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15 réponses de 511 à 525 (sur un total de 23,230)
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  • Anonyme
    Invité

    السلام عليكم ورحمة الله

    Programme tuniso-britannique de l’apprentissage de l’anglais dans les établissements éducatifs

    La dynamisation du programme tuniso-britannique de promotion de l’apprentissage de l’anglais dans les établissements éducatifs a été au centre de la rencontre, jeudi, du ministre de l’Education Abdellatif Abid avec la directrice du British Council à Tunis Eunice Crook.

    http://www.maghrebemergent.info/actualite/fil-maghreb/8355-programme-tuniso-britannique-de-lapprentissage-de-langlais-dans-les-etablissements-educatifs.html

    عبد الكريم

    #279571

    En réponse à : MARIAGE MIXTE

    houmidi59
    Participant

    D’abord, laisse-moi te dire qu’il existe trois sortes de mariage mixte :
    le mariage transnational : alliance de deux individus de nationalités différentes
    le mariage interethnique : alliance de deux individus d’ethnies différentes.
    Mariage interreligieux : alliance de deux individus de religions différentes.

    En ce qui te concerne : tu es tunisienne et lui marocain .Donc deux pays presque identiques avec une toute petite différence de dialectes et quelques coutumes.
    Tous les deux vous parlez l’arabe et vous pratiquez la même religion .Alors, forcément c’est un mariage naturel et loin d’être mixte ;puisque, il y a beaucoup de points communs entre vous deux
    Bien entendu, il y a certains points à régler avant le mariage comme savoir les principes de son conjoint , ses opinions (politiques, par exemple)…enfin, c’est le cas pour tout mariage naturel
    Allez lance-toi et ne cherche pas à lui mettre les bâtons dans les roues sinon je vais croire (comme disent les oujdis) que tu cherches un étui pour une faucille.
    Enfin de compte je vous souhaite une union solide et sans problèmes , pleine de bonheur et de réussite

    #279527
    houmidi59
    Participant


    Intrigue policière : la femme
    mystérieuse

    Episode XVII : Un plan pour capturer Bangui

    L’après midi, au commissariat, l’inspecteur Halabi étudiait l’opération de 18 heures avec ses collègues et ses subordonnés.

    _ Voilà, entama-t-il la réunion, j’ai préparé un plan pour la capture de l’homme à l’imperméable alias Bangui.
    Vous, brigadier Hazim ainsi que le sergent Diloui, vous allez vous poster là-bas, près du oued Isly .Vous changerez d’aspect .Ayez l’air de deux bergers. Bien entendu, pour donner du sérieux à votre rôle, procurez-vous quelques brebis et moutons que vous empruntez à un des fermiers des parages.
    Quand à vous inspecteur Mellassi, dites à vos hommes de se disperser entre la sortie de la ville et le pont Isly .Munissez-vous de talkie walkies pour communiquer entre vous .Bien entendu, ne prenez aