Résultats de la recherche sur 'Oujda ya Oujda.'
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novembre 11, 2006 à 12:31 #214166
En réponse à : الأدارسة في المغرب الشرقي Les Idrissides du Maroc Oriental
sharon
MembreMlle BERKANIA,je crois que ce MR a sorti de son respect,apres avoir nous rappeler des verset du courant,et des hadith du MOHAMED SAAW,il commence a attaquer les autres qui ne sont pas de son opinion,je le propose de revoir un psychiatre avant qu il soit trop tard,il frappe a gauche et adroite,en accusant les gens d etre n est pas gentil,sioniste,question piege,veulent notre peau,disant moi un sioniste et j ai depasse les bornes,toi tu es un bon musulman,d apres ce que je sais un bon musulman ne doit pas insulter les autres malgre tout ce qu il recoit de critiques,prends l exemple du MOHAMED SAAW, et le verset du coran;WAJADILHOUM BI LATI AHSSAN..pour moi j ai degoutte ce sujet qui partage les Marocains entre grands petits ou akbar asghar,et je n ai pas besoin de me raconter,les livres du 15 ciecle,moi je dis ca franchement,des oujdinautes disent aussi ca ,mais d une facon indirect ,si tu es intelligent lis bien ces interventions de ces oujdinautes,exception des gens de ton opinion malade qui accuseent les gens sans jamais voyager hors la ville d OUJDA.en attendat ce mr YAHDIH ALLAH ,ca sera ma derniere intervention a ce sujet,pour moi c est fini,je ne doit pasdecendre a ton bas niveau. wa salam a tout qui respecte l autre opinion…
novembre 11, 2006 à 12:17 #217974En réponse à : Oujdis !! Sont-ils des racistes ??
dahlia
Membreporais tu donner d explcations
car je vis a rabat actuellment et les rbati n’aiment pas quitter le gharb rien pour eduquer leur enfants dans de bons conditions
et ausi beaucoup de oujadas prefernt rester a rabatl’explication serait surtout economique.je ne generalise pas mais je parle en connaissance de causes….il faut pas generaliser bien sur mais il faut pas oublier qu’il y a des oujdas ki ont kitté rabat ou casa ou meme des pays etrangers pour s’installer dans leur region oujda….il y a des rabati et des casawi qui ont fait le choix de vivre ici pour une cause ou une autre…il y a bien sur ceux qui ne veulent y revenir etc…etc….
si j’avais eu un peu plus de temps je t’aurai expliqué ca d’un point de vue economique )mais l’occasion viendra .
en ce qui concerne l INTELLIGENCE DAHLIA je crois qu il n ya relation entre celle ci et une region
SI ,I il y a une grande relation entre intelligence et region …il y a meme uen discipline intitulé : INTELLIGENCE TERRITORIALE …
de séminaires internationnaux se font pour repandre cette intelligence considéré come outil de developpement des territoires….(le dernier etait un colloque organisé a oujda le 11 et 12 mai 2006 ,et qui traitait parmi les sujet de developpement des territoire cette notion d’intelligence territoriale…..)il s’agit d’une intelligence qui consiste a mieux comprendre le territoire, la region pour agir efficacement ….
c’est en bref pour repondre a la question qui m’a été posé mais ce sujet d’intelligence territoriale est tellement vaste qu’il ne pourrait etre saisi facilement .j’en parlerai davantage dans de prochains post.
novembre 11, 2006 à 12:29 #213142En réponse à : Photos et videos de la ville d’OUJDA صور من مدينة وجدة
dahlia
Membreles photos sont prises en un jour de pluie et en voiture…excusez leur qualité.
la wilaya d oujda.
les travaux de goudronnage de la route menant vers sidi maafa
novembre 6, 2006 à 5:24 #213134En réponse à : Photos et videos de la ville d’OUJDA صور من مدينة وجدة
fadi
MembreEncore plus de tof
octobre 16, 2006 à 2:35 #216593En réponse à : Sidi mohamed ben ahmed "ghrass el khil"
Anonymous
MembreBonjour à Tous,
J’ai découvert ce site par hasard et comme j’ai toujours été intéressée par l’histoire des tribus maghrébine en particulier la mienne dont je sais qu’un des ancètres est parti au maroc. Quelqu’un dans ce site a cité le nom de gherasselkhil et que je remercie profondément ainsi que Monsieur Bouayad. Coté Algérie, nos racines sont à Saida ou se trouve le mausolé de Sidi-M’hamed Gherasselgoum (pour les marocains c’est Gherasselkhil). Il n’y a pas ci longtemps en septembre il y a eu son Maoussem. Ma famille est établie depuis plusieurs générations à Sidi-Bel-Abbès donc a environ 160 Km de Oujda.
Vous pouvez m’envoyer un email à l’adresse a.gherasselgoum@gmail.com pour un échange d’information.Cordialement,
octobre 15, 2006 à 9:56 #215311En réponse à : discotheque fi oujda?
BentVillageToba
Membre@BentOujda wrote:
weritilhum el simberr fin inberr, maandi menselek 8)
ewa bessif a khalti…jaya hna be dak « pek pek zoubida » dyal shab lallman woulla…. a non… ca vas pas!
Aarfeti schaal twahascht Oujda…wili…..had sef inchallah khassni nemschi aand darr Melalla!
Nedorbo schi dora men jiht Le Park, Boulvard woulla Ives Rocher….asch koolti?
octobre 1, 2006 à 10:43 #214815En réponse à : jm trop Berkane!!!
tachafine
Membre@zhm wrote:
mazbalate berkane ou bien mazbalate atarikh ? !!
stp plus de précision c’est important ! car la jvien de comprendre et grace a ton poste que berkan est mazbalte atarikh .
relis ton poste stp !c scientifique ce que tu vient de dire ? si c oui explique toi plus ou bien donne nous qulque chose de plus logique pour confirmer tes blagues lalla et pour dire que berkane est une mazbalat attarikh !!!! alors aray ma3andak ,;;;
si non alors tu veut prouve klk chose que tu as dans ton crane , c’est a dire
une maladie de dire que tu es plus civiliser ou plus eduque ou plus raciste , se sont des paroles des racistes , revoi ton language chere zhmBERKANE L’HISTORIQUE
La province tire son nom de la ville de Berkane, fondée au début du siècle sur les anciennes ruines d’un village historique, baptisé du nom de l’érudit et saint Sidi Mohamed Ben Elhassan Ben Mekhlouf Errachidi plus connu sous le nom de Sidi Ahmed Aberkane mort en 868 de l’Hégire.
la Province Berkane s’étend sur une superficie de 1985 km², soit 2.4% de la superficie de la région de l’Oriental. Elle est limitée au Nord par la Méditerranée, à l’Est par la frontière Maroco-Algérienne et la Préfecture d’Oujda-Angad, à l’Ouest par la Province de Nador et au Sud par la Province de Taourirt.
La situation géographique privilégiée de la province de Berkane à proximité des marchés extérieurs notamment européens et maghrébins la prédispose à devenir un pôle de développement important tant pour la région de l’Oriental, qu’au niveau national.Données géographiques : des reliefs contrastés
* Relief
Le paysage est marqué par des reliefs contrastés du Nord au Sud :
* La plaine de. Triffa dont l’altitude moyenne est de 200 mètres, s’étend sur une superficie de 61.060 hectares (dont 39.600 ha irrigués) en rive droite de l’oued Moulouya qui constitue le principal drain du réseau hydrographique de la région (1Millards m 3/an). Elle s’insère entre les monts de Béni-Snassen au sud et les collines d’Ouled Mansour au nord qui la séparent de la petite plaine côtière de Saidia.
* La chaîne de Béni-Snassen, dont les massifs culminent à 1429 mètres, au sommet de Jbel Bou Zaâbel.
* Climat
Le climat dominant dans la région est de type méditerranéen semi-aride avec :
* Une pluviométrie moyenne annuelle faible et irrégulière (300 mm) ; les précipitations sont concentrées sur les mois de décembre, janvier et avril ;
* Des températures moyennes annuelles variant entre 5,2°C et 18,7°C l’hiver, 18,5°C et 31°C l’été.LE POTENTIEL TOURISTIQUE
La Province de Berkane est parée d’atouts naturels, culturels et traditionnels qui en font une destination phare pour les visiteurs en quête de détente sur les sables dorés d’une plage méditerranéenne, pour les fervents des grands espaces désireux de respirer l’air pur de la montagne et d’explorer une nature sauvage, exotique et dépaysante ou pour ceux qui, réfractaires aux musées, veulent découvrir in situ les traditions, rites et croyances d’une culture mystérieuse et insolite.
