi ! Instantanés, des flushs momentanés. Les étoiles peinent à sortir du déchirement et du délire pour briller malgré les épaisses nuées.
Le gris du climat est tel qu’on enterre sans visa de sortie, mais rien n’est gratuit. Est-ce qui je ne suis plus là ? Je me rends compte que je n’ai rien fait de notable, pas assez utile, rien fait qui puisse et qui puisse durer de quoi désespérer ! Est-ce que je ne suis plus là. C’est à peine si je devine que je suis encore là. Ce qui me réconforte encore malgré les soucis et les doutes ! Et que c’est de ma tombe que je vous interpelle, par anticipation.PUB POUR MME STUDENT
Lisez mes nouvelles sur Mme Student et sur le Net. C’est gratifiant et gratuit. Hélas fictif et subjectif. Mon héroïne, dans son délire mythique et mystique, ou le mien peut-être, qui dans ses chroniques différées aura fait de l’enseignement son métier. Après les affres de la politique elle part. De retour après l’Apocalypse elle fait une réapparition comme messagère divine ! Avant la Résurrection et le Jugement Dernier, un dernier recours par la grâce de Dieu. Il en a les moyens. Un retour pour réformer les vivants avant qu’il ne soit trop tard. Une prophétesse, plus une revenante pour refaire le monde et l’épurer de ses crimes et chagrins.
CYNISME ET DÉLICATESSES:
CHRONIQUES SENTIMENTALES DES VISIONS FLOUES.Ce n’est pas qu’il soit impoli le vendeur de journaux qui m’a vu et ne m’as pas salué c’est peut-être qu’il vend les salamalecs aussi ou qu’il attende comme de coutume que ce soit ceux qui arrivent qui saluent les premiers ! Culture qui incruste des normes civiles, égalitaires dans la démocratie. Et même les vieux n’ont pas de privilège quand aux bonnes us! C’est peut-être qu’il vend de bonnes nouvelles qui marchent et qu’il n’a pas besoin de marketer dans ce genre de politesse et de civilités ! Ou que depuis l’inondation du Web, il n’a plus rien à ajouter. S’il paraît gonflé, ce n’est du fait de ses propres papiers! C’est peut-être parce qu’il me respecte, comme vieux voisin ! Qui sait s’il m’aime pour m’éviter ainsi. C’est pour ne pas m’augurer de quelques mauvaises nouvelles, en ces temps de canicule, de ramadan, de grosses dépenses et de bas revenus !
MON STYLE EST PROSAÏQUE,
Certes ! Il peut être de ce fait emphatique ou ampoulé ! Je n’ai pas que des laudateurs de parmi mes confères et autres aimables inconnus rencontrés sur le Net ! Un détracteur de surnom « Elchi » sur Yabiladi, a trouvé mon »texte », » Combat des titans des leaders politiques »» écrit à propos des dernières sorties des leaders politiques, au Maroc. Son jugement péjoratif méchamment gratuit, a été posté en rajout à un écrit de Mohammed Ennaji. »
L’Ellechie de service, l’étiquette et le taxe « d’une lourdeur incroyable » ! « Il conseille au Dr Idrissi s’il est l’auteur de ce texte », signé Maidoc25, » d’aller s’auto soigner » ! Merci donc de son conseil indigeste et méchamment intéressé ! Je répondrais, offusqué mais sans médire ni insulter, car loin de là, ce n’est pas mon style, que je ne sais pas écrire comme lui ! Et que pour m’exprimer que de cette façon-ci, classique, il faut le dire, j’espère et je requière le respect et la dignité !
Je suis le résultat de mes professeurs. Voyez-vous, je n’ai pas dis »profs » tout court ! Et le sobre objet des influences, peut-être, des lectures au programme d’antan. Celles qu’ils m’avaient ordonnées et conseillées ! On ne s’invente pas, mais on peut évoluer si on nous indique, de meilleurs sens, pardi. Etant classique et d’un certain âge, donc, n’ayant pas vécu en France ni fait littérature en faculté de Paris, je n’ai pas eu l’opportunité de me faire, dans les quartiers de France, où l’on parle plus vif, parce qu’ils sont chauds ! Je manque de légèreté, c’est un fait.
Pour ce qui est de critiquer, c’est mieux d’être un professionnel, afin d’être raisonnablement écouté ! Il faut s’éviter toute colère et toute célérité, sous peine de méjuger et de médire en passant lamentablement à côté ! Pour s’imposer critique crédible et s’imposer comme nettoyeur du Net, il faut faire preuve de ces capacités ! Oui c’est une façon de dépolluer le Web en décourageant les textes les plus lourds, les remarques désobligeantes ou les textos inappropriés. Encore qu’il faille donner ses preuves, en matière de qualité propre, et apporter quelque chose de récent. Non pas à l’inverse, faire office de censeur, parasite, pour se payer le plaisir malveillant, de pouvoir médire licencieusement, en toute impunité, afin de conforter son ego de maton.
La libre expression est positive ne matière de Web. Sauf que, écrire pour moi, je le dis à son enseigne, est déjà une cure de liberté. Celle de m’exprimer librement. Et ça, je le revendique ! Cette façon de me soigner est contagieuse. Je la lui souhaite. Aussi inviterais-je sans insistance ni cynisme, le détracteur importun et inopportun, fâcheux et gratuit, ‘’à venir’’ et non point ‘’d’aller’’ se faire soigner ! Pas une ligne pour contrecarrer M. Ennaji. Aucune référence ni sur quelle ligne et par quelle phrase, j’aurais été lourd ! Les mots et les tournures, n’ont de sens que si on les lit et qu’on les mette dans leur contexte pour les comprendre et se les interpréter. N’est-ce pas ? Mon style est prosaïque ? Il peut être emphatique de ce fait ou ampoulé ! « ElleChie » n’a pas menti ! Qu’il me lise ou pas, je ne le fais pas payer et je ne veux en rien lui imposer mes idées.
ANIMAUX QUE NOUS SOMMES,
Animaux que nous sommes, oiseaux de proies, bêtes de somme. Combien d’heures, combien de journées, nous reste-t-il avant que nous emporte à jamais ? Pour toujours, et de sombrer malgré nos espoirs, pour de longs et sombres oublis ? Eviter les friandises, faire la gym, ne pas fumer, éviter les excès ! Eviter les plaisirs et le stress et vice-versa ! Les soucis et les peines et même les joies et ne doivent pas nous influencer ? Les droits, les libertés c’est pourquoi faire?
Que faire quand on ne les a pas et qu’il faille les demander. Et l’agent et le travail, qu’en dites-vous de plus ? Entre les privations et les maladies, les délires et les peurs, les sanctions et les critiques des râleurs et des protestataires, des parents, des maîtres, des clients et des fournisseurs, ne faut-il pas montrer quelques courroux ! Etre soi, un peu et défendre son ego, de droit ou à juste titre ? Que reste-il des jours grevés de souffrances et de douleurs, chez ceux qui sont partis ? Gommés, délogés, morts en gémissant ! Ou sous le coup fatidique des rancœurs, des acrimonies et des colères ? Que reste-t-il de nos heures comptées, de nos belles heures ou de nos si importantes occupations ? Des leurres ! Qui sommes-nous, pour représenter quelque chose de durable ou d’important ? Un être distinct, qu’il faille réveiller un jour, sous de meilleurs habits ? Pour lui donner des ailes brillantes et une âme éternelle, épurée !
CRAINTES ET PEURS,
La peur de tout laisser, même ce qu’on a jalousé le plus, ce qu’on a de plus cher, son corps. Soi-même, son identité, sa personne particulière, sans rien emporter avec soi et pour ne plus exister ! A moins que ce soit temporaire et que le retour soit certain pour les plus sûrs ! Crainte du retour, craintes pour le sable et les cendres, crainte d’être jugés de nouveau et pas seulement sur terre et c’est plus rigoureux et plus dur encore ! L’âme en peine sans en être si sûr!
L’âme en peine pour ceux qui ont fauté et qui sont certains des sanctions éternelles! Vous n’allez pas partir, Monsieur le Président et vous messieurs les ministres sans rendre compte ! Ne serait-ce qu’un peu, par discrétion, par pitié, par complaisance ! Au moment où tout s’en va, partir, sans demander pardon aux gens que vous avez « bouffés », engloutis ou détruits ? Ignorés ou leurrés ! Sans corriger vos erreurs, afin de ménager un peu votre âme ? Vous n’en auriez pas ? Peut-être bien, je vous crois !Sans demander pardon à l’Eternel ! Vous vous mentez, en ne craignant plus rien, vous chassez ainsi votre responsabilité! Si vous ne croyez en rien, si vous ne croyez pas avoir une âme, qui fait vivre votre esprit et votre corps, alors vous n’êtes pas comptables de vos erreurs. De rien bien sûr, ailleurs que sur terre ! Vous ne faites rien, tout s’en va, et l’instant est rare, sauf l’instant existant du moment.
BALIVERNES, POUR LA MAGIE DES MOTS,
Astuces et valses des idées, tangos des retournements, pour le pouvoir entre les factions. Droite, gauche, milieux avec leurs terribles nuances, leurs faux compromis, les compromissions égoïstes, complots! Promesses des hommes politiques, prestidigitateurs en mal d’imprécations, manœuvres des politiciens, de la justice, des votes des élections ! L’ensorcellement des enfants de chœur que nous sommes ! Dogmes universels, justice pour tous, lois, vérités, rigueur et sanctions, pour la liberté et la justice. De qui se moque-t-on ? Il ne manque que la santé et les soins, les routes dans les montagnes, et les forets, les gouffres et les déserts à ce programme pour les élections. Sauf que les doutes montent avec les faussetés et les apparences la réalité des nantis et celles des appauvris et des exclus ! La grosse masse de la terre ! Les exclus ont parfois des satellites des Infos, pour admettre la fausseté des dires, vues leur conditions. Quand on voit la faim dans le monde et les excès, des nanti, autant ailleurs que pour d’autres ici, les injustices fréquents et les inégalités, les discriminations entre les hommes, les classes et les nations, les prédations et les exploitations, des plus faibles, des affaiblis souvent.
SERMON POUR LES GRANDES NATIONS
La suite, en fait. La théorie du complot n’est pas une invention, c’est la seule certitude et la plus sordide. Qu’on regarde l’Irak décomposée, la Syrie qui se déchire, qu’on retourne en Libye, chercher le mobile et l’arme du crime ! Un mot pour la Palestine, mouton sacrifié, le cousin et le frère, sur l’autel d’Israël, en répartition des pogroms d’Europe et des crémations d’Hitler ! Injustice féroce ! Le calvaire, la croix du Christ est portée par les enfants d’Orient et leurs vieux pères ! Pour réévaluer l’histoire et le mobile, le motif, le modus operandi ! On prépare, on fabrique des guerres, entre tribus, entre états voisins et nations sœurs ! Car on ne veut pas faire cesser les haines qui rapportent à certains. Et gros sur le cœur aux autres
Je m’arrête. Vous connaissez tout ça. Mais vous ne voulez pas le reconnaître, ni le confesser ni cesser ce qui est pire de continuer à le faire. Car, vous le connaissez, mais à l’envers, à travers le prisme des différences. Dissemblances exacerbées et mises en vitesse supérieure, par les cultes étanches, l’histoire remaniée devenue dogme inébranlable et un culte de ralliement. La suprématie entretenue des identités, ça rapporte. Les cultures hermétiques et le cynisme des-apriori, avec leur moteur à échappement hypocrite, leur fuite des responsabilités, leurs défaussements, la haine, vont-elles cesser ? Les droits de l’homme, universellement chantés, la mondialisation…des mots cérémonieux, lancés avec acrimonie ! La politique étrangère est un mythe de couvent, un label de reconnaissance identitaire, la connivence d’un club, dans un congrès, une messe, dans une auberge espagnole, un refrain qui les identifie entre eux et en écarte les indésirables. Et un code qui congratule et réconforte les maîtres dans leurs hypocrites et bilatérales concurrences en les asseyant plus solidement aux commandes de leur solide et universelle suprématie. Colonisé, déraciné, comme des milliards d’êtres, j’ai parlé des puissances étrangères qui servent d’ombrelles, de parapluie et de parachute, de gendarme fortement intéressé ! « Ça l’air d’un farfadet et ça pense comme un arabe ! »
COURBES ET TANGENTES
PARABOLE 1
A l’ombre des tangentes frêles, sur les courbes bombées qu’elles dessinent en dessous d’elles…Elles planent. Diaphanes comme une âme, sont les tremblantes ailes de ce miracle qui vient de naître ! Les quatre ailes d’une libellule qui voltige en fête et qui vient de se poser élégamment sur une belle tige verte, un massif de fleurs, qui jaillit de la rivière. De la nymphe, laide, un être véloce et fier, se libère !
