Résultats de la recherche sur 'No pub'

Forums Rechercher Résultats de la recherche sur 'No pub'

15 réponses de 1,111 à 1,125 (sur un total de 1,183)
  • Auteur
    Résultats de la recherche
  • Alain
    Membre

    INTRODUCTION
    Avant de créer une association, il y a une méthode à mettre en place, des erreurs à éviter, des étapes à respecter.
    Par exemple : on ne définit pas les moyens avant de savoir exactement ce que l’on va faire.

    Citation à retenir : Ils parlaient inlassablement de l’itinéraire, mais ils n’avaient pas définit leur destination …….

    Avant de créer quoique ce soit, il est d’abord indispensable de se poser la question : Est-ce que ça n’existe pas déjà ?

    Tant pis pour la mégalomanie et l’auto satisfaction de l’apprenti créateur.

    Il est souvent plus utile de rejoindre un dispositif existant, même imparfait, que de créer une autre structure. Comme toujours, il est préférable de venir compléter des forces existantes que de se battre tout seul.
    Evidemment, encore faut il que les mêmes buts soient partagés.

    Après avoir vérifier que rien n’existe et qu’il faut donc créer une structure, la question qui vient ensuite est : Quels sont les objectifs à poursuivre ?

    A ce stade, il faut savoir rester modeste.

    Les moyens dont va disposer l’association sont forcément limités à sa création.
    Alors, il est inutile de vouloir tout régler d’un seul coup. Il est préférable de préciser les limites de son action, plutôt que de vouloir tout faire en même temps …. au risque de ne rien faire du tout.
    Il est important de distinguer les niveaux d’intervention. S’attaquer au développement économique, dans toutes les directions, de la ville d’Oujda est une tache qui n’est pas à la portée d’une association créée par de simples individus.
    Pour s’attaquer à ce vaste problème général, il faut mettre autour d’une même table les différents acteurs, les élus et les partenaires de la vie économique au niveau de la ville, de la région, des délégations ministérielles, des institutions financières…. Faire travailler ensemble tous ces gens est extrêmement difficile. Nous pouvons éventuellement nous joindre à eux, si nous y sommes conviés …. Et si nos compétences sont reconnues par ces différentes autorités
    La complexité de ce genre de problème ne relève pas des capacités des citoyens que nous sommes.
    Pourquoi ne pas s’attaquer au développement économique de l’ensemble du Maroc…. Et du continent africain tant qu’on y est…..

    L’ambition, c’est bien…. Le réalisme c’est mieux.

    Une autre voie plus à notre portée est possible. Il s’agit d’imaginer des actions précises, plus modestes, plus limitées. Des actions qui peuvent se réaliser sans attendre des années avant de trouver un accord, avant de trouver dans quel cadre de financement elles s’inscrivent.

    Ces actions mise bout à bout contribuent à leur mesure au développement.

    Par exemple :
    – Créer une association de formation et d’alphabétisation des femmes abandonnées avec enfants à charge.
    – Créer une structure d’accueil et d’hébergement de familles en difficultés.
    – Créer une association d’aide à la recherche d’emploi.
    – Faire du suivi scolaire pour enfants de familles en difficulté.
    – Créer un centre de formation et d’apprentissage pour adulte en reconversion professionnelle dans une catégorie de métier.

    Ces actions ne sont que des exemples, il y en a bien d’autres.

    Elles sont précises, définies et trouvent un environnement juridique et organisationnel qui s’inscrivent dans un cadre plus général qui participe au développement local.

    Pour obtenir une crédibilité auprès des populations, des acteurs locaux, des instances de financements, il est impératif de cibler très précisément les actions que l’on souhaite entreprendre.

    Sauf à trouver (avec beaucoup de chance) des mécènes généreux, toutes ses actions doivent trouver un financement public. Il est donc impératif de connaître parfaitement les dispositifs mis en place par les autorités afin de trouver les lignes budgétaires correspondantes.

    Il est donc totalement indispensable de démarrer par une sérieuse étude des besoins.

    Etude de besoin, étude marché, peu importe le terme. Mais c’est bien la première étape.

    (à suivre)

    #213512
    Alain
    Membre

    Bonjour al-mansi,

    Quelques rectifications :

    La « commune de Paris » n’est pas une guerre civile entre communistes et capitalistes. C’est la tentative de prise de pouvoir de la population parisenne contre la présence de l’armée prussienne dirigée par Bismarck.

    Pour mémoire Napoléon III avait déclaré la guerre à la Prusse sans aucune préparation, et la Prusse envahit la France. Son gouvernement conduit par Adolphe Thiers (et par toute une bande d’incapables….) laissat défiler les prussiens sur les Champs Elysées ce qui déclencha une insurection populaire.

    Les revendications de la la Commune de Paris étaient le retour à la République, le départ de l’envahisseur prussien et la fin du régine corrompu du Second Empire.

    Tout se termina dans un bain de sang. Les « communards » (et non pas les communistes….) furent exécuter pour la plupart, les autres condannés au bagne ou à suivre l’armée française dans ses expédition colonniales.

