Résultats de la recherche sur 'Quel commerce sur OUJDA'

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14 réponses de 16 à 29 (sur un total de 29)
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  • #263135

    Essalam u aleikoum,

    Il me semble que ce monsieur SNP75 (sans doute en référence à “Sans Nom Patronymique” qui signifie « sans pere « ) est soit un déséquilibre mental ou un élément manipulé, il hante en effet tous les forums ou il est question de Maghreb surtout d’Algérie pour répandre son fiel.

    Son fonds de commerce est d’attiser la haine et les douleurs. Mr S.N.P est probablement proche de la cinquantaine et sa seule marotte semble être la chouha ??? (SHOAH ??) auquel il prétend être une victime traumatique.
    Mr SNP , si vous êtes sans emploi ou vous estimez que la vie ne vous a pas donner ce que vous méritez, et vous pensez trouver que ces activités pur vous donner une raison de vivre , il ya mieux a faire et pensez à retrouver le chemin de Dieu a la place. Il est très grave de répandre la haine entre les peuples musulmans aux yeux de l’Islam et continuer sur cette voie vous conduira droit à la damnation eternelle.

    Les Marocains et les Algériens sont un même peuple qui partage la même religion et les mêmes langues et origines. Que demandez-vous Mr SNP ? Des réparations? Adressez alors vous au Makhzen qui est a l’origine de vos déboires, Il est en effet un fait historique que l’aventurisme du souverain régnant de l’époque a lance ses troupes (le peuple marocain n’a pas ente consulte) contre l’Algérie naissante de 1963, les expulsions d’Algériens on commence a cette époque .Il est curieux de constater que vous ne le mentionner pas du tout le cas des Algériens vivant au Maroc expulsés a cette époque,
    Laissant leur biens dument acquis, emplois, medecins et affaires, rien qu’a Oujda, on pourrait dénombrer d’imnnombrable cas (Vous n’auriez pas une liste nominative de tous les Algériens expulses en 1963/64 ? Mr SNP ? aussi que photos pour en faire un vernissage aussi ??? 🙄 ).
    Il est vrai qu’ils on été invité par l’administration locale par la suite a réintégrer leur postes, et malgré cette tragedie, l’Algérie n’a pas touche a seul cheveu au Marocains vivant en Algérie…

    Le détonateur de cette tragédie a été l’aventurisme cocaïnesque du Sahara Occidental ou l’emploi de force a l’encontre d’un pays plus faible et des menaces a peine voilés profères a l’encontre de l’Algérie qui a failli conduit le deux pays en situation d’etat de guerre non declare avec blindés massés au frontières, conseillers militaire israéliens au Maroc , un grand nombre de tues et blesses, guerre des ondes…)
    Et c’est dans ce climat qu’il faut comprendre l’opération de police de 1975 ou marocains ont été éconduits au frontière, la très grande majorité étant en situation administrative précaire, à l’ origine des travailleurs agricoles saisonnier ayant choisi de rester en Algérie âpres l’indépendance de l’Algérie mais sur lesquelles les autorités Algériennes on fermer jusque-là les yeux pour des raisons historiques et humanitaires.

    Et je ne parle pas des spoliation de biens appartenant aux Algériens résidants au Maroc par application du dahir portant loi n°1.73.213 du 2 mars 1973, relatif au transfert à l’Etat de la propriété des immeubles agricoles appartenant aux personnes physiques étrangères ou aux personnes morales, ou des milliers d’Algériens possédant des biens à Guercif, Agadir, Taza, Oujda, Berkane, Casablanca, Nador et Fès ont été inexorablement spoliés.

    Une idée pour vous, Mr S.N.P est de demander des réparations en vous adressant au Makhzen et demander de cet argent extorque à ces Algériens spoliés.

    #203444
    miss001
    Membre

    l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion, créee à oujda depuis 4 année exactement.
    un label qui a pu refleter l’image d’une jeunesse qui a de la ferveur et de l’enthousiasme à desservir le maroc de demain d’une masse de compétences formées selon le calibre des grandes écoles de commerce et gestion.
    il y a juste quelques jours, l’école marchait encore sur les pas de ses objectifs, et promettait l’aboutissement, suite aux temoignages sincères d’un nombre d’observateurs sur la scène de l’enseignement superieur, intranationaux ainsi qu’internationaux.
    l’avènnement du nouveau directeur Mr kessab el bekkay sera une nouvelle ère pour l’ensemble de l’école:
    les étudiants subissent la tyranie incontournable du directeur, qui prends l’affaire de direction comme un lieu de défit, négligeant tout interet des étudiants, ou la continuité de leurs cours sachant que depuis le 26 décembre dernier, aucun cours n’a été donné.
    les enseignants se verront remerciés a leurs insus, juste parceque MR KESSAB tente de former son propre staff de profs, négligeant la compétence et le dévouement des anciens, au sein de la même école qui lui a été confiée par sa majesté afin d’assurer la bonne gestion.
    bref, pleins de détails s’ajoutent, pour mettre le moral des étudiants a zero.
    ceux ci entrés en grève depuis le 16 janvier, suiveront les professeurs, qui a leurs tour ont perdu toute motivation de continuer dans l’encgo…
    l’école est en galère, elle va vers la chutte, et au lieu de mobiliser les bonnes énergies, elle les anéanti.
    à cause d’une seule personne, 500 autres vivent l’enfer depuis son arrivé, tout se détruit devant leurs yeux, et personne n’est capable de faire quoi ke se soit pour eux… ils ne leur en reste plus ke la grève, et la longue attente pourvue ke klk1 puisse entendre leur voix appeler les personnes compétentes pour qu’enfin leur avenir et carrières ne soient plus à la merci d’un homme sans conscience professionnelle ni compétence en matière de gestion.