En effet, la Province est dotée d’un rivage méditerranéen de 14Km, de forêts naturelles qui serpentent les monts de Béni Snassen vers les gorges de Zegzel, de grottes préhistoriques, mondialement connues, et de sources thermales réputées pour leurs vertus curatives.Le tourisme balnéaire : station balnéaire de Saidia
La Ville de Saïdia est située à l’extrême Nord-est du Maroc sur un tronçon d’une vingtaine de kilomètres, à 20 Km de la ville de Berkane et 60 Km de la ville d’Oujda. Cette petite ville littorale occupe une position géographique privilégiée et constitue un carrefour incontournable ouvert sur les marchés européens et maghrébins et à proximité des principales voies de desserte terrestres, aériennes et maritimes (à 2 heures d’avion de l’Europe, à 50 Km et 60 Km respectivement de l’aéroport Oujda-Angad et de la gare ferroviaire d’Oujda, à 80 Km du port de Nador et de l’aéroport de Aroui et à 90 Km du port et de l’aéroport de Melilla).
Le premier noyau de la ville date de 1883 et fût l’œuvre du Sultan Hassan Premier qui bâtit une Casbah de 15.600m2 de superficie sur la rive gauche de l’embouchure de l’Oued Kiss. Ce monument, vestige seigneurial d’épopées glorieuses, servait entre autre de bastion de la résistance face à l’hégémonie des envahisseurs.
Bien qu’elle remonte à l’orée du 19ème siècle, c’est du temps du protectorat français (1927) que la ville a été aménagée en tant que station balnéaire faisant le bonheur des autochtones et de l’ensemble de la présence coloniale dans l’Oriental.
Transformée en commune urbaine en 1992, la ville de Saïdia compte actuellement en temps normal, quelques 3338 habitants (RGPH, 2004) et reçoit des milliers de visiteurs en période estivale attirés par ses atouts touristiques multiples et diversifiés.Plage – Soleil
Considérée comme l’une des plus belles plages du Royaume, Saïdia possède des atouts naturels indéniables à même de séduire les plus exigeants en matière de tourisme balnéaire. Son climat idéal (plus de 300 jours de soleil par an avec des températures moyennes annuelles oscillant entre 18 C° l’hiver et 31 C° l’été), ses 14 Km de sable fin doré, la clarté de ses eaux propres pour la baignade et animées d’une faible houle et l’exubérance de ses paysages attirent chaque année plus de 200.000 visiteurs venus des quatre coins du pays et de l’étranger avec une forte présence des MRE (14,5% du total des estivants), plus particulièrement lors de la tenue du « Festival de Saïdia » mis sur pieds depuis 1980 pour promouvoir le patrimoine culturel et artistique que recèle l’Oriental.
Infrastructures et Animation
Les potentialités de cette station prêtant à une plus grande exploitation et ouvrant des perspectives d’investissements considérables, sont rehaussées par les équipements qu’offre la ville en matière touristique et renforcée par le port de plaisance, la rocade longeant le rivage méditerranéen sur 560 Km et reliant Saïdia à Tanger, l’école hôtelière et par l’essor qu’ont connu les festivités aussi bien artistiques, culturelles que sportives organisées en marge du festival rendez-vous incontournable.