Sur les courbes repues et pleines du fruit, elle va oser fureter. Oser se poser et caresser ces fruits d’instinct. Car ils sont faits pour elle. Les sphères abondantes au beau galbe, halètent et respirent. Leur pulpe esquissée, tressaille prometteuse. C’est un doigt intrépide qui les jauge. Il se pose. Il se promène et se referme. Il sent les entrailles de sa découverte. Pourtant, la libellule est l’image même de la légèreté.
Ses pattes, ses doigts sont fins, légers et agiles ! Dans son délire de découvertes enthousiastes, d’errances passionnelles et de libertés nouvelles, ses ailes et son torse frétillent dans tous les sens. Elle caresse les globes des splendeurs et sent l’enivrement, le détachement. L’ivresse du moment, un fantasme éclair. Le plaisir ! Dans le délire, la ligne ailée se replie et se referme sur le nectar béni. Du néant précédent au sinus timide et tiède, ému et craintif, l’ambroisie conquise, coule comme un paysage qui défile.
Elle s’agite comme une âme sur son aura, source de vie, parfum exquis du corps. Le doigt se confond avec ce qu’il touche et bat la mesure. On entend comme de la musique qui se détache des sphères. Le papillon taquin, la libellule devient un tatouage permanent, là, à la place des soutiens.
Confusion de l’objet et du désir, deux en un ! Sous la main tangente qui l’effleure, le globe entier tremble et s’émeut sous la flamme des doigts. Le papillon est une main en forme d’ange ou d’ailes. Il butine et s’abreuve d’extase et de plaisirs. Adorateur, esclave mu par ses plaisirs, ils le poussent aux grandes œuvres, consciemment ou d’instinct L’homme devient dieu en un clin d’œil. On peut l’entendre, et le reconnaître aux chants, aux plaintes essoufflées de son délire. Des mots qu’il trace comme des cœurs et des vers qu’il écrit sur la poitrine. Hédonisme ?VARIANCES DANS LE SEIN DES SAINTS
PARABOLE 2
Il s’agite dans un corps à corps, comme une âme lovée et lascive sur sa source de vie. Rien ne vient troubler cette espérance, entre la vocation et l’esprit, le satisfecit des désirs, le bonheur d’en jouir et le plaisir d’y être parfait. Se confondre dans le corps et d’en être l’objet, les doigts et la main, l’ombre de soi et la représentation de l’esprit, de deux personnes sur leurs cerveaux.
Cette boule magique qui affole réconforte et assagit, est une porte, pour un instant dans l’infini. L’infini délirant et extatique qu’on retrouve en soi à travers l’entente d’autrui. Triomphe équitable, délire dans les cieux, le miracle de l’élévation est double. Et on aime le répéter et le reproduire, sans fin.
Le globe, c’est la lune, un soir, sans nuages ni habits. C’est le spleen offert par Dieu à ceux qui le regardent et qui aiment s’en approcher.
La main tient son bien et le relâche pour y revenir. En sueurs, le lait sourd dans l’esprit du bébé, la bouche est pleine mais il n’est jamais rassasié. Le bonheur est une drogue dont il ne peut se détacher. Et, c’est un crime de lui enlever cette porte vers l’absolu. Le vide, le départ ne peuvent remplacer l’être cher, ni celui de bonne compagnie. Il faut à chaque fenêtre sa clef pour l’absolu. Et c’est un délit quand on le prive, alors qu’il ne peut s’en passer.QUESTIONS EN QUÊTE DE RÉPONSES.
A quel titre perpétuer ou interdire, les clefs faussaires dans des serrures pirates qui veulent s’essayer ? Le sens éthique, moral, religieux ou laïque ? Des freins, des balises, des limites saines ? Celui de la correction, des libertés, de la propriété, du respect d’autrui de la dignité partagée ? C’est quoi interdire ou empêcher ? ! Ne pas heurter le bon vouloir des gens et des individus !?
La tendresse se livre en prières. Le but est d’oublier la raison et les doutes, devant l’instinct de prendre et le défi de se donner. La prière des doigts sur le torse, en respect, et sur les globes aussi, transcende l’espoir et la transe se prépare ici. Le corps tremble de vies, l’esprit, l’aura couvre la nudité. Élémentaire vêtement pour de donner intégralement au rite qui unit et réconforte. Et c’est l’Eden, le ciel …Donnez m’en sept, s’il vous plaît. Si haut, si loin, selon les dires des meilleurs cosmonautes. Ô tangentes laissez moi vous chevaucher. Me détacher des dômes de ton esplanade, aller du rocher nu, l’étrier sur Alboraq, guidé par l’ange Gabriel, sur le chemin astral de Mahomet.
Sans quitter ce lieux, ni ces barreaux d’où je t’appelle, viens en ces jours de fêtes. Donne-moi ton trône, pour te faire ma reine, ma conquête malgré et les risques de tempêtes. ô Liberté ! Liberté, c’est à toi que je fais ma cour et que je voue mes prières.
TALISMAN ET AMULETTE :
Refrain contre le dédain. ô tangentes affolantes, retournez effleurer les tours. Retournez vivre dans vos rêves. Répandez mes doigts sur ces lieux d’amour. Supprimez les gardes, ôtez les chaînes, enlevez les barreaux. L’amour que tu répands sur ces lieux, comble mes oublis et répare ma mémoire et mes trous. ô tangente reviens, tour à tour, de nuit et de jour, si le soleil brûle le ciel, il éparpille les nuages et luit. Et je te ressens et te vois.
Et, dans cette bombe de chair, où explose ma mine, laisse-moi, l’heur du retour, laisse-moi me jeter dans l’ombre de ton puits. Enlève la clef ! Enlève les aiguilles du réveil…Palper les rides avec délices, pour m’y agripper, avant de plonger dans tes eaux avec volupté. Arrête ô Temps, souffle, respire et sent ! Dans le sanctuaire humide de mes prières de paix, planent les essences sacrées de nos amours ondoyantes, les parfums pénétrants et les arômes de nos intarissables printemps.Parjure, jure, ment et meurt sans crier ! Dans le ciment des chairs, à jamais gravées, les liens s’illuminent et les chaines complices s’en vont. Elles se perdent pour exister. Elles errent sur les chemins des sens, pour combler les absences et repêcher les oublis.
LE SOLEIL EST AU ZENITH DES HORREURS
Ramadan en été est doublement une épreuve. S’il assèche le corps, il multiplie les envies. La foi, n’en parlons pas, il lui faut une divine échographie. La silhouette sue, l’ombre est celle du chapeau, seuls les pieds dépassent, quand tu avances tes pas. J’ai coupé les larmes au couteau pour faire ta peinture. Et j’ai une lettre entre les dents que j’écrirais sur ton portait. Palimpseste où se confondent sueurs et baves ! Je mordrais la toile pour que rentrent mes mots dans ton esprit et que ton portrait, griffé de mes doigts, les entende enfin. L’option vertu ne peut éliminer les manques ni les soucis ! Le tas de morales est une pression, une peine, qui névrose et culpabilise. Les lois sont faites d’éthique, une bannière élastique qui s’effile pour les plus puissants, qui els font pour actionner les autres et les inhiber.
LE DÉLIRE DES CLOPORTES
Mon métier comme un rempart, un masque, un frein des barreaux, me prive et paralyse ma vie particulière. Il me pousse à faire de la déontologie, une éthique corsetée, une morale corsetée, là où je ne dois être qu’un mâle commun la vie ne s’arrête pas aux choses intimes, le sexe vous avez compris. Elle est celle des ailes et du vent, les délires de l’esprit les libertés du corps, seul soleil qui éclaire au firmament
Une goutte ignore le tuyau d’où elle vient et s’évapore en tombant sur le sable. L’homme depuis sa conception est fait d’une multitude de gouttes. L’ombre du jasmin palpite sur le sol sans donner de parfum à la terre qui la nourrit. Le bruit dans les airs ne laisse pas de traces d’ailes. Ce ne sont que des anges et non les fumées des réacteurs ?Je doute des mes libertés factices, de mes sentiments, de mes sensations, de mes perceptions et de ma vue. Et peut-être des mots erronés que je sors pour réfléchir et à défaut pour m’en amuser.
Les douleurs, seules libertés de se plaindre, de se peindre et de se pleurer. De prendre et de comprendre de ce qui est en dehors de la tête et qui la fait tourner. Ce qui nous fait prendre autrui, pour des dieux, ou qui nous fait pleurer.
A FATTOUMATOU TRAORE DU MALI
PROMENADE GÉOGRAPHIQUE
Que reste-t-il de l’ombre de la ruche des os et des cendres ? Que reste-t-il des clartés des chants des cris et des pleurs ? Que reste-t-il des plaideurs, des critiques, des râles du vagin des vierges, que les soldatesque islamiste viole et engrosse ! Un bambin que ne trouvera nul pays comme sanctuaire. Nulle affection pour le protéger, nul maître pour l’éduquer ou lui donner une chance, face à l’humiliation de sa mère et des Maliens !
De l’insolence vengeresse de ces milices barbares, qui desservent leur cause islamiste au Mali et donnent raison aux invasions punitives coloniales…Aux délires d’orgueil de ces milices révolutionnaires ! Que regrets en Syrie où le maître Léonin n’a aucune pitié pour les siens ni intelligence pour évoluer et leur préfère son trône sur les ruines de son pays ! Un règne sur les abattoirs et sur les cimetières ! ô funeste pays de ma civilisation chérie !
Non loin de là Kerry tente de raisonner Israël. Il sait qu’Israël prend et ne donne rien par atavisme, et que par égoïsme identitaire et peur cultivée, la victime dupe et trahit. Mais qu’est-ce qui empêche Israël de vivre en sécurité ? De sortir de son sectarisme et de sa mythologie ? Après avoir démontré son savoir et ses avoirs, sa force de persuasion et sa sagacité, ses capacités propres et la suprématie de ses protecteurs inconditionnels ! Qui évoluera verra !LES GUERRES, LA VIE, BOF !
Où va l’amour quand les amants partent ou va son plaisir quand la cigogne descend du ciel ou sont ces images des nuages qui s’effilochent où partent les traces et son des avions à réactions. Personne ne s’intéresse ça car ça ne rapporte rien, mais il fallait se poser la question pour toucher la futilité du doigt et regarder la vie, aussi longue soit-elle comme une image qui fuit dès qu’on commence à la regarder. Sans lendemain pour beaucoup, un intervalle sur terre avant de renaître pour ceux qui espèrent que leur âme repoussera sur leur corps leur reviendra de là où elle se case pour les ressusciter un jour.
Curieux comme concept, il est quasiment binaire. Entre le néant et l’éternité, j’opte pour la seconde possibilité. La réincarnation est une réquisition, un besoin. Mais pas trop de sanctions, SVP ! Se rappellera-t-on des choses banales et des futilités? Surtout après un triste et profond Alzheimer ! Cette maladie des vieux, en particulier, qui nous perdre toute mémoire et toutes nos capacités au point de nous déchoir, d’annihiler notre personnalité. La conscience se perd et de là, tout sens de la vie et toute responsabilité. Peut être bien puisqu’on sera jugé et audité. J’ai bien peur de montrer demain ce que je tais aujourd’hui ou ce que j’ai carrément et innocemment, oublié, aujourd’hui !Entre temps, ici et là, des millions d’êtres zélés, pour qui la vie est donnée, comme à nous, cherchent leur pitance, d’instinct, entre ciel et terre. L’instinct est cette mécanique du comportement, héritée des ancêtres qui fait de nous des vivants ! Des conduites caractéristiques de l’espèce, qui rend les choses vitales automatiques, abstraction faite de la volonté de l’animal en question. Peu reconnaissent en eux l’origine de leurs chimies et mouvements de vie. En fait qui fait de nous des esclaves, obligés, vitalement dépendants, d’un cheminement planifié, génétiquement conditionnés, au destin inévitablement prescrit.
Actes prédestinés, écrits, non volontaire : on ne pas être plus déterminé que ça ! Une grande part dans le destin est prescrite dans ces instincts et autres activités involontaires qui nous permettent de vivre, myopes sur nos actions internes, physiologiques. Si on ne s’occupe que partiellement de la respiration, les autres phénomènes, la digestion et l’assimilation par exemple, on n’y est pour rien, l’alchimie des sens, le transport des influx neveux, qui nous dirigent, les hormones, notre pensée, notre mémoire, ça laisse rêveurs…VALSE QUANTIQUE : LES PETITS GRAINS DE LIBERTÉ
Chaque atome, chaque électron, dans son cycle ionique, leurs charges électriques, leurs composantes quantiques, chaque molécule ingérée, chaque gène est porteur d’un miracle, d’une mission, dont il ignore le but, le contenu et sa destinée. Ces microparticules ne savent rien des propriétés qu’elles sont capable de faire. Rien a priori des cycles et des recombinaisons, des réactions potentielles et des recompositions qui furent à leur origine et qui conditionnent leurs propriétés physico-chimiques, et électromagnétiques. Rien comme approches de leur futur et des réactions qui les incluront dans d’autres schémas chimiques ou aspects physiques. Pour former tel minerai, tel végétal, tel être animal avant de se fondre dans la nature, l’univers ou de disparaître.
