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mai 25, 2013 à 5:45 #207862
En réponse à : taourirt pas de changement
Anonymous
MembreSorry, we are unable to complete your translation request.
mai 22, 2013 à 2:35 #280206En réponse à : La santé, entre les taxes illégitimes et les lois scélérates
Anonymous
MembreHowdy We just loves your nice editorial thanx and please continue it
mai 18, 2013 à 8:26 #280094Anonymous
MembreHello ! je sais que je ne suis certainement pas au bon endroit mais je compte sur votre expérience informatique pour m’apporter une réponse :
Mon amie qui est handicapée souhaite activer la narration FRANCAISE sous Windows 7 mais….apparemment c IMPOSSIBLE ??Vous auriez des tuyaux ?
mai 17, 2013 à 9:57 #280799En réponse à : EPISODE 50 : LES CHRONIQUES DE MME STUDENT : MISSION TERRE
Anonymous
MembreThat is a matter near to my heart cheers, in which are your make contact with particulars although?
mai 13, 2013 à 8:44 #280528En réponse à : RESURGENCE
DR IDRISSI MY AHMED
ParticipantCOMMENT ÉCHAPPER A LA VIE, QUAND ON A TOUS CES DÉFAUTS ?
RÉSURGENCE
Comme une couleuvre qui s’avale la queue
Pour s’enfuir en son fort intérieur…
Sagesse ?Comme un scorpion chauffé à blanc
Qui se pique pour mourir…
Courage ?J’exploite mes douleurs pour crier mes misères
Et mes insomnies pour railler les vers.
Cynisme ?N’est-ce pas se moquer de l’argile
Où nos miasmes rampent,
Et du temps qui nous rend si fragiles ?
Dépit existentiel !?LA SUITE
POSTURES ET IMPOSTURES
Voici une fille violée qu’on veut marier de force.
A son violeur évidement pour sauver la face.
La famille, la société aiment cette justice-là!L’hymen est parti, à toi macho la victime,
Saignante et rodée sur sa croix,
Son calvaire est le lit, horreur capitale!Pour en jouir toute la vie elle se rappellera
Que la religion dit amen, aux premières fatwas,
Et le droit des humains, le cocu en est là.Sauf que la fille prend les devants,
Pour sauver son honneur et maudire
Le pays, avant de s’occire…Se saigne sur les rails ou se pend
Le peuple de Hakkaoui se morfond
Le parlement absentéiste et moutonnant
Reprendra-t-il les devants ?Celle-là est une bonne, dit-on
Son père décide de la marier
Elle décide de se défenestrer
En sautant du balcon de ses employeurs
Devant une foule en spectacle qui attend.Hier, en mal de haine nazie, c’était un blond,
Un filleul de viking, suédois, finlandais ou danois
Qui a étala près d’une centaine d’innocents.Hier encore, ce fut un jeune américain, armé,
Pléonasme, qui aurait voulu tuer toute la terre,
Son école la première, après ses parents !Là des échos, après la parodie du printemps.
A Tunis, Bouazizi devint célèbre,
Illuminant la révolte par son autodafé
En chassant la dynastie des Zine !La Révolution arabe est en délire
Le peuple se fâche au Yémen et au Caire
La rue, après les funérailles et les tirs
Sur les processions a chassé les tyrans !On se souvient de l’holocauste d’Iraq
Et du pendu si cher aux Bush, Saddam…
Pour leurs mensonges sordides
Qu’ils soient à jamais mauditsOn se souvient de Bel Ladden, coulé
En mer… dans un bloc le ciment ?
Qui croire quand l’Amérique vous ment ?Après la promenade de Sarko et de l’Otan,
Voilà qu’on commence à oublier la Lybie,
Et son inénarrable et fantasque dictateur.
L’empereur d’Afrique, Kadhafi Mouâmar !Quand depuis un an, la Syrie sous le Lion
Bachar, se déchire alignant soixante mille âmes
Pour le moment….
Et leurs débris dans les fosses communes,
Sous les yeux de la Russie et de la ChineAlors que ce n’est pas fini, gageons,
Que demain se sera le tour de l’Iran !Chacun connait la suite du feuilleton
Seule les méthodes changent
Gardant ses mensonges au même slogan :
» L’Amérique a peur pour Israël,
Celle-ci l’exploite en lui faisant rappeler «A KHITY
Ma lubie, mon ersatz de hobbies,
S’accroche à Jésus pour m’astreindre à subir
L’épreuve sanglante de sa croix.
Imaginez que c’est la lune et que Mahomet
La salue du sabre pour la donner avec la foiAvatar sur potence à l’aune des galères
Et du sacré secret et gibet des dames.
Prend place, mon âme, et quitte ce moine
Ses habits, ses pamphlets et son programme.Le délire est plus vrai que la girouette
Le vol des dragons ou le cri des mouettes
Cette éprouvette et ses tours d’épouvante
Ses cycliques spirales et ses pirouettesE pur se muove
Ivre de jour, ensorcelée de nuit,
Gaia, dans son vertige inaccessible,
Ne cesse de geindre et de s’éclater
Sous les cruelles épreintes de ses voluptés.Luxuriante Aphrodite, Diane pécheresse,
Elle nous façonne au manège des rondes,
Tels de vieux fruits, érodés par des ans,
Afin de nous porter comme ferments, à raison,
Dissous du registre mémorial des présents.Solution partielle à problèmes constants
Tiyaqen fi Allah, me dit spontanément
Khity Saadia, ce 7 janvier 2013, d’Agadir,
Évanescente, ô laconique Alzheimer !Ma mère, a supporté le caractère,
La voix, les dérives et les coups du macho,
Illustre père, afin de veiller sur ses enfants
Malgré la guerre, les privations et les calvaires.
Ils se sont battus pour qu’on soit là.VIEILLESSE
Les dols et les faiblesses riment avec vieillesse.
Je n’ai que les regrets comme sagesse
Et les plaintes comme ultime combat.Les feuilles qui tombent, quand plient les branches,
Sous la scie des saccages municipaux
Qui les mènent au feu,
Ne verront pas les troncs taillés revivre
Et les bourgeons fleurir sur les nids
Pour devenir les étoiles du paradis.Moisis sur la grève, les platanes fantômes
Iront par billes, étouffer leurs cheminées
Et joncher la terre de leurs cendres inutiles.VIENS, MA SŒUR
Viens, ma sœur on va éteindre le soleil
Viens, mon amie on va faire le noir
Viens, camarade on va s’enterrerViens, on va pleurer d’être nés
Infirmes, sans toit, ni plan de trajet…Viens, on va pleurer d’être nés femmes
Ferrailles, inférieures et aliénéesViens, pleurer d’être nés africains,
Musulmans analphabètes et marocains,
Pauvres, sur les monts, dans la neige
Ruraux, incultes, sans soutiens
Comme ici et partout, peut-être !Viens, on va pleurer de n’être pas
Allemands, suédois ou anglais…Viens, on va pleurer d’être nés
Nazis ou prorusses, sous Napoléon
Ou les nouveaux impérialistes…Viens, regretter d’être turcs et afghans,
Et pas hindous, chinois ou nippons !Viens, regretter d’être nés serfs,
Soldats sous les rois très chrétiens,
Ou paysan, sous les romainsViens, on va pleurer d’être maures,
Andalous sous l’inquisition et pas catalans,
Espagnols, sous Isabelle la catholique
Ou Charles Quint, le bucoliqueViens on va regretter d’être égyptiens
Fils de Cléopâtre, de Néfertiti et d’Amon Ra
La lignée des prêtres et des pharaonsViens, on va pleurer d’être grecs
Fils de Socrate et de Platon
Adeptes de Zeus et d’Aphrodite
Otages, comme nous, du FMIViens, on va regretter d’être romains
Fils de la louve de Rémus et Romulus
Sous les lumières de CassiopéeViens, on va regretter d’être italiens
Nés du Pape et de Ruby BerlusconiViens, on va regretter les gladiateurs,
Bêtes d’arènes que les Césars pour jouer,
Offraient aux latins pour jouir, à regarder tuer.Viens, on va pleurer d’être nés, singes
Et dromadaires, accouchés par les arbres
Et des dunes du désertViens, on va pleurer d’être nés,
Anges sans ailes, diables sans queue,
Femmes sans seins, hommes sans têtes,
Cafards pour les uns, scorpions et vipères !
