Résultats de la recherche sur 'Nous et la vie'

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15 réponses de 871 à 885 (sur un total de 7,146)
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  • #273418

    En réponse à : Santé et drogues ????

    Salah2006
    Membre

    Zoom :Seul le juge est habilité à déterminer s’il y a erreur médicale

    Le plus étonnant dans la mort de Wafae Asli est que le patron de cette clinique esthétique est loin d’être un novice. Avant de fonder sa propre clinique, il a exercé dans plusieurs cliniques parisiennes et à l’hôpital militaire Mohammed V à Rabat. Comment un tel décès pour une opération chirurgicale aussi bénigne qu’une rhinoplastie a-t-il pu se produire ? Déclinant tout commentaire avant que la justice ne se prononce, c’est le Dr Kamal Iraqi Houssaini, lui-même médecin en chirurgie plastique réparatrice et esthétique, en même temps président de l’Association du même nom et expert assermenté près les tribunaux, qui a accepté de «lever tout amalgame» sur cette problématique qu’est l’erreur médicale. Pour lui, et indépendamment de cette affaire, tout médecin, en chirurgie plastique ou autre, ne peut exercer, comme le stipule l’article 42 de la loi relative à l’exercice de la médecine au Maroc, que dans une seule spécialité : la sienne. Qu’il ne peut le faire dans un cabinet mais dans une clinique dûment autorisée pour procéder à des opérations chirurgicales. Et, en troisième lieu, il ne peut opérer qu’après avoir effectué un bilan de santé du malade.
    Si l’une de ces conditions fait défaut, il y a automatiquement erreur médicale.
    Et même quand ces conditions sont réunies, si l’affaire est portée devant la justice, le dernier mot revient au juge, lequel pour l’accomplissement de son travail doit ordonner les investigations pour éclaircir la mort suspecte, dont une consultation médico-judiciaire auprès du service de la médecine légale.
    Aussi, la mort qui survient avant, au cours ou après une opération chirurgicale, peut avoir plusieurs raisons, comme les chocs vagaux ou même le stress. S’il y a erreur médicale suite à une hyperdose de l’anesthésie entraînant la mort, c’est le juge, seul, après ses investigations, qui est habilité de trancher.
    JAOUAD MDIDECH
    vIE ECONOMIQUE
    04-01-2010

    #273416

    En réponse à : Santé et drogues ????

