Résultats de la recherche sur 'Qui a dit quoi'

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15 réponses de 751 à 765 (sur un total de 7,031)
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  • #273416

    En réponse à : Santé et drogues ????

    Salah2006
    Membre

    L’affaire Yakoubi : un non-lieu pour les accusés

    Cette affaire remonte à novembre 2004 pour déboucher quatre ans plus tard sur l’acquittement par le tribunal de première instance de Casablanca des deux accusés, le Dr Abdelkrim Lahouidi, chirurgien neurologue, et Abdenbi Fawzi, anesthésiste réanimateur. La victime, âgée de 49 ans, cadre à Safi à l’époque, souffrait d’une sciatique. Elle a été admise dans une clinique de neurologie à Casablanca pour subir une opération. Elle ne survécut pas. Le rapport établi par l’anesthésiste explique la cause du décès par un «arrêt cardiaque suite à une fibrillation ventriculaire avec inefficacité circulatoire». Les massages cardiaques n’ont servi à rien. La famille accuse l’équipe médicale d’avoir opéré dans la précipitation sans prendre la peine de faire les analyses préparatoires à toute opération de ce genre, d’autant que, selon elle, la victime souffrait d’une tachycardie (accélération du rythme cardiaque). L’affaire est portée devant le tribunal de première instance de Casablanca, et, deux ans plus tard, en février 2006, le parquet décida de classer le dossier sous prétexte d’absence d’éléments criminels. La famille ne lâche pas prise. En 2008, elle charge un nouvel avocat, Me Saïd Amehmoul, du barreau de Casablanca, de rouvrir le dossier en s’appuyant dans sa plaidoirie sur l’article 432 du code pénal. Lequel article punit de l’emprisonnement de trois à cinq ans et d’une amende de 250 à 1000 DH, quiconque «par maladresse, inattention, négligence ou inobservation des règlements, commet involontairement un homicide ou en est involontairement la cause». La défense ne demanda que le dirham symbolique, mais le tribunal réfuta l’accusation en décidant d’un non-lieu.
    Un jour du mois de mars 2005, un bébé d’un an, Jamila Ghazali, est admise à l’hôpital Ibn Rochd de Casablanca pour subir une opération au niveau du cerveau. Elle en sortira avec des brûlures aux orteils dues au chauffage installé dans la salle de l’opération. Deux ans plus tard, Abdellah, un adolescent de 13 ans, souffrant d’une appendicite, est admis dans une clinique pour l’ablation de l’organe malade. A la stupéfaction du père, l’enfant ne guérit pas. Un examen à l’hôpital Ibn Rochd révèle que l’organe (l’appendice) supposé être enlevé est toujours à sa place. Autres cas : Habib Hiwass, professeur, est admis en janvier 2004 dans une clinique à Casablanca pour subir une opération de la vésicule biliaire. Cette clinique «n’étant pas suffisamment équipée, notamment d’un scanner», selon Abderrahman Benameur, avocat de la victime, l’opération connaît une complication. Transféré un peu plus tard dans un état critique dans une autre clinique, le patient décède (d’après l’autopsie) d’une «hyper-coagulation sanguine pulmonaire et cérébrale». Là encore, selon Me Benameur, la cause du mal provient de l’anesthésie. Le type du produit anesthésique, explique un médecin spécialiste en la matière, peut en effet ne pas être compatible avec le corps du malade. «Une forte dose d’anesthésie peut entraîner la mort, comme elle peut provoquer d’autres conséquences : un handicap physique, un trouble nerveux, une lésion cérébrale ou cardiaque irréversible… Le médecin anesthésiste doit consulter le malade la veille de l’intervention pour s’assurer qu’il n’y a aucune contre-indication à l’anesthésie. Cependant, il existe des pathologies sous-jacentes qui peuvent se révéler au moment de l’opération». Dans tous les cas, la relation du patient avec son médecin est assimilée à un contrat. A cause d’une anesthésie ou à cause de l’oubli d’une compresse dans le ventre d’un malade après l’opération, la faute est délictuelle et engage la responsabilité du médecin qui commet la faute. On est alors devant une non-exécution du contrat. Mais, dans l’exercice de la médecine, précise le Dr Hicham Benyaich, responsable au service de médecine légale à l’hôpital Ibn Rochd de Casablanca, cette responsabilité contractuelle n’est pas absolue. «Le médecin, dit-il, est tenu par des obligations de moyens, c’est-à-dire qu’il est obligé de mettre en œuvre tous les moyens qu’offre la science pour aboutir à un résultat, mais il n’est pas garant du résultat. Sa seule obligation est de prodiguer des soins d’une façon consciencieuse, attentive et conforme à la science».Cela dit, le cas de Habib Hiwass est l’un des rares où le tribunal souscrit à la thèse de la défense (erreur médicale) et établit la culpabilité du médecin. Les ayants droit de la victime obtiennent gain de cause : le médecin accusé est condamné à six mois de prison avec sursis et 819 000 DH à verser comme dommages et intérêts, à son épouse, à sa mère et à ses trois enfants âgés à l’époque de 10, 5 et 2 ans. C’est la compagnie d’assurance de la clinique qui est passée à la caisse. Leila, l’épouse du défunt, se désole qu’«il n’y ait au Maroc, comme cela existe ailleurs, aucune association de défense des victimes des erreurs médicales. Le hasard a voulu que nous rencontrions la même semaine de la mort de mon mari une autre femme dont le mari aussi a succombé à une opération bénigne, nous avons alors mobilisé l’opinion publique et quelques associations pour faire entendre notre voix», ajoute-t-elle