    #211294
    touria016
    Membre

    Les femmes managers ne sont pas toujours celles que l’on croit. Fatima Lakhal fait partie de ces femmes atypiques et exceptionnellement douée qui, partant de rien, et dans un contexte difficile, se retrouvent à la tête d’une véritable entreprise. Un véritable success-story de la micro-finance. Originaire et vivant à Oujda, âgée d’une cinquantaine d’années, Fatima Lakhal, qui ne vivait autrefois que petits commerce, débute son parcours du combattant grâce à un petit prêt, en janvier 1999, de l’association Al Karama. Au début, son capital ne dépassait pas 10000 Dhs. Marchande d’olives dans un souk, elle s’oriente vers l’élevage de moutons où elle investit tous ses profits.
    Depuis 1999, elle a reçu 8 prêts dans le crédit solidaire, ainsi que deux crédits individuels de 10000 Dhs chacun. Aujourd’hui, son cheptel s’élève à 150 têtes et son capital à 140 000 dhs. Elle emploie 10 personnes (dont son mari !) et contracte un dernier prêt pour acquérir un lot de terrain sur lequel elle compte construire une étable pour se lancer dans l’élevage de bovins. Pour vaincre son analphabétisme et mieux gérer ses affaires, Fatima Lakhal suit des cours d’alphabétisation. Une véritable manager, simple et tenace, reconnue et respectée par son environnement, y compris masculin ! »

    voici tout ce que j’ai trouvé ! en tout cas, merci bcp dahlia, je connaissais pas cette grande dame!

    #239292

    En réponse à : Quel commerce sur OUJDA ?

    dawy
    Membre

    @Oujda-City wrote:

    Salam les frères et soeurs, 🙂

    Je veux faire un commerce qui marche bien sur oujda, mais je ne sais pas quoi choisir… ❓

    C’est pour celà je suis venu demander votre aide.

    Baraka Allhouffikoum.

    Merci d’avance…

    Wa salam. 😉

    Salut OUJDA-CITY et bienvenue.
    Il faut etre sur place pour palper l’activité économique de la ville et prendre une decision en toute connaissance de cause.
    Pour les conseils il y a toujours des bons mais aussi des mauvais.
    Ca vaut le deplacement.
    Bonne chance.

    #203221

    Sujet: Quel commerce sur OUJDA ?

    dans le forum Oujda
    Oujda-City
    Membre

    Salam les frères et soeurs, 🙂

    Je veux faire un commerce qui marche bien sur oujda, mais je ne sais pas quoi choisir… ❓

    C’est pour celà je suis venu demander votre aide.

    Baraka Allhouffikoum.

    Merci d’avance…

    Wa salam. 😉

    #239010
    Alaa-eddine
    Participant

    J’ai vécu et grandi à oujda et moi aussi j’ai consomé les produits venant de l’espagne je sais qu’il y a énormement de familles sans moyen qui ne peuvent pas s’offrire les produit taxés du pays
    mais j’aimerai bien qu’on séparre les deux sujet.
    il faut savoir que ce commerce est à la merci de l’espagne, le jour ou ils voudront fermer le robinet (pour faire pression par exemple) ils le feront, faut pas se leurer … et puis à choisir entre creuver de faim dignement et lecher le bottes pour se faire nourire … moi perso je choisis la dignité .

    maintenant concernant ce qui est fait et ce qui est pas fait par le gouvernement … depuis que je suis gamin c’est le meme discours que j’entends (le gouvernement n’a pas fait ou ne veux pas faire) et je sais que c’etait le meme discours avant meme mon arrivé à ce monde . il serait peut etre temps d’arreter et de se mettre au travail si on veut que les choses changent, OK on vas dire que le gouvernement ne fait pas son travail , est ce une raison pour le suivre ??

    la question est : veut on ou pas de changement ?
    si oui alors il faut arreter de pleurer sur notre sors et faire quelque chose pour que ca change vers le mieux et dans le sens que l’on souhaite à notre pays.
    un pays est riche par son peuple avant tout, si 5% des marocains arrivent à avoir un esprit constructif on arrivera à quelque chose … sinon d’ici 2000ans on sera encore entrain de dire « oui mais le gouvernement n’as pas fait »