Pour Kirane, ses démons, ses crocodiles !Viens, on va pleurer d’être nés, indiens,
Mayas, incas, aztèques ou mexicains,
Du lama, du Chili, au cheval des amazonesNées chèvres, vaches à traire ou mulets
Viens, on va braire et meugler,
Hennir et aboyer.Viens, on va pleurer de n’être pas nés
Serpent, tigre, éléphant ou lionViens, on va rire de n’être pas nés; seigneurs
De guerre, banquiers et empereurs,
Ou les deux, concomitamment,
Comme Crésus, faits tyrans, devenus martyrs.Viens, on va pleurer de n’être pas nés anges
Ou démon, avec des cornes et des yeux ronds
La queue pointue et les dents rougesViens, on va regretter d’être nés fantômes
Goules en mal de karma et de résurrectionViens, on va regretter d’être nés sans corps,
Spectres, sans aura, vampire sans dents,
Les idées obscènes ou chargées à blancViens, on va regretter d’être nés,
Comme des papillons de nuit.
Éphémères ailes de papier,
Étendues froissées sur les murs
Entre corbeilles entre et urinoirs.Viens, on va regretter d’être nés sur cette pierre,
Ce terreau aux miasmes fécaux, sans libertés,
Humus mortel, en esclaves féconds
Pour combler les cimetières.Viens ma sœur ou mon frère,
Pourquoi tant de réticences à s’unir,
Quelle différence y a-t-il entre nous ?
Mais pourquoi s’unirOn va faire le noir sur nos idées,
Oublier ce qu’on nous a dit,
Les plaisirs et la philosophie :
Viens, mon âme on va sortir d’ci !J’AURAIS VOULU
J’aurais voulu être une encyclopédie
Un Google, un Wiki dans toutes les langues,
Riches d’infos et de connaissance,
De techniques et de sciences …Sur la terre et le ciel, le cosmos, l’univers
L’avenir, le passé, l’au-delà et en moi-même,
L’infiniment petit et le secret de la matièreMais pas seulement, je veux connaître,
Les planètes que Dieu a créées, loin d’ici,
Avant qu’elles ne s’échappent
Ou qu’elles n’aillent dans les trous noirsMais aussi, je veux connaître,
Les sentiments que l’on me cache
Les paroles inaudibles, les sens
Que j’ignore et ne je sais pas dire
Ni comment les nommer !CYNOCIDE
A cause des chiens,
De leurs crottes, de leurs cris
J’ai mal dormi, les ires de Lamie,
La révolte des souris
Le rêve que je n’ai pas suivi
Et le songe qui m’a fuiA cause des chiens, les autres
Qui allument leurs fours et leurs meules
Incendiant les forets
Et qui nous enfumentDe nuits et de jours, comme des rats
Mêlant les fumées de leurs volcans
Aux odeurs des brumesA cause des chiens,
De leurs crottes, de leurs cris,
Les maux que j’ai trouvés,
Que je n’ai pas pu ôter
J’ai râlé, j’ai toussé, j’ai pissé, j’ai craché !Il me fallait une cible,
Mais j’en ai beaucoup trop,
Et je me suis retenu pour ne pas terminer
Laissant la malédiction frapper
Pour me venger.J’étais là avant l’aube,
Alors que les muezzins
N’étaient ni circoncis ni bien réveillés..Je suis entré entre deux chimères,
Deux utopies, des cauchemars
Où je luttais pour sommeiller.Les idées en boucle, sans rigueur ni répit,
Hérissées d’épines, me taquinent :Stress et angoisses, intrusion sans gênes,
Pour y penser, en non stop, de l’autre à l’une
Vous m’avez compris,
Elles n’ont pas arrêté !Assez mon âme,
Laisse ce corps ronfler en paix,
Sinon demain,
Il ne pourrait plus te porter !NOMBRILISME CYNIQUE
Proche de dieu, la ‘’Bonté Divine’’,
Faite docteur légiste et médecine
Voluptueux mépris, summum de la sottise
Le mesquin impeccable
Assume avec orgueil la fuite en avant.Dans sa sublime et mesquine bêtise,
L’ignare et antinomique confrère,
‘’Le Destin’’, frappe au hasard ses pairs
Commettant l’injustice et l’impair.DR IDRISSI MY AHMED, A KENITRA,
PREMIERE EDITION LE 06-10 JANVER 2013mai 11, 2013 à 7:55 #215171En réponse à : Recherche lien de nom
Anonymous
MembreBonjour Lahmar,
Abenamar (Espagne) et Benamar (Maroc, Algérie) et Benammar (Tunisie) sont tous issue de la même famille (Fils de Amar) à ne pas confondre avec les Amir et Amer (issue des banou Hilal) et Amour.
mai 11, 2013 à 7:21 #215170En réponse à : Recherche lien de nom
Anonymous
MembreSalam
Oui les Benamar sont des idrissides du Maroc installés aussi en Tunisie et Algérie.
mai 11, 2013 à 1:54 #212595En réponse à : tribu ouled sidi Ali
Anonymous
MembreSalam Alaykum,
Bouyaed 21, je ne parviens pas à t »envoyer un message en MP.
Vous avez remercié un posteur sur le forum pour sa réponse concernant les Ouled Sidi Amar (Benamar ou Ibn Amar) et je ne trouve pas la réponse, j’ai parcouru toutes les pages et ai traduit même les textes en arabe mais aucune réponse.Pouvez vous la transmettre svp?
JZK pour tous vos effort
Insha’Allah
mai 3, 2013 à 2:56 #280691En réponse à : TANGO AVEC UNE ÂME
avril 30, 2013 à 5:36 #280049Anonymous
MembreHow do you feel about vintage cars?
UP
Tomorrow is a new day.
🙂avril 28, 2013 à 9:04 #280796En réponse à : EPISODE 50 : LES CHRONIQUES DE MME STUDENT : MISSION TERRE
DR IDRISSI MY AHMED
ParticipantNOUVEL EPISODE 50
DES CHRONIQUES DIFFEREES DE MME STUDENTDes filles sont violées chaque jour par des groupes d’indiens. C’est à leur interdire de voir les statuettes érotiques qui illustrent de Kama Soutra les frontons des temples hindous. Wiam, 9 ans été lacérée, égorgée de la bouche au cou, avec une faucille par un violeur, en campagne de Sidi Kacem ( Kénitra). Des milliers de hooligans viennent de casser Casa ! Un amant, éconduit par sa lubie s’immole. Un immeuble s’effondre, 350 mort d’un coup dénombrés . Assad terrasse l’opposition, 70.000 tués, pour le moment. Joli coup de démocratie pour la république arabe, telle que épaulée par les puissances socialistes d’Asie. Ce ne sont pas les problèmes de la couche d’ozone ni l’épuisement des ressources de la Terre qui vont avancer son ultime détonation, l’arrivée de la biblique Apocalypse ou son explosion ont des causes exogènes. Notre place dans l’espace est vulnérable. Une comète et voilà un paramètre inattendu, venu du ciel, un hasard imprévisible , qui nettoiera tout le bazar, comme ce fut le cas des sauriens.
Mme Student s’adresse en ces termes à Dieu. Elle a osé ! Une première.