Ces éléments imperceptibles, découverts par les sciences nous composent et nous défient. Indicible inconstance, sublime silence de ce foisonnement de vies. Nous sommes faits de milliards de milliards et de milliards encore de corpuscules et d’atomes étrangers. Ils nous composent et nous recomposent, nous les ignorons comme ils nous méconnaissent. Et c’est pourtant de nous qu’il s’agit. Nous somme un être, un organisme fait de constellations d’organites, en éternelle mutation, que nous ne savons pas dominer.Nos hôtes font leur boulot, ils s’activent et se composent et réagissent, nous appelons ça la »vie ». Et nous oublions le miracle que chacun d’entre nous représente. Pire quelle certitude, quelle place occupent en nous cet esprit et cette âme que nous pensons avoir ou être ? Combinaison triple et muette, tenue au secret, le complot du silence: c’est de nous qu’il s’agit. Ces entités qu’on espère ou qu’on pense être, prospèrent en nous. Alors que nous ne pouvons ni les sentir ou les voir et encore moins les toucher ! Et c’est de nous qu’il s’agit.
Nous assistons, étrangers à nos propres changements, de la fécondation à la mort, sans savoir consciemment d’où nous venons et vers où nous allons transiter. Entre de risibles libertés et d’énormes freins, qui nous asservissent au biotope terrestre, nos connaissances, si admirables déjà sont si élémentaires devant les champs immenses de notre ignorance. Des étendues que nous ne pouvons guère investir et vers où nous ne pouvons accéder.Entre les libertés et la démocratie, variables entre les personnes et les pays, les hasards et les influences, notre autonomie, nos initiatives, nos actes et leurs limites, que de conflits, d’imperfections, d’inexactitude et d’intolérances ! Nous sommes déjà en conflit avec nous-mêmes, soi-même, notre corps composite. Mais, avec les autres, c’est pire. Que ce soit nos proies, alimentaires, pauvres bêtes et monstres que nous sommes, qu’avec nos adversaires ou nos pires ennemis ! Et ce n’est pas gai.
CRIMES ET LIBERTES
Nous sommes des prédateurs, des cannibales ! Et je vous fais grâce, je ne parlerais pas des homophiles, les gays, ni des lesbiennes et de leurs subtiles amoures pour leurs semblables. Ce n’est pas un déni de leur droit d’être libres de cette promiscuité et de pouvoir, librement, la montrer, sans honte de la société. Ça dépasse et ça me déconcerte aussi. Je parlerais de leur volonté logique d’être publiquement reconnus et sans cachette hypocrite. J’ouvre seulement une parenthèse sur les enfants qu’ils veulent adopter. Elever dans une famille, normale, et dans quel sens les » former » et les éduquer.
Les pédophiles, immensément odieux et abjects sont des horreurs aussi horribles que les crimes d’inceste. Et puisqu’on en parle de pédophilie. .Je fais allusion aux drames commis par l’espions exfiltré d’Irak, David Galvan, sur 11 jeunes enfants de Kénitra. Affaire quasiment couvée, qui a réveillé le peuple de sa léthargie sur la honte et l’injustice qui allait être commise. La méprise organisée et l’humiliation subies à la suite de la grâce royale arrachée par l’abus de confiance dont a bénéficié le criminel. Puis à la souveraine remise en question de tout l’establishment qui a fait ré-emprisonner dans son pays intercesseur et d’adoption, l’Espagne. On en reparlera…
En parler, j’en ai assez, comme de la loi du talion. Celle qui consiste à faire payer les coupables et à les sanctionner, à hauteur des mêmes crimes qu’ils ont commis. L’injustice est comme le mal et les douleurs. Les peurs augment les souffrances et les souffrances font écrire ou crier. Les gens qui manifestent leurs souffrances devant les médecins, les juges ou les émirs, se doivent d’être écoutés. C’est un devoir de l’homme, du Responsable que de répondre à leurs prières. La joie du médecin est de découvrir le mal et de l’atterrer, le plaisir de guérir est immense, il est égal à celui du juge et du professeur quand ses élèves ont tous réussi. Que dire des rois quand ils écoutent les leurs et de Dieu, quand il répond aux humains avec faveur !
Le problème n’est pas de partir à jamais ! Car, où sont passés les autres, en laissant les souffrances et les faiblesses s’anéantir. Le problème, c’est celui de perdre ce qu’on va laisser. C’est aussi pour les autres de perdre celui ou celle qui a trépassé. Et l’orgueil, la fierté d’être soi-même, la passion de vivre libre, ensemble, avec la dignité, c’est ce qu’on enlève justement ceux qu’on a mortellement blessés. Et c’est peut-être que la mort, alors on voit des martyrs, des suicidés, des soldats tués et des gens qui vont s’exploser, en emmenant les autres, des victimes innocentes, à la suite d’un dépit, d’une sombre idée ! Qu’ont-ils fait de mortel pour une si tragique destinée ? Le hasard du chemin; vers la mosquée, l’école, l’armée ou le marché ?
DIVAGATIONS MAJEURES EN SOUS-SOL MINEUR
L’ACCOUCHEMENT DU FACTEUR
_ Monsieur le facteur, veuillez porter cette lettre à Dieu.
_ Hein! Au bon Dieu ? Est-elle suffisamment timbrée ? Ou c’est l’expéditeur qui l’est, peut-être un peu !
_ Pardon, Votre Insolence ?
_ Mais, il n’y a pas de Dieu dans ce quartier, monsieur DuToquet !
_ Appelez-moi Toqué, tout court, si ça vous va !
_ Je parle de l’adresse et du destinataire….Walou ! Allez voir plus loin…
_ Mais attendez M. le facteur, s’il n’a ni domicile ni boîte, est-ce que vous voulez dire que Dieu c’est walou, bah, qu’il n’existe pas ! Et que l’homme et l’univers doivent en faire le deuil et vivre sans Lui ? Chez vous!
_ Euh !
_ S’il est inconnu de vos facteurs et si vous ne le voyez pas, ça veut dire pour vous que Dieu n’existe pas ! Dans vos quartiers, dans votre culture, dans votre ville, dans votre patrimoine, dans ce pays ou chez les voisins ? Makach ! Ma bqach !
_ Je ne connais personne qui porte ce nom ni personne à qui remettre votre courrier pour le lui transférer ! C’est clair comme un théorème : pas d’adresse, pas de courrier ! Pas de boîte non plus où je puisse lui déposer votre courrier ! Mon rôle s’est toujours arrêté là ! Et, je ne suis ni psychiatre ni devin pour m’occuper de vous et de votre pli !
_ Qu’est-ce que ça à voir, votre rôle ou votre travail avec ma santé mentale ?
_ On n’en est pas là, M. Toquet ! Je n’ai pas dit ça de votre santé ! Vous me gênez avec vos réflexions ! Et puis…je perds du temps avec vous et je dois finir ma tournée.
_ Je vous en paie une !
_ Ne vous payez pas ma tête, non plus !
_ Bon, bon ! Mais, même s’il n’a pas de boîte postale, chez vous, vous n’avez jamais entendu parler de Celui qu’on nomme » Dieu » ? God, Adonaï, Yahvé ! Sidi Rebbi ! Malik el moulk ?
_ Si, si, il y a si longtemps de ça. Ça me revient un peu avec votre insistance maladive
_ A la bonne heure ! Dites-moi, quand a-t-Il existé pour vous?
_ C’était quand ma grand-mère, Lalla Khnata, me racontait des histoires pour m’endormir. J’avais cinq ou six ans…
_ Vous aussi ! Ça alors ! Moi, c’était Lalla Zineb !
_ Je croyais que c’était une légende. Et que c’était un super héros, un magicien qui faisait des miracles et qui donnait de l’argent aux gens et des cadeaux aux enfants !
_ Vous confondez avec Papa Noël !
_ Mais, c’est un mythe, ce sont des contes, je l’ai compris depuis !
_ Ah ! ….Mais dites, elle ne vous aurait pas raconté des mensonges, votre ancêtre !
_ Non, mais des histoires, si ! Endoctrinement précoce, présenté juste comme un jeu !
_ Sauf que, a Sid El Facteur, s’il n’y a pas de Dieu, c’est que le cosmos, le truc là haut, il s’est formé tout seul ! Extra, sans aucune intelligence ! De but en blanc ! Avouez que c’est un peu gros pour le hasard et la spontanéité. Le hasard a sorti du néant toutes ces étoiles et cette astrophysique ! Un univers extraordinaire et si prodigieux, fabriqué par rien ? Et pour rien! Hein ?
_ A y penser, ça me fait réfléchir !
_ Tout comme votre ancien ministère des PTT qui eut comme dirigeants Aherdane et Lanser. Devenu office, il a été vendu aux Séides sous Ahizoune !
_ Qu’est-ce que ça vient faire ? Je n’y suis pour rien !
_ Oui, justement, haut de 25 étages, il se serait monté tout seul, votre récent bordj des Itissalat ? Il a bien fallu une intelligence derrière tout ça ? Non ?
_ Oh que si, mais je n’en sais rien ! Moi, je suis en bas de l’échelle. Pitié ! Je suis un honnête fonctionnaire, j’ai des enfants et un crédit ! Je ne veux pas d’ennuis avec les autorités. Je n’étais pas là, au moment de la création de notre boîte. Je n’étais pas présent, non plus au Bigbang, pour témoigner avec assurance du Gangnam Style de votre bon Dieu.
_ Ah, je m’en doute, monsieur le Facteur ! Malgré votre vélo, vous ne pouviez pas être partout en même temps et cela sur plusieurs époques à la fois !
_ Oui, oui, mais pour l’immeuble et le cosmos, c’est, ce sont des œuvres colossales, pardi !
_ Ah ! Vous en convenez ?
_ C’est votre troisième ‘’Ah ’’ ! Vous ne savez pas parler sans dire des Ah ? Vous êtes un chanteur, peut-être, en perte de voix ? Et de boulot ! C’est pour ça que vous voulez attendrir votre correspondant …
_ A peine que j’ai commencé à penser ! Je suis incapable de parler, je reste bouche-bée devant le ciel et les étoiles. Et je fais de grands Ah !
_ Moi aussi, quand j’ai le temps de monter à la terrasse, pour chercher le linge de ma femme ! J’en conviens ! Le ciel, les étoiles, une bière avant, un cigare après le dîner, quelque part, en bonne compagnie ! Le ciel et la mer, le vague à l’âme sur la côte, en été…
_ Revenez sur Terre, l’ami et cessez de fumer ! Mettons que cette œuvre colossale, l’univers, que vous admirez tant, qu’il est né sous ‘’ X ‘’ !
_ Si vous voulez ! C’est amusant ! Oué, le cosmos est né sous ‘’ X ’’. Sans parents connus, alors ! Pourquoi pas ?
_ Si, au moins un ! Et appelons le colossal Géniteur qui a créé cette œuvre magnifique, ‘’Dieu’’! Dieu, comme hypothèse. Dieu comme Créateur. Dieu simplement, ça vous dérangerait des fois ?
_ Non, non ! C’est astucieux, hein !
_ Comment, non ?
_ Je vois que vous simplifiez les choses, afin de me convaincre. Mais je sens, intuitivement que c’est astucieux ! Il y a comme une malice derrière vos mots. Des idées, qui me donnent des pensées, inhabituelles ! Qui me font frémir !
_ Je ne vous touche pas, calmez-vous !
_ C’est comme si vous alliez me filer une marchandise défectueuse ou trop chère pour ce qu’elle est.
_ Ce n’est ni perfide ni sournois. Je ne vous vends rien. je ne vous donne rien. Je parle…
_ J’avoue que des idées plus claires me viennent en réfléchissant avec vous. Ça me fait penser à des problèmes auxquels je ne veux pas ou que je ne peux pas penser. C’est confus en moi.
_ Ce n’est pas pour vous trahir dans votre crédulité ni pour philosopher.
_ Eh bien, je vois ! Mais de quoi s’agit-il dans cette lettre que vous voulez adresser au Souverain ! C’est simplement existentiel ou que c’est plus politique ? Ache fiha ?
_ Monsieur, est-il de l’Intérieur ? C’est un copain du Parti, Mohand ?
_ Non pas que je sache, mais vous me plaisez ! Je suis seulement curieux, car j’aime votre façon de me faire réfléchir à ce qui existe probablement et qu’on ne voit pas du tout ! Et je suppose qu’il y a des choses singulières qui existent et qu’on ne sent pas. Et puis vous avez comme des plumes, derrière votre chemise !
_ Ah, vous aussi, vous les avez vues, mes phanères ! Vous avez des yeux d’enfant ! Merci, mais chut !
_ C’est si évident ! Pourquoi me taire, dès lors ?
_ C’est à propos des plumes ! Il y des gens qui ne comprendront pas.