    Salah2006
    Membre

    L’affaire Yakoubi : un non-lieu pour les accusés

    Cette affaire remonte à novembre 2004 pour déboucher quatre ans plus tard sur l’acquittement par le tribunal de première instance de Casablanca des deux accusés, le Dr Abdelkrim Lahouidi, chirurgien neurologue, et Abdenbi Fawzi, anesthésiste réanimateur. La victime, âgée de 49 ans, cadre à Safi à l’époque, souffrait d’une sciatique. Elle a été admise dans une clinique de neurologie à Casablanca pour subir une opération. Elle ne survécut pas. Le rapport établi par l’anesthésiste explique la cause du décès par un «arrêt cardiaque suite à une fibrillation ventriculaire avec inefficacité circulatoire». Les massages cardiaques n’ont servi à rien. La famille accuse l’équipe médicale d’avoir opéré dans la précipitation sans prendre la peine de faire les analyses préparatoires à toute opération de ce genre, d’autant que, selon elle, la victime souffrait d’une tachycardie (accélération du rythme cardiaque). L’affaire est portée devant le tribunal de première instance de Casablanca, et, deux ans plus tard, en février 2006, le parquet décida de classer le dossier sous prétexte d’absence d’éléments criminels. La famille ne lâche pas prise. En 2008, elle charge un nouvel avocat, Me Saïd Amehmoul, du barreau de Casablanca, de rouvrir le dossier en s’appuyant dans sa plaidoirie sur l’article 432 du code pénal. Lequel article punit de l’emprisonnement de trois à cinq ans et d’une amende de 250 à 1000 DH, quiconque «par maladresse, inattention, négligence ou inobservation des règlements, commet involontairement un homicide ou en est involontairement la cause». La défense ne demanda que le dirham symbolique, mais le tribunal réfuta l’accusation en décidant d’un non-lieu.
    Un jour du mois de mars 2005, un bébé d’un an, Jamila Ghazali, est admise à l’hôpital Ibn Rochd de Casablanca pour subir une opération au niveau du cerveau. Elle en sortira avec des brûlures aux orteils dues au chauffage installé dans la salle de l’opération. Deux ans plus tard, Abdellah, un adolescent de 13 ans, souffrant d’une appendicite, est admis dans une clinique pour l’ablation de l’organe malade. A la stupéfaction du père, l’enfant ne guérit pas. Un examen à l’hôpital Ibn Rochd révèle que l’organe (l’appendice) supposé être enlevé est toujours à sa place. Autres cas : Habib Hiwass, professeur, est admis en janvier 2004 dans une clinique à Casablanca pour subir une opération de la vésicule biliaire. Cette clinique «n’étant pas suffisamment équipée, notamment d’un scanner», selon Abderrahman Benameur, avocat de la victime, l’opération connaît une complication. Transféré un peu plus tard dans un état critique dans une autre clinique, le patient décède (d’après l’autopsie) d’une «hyper-coagulation sanguine pulmonaire et cérébrale». Là encore, selon Me Benameur, la cause du mal provient de l’anesthésie. Le type du produit anesthésique, explique un médecin spécialiste en la matière, peut en effet ne pas être compatible avec le corps du malade. «Une forte dose d’anesthésie peut entraîner la mort, comme elle peut provoquer d’autres conséquences : un handicap physique, un trouble nerveux, une lésion cérébrale ou cardiaque irréversible… Le médecin anesthésiste doit consulter le malade la veille de l’intervention pour s’assurer qu’il n’y a aucune contre-indication à l’anesthésie. Cependant, il existe des pathologies sous-jacentes qui peuvent se révéler au moment de l’opération». Dans tous les cas, la relation du patient avec son médecin est assimilée à un contrat. A cause d’une anesthésie ou à cause de l’oubli d’une compresse dans le ventre d’un malade après l’opération, la faute est délictuelle et engage la responsabilité du médecin qui commet la faute. On est alors devant une non-exécution du contrat. Mais, dans l’exercice de la médecine, précise le Dr Hicham Benyaich, responsable au service de médecine légale à l’hôpital Ibn Rochd de Casablanca, cette responsabilité contractuelle n’est pas absolue. «Le médecin, dit-il, est tenu par des obligations de moyens, c’est-à-dire qu’il est obligé de mettre en œuvre tous les moyens qu’offre la science pour aboutir à un résultat, mais il n’est pas garant du résultat. Sa seule obligation est de prodiguer des soins d’une façon consciencieuse, attentive et conforme à la science».Cela dit, le cas de Habib Hiwass est l’un des rares où le tribunal souscrit à la thèse de la défense (erreur médicale) et établit la culpabilité du médecin. Les ayants droit de la victime obtiennent gain de cause : le médecin accusé est condamné à six mois de prison avec sursis et 819 000 DH à verser comme dommages et intérêts, à son épouse, à sa mère et à ses trois enfants âgés à l’époque de 10, 5 et 2 ans. C’est la compagnie d’assurance de la clinique qui est passée à la caisse. Leila, l’épouse du défunt, se désole qu’«il n’y ait au Maroc, comme cela existe ailleurs, aucune association de défense des victimes des erreurs médicales. Le hasard a voulu que nous rencontrions la même semaine de la mort de mon mari une autre femme dont le mari aussi a succombé à une opération bénigne, nous avons alors mobilisé l’opinion publique et quelques associations pour faire entendre notre voix», ajoute-t-elle

    #273415

    En réponse à : Santé et drogues ????

    Salah2006
    Membre

    ‘erreur médicale, un délit souvent difficile à prouver

    En cas de mort suspecte lors d’une intervention médicale, le procureur du Roi peut ordonner une autopsie.
    Sur la base d’un premier rapport du procureur, la police judiciaire dresse un procès-verbal pour décider si oui ou non le décès est le résultat d’une négligence.
    Les cas de médecins condamnés pour cause d’erreur médicale sont très rares au Maroc.