– Nous avons d’autres chattes à fouetter, mon Dieu. Et pitié pour les chats et les chiens sans laisse, qui louchent et qui lèchent. Encore qu’il faille un bon fouet pour tenir la route. Garder le drapeau érigé et la tête haute. Rester en vie pour sentir le bonheur d’exister. Celui de donner, de rendre et de partager. Sibyllines paraboles, sarcasmes et autodérision, pour enfoncer un peu plus les paresseux du genre Lawi* et ses autres élastomères inutiles, incapables de vénérer la voie royale où ils méritent de prier, sans se plier. Au nom du Matriciant et du Matriciel, qui a tout créé, qui nous a créé de chair pour nous connaître intimement.
Elle continue de Lui expliquer, en doutant si c’est bien Lui et s’Il l’entend. Les fait qu’elle raconte ou rappelle s’interpénètrent, sans respect de leur chronologie. Si elle divague ? On va voir !
– Gens et cadres, instruments secs de toute substantifique irrigation, dans leurs spongieuses cavernes. Cerveau vide. La philosophie et la poésie sont des trompe-l’œil, une caritative romance, une parodie pour berner et leurrer, qui ne complaît à nul orgasme, intellectuel. Et quand on sait, que loin de toute civilisation et bibliothèque, qu’il ne suffit que de quelques microgrammes d’ocytocine et de prolactine, pour combler les plus heureux des hommes et faire voyager leur campagne au 7 ème ciel gratuitement!
– Elle continue sa tirade. Dieu l’écoute, curieusement.– Dès lors, loin d’être un but, faire des enfants, n’est au juste qu’un artefact pour certains ! Et lorsque les mariages hétérophiles deviennent inutiles, pour les amants de sexe différents, voir célébrer ostensiblement des mariages entre hommes, tambours battants, légalisés et légitimés, dans plusieurs pays modernes, c’est surprenant ! Avec leur curieux désirs d’adopter des enfants ? Seulement pour nous autres archaïques de la pensée fossile, nous avons des repères plus banaux avec des principes trop simplistes. La vie est basée sur la reproduction. Hommes, plantes et animaux usent du sexe pour se reproduire et multiplier la vie sur terre. Sans les êtres vivants , le cycle de la Vie, celui de la chair et du corps, et peut être plus, l’esprit, la Terre et le séjour sur cette boule-mère, n’aurait pas d’intérêt certain.
Dieu répond ainsi à Sainte Student.– Sans entrer dans les nuances biologiques que tu as apprises, et jamais senties, il est plus question de destin que de plaisirs opportuns. Un enfant va naître quand même, dans la famille de cet ouvrier, Othmane. La police va ramasser le nouveau papa à la suite de la mort d’un militaire sénégalais.
– Ah, le pauvre ! J’aime bien les Sénégalais, j’avais un couple à mon service. Ils eurent quatre femmes et douze enfants. Tous ont bénéficié de la Sécu. Il y en a que j’ai placés au palais du roi Hassan II. Ils sont devenus Touareg, par assimilation avec les plus anciens descendants des guerriers »importés » du Sud, dans les conditions de l’époque, pour protéger les Sultans au sein de la Garde Royale. Les Mohammed, les Youssouf, les Hassan avec leurs numéros successifs.
H, Y, M, – Qui m’appelle ? Dirent les anciens sultans en chœur.D- Reposez-vous Majestés ! On parlait juste des Touaregs et de leurs permissifs harems.
H- Qu’est-ce qu’il a mon harem !? Virils qu’ils sont, super producteurs, s’ils n’ont pas beaucoup de femmes. Faute d’esclaves nouveaux dans le commerce, faute d’expéditions encore, comment que nous allons reproduire nos haras et nos gardes ? Regardez les bergerie, sans les mâles comment se multiplieraient nos brebis ? Et comment avoir des burnous sans laine et des belghates* sans cuir.D- Oui, oui, Majesté ! Reposez-vous Majestés ! Calmez-vous, même si les harems se sont effrités et qu’il y a depuis des tissus et des souliers synthétiques !
H – Quels ârafarit* encore ? Mort, mes protecteurs, mes serviteurs, mes gardes m’ont trahi. Vivant on m’a trahi…De mon vivant on m’a trahi !
D- Majesté, allez sur le trône et faites comme le célèbre penseur de la statue ! Laissez-moi expliquer à Mme Student
H- Qui c’est celle-là ?
S- Une touriste Majesté. De passage seulement…
D-A vous, Mme Student, je disais pour le soldat qu’il a été tué sous la fenêtre de son domicile de Kasbah de Boujeloud. On va imputer donc à ce menuisier le meurtre du légionnaire qui est mort sous sa fenêtre.
S- Ah, le pauvre !
D- Il ira derrière les barreaux du commissariat du Batha, alors que sa femme venait d’accoucher de son fils aîné.
S- Bonne augure !
D- Il sortira de la prison, quand l’enquête montrera que le soldat s’était assoupi sur son fusil, le doigt sur la gâchette. Il est mort au travail. A la guerre, sans être tué !
S- C’était sa dernière heure, il est mort en dormant. Loin de son pays, mais si près de Sidi Ahmed Tijani. Le saint si hautement respecté des musulmans ouest-africains, qui est enterré à Fès en Médina !
D- Revenons si tu permets au menuisier. My Othmane
O- Oui ! Qui m’appelle ?
D- Calmez-vous Sid Chérif, on parlait justement de vous. Bien nourri, par un notable, l’un de ses clients, le menuisier Othmane ne laissera pas ses compagnons de tôle indifférents. Ramassés pour avoir manifesté, les Istiqlaliens, militants indépendantistes, sont jaloux du sort réservé à l’artisan.
S- Pourquoi, mon Dieu ?
D- Il sera lamentablement suspecté. Ils iront jusqu’à croire que leur compagnon d’infortune, était un vendu. Un délateur, un traître, infiltré en prison, pour écouter leurs confidences et les épier, aux fins de divulguer aux colons leurs dires et leurs secrets ! D’accointance pourtant, il n’en avait avec personne ! Mais il avait des amis, des fournisseurs et des clients parmi les gens biens et les juifs, du Mellah.
S-Il était loisible aux Juifs de préparer de la Mahya*, l’eau de vie de figues et de vendre aussi du rouge qui tâche, aux laïcs et modernistes, de parmi les Musulmans.
D- L’esprit des vignes de la plaine du Saïs, qui enserre Fès, parvenait ainsi aux bonnes gens de Ferrane Douiou.
S- Et moi, Maître, qu’est-ce que je viens faire ici ? Après ma mort, enfin mon transfert chez Vous. N’est pas assez que j’ai fait et réalisé de mon vivant?
D- Minute, papillon !
S- Il y a des personnes plus autorisées que moi…Tenez, madame Thatcher, une anoblie, qui viens d’arriver tout à l’heure en fanfare et à coups de canons ! On eut cru la Reine Elisabeth, venue en Eden pour me tenir compagnie !
D- Non, tu brûles les étapes. Attention à la concordance des temps, maîtresse !
S- Moi, je suis une femme, tranquille, normale. Je n’ai pas été formée à l’économie, à la guerre ou à la politique !
D- Mme Thatcher ? C’est peu plus délicat, un peu plus lent à reconstituer ! Elle a été incinérée !
S- On l’a cramée, brulée…La pauvre, réduite en cendres ! Ah ces Anglais, ils ne respectent même pas ceux qui ont gagné des guerres et perdu leur mémoire…Il faut lui rappeler tout ce qu’elle a fait avant pour la responsabiliser et la sanctionner.
D- Sainte Student, tu le reconnaîtras à sa petite mouche !
S- Moustache ? Qui ça, Hitler ?
