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Pour juger sur pieces, voici ce texte
Face aux intimidations islamistes, que doit faire le monde libre ?
par Robert Redeker
Les réactions suscitées par l’analyse de Benoît XVI sur l’islam et la violence s’inscrivent dans la tentative menée par cet islam d’étouffer ce que l’Occident a de plus précieux qui n’existe dans aucun pays musulman : la liberté de penser et de s’exprimer.
L’islam essaie d’imposer à l’Europe ses règles : ouverture des piscines à certaines heures exclusivement aux femmes, interdiction de caricaturer cette religion, exigence d’un traitement diététique particulier des enfants musulmans dans les cantines, combat pour le port du voile à l’école, accusation d’islamophobie contre les esprits libres.
Comment expliquer l’interdiction du string à Paris-Plages, cet été ? Étrange fut l’argument avancé : risque de «troubles à l’ordre public». Cela signifiait-il que des bandes de jeunes frustrés risquaient de devenir violents à l’affichage de la beauté ? Ou bien craignait-on des manifestations islamistes, via des brigades de la vertu, aux abords de Paris-Plages ?
Pourtant, la non-interdiction du port du voile dans la rue est, du fait de la réprobation que ce soutien à l’oppression contre les femmes suscite, plus propre à «troubler l’ordre public» que le string. Il n’est pas déplacé de penser que cette interdiction traduit une islamisation des esprits en France, une soumission plus ou moins consciente aux diktats de l’islam. Ou, à tout le moins, qu’elle résulte de l’insidieuse pression musulmane sur les esprits. Islamisation des esprits : ceux-là même qui s’élevaient contre l’inauguration d’un Parvis Jean-Paul-II à Paris ne s’opposent pas à la construction de mosquées. L’islam tente d’obliger l’Europe à se plier à sa vision de l’homme.
Comme jadis avec le communisme, l’Occident se retrouve sous surveillance idéologique. L’islam se présente, à l’image du défunt communisme, comme une alternative au monde occidental. À l’instar du communisme d’autrefois, l’islam, pour conquérir les esprits, joue sur une corde sensible. Il se targue d’une légitimité qui trouble la conscience occidentale, attentive à autrui : être la voix des pauvres de la planète. Hier, la voix des pauvres prétendait venir de Moscou, aujourd’hui elle viendrait de La Mecque ! Aujourd’hui à nouveau, des intellectuels incarnent cet oeil du Coran, comme ils incarnaient l’oeil de Moscou hier. Ils excommunient pour islamophobie, comme hier pour anticommunisme.
Dans l’ouverture à autrui, propre à l’Occident, se manifeste une sécularisation du christianisme, dont le fond se résume ainsi : l’autre doit toujours passer avant moi. L’Occidental, héritier du christianisme, est l’être qui met son âme à découvert. Il prend le risque de passer pour faible. À l’identique de feu le communisme, l’islam tient la générosité, l’ouverture d’esprit, la tolérance, la douceur, la liberté de la femme et des moeurs, les valeurs démocratiques, pour des marques de décadence.
Ce sont des faiblesses qu’il veut exploiter au moyen «d’idiots utiles», les bonnes consciences imbues de bons sentiments, afin d’imposer l’ordre coranique au monde occidental lui-même.
Le Coran est un livre d’inouïe violence. Maxime Rodinson énonce, dans l’Encyclopédia Universalis, quelques vérités aussi importantes que taboues en France. D’une part, «Muhammad révéla à Médine des qualités insoupçonnées de dirigeant politique et de chef militaire (…) Il recourut à la guerre privée, institution courante en Arabie (…) Muhammad envoya bientôt des petits groupes de ses partisans attaquer les caravanes mekkoises, punissant ainsi ses incrédules compatriotes et du même coup acquérant un riche butin».
D’autre part, «Muhammad profita de ce succès pour éliminer de Médine, en la faisant massacrer, la dernière tribu juive qui y restait, les Qurayza, qu’il accusait d’un comportement suspect». Enfin, «après la mort de Khadidja, il épousa une veuve, bonne ménagère, Sawda, et aussi la petite Aisha, qui avait à peine une dizaine d’années. Ses penchants érotiques, longtemps contenus, devaient lui faire contracter concurremment une dizaine de mariages».
Exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran.
De fait, l’Église catholique n’est pas exempte de reproches. Son histoire est jonchée de pages noires, sur lesquelles elle a fait repentance. L’Inquisition, la chasse aux sorcières, l’exécution des philosophes Bruno et Vanini, ces mal-pensants épicuriens, celle, en plein XVIIIe siècle, du chevalier de La Barre pour impiété, ne plaident pas en sa faveur. Mais ce qui différencie le christianisme de l’islam apparaît : il est toujours possible de retourner les valeurs évangéliques, la douce personne de Jésus contre les dérives de l’Église.
Aucune des fautes de l’Église ne plonge ses racines dans l’Évangile. Jésus est non-violent. Le retour à Jésus est un recours contre les excès de l’institution ecclésiale. Le recours à Mahomet, au contraire, renforce la haine et la violence. Jésus est un maître d’amour, Mahomet un maître de haine.
La lapidation de Satan, chaque année à La Mecque, n’est pas qu’un phénomène superstitieux. Elle ne met pas seulement en scène une foule hystérisée flirtant avec la barbarie. Sa portée est anthropologique. Voilà en effet un rite, auquel chaque musulman est invité à se soumettre, inscrivant la violence comme un devoir sacré au coeur du croyant.
Cette lapidation, s’accompagnant annuellement de la mort par piétinement de quelques fidèles, parfois de plusieurs centaines, est un rituel qui couve la violence archaïque.