    #202918
    snp1975
    Membre

    Actuellement je travaille sur la mémoire des Marocains d’Algerie.
    En plus j’ai entamé un travail sur la mémoire des Algériens au Maroc.
    Je serai comblé si des algériens ou des marocains de la region de Oujda peuvent m’aider à comprendre l’histoire de ces algériens du Maroc.
    Merci.

    http://marocains-d-algerie.niceboard.com

    L¹immigration algérienne au Maroc à l¹époque coloniale (5/28/2006)

    Le cas de la communauté algérienne à Oujda

    1ére partie

    L¹émigration algérienne à l¹époque coloniale avait comme destination principale la France métropolitaine. Pour des raisons de proximité géographique, de liens familiaux et des relations culturelles et religieuses, le Maroc a été la première destination des Algériens fuyant la colonisation française, les Mouhajirin ou «exilés pour la foi». C¹était le début d¹une émigration qui prendra plusieurs formes et durera plus d¹un siècle (1840-1962). Ainsi, des dizaines de milliers d¹Algériens (100.000 environ pendant la guerre de libération algérienne) ont fait du Maroc leur seconde patrie.
    Cette communication tente d¹apporter un premier éclairage sur cette émigration inter-maghrébine, en attirant l¹attention des chercheurs en matière d¹émigration sur ce phénomène. Etant donné que la communauté algérienne habitait principalement Oujda et sa région, nous consacrerons cette étude aux Algériens de cette ville. Il s¹avère intéressant de signaler que ce thème n¹a pas encore fait, à notre connaissance, l¹objet d¹études sérieuses. Nous avons là une nouvelle page de l¹histoire de l¹émigration algérienne à écrire1.
    Grâce à sa colonie algérienne comptant 29.300 personnes, Oujda se plaçait en 1960 en deuxième rang au Maroc pour le nombre d¹étrangers après Casablanca. A la même date, la communauté algérienne du Maroc était de 95.000, soit 24% de l¹ensemble des étrangers (396.000). 50% des Algériens résidaient dans l¹oriental2.
    Cette émigration de l¹Algérie vers le Maroc concernait les Européens de l¹Algérie (les colons), tout comme les Algériens de souche, musulmans ou juifs. Notre étude concerne seulement les Algériens musulmans. (Š)

    Les sources historiographiques

    Comme déjà signalé, il n¹existe – à notre connaissance- aucune étude de synthèse sur le sujet. Cependant, il y a un certain nombre de documents de base permettant de se faire une idée sur l¹histoire de cette immigration, malgré les préjugés classiques du colonialisme3, et de suivre l¹évolution de cette communauté dans cette région frontalière du Maroc. Ils fournissent des données chiffrées sur les différentes vagues d¹immigration, sa répartition géographique à Oujda, ainsi que les activités professionnelles exercées par celle-ci. Il s¹agit notamment des quelques rapports et mémoires de C.H.E.A.M. 4
    – M. Lemaille (1937) : les Algériens à Oujda en 1937. Bulletin du Comité de l¹Afrique Française, n° 5, mai 1937, pp.255-260.
    – P. Decroux, (1938), Les Algériens musulmans au Maroc, condition juridique et sociale. Boulogne sur Seine.
    – « la vie sociale des Algériens au Maroc ». Bulletin Economique du Maroc. 1938, pp.20-25.
    – P. Azam (1951), sur l¹émigration temporaire au Maroc oriental, comporte également des données importantes sur les Algériens dans le Maroc oriental.
    – Le rapport du Contrôleur civil adjoint H. Lombard datant de 1953, intitulé « aspects de la situation et du rôle de l¹immigration algérienne musulmane dans la région d¹Oujda ».
    – Il y a enfin le mémoire de P. Depis (1962) sur le problème des réfugiés algériens au Maroc oriental (mars 1956- mai 1962).