_ Alors, je dois taire ce que je vois et me taire parce qu’il y a des gens qui ne me comprendront pas ? N’est-ce pas le contraire qu’il faut faire ?
_ Bien, bien ! Pour la lettre, je vous le dis brave Hermès, c’est une note de service à adresser selon la voie royale au bon Dieu.
_ Aux bons soins du Palais ? N’est-ce pas ?
_ Wache fiha ! Commencez par la remettre de proche en proche, selon la voie hiérarchique ! Ne craignez rien ! On ne va pas vous bouffer. « Tapez aux portes et on vous répondra » avait dit Jésus ! « . Et puis, « Les portes de mon Palais sont ouvertes devant mes sujets », avait dit en substance feu le roi Hassan II !
_ Je m’en souviens. Au fond, monsieur Toquet, n’est-ce pas un peu inutile, d’adresser votre missive à Dieu, par l’intermédiaire des humains ? Pourquoi pas ne le faites-vous pas par l’intermédiaire des anges?
_ Ah, vous me plaisez facteur!
_ Un autre Ahhhh et je m’évanouis à coté d’Oum Kalthoum !
_ Laissez-moi une place près d’elle, aussi !
_ En plus, vous êtes plaisant M Dutoquet ! Ça doit être l’effet de la colle des timbres sur vous ! Les timbres dont vous léchez le postérieur pour les mouiller, afin de les coller sur l’enveloppe que vous voulez transmettre à Dieu ! Il en faut un paquet de timbres pour voyager si haut…
_ Je reste perplexe !
_ Oui, je vous dis, inutile de vous fatiguer pour l’écrire à Dieu. Dieu, n’est-ce pas qu’Il sait tout ? Et qu’Il n’a besoin de personne pour savoir ce qu’il y a sur votre lettre ! Et qu’Il sait ce que vous avez en tête, avant même que vous ne le pensiez ou que vous ne l’écriviez !
_ Ah, oui, certes ! Mais alors, M. le Facteur, pourquoi que l’on existe, si c’est inutile de parler avec notre Créateur, alors que nous sommes conscients de la puissance de Sa création ? Et que nous ressentons quelques manques à lui signaler….
_ Ah, vous ! Je n’y ai pas pensé comme cela. Et puis, votre lettre, pourquoi voulez-vous en parler directement au bon Dieu ? C’est un défi ? Un délire, un parjure, un acte existentiel impertinent ? De plus, matériellement parlant, on n’a pas l’adresse postale du destinataire. Il n’existe pas. Inconnu à l’appel des facteurs ! Je vous le redis…
_ Vous me l’avez déjà dit.
_ Qui plus est, il y a ses intermédiaires, les messagers, les ministres, les présidents et les rois ! Et ceux-là, les vivants du moins, on sait où ils crèchent ! Et vous pouvez leur écrire….N’est-ce pas ?
_ D’où l’utilité, a Sid El Facteur, de la voie hiérarchique ! Vous l’avez trouvé vous-même ! Même si nos idées ne volent pas si haut même si elles pénètrent les os !
_ Hum, les cervelles, ma tête ! Je commence à comprendre votre style ! C’est comme si vous m’aviez induit dans votre sillage !
_ Je ne vous ai pas piégé ! Vous utilisez vos phrases pour décliner vos propres pensées et vos bons mots.
_ Vous êtes un souffleur d’idées et un manipulateur des pensés ! Grave ! N’ta khatar âla al bachar ! Vous me faites accoucher vos propres conceptions. Vos filles d’idées.
_ Pourvu qu’elles ne trainent pas sur le plancher des vaches, en voyant le jour !
_ Qui plus est, vous me faites accoucher vos avortons par césarienne ! Vous me violez à mon insu, monsieur. Je sens que vous avez pris possession de mon cerveau et de mes concepts pour m’insuffler votre crédo…
_ Vous parlez de vos idées ou des miennes?
_ Vous n’avez pas le droit de me déposséder de mon ignorance, de troubler le silence de mes doutes ni de briser mon repos métaphysique, en m’inoculant des concepts, en jouant sur les mots. Je ne suis plus le même. Vous m’avez séduit et converti…
_ Si vous êtes convaincu à ce point, merci ! Mais que vos idées, celles de ma lettre au Makhzen, ne soient jetées dans les poubelles de l’oubli !
_ Faut-il que ces idées soient utiles et non pas trop futiles !
_ Merci M. le Facteur, vous m’avez été très utile ! Je crois que je ne vais pas l’adresser cette lettre ! Mais, juste la penser !
_ A la bonne heure ! Vous dispenserez nos facteurs d’un paramètre mystique fatigant ! Tant mieux aussi pour les ministres de Benkirane. Ils seront épargnés d’une chabaterie* inutile !
_ Mais pas le bon Dieu !
_ Et qu’est-ce que je fais du bébé ?
_ Mettez-le avec ma missive! Et adressez le tout à qui de droit. A qui cela concerne de plus haut !
_ Où allez-vous ? Et ma tournée ?
_ Je m’envole ! Buvez à ma santé et à la maïeutique !
_ Qui c’est celle-là ?DE MADAME STUDENT, VOTRE ENVOYÉE
NOTES AU BON DIEU, PAR LA VOIE HIÉRARCHIQUELes lieutenants de Dieu sur terre, comme ses envoyés et ses prophètes, sont à même de porter nos doléances et de les traduire au Seigneur. Et les vôtres vœux de croyants aussi, lorsqu’ils reçoivent de Sa Majesté Suprême, (Elle-même ou Lui-même !), ses divines consignes pour nous informer de Son message, de Ses préceptes afin de nous guider vers le droit chemin.
A propos de la communication avec le Seigneur. Le Seigneur a-t-il fait que leur rôle ne soit qu’unilatéral ? Des hauteur vers le bas seulement et sans retour? C’est en se posant des questions sur Dieu que l’on commence à Le connaître. On admire Sa création et on Le loue en respectant et en appréhendant Sa toute puissance. C’est là l’essence de toute prière. Louer et demander, en espérant de Dieu qu’Il nous exauce! En regardant Sa puissance, le ciel et les étoiles, en en prenant conscience, on définit notre place sur la terre, on évalue nos limites, notre existence et notre condition. Quid de l’ontologie. Notre situation par rapport au ciel est la quintessence de la sagesse et de l’esthétique, de la philosophie et de la physique.
Appelez cela mystique, métaphysique ou science fiction ! Ou seulement expérience existentielle de la vie. La vie est donc un examen et un exercice. On n’a pas le prospectus en main. On tente de le comprendre en le cherchant. La vie est exercice de style ? Un calvaire ? Une cascade de plaisirs ? Un style de vie sur une île inconnue ? C’est un apprentissage et pas seulement une application dogmatique stéréotypée, stérile et bornée. Là, on perçoit ce peu de libertés qui nous échoient et nous rendent responsables, quelque peu, de nos actes. Mais tout est relatif. Parfois on fait des découvertes, des innovations, des éclairs de lumière dans le noir ! D’autres créent et inventent et nous en profitons.
« Voici Azizi, comme tu l’avais prévu, il y a bien des années déjà, les différents niveaux de circonvolutions autour de la Kaâba en cours d’exécution. Si tu avais écrit en temps opportun au Roi d’Arabie Saoudite pour lui soumettre ton idée avant-gardiste, tu aurais bénéficié de droits d’auteurs mirifiques maintenant ! »
DELIRE OU REVES INTRIQUES
Ainsi, sachant que tout étant à Lui, moi le premier, je l’espère, tout doit relever de Lui et tout doit lui être honnêtement et très vite transmis. Tout est à Mawlana ! Lui, le primum movens, dont on ignore l’adresse et dont on connaît la maestria. C’est à Lui que nous revenons, disons-nous des mortels, des morts, afin de placer notre espérance dans le futur. Pour une vie éternelle face à la labilité de la vie. C’est Lui notre propriétaire, Lui le créateur des innombrables galaxies de ce cosmos époustouflant. De cet univers infini, dont fait partie notre petit point de Terre. Monde qui n’est peut-être ni le seul ni le premier ?
Il est aussi le créateur de ses élites et de ses créatures mineures, insectes, prédateurs et autres macrophages. C’est Lui qui confie le destin des humains à leurs chefs, leurs présidents, leurs émirs et leurs sultans. Indirectement, certes et peut-être sans que ne le sachent nos illustres et notoires élus ! Respectable autorité du Père sur les assujettis, magistère, mission messianique ? Feuille de route codée, ou diktat sur les hommes et leurs chefs, les premiers ? Comment parler alors de libre arbitre ? Des libertés, des choix et de la responsabilité ? Intrigues et questions se bousculent et s’amoncellent.
L’homme simple n’est libre de rien. Les plus puissants, les leaders, peut-être ! Alternatives étroites, il se soumet ou qu’il est il est soumis ? Il n’est redevable de rien, donc, faute d’indépendance. Entre subversions et subornation, consensus et conciliation plus que confrontation, la compliance alterne avec la connivence ou la simple résignation.
On finit pour certains d’admettre, c’est le renoncement et la capitulation face au déterminisme et devant la destinée. L’homme n’est souvent libre d’aucun choix. Presque, ou pas à fortiori. Le destin est écrit, puisqu’on ne peut pas l’effacer ! Ou que le destin n’est hermétique et immuable qu’une fois l’acte produit ? Et que s’il fallait le changer et que l’on eût pu le faire, il faudrait le faire avant qu’il ne soit prescrit, avant qu’il ne s’écrive ! Ou avant que l’acte n’ait eu lieu, comme dirait Jacques de Chaâbanne, seigneur La Palice !
D’aucune façon l’être, le vivant, n’est maître de sa propre biologie. ( à moins de passer par la médecine). Ce n’est l’animal humain qui mobilise son corps ni sa digestion ! Et puis, comme disait cet autre de la musique voire de l’art de gouverner, » C’est dans ma tête que j’ai appris le tarab’’. Comprenez que ce n’est nullement auprès d’une quelconque académie.
Comme le formule l’un de nos souverains dictons et par delà toute science, il te suffit de ‘’Regarder en toi-même pour connaître Dieu ‘’. Je ne dis rien de plus. J’essaie seulement de voir. « Tout a été dit ». Sauf que je n’ai pas eu accès à tout ce grand ‘’ Tout ’’ que vous insinuez. J’essaie seulement de penser, pour mieux me voir, pour discerner mon chemin et pour tenter de mieux dire et de plus comprendre mes propres pensées. Et je le tente, en ignorant « tout » de la vastitude de ce que le temps et l’humanité ont pu délivrer comme messages et tracer comme écrits.
Ainsi en est-il par exemple du politique. Et surtout chez nous, où on le tacle comme on peut ! Ils sont attachants nos leaders artisanaux dans leur faconde folklorique avec leurs vannes inattendues et leurs clashs civilisés. De la halqa au parlement, les tribuns n’ont pas perdu la main. Le savoir faire, pas la main tendue ni la tordue ! Le ton y est.
La politique est intuitive on y tombe en plein dedans. Manger du pain est déjà un acte politique. Marcher sur nos trottoirs en crânant est aussi un acte citoyen. Gueuler face aux responsables est un acte de militant comme celui de lire le journal et d’aller voter ! La philosophie, la mystique, l’astrophysique, c’est dans la tête que ça se passe, même si ce n’est pas sous les yeux ! Pour leurs premiers balbutiements, le b, a, ba, certes !
Si vous avez besoin de plus d’objectivité sur le terrain et plus de doctes certitudes, un conseil alors. Allez demander aux américains pourquoi ils ne sont plus revenus tracer leurs pas sur la Lune et nous en rapporter un morceau ? Et les Russes, depuis Laïka, ils ont fait un plouf inexplicable ! Ça doit coûter cher d’envoyer les chiens dans l’espace ! Ils ont la station spatiale et les satellites….Enfin !
Mais, c’es trop dur de se rapprocher des astres, comme des rois et des dieux. Les ailes d’Icare fondent près du soleil dès qu’il comme à voler haut. On demande à Dieu quelques oboles, une place au paradis, au premier rang, pour la fête éternelle. Dès lors, pourquoi pas quelques milliards (de centimes) à notre Dieu et à notre bon roi, pour faire vite, ici, dans l’immédiat ? Question d’assurer nos arrières. Une simple retraite vivrière sur la terre, en attendant qu’il nous défende dans l’Au-delà devant le Grand Seigneur ! Et pour nous, de continuer de louer le Seigneur dans nos prières et Son gentil et serviable Délégué sur nos terres !
PRIERES MERCENAIRES, LOUANGES ACHETEES !
ô combien de gens méritent ces égards parmi les bienheureux qui vivent de privilèges incongrus ! Et chacun va ainsi dans ses rêves pour sortir de sa misère vigoureux et plus fier, sortir de sa sauvage condition première, l’animalité ! L’humanité, si vous y tenez. Ses mystères, son intimité, ses tares et ses infirmités. Dieu seul connaît nos secrets et notre intimité vraie. Si vous doutez que ce ne soit pas Dieu, c’est Le Créateur…Le X et ses intermédiaires éventuels ! Notre intimité profonde et vraie, c’est la moléculaire, la psychique et la spirituelle !