    Il ne manque pas d’ouvrages qui traitent de cette question, si celà t’interesse je pourai t’indiquer de bonnes sources bibliographiques.

    Quand à mes opinions politiques, je pense effectivement que tu fais fausse route.

    Avoir une forte sensibilité sociale, lutter contre les inégalités, contre toutes les formes d’oppression, contre le racisme…. ne sont pas les marques du communisme.

    Je me sens appartenir aux forces du progrès…. et c’est déjà pas mal.

    Pour ce qui concerne le débat sur l’économie, je te suggère d’ouvrir un débat sur le thème : quelle alternative à l’économie capitaliste ?

    Par avance, ma réponse sera : l’économie de marché existe, c’est un fait incontestable (comme la mondialisation) et je m’efforce d’en atténuer les effets négatifs pour les populations les plus défavorisées (à la mesure de mes faibles moyens….)

    Voilà, j’espère avoir répondu à des différentes questions .

    A bientôt. Cordialement

    al-mansi
    Membre

    Salam tout le monde,
    le maroc est livré aux étrangers…vous le croyez ou pas, comme vous voulez.

    il y a eu un long débat ici concernant le complexe FADESA à saidiya..il y a eu ici des gens induits en erreurs ou plutot culturellement aliénés qui ont cru qu’il s’agit des investissement touristiques chez nous, et ben vous payez et on paie tous le prix de notre silence…

    voici une publicité tirée du journal français « le monde » du 04/06/2006 page 9….vous pouvez le trouver aujourd’hui dimanche ou demain dans les kiosque du Bv Mohamed 5. (je fais un peu la pub 🙄 )

    7 millions m² du terre marocaine appartient désormais à FADESA l’espagnol….

    j’ai jamais cru qu’un pays peut vendre ses terres…mais au maroc on l’a fait.

    #207604
    Ali
    Membre

    slt tt le monde je pense que monsieur immigre critique juste ali ? c marrant.
    je te jure si j’avais un baton magique demain tu trouvera pas difference entre oujda et boston .

    je pense un oujdi d’oujda et un oujdi qui reside ailleurs sur un meme objectif ya pas de difference entre nous.


    prenons par exemple la sociation a tetouan s’est une association former des gens d’affaire homme intellictuelle et dans un peu de temp ont reussis de faire venir des invesstisseures et de bon projet qui ce sont entraint de se realiser.

    en plus comme tt les elus a oujda sont mkallkheene (bon a rien). ils essayent pas de faire moderniser leur region avec des festival bien organiser avec des publicités international ou des exposition mondiaux pour donner une nouvelle air a notre region comme (casa, fes,ouarzazate, marrakech, tanger), en plus les gens d’oujda attendent seulement les nouvelle promesse du gouvernnement (ou mazal machaffna wallou ) a vrai dire s’afait 3ans ya pas de changement a oujda.

    si on parlle de l’association s’a me ferais un grand plaisir et a tt le monde de faire un plan et chercher les bon element pour qu’ils deviennent les pilliers de notre association.

    et arreton de cretique nous meme, on est sur un meme objectif et nous aimons notre region et notre pays .

    tout pour un et un pour tous

    #211116

    En réponse à : Oujda ville berbere ou pas

    Alain
    Membre

    Bonjour à tous

    Je prends la liberté d’intervenir dans le débat en faisant référence à ce qui s’est passé sur le même sujet en France.
    On peut comprendre les revendications identitaires des régions et leur accorder le droit de les vivre, de les célébrer, de les promouvoir.

    Le problème n’est pas de tenir compte des particularismes, mais le problème vient inéluctablement à celui de la langue.

    C’est le seul vrai problème car toutes les autres questions peuvent trouver des solutions

    Sans reprendre tout ce qui a été dit sur la fonction du langage qui est un autre débat, l’intérêt et la longévité d’une langue tient à 2 facteurs principaux :
    1) – Ses qualités propres.
    2) – Sa surface de couverture territoriale

    1) Les qualités propres.
    On voit bien (pour les langues qui nous sont les plus proches au regard de nos cultures) que certaines langues ont plus d’aptitudes que d’autres à suivre les évolutions de l’humanité.
    C’est un lien commun de dire que l’anglais est une langue souple, qui accepte facilement les modifications, et qui est donc utilisée pour son caractère d’utilité dans les échanges commerciaux.
    Le français est une langue plus rigide dans sa capacité à se transformer, mais c’est la langue qui possède le plus de synonymes, donc le plus de nuances, ce qui sera utile par exemple pour conceptualiser ou définir une abstraction.
    L’espagnol est une langue facile à apprendre de par son orthographe phonétique et sa grammaire.
    Nous pourrions multiplier les exemples.
    Pour parler de la langue arabe, sa principale qualité est d’être la langue d’une religion (aucune autre grande langue n’est dans ce cas à part l’hébreux), ce qui fait partager les mêmes concepts à un grand nombre d’individus.