    L’affaire remonte au 22 octobre 2009. Wafae Asli, une jeune femme de 22 ans, cadre dans une société, est admise dans une clinique casablancaise pour subir une opération esthétique du nez. «Une intervention chirurgicale basique qui ne nécessite pas plus de 15 minutes», estime Radouane Rami, avocat au barreau de Casablanca, en charge du dossier. L’opération qui devait lui coûter 15 000 DH lui coûta la vie avant même qu’elle ait lieu, car le décès est survenu au moment de l’anesthésie.
    Pétrifiée par cette mort subite, la famille demande une enquête sur les vraies causes du décès et découvre avec effarement, une fois l’autopsie effectuée, que la mort serait due à une forte dose du produit anesthésique. C’est sur la base de ce premier rapport du médecin légiste que le procureur du Roi devra se saisir de l’affaire pour ouvrir une enquête. Mais ce n’est qu’à la mi-décembre, c’est-à-dire deux mois après le drame, que ce dernier adresse un écrit au tribunal de première instance de Casa-Anfa, arguant que la mort est le résultat d’une négligence en invoquant en même temps la responsabilité civile et pénale. Pourquoi tout ce retard pour saisir la justice ? «Nous attendions le résultat du rapport final que le service de médecine légale de Casablanca devrait établir. Hélas, aucune copie ne nous a été remise jusqu’à maintenant», explique Me Rami. La procédure veut effectivement que le procureur général ordonne une autopsie au service de la médecine légale pour déterminer les circonstances de la mort. Et c’est sur la base de son rapport que la police judiciaire dresse son PV. L’affaire Wafae Asli suit encore son cours. Aboutira-t-elle à la condamnation des responsables de cette «erreur médicale», ou supposée l’être ? C’est la question que se posent l’avocat et la famille de la défunte. Mais seul le juge peut trancher (voir encadré). Il faut dire que plusieurs affaires de ce genre (entraînant  la mort ou non du patient) ont été portées devant les tribunaux, mais les condamnations contre les accusés sont  très rares. Le cas de l’affaire Sakina Yakoubi est encore dans les mémoires.

    #274676
    touria016
    Membre

    @djal wrote:

    AH, voila toutou qui revient au jeu PDT_Armataz_02_02 et comme elle propose 1973,moi, je propose 1969 avec l’invention d’internet …

    Djal, arrête de faire le beau : tu sais très bien que je suis plus proche de la réponse ! PDT_Armataz_02_01 😆

    #274675
    djal
    Membre

    AH, voila toutou qui revient au jeu PDT_Armataz_02_02 et comme elle propose 1973,moi, je propose 1969 avec l’invention d’internet …

    #210103

    En réponse à : Macdonald’s

    mourad.oujdi
    Membre

    @hafid wrote:

    nas baghya alkhadma wa sokna machi katrat la qhawi wa resturat

    je pense que macdo travaille avec que des robots!!!
    wa soyez logique, pourquoi vous etes toujours contre l’etat, y a pleins de jeunes recrutés par macdo, alors ne niez pas la pure realité;

    au moins lui il paye ses employés pas comme les cafés d oujda;

    vous voulez la vie facile, chomage payé et indemnité, ça n’existe qu’en france, et par hasard y a que des arabes qui en profitent, et y a pas un seul pays au monde où y a pas de chomeurs, mais au moins les autres peuples travaillent pour leur comptes, ils n’attendent pas le pain fourni par l’etat..

    wa noudou khadmou, baraka mel politique w katrat lhadra lkhawya

    bghitouha sahla

    #274910
    touria016
    Membre

    Les générations diffèrent et chaque fois qu’une génération apparaît au balcon de la vie, il semble que la symphonie du monde doive attaquer un tempo nouveau. PDT_Armataz_02_02