    L¹histoire des vagues migratoires
    algériennes vers le Maroc

    -Les différentes vagues d¹immigration :
    L¹émigration algérienne à l¹époque contemporaine est un phénomène lié à la colonisation. C¹est l¹une des conséquences des grands bouleversements provoqués par celle-ci dans les sociétés maghrébines. Les Algériens sont arrivés par plusieurs vagues. Nous distinguons quatre vagues principales essentiellement dans la ville d¹Oujda et sa région. C¹est ainsi que le contrôleur civil adjoint H. Lombard qui consacra une étude à l¹immigration algérienne dans la région d¹Oujda, qualifie cette immigration d¹un terme différent qui correspond à chaque étape de son histoire. Immigration de l¹exil jusqu¹en 1907, immigration « appelée » de 1909 à 1926, immigration «favorisée» de 1926 à 1942 mais seulement «supportée» de 1942 à la fin du Protectorat.
    La première vague date de la période de l¹occupation française de l¹Algérie. Voyant leur pays occupé, beaucoup d¹Algériens fuyant cette domination, prirent le chemin d¹exil vers le Maroc. Il s¹agit des Mouhajirin (exilés pour la foi). Beaucoup ont accompagné l¹émir Abdelkader lors de son exil au Maroc en 1843-1844. Ils viennent surtout d¹Oranie : de Tlemcen, Nedroma et Mascara. Nombreux parmi eux, se posant comme concurrents des Fassis (originaires de Fès), vivaient du commerce en utilisant leur relation avec l¹Algérie pour leurs affaires. Du fait de l¹ancienneté de leur installation, à la veille du protectorat, ils étaient considérés comme Marocains. Selon plusieurs sources5 cette population suscitait chez les Oujdis (les habitants de la ville d¹Oujda) une certaine jalousie car le Cadi d¹Oujda fut souvent choisi par le Makhzen parmi les Algériens. De nombreux fonctionnaires du culte étaient algériens. Selon ces mêmes sources, cette animosité fut un facteur de maintien de la personnalité algérienne et un obstacle à la fusion totale. Cependant cette fusion se réalisa partiellement, «il y a lieu de penser qu¹au total ils n¹étaient qu¹à demi-étrangers» écrit Lombard. On trouve aussi les traces de cette première vague d¹immigration algérienne dans les sources marocaines qui parlent du bon accueil réservé par les Marocains à cette communauté d¹exilés. «Le Sultan marocain a donné ses ordres pour qu¹ils soient bien accueillis et logés.. »6 Dans son histoire de Tétouan, Mohamed Bendaoud raconte que dès le débarquement français à Alger en 1830, deux bateaux, à leur bord des familles algériennes arrivent à Tétouan en août 1830. Et en 1842 on recense à Tétouan plus de 700 algériens pauvres.7
    La deuxième vague remonte à l¹occupation d¹Oujda en 1907 et l¹établissement du Protectorat. Pendant cette période arrivèrent beaucoup d¹Algériens qui devaient jouer le rôle d¹intermédiaires entre les occupants et les Marocains. Ils étaient interprètes grâce à leur connaissance de l¹arabe et du français, greffiers, instituteurs et professeurs. Leur nombre ne cessait d¹augmenter. (Š). H. Lombard8 souligne que pendant cette première période, les Algériens musulmans formaient «une colonie annexe de la colonisation européenn ». En effet appelés par l¹Administration, par des frères déjà installés, par des cousins, et des amis, affluèrent de toute l¹Oranie et particulièrement de Tlemcen ou de Nedroma (véritables pépinière de fonctionnaires), par centaines, des familles entières qui croyaient à la pérennité de la présence française au Maroc (Š).9
    En effet, ceux qui étaient exilés pour des raisons religieuses lors de la conquête de l¹Algérie, n¹ont pas tenu, après l¹installation du Protectorat au Maroc, à se prévaloir de leur qualité de sujets français. Il leur importait peu d¹ailleurs de changer de nationalité puisque de toutes façons leur statut demeurait régi par la loi musulmane. Eux ou leurs descendants figurèrent désormais avec les Marocains dans les statistiques10. En 1907, ils formaient plus d¹un cinquième de la population d¹Oujda qui comptait quelque 6.000 habitants. Pour 1910-1911 Louis Voinot11 parle de 1.500 Algériens groupés en 300 foyers, mais le recensement de 1911 cité par Augustin Bernard12 n¹enregistrait que 200 Algériens sujets français. A vrai dire, il est difficile de se faire une idée non seulement du chiffre exact de cette population, mais aussi de sa position par rapport à la France. Surtout que le statut de « sujet français » n¹a pas toujours été facilement reconnu par l¹Administration française. Ainsi beaucoup d¹Algériens se sont trouvés «noyés dans la masse des Marocains, faute d¹avoir entrepris les démarches pour faire connaître leur origine algérienne et donc leur qualité de sujet français, ceci plus au moins volontairement»13. De nombreuses familles ont fini par avoir la nationalité marocaine. Telles que les familles Ben Mansour, Abdelghani, Ouled Sadouni…etc. D¹autres, d¹origine algéro-turque (Koulouglis) restèrent sans nationalité. H. Lombard