    2) La surface territoriale
    Plus il y a d’individus qui parlent la même langue, plus les échanges entre eux sont favorisés.
    Il faut entendre par le terme échange, tous les échanges entre les hommes, aussi bien spirituels, sociaux, culturels, économiques, scientifiques…..
    Les pays porteurs des « grandes » langues l’ont bien compris et ont tous tenté d’étendre leur couverture territoriale par des moyens pouvant aller jusqu’à la violence pour développer ses zones d’influences.

    Ce que l’on peut dire rapidement et d’une manière générale, c’est que l’humanité aurait tout à gagner à ne parler qu’une seule et même langue.
    La tentative avec l’espéranto n’a pas donné grand-chose, car il est difficile de changer des siècles d’habitudes et de traditions, et d’enseigner une nouvelle langue alors même que nous sommes encore dans une époque où l’analphabétisme est encore bien présent, et que passer d’une langue à une autre implique obligatoirement de longues étapes de transition donc la maîtrise simultanée des 2 langues.
    Faute de pouvoir posséder une seule et même langue pour toute l’humanité, nous avons donc intérêt à avoir une couverture territoriale la plus importante possible.
    Des régions comme la Corse (surtout) ou la Bretagne ont revendiqué le droit à parler leur langue, la réponse de l’Etat a été la suivante :
    Possibilité de l’inscrire comme 1ère langue étrangère dans les collèges. Dans la pratique il y a peu de parents qui prennent le risque de supplanter l’anglais ou l’allemand par le corse dont on voit bien que l’utilité internationale est nulle.
    Finalement ce qui reste visible est que les panneaux d’entrées d’agglomération peuvent s’écrire dans les 2 langues…. Ce qui est sympathique et folklorique.
    Bien sûr toutes les publications privées peuvent s’écrire dans n’importe quelle langue.

    Pour ce qui concerne le Maroc, même si l’arabe n’est pas la première langue historique, il n’en demeure pas moins qu’à ce jour c’est la langue majoritaire, que c’est la langue de l’Afrique du Nord (qui constitue une entité, même si il reste encore des antagonismes et des différences), que c’est la langue qui est partagée par un très grand nombre d’individus dans le monde et enfin que c’est la langue d’une religion.
    Tout cela milite largement en faveur du maintien de l’arabe comme langue officielle et que les efforts d’alphabétisation lui soient consacrés en priorité.

    Cela étant dit, rien n’empêche les initiatives et la reconnaissance des faits historiques sur l’antériorité des populations et des langues. Notre trop fameuse expression « nos ancêtres les gaulois » ne nous empêche pas de parler le français et de respecter Vercingétorix (moins 32 ans avant J. Christ si ma mémoire est bonne).
    Bien que n’étant pas historien, j’ai toujours entendu dire que le Maroc était un pays berbère, ce qui n’est pas une insulte…. Hé bien admettons que c’est un pays berbère (si les historiens partagent ce point de vue) qui aujourd’hui parle l’arabe et qui ne renie pas son passé pour autant. Et passons à la question suivante qui est : que faisons-nous pour combattre l’analphabétisation des catégories sociales les plus défavorisées afin d’éviter son exclusion sociale ?
    Ne commettez pas l’erreur des corses qui sont entrés dans le cycle de la violence armée et où assez fréquemment se mêle terrorisme (sans vouloir entrer dans un autre débat sur la libération des territoires occupés, ce qui n’est pas le cas pour la Corse) et banditisme.

    Calme et sérénité à tous

    Pardon pour ce texte un peu long, mais le sujet est complexe et mérite développement

    #212313

    En réponse à : Les extraterrestres

    Anonymous
    Membre

    En fait voici le texte exact du verset coranique qui peut répondre à ton interrogation: « Dieu est Celui qui a créé sept cieux, et comme terre ce qui est semblable à (ces cieux) » (Coran 65/12). Le verset établit une similitude entre les sept cieux et la ou les terres.

    La première question qui se pose ici est de savoir sur quoi porte cette similitude entre les sept cieux et les sept terres ?

    Porte-t-elle sur la forme (ash-shakl), auquel cas le verset voudrait dire que Dieu a créé une ou des terres qui ressemblent aux cieux ; ou bien porte-t-elle sur le nombre (al-‘adad), auquel cas le verset voudrait dire que Dieu a créé sept terres comme Il a créé sept cieux ?

    An-Nawawî dit que la première réponse est peu probable (Shar’h Muslim, tome 11 p. 22). La similitude porte donc sur le nombre, le verset signifiant que Dieu a créé sept cieux et qu’Il a créé sept terres.

    Une autre question se pose ensuite : que représentent les sept terres dont il est question dans ce verset ?