    #210097

    En réponse à : Macdonald’s

    mourad.oujdi
    Membre

    si vous le dites
    lol
    alors respects

    salutations

    #244162

    En réponse à : Mot à … Mot ( Jeu )

    djal
    Membre

    m’semen ➡ alors je dit al harcha,comme ça il manque que le thé ,et on fera un bon goutter :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

    #210100

    En réponse à : Macdonald’s

    hafid
    Membre

    @mourad oujdi ..ana klit fi macdonalds min anta kont 3ada takol gigouz

    min ana bdit nakhdam anta kont 3ada fi almadrasa 😆

    #274438

    En réponse à : Admirez la joconde!!!!

    Comme on dit le meilleur pour la fin

    la marocaine zine b7alo ma kayench 8)

    en tout cas j’ai bien rigoler mr Houmidi

    merci encore pour cet lueur de bonne humeur que tu nous envoie à travers ces sujets 😉

    #274691
    touria016
    Membre

    Bonsoir professeur Troubadour, inutile de souligner à quel point je fut sage juste avant vôtre actuel passage. 🙂

    Pour la réponse, je me félicite vu que Djalo n’a fait que prendre notes sur ma copie ! 😥 😆

    Bon allez, je lui laisse la main, MAIS à condition qu’il me dévoile la date que je dévoilerai moi même sur la place du forum Oujdinaute !

    Allons y, prenez garde à la fermeture des portes, attention au départ !!! PDT_Armataz_02_03

    #210099

    En réponse à : Macdonald’s

    touria016
    Membre

    En toute objectivité, et sans stigmatiser, j’aimerais savoir :

    _ le salaire moyen et les conditions de travail équivalent à chaque activité
    _ le nombre de salarié(e)s recruté(e)s pour le moment / le nombre de postes à pourvoir
    _ les méthodes de recrutement de chaque poste
    _ les mesures d hygiène et de sécurité…(encore une fois, c’est pas pour stigmatiser, mais dans toute entreprise confondue, du Maroc ou d’ailleurs, c’est à évaluer)

    ..Et l’avis de qulqu’un qui a déjà bossé là bas, et qui sera dans la mesure de nous éclairer en toute sincérité si possible.