D- Non, My Othmane ! Oui, il a une petite moustache qu’il porte sous le nez. C’est un arabe très blanc qui vient du quartier de Talaâ Seghira ! Il est plutôt pâle, les cheveux de jais, souples et brillantinés, sous le fez rouge qu’il arbore constamment ! Mais attention à ce faune, qui honore les dames, pas de confusions !
S- Oh, le bellâtre, il m’a échappé !
D- Et ce n’est pas un vain, ni un divin compliment. Oui, je vois que tu penses à Adolf, le nettoyeur ethnique, le crémateur de ma prétendue Tribu !
S- Oui, Yahvé, la tribu de la Terre Promise !
D- Promise, mais pas cédée par les siens, malgré le décret divin et le caillou de David qui assomma leur Goliath…
S- Une petite nature, ce géant !
D- Arrête tes banalités, tu vas fâcher les lecteurs ! On l’a aidé ! Tu me perturbes. Ce menuisier donc, Othmane, est un homme hospitalier. Il en très bon terme avec les juifs. Ils l’estiment et ils le desservent en boissons euphorisantes. Braham Neddam, El Atar, Moïse le comptable….
O – ‘’Tehiya ma hiya, we vive errouge, mâa fkhad el ferrouj we yeddiq bjouj *’’
S- Qui a dit ça ? Traduisez…
D- Eh, le menuisier ? On te voit d’ici ! Va te reposer et fais d’autre vers !
O- D’autres verres, mais avec qui, Mme Student ?
S- Ça va devenir des poivrots, ces bons fidèles ! Addiction éternelle aux breuvages édéniques !
O- N’est-ce pas, bon Dieu, qu’il coule des rivières de boissons au Paradis, meilleures que celles des bars d’ici-bas!
S- Monsieur Othmane, laissez-nous parler en paix. Ici on est avec le bon Dieu. Et c’est sérieux !
D- Tu l’as dit, Sainte Nitouche !
S- Pas tellement, Votre Honneur ! On ne peut rien vous cacher. J’ai eu quelques faiblesses. Mais je ne me suis pas fixée.
O – Voyez, elle avoue maintenant ! Elle aimait filles seulement ! Et ce n’était ni bien ni encore légal !
D- Allez-vous reposer, vous, le menuisier ! Mme Student, quel est votre prénom, déjà ?
S- Louanges, ô Seigneur ! Mais Vous le saviez avant que je naisse !
D- Je sais, mais j’aime l’entendre de ta bouche. Les images qui tournent dans l’esprit des êtres, le sillage des vents, la couleur des parfums, le sens de la musique, dans quelles eaux se baigne le dernier des poissons et ce que comprend en son intérieur chaque goutte de son bain….Je sais tout !
S- Tu es omniscient et omnipuissant, ô Maître de l’univers. Louanges à Ta science et à Ta gouvernance ! El Hadra El Hassania*, me prend de la tête aux pieds, en écoutant ces Sahraouis, célébrer le prophète de Dieu…
D- Paix sur ton âme, Student !
S-Alors Sidi Rabbi, pour revenir à ma mission, quel sera mon rôle sur cette Terre, près de ces gens ? Auprès de cet homme impudent, qui me fait la cour, devant vous, dans l’au-delà ? Et qu’il fait prendre sous mon aile, sur terre, en évitant de l’avoir comme amant ?
D- Des questions pour lesquelles tu trouveras sur place des solutions. Paix sur ton âme, Student !
S -Qu’est-ce que je viens faire dans cette cuvée ? Après ma mort, enfin mon transfert chez Vous, ce n’est pas assez tout ce que j’ai fait et réalisé de mon vivant ? Il me faut encore revivre pour trimer ? Le bon Dieu apprécie hautement les plébéiens, la sueur et les peines des ouvriers…
D-Tu veilleras sur sa famille simplement. Toi qui a appris à aimer mes prophètes, tu sais leur ascendance. Et c’est est justifié amplement. Tu verras donc My Othmane.
S- Ah bon ! Ce Chérif d’entre les menuisiers, que je ne dois ni conquérir ni connaitre. Il n’est certes pas un ange, et il va redescendre sur terre aussi ?
D- Evidemment !
S- Et puis ?
D- Tu me rappelles une autre dame ! Tu verras donc My Othmane, mais il ne s’en apercevra pas. Sa vie actuelle ici, hier il ne la savait pas et demain, il ne la saura pas plus ! Il sentira que tu es à ses côtés, mais il ne s’en convaincra pas, car il est très logique et peu porté sur les mystères, les mythes, la métaphysique et les saints.
S- Même les saintes ? Mon Dieu !
D- Oui ! Il est dopé par le travail…
S- Et les jeux ?
D- Pas autant qu’un Romain ! Ni comme ces parieurs et truands de Nabil Abdennar et de Sabir Mokhtamort!
S- Et le reste du temps ?
D- Il couche.
S- Ah, ça c’est très intéressant !
D- Où il dort.
S- Où dort-il ?
D- Quand il finit de manger à 13 heures 45 minutes, sur un lit de sa véranda…
S- Villa Maupetit, rue Ibn Battouta ! J’avais noté que le N° 7 est devenu un 9, je ne sais comment. Il y a maintenant un immeuble érigé à la place.
D- Oui, ça c’est un autre traumatisme, ultérieur pour ses enfants. Je disais que la sieste est pour lui aussi sacrée que Je le suis pour mes zélotes ou qu’elle l’est pour un »mexicain basané », en temps d’été…
S-Alors mon rôle, c’est de lui inspirer des rêves, quand il ronfle ? De surveiller ses machines quand il dort de jour. D’empêcher que son atelier de menuiserie ne prenne feu, une nuit de Ramadan…?
O- Laylate al Qadr, Angelinette Jolie !? Je ne sais rien mon Dieu des causes jusqu’à aujourd’hui…On est quel jour déjà ? De quelle année. Ça fait un moment que je dors. Seul !
D- Il n’est pas du ressort de Dieu de faire le pompier à la place de la municipalité…Ou de mener des enquêtes à la place de votre police, si celle-ci ne s’occupe que des agitateurs politiques !
O- Attention, Seigneur ! SM le roi My El Hassan et les siens, nous écoutent!
S- Alors , mon travail c’est de lui faire la cour, quand il…j… ?
O- ô merci, par anticipation, ma Dame.
D- Dis-le ! On ne cache rien au lecteur, il est là pour nous découvrir !
O- Qu’est-ce que tu crains ? Dis-le ! Dieu te permet la franchise.
S- Quand il…j… Hum ! Enfin, mon boulot, c’est de…De lui faire la cour, pour l’amener au septième ciel.
O- Ouf ! Merci, meeeuh !
D- Le principal, Student, est de le maintenir en vie.
O-Merci mon Dieu ! On commence tout de suite…? Viens-l, Student !
D- Chut !
S- Ah bon ? Rester froide, inhibée ? Sans rien faire pour lui ? Moi qui suis restée esseulée toute ma vie…Toute la vie antérieure ! Pour une mortelle, déjà morte, c’est un mystérieux miracle.
D- Puisque Je le veux, c’en est un ! Il faut le protéger des maladies graves. Il a une lourde opération à faire sur le foie. Il a besoin d’un soutien…
S- Je n’en porte pas je suis plate… comme une sole. Et je n’aime pas les corbeilles rembourrées. Ça fait faux, ça trompe pour attirer! De plus, »je n’ai plus que les os, un squelette je semble ». Je viens juste de sortir du caveau….
D- Hum ! T’inquiète ! On te couvrira de plumes et d’ornements…Pages, écuyers, apportez le harnachement de Madame…Elle tremble…
S- Je préfère les lauriers comme couronne !
D- Je disais, qu’Othmane doit subir une lourde opération à faire sur le foie. Il faut le protéger des maladies…
S- Les MST ?