    Certains savants sont d’avis qu’il s’agit de sept planètes « terre », séparées les unes des autres (ils n’ont bien sûr pas employé le terme « planète », mais c’est le terme contemporain qui semble correspondre à ce qu’ils ont écrit).
    Il y a un Hadîth qui mentionne explicitement qu’au-dessous de la terre sur le sol de laquelle nous vivons, il y a une autre terre, située à une distance de cinq cents années par rapport à notre terre ; en-dessous de cette seconde terre se trouve une troisième terre, située elle aussi à une distance de cinq cents années par rapport à la deuxième ; et ainsi de suite, jusqu’à la septième terre (rapporté par At-Tirmidhî, n° 3298). Ce Hadîth n’est cependant pas authentique d’après Al-Albânî.
    Et puis il y a une parole de Ibn Abbâs qui, en commentaire du verset « Dieu est Celui qui a créé sept cieux, et comme terre ce qui est semblable à (ces cieux) », dit : « C’est-à-dire qu’il y a sept terres. Sur chaque terre il y a un Adam comme votre Adam, un Noé comme votre Noé, un Abraham comme votre Abraham, un Jésus comme votre Jésus, et un Prophète (Muhammad) comme votre (Muhammad) » (cité dans Fat’h ul-bârî, 6/352, une version très voisine est citée dans Tafsîr Ibn kathîr 4/337). L’authenticité de cette parole fait cependant l’objet d’avis divergents (je vais y revenir), et Cheikh Thânwî écrit : « Etant donné que les savants prédécesseurs eux-mêmes n’étaient pas unanimes sur son authenticité, on ne devrait pas amener le public à croire qu’il est nécessaire de croire en cette parole ». At-Thânwî relate malgré tout l’explication que Al-Alûssî a donnée de cette parole de Ibn Abbâs : « Cela signifie que sur chacune de ces terres habitent des gens qui descendent d’un père unique, ce qui est un fait similaire au fait que sur notre terre les gens descendent tous de Adam. Et puis qu’il a existé sur chacune de ces terres des personnalités qui y ont eu une place éminente et similaire à celle que sur notre terre Noé, Abraham, etc. ont eue » (cité dans Bayân ul-qur’ân, tome 12 p. 18). Voici un très bref aperçu de la divergence existant entre les spécialistes quant à l’authenticité de cette parole de Ibn Abbâs :
    – selon Al-Bayhaqî, la chaîne de transmission de cette parole de Ibn Abbâs est authentique (Tafsîr Ibn Kathîr 4/337) ; Ibn Hajar a quant à lui authentifié une autre parole de Ibn Abbâs, plus succincte mais de même substance (Op. cit.) ;
    – selon Ibn Hibbân, par contre, cette parole est faussement attribuée à Ibn Abbâs (« mawdhû' ») (Rûh ul-ma’ânî, cité par At-Thânwî, Bayân ul-qur’ân, 12/18).

    D’autres savants pensent que les sept terres qu’évoque le verset « Dieu est Celui qui a créé sept cieux, et comme terre ce qui est semblable à (ces cieux) » sont tout simplement sept couches présentes sous nos pieds (fin de citation de l’avis de ces savants : cet avis pourrait désigner sept couches de l’écorce terrestre ou sept couches des profondeurs de la planète terre). Al-Bukhârî et An-Nawawî sont de cet avis (Al-Jâmi’ as-sahîh, bad’ ul-khalq – mâ jâ’a fî sab’i aradhîn wa qawlillâhi ta’âlâ Allâh ulladhî khalaqa sab’a samâwâtin wa min al-ardhi mithlahunna –, et Shar’h Muslim, 11/48). Ils se fondent pour cela sur le Hadîth authentique du Prophète : « Celui qui aura usurpé ne serait-ce qu’un empan de terrain le portera en carcan depuis sept terres » (rapporté par Al-Bukhârî, n° 3023, Muslim, n° 1610). An-Nawawî écrit : « Voilà clairement l’affirmation que les terres sont sept couches (« sab’u tabaqât »). Ceci correspond à ce que Dieu a dit : « Dieu est Celui qui a créé sept cieux, et comme terre ce qui est semblable à (ces cieux) ». »

    Si la parole attribuée à Ibn Abbâs parle donc bien, en commentaire de ce verset, de sept terres habitées par des sortes d’humains, son authenticité ne fait pas l’unanimité. De plus, au regard du Hadîth du Prophète rapporté par Al-Bukhârî et Muslim et que nos venons de voir, il est tout aussi possible que le verset parle tout simplement de sept couches de l’écorce terrestre. Malgré tout, je ne pense pas que considérer probable l’existence d’humanoïdes extra-terrestres contredise en soi un principe de l’islam, puisqu’un savant comme Al-Alûssî a clairement évoqué la probabilité de l’existence d’autres terres habitées (wallâhu a’lam, prière aux frères et aux sœurs compétents de me le dire si je me trompe). Ce que je dirai donc c’est que je ne sais pas si, ailleurs dans l’univers, il existe ou il n’existe pas des humanoïdes comparables à nous, vivant sur une planète comparable à la nôtre ; mais s’il s’avérait qu’ils existent, leur Créateur et Pourvoyeur serait aussi Dieu l’Unique et ils vivraient eux aussi l’épreuve de la vie avant d’être rétribués.

    Wallâhu A’lam (Dieu sait mieux).