Pour le reste, l’astrologie, comme l’art de la divination aux cartes, c’est un peu opaque pour nous autres mortels. Obscur, comme l’herboristerie médicale locale en vogue, le chinois, l’horlogerie suisse, la mécanique quantique ou toutes ces intelligences à la fois !
Et sombre à la fois ! Même les présidents, les ministres et les leaders, se trompent ou déconnent ! Regardez le zoo sur Youtube et le cirque sur les télés. Heureux que certains le fassent en rigolant. Comme les premiers des nôtres Superbes verdeurs ! Ça a plus de charmes que d’aura quand ça a la bienséance de provenir d’en haut, sans complexes ni lourde esbroufe. L’absence d’étiquette est utilisée à bon escient pour nous détendre et nous séduire. La décomplexion nous apprend à nous passer du strict nécessaire ! A supporter les douleurs en nous faisant des guiliguilis.
Tous sont partis, ces éminents patrons ou qu’ils partiront ces magiciens, amuseurs des foules ou tyrans ! ‘’Vanitas vanitatum, omnia vanitas’’ et ‘’Sic transit gloria mundi’’ Tout passe ! C’est la satisfaction des gens humbles, sentence morale antistress, cynisme ou sérénité ? : attendre ou souhaiter leur mort, la mort, pour curer l’atmosphère, vider le champ de ses ordures et devant les autres espoirs, en espérant voir partir les indélicats les premiers !
A regret, certains ont laissé du baume alors que d’autres ont cramé. Demandez à Erdogan, à Mahmoud Ahmadinejad ? Certains les apprécient d’autres, non ! Demandez aux menteurs, aux criminels, Bush, Hitler, à Moubarak, à Zinedine ! Lui qui est parti en trombe pour un long pèlerinage, à la faveur amicale et incendiaire des œillets du Printemps. Demandez à…Ah, je commence à l’oublier…A Mouammar Kadhafi et à cet autre Oussama ! Des agitateurs universels, partis sans laisser d’adresses ! Demandez à Hafez El Assad et bientôt à son Bachar aux 100.000 tués déjà ! 50 fois plus que le score assassin et infâme des Twin Towers qui est à l’origine des campagnes terroristes arabo orientales de l’oncle Sam.
Véritable nettoyeur des espèces pédiatriques et effaceur des espaces urbains que cet ophtalmo aveugle ! Sans parler de ses bombardements aériens qui rappellent aux chers buteurs Israël leurs sinistres péchés anti-humanitaires ! Impéritie encore que son usage dément de l’ypérite ! Au point que le gaz moutarde monte au nez de Barak Obama. Ça nous rappelle ici, l’étouffement des milices rifaines d’Abdelkrim, par nos alliés du protectorat !
Mais, que l’on voit les Iraquiens se déchirer entre factions musulmanes, se fanatiser politiquement et s’éclater après la pénétration américaine ! ! Des violences, inhumaines, stupides et contreproductives. Ça fait regretter Saddam et ça nuit aux Musulmans, en ternissant leur islam et sa civilisation, plus qu’elle ne l’ait subit avant.
Demandez à Hollande de France et à Obama, le brun avocat des States, ils vous le diront ! Demandez à Bouteflika, s’il tient pour de bien et pour de vrai, sa tasse de café ! Ou qu’il devrait bien la tenir, au lieu de nous faire trembler avec et de s’agiter outre frontières, en adversaire de nos gouvernants ! Bref, comment ils furent brefs, ces puissants et célèbres témoins. Malgré leur ténacité, leur ardeur et leur longévité aux commandes. Ils ne sauraient perdurer ni dire combien d’erreurs ils durent commettre ! Combien de choix difficiles furent les leurs ! C’est comme si des barreaux ou des frontières, à l’européenne ou à l’algérienne, nous interdisaient le libre accès à autrui ! Comme le définit la convention universelle des droits de l’homme. encore Autrui a peur des autres. Peur de perdre de sa puissance, ses richesses et de partager ses connaissances.
JALOUSIES, CONQUETES ET VENDETTAS
Le désir est exacerbé par le manque, la curiosité et les privations. Les conquêtes coloniales, des aventures des romains aux conquistadors, en incluant les simples artifices des mâles de céans ne sont pas plus que cela. Désir d’appropriation, égoïsme…Une volonté de découverte, de conquêtes et de possession ! Ne serait que pour un moment, si ça ne se peut durer plus longtemps. Etancher sa soir d’avoir, de saisir et de prendre, pour se pérenniser à travers l’objet requis. Prendre, avoir, posséder autrui ou ses objets, quasiment pour exister, à travers son corps ou ses biens.
Je l’ai touchée, alors que M. Hécate qui était penché sur ses manuscrits, parlait de l’assassinat du gendre du prophète Ali et de ses deux fils, Hassan et Houssine, par Lyazid Bnou Äqraba, le fils de Mouâouia. Mal m’en prit, c’était comme si c’était un scorpion, une aqraba, qui l’aurait piquée.
Maman, sur quelles destinées, m’as-tu fait naître et chavirer ? Je suis là, incapable de lire le prospectus. Elle me répond. Tu es comme l’une de ces milliards de gouttelettes qui sortent d’un tuyau d’arrosage et qui brillent sous le soleil. Je n’ai rien fait de moi-même. Tout s’est fait sans ma volonté. La nature a emprunté quelques uns des mes boyaux. C’est tout. Tu en feras de même, comme tous les êtres vivants de la terre.On a l’habitude de faux amis et d’ingrats profiteurs de parmi les pseudos loyaux.
MEMOIRE, CONNAISSANCE, MYSTIQUE-FICTION
Nous vivons de nos souvenirs. Une fois la mémoire détériorée et les souvenirs éteints, que reste-t-il de la personne, un légume défraichi, sans connaissance aucune ? Puis, l’âme s’en va pour ne plus ressentir de douleurs. Le corps s’efface en retournant son masque effrité à la nature.
Je suis curieux et avide de connaissance-s. Je voudrais avoir un microscope électronique et un télescope, Hubble par exemple ou plus, pour adorer le bon dieu, du moins pour mieux percevoir, avec plus d’admiration, d’effarement et d’humilité, sa Création. Voir, c’est connaître. Admirer, c’est aimer. Admirer, c’est exalter. Exalter. c’est louer et prier. Mais ce n’est pas suffisant, je voudrais fabriquer un appareil qui découvre les esprits et qui puisse voir directement les âmes ! Evaluer le hasard, le destin, le passé et l’avenir, en même temps. Et savoir ce qui se passe partout, intuitivement, à chaque instant.
S’il faut passer par les messagers et les prophètes, les anges, pour entendre de Dieu la parole et en faire des écrits. Je passerai si c’est trop tard par le roi, pour lancer un mot, un cri. Ce n’est ni un blasphème ni une impudence. Oui, qui trouverais-je comme vivant pour passer la consigne, le vœu du moins, la requête et la supplique ? Celui de voir les crédos confirmés et les miracles réalisés. Retrouver le courage la force physique et la santé morale !
ALORS QUE CE PASSE-T-IL ?
Pourquoi sa législation et ses conseils de morale et de comportement, de règles communautaires, qui nous régissent, nous ses créatures et ses hommes, ne sont pas suivies correctement ? Où c’est que le bas blesse ? Les ânes têtus ou les bêtes inintelligentes que nous sommes? Nous les grosses légumes!
Supposés porter des charges élogieuses et élitistes pour certains natifs de la cuisse de Jupiter. Nous les animaux inférieurs et autres plantes, que l’on bouffe et que l’on écrase, clouées sur terre ou sous le poids des fardeaux harassants, comme sommes comme des bêtes de somme. Humiliés, esclaves nous végétons encarcanés, plantés à l’intérieur de frontières semi-poreuses et glauques. Nous vivotons, conditionnés et ferrés, piégées et englués par des lois de prédateurs. Des lois imposées à nos geôliers, mondialisés par des lois, inexistantes pour les races arrogantes, les saigneurs doués d’identités supérieures. Gardiens
Mon Dieu si je peux Te parler directement, prière et confidences obligent, ce n’est pas le cas pour les êtres supérieurs qui nous commandent de près ou d’en haut.
EXCUSEZ DU PEU,
Oui les pessimistes peuvent être heureux : Ils ont raison car ils sont seuls. Et si en dehors de leurs ordres et collèges, ils sont légions, chacun est horriblement seul. ‘’Egotistement’’ isolé et livré à soi seul. On les entend dire merde à leur vie, celles des autres y passent en premier, avec force ressentiments existentiels. Face à cette solitude vraie, ils vivent le calvaire. Ils vivent le déchirement et incarnent le caveau où enterrés, ils s’effritent d’eux-mêmes. Ils sont désagrègent alors qu’ils sont encore en vie.
Allez savoir des hormones, de la culture, de leurs situations matérielle, religieuse ou psychique, ce qui livre leur esprit et leurs idées à la noirceur! Un corps à corps ahurissant, fixe l’être singulier et le séquestre dans un isolement de proie que l’on coure. Le voilà Devenu dépouille errante, spectre contagieux de noirceur, avec tellement de fiel, de ressentiments, de haines et de rancœur. Le premier facteur de cette mélancolie doit être, à mon sens, la solitude ou les causes de celle-ci. Dont l’incompréhension avec autrui, la rigidité des jugements et des concepts.
AUX PREDATEURS
S’ils se reconnaissent et qu’ils aient le temps de lire…Toi qui me manges, sait-tu qu’à on dernier carnage, sur ton autel, on va t’immoler. Et de loin les autres planètes entendront tes soupirs ! Toi qui te réveilles de nuit pour m’épier et m’adorer, as-tu lu mon livre, avant tes délires et ton apostasie. Toi qui parles d’humanité, d’esprit, d’âme élevée et de citoyenneté, toi qui exiges des autres, courage et sacrifice, que donnes-tu comme exemple aux autres de parmi tes subalternes ?
Ni conscience ni mémoire, ni savoir ni science, individus labiles et friables, instables et fragiles, sans prestance ni estime de soi. Anomalies de la nature ou simples spécimens ? Sans aucune personnalité que les apparences, l’arrogance en affiche, ils osent se défier à la place de Dieu en avilissant sa création. Sévices et méchancetés sur les gens, meurtres en série et crimes. Autosatisfaction, autodépréciation, autocensure, auto-consumation, égoïsme et érotomanie, allant jusqu’à conseiller l’indicible forfaiture. La solitude du pouvoir, apprend aux monstres des gestes indignes des fauves et des pensées de haines envers leurs proies.
HOMMES DE POIGNE ET DE POUVOIR
Ce n’est pas possible du fait des contraintes des freins et des barrières imposés. Les cascades prohibitives des autorités, leurs respectueuses obligations et intimidantes fonctions. Eloignées et austères, ils n’ont pas le temps et ils délèguent en cascade. C’est ainsi que je ne peux parler avec mon roi ni avec les sultans antérieurs ou les présidents voisins. Le dialogue est inhibé et imposable par tant de respect et de barrières. Et puis, ils ont leur conseillers, leurs confidents, leurs hommes et leurs
MOI ET TOI
Je suis un admirateur, un fan, un laudateur. Epoustouflant, ahurissant ! Voilà, je viens de découvrir un tas de choses : la nature ! Voilà ce que je vois en moi et autour ! Trop choses. Un milliards de nos vies ne peuvent cerner ce que Tu as créé sur cette terre. Sans parler de ce qui est supposé avoir été fait ailleurs. Là haut là-bas, hier et demain encore. Pas besoin de faire le touriste pour zyeuter ces prodiges ! Ni de lire par Bible pour croire ! Et je T’admire pour la nature, les choses, la physique, la chimie de la vie, la beauté en toutes choses et ce qu’il y plus que la vie. C’est sûr qu’il y autre chose de plus que la vie, la terre, les richesses, la puissance, l’amour, le paradis, cette galaxie, la Voie Lactée, l’univers ! Je n’ai pas besoin de Tes prières, effarées et sans ferveur, hypocrites ou déconcentrées ! La prière erre entre les demandes expresses, les miracles et les louanges. Nous sommes ainsi, louches et si imparfaits, bon Dieu !
LE BAMBOU
Que reste-t-il des ombres sur le mur de mes feuilles ballotées par le vent ? Qui les voit, qui les enregistre et les interprète ? A quoi servent-elles enfin ? A qui offrir ses couleurs ses pétales de fleurs, ses cris de joies et ses larmes de bonheur. Moi je ne donne ni fruits ni fleurs ! Je suis fier de ma taille ! Et inutile aux hommes ? Je suis le bambou, adossé seul, face à ce mur, sans chaux ni blancheur, comme un condamné. Autour de moi mes frères ont été coupés. Mes ancêtres arrachés mes racines sous l’acide fondues. Si ma cime valse sous rouge des nuages et se dore au soleil, le vent caresse ma crinière et me donne encore quelque zèle pour lire mes feuilles éplorées. C’est par là que je scribouille l’alphabet de Dieu en dialecte berbère ! Et j’attends de Dieu Son verbe même si le roi ne m’a rien entendu ni compris de ce que je sens pour lui.