Au lieu d’éliminer cette violence archaïque, à l’imitation du judaïsme et du christianisme, en la neutralisant (le judaïsme commence par le refus du sacrifice humain, c’est-à-dire l’entrée dans la civilisation, le christianisme transforme le sacrifice en eucharistie), l’islam lui confectionne un nid, où elle croîtra au chaud. Quand le judaïsme et le christianisme sont des religions dont les rites conjurent la violence, la délégitiment, l’islam est une religion qui, dans son texte sacré même, autant que dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine.
Haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est éduqué, le Coran. Comme aux temps de la guerre froide, violence et intimidation sont les voies utilisées par une idéologie à vocation hégémonique, l’islam, pour poser sa chape de plomb sur le monde. Benoît XVI en souffre la cruelle expérience. Comme en ces temps-là, il faut appeler l’Occident «le monde libre» par rapport à au monde musulman, et comme en ces temps-là les adversaires de ce «monde libre», fonctionnaires zélés de l’oeil du Coran, pullulent en son sein
c le texte de ce philosophe
à qui le tour la prochaine fois
et dernierement une mosqueé en balieue parisienne a été cible de tags
racistes personne n’en parle
les autorites musulmanes ou representants des musulmans en France font pas grand chose
Sujet: SQLI enfin a oujda
voila un article issue du magazine « Programmez »:
SQLI ouvre le tout premier centre offshore dédié Open Source
LOGICIELS [mardi 19 septembre]
Dans le cadre de sa stratégie de développement alliant taille et densité technologique, le Groupe SQLI renforce son organisation en
pôles spécialisés, disposant chacun d’une expertise technologique et/ou métier spécifique, et accompagne le développement de son
pôle dédié Open Source de Poitiers en ouvrant, en partenariat avec l’Université Mohammed 1er de Oujda, son premier centre de R&D
offshore régional. Prolongement logique de sa stratégie de développement initiée en 2002 alliant taille, forte densité technologique et
industrialisation des services, SQLI complète aujourd’hui son dispositif en se dotant de pôles spécialisés dans des technologies et/ou
des métiers, tels que la Santé, les Collectivités Locales, le MCO*/Logistique, le Conseil (sous la nouvelle marque Sqli Consulting), la
Formation (Sqli Institut).
Dans le droit fil de cette stratégie et en s’appuyant sur la forte expertise de la société Lnet Multimédia, acquise en 2005, SQLI
dispose aujourd’hui d’un centre dédié Open Source situé à Poitiers. Cette organisation vise à accélerer la politique d’industrialisation
du Groupe, dans une logique de Qualité Totale (CMM-I), de productivité optimale et de rentabilité renforcée.
Historiquement composé de collaborateurs issus des milieux universitaires, que la culture R&D a fortement sensibilisés aux enjeux de
l’Open Source, et très présent au sein des collectivités territoriales, le centre de Poitiers s’est tout naturellement spécialisé sur les
technologies Open Source. Son expertise lui permet aujourd’hui de proposer aux entreprises des solutions ouvertes pragmatiques,
alliant performance et compétitivité, dans le respect de son engagement premier : la satisfaction pleine et entière des besoins des
entreprises.
A ce titre, la combinaison de l’Open Source et de CMM-I représente un atout majeur. Afin de renforcer ce pôle Open Source, SQLI a
souhaité se doter d’un centre de R&D / offshore et a signé une convention de partenariat avec l’Université Mohammed 1er située à
Oujda, au coeur d’une région privilégiée : l’Oriental marocain. SQLI bénéficie sur place, au sein même de l’Université, d’un vivier de
ressources de très haut niveau de qualité (la région étant réputée pour le niveau élevé des mathématiques), et de locaux
entièrement équipés (salles de développement, de formation, de réunion, de conférence…) avec les technologies les plus avancées,
dans l’enceinte de l’ENSA (Ecole Nationale des Sciences Appliquées). En contrepartie, SQLI met une plate-forme e-learning à la
disposition de l’Université ; les Experts du Groupe interviendront dans le cadre de formations spécifiques (ex. : CMM-I) et pourront
enrichir les cursus scolaires de modules complémentaires. SQLI participera également aux manifestations de l’Université autour des
NTIC et de l’Innovation. En étroite collaboration avec l’Université, SQLI contribuera ainsi au développement socio-économique de
l’Oriental en tant que vecteur d’emploi et promoteur de l’essor industriel local.
Pour concevoir ses solutions, SQLI a mis en place un laboratoire d’essais, disposant d’une plate-forme de tests et de démonstrations
(accessible aux collaborateurs du Groupe mais également aux clients) : le LabOS.
Sa vocation est :
– d’identifier les futures applications Open Source de référence dans des domaines non encore matures mais dont la demande est de
plus en plus forte, telles que le CRM, le groupware, etc. ;
– de développer de nouveaux composants venant enrichir les noyaux Open Source les plus prometteurs ;
– de créer des solutions packagées de pointe et de les diffuser auprès des clients du Groupe, s’inscrivant ainsi parfaitement dans la
stratégie d’industrialisation de SQLI.
Le centre de R&D et offshore de Oujda est d’ores et déjà opérationnel : recrutés et formés durant l’été aux standards de qualité du
Groupe (bonnes pratiques de développement, CMM-I, etc.), les collaborateurs travaillent actuellement sur les premiers projets Open
Source offshore ; par ailleurs, des missions conjointes de R&D, fédérant les Ingénieurs SQLI et les Universitaires sont sur le point de demarrer