explique qu¹il y avait des familles qui recevaient du Makhzen marocain l¹indemnité due aux Mouhajirin et prenaient la précaution d¹inscrire leurs enfants à l¹état-civil de Tlemcen ceci dès avant l¹occupation française du Maroc. C¹est le cas des Triqui et des Meziane. D¹autres ont préféré ne pas se manifester comme tels et passer pour des Marocains. Il remarque aussi que la présence des Algériens à Oujda représentait un atout pour la France. Il écrit : «dans ce Maroc étranger à la France, les Algériens qui vivaient même musulmans, même ayant fui la domination française et n¹aspirant qu¹à se fondre dans la population qui les entourait, servaient déjà l¹intérêt français commercialement et politiquement, le plus souvent involontairement» 14
    Cette participation massive des Algériens dans l¹administration du Protectorat leur a donné, aux yeux des Marocains, l¹image de gens qui se rapprochaient des Français et s¹éloignaient de leurs frères musulmans. Ainsi ils sont traités de «shab nçara» c¹est-à-dire «les amis des Chrétiens»15. Avec le temps, les Algériens sont devenus moins indispensables pour l¹administration française, ils furent progressivement remplacés par des Marocains pour les petits emplois. On réglementa leur admission au Maroc, surtout on changea le statut des fonctionnaires qui furent assimilés aux Marocains en 1926. L¹arrêté viziriel du 8 janvier 1926, déplaçait les fonctionnaires algériens musulmans du cadre français vers le deuxième cadre spécial marocain et assimilé. Les Algériens, à travers la Fédération des Algériens musulmans du Maroc, ont protesté contre cette réorganisation de 1926. Ils ont exprimé leur refus de cette confusion avec les Marocains, allant même jusqu¹à accuser la France de « racisme assimilateur ». La Fédération des Algériens musulmans du Maroc rappelle que « de nombreux algériens abandonnant leur situation en Algérie ou même interrompant leurs études, ont répondu à l¹appel de la France, se sont expatriés, ont donné au Maroc sa première armature et ont pu rendre au Protectorat de réels services… ; que la nationalité prime l¹origine et que le racisme assimilateur qui leur est opposé n¹est pas appliqué aux Israélites, le Juif algérien conservant un statut distinct et supérieur à celui de Juif marocain ».16 De même les salariés algériens ne pouvaient plus bénéficier de la législation sociale appliquée aux citoyens français. N¹étant pas des citoyens mais des «sujets français», ils ne pouvaient pas bénéficier de la majoration de traitement de 38% et du remboursement des frais de voyage en congé accordés aux Français.
    Malgré ces inconvénients, les Oranais continuaient d¹affluer vers le Maroc. Ils étaient 2471 en 1926, ils passent à 4594 en 1936. (Š) Oujda fut leur point d¹arrivée, plus de la moitié des Algériens au Maroc en 1936 vivaient dans cette ville (57,6%). Pourtant le Maroc aussi se fermait plus au moins à leur émigration, à cause de la crise économique. A partir de cette période, les conditions d¹entrée des étrangers au Maroc, donc des Algériens dans ce cas, sont devenues dures, avec le dahir du 20 octobre 1931, dont les dispositions furent renforcées en 1934, avec l¹obligation de disposer d¹un contrat de travail accordé par l¹employeur pour une durée d¹un an minimum. Ce contrat devait être visé par le Service du Travail de Rabat. Les Algériens protestèrent contre cette loi, surtout que l¹entrée des Marocains en Algérie était pratiquement libre subissant de ce fait une concurrence sur le marché du travail algérien sans réciprocité.17
    La troisième vague d¹immigration « supportée » et non pas « appelée », selon l¹expression de H. Lombard. Elle est composée essentiellement de travailleurs sans capitaux à la recherche d¹emplois et qui vont se confondre avec les prolétaires marocains. Ce caractère nouveau s¹est affirmé après la seconde guerre mondiale. A Oujda le nombre d¹Algériens passa de 4.813 en 1943 à 14.322 en 1951, leur nombre a triplé en l¹espace de huit ans. Cela concernait aussi les autres villes ou villages de la région orientale du Maroc comme Berkane, Ahfir, Taourirt. (Š). Ces immigrants sont majoritairement des ouvriers sans qualification. Un grand nombre s¹adonna à la contrebande qui régnait à Oujda. « Une population algérienne s¹est créée qui se compose de gens sans profession déterminée, instables, chômeurs… se rapprochant de la plus basse couche sociale marocaine tout près de laquelle ils vivent »18. A la fin de la guerre ce mouvement s¹intensifia, avec une foule de gens sans contrat de travail qui créait des petites boutiques et vivait avec les Marocains démunis dans des quartiers ou « villages » périphériques.
    Le dernier afflux est lié aux événements de la guerre d¹indépendance de l¹Algérie déclenchée en 1954. A partir de cette date des milliers de réfugiés algériens s¹installèrent à Oujda ; 6.386 en 1957 et 9.851 en 195819. (Š)