Tous ces attraits prédisposent Saïdia à devenir une importante destination touristique entraînant la mise en valeur d’autres localités proches, le long de la même côte ainsi que vers l’arrière pays (surtout la zone des Béni Snassen).Le tourisme vert
Les monts de Béni Snassen
A quelques kilomètres au sud de la ville de Berkane, les monts de Béni Snassen constituent un terrain de prédilection pour les amateurs de tourisme de montagne. On y trouve un éventail de paysages et de sites, tous aussi fascinants les uns que les autres. Le SIBE des Béni-Snassen englobe deux zones : la première (6.150 ha) comprend de magnifiques paysages (grottes, falaises, escarpements) recouverts principalement de Thuyas, et la seconde (600 ha) referme la très belle chênaie du jbel Foural, habitat naturel d’une riche faune zoologique et ornithologique (Sangliers, Lièvres, Lapins, Perdrix, Pigeons, Tourterelles, etc.). Dans ces décors paradisiaques on peut s’adonner à la randonnée pédestre ou équestre, s’assoupir à l’ombre d’un chêne bercer par les murmures des eaux argentées d’un ruisseau, escalader les façades des gorges de Zegzel, découvrir la faune et la flore locales, savourer à l’issue d’une battue de chasse l’ivresse d’une belle capture ou se détendre dans la quiétude qui règne à Tafoghalt, un pittoresque petit village rustique situé en pleine forêt méditerranéenne (Thuya Chênes verts, Genévrier, Oxycèdre, Pin d’Alep, etc.). Son climat doux et frais l’été soulage les visiteurs de la chaleur qui sévi en plaine pendant cette saison. Il est fréquent que les cimes avoisinantes se tapissent l’hiver d’une couche de neige évoquant les fabuleux paysages du Haut Atlas marocain.Vallée de Zegzel
Emprunter la vallée de Zegzel c’est aller à la rencontre d’une végétation luxuriante, offrande généreuse de l’Oued Zegzel qui du cœur des montagnes de Béni-Snassen dévale les pentes au fond de gorges abruptes. Tout au long de ses méandres orangers, citronniers, néfliers, amandiers, légumes et céréales, jardins en terrasse verdoyants suspendus aux versants et constituant une toile bariolée aux tons impressionnistes, semblent s’accrocher de toutes leurs racines à la terre qui leur a donné vie. Les versants plus ou moins raides de ces monts et la rigueur de leurs hivers n’ont pas dissuadé leurs habitants, tirant leur subsistance d’une agriculture artisanale, de l’élevage et de la forêt, d’y bâtir des villages parfaitement intégrés à l’environnement.Sites archéologiques et historiques
Grotte des pigeons
La grotte karstique dite ‘’grotte des pigeons’’ à cause des nombreux pigeons qui y vivent, se trouve à l’entrée de la vallée de Zegzel, à 2 km à l’Est du village rustique de Tafoghalt. C’est une grande cavité largement ouverte vers l’extérieur présentant une entrée en forme d’arche. Découverte en 1908, la grotte est un gisement préhistorique mondialement connu en raison de l’importance des résultats scientifiques qu’elle a permis d’obtenir. Les fouilles entreprises en 1959 ont mis à jour plusieurs niveaux archéologiques contenant des restes d’animaux et des outils de pierre taillée datant du Paléolithique ( entre 40000 et 100000 ans). La grotte a ensuite connu 23 occupations successives au cours de l’Epipaléothique par une population de chasseurs qui allumaient à l’intérieur de grand feux provoquant la formation de couches cendreuses pouvant atteindre plus de quatre mètres. Les mesures de radiocarbone ont permis de dater ces couches cendreuses de 10.500 à 12.500 ans. Les spécialistes déterrèrent plus de 100.000 outils en pierre taillée, des restes d’animaux et surtout 180 sépultures d’individus appartenant à une race autochtone baptisée « homme de Tafoghalt » qui est à l’origine des populations berbères actuelles. Ces individus ont été enterrés selon un rituel funéraire qui laisse penser que les Epipaléolithiques avaient des sentiments religieux. Tous ces résultats font de la grotte de Tafoghalt un gisement unique au Maghreb qui n’a d’équivalent qu’en Egypte ou au Proche Orient.Grotte du chameau
Perdu parmi les contreforts de l’Oriental, la grotte du chameau est un site historique et archéologique qui fait partie de ces havres de paix, de beauté et de calme où l’on peut se réfugier loin de la pollution et du stress des grandes villes. C’est également un haut lieu de spéléologie où d’insolites silhouettes de terre s’élancent vers le plafond à la rencontre d’autres descendantes, les stalagmites et les stalactites forment un rempart de multiples colonnes patiemment sculptées dans le calcaire par les eaux d’infiltration durant des millénaires. Vu sa dimension, sa valeur comme habitat préhistorique, la beauté exceptionnelle de son site, son accessibilité, sa situation géographique privilégiée au sein des Béni-Snassen, à proximité du centre d’estivage de Tafoghalt et de la grotte des pigeons ( 5km),la grotte du chameau est une destination de choix pour les épris des grands espaces.La grotte s’ouvre dans la vallée de l’oued Farrouj, affluent de l’oued Zegzel, au coeur du massif des Béni-Snassen, sur la rive droite duquel elle présente deux entrées. C’est une grotte à trois étages de galeries, dont la partie inférieure est toujours en activité après de fortes pluies. On accède à la grotte par une entrée supérieure ; une concrétion en forme de chameau qui a donné son nom à la grotte.Le tourisme écologique
Le Site d’Intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) de la Moulouya
Sur une superficie de 2700 Ha s’étale le SIBE de la Moulouya, un site naturel particulier sans équivalent sur la côte méditerranéenne orientale en matière de biodiversité, en particulier pour l’Herpétofaune et l’Avifaune, avec la présence de nombreuses espèces menacées et remarquables.