    Le reste, n’est que bla bla bla, Macdo n’est pas forcément LA bête noire, mais je pense que c’est pas pour autant LA solution..Faut essayer d se pencher sur ces critères et faudra avoir l’avis des anciens, dans le futur..alors pas de précipitation, et essayons de voir les choses sur le long terme

    #210125

    En réponse à : Macdonald’s

    mourad.oujdi
    Membre

    on est les victimes des médias pourris, des gens qui banalisent les choses, saviez vous comment vivent les musulmans d’aujourd’hui? (la plupart mal honnêtes, non correctes, hypocrites, fainéants, pessimistes, radins, opportunistes, etc.. surement y a islam sans musulmans en occident, et musulmans sans islam chez nous)

    oublions macdo alors , et boing, airbus pour voyager, microsoft, apple pour naviguer, f15 f16 pour se défendre, nokia motorolla pour appeler, nike, lacoste pour marcher, des satellites pour regarder, doliprane, urgo pour se soigner, cat bouyuig pour construire………..

    alors vivez dans une grotte!

    pourquoi vous suivez tout ce que dit les propagandistes (leur seule arme c’est interdire et faire monter l’adrénaline), car sans ça ils sont rien! (la plupart ont leur bac littéraire en plus avec mention passable lol);

    ah j ai oublié, c’est macdo qui polit nos rues, c’est macdo qui fait des voleurs dans nos marchés, qui détruit nos jardins, qui donne une mauvaise éducation à nos enfants, …

    wa 3ibad allah, éduquez vos enfants, donnez leur l’exemple, poussez les à devenir des médecins des pharmaciens des ingénieurs etc.. notre nation a besoin de ça;

    le commerce est un commerce, n’est jamais interdit en islam, on est seulement des mauvais pauvres commerçants de notre aire!

    et ne tomber pas dans la banalité des choses;

    je mange à macdo quand je veux, comme je mange dans autres restos, et j’essaie d’être civique avec mes concitoyens, et respecter mon entourage!

    vive les optimistes heureux, bas aux pessimistes mélancoliques

    salutations!

    #232273
    touria016
    Membre

    Bien dit aussi !

    Dans ce cas, je vais laisser ce topic, ouvert au cas où les malheureux oujdis, qui ont vécu une mauvaises expérence viennent se confier et échanger… 😆

    Les autres, retrouvez nous, sur le topic adapté! 😉

    #232272
    mourad.oujdi
    Membre

    bien dit, mais il sera encore plus juste de dire, « quel genre d’homme attire les oujdiates ? »

    Parfois il suffit d’une mauvaise expérience antérieure, quelqu’un qui aimait une oujdia qui s’est mariée avec un non oujdi, alors il généralise sa situation et essaie de faire une projection sur la société oujdie, pour plus ou moins comprendre ce refus et sentir un peu de soulagement!

    #274776
    djal
    Membre

    je dit 1900

    #274771
    djal
    Membre

    bingoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo et voila ,si tu m’avait dit autre date,j’aurais la tête pleine de cheveux blancs.BRAVO , c’est l’année de naissance de YOUNES MEGRI ,je pense que c’est le15 ou le 25 novembre 1951 ,bien sur groupe mythique,famille bien connu des oujdis et mondialement aussi,fierté de notre oujda.
    en tout cas c’est l’année 1951 à qui j’ai pensé ,bravo encore mais dommage que les autres n’ont pas participé, il n’avait que TOUTOU mais elle avait jeté l’éponge ,

    djal
    Membre

    Ceci est un article que j’ai trouvé sur yahoo.fr et dont la lecture fut fort plaisante:

    Tout ce qui touche à la charia fait polémique, sauf peut-être la finance islamique qui pourrait bien aider à remplir les caisses françaises.

    1 000 milliards de dollars en 2010, c’est l’encours prévu par les économistes pour la finance islamique. Un chiffre en constante progression depuis de nombreuses années. De 2003 à 2007, il a enregistré une hausse de 15 %. Des résultats qui peuvent surprendre dans un contexte mondial où la finance est tellement décriée depuis la crise des subprimes. Si ce n’est que la finance islamique se base sur des règles éthiques et religieuses : interdiction des intérêts, de l’incertitude et de la spéculation, partage des profits. Ce qui fait dire à certain que ce concept inhérent au Coran est une des solutions pour moraliser la finance conventionnelle. Mais derrière ce vœu pieux, il y a surtout une volonté d’attirer les pétrodollars, et parmi ces nouveaux partisans de la charia, la France n’est pas en reste.