    #221245
    dahlia
    Membre

    bonsoir sherifi.

    bienvenue a oujdacity.

    pou ce qui est des adresses mails ,j’allais te proposer le site de la CCISO ,mais puisque tu dis ne rien y trouver …. 🙄

    bref faudrait preciser a quel secteur tu t’interesses le plus ,et je pourrais t’aider.mais faut d’abord voir si toutes les entreprises ont un systeme de gestion informatisé et sont tous enregistré dans le repertoire de la chambre de commerce et surtout ont des adresses e mails ……en tout cas j’essaierai d’avoir quelques informations et je te les communiquerai inchallahe.

    bien a toi

    #207431
    saidi
    Membre

    Chère SOUMYA, bonjour.

    J’ai bien lu ton message où tu donnes ton opinion pour ce qui est de la frontière entre le Maroc et l’Algérie. Certes, vu sous un angle un peu restreint, on serait tenté de comprendre tes arguments, malheureusement, la réalité est différente. En effet, malgré tous les exemples que tu cites et qui te paraissent bénéfiques pour la population pauvre frontalière, je ne pense pas être de ton avis, je m’explique: Nous savons tous que la population marocaine frontalière y trouve son compte (je ne te caches pas que lorsque je suis de passage à Oujda, mes pleins de réservoir de carburant pour mon véhicule, je les fait avec du carburant provenant en contrebande de l’algérie), ceci n’est qu’un exemple parmis tant d’autres. Il est vrai aussi qu’on a l’impression que la vie des gens paraît plus abordable. Mais ce que je voudrais te dire que c’est un système qui n’est pas viable ni durable. Pour exemple, si la population frontalière continue à se servir des différents produits provenant de la contrebande et par conséquent moins chèrs que les produits marocains (produits algériens, en provenance de Melilla, produits provenant d’autres pays sans même transiter par l’algérie etc…) Tu dois savoir que ce n’est pas la population pauvre qui profite de l’essentiel, ceux qui profitent de l’essentiel, c’est nos contrebandiers marocains en connivence avec les contrebandiers algériens qui ramassent le plus gros des gains au point qu’ils ne savent que faire de leurs gains si ce n’est d’ériger des bâtiments que tout le monde se pose la question de savoir à quoi peuvent-ils servir et combien de gens sont mis au travail pour résorber le chômage. D’un autre côté, tu ne dois pas oublier, que c’est une politique dangereuse en ce sens qu’il suffit aux gouvernants de l’autre côté de la frontière de donner un coup de vis pour arrêter cette contrebande et tu sais qu’ils sont capables, pourqu’on soit placé dans une très mauvaise position. J’ajouterais à celà que tout ce marché informell est nuisible à notre région, peutêtre pas à court terme mais sûrement à long terme. On doit se poser la question de savoir qui sont les investisseurs qui vont s’interesser à venir installer des usines dans la région s’ils savent qu’ils ne pourront jamais concurencer les prix des produits de la contrebande, alors? on doit continuer dans cette voie qui me paraît fragile et incertaine où faire un effort pour permettre à nos hommes d’affaires de venir installer leurs usines pour, je le repète engager, engager, engager car c’est la seule voie qui pourra permettre à nos jeunes universitaires diplômés passer des journées à pousser des charettes pour ventre des fruits et légumes ce qui nous désole tous quand on se rend à Oujda pour y passer quelques semaines(il faut aller voir en hiver ce que deviennent ces jeunes hormis le rêve d’attente d’un éventuel contrat pour venir grossir les rangs de chômeurs qui existent en europe). Pour bien te faire comprendre ces choses, sais tu que le complexe touristique que FADESA réalise à SAIDIA se répercute déjà sur pas mal de corps de métiers? comme nos hommes d’affaires ont souvent une vue courte sur l’avenir, au lieu de se mettre au travail, aggrandir leurs usines, multiplier l’embauche, il m’est venu à l’oreille (celà reste à prouver) que nos hommes d’affaires, au lieu de réagir comme je l’ai dit, ils se contentent malheureusement de faire venir des marchandises en contrebande en provenance de l’algérie pour pouvoir faire face à la demande pressante du groupe FADESA? cet exemple parmis tant d’autres doit nous donner à réflechir! ces hommes d’affaire, ce qui les interesse, ce n’est pas d’avoir le sens du civisme et de la citoyenneté et se mettre au travail pour développer notre région, non, ce qui les interesse, c’est de se procurer de la marchandise d’où qu’elle vienne pour peu qu’elle soit à moindre coût et que les bénéfices qu’ils feront soient colossaux.

    Même si celà nous paraît à tous presque utopique, compte tenu des différents diplomatiques et politiques, je persiste à croire que le developpement de la région passera necessairement par l’ouverture des frontières, quand je dis celà, je ne parle pas que de l’algérie mais de l’UMA qu’on nous a toujours fait miroiter et que nous ne voyons toujours aucune prémisse qui permet d’être optimiste.