L’Embouchure de la Moulouya (le seul cours d’eau marocain important se déversant dans la Méditerranée) est classée comme site d’intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) sur une superficie de 2.700 Hectares environ. Il comprend l’oued Moulouya ( de l’embouchure jusqu’à Ain Zerga), le cap sableux (Est de l’embouchure), l’arrière plage (falaises incluses) et les marais d’Ain Zerga, des Chrarba et gueltat Sidi Boudiaqui. Ces marais constituent de superbes étendues d’eau douce provenant de l’accumulation de précipitations pluviales et de résurgences ; ils sont cernés par une dense végétation palustre (Salicornes, Typhas, Roseaux,…), qui les rend quasiment inaccessibles. Ces zones abritent une avifaune riche et diversifiée comprenant des espèces endémiques d’importance mondiale à savoir : L’Ibis chauve, la Sarcelle marbrée, le Goéland d’Audouin, etc, et d’importantes populations d’oiseaux nicheurs tels que les poules sultanes, le héron pourpré, le busard cendré et Plusieurs espèces de fauvettes aquatiques. Elles constituent, par ailleurs, la plus importante escale migratoire de l’oriental, accueillant des espèces hivernantes dont certaines sont menacées d’extinction tels que les canards colverts, les oies cendrées, etc. Le tapis végétal environnant est composé de sansouïres à salicornes accompagnées de phragmites, de jonc, etc. L’herpétofaune (reptiles et amphibiens) de ce site est remarquable avec des espèces reliques endémiques de la région de Kebdana et l’Oranais, considérées comme éteintes de la planète depuis un siècle (Chalcides mauritanicus et Chalcides parallelus). Ces lieux d’une rare beauté où on peut contempler des levées et couchées de soleil féeriques, offrent un cadre agréable pour le tourisme vert.Phyto-écologie : 95 espèces représentant 38 familles avec de nombreuses formes endémiques, rares, remarquables et plantes médicinales qui abritent de nombreuses espèces dont 12 endémiques et rares.
Habitat : Ripisylve de Tamarix d’une densité exceptionnelle abritant un peuplement spécifique d’une diversité unique au Maroc.
Invertébrés Terrestres : sur 216 taxons retenus, 8 n’ont pas été trouvé ces 230 dernières années, 19 endémiques, 32 rares au Maroc et 5 classés comme espèces vulnérables inscrites sur la liste des espèces protégées au Maroc.
Herpétologie : 23 espèces dont 8 remarquables par leur endémisme et leur rareté, notamment Testudo graeca et Chamaeleo chamaeleo, deux espèces qui figurent sur la liste rouge internationale.Site de la cigogne blanche
A la sortie de la ville de Berkane, sur la rive droite de l’Oued Cherâa à proximité du ‘’Darih’’ de Sidi Ahmed Aberkane saint, patron de la ville, et à quelques dizaines de mètres de la grande mosquée, se localise le SIBE de la cigogne blanche. On y dénombré 33 nids juchés en haut de vieux et grands eucalyptus témoins silencieux de l’évolution et de l’extension de cette agglomération. Cette colonie est l’une des deux plus importantes du Maroc après celle des murailles de Dar El Kbira de Méknes (42 nids). Ce site constitue, d’ailleurs, l’un des rares points de concentration où ces grands échassiers se reproduisent normalement.Le Thermalisme
La source de Fezouane
merci a http://said35.chez-alice.fr/
La source thermale de Fezouane est située au piémont nord des Béni Snassen. Elle est née à l’issue d’une intense activité volcanique durant la fin du tertiaire et le début du quaternaire. Elle a pris du renom et de l’importance avec le premier sondage effectué par les pouvoirs publics entre le 29 Octobre 1961 et le 14 Janvier 1962.