D- Non, des maladies graves. L’hôpital Cocard est à côté du cimetière de Bab El Mahraouk…Il ne faut pas qu’il ose là son dernier pas !
S- Enfin, on verra !
D-C’est à voir ici et à prévoir, hic et nunc. Il faut le protéger point. Je te donne mon aval.
O- Avale, Student, c’est divin !
S- Alors il y a les maladies mentale, comme chez ce coquin ! Les maladies du travail ? Celles de la rue, celles de ses fans, surtout, pour ne pas les passer aux rejetons !
D- Tu devras surveiller ses enfants et ses petits enfants…
S- Je fais une OPA sur sa descendance ! Une garderie pérenne, quoi ?
D- C’est pour ça, pour tes qualités de puéricultrice et de préceptrice antérieure que je t’ai choisie pour retourner sur le chantier-éprouvette, Terre ! On fait un virage temporel, un petit crochet, on te dépose dans le passé, à cette époque-là, tu te retrouveras, à Fès, ce n’est pas loin de Port Lyautey…
S- Facile à dire!
D- Tu verras l’utilité des portes espace temps. Ce sont les pages de Mon Livre. Il n’y a qu’à poser le pouce, penser à l’action et au temps voulu.
S- Oui, je vois, merci votre Majesté ! Comment refaire les choses déjà faites ? Effacer alors un passé qui est déjà enregistré et comptabilisé, fixé, indélébile, sur ces pages déjà écrites ?
D- Ça , c’est mon boulot, ma petite ! Vois-tu ?
S- Oui Seigneur ! C’est là que vais re-devenir enseignante dans le futur Kénitra, comme une vieille instit à Balzac où j’aurais à supporter leurs diablotins, Docdjo et Oum-Nour. Au lieu de rentrer en France, avec mon cousin, le Général Lyautey, comme il me l’avait demandé
L- Il y a quelqu’un qui me demande ? Cher Yahvé? Je suis le Général…
D- Reposez-vous Maréchal Hubert ! C’est votre cousine qui fait du buzz chez le bon Dieu !
L- Elle ne devrait pas ! Je le lui interdis de vous déranger ! La discipline le respect, elle connaît. Dssara âla el moulouk khsara et Vous, vous êtes Le Roi des rois, le Maître des généraux, des présidents et de cieux.
D- C’est juste, Mon général. Je continue de là où tu m’as interrompu, Maîtresse !
S- Mille excuses, je vous demande pardon Monseigneur !
D- Ton menuisier est porté sur la sculpture. Non seulement celle des courbes félines, mais aussi celles des thèmes religieux, les arabesques sur les bois d’intérieurs. Les palais, les mosquées, c’est sa spécialité.
O- Entrepreneur à tout faire, inventif, bricoleur ! Et beau mâle..
S- Tu disais ?
O- Beau Mâalem, ou bon menuisier, que je devais dire !
D- Ebéniste au départ, il aura comme apprentis des poètes, des chanteurs et de futurs acteurs !
S- Ah, comme ce Taieb Laalej qui vient de débarquer. Oui je sais, il tout estomaqué. Il vient de débarquer dans l’Au-delà. Je veux dire, l’Au-d’ici. Il commence à s’y plaire. Il s’habitue, car il fait craquer de rire tout le monde. Ça les occupe et ça les détend ! Il est en train de composer une chanson encore pour cette grossière chipie de Latefa Raêfate. En jazal, (poésie vernaculaire) pour lui souhaiter la bienvenue, quand elle viendra le rejoindre.
TL – » Nhar touil, laêmar qser, wa el akhera dayma, Jity le jena, mrahba bik a lalla, Jity neâljek a khouyi heta hna, Latfi biya naêtef âlik a Latifa, Jity le raefati a khty lalla, Raha el jena dayma. «
D- M. Tayeb, allez, continuer d’alimenter de vos beaux vers, la noria qui est là bas ! La rivière aux rimes coule sans verdeur, allez lui donner du son et des paroles. Allez la réchauffer de vos mots.
TL- Neâme a Sidi ! Allah y barek fe âmer Sidi !
H – Qui m’a appelé Ma Majesté ?
D- C’est à moi qu’il s’adresse votre ancien sujet ! Allez vous reposer de votre trône ! Majesté ! Mme Student, JEREVIENS 0 VOUS
S- Merci Maître et suprême Majesté !
D Je disais que ton homme…
S-! Hhaaaa mon Dieu ! Ah mon homme !
D- Étonnant ! Tu n’as pas fait tellement d’effusions sur les mâles, de ton vivant !
S- Je ne suis pas si morte ! Enfin, je suis éprise, à présent ! Je ne peux jouer mon rôle comme d’actrice ou d’agent dès lors. Je fais parti de la scène et des jeux réels, je fais du décor et des acteurs impliqués, maintenant. Je sais aujourd’hui ce que j’avais perdu naguère. Mais, c’est sans regrets, puisque j’avais choisi et que je ne l’avais pas vu, hélas !
D- Sans regret et héla, que dois-je retenir ?
S- Vous le savez, mon Dieu? Pourquoi me le demandez-Vous ?
H- Quel culot de parlez à Dieu de cette façon ! Si c’était de mon temps je t’aurais …Je ne sais plus. Il faut que je demande à Basri..
B- Je suis là, vos Majesté. J’arrive du golf avec ma belgha* jaune. Qu’est-ce qu’on inaugure aujourd’hui ? Qui dois-je enlever pour le mettre à Taj Mamart ?
D- Du calme Boby ….Driss !
B- Mea culpa mon Dieu, si j’ai fauté aussi !
D- J’ai toute une encyclopédie sur vos manœuvres passées et vos connivences antérieures. Exercice long et nul et souvent méchant.
B- Pitié, Votre Majesté !
D- Allez au bain faire vos grandes ablutions et n’arrêtez pas de vous laver. Priez que vos victimes ne vous rencontrent pas. On verra votre compte plus tard ! On a toute l’éternité. Je reviens à toi, ô âme de Student…
S- Même si je suis comblée par Ton amour mon Dieu et Ton estime, maintenant. Que me faut-il, à mon âme de plus, si j’ai Votre amour et Votre bénédiction en retour ? Mais, si je dois avoir un corps de nouveau, dans cette épreuve terrestre nouvelle, pourquoi mentir à mon corps et à celui qui sait mes tourments et qui espère m’en apaiser sur Terre, demain ?
D- Jolie tirade, Student ! Bien dit Student avec ta chaleur intime et tes passions retenues.
S- Je vais la publier !
O- Berdy âla qalbeqk, daba, a lahbiba !
D-Ton protégé, finira dans la menuiserie, avant de se tourner vers le mortier et la brique ! Le façonnage des corbeilles en bois pour les frigos, après la petite entreprise. Les temps tournent
H- wa tajri el miyah bima la tachtahi essoufounou !
S- Il verra une nuit de Ramadan flamber son atelier de Fès-Jdid !
– Il ne dure que le royaume de Dieu. Les soufis et les apprentis du Fquih Lyazghi, terminent leur vie dans la mystique et la philosophie musulmane. Ils accèdent à la sérénité et au détachement, matériel, face aux pertes de leurs standings antérieurs. Ces grands hommes de culture, de cette époque, montrent un immense amour envers leur Dieu et accèdent à Sa protection avant de Le rejoindre et de partir.
H-Les rois aussi, avant de rejoindre le bon Dieu !
D- Tu as connu Lafqih , Student ?
S- J’ai vu ses photos chez le Dr Maidoc, avant de venir habiter chez vous !
D- Son beau fils donc, Othmane, verra une nuit de Ramadan flamber son atelier de Fès-Jdid!
S- Ah
O- j’en tremble encore. Rabbi lima sabaqtani ?