Le berger des hommes est aussi le jardinier des plantes. N’est-ce pas ? Alors je vais rester planté là, assoiffé, face à ce parlement fictif, fort de ma constitution. Je ne suis ni électeur ni politicien. Je ne souffle ni sédition ni révolte, je vais rester là, placide et livide, seul et incompris, détaché comme un spectre en peine qui veut défendre la forêt. Jusqu’à ce qu’il ait compris ou qu’un mal humain me rende à Dieu et m’emporte.
Mais, né sur cette terre, assigné à ce sol, que je garde solide grâce à mes racines, je puis ni m’enfuir ni voler pour me sauver vers vous. Vous qui me comprenez. Ces sables au cœur aride, n’ont ni verdeur ni mont où me cacher. Ployé, j’attends la bourrasque qui va casser ce tronc, au lieu de le caresser. Moi, je ne donne ni fruits ni fleurs ! Je resterai vertement érigé, si le prince me veut dans son jardin m’adopter. Plutôt que de me laisser crier dans son zoo dont on arrache les âmes.
DELIRE MAJEUR EN SOUS-SOL MINEUR
Le soleil s’est couché, le roi est absent pour raison d’état ou de santé. Dieu qui le protège et le soigne, n’est pas sorti des nuages pour me parler ou m’informer. Mais je vois des insectes, des papillons et des cafards, voltiger. Ils butinent autour de mes feuilles jaunies. Je n’ai rien à leur offrir. Mais un oiseau les surveille et vient subitement tenter de les gober. Il tente encore une fois. Un moustique entre par la fenêtre au moment de la fermer.
Est-ce un nuage devant mes yeux simplement ? Allons de ce pas fermer le robinet et se laver pour prier. Les nuages sont d’un rouge écarlate presque violet. Un tableau signé par un maître…C’est qui déjà ? Combien coûte-t-il aux collectionneurs ? Où sont mes trois milliards, mon cher roi ? Combien pour ce paysage ? Ce pays sage ? Ils sont tous quelque part, mais chacun est seul, face à face à son corps, son âme ou ses maladies ! Ses tourments ses insomnies, ses examens ou ses rêves !
PAR DELA LES NUAGES
Je pense à ces milliards de chiens et de bêtes, qui tuent ou qui volent. Ils se reconnaîtront par delà le style. Je pense à ceux qui aboient ou qu’on bouffe. Je pense à ces milliards de milliards de feuilles et à leurs cellules aussi. Celles qui respirent encore ou qui tombent en poussières d’atomes pour étancher les racines… Chacun se repait à sa manière pour recycler la vie. Qui un bol de lait ou de riz, qui un chien ébouillanté, des insectes ou un rat, qui un chat ?
Là on tente de dormir dans des cabanes de fortune, en pleines capitales des pays où les richards, en milliards et leurs milliards fugitifs, ne se comptent pas ! Là Obama se réveille pour diriger son monde, flanqué de sa sémillante brune. Poutine, l’empereur russe se sépare de la blonde sienne après trente ans. Il a dû trouver une plus jeune pour rafraichir sa vodka. Des gays s’en donnent du similaire à cœur joie ! Avec, sans pudibonderie s’érigera la loi, afin de les marier entre mâles compères et commères !
Là, le Dictateur reprend des villes en ruine après le largage de bombes sur ses révoltés ! Là des chefs d’états sont en train de partir vers l’autre rive du Hadès ! Ici des chanteurs les précèdent pour leur donner le « La » de l’Au-delà ! Là, on s’élimine entre bons musulmans, pour des prunes ! Plus proches, ces indélicats des civilisations supérieures, qui tuent les gens différents pour leurs poils, leur sexe, ou leur bon plaisir. Pères, mères et amis passent par les armes et/ou sous la bite ! Gros mot. Sacrilèges, profanations et blasphèmes, au nom du dieu Eros qui ne connait plus les frontières entre les Faunes ni les liens tabous du sang.
ERRANCES ET DELIRES
Et ce nuage, à qui obéit-il ? Sait-il où il va et où vont tomber ses gouttes? Quelle source va sourdre. Quel fleuve qui ira grossir et les crues qu’il va causer ? Sait-il les feuilles flétries qu’il va reverdir et quels blés il va lever pour te nourrir ?
Dans quel bain il va couler ? Est-ce dans cette piscine ou de cette douche ? Quel vin marocain va-t-il couper et pour quel sérum il sera utile. Sait-il de quelle mer il va s’évaporer et dans quel ciel il s’élèvera encore ? Et sur quels motifs de dentelle et sur quels tons ondulera son aura ?
BAUDELAIRIEN ?
Plus épris des américains qu’aptes aux moyens d’y accéder pour les singer. A l’ombres des crachats, entre l’île spumeuse qui flotte et les gravats des miasmes culinaires, une méduse pâmée se déambule dans les eaux que la chasse coincée n’arrive pas à chasser. Non, ce sont les restes d’un cafard écrasé. Inaptes pour voler, ses ailes font de la voile. Impossible à ses six bras cassés de nager.
Eclatées, ses pates aux épines effroyables et affreuses, tremblent, donnant l’impression qu’il tente de rejoindre les bords du précipice glissant. Ses ailes frétillent dans le courants des eaux. Il tente de se retenir, en vain. Le courant l’attire inéluctablement vers l’oued et les fosses marines. Et celui prostatique et impuissant, en hoquets spasmés de cascades fébriles sur le marigot, l’embaume de tiédeur en le poussant vers le néant.Qu’-avons-nous, aussi puissants que nous pensons être, de plus que de ces fourmis, ces guêpes et ces blattes que nous écrasons.
CHIMERES ET INFLUENCES
Il ne reste de la chienne que les chiots et les mouches et les cafards qui bourdonnent autour sur leurs reliquats, pour donner vie à cette impasse. Nulle moustique femelle pour me sucer jusqu’aux sangs et me faire suer en dormant. Nul film sur l’écran pour me passer ce cafard ! Nos télés ont fait leur reddition. Faut-il au FMI de les fermer aussi ? Ni informations de valeur ni loisirs attachants pour chasser l’obsession qui nargue la conscience et terrorise les instants. Le comble de l’ennui est de se passer de nuit. Durant la nuit, avec un appareil handicapé. Je parle du PC, de l’Internet, de l’oreille ou de la jambe, des pannes et des maux qui vous plombent et qui vous irritent.
Je reviens sur les mots de la petite, qui nourrie de dessins animés où les figures des héros sont tordues, trouve son vieil ancêtre » beau ». Les divagations et les délires poétiques ou mystiques, sont moins graves quant à leurs impacts que les erreurs de jugement.
A force de divagations, on finit par se réveiller et quitter fatigués le lit, les idées fantasques qui sont contraires à la logique dans les rêves eux-mêmes. Mais d’aucuns, dans la réalité elle-même, continuent leurs frasques et leurs fantasmes, leurs fantasmagories, en dépit du bon sens.Certitudes politiques, économiques, sociales ou religieuses, menées de mains de maîtres, par ces titans élus et ces surhommes hérités de l’histoire qui appellent les troubles et les suscitent. Et pas seulement sur ceux de l’esprit qui les couve, mais plus largement encore, avec leurs impacts et leurs impertinentes impostures sur les destinées et le comportement de millions de gens. Influences maladives et médiocres, tyranniques sur leur sérénité, leur évolution, leur vie et leur juste place entre les hommes. Voire devant Dieu et les hommes!
S’il s’agit de menée à connotations religieuses, extrémistes et autres arrogances et suprématies identitaires fermées, c’est pire pour nous. Qu’en dire des occidentaux qui nous détestent ? Exemple pour illustrer ces délires ? Il n’y a qu’à voir ce qui se passe sur le dos des chefs dès qu’ils vident le fauteuil présidentiel et les ministres de l’Hexagone, qui décriés, ont su profiter sordidement de leurs statuts et berner les leurs. Et nous avec ? C’est sûr ! Et puis d’autres, les Américains, qui ont mené des guerres sur bien des pays pour étendre leur omnipotence et leur pouvoir Impérialiste sur les destinées et la quiétude des autres peuples qui ont le malheur d’avoir du pétrole, par exemple, ou une position géostratégique particulière.
Alors pour éviter les cafards, évitez de les regarder flotter dans leur égo. Evitez de les sortir de leurs égouts ou de jalouser leurs pouvoirs, leur liberté de voler et leurs fortunes apparentes.
La connaissance fait partie des sciences et celles-ci se poussent mutuellement à se compléter et à se dépasser. Des gènes invisibles et insatiables nous gouvernent de leur chimie invincible. Ceux-là au moins nous unissent aux autres êtres de la planète. L’homme, si puissant et nanti en Occident, par rapport aux autres, ses ancêtres restés plus faibles dans leur berceau africain, se réveillera-t-il un jour pour rendre à ses cousins, un peu de leurs biens, de leur parenté et de leur estime ? Universalité, démocratie, libertés, sans discriminations, ni entraves sur ces deals ! Le rêve invisible d’un mythe mensonger ? Le rêve de casser les frontières de discriminations, d’égoïsme et de haine, qui nous écartèlent et de les éclater pour fraterniser!
A BOUTEF, MADIBA ET OBAMA
Voici une petite conclusion de cette énième chronique différée de Mme Student. Le vaisseau fantôme quitte le quai. Obama n’a pas pu voir son héros. Mandela est à deux pas du départ. Par respect pour les siens et pour le héros africain, Barak n’ira pas le voir dans cet état de délabrement et de défaite intime. Ainsi vont les hommes, les plus grands.
Il a coulé, naufragé. En cherchant faute d’île, quelque esquif pour s’y accrocher, il a disparu. Robben Island, ta prison Mandela, c’est est loin maintenant ! Mais l’Iraq, la Syrie, l’Afghanistan, le Pakistan, c’est maintenant ou jamais. Pour le monde et pour Barak Obama ! La paix ou le néant. Le mat est tombé sur la cabine du capitaine. Je suis affaibli, on me dit malade, vieilli. Doit penser Boutef. Qu’on me laisse en paix, prendre ma tasse de café ! Sans trembler ! L’as-tu laissée aux autres maghrébins, ingrat, déloyal ? Ou » héros du niet » incompris ! Résurgence d’une époque, d’une école, en train de passer ?
Cet autre d’élastique, est devenu un proscrit. Le fugitif est maintenant proscrit. L’âme vainement tente de rajeunir un corps physique rabougri. Maintenant, après ses dernières larmes, il a fondu. Et à la place, c’est un trou béant excavé. Il s’est évadé, exilé entré en lui, comme un transfuge, un émigré. Ou qu’on l’ait volé ? Ou qu’il ait implosé ? Vanité, que reste-il de la vie, quand vas la quitter !
Que laisseras-tu Boutef ? Des frontières belliqueuses entre des frères divorcés ? Ils se voient chaque jour à travers les créneaux des bastilles hélas imposées par des militaires, chatouilleux et plus que nantis ! Des kaisers dont la plupart sont morts ou qui devenus trop vieux, n’auront laissé à leurs fils que l’orgueil des nouveaux riches, l’incompréhension narquoise, la haine héritée et les partis pris imposés !
Que reste-t-il comme attaches, au couple maghrébin ? Un souvenir du colon, un torchon de langues imposées, puzzle vite anéanti ? Un réquisitoire fait de langues archaïques, des langues flammes, un capital qu’on ne veut pas oublier ? Une religion haïe, un schisme millénaire en dilacération ? Epitaphe ensanglantée d’une civilisation, mais fer de lance contre les discriminations et les racismes identitaires en vogue ? Une mémoire absente, trahie, délavée ? Renégats de nous-mêmes, l’Alzheimer rend insalubre et dissoute, la personnalité !
Maghrébopathie congénitale. Les plaideurs ce sont tus. Il ne reste du réquisitoire que récriminations et remugles, comme regrets. A la place de l’amitié et du bonheur, il n’y a plus rien à glaner…Cynisme et pessimisme conjugués. De connivence avec l’étranger qui nous réprouve et vilipende, on rit de nous-mêmes, oublieux de ce que nos ancêtres ont été.
On l’a volée la vie. Il y a un trou à cet endroit, sans échos. Un vide qui absorbe les échos. Un trou noir qui avale tout ce qui se rapproche de lui. Je cherche les doigts qui essayaient de le tenir hier et de s’y agripper pour s’y ancrer aujourd’hui. Ils se sont penchés, ils sont perdus aux aussi ! Plus de doigts, plus de membre, plus de bras, non plus. Dissous, jusqu’aux épaules. Il ne reste que le tronc, vide, avec au milieu un oubli. Tout est vanité.