    #212832

    En réponse à : bienvenu au forum oujdacity

    nediha_gawriya
    Participant

    merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii alaa, avec le boulo é les etudes jtrouve mm pa le temp pour moi en fait j remarké ke ya des profil ki s’enregistre ds le site mai ki son juste pour le publicité ou on dirai un truc de flood tu voi par exemple (clara2060 ou xxx1420) si tu voi leur profil ya tjrs un site web de pub !!!! c bizzare non

    #213443

    En réponse à : Le risque de tsunami au Maroc

    Alaa-eddine
    Participant

    Le système de prévision météo le plus avancé ne peut pas prévoir le climat avec « certitude » sur plus de 3 jours , et le terme certitude ici est très relatif !!!

    le site qui parle de cette catastrophe mele des phénomènes naturelles, du jargon technique et des images bidon pour lancer une théorie foireuse . . .

    pourquoi fait il ca alors ? tout simplement pour l’argent … hé oui 🙂
    le site est bourré de liens publicitères et meme le liens qui est supposé renvoyer ves le forum de discussion de ce sujet est un lien publicitaire !!!

    si le lien tombe entre vos mains lisez un seul paragraphe attentivement et vous vous appercevrez que ca ne tiens pas la route 😉

    et puis franchement mon frère hafid, je pense que tu es croyant et ce genre de choses on en entend toujours (la fin du monde sera tel jours, une catastrophe vas se produire tel jour, une météorite vas tombé sur tel ville tel jours ….) sauf que ca arrive jamais, personne ne peut prévoir l’avenir !

    Iznassen
    Membre

    Un des patrons de cette nouvelle radio qui émettra sur la bande FM est Ali Lazrak, un marocain originaire du Hoceima.

    Ci-dessous un article publié par le journal « Maroc-Hebdo » sur ce personnage.

    Ali Lazrak, député d’origine marocaine aux Pays-Bas

    Un Rifain imbattable

    Ali Lazrak est déterminé à tenir la dragée haute à ses ex-amis politiques, les Socialistes, auxquels il reproche leurs positions sur l’intégration des Néerlandais issus de l’immigration.

    Ali Lazrak ne jette pas l’éponge. Pris à partie par certains médias hollandais et exclu, mercredi 4 février courant, du groupe parlementaire de sa formation, le Parti socialiste néerlandais (PSN), ce député d’origine marocaine fait preuve, jusqu’ici, d’une grande force de caractère.
    Non seulement, il a catégoriquement refusé de céder son siège à ses anciens camarades politiques, mais il a décidé de créer son propre groupe parlementaire, qui portera le nom de son unique membre.
    «Le règlement intérieur du Parlement néerlandais permet à tout député exclu ou démissionnaire du groupe parlementaire de son parti de créer, s’il le veut, son propre groupe parlementaire », indique, dans un arabe impeccable, Ali Lazrak, joint par téléphone par MHI. Altier et fier, à l’image d’un Rifain pur jus, Ali Lazrak, natif d’Al Houceima en 1948, est déterminé à tenir la dragée haute à ses ex-amis politiques avec lesquels la rupture est désormais consommée. «Mon exclusion des rangs du parti n’est pas encore annoncée, mais elle est attendue, logique et inévitable », affirme-t-il.

    Réserves

    À la question de savoir comment les choses en sont arrivées là, le parlementaire avance deux séries de raisons : «Je trouve totalement absurde la caution apportée par le Parti au principe de dispatcher les gens de couleur, avec un pourcentage donné, sur les quartiers habités par les Hollandais de souche».
    Cette politique, motivée par le souci de favoriser l’intégration des immigrés, était, selon lui, possible, au début des années 1980, quand le nombre des étrangers étaient très limité, mais, aujourd’hui, elle serait irrationnelle, dans la mesure où les gens issus de l’immigration représentent entre 40 et 45% des habitants des principales agglomérations urbaines néerlandaises.
    Ali Lazrak formule également de sérieuses réserves sur d’autres aspects de la politique d’intégration prônée par ses anciens compagnons. Par exemple, il trouve décalée la position de ceux qui tentent de rendre obligatoire l’endogamie en Hollande. « Il y en a certains qui, sous le prétexte de favoriser l’intégration des immigrés, veulent s’opposer au mariage avec des étrangers ou des étrangères et, par là, contrarier le droit au regroupement familial en vigueur dans tous les pays de l’Union européenne», s’indigne le député.
    Mais, au-delà de ces questions, qui touchent le cœur du débat politique aux Pays-Bas, la mésentente entre M. Lazrak et ses anciens amis politiques portent sur un autre chapitre plus personnel.
    Le parlementaire d’origine marocaine a toujours refusé «d’obtempérer» aux règlements de son parti, qui l’obligeaient à verser la totalité de ses indemnités mensuelles (5 mille euros) à la trésorerie du PSN, qui se charge elle-même de payer un salaire de 2000 euros à chacun des neuf parlementaires de cette formation politique. Le chef du «groupe parlementaire Lazrak» entend désormais consacrer le plus clair de son temps à la promotion de sa propre vision de la problématique de l’intégration aux Pays-Bas. Il est sûr qu’il finira par l’emporter.