    #210125

    En réponse à : Macdonald’s

    mourad.oujdi
    Membre

    on est les victimes des médias pourris, des gens qui banalisent les choses, saviez vous comment vivent les musulmans d’aujourd’hui? (la plupart mal honnêtes, non correctes, hypocrites, fainéants, pessimistes, radins, opportunistes, etc.. surement y a islam sans musulmans en occident, et musulmans sans islam chez nous)

    oublions macdo alors , et boing, airbus pour voyager, microsoft, apple pour naviguer, f15 f16 pour se défendre, nokia motorolla pour appeler, nike, lacoste pour marcher, des satellites pour regarder, doliprane, urgo pour se soigner, cat bouyuig pour construire………..

    alors vivez dans une grotte!

    pourquoi vous suivez tout ce que dit les propagandistes (leur seule arme c’est interdire et faire monter l’adrénaline), car sans ça ils sont rien! (la plupart ont leur bac littéraire en plus avec mention passable lol);

    ah j ai oublié, c’est macdo qui polit nos rues, c’est macdo qui fait des voleurs dans nos marchés, qui détruit nos jardins, qui donne une mauvaise éducation à nos enfants, …

    wa 3ibad allah, éduquez vos enfants, donnez leur l’exemple, poussez les à devenir des médecins des pharmaciens des ingénieurs etc.. notre nation a besoin de ça;

    le commerce est un commerce, n’est jamais interdit en islam, on est seulement des mauvais pauvres commerçants de notre aire!

    et ne tomber pas dans la banalité des choses;

    je mange à macdo quand je veux, comme je mange dans autres restos, et j’essaie d’être civique avec mes concitoyens, et respecter mon entourage!

    vive les optimistes heureux, bas aux pessimistes mélancoliques

    salutations!

    #232273
    touria016
    Membre

    Bien dit aussi !

    Dans ce cas, je vais laisser ce topic, ouvert au cas où les malheureux oujdis, qui ont vécu une mauvaises expérence viennent se confier et échanger… 😆

    Les autres, retrouvez nous, sur le topic adapté! 😉

    #274923
    djal
    Membre

    ISLAM EST UNE LUMIÈRE , LA CHARIA EST UNE VIE

    djal
    Membre

    Ceci est un article que j’ai trouvé sur yahoo.fr et dont la lecture fut fort plaisante:

    Tout ce qui touche à la charia fait polémique, sauf peut-être la finance islamique qui pourrait bien aider à remplir les caisses françaises.

    1 000 milliards de dollars en 2010, c’est l’encours prévu par les économistes pour la finance islamique. Un chiffre en constante progression depuis de nombreuses années. De 2003 à 2007, il a enregistré une hausse de 15 %. Des résultats qui peuvent surprendre dans un contexte mondial où la finance est tellement décriée depuis la crise des subprimes. Si ce n’est que la finance islamique se base sur des règles éthiques et religieuses : interdiction des intérêts, de l’incertitude et de la spéculation, partage des profits. Ce qui fait dire à certain que ce concept inhérent au Coran est une des solutions pour moraliser la finance conventionnelle. Mais derrière ce vœu pieux, il y a surtout une volonté d’attirer les pétrodollars, et parmi ces nouveaux partisans de la charia, la France n’est pas en reste.

    Le porte-drapeau de cette nouvelle cause n’est ni plus ni moins notre ministre de l’Économie, Christine Lagarde, qui lors d’un colloque en 2009 a annoncé que « les banques qui souhaiteraient réaliser des opérations conformes aux dispositions de la charia, le territoire français est évidemment prêt à les accueillir… Considérez le territoire français comme une terre d’accueil ».Terre d’accueil, qui pour l’instant est plutôt la City de Londres, et ce depuis une dizaine d’années. La France déroule donc le tapis rouge pour rattraper son retard. Il faut dire que l’enjeu est de taille : 120 milliards d’euros à l’horizon 2020. Une véritable bouffée d’oxygène pour l’état des finances publiques. Aujourd’hui, seuls les investisseurs institutionnels profitent de ce nouveau concept, dans l’Hexagone, par l’intermédiaire de fonds d’investissement « islamo-compatibles ». Les particuliers devront patienter encore un peu. En attendant, certains s’impatientent, et pas seulement les personnes de confession musulmane.