Que reste-t-il des vivants d’hier, Napoléon, César, les Pharaons, monsieur Morsi ? Et de ceux d’aujourd’hui, Marzouki, Erdogan, Benky ? La baisse des valeurs, des hommes, de leurs libertés, la hausse du coût de la vie et celle des prix ? Avec ça, pour qui veux-tu que j’aille voter, mon frère ?
Je n’habite nulle part, je n’ai plus de corps, je n’ai plus de pays ! Demandez au facteur, avant qu’il ne quitte avec le bon Dieu, la patrie ! Au fait pourquoi que j’écris ? Ce sont les mêmes idées qu’on ronronne ailleurs ou que l’on crie ! Et le bon Dieu a lu ma lettre avant que je ne l’écrive pour la hiérarchie !
Dr Idrissi My Ahmed
Kénitra, le 30 juin 2013LES CHRONIQUES DELIRECTUELLES DE MME STUDENT
Questions étêtées et remarques acaudales
Le destin, le hasard, la liberté des actes, les responsables et les banalitésA PROPOS DES FACTEURS INSIGNIFIANTS
Qui fait et qui sait ce que nous renvoient comme pensées ces images composites, ces dessins sur les carreaux et ces lignes qui craquèlent les murs ? Ils nous adressent d’indicibles alertes. Des caricatures qui attirent l’attention. Des messages infraliminaires. Alors on s’accuse d’hallucinations pour ne pas être taxés d’esprits tordus ou obscènes. Pour ne pas tomber non plus dans le délire dément et les errements mystiques. La futilité des taches, des lignes, des signes et des couleurs, troublent l’esprit de certaines personnes. Ces repères ludiques, d’une puissance inconnue, jettent leur dévolu sur l’imagination et la dirige vers des interprétations fantasques ou magiques. Ces scénettes suscitent des émotions ou des conduites qui dictent aux hommes sensibles des symboles de l’inconnu, voire des présages sur leur destin, leur temps ou les lieux de leurs actes. On ne peut répondre à ces questionnements avec raison ni parfaite logique quand on sait que le hasard existe. La science est une chose, la connaissance des aléas est une autre. Facile d’oublier ce qui est petit et nul, rapide, virtuel ou futile ! Mais l’homme, raisonnable qu’il est, ne perçoit que ce qui est réel, grand, immense ou important, puissant ou magnifique. Ces fantasmagories sont-elles des mièvreries et des balivernes !
EXEMPLES TRASHS : DE L’INFINIMENT PETIT A L’EXTRÊMEMENT CON
Ces miaulements et ces aboiements, ces vrombissements des motos et des voitures, ces bruits et leurs échos, de nuit comme de jour, ont-ils un sens aussi ? Ou que ce ne sont que des nuisances, muettes et inoffensives, sans lendemains métaphysiques ? Et puis, dans cette même impasse, hier si calme, ces excréments ? Et ces tableaux irréalistes de détritus, jamais ramassés. Et en guise de couronnes pour nos illustres »ménagères municipales », ces ordures !! Sont-ce des messages ou des marques de sous-développement culturel, inciviques?
Et puis, ce cadavre de chien que dévorent quatre chiots, chiant et chialant, sous le regard satisfait de leur chienne de mère ? Et qui pue et qui empeste à étouffer les flammes de l’enfer pour en chasser les démons.
Faut-il lire dans leurs tâches sur le sol, l’avenir de ces hommes qui rivalisent et se combattent pour des maroquins ? Ces lutins et ces activistes d’hier, qui se hissent aux commandes suprêmes pour éviter la dérive post-printanière à leur pays et le naufrage de leur gouvernement de compromission ou de coalition ? Comme on lirait sur les lignes de la main d’une sorcière griffue, la fin d’une légende. Sur les cartes d’un géographe amnésique les frontières intérieures au sein d’une seule nation, qui se fait la guerre froide, sur ses frontières à demi closes de leur firmament ? Ou à la vue du sillage d’un vol d’oiseaux aveugles, la fin d’une bataille ou d’une exception ? Sur le plat d’une omoplate de mouton de l’Aïd, la chute d’un sultanat ! Ou encore sur la chute des osselets romains la fin de l’empire américain ?EXEMPLE DEUX
Puis cette chaussette qui déglingue la colonne vertébrale au moment de l’effiler aux pieds et ce papier qui traîne et qu’il fallait ramasser, tard dans la nuit, au moment d’éteindre l’ordinateur, mais qui vous déchire les lombes à vous faire pleurer de douleurs. Et ces douleurs et ces insomnies, puis le lendemain, la voiture mal stationnée, du fait des douleurs qui vous interdisent de vous retourner pour placer le véhicule plus loin. Puis les fatigues, les dépenses, les piqures antalgiques, les prélèvements de sang, les interventions pour récupérer votre bien, qui est ramassé et mis en fourrière, malgré le macaron, qui donne un droit coutumier de stationnement partout, s’il y a urgence.
Peuchère ! Il y a des monstres de la corruption, des bourreaux du travail, des éducateurs (sic) qui ne respectent que le strict droit ? Le PV ou la sanction, à tords et à travers, la compréhension, l’éducation, le pardon la résilience c’est pour les autres ! Et quand par hasard vous faites la connaissance du gardien, vous sachant médecin, il profite de l’opportunité pour vous parler de sa maladie du ventre. Et ces autres bonhommes de la fourrière, pour vous squatter une communication GSM ou pour vous voler votre phone ? Ok pour le phone, Ok pour le PV ! A cause de ce périple ingrat à travers les événements bénins et ingrats et s’il vient en consultation votre bonhomme, quel genre de maladie vous allez découvrir chez lui ?
Voici donc des actions mineures et sans importance qui peuvent altérer le décours d’une journée ou provoquer un évènement plus grave. Découvrir une connerie chez le bonhomme de la fourrière qui dépasse celle du policier…
Et s’il n’y a pas assez de sérénité, de réflexion et de retenue, faire votre crise du cœur! Invectiver et responsabiliser la Municipalité d’un quelconque Ben Machin. Un ponte local qui ne gère point ses aires de stationnement. Encore que l’inattendu soit inévitable ! On ne sait jamais ce que les élections nous hissent comme membre influent dans ces cloaques de manants ! Alors du calme mon âme, si tu pilote encore ce corps, devenu vieux et ingrat ! avec à tous les râleurs et les contestataires pour ne pas se faire piéger par leur propres humeurs. Retenez ce paragraphe qui nous sera utile pour la suite des événements.REFRAIN EN GUISE D’INTRODUCTION
Incompris, mal aimé, jalousé,
Trahi, méprisé, sédentaire, isolé,
Écroué dans la solitude et les peines,
Il est prisonnier de la chair, enferré,
Dans le carcan des peurs et des haines.,
Son regard se lève vers le ciel,
Sur l’étoile filante qui fuse vers la lune,
Il fait un vœu pour respirer.
Un espoir ultime,
Une prière dans la nuit,
Il voit l’étoile verte sur fond rouge,
S’imprimer pour mieux scintiller.THÉORÈME DES MICRO ÉVÉNEMENTS
L’univers ne s’est pas fait tout seul. Immense, beau, époustouflant, super intelligent, plein de maths, de physique et de chimie. Le cosmos n’est pas le fruit du seul hasard. Il est impensable que Dieu ne soit pas au courant des petites choses et des micro événements. C’est une question de savoir, de gestion et de vérifications du déroulement des destins à l’intérieur de cet édifice. Ceci, afin de ne pas avoir de surprises du côté des hasards. Et surtout pour ne rien laisser passer à côté, dans le registre prescrit des destinées et des réactions aux actes décrétés.
L’interpénétration des lois universelles, dont les automatismes biologiques, avec le jeu des libertés concédées, est une certitude. Ce fait, à la limite, responsabilise les humains.
Dieu doit tout savoir pour demeurer omniscient et d’être constamment tenu au courant des choses et des événements, fussent-ils minimes. Cela afin de prévoir même les petites ‘’activités’’, aussi insignifiantes que peuvent être les mouvements des atomes, ceux des rayonnements, des molécules ou de nos pensées les plus intimes.
Oui, nos pensées sont des réactions chimiques qui se produisent au sein de nos neurones. Des actions mineures ou inattendues peuvent se produire et s’impliquer. Leur intervention est le fruit des hasards qui vont s’imbriquer dans les grands actes. Ces actions font que la chance existe et que des incidents, fortuits, modulent nos degrés de libertés et interfèrent sur nos conceptuelles destinées.QUESTIONS
Qui peut gérer et définir, voir et retenir, destiner et parfaire ces cieux et ces mers ? Ou sont-ils autonomes et indépendants ? Qui peut régir les êtres et les choses de cette terre et ces cieux, sans faillir ? Qui peut décréter et dominer ces milliards d’astres qui scintillent, les sphères qui emplissent le vide et peuplent l’univers ?
Quelle puissance peut voir les choses infimes ? Percevoir les idées intimes de chaque être ? Interpréter ses rêves, ses pensées et ses peurs ? Décider de la paix, des meurtres et des guerres ? Ressusciter ces belles formes ou ces ignobles créatures ? Loger au paradis les meilleurs et peupler de méchants les enfers ? Jusqu’à interagir et moduler nos petites affaires ou de plus grands événements.
Qui dispose des êtres infimes, de leurs atomes et molécules, des lieux et du temps, qui s’étendent vers l’infini, sans limites ni mesures ?
Qui disposer de ces êtres imparfaits et incompris ? Inconscients de ce qui les fait agir et fonctionner, inconscient de ces usines qu’ils renferment dans leurs propres corps. Ignorants d’où ils sont venus, avant de naître, de ce qu’ils vont devenir avant de disparaître ou de réapparaître.OPINIONS ET PRATIQUES BANALES
Toutes ces poussières dans les roues, ces fumées de bus qui émanent sans respect des règles et qui envoient leurs vents dans vos narines et dans atmosphère…Ces nuées aux formes hallucinantes qui passent, se déchirent et se fendent pour fondre en vous aspergeant de leurs eaux en plein mois de Mai. Les plantes en vivent, vos rhumatismes se réveillent des suites des changements impromptus du temps…
Et tu vois, effaré, les reflets des nuages sur les vitres de ce nouvel immeuble qui ondoient comme les vagues qui bouillonnent sur les eaux. Dieu fasse qu’il n’arrive rien de grave aujourd’hui…Le sentiment de hasard, le mystère, la mystique, viennent des choses que l’on ignore et que l’on ne commande pas. Comme les agitations politiques, les manipulations des hautes sphères politiques qui interfèrent sur nos vies, nos destins. Ce que nous allons manger ce que nous allons entendre, lire ou faire. Ils nous instrumentalisent et nous manipulent, agissant vertement ou à notre insu sur nos gouvernements, nos pays, leurs finances, leurs chefs, entretenant des états de paix ou laissant les dérives ou les provocations les pousser vers les guerres. Il faut bien nourrir leur industrie et la haute finance, ce par quoi ils gouvernent et dirigent le monde.
Et cette danse splendide. Cette marche, innocente, qui ondule les fesses chastes au rythme d’un chef d’orchestre. Lequel ? Son cerveau et sa mécanique ou vos yeux assoiffés de verdeur et de romances ? Allez la reproduire, l’écrire ou la retenir ! Allez transcrire ces mouvements sur une portée musicale ! Allez deviner leur effets sur autrui et sur son comportement ! Mais là, votre mauvais œil a fait chuter la jeune fille sur le trottoir ! Ou est-ce seulement à cause des débris que le bâtiment en construction rejette sur le trottoir en dépit du respect des normes et de la sécurité des gens.
Puis ces klaxons arrogants et perfides comme des injures méprisantes qui font tressaillir de peur les passants. Et encore cette musique inexorable qui sort en braillant des cafés populaires, surchargée de tabac, pour polluer vos ouïes et vos poumons !
Le brouhaha, les cris de ferveur qui scandent ce but qu’on vient de marquer sur l’écran. Celui d’une quelconque équipe étrangère qui trouve ses supporters ici dans nos quartiers, sur les strapontins des cafés justement. Enthousiasme et passion qui marquent les fans étrangers de ces super héros et champions !Les nôtres ne méritent que le persiflage et les changements immédiats, et à gros frais, de leurs entraîneurs, vannés par la malchance ! Ou le destin ? Qui viendra après les déboires du prochain sélectionneur, un autre druide, un autre Merlin ? Les gladiateurs enflamment et surexcitent les hooligans qui hissent les couleurs de ces équipes devenues les leurs, de par le satellite et la télé, la mondialisation ! Leurs équipes, mais aussi leur nation, soldant les rares attaches qui les obligent envers leur cité ou leur propre pays. Cela me déçoit par civisme, la rage au cœur.