    Mésentente

    L’optimisme à tous crins de ce Rifain investi exclusivement dans le débat interne néerlandais, s’explique probablement par son endurance et sa détermination peu communes. Quand il était arrivé en 1971 à Rotterdam, Ali Lazrak n’avait rien qui le prédestinait à être une figure de proue de la politique aux Pays-Bas.
    Arrivé à ce pays dans le cadre d’accords bilatéraux maroco-hollandais sur la main d’œuvre, ce bachelier, issu d’une famille modeste, était un simple ouvrier. Il a travaillé dans une usine de fabrication de voitures avant de devenir serveur dans une chaîne des restaurants. Ce dernier boulot, révèle-il, lui permettra d’apprendre, voire de maîtriser, le néerlandais.
    Il devient plus tard un assistant social en charge des communautés d’origine étrangère à Rotterdam. En 1979, il se marie avec une Hollandaise de souche, qui lui donne trois enfants. Il devient journaliste en 1983. Il s’occupera, pendant seize ans, de l’édition arabe et rifaine de la radio hollandaise. Devenu rédacteur en chef au sein de cette boîte, mais surtout une figure connue et reconnue au sein de la communauté marocaine aux Pays-Bas, l’ancien ouvrier commence à être tenté par la politique. Ainsi, il intègre en 1996 le Parti travailliste, une petite formation de gauche, avant de jeter son dévolu, deux ans plus tard, par le PSN.
    Son ascension politique sera depuis lors fulgurante. Premier et unique Marocain à siéger dans le Parlement hollandais, Ali Lazrak, contrairement à d’autres d’immigrés issus du Royaume, garde une bonne distance avec les affaires de son pays d’origine. Il se définit volontiers et d’abord comme un Néerlandais. «Ce qui me préoccupe en tant qu’homme d’action, ce sont les problèmes des Pays-Bas», dit-il, en toute clarté.

    Source : mroc-hebdo

    Iznassen
    Membre

    Audiovisuel. Révolution sur les ondes:

    …Sur les onze licences proprement dites, il n’y a en fait qu’une seule chaîne de télévision qui a été autorisée à émettre. Sans surprise, l’unique licence de télé a été octroyée à Médi 1 Sat, le projet franco-marocain piloté par l’énigmatique Pierre Casalta, patron de Médi 1, et appuyé par l’hôte du Palais de l’Élysée en personne. La véritable libéralisation de l’audiovisuel est donc à chercher du côté des radios. En tout, dix nouvelles stations devront bientôt émettre dans différentes régions du pays. Kamal Lahlou, éditeur de presse et publicitaire, hérite de trois stations régionales couvrant respectivement Marrakech, Agadir et Fès. Abderrahmane Adaoui, célèbre présentateur du journal télé à la RTM puis à Abou Dhabi, fait son come-back à travers Radio Plus et Atlas FM, deux stations de radio basées à Marrakech et à Agadir. Casablanca n’est pas en reste, avec Likoulli Annass, une station dirigée par Rachid Hayek, un producteur musical casablancais. Les descendants de Abdelkrim décrochent également une licence avec une station rifaine, initiée par deux jeunes Maroco-néerlandais. Les licences de radios économiques reviennent, quant à elles, respectivement au groupe Eco-Médias (Assabah et L’économiste) et au très médiatique Thami Ghorfi (président d’une école privée de commerce). Reste l’outsider de la liste, le seul rescapé de ce que des sources proches du dossier appellent “le groupe de la mort”. Younès Boumehdi, fils du général du même nom, décroche la seule licence de station musicale multirégionale du pays. Face à lui, des poids lourds tels les frères Chaâbi, le puissant Mohamed Mounir Majidi et Jettou junior repartent bredouilles. Aucune explication du côté des sages. “La procédure a été scrupuleusement respectée et les projets largement défendus par leurs initiateurs. Tous avaient les mêmes chances de voir le jour”, explique-t-on.

    Source : Telquel

    +++++++

    Rabat, 10/05/06 – Le Conseil supérieur de la communication audiovisuelle (CSCA) a décidé d’octroyer onze nouvelles licences d’établissement et d’exploitation de services privés de radio et de télévision, indique un communiqué du CSCA.

    Cette décision, prise lors de la réunion plénière du CSCA, mercredi à Rabat, porte sur une télévision satellitaire d’information générale nationale et internationale, deux radios locales de proximité, couvrant respectivement les villes de Marrakech et d’Agadir et quatre radios régionales de proximité, couvrant respectivement les bassins d’audience de Casablanca, de Fès-Meknès, de Marrakech et d’Agadir.

    Il s’agit également d’une radio multirégionale musicale couvrant les bassins d’audience de Rabat, de Casablanca et de Marrakech, d’une radio multirégionale de proximité couvrant les bassins d’audience du Nord, du Rif et de l’Oriental, d’une radio multirégionale thématique (économie et finances) couvrant les bassins d’audience de Rabat et de Casablanca, et d’une radio multirégionale thématique (économie) couvrant les bassins d’audience de Rabat, de Casablanca, de Fès-Meknès.

    Cette décision, précise-t-on de même source, a été prise conformément aux dispositions du Dahir n 1.02.212 portant création de la Haute autorité de la communication audiovisuelle, et à l’esprit de la Loi n 77.03 relative à la communication audiovisuelle, notamment son préambule, et à l’issue d’une série de sessions de délibérations entreprises depuis le 7 avril 2006.