Ses eaux de bonne qualité, appartiennent au groupe des bicarbonates calco- magnésiennes. Elles sont appréciées pour leurs propriétés curatives, notamment dans le traitement des maladies des reins.La source thermale de Chouihiya
Une source dont les eaux possèdent des propriétés thérapeutiques en dermatologie, se situe au centre de la commune rurale de Chouihiya à 30 Km de la ville de Berkane.
L’héritage culturel
Toute forme d’art est une source de renseignement sur la vie, la pensée et la sensibilité des hommes qui le crée. Le patrimoine culturel de la région de l’oriental s’est imprégné au cours de son histoire de traditions héritées des différentes civilisations qui s’y sont relayées.
Artisanat
Les produits de l’artisanat locale offrent une variété appréciable d’articles tels que couvertures, tapis, djellabas, robes et caftans au style Oujdi (mansouj), et produits de vannerie, ainsi que différents autres objets à base d’Alfa (paniers,…), se sont de véritables œuvres d’art reflétant la créativité et la sensibilité des artisans de cette région.
Chants, musiques et danses traditionnelles
Cette région se distingue par ses chants, ses musiques et ses danses populaires : Ahidous, Laâlaoui et ses variantes le Mengouchi , le Nhari et le Sghairi, des formes d’expression rythmées riches en percussions. Ces danses séculaires exécutées par plusieurs danseurs se tenant à coude et se mouvant comme un seul corps, exaltent le courage et la solidité des guerriers face à l’ennemi. La province possède également des groupes de Bardias, uniques en leur genre au Maroc. Se sont des guerriers à pied exécutant des figures expressives ; fusils à la main ils terminent leur prestation dans un nuage de poudre.
octobre 1, 2006 à 2:47 #207432En réponse à : Débat sur la situation économique et sociale de la ville
saidi
MembreSans vouloir vous offusquer, car je suis sûr que vous êtes des internautes chevronnés, puis-je vous demander de nous faire un résumé d’incitation pour que les internautes de notre chère cityoujda.net puissent aller jeter un coup d’oeil sur le site PALTAK. J’y ai découvert, rien que sur la partie concernant le maroc des discussions très interessantes qui nous donnent parfois de la matières à reflexion(du moins pour les sujets discutés sérieusement). Je suis sûr que celà pourrait être bénéfique. merci salut saidi
septembre 10, 2006 à 9:21 #215307En réponse à : discotheque fi oujda?
ibrahim
Membresalam ana men franca je sui né a oujda.dite moi ou c o il ya une discoték a oujda
juillet 4, 2006 à 10:19 #201560Sujet: jm trop Berkane!!!
dans le forum Berkaneassid
MembreSalut,
moi je suis pas une Berkania, mais je suis marié à un Berkani.
C’est vrai qu’il a la tête dure. Mais il est trop bien. Il est romantique, tendre et intelligent! Et c’est pas du tout une chmata. Par contre il est jaloux! Des fois c’est chiant, mais au moins il m’aime. Et je préfère 1000 fois passer mes vacances à Berkane que à Oujda.
Déjà parce qu’on est plus près de la plage, et les braknas, n’ont pas la même mentalité que les oujadas.
Ils se la racontent trop, les O. Ils veulent trop faire comme les européens.
Au moins les B, ils sont fières de leurs oranges et ils aiment leur religion.Et puis Berkane, c’est bien. Y’a lzenka ta3 ldheb
, et jotiya, et puis tahtaha. Bon c’est vrai, c’est pas très touristique, mais c’est familial, c’est harmonieux. Et il fait plus frais qu’à Oujda. Et Saadïa, c’est pas très loin.
Jcrois bien ke j’irai finir ma vie la-bas.
Et quand j’aurai envie de manger un pain au chocolat, ou bien boire un vrai COCA, bah j’irai dans ma ville d’origine, Oujda…juin 28, 2006 à 6:44 #214720En réponse à : mon voyage à Oujda la ville de mes parents
Anonymous
MembreOui avec plaisir mais il faut me dire le nom de famille et les prénoms des personnes qui vivaient là à cette époque et aussi les noms et/ou prénoms des voisins si possible.
Miri
@sidonie wrote:Bonjour,
J’habite en France depuis 1961 mais je suis née à Rabat.
Mes parents et grands parents maternels et paternels d’origine espagnole ont habité longtemps à Oujda.