    Comme Charles Garreau, 54 ans, entrepreneur qui voit d’un bon œil l’arrivée de la finance islamique, « Contrairement à ce que l’on croit, dit-il, ce n’est pas une finance éthique. Le principe fondateur de la finance islamique, c’est le partage des risques. En clair, un investisseur qui investit dans une boîte, prend autant de risque que le porteur de projet, contrairement au système classique. » Un concept beaucoup plus sain que la finance conventionnelle, selon lui : « Vous contractez un prêt auprès de votre banquier afin de financer votre activité commerciale. Si votre boîte par la suite fait faillite, vous serez toujours redevable. Or, en théorie, votre banque est un partenaire pour le pire et le meilleur… surtout pour le meilleur en l’occurrence ».

    Cet aspect participatif intéresse aussi les primo-accédants, « J’ai vécu de nombreuses années à Dubaï, raconte Xavier Ducros, 38 ans, trader. J’ai travaillé sur la finance islamique, où, l’accession à la propriété est le fruit d’un partenariat entre la banque et le client. La banque achète le bien, le revend au client, avec une plus-value. On détermine une durée de remboursement sur plusieurs années. Le client détiendra la pleine propriété uniquement lorsque la somme totale sera remboursée. Pendant ce temps, le bien sera en copropriété. » Un mécanisme qu’il souhaite utiliser pour l’acquisition de sa résidence principale : « Si aujourd’hui j’achète un appartement, je devrais passer par la finance classique. Ce qui, pour ma part, représente trop de risque. Car, la banque me prête sans tenir compte de la suite des événements. Or, dans la finance islamique, en tant que copropriétaires, nous sommes solidaires. Un peu comme dans un mariage ou un pacs ».

    De toute évidence, l’argent halal a le vent poupe. Deux universités en France, Strasbourg et Dauphine, enseignent les us et coutumes de cette finance si particulière. Hervé de Charrette, ancien ministre des Affaires étrangères, court les médias afin de promouvoir ce concept, et les banques françaises pressent le gouvernement d’agir au plus vite pour mettre en conformité la législation française et la charia… Une fois n’est pas coutume un sujet issu de l’islam semble recueillir l’unanimité.

    #274920
    nass
    Membre

    comme réponse a ta question, une chanson « d’Hélène Segara »..

    on N’oublie Jamais Rien, On Vit Avec

    Ce n’est jamais qu’une histoire
    Comme celle de milliers de gens
    Mais voilà c’est mon histoire
    Et bien sûr c’est différent
    On essaie, on croit pouvoir
    Oublier avec le temps
    On n’oublie jamais rien, on vit avec

    On a plusieurs vies,
    Mais une seule grande histoire de cœur
    Quand l’amour s’enfuie,
    Il n’y a jamais de vainqueur
    Si on pouvait tout refaire,
    Balayer nos erreurs
    On n’oublie jamais rien, on vit avec

    Je n’avais plus la patience
    D’espérer juste un sourire
    Notre avenir se brisait
    Sur l’autel des souvenirs
    J’attendais une autre chance
    Je ne l’ai pas vue venir
    On n’oublie jamais rien, on vit avec

    Quand tu lui disais « Je t’aime »
    Tu entendais pour la vie
    On n’oublie jamais rien
    C’est toujours le même problème
    On croit ce qu’on a envie
    On n’oublie jamais rien, on vit avec

    #274657

    En réponse à : Islam de France?

    Assa
    Membre

    Je pense qu’une vidéo sera tournée, je la relayerai donc ici…

    En attendant voici un texte

    À l’ombre du minaret en flammes, le texte d’Alain Soral :

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=4795&Itemid=115

    #274903
    me3gaza
    Membre

    Il faut avoir des priorités dans la vie et les américains ont choisi!!! C’est vraiment grave je sais pas si il faut en rire ou en pleurer!! 😕

    #274749
    houmidi59
    Participant

    En effet Touria , c’est une idée judicieuse ; surtout qu’elle vienne de toi
    OK, va pour la proposition; en attendant , je propose : 1223

15 réponses de 871 à 885 (sur un total de 7,146)
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