Je préfère aux jeux de ballons et aux faux athlètes et gymnastiques, ces fêtes de Mawazine et autres manifestations musicales et culturelles des régions. Je préfère ces divertissements et ces festivals. Je préfère leur ferveur et leurs dépenses à celles des ballets aux absents. Ces bâilleurs au parlement. Ivres de démocratie, chanvrés aux opiacés ou aux éthyliques, qu’ils se déshabillent ou s’insultent exceptionnellement, le problème est plutôt dans le financement de leurs retraites. Je parle des ministres partant comme des parlementaires absents. C’est mon opinion, quoi qu’en disent les hautes sphères et les plus savants.
Cette mèche de cheveux, volontairement rebelles que la présentatrice au long cou écarte de son front pour attiser les spectateurs. Et ce sourire retenu, cette prestance, cette diction, ce visage taillé dans une statue d’Aphrodite, cette autre star des infos. que retiennent les anges de ces images télévisuelles et de ces discours creux, pour les transmettre à Dieu ?
Un sifflet retentit et d’un geste, la main du policier qui fête l’anniversaire de la Sécurité Nationale, vous indique de laisser passer une file de piétons, perdus, sans feux ni lumières. Et sans trottoirs, le plus souvent !
Mais, qui s’occupe de ces feux et de ces lampadaires allumés de jour et de nuit ? Ou qui signale ces oublis et ces lampes qui manquent ostensiblement ? Ces manquements banaux sont des témoins éteints qui nous démontrent la paresse crasse et la nonchalance de certains de nos régisseurs ! Que retient le badaud et comment le dit-il à son pétillant Président, à son respectable Wali ou à son aimable Pacha ?
Comme ces arbres manquants et ces trous trop présents, ces crevasses des avenues, ces caniveaux béants, découverts ou bouchés, complètement ! Un fil électrique pend de cette banque banchée sur ses couleurs agricoles, tout près d’une flaque d’eaux évacuées, salement déversées par des tuyaux de climatiseurs, sur de ces carreaux abominablement manquants. Quelle bonne pub pour l’honorable banque du centre ville et pour cette ‘’vile’’ ? Zut, ville ! Et ce tas de voitures qui occupent le trottoir adjacent, ostensiblement, impudemment, impunément, sous les yeux glauques de messieurs les agents !IMPRÉCATIONS
Depuis que j’ai vu le jour, de veilles en insomnies, j’ai hanté mes nuits de cauchemars, comme un spectre sans mission, perdu entre deux mondes et ce que je suis. Moi ou toi, c’est pareil. La même chose, sur le plan du questionnement ! Y a pas que nous sur ce globe, voyons les autres sphères !
Quid des autres dictateurs et autres mâtons qui trahissent leurs pays et leurs frères ? Ils créent des foyers de guerres, suscitent des insurrections civiles, des conneries de guerres cyniquement froides, mais déplorablement fratricides, entre voisins ! L’histoire est pleine de ces méfaits, qui font fortune encore, superbes pour leurs concepteurs et tellement… humains !
Et ces immondes tyrans qui ternissent la civilisation ? Cet autre a été acariâtre, grognant et tellement râleur, tellement méchant et mauvais coucheur, qu’on se demande comment il a pu rester dans cette dépouille. L’un des corps qu’il a honnis, le sien. Comment a-t-il a pu habiter si longtemps dans un macchabée pareil, le sien ?
Son cadavre a empoisonné toutes les bêtes affamées et les insectes qui ont osé le goûter. Il est tellement abject que Dieu a préféré perdre une partie de Son âme immortelle, plutôt que de le ressusciter !
Les empereurs, comme tous les despotes et les putschistes ne sont pas des immortels. Où est le corps du sémillant Kaddafi, celui de Bel Ladden cimenté dans les eaux ? Celui de Hitler, jeté comme cendres sur son holocauste ? Leurs peuples et leurs nations, ont-ils profité de leurs dérives ? Non, puisque des retombées négatives ont pollué l’humanité et l’on ternie tout entière. Avec ce qu’on sait des horreurs qu’ils ont semées et des foyers de guerres consécutifs à leurs méfaits, qui restent allumés et constants, après leurs départs. Je parle de d’Israël, de l’Afghanistan, de l’Irak, de la Libye et de l’Iran. De leurs chefs assassinés et de leurs saigneurs !
»On va tous crever », comme dit l’autre, mais d’aucuns sont déjà morts de leur vivant ! On le souhaite pour d’autres qui persistent, ostentatoires, à vouloir écraser les vivants… La personne est unique et on n’a qu’une vie. Allez voir la télé du côté des guerres, entre frères, pour lesquels il faut d’autres guerres pour les raisonner et les séparer !LAISSONS LES CORPS, VOYONS LES ÂMES ET LES HUMEURS
L’âme est le ciment invisible et irremplaçable du corps. Elle garde l’organisme fonctionnel, entier, unique et conscient de son ego, vivant.
La chasse d’eau aboie et broie les cafards qu’elle vomit dans leurs caniveaux, noyant de nos reliefs indigestes les blattes en détresse. Même le couvercle est engluée de crottes de geckos. Attention à vos têtes, ils sont encore là. On vous shoote même d’en haut.
On nous humilie et on nous malmène même dans les endroits les plus secrets. Quand ce ne sont pas les chiens, ce sont leurs maîtres qui nous poursuivent emplissant nos vies de cauchemars et de cris. Et l’intimité, la plus banale, n’est point un moment de paix. Assujettis, aliénés, sans libertés vraies ou assumées, nous ne sommes guère responsables de nos conduites, des stupides aux plus effrénées. Car autrui est là pour s’immiscer et interférer.
Entre la fenêtre et la rue, coule un bruit de fond incessant qui souffle comme un réacteur ou un vrombissement de bateaux. Comme des vagues sur les rochers, leurs chocs incessants font trembler les structures de la vallée. Les échos du roulage des voitures, sont pareils à des flots déchaînés, qu’un enfer d’injures ou d’imprécations ne saurait arrêter !
Il fait jour enfin. Une cigogne flotte en mal de repères, noyée par les faces hideuses des immeubles du Bar Lev de ce quartier. Si elle réussit à s’échapper des odeurs et des fumées, il n’est pas sûr qu’elle retrouve son nid. Une pensée admirative pour Chirac.
En mal de mer, elle se prend pour un pic bœuf et se pose sur » le dos d’une voiture » pour picorer des insectes. Une mouette en errance a remonté le fleuve, l’oued ! Elle ondule avec les vagues nauséeuses sans rencontrer de pâture ! Car la centrale thermique a tué toutes les espèces de poissons. Elle a besoin d’eau pour refroidir ses propres moteurs !
Les chiens d’ici-bas, devenus plus nombreux que leurs pourris de maîtres, s’affairent autour d’un plastic, comme certains dans une cène d’orient. Ils arrachent du cadavre de leur congénère des bouts de chairs marron qu’ils avalent ou mastiquent quand ils sont plus gros, comme vous, des caramels !
J’aurais aimé que ce soit dans la chair de ces violeurs et assassins de fillettes qu’ils puissent s’affairer. Cette Wiam de Sidi Kacem, dont le visage a été lacérée par vingt deux coups de faucille. Cette Fettouma de trois ans que l’autre a découpée avant de jeter le corps inerte dans la rue de Taroudant. Et Salima disparue à Agadir, âgée de 4 ans.
Et puis et pire, dans les pays où l’on s’entretue entre »bons musulmans », des patriotes par-dessus le marché…Les Guerres de Religions et les Croisades ne sont donc jamais finies ? Elles apportent la honte sur les leurs, leurs religions, leurs convictions, leur identité, leurs civilisations, leurs coreligionnaires, leurs cultures. On tue pour des leurres et des erreurs. On tue pour des couleurs de peau et des crédos. On tue pour des idées et des traditions différentes. On tue pour le prestige, pour le pouvoir, pour l’argent, pour les ressources, pour le pétrole ! On discrimine, on élimine pour une opinion quasi similaire, une tribu voisine, simplement. Mais là, on tue aussi pour un mythe : notre humanité ! Pourtant Dieu, autour duquel il y a discorde, n’y est pour rien évidemment.DES CADRES ET DES ELUS
Toi, tu veux que ce soient les Boumendjel et autres Bouciseaux qui leur servent de méchoui ? Des rompus et des voleurs. Bêtes et hommes, les prédateurs doivent leurs biens et leurs vies à ceux qu’ils massacrent.
Plus que l’argent et les honneurs, le travail ou la bouffe, le logis ou l’école, ce sont la justice et leurs simples droits que réclament les-leurs. C’est la dignité et la fierté qu’ils veulent sauvegarder comme un simple bonheur. Que font les Picsous, ceux qui ont beaucoup d’argent et qui exilent cet argent à l’étranger ? Ont-ils si peur de la paix qui règne ici et de l’évolution de leur pays ?
Les richesses subtilisées de leur pays, ôtées de son économie, ne serviront plus jamais à ce pays, qu’ils ont trahi et honni, tout en y restant accrochés sur le clou de Djoha. J’ha ! Et qui plus est, ils n’ont pas besoin non plus de cet argent, ce magot spolié et caché ailleurs. Ce sont donc des biens subtilisés et spoliés dont ils ne profiteront jamais. Ce qu’ils claquent à tort et à travers, ici, est pourtant utile à l’économie du pays ! Ce qu’il leur suffit comme pèze, est toujours là, à leur disposition. Eux-aussi restent là, présents de corps, évidement. Mais ce qui est ailleurs est de trop. Ils n’ont en guère besoin, puisqu’ils vivent déjà, très bien sans l’utiliser.
Assez de critiques ! Les meilleurs d’entre-nous vivent de chair. Les abattoirs sont nos autels ! Et nous immolons chaque jour des milliards d’êtres, à travers la terre. Les meilleurs d’entre-nous n’ont qu’à regarder à l’intérieur d’eux-mêmes pour cesser de toiser autrui avec superbe ! Non pas l’esprit ou l’âme, absent ou élémentaire, mais ce qui transite en tonnant dans leurs entrailles. Les mets les meilleurs et les plus chers se transforment en quelque chose que je ne veux pas décrire ! Oui, c’est ça !
Les fous lâchent leurs viscères sur le trottoir. Qu’ils ne vous fassent pas perdre votre équilibre ni rigoler de vous voir glisser dessus. Car, en allant participer aux élections, afin de faire vos besoins civiques, il est des murs qui vous mentent. Des affiches qui vous mettent dans les panneaux et qui vous induisent en erreur ! Citoyen lambda, vous êtes leur victime propitiatoire, n’allez pas vomir ! Vous êtes consommé. Un consommateur, un consommable, qui n’a pas besoin d’urnes à remplir.
Vous êtes comme ce macchabée de chien, dont se repaissent ses semblables. Le cœur effaré, la nausée, les vomissements retenus, vous êtes l’agneau de ces bêtes, vos congénères. Après un long supplice qu’ils ont besoin de sentir et de vous voir supporter, vous êtes leur victime dévolue et propitiatoire. Apre destin qu’à la naissance on vous a inoculé puis inculqué. Une offrande de fête, la leur de fête, qu’il leur faut immoler. Soit d’un seul tenant, un mouton. Soit un âne qu’il faut débiter et se laisser offrir, par tranches. A chaque fois un membre, sauf que ça ne repousse pas ! Les ogres sont des cannibales. Ils sont parmi nous. Benky n’a-t-il pas dit de se méfier des crocodiles et des démons?DESTINS HASARDS ET LIBERTÉS
J’en veux au hasard et au destin de conspirer, de comploter et de conspuer, de vous juger et de vous châtier, alors qu’ils vous piègent et vous poussent dans des travers pour ensuite vous réprimander et vous reprocher d’y être tombés…Aliénés, enchaînés, peaux de bananes sur terre. Comme des snipers, ils vous tirent comme et vous mitraillent pour vous admonester quand vous tombez.
De l’espace, de cette fente qui sert à la sphère de visière, aux anges et à Dieu certes, un rayon de soleil, un filet de lumière pénètre, enfin, pour chasser la nuit et s’enquérir sur ceux qui dorment encore….
Il ne s’est pas arrêté de briller, de fumer et d’exploser notre soleil, pour nous envoyer de la lumière et de l’énergie. Assez pour donner de la vie à ces poussières…Nous autres. Comme cette sciure de bois qui s’envole d’une machine-outil et scintillent dans la chambre sombre en montant. Que nous ne serions sans le soleil ? On ne se verrait pas .On n’aurait ni yeux ni de visières.
Ouvrez la boîte, laissez-y pénétrer ces autres formes de lumière, l’amour et le savoir ! La vie, qu’il faut protéger et peut être aussi ce Pays. On n’a pas un autre berceau à défendre. Et, la prémunir cette Nation ouverte et hospitalière, de la nonchalance et des manœuvres des sauriens, des slogans des aventuristes et des populistes. Des clans et des cryptes qui le retardent et le fragilisent, alors que cet Etat nôtre, doit faire face à tous les défis. Face aux tergiversations, face aux jalousies, face aux vindictes et aux ignominieuses prédations.DR IDRISSI MY AHMED, KENITRA , LES 26 MAI 2013