D- J’y peux rien ! Allez vous reposer là-bas! Et il n’y a pas eu mort d’homme. Il avait succédé à son patron Lafqih. Ce sera le tournant pour lui. La fin de son monde. Le maâlem a perdu ses habitudes, ses moyens, son autorité, sa situation, sa prestance et sa notoriété.
O- Ouiiiii ! Vous savez tout, vous sentez tout.
D-Le quelqu’un qu’il était, si célèbre et respecté, si aimé dans son quartier, va ternir à Kénitrou. Ahhh, sid el âmil et sid louzir Rebbah, arrangez-nous cette hala !
S- Oooh ! Mais, la yadoumou ila moulkak, Allah. Je l’éteindrais, ce feu pour l’atteindre. Je l’éteindrais pour l’étreindre. Mon homme ! Je l’ai choisi dans l’au-delà pour aller avec lui en bas! Je le sauverais des flammes ! Celles que je sens pour lui sont plus brulantes encore pour moi. Mais elles seront si chaudes et si tièdes à la fois, pour lui.
O- A hbasse a lalla ! Rabbi lima sabaqtani ? Dieu sauve-moi des feux de cette vampe ! Dis, mon Dieu, Tu ne m’as pas condamné aux enfers ? A son enfer ! Moi, j’ai les femmes que je veux, et non celles qui me veulent attraper. Elle veut me ferrer, cette jument et m’embraser, alors que je suis venu au paradis, pour me reposer.
D- Et que feras-tu, Oum Kalthoum, de sa femme, Saadia ?
S- Et la tradition des harems, mon Dieu ? C’est pour qui, si je deviens musulmane et que Tu la permettes ? Plutôt qu’autres dribbleages ! Et puis, je vais devenir un ange interactif ! Je ne peux pas rester les bras croisés en attendant ton destin, le destin pardon, de se faire à l’encontre de Ton amour et du bien que tu répands, mon Dieu !
D- C’est ce que Je veux aussi !
S- Mais, là sur terre, il ne craint rien ! Cet incendie avait sonné avant terme, la fin de son circuit professionnel, moi, Student, je le sauverais de la déprime. Et je luis rendrais sa beauté et sa jeunesse, son estime et ses biens. Je lui rendrais la virilité que pour moi, il mérite de me donner, avant terme !
D- Je ne sais pas si je fais le bon choix, de l’ange ou de l’ingénue angette* que tu es, en te nommant à la tête de cette mission ? Mais je suis Dieu ? Je ‘ai pas du me tromper. Un retour spatio-temporel, décidé par Dieu pour des adultes, qui devront se comporter en tant que tels…Sans trop troubler le destin…
S- Oui, pour Vous, mon Dieu. Et pour cette mission, pour lui et les siens, j’accosterai à Port-Lyautey. Kénitra, pour les arrivistes. N’est-ce pas lui, mon maâlem Othmane qui avait dit: »Ce n’est que par miracle que je prends mon pied ou que je marche sans commander à ma machine. Mais, au dernier moment on me transportera, sans que je sache où ni par quoi, dans l’un de ces petits « taxis al gharam ». Ces cercueils que je fabrique ! Et qui me réceptionnera et restaurera mes ruines, afin que je me présenter en bel homme devant Dieu…
O- C’est ça à peu près, mais je l’avais dis en arabe !
D- Comme quoi, les artisans peuvent philosopher, tout en plaisantant !
S- Simples sarcasmes de moucherons, scatologiques ! Mais, lui il va très profond…Je l’espère…
O- Compte sur moi, Mamy Student !
D- Monsieur Othmane calmez-vous ! Pensées Socratiques, Sainte Student ! Socratiques! Et tu resteras platonique ! Amours platoniques!
S- Je sais que je suis plate. (Je ne veux pas faire de jeux de mots avec la divine rime ironique) !
D- J’ai entendu ton jeu de mots, ô mortelle, laconique !
S- Pardon, votre Excellence ! ? Je ne suis plus une mortelle même si je le fus avant de venir chez vous, ici. Pardon votre Majesté ! C’est plus fort que moi. Les mots m’instruisent, leurs jeux de mots intelligents ou scabreux, me plaisent et j’exulte, je vogue sur leurs dérives et leurs glissements sémantiques.
O- Seulement ?
D- Je sais ta »licence » toute française, Gauloise ! Et ta maîtrise à la fois rhétorique et polémiste… Heureusement qu’il y a un poète derrière-toi…
S-Où ça Maître ? Je suis nue et je ne sens rien. Je n’ai pas de rétroviseur sur mon châssis !
D- Coquine !
S- C’est trop d’honneur d’être traitée de coquine par le maître de l’univers sans enfreindre son courroux, et en garder ma joie ! Louanges à toi divine Miséricorde ! Nous sommes presque complices. La fourmi que je suis et le Maître de l’univers…
D- Doucement ! Tu va réveiller les jaloux de la création.
S-C’est trop d’honneur Votre incommensurable, Majesté majestueuse! Leur petitesse leur donne du zèle pour s’élever du sol et se moquer un brin d’une vie qu’ils ne connaissent pas. Je parle des humains, Votre Auguste Majesté.
D- Tu parles des humains et tu ignores ces milliers d’autres espèces et d’êtres que j’ai créés, ailleurs, sur les autres planètes ! Il y a de quoi t’effarer. Tu Ss’ais…
S- L’été indien….J’ai toujours été subjuguée par le ciel et admirative malgré la petitesse de mes yeux …Et ma foi, mon effarement devant votre puissance, viennent de là !
D-Oui, c’est merveilleux et beau…Parfois, il y a des hasards et des ratés.
S- Dommage pour ce qui flanche, des fois, ce monde de mortels, et pardon de le dire !
D- C’est prévu comme incidents, même ce qui est fragile et immature. Il n’y a d’êtres éternels ni de créature aussi parfaite que Moi !
S- Louanges à Toi Seigneur, depuis Ton origine et louanges sans jamais de fin ! Louange à toi avant que je naisse et après que je disparaisse….
D- Tu vas où ?
O-Soyez témoin de ma prière, Vous-même, pour la comptabiliser dans mes bonnes actions.
D- Je sens que c’est Maidoc qui m’envoie cet SMS ? A travers toi et tes grâces Student !
S- Ironiser d’un corps qu’ils utilisent, sans le maîtriser, railler cet esprit qu’ils devinent avoir ou posséder ?C’est en soi, un pari d’aveugle, une bravade, une philosophie…
D- Un pari gagné ! Et c’est moi qui récompense! Même sans m’aimer, même s’ils parient pour rien, même s’ils se trompent et même s’ils parient à côté, ils gagnent tous, une place chez moi. Et, ils sont les bienvenus. Puisque c’est de moi qu’ils proviennent et tous ne le savent pas !
S- Alléluia ! Alléluia !
D- Un pari gagné ! Puisque je suis Allah et que Je suis là ! Et tu es l’une des témoins de Jéhovah, Sainte Student…Quel est ton prénom déjà ?
S-‘’Louanges’’, mon Seigneur. Hamida ou Ahmada, le féminin de Ahmed pour les musulmans !
D- Tout ce qui est sur terre et dans les cieux cite et le récite pour Le louer Le nom du Seigneur.
S- ‘’Amenti bi Llaaah’’ ! D’autant admirable qu’ils ne savent rien, ni des origines ni du dernier bout de leur vie ou de leur Dieu, Lui-même. Et c’est la symbolique de la foi, sa force…Un pari, un credo, sans assurance, mais avec certitude et conviction ! La foi, soulève les montagnes…
D- Ah, heureusement… Lesquelles au juste, et par qui ?
S- Par Celui en qui on croit ! Toi, Seigneur !
D- Il faut de l’action quand même, pas le simple fait de croire en Moi ! Je ne suis pas le boy des paresseux ! Le big boss des impuissants.
S- Oui Seigneur, on y va !