    Vous voulez des exemples? pourquoi croyez vous que l’EUROPE de Bruxelles s’acharne à faire élargir son cercle en se tournant notamment vers les pays de l’Est? croyez vous que c’est pour sortir certains de ces pays de la misère qu’il le font? non! il le font pour attendre le retour de la manivelle, en élevant le niveau de vie de ces pays, ils finiront par devenir des consommateurs, et qui va leur fournir les produits de consommation? c’est les pays initiateurs qui n’arrêtent pas de les bombarder à coups de milliards d’euros, c’est parcequ’ils savent qu’il y aura un jour ou l’autre ce fameux retour de manivelle. Voilà, je ne veux pas me comparer à ces puissances, mais je suis convaincu, compte tenu du marché potentiel que nous avons d’abord entre les pays de l’UMA et pourquoi pas prendre les devant et viser les pays subsahariens.
    Raisonner en termes des frontières en faisant allusion à la pastèque marocaine, au yaghourt algérien et les boissons qui ont d’ailleurs changées de sens puisque le cocacola dont rêvait l’algérien d’hier est devenu un commerce qui se fait dans le sens inverse puisque dans les familles d’Oujda, on voit rârement une bouteille de coca marocaine mais plûtot algérienne et à des prix défiant toute conccurence, celà pourrait être vrai demain pour beaucoup d’autres produits, que restera alors au maroc? fermer l’usine de coca d’oujda comme celà a déjà été évoqué à plusieurs reprises avec tous les licenciements qui suivront et les drames sociaux qui en découleront à moins qu’on se contente de dire que nous resterons supérieurs en leur fournissant des substances nocives sur lesquelles on ne doit malheureusement pas baser l’économie d’une région. Je vous demande de m’excuser d’avoir été long. salutations

    #208330

    En réponse à : la mentalité des oujdis suite

    Oujdino
    Membre

    M birouk, soit vous voulez nous provoquer, soit vous avez un problèmes avec les oujdis.

    Vous avez dit qu’on est défaitistes devant les épreuves : je vous rappelle monsieur, depuis qu’Oujda existe, elle n’a pas arrêter d’affronter avec courage des épreuves durs que vous pouvez même pas imaginer, je vous donne quelques exemples (6 ou 7 fois détruites par les Marinides, les ottomans, les français………..marginalisation depuis l’indépendance ……. Et la liste est langue………malgré ce la Oujda a survécu en se battant avec courage et intégrité contre l’injustice, les agressions ….

    Vous avez dit qu’on batte nos femmes,ce qui implique qu’on les persécutent….ce que vous avancer est faux 5 femmes oujdiattes qui sont nées et grandit à Oujda occupent actuellement des postes à haute responsabilité dans les parlements belge,

    Vous avez dit qu’on est des mouchards et je vous repond que les grands colabos était pas oujdis ( le pacha de marakech…………;

    Si les oujdis sont des Hypocrites, Oujda ne sera pas dans son état actuel de marginalisation et d’abondon mais plutot comme statte ou casa

    Si on était des lâches on laissera nos amis les algériens vous manger,
    Et d’allieurs on s’entend bien avec les algériens on partage les même valeurs,géographiquement on est pas loin des grandes villes algériennes ( oujda est à 1 h de Telmsan , 2 h de 0ran , 5 h d’alger……et de 12 de casa ), entre nous il y a du respect mutuelle, du commerce et des relations familiales.et c vrai il y a pas mal d’oujdis d’origine algérienne et ce la pour moi et un avantage et une richesse.

    Si vous nous ne considérer pas comme des marocains à part entière , alors on s’en fou car on est des oujdis et ce la nous suffit

    Une derniere chose monsieur bireuk

    Si vous etes berkanais et vous avez marre des balgues berkanaise, dans ce cas j’invite tout les oujdis d’arreter ce genre de conneries,quandon n’ est pas entre « wlad cherk » car oujdis & berkanais sont frerres et quand je parle d’oujda je parle tout naturelement de berkane et qui aime bien chattie bien

    Si t’es « Gherbi » dans ce cas je te demande de fermer ta geule,car deja vous nous fetes la honte devant le monde entier avec vos scandale ( Haj tabette , Les Saudiens , les enfants de marakkech , le belge d’agadir , s… de starac et la liste et langue ……donc tu ferai mieux de balayer devant ta porte.

    Et finalement si tu n’aime pas Oujda ,alors comme on dit chez nous à Oujda « moutte tekbech »

    #212398

    En réponse à : Oujda & Trabando!!!

    OUJDI_PUR
    Membre

    la contrebande est nefaste pour l ‘economie c’est vrai
    mais comment voulez vous que que les gens d oujda se debrouiller sans la contrbande !!
    et cette economie que vous defendez qu’a fait elle a notre region!!
    et de quels usines vous parlez qu ‘existent a oujda :
    coca cola ,colaimo … et le salaire minable (les miettes qu’on donne aux ouvriers c’est ca le job mes chers amis !!! que vous defendez
    et en plus 2010 ne lui reste que 4 années et vous verrez ce que va apporter le commerce libre et la mondialisation et comme exemple les chinois qui ont envahi casablanca et bientot le maroc