    Map.ma

    #212969
    dawy
    Membre

    Salut,
    Mr MLIH pourquoi vous étonner ,la mémoire sélective est quasiment un sport national.
    Critiquer uniquement pour le plaisir de critiquer,génère à coup sur le contraire de l’effet éscompté.
    Le salopard de salmane rushdi a beneficié du meilleur support publicitaire en la personne de khomeiny avec sa fameuse fatwa(prime) d’1 million de dollars.
    Le resultat est connu de tout le monde.
    Si cette prime a été dévolue à la plume musulmane,pour démolir par l’écriture et non par l’assassinat ce residu de la communauté musulmane,il n’aurait jamais eu droit à tous ces égards.Des égards dignes d’ un chef état.
    Ce n’est qu’un exemple parmi d’autres.
    Libre à chacun de voir le film ou pas.Un film qui ne refléte en somme qu’une des réalités de notre pays.Qui a été étalée au grand jour.On a l’habitude de dire STAR MA STAR ALLAH.N’est ce pas le contraire nous dérange.
    *************************************************************************************************************************
    Un hadith du prophète MOHAMED (SAAWS) disait JIETOU LI OUTAMMIMA MAKARIMA L’AKHLA9.Donc certaines valeurs preéxistaient avant l’avénement de l’islam.
    Ce qui veut dire pour (moi) qu’on a ni le monopole des valeurs ni celui des vertus.

    #213021
    Iznassen
    Membre

    @K – EL – H wrote:

    ا ….فهل تتصور يا أخي ازناسن ان الأمازيغية ستصبح في يوم من الأيام لغة علم ، ولغة اختراع داع ، ولغة اعلاميات ، …..فانت تعلم جيدا ان حروف هذه اللهجة يستحيل ان تتحول في يوم من الأيام الى لغة حاسوب ولغة اعلامية ولغة علمية انه من باب المستحيلات ….بل ان هذه الحروف ليست اصلا حروف امازيغية …فنحن الأمازيغ لم تكن لنا ابدا حروف …فهذه الحروف هي حروف فينيقية .. وراجع جيدا الأنتروبولوجيا والدراسات الأنتروبولوجية وستقتنع اننا معشر الأمازيغ لم تكن لدينا لا حروف ولا يحزنون ….فلا ينبغي ان نتشبث بالسراب والخرافات والأساطير .. وانني اتحداك ان تعلم ابناءك الأمازيغية فقط ولا تعلمهم لا العربية ولا الفرنسية ولا الأنجليزية وسترى نتائج ذلك انك ستخلق منهم اناس ما قبل التاريخ …..يا أخي ان لغة العلم والتكنولوجيا الآن هي اللغة الفرنسية ، واللغة الأنجليزية ، فبدلا من ان نعلم ابناءنا اتقان لغات العلم تريدون الرجوع بنا الى عصور ما قبل التاريخ …..بل صرتم تكنون العداء للأسلام وللمسلمين ، بدلا من تحمدوا الله على نعمة الأسلام ….. فكفى سفسطة ، وكفى مضيعة للوقت ، وكفى كلام فارغ والركب الحضاري قد انفلت من ايدينا …..فلسنا في حاجة الى من يفرض علينا هرطقات أكل عليها الدهر وشرب ….. وكن على يقين ان الذين يريدون خلق لغة امازيغية يعيشون في حلم سرعان ما سيستفيقون منه مذعورين ….. آنذاك سيتبين لهم انهم كانوا جد مخطئين وسيكون انذاك فات الأوان ….

    Pour vous répondre à propos de votre méprise de la lague de vos ancêtres, voici ce qu’il répond le recteur de l’IRCAM;, institut institué par Mohammed 6 pour la promotion de la langue amazighe.

    +++++++++
    L’héritage rupestre de la culture amazigh doit être préservé

    PHOTO: M. Ahmed Boukouss, recteur de l’Institut Royal de la Culture Amazighe.

    Le recteur de l’Institut Royal de la Culture Amazighe (IRCAM), Ahmed Boukouss, a souligné que l’héritage rupestre de la culture amazighe « doit être préservé du vandalisme dont il pâtit actuellement un peu partout », estimant qu’il devrait être promu au rang de patrimoine de l’humanité.

    Dans un entretien publié samedi dans le quotidien Libération, le recteur a fait cette remarque en plaidant la pertinence du choix porté sur l’alphabet Tifinagh pour l’écriture du Tamazight. « Il représente l’écriture de nos ancêtres.

    Des vestiges de l’art rupestre disséminés un peu partout à travers l’espace marocain montrent combien nos ancêtres ont fait preuve d’une intelligence rare et d’une ingéniosité remarquable pour inventer l’une des plus vieilles écritures de l’histoire de l’humanité », a-t-il souligné.

    « Pourquoi voulez-vous qu’on dédaigne ce patrimoine pour emprunter un autre alphabet ? », s’est interrogé le recteur, avant de poursuivre: « Cet héritage doit être préservé du vandalisme dont il pâtit actuellement un peu partout, et notamment à Tinzouline » (NDLR: près de Zagora). « Nous devons le promouvoir au rang de patrimoine de l’humanité et le protéger en tant que tel.
    Et il ne s’agit pas d’un patrimoine à reléguer dans les oubliettes des musées », a-t-il davantage plaidé.