D- Heureusement Student que tu en as une notion avancée depuis qu’on t’a ramenée ici…
S- Oui, Excellence ! Merci Votre Majesté ! Louanges à Toi Seigneur. Je sais bien des choses que tu nous as cachées…Maintenant que tu m’as ouvert l’esprit..
D- Dçara âla Allah, khçara…La familiarité avec Dieu est la pire des impudences ! C’est un péché mortel ! Il n’y a qu’à voir ce que les rois mortels font de leurs sujets effrontés, pour de pareilles vétilles…
S- J’implore Votre Pardon, mon Dieu ! Mais au fait, qu’est-ce que j’ai dit d’impertinent, Seigneur ?Je pense et je pense malgré moi. Et Tu entends ce que je pense, avant même que j’en soi consciente.
D- Tu es déconcertante, mais vraie ! Ta façon de tenter d’avoir le dernier mot, même avec Moi, est digne de cette maîtresse de classe que tu fus. Hardiesse et outrecuidance, passion et entêtement, persévérance pour persuader et pour inculquer la vigueur, le sens de l’entreprise aux enfants…
S- Pardon, mon Dieu ! Vous ne connaissez pas les femmes !
D- Que Moi-même, M’en préserve !
S- Je voulais dire les mamans…
D- Je comprends que ton esprit de citadine des années 1900 de votre Terre, soit une réaction face aux machistes de l’époque. A commencer par les garnements de tes classes de prépa…
S – Préparatoires, seulement, Sire !
D- Des »écuries » pleines de jeunes arabes, turbulents, qu’il te faillait dominer, maîtriser et faire taire, pour les éduquer calmement…
S- Je voulais dire que c’est valable pour tous les pays et toutes les puéricultrices. Spécialement quand c’est bourré d’indigènes, de canaques et de ces gosses des périphéries de nos villes…qui n’ont d’espoir que l’école.
D- Pour les maîtresses chargées de développer la personnalité des enfants, insouciants qu’ils sont, ces insinuations sont graves, partiales, péjoratives, discriminatoires et préconçues…Attention.
S- Mais réalistes, je m’en excuse en implorant Votre pardon ! Et nous avions des programmes du ministère, forcés que nous étions de les appliquer. Pour la Mission, c’était des ordres qui venaient de Paris et Bordeaux…
D. Ils méconnaissent tout, sans savoir mesurer le danger et les limites des choses ni celles des réserves ou de la pudeur qu’ils doivent observer envers autrui.
S- J’aurais voulu être une femme, normale. Loin de toutes ces considérations.
D- Mais tu es bien constituée, il ne te manque rien.
S- J’aurais voulu être une femme normale, pour séduire et être aimée. Mais je n’aime que Vous, Seigneur ! Mais, il me manquera toujours, un mari.
O- Moi, moi, moi, je la prends…Je suis aussi menuisier. Je saurais la tailler sur mesure…Comme les vers en l’arrimant.
D- Taisez-vous Taieb Laalej. Elle est pour votre patron Si Othmane. Attendez Latefa Raêfate ! Elle ne va pas tarder…Vous pouvez sauter dessus pour agrandir votre harem…votre halqa ! Et puis allez lui préparer quelques poèmes pour ses chants.
O- Que je la prenne dare, dare, Majesté…Là sous cet arbre d’Adam, si c’est sérieux…Ou qu’on redescende ensemble sur terre. Si vous ne voulez pas pardonner à nos paradisiaques ébats.
D- Ah ! je m’y attendais! Vos sorties les menuisiers et cette déclaration directe, Student, m’honorent, Dieu que je sois ! Mais elles ne t’emmènent à rien !
S- je veux seulement plaire au Seigneur en faisant plus que ce qu’il m’a recommandé, par abnégation, par passion et par amour, par delà les besoins du corps, que je n’ai plus, d’ailleurs !
D- T’inquiète ! Coté caractère, comportement et humeurs, on peut séduire Dieu lui-même et lui plaire, tant sur le plan spirituel que celui de l’amour. L’un n’empêche pas l’autre. En Moi, l’adhésion et l’admiration se complètent.
S- Si, si !
D-N’ai-je pas fait Adam et Eve à partir d’un seul modèle, d’un seul être, pour les recombiner ensuite et les compléter, afin qu’ils se reproduisent pour remplir la terre ? Pour moi copulation, fécondation et les amours qui vont avec, sont des formes d’attachements pour servir un but : fructifier, créer ! Le plaisir de le faire est un gadget, un moment de gratifications, fait d’hormones, d’excitations et d’humeurs.
S- Que soit loué Dieu le Créateur ! Vous êtes un génie !
D- Non, un peu plus que ça ! C’est Moi qui crée les génies et qui leur inspire d’innover et d’inventer. Indirectement ! Je n’ai pas que ça à faire, en fait ! Je délègue !
S- Que Ta volonté soit faite, avec nous ou sans nous ! Amen !
D- Soit ! Demain, tu vas renaître pour descendre sur terre et accomplir ta mission nouvelle. C’est là que tu re-vivras pour suivre de près Othman, ses enfants et son ainé, Maidoc. Tu seras son héroïne et l’inspiratrices de ses (tes) chroniques différées. S- Entendu, Maître. Et Sainte que je suis, je prendrais homme.
D- Ainsi-soit-il ! Prend-le avec toi et repartez !
S-A la gloire de Dieu !
D- Lol !
S- Là où on voit que Seigneur encourage le Twitt et qu’il sait plaisanter. Ça ne va pas encourager l’apprentissage de l’orthographe ni celui de la grammaire à nos métis culturels! D- « Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire viennent aisément »!
S- A quand la page Facebook, Seigneur ?
D- Y a pas photo !
O- C’est la spirale de l’ingénue ! Laissez-la parler, elle ne s’arrêtera jamais, même devant le bon Dieu, himself !
S- Aurais-je fauté, Seigneur? Et puis j’ignore d’où vous m’appelez ? De quelle planète, de quelle galaxie ou de plus loin encore que la Voie Lactée…De l’extérieur de l’univers ? De cet espace grandissant que vous avez créé et fabriqué ou d’en dedans. C’est pire que lorsque je vivais, j’ignore où Vous êtes et pourtant je Vous parle et mieux, je Vous entends…Et je Vous aime…
D- Twittutoriel
D- Je ne peux pas être à l’intérieur de ce que j’ai créé. A moins que ce ne soit immensément grand. Encore qu’un Dieu qui s’enferme dans un objet qu’Il crée, dans une boîte, ce Monde-ci, ça fait un peu ridicule et étroit, même si ce sont des galaxies. Dieu est au dessus de tout ça ! Il trône sur Sa création
– Silences…
D- Allez les amants ! Refaites un tour ! Au boulot.
S- Le travail, c’est la santé…Même pour les âmes ! Ne rien faire pour elles, c’est rester dans son ignorance et ne pas progresser. Comment je vais dire à Dieu que s’il m’envoie en mission, que j’aurais besoin de flousse, de pèze ? Comment je vais assumer mes déplacements sur terre et subvenir aux frais ? De quoi vivrais-je ? Moi et ce menuisier qui ne pense qu’à raboter les bonnes choses !
O- Oui ma planche ! On va se la tailler douce !
D- Silences…
S- J’aurais besoin de savoir où je vais habiter et quelles ressources me seront appointée et par qui ? Je ne vais pas m’imposer comme ça chez des gens ! Ce n’est pas que je sois calculatrice ou que je devienne matérialiste quand on me demande un service ! Mais depuis que je suis morte, j’ai quelques appréhensions. Je suis devenue moins débrouillarde. Je suis une autre, plus prés des anges que des humains…Je l’espère du moins, et ce n’est pas pour frimer ! Mais, c’est ce que je ressens ! Je me demande s’Il m’écoute.