    Le porte-drapeau de cette nouvelle cause n’est ni plus ni moins notre ministre de l’Économie, Christine Lagarde, qui lors d’un colloque en 2009 a annoncé que « les banques qui souhaiteraient réaliser des opérations conformes aux dispositions de la charia, le territoire français est évidemment prêt à les accueillir… Considérez le territoire français comme une terre d’accueil ».Terre d’accueil, qui pour l’instant est plutôt la City de Londres, et ce depuis une dizaine d’années. La France déroule donc le tapis rouge pour rattraper son retard. Il faut dire que l’enjeu est de taille : 120 milliards d’euros à l’horizon 2020. Une véritable bouffée d’oxygène pour l’état des finances publiques. Aujourd’hui, seuls les investisseurs institutionnels profitent de ce nouveau concept, dans l’Hexagone, par l’intermédiaire de fonds d’investissement « islamo-compatibles ». Les particuliers devront patienter encore un peu. En attendant, certains s’impatientent, et pas seulement les personnes de confession musulmane.

    Comme Charles Garreau, 54 ans, entrepreneur qui voit d’un bon œil l’arrivée de la finance islamique, « Contrairement à ce que l’on croit, dit-il, ce n’est pas une finance éthique. Le principe fondateur de la finance islamique, c’est le partage des risques. En clair, un investisseur qui investit dans une boîte, prend autant de risque que le porteur de projet, contrairement au système classique. » Un concept beaucoup plus sain que la finance conventionnelle, selon lui : « Vous contractez un prêt auprès de votre banquier afin de financer votre activité commerciale. Si votre boîte par la suite fait faillite, vous serez toujours redevable. Or, en théorie, votre banque est un partenaire pour le pire et le meilleur… surtout pour le meilleur en l’occurrence ».

    Cet aspect participatif intéresse aussi les primo-accédants, « J’ai vécu de nombreuses années à Dubaï, raconte Xavier Ducros, 38 ans, trader. J’ai travaillé sur la finance islamique, où, l’accession à la propriété est le fruit d’un partenariat entre la banque et le client. La banque achète le bien, le revend au client, avec une plus-value. On détermine une durée de remboursement sur plusieurs années. Le client détiendra la pleine propriété uniquement lorsque la somme totale sera remboursée. Pendant ce temps, le bien sera en copropriété. » Un mécanisme qu’il souhaite utiliser pour l’acquisition de sa résidence principale : « Si aujourd’hui j’achète un appartement, je devrais passer par la finance classique. Ce qui, pour ma part, représente trop de risque. Car, la banque me prête sans tenir compte de la suite des événements. Or, dans la finance islamique, en tant que copropriétaires, nous sommes solidaires. Un peu comme dans un mariage ou un pacs ».

    De toute évidence, l’argent halal a le vent poupe. Deux universités en France, Strasbourg et Dauphine, enseignent les us et coutumes de cette finance si particulière. Hervé de Charrette, ancien ministre des Affaires étrangères, court les médias afin de promouvoir ce concept, et les banques françaises pressent le gouvernement d’agir au plus vite pour mettre en conformité la législation française et la charia… Une fois n’est pas coutume un sujet issu de l’islam semble recueillir l’unanimité.

    #210798

    En réponse à : contes et recits

    un récit qui fait beaucoup réflchir
    c’est vrai ce que dit ce garçon, on se rend pas souvent compte

    #274908
    djal
    Membre

    OK,fréro ,compris, le temps change et comme dit la chanson:avec le temps vas, tout s’en va, on oublie les visages……… PDT_Armataz_02_02 PDT_Armataz_02_02

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