Mes grands parents paternels habitaient rue Condorcetcette rue porte-t-elle toujours le même nom ? et si non quel nom a-t-elle aujourd’hui ?
j’envisage de revenir sur la terre de ma famille accompagnée de ma mère agée de 83 ans, pour qu’elle retrouve ses racines.
quelqu’un veut-il dialoguer avec moi sur ce sujet ?
juin 26, 2006 à 7:42 #201546Sujet: mon voyage à Oujda la ville de mes parents
dans le forum Café OujdaCityAnonymous
MembreBonjour,
J’habite en France depuis 1961 mais je suis née à Rabat.
Mes parents et grands parents maternels et paternels d’origine espagnole ont habité longtemps à Oujda.
Mes grands parents paternels habitaient rue Condorcetcette rue porte-t-elle toujours le même nom ? et si non quel nom a-t-elle aujourd’hui ?
j’envisage de revenir sur la terre de ma famille accompagnée de ma mère agée de 83 ans, pour qu’elle retrouve ses racines.
quelqu’un veut-il dialoguer avec moi sur ce sujet ?
juin 19, 2006 à 9:34 #201527Sujet: OUJADAS QUE J’ADORE
dans le forum Café OujdaCityAnonymous
Membresalam 3likoum ya lahbab. moi j’habit en france et mon pays me manque énormément surtout oujda. je regarde beaucoup la télé mé ya pratiquement jamais de reportage ou chanteur de oujda. je trouve que c’est vraiement domage.
je suis allée sur plusieurs site » oujda » et ou il disent beaucoup de mal sur les oujadas. il boivent , il gaspillent il sont sur d’eux. mais je suporte pas qu’on disent du mal sur les oujada. de tout te facon de partout il ya des bons et des mauvais. vous trouvez pas?
juin 11, 2006 à 8:21 #211121En réponse à : Oujda ville berbere ou pas
Iznassen
Membre@Ibn al arabi wrote:
@Iznassen wrote:
vous trouvez ci-joint un document qui traite un peu de l’Histoire du pays zénète qui s’étendai jadis des environs de Tipaza, Chlef en Algérie actuel, jusqu’au environs de Fès en passant par Oran, Tlemçen, oujda…etc
Ce pays zénète avait tantôt Telemçen comme capitale avec le Roi YAghmouressen et tantôt Fès comme capitale avec les déscendants du Merin ( Les mérinides, almariniyines).
Les déscendants de Yaghmouressen et les déscendants de Merin étainet les ennemis de la même famille. Ils étaient souvent en conflit pour le contrôle du PAys zénète.
Dans les dernières pages, l’auteur récapitule les tribus de l’Oriental.
http://www.berberemultimedia.com/bibliotheque/auteurs/Nehlil_BSGAAN_1911.pdf
ويحك يا رجل!
ويحك, ما هذه الوقاحة والكلام السئ !
اتعلم انك ان لم تبايع ولي امرك فانك في ضلال مبين (اقصد الخلافاء القادمين ان شاء الله) سنكون لكم بالمرصاد !Réponse typique d’un obscurantiste salafiste : menace, violence !!!
Pauvre type !!!
juin 7, 2006 à 6:45 #211120En réponse à : Oujda ville berbere ou pas
Ibn al arabi
Membre@Iznassen wrote:
vous trouvez ci-joint un document qui traite un peu de l’Histoire du pays zénète qui s’étendai jadis des environs de Tipaza, Chlef en Algérie actuel, jusqu’au environs de Fès en passant par Oran, Tlemçen, oujda…etc
Ce pays zénète avait tantôt Telemçen comme capitale avec le Roi YAghmouressen et tantôt Fès comme capitale avec les déscendants du Merin ( Les mérinides, almariniyines).
Les déscendants de Yaghmouressen et les déscendants de Merin étainet les ennemis de la même famille. Ils étaient souvent en conflit pour le contrôle du PAys zénète.
Dans les dernières pages, l’auteur récapitule les tribus de l’Oriental.
http://www.berberemultimedia.com/bibliotheque/auteurs/Nehlil_BSGAAN_1911.pdf
ويحك يا رجل!
ويحك, ما هذه الوقاحة والكلام السئ !
اتعلم انك ان لم تبايع ولي امرك فانك في ضلال مبين (اقصد الخلافاء القادمين ان شاء الله) سنكون لكم بالمرصاد ! -
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