    #211556

    En réponse à : Saidia & FADESA

    msc de mtl
    Membre

    domage pour deux choses:
    la premiere c est qu il en existe encore des personnes qui juge les autres par leur apparence, c est tu veux savoir si je suis oujdi ou non vous m avez qu a me poser la question, si ca vous ajoutera quelque chose meme si je m en doute. je suis weld boudir. et je suis d prigine d oujda. et je sais tres bien c est quoi le commerce a oujda, et deuxiememnt c est domage pour toi car tu as une vision des choses tres courte. il faut aller beacoup plus loin que cette pense limitee. il faut comprendre que par la consommation des produits etrangere et en plus dans le marche noir. tu es en train deteruire les commercants de ta region qui vond des produits nationaux tu es en train de donner de la richesse a l espgne pour pousser les jeune welad bladek d immigrer clondestinement……etc
    et on tous cas c est rabi rezaq et non pas les marchandises de l espagne ou d algerie.
    mais apparament meme si je ne veux pas te juge tu es ngadi pur alors une grande probabilite que tu es un de ses commercants qui vond les produit d alger ou de l espagne.

    #208040
    Alaa-eddine
    Participant

    ma comparaison avais pour but de montrer à M highgame que ces statistiques etaient fausses, et pas pour comparrer les deux site
    je cite cequ’il a dit :

    …microchoix dépasse les 900000 occurences sur google …

    cequi etait faux, et l’ai toujours

    et le débat s’etait déclanché à cause des liens publicitaires sur le forum…

    concernant les pages rank actuels, il ne sont pas encore valides puisque le moteur est en période de ce qu’on appel « googledance » donc ça ne sera pas valide avant quelques semaines
    pour calculer la tendance vous pouvez utiliser ce site http://rankit.free.fr/index.php
    vous verrez que oujdacity passe d’un PR 3 à un PR de 5 !
    et que microchoix reste sur un PR de 4

    … ce n’est pas pour justifier quoi que se soit…. d’ailleur dans un article, google a précisé que le pagerank n’aura plus un grand interret au niveau refferencement (on a deja vu des sites avec un bon page rank perdre beaucoup de positions apres jagger)…
    puisque l’algo de calcul du page-rank est fallible : un site peut faire croire à google qu’il a un PR de 10 avec une simple manipulation des entetes HTTP …

    tout ça pour dire que ce genre de comparaison n’a pas vraiment de sens puisque les deux sites ne ciblent pas le meme publique, ni les memes mots clés :
    – Oujdacity n’a pas les memes moyens que microchoix 😆 , je suis tout seul à gerer le site oujdacity alors qu’il y’a toute une equipe derrière microchoix !
    – en plus oujdacity n’a aucun revenu alors que microchoix c’est un site de e-commerce.
    – …etc

    et pour revenir au debat, au debut je tolerait l’insertion de liens dans les messages, mais il y’a eu pleins d’abus 🙄

    ce qui m’a obliger de tous les suprimer

    Anonymous
    Membre

    slt je remercie le staff technique d’avoir realiser se forum pour pouvoir exprimer nos idee personnelle et essayer de troouver une solution fiable sur les probleme parcouru dans la region.
    on reponse a monsieur (oujdi), ce que je viens de lire sur ton analyse suis d’accord et pas d’accord .
    oui je me souviens la periode pendant la quelle les frontieres etais ouvertes on a eu une hausse de pris sur n’importe quel article acheter mais il faut pas oublier que le PIB (Produit Interieur Brute) d’oujda et du maroc il a augmenter pres 48% pendant une annee et par apport au annee precedente (je veux dire qu’on a passer economiquement casablanca en une annee sur 2ans) je pense que s’etais un explois .
    au niveau des hausse des pris je pense que la fautes vient pas du marchand directement, normalement le gouvernnement dois adopter une loi sur les pris fixe des articles, à mon avis c’est le seul moins pour regle se probleme,
    au niveau des frontiére je pense que historiquement notre region oriental (oujda nador) s’est une ville frontalliere alors il est baser economiquement sur le commerce en premier lieu et agriculture en deuxieme (berkane ahfir), si vous voulez que notre region se devellopper alors y’a deux moyen ouvrir les frontiere (ce qui est impossible pour le moment) ou attendre les invesstisseur etranger (je pense pas qu’on vas avoir d’autre invesstisseur dans notre region apres fadesa), apres l’agriculture c’est notres seul moyen de survis .
    je vais pas nié que y’avaient des oujdi qui veullent venir invesstir a oujda mais pour eux s’est trop compliquer parce que le gouvernnement complique bcp de chose au niveau de paprasse (mabkatch frjal bkatte f l’argent), y’en a des gens qui y on travail pendant leur vie pour ramasser un peu d’argent et tu pense qu’ils vont prendre le risque pour invesstir au maroc ????
    comme je dis tout le temp il faut avoir une ouverture sur la mondialisation sinon on deviens comme des gens qui se renferme entre eux meme .

    Apropos j’ai bien aimer le dernier article de oujdacity.net

14 réponses de 16 à 29 (sur un total de 29)
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