    Selon M. Boukouss, l’IRCAM a modernisé cet alphabet, l’a codifié et l’a introduit dans les nouvelles technologies de la communication et de l’information. « C’est devenu un outil performant dont nous souhaitons une large implantation dans le paysage national », a-t-il insisté.

    Brossant un bilan des actions de l’IRCAM, le recteur a rappelé que l’Institut a commencé à fonctionner concrétement à partir de 2003, et qu’il a pu, depuis, « réaliser d’excellents choses, notamment dans les domaines de la recherche et de l’enseignement ».

    Constitutionnalisation de la culture amazighe

    Outre la codification du Tifinagh, a-t-il indiqué, les équipes de recherche ont commencé le long labeur de la standardisation de la langue amazighe et de la promotion de la culture amazighe dans ses différentes facettes. Il a affirmé, à ce sujet, que ce travail de standardisation « progresse de manière satisfaisante « , et que le dictionnaire de l’amazigh fondamental est prêt, la grammaire de référence et le manuel de conjugaison aussi.

    Pour M. Boukouss, assurer à la culture amazighe son insertion et son rayonnement dans l’espace social et culturel, ainsi que dans les institutions de l’Etat est l’essence même des prescriptions du dahir portant création de l’IRCAM. « Néanmoins, a-t-il commenté, sur le terrain, l’état de fait dénote un déphasage parfois abyssal qui trahit d’indécrottables réticences à sa tangible traduction ».

    « L’IRCAM, a-t-il ajouté, intervient pour interpeller les institutions concernées », précisant que de cette façon « de nombreux problèmes ont été résolus ». Dans ce contexte, il a rappelé que près de 70 associations amazighes se sont réunies le 8 avril à Meknès, estimant qu’il s’agissait là « d’une mobilisation pour la constitutionnalisation de la culture amazighe ».

    Source : MAP

    #213112
    Iznassen
    Membre

    TIRAM N TMAZIRT
    NOUVELLE PUBLICATION DE L’IRCAM

    A l’occasion de la sortie du livre Tiram n Tmazirt de Mme Yasmine Lbaz (ouvrage publié par l’IRCAM), le CEAS a organisé une réception en l’honneur de l’auteur, le 05/05/06, à 09 h. Une occasion pour Mme Yasmine Lbaz de présenter son ouvrage, écrit entièrement en caractères tifinaghes.

    TIRAM N TMAZIRT est le fruit d’un travail de terrain. Mme Yasmine Lbaz y rassemble un ensemble de recettes de cuisine de la tribu des Aït Souab (Tamza). Un ouvrage donc utile, simple et accessible, avec des illustrations en couleur et le descriptif du cérémonial qu’implique la préparation des recettes. Une contribution louable dans le domaine des arts culinaires amazighe.

    Mme Yasmine Lbaz travaille dans le domaine de l’art culinaire à casablanca. Elle pense que la cuisine amazighe constitue un champ d’investigation qui contribuera à la promotion et au rayonnement de la langue et de la culture amazighes.

    #213111
    Iznassen
    Membre

    Par: Fatima Agnaou

    C’est le titre de l’histoire illustrée que Mme Fatima Agnaou (CRDPP) vient de publier. Ayant pour informateur M. Abdessalam Khalafi (CRDPP) et pour expertise linguistique MM. Hamid Souifi (CAL) et A. Khalafi, cette ouvrage, qui contribue à enrichir la gamme des supports pédagogiques de l’IRCAM, est écrit en caractères tifinaghes, avec des illustrations à valeur didactique.

    Destinée aux enfants mais aussi aux enseignnants de l’amazighe, cette publication témoigne du potentiel qu’offre la culture amazighe et sa capacité d’adaptation pour répondre aux besoins de l’opération de l’intégration de l’amazighe dans le tissu éducatif national. Nos sincères encouragements à l’auteur.

    #201437
    Iznassen
    Membre

    Le Centre des Expressions Artistiques, des Etudes Littéraires et de la Production Audiovisuelle (CEAELPA) vient de publier deux contes pour enfants, intitulés AFGAN D ULGMAD D INSI et IZM D WUCCN D TGHYULT. Ces deux publications sont le fruit d’un travail collectif : la collecte a été assurée par M. Rachid EL HOUSSAIN, l’expertise linguistique par M. Mehdi Iazzi, les dessins par M. Lhoucine ASSID et la réalisation a été faite par M. Ahmed AASSID, chercheur au CEAELPA.

    La publication des deux contes s’inscrit dans le cadre de la sauvegarde du patrimoine littéraire amazighe et du passage de la langue amazighe de l’oral à l’écrit. En outre, ces deux publications serviront de supports pédagogiques pour appuyer l’opération d’intégration de l’amazighe dans le système éducatif national.


15 réponses de 1,111 à 1,125 (sur un total de 1,183)
SHARE

Résultats de la recherche sur 'No pub'