D- J’ai entendu ce que tu pensais, Sainte Student ! Dès que tu mettras les pieds sur terre, tu seras pointée chez les sœurs.
S- Ah, les bonnes sœurs ?
D- Un ordre naturel de l’Eglise et de la Résidence française au Maroc.
S – Vous connaissez ce pays, Bon Dieu ?
(Dieu reste coi. comme sidéré, devant l’ingénue Madame Student)
S- Mince, j’ai commis une bêtise ! J’y ai séjourné du temps de Lyautey, le maréchal. Et plus longtemps après qu’il soit reparti. J’allais me marier avec lui…Mais, la guerre, la pacification, les problèmes de développement et d’infrastructure ! Ça vous aliène un homme et ça l’éloigne de tout ménage, fut-il un général ! J’y ai séjourné près d’un siècle ! Je le préfère à l’Europe pour ses gens et surtout son climat.
D- Mais, Je connais tout ça, Sainte Student
S- Alors, pas besoin de parler?…Même un monologue est de trop avec Dieu ? Et peut-être que les prières sont inutiles ? Il faut juste se concentrer et penser que l’on communique avec Dieu, en le louant, certes. Et qu’il nous écoute et qu’il va de ce fait satisfaire nos vœux et exaucer nos prières.
D- Hum, votre Sainteté ! C’est au dispensaire de la Goutte De Lait de la place du Batha que tu connaîtras Othmane le père du futur Maidoc. Le petit rabougri, né en ce temps de deuxième guerre mondiale, aura besoin de lait. Tu verras. Spontanément tu feras la connaissance du jeune maâllem Othmane dont tu favoriseras les donations et en lait et en riz ! Et tu vivras avec les sœurs.
S- Chastement, cloîtrée….
D- Pour ne faire que du bien à autrui, en négligeant votre ego, et cela, quelle que soient sa couleur, ses moyens et sa religion.
S- Sa t…..Dois-je répondre ou me taire ? Par pudeur et respect ? Par crainte et timidité devant Dieu.
D- Parle, car je sens ce que tu penses et que tu ressens, mais parle ! Délivre ta conscience des peines du silence et de la pudeur
S- La sainteté commence par la chasteté…(Dit Student). Ce n’est plus mon cas, puisque j’emporte mon homme, dans mon viatique.
D- Convenue, contrite et contre gré ? Acceptée et voulue ou simulée ? Ou encore pire, déviée sur les objets et les êtres innocents et sans défenses…Ce n’est pour autant que les religieux restent intouchables ou » vierges ». Je n’en veux pas à l’homme de rester homme. S’il développe des freins il garde des instincts et l’odeur de la chair, qui culturelle ou cultivée comme telle, devient tendance pour enivrer et pervertir les plus rigides et les mieux préparés d’entre les religieux et les ecclésiastiques.
O- Dieu, celle-ci, la Sainte Student, je vous préviens ! Elle promet d’être torride, si placide et frigide fut-elle, dans sa vie antérieure.
S- Je ne saurais répondre à Dieu. On se défoule comme on peut chez les humains. Ce dilemme me dépasse et Dieu connait mes réponses, avant même que je ne les conçoive ou que je ne les prononceA SUIVRE
Kénitra, le 27 avril 2013,
DR IDRISSI MY AHMED[/b]avril 24, 2013 à 4:41 #255913En réponse à : GATEAU AU MIEL
Anonymous
Membremerci pour la recette qui est très simple, je vais l’essayer, pour voir ce que ça donne, je suis pas fan de miel toutefois, peut etre dans le gateau j’aimerai
avril 18, 2013 à 2:11 #214605En réponse à : الأدارسة في المغرب الشرقي Les Idrissides du Maroc Oriental
Anonymous
MembreAssalamou alaykoum,* Bismi lah arrahman arrahim,
Je ne sais pas si le débat continue, mais j’ai vraiment besoin de quelques renseignements pour ma mère.
Elle est originaire de oulad Ammar qui est situé à 44 km de Taourirt, et à environ 20km de Dabdou. Cette tribu a plusieurs fractions dont douar qassouain. Ce douar est constitué de plusieurs familles qui n’étaient reliés par le sang, mais qui le sont devenu par les mariages: parmi ces familles on trouve: Bennasser, Zerouali, Mimouni, Moussi, labyadh et El wali ( en berbère araw n’ aaraab). Ces familles personne de mon entourage ne sait comment ils se sont rencontrés sur cette terre. Ma mère appartient à la famille Bennasser. Un de ses oncles qui est mort lui avait dit qu’il avait l’arbre généalogique de la famille. Mais malheureusement ses fils l’ont perdu après sa mort. Donc, ce qu’elle sait c’est qu’ils sont originaire de Figuig, de la fractions Oudaghir et que leur arrière arrière grand père est venu à cette région peut-être dans les années 1700 ou1800 comme » Fqih ».
Il s’est marié et s’est installé dans la région. Je ne sais si c’est lui ou son fils qui quand il avait acheté un bout de terre, pas loin de Lmaqam ou Lmaedan, l’avait nommé « Bouanane ». Cela veut-il dire qu’il vient de BOUANAE?
Puis, apparemment un ancêtre, on ne sait pas lequel « peut être ce fqih, a participé à une bataille entre oulad Ammar et Beni Bouzougou qui avait comme alliés Bani Fachat et dans laquelle oulad Ammar ont été massacrés. cette ancêtre est mort dans cette bataille en laissant une femme et ses enfants dont un garçon (l’unique garçon) qui s’appelait Mahammed.
C’est de ce dernier que descendent tous les Bennasers de cette région et leurd frères et cousins de Jerada.Je demande à tous ceux qui peuvent détenir des renseignement sur cette personne venu de figuig à Oulad Ammar de me le faire savoir, notamment les Oudaghirs de Figuig.
Barraka llaho fikoum.
Aymanavril 12, 2013 à 1:28 #280769En réponse à : Contre rotary club à l’ENCG à Oujda
zoro
MembreAh le Fameux Rotary club!!!!
que puis-je vous dire dessus ?? c’est un organe maçonnique par excellence ! on l’a côtoyé au début des années 80 avant que les gens ne le connaissent a oujda et on s’est rendu compte au bout de quelques séance qu’il est anti islam .
un organe promettant le progressisme et l’ouverture d’esprit alors que ce n’est qu’un lieu de débauche corporel et spirituel .
un lieu ou l’échangisme est monnaie courante .
j’ai pris ma femme et je me suis barré .
ce club recherche surtout les notable des villes: juges, avocats, chef de services et médecins pour les pervertir et les enrôler en les impliquant dans des scandale qui les rendent doux comme des agneaux et du coup plus docile a appliquer les ordres qui leur sont dicté par les haut lieux de la maçonnerie ceux la même qui entendent gouverner le Maroc dans un futur proche .
ces club font la promotion de la laïcité en suivant une méthodologie sournoise celle de la sois disant l’ouverture des esprits .
attakou allah ya mgharba et éloignez vous de tous ces groupements à la con genre rotary et lion clubs ,il n y a pas meilleur groupement que dans les mosquées . accrochez vous a votre religion sans elle vous ne serez que foin éparpillé par le premier souffle de vent .par contre pour mstafa ben hamza il ne faut pas non plus exagérer il n’est pas le sauveur d’oujda il a peut être fais des trucs mais sans les mouhsinines il n’est rien !! .puis il faut éviter le glorification en islam notre prophète ne nous as pas appris cela .
avril 8, 2013 à 8:22 #264560En réponse à : quel plat avez-vous cuisiner?
Anonymous
Membremoi aussi j’adore cuisiner chinois et à la maison il m’arrive de concocter des plats familiaux très simples et très savoureux: riz cantonnais, raviolis vapeurs, rouleaux de pâte de riz à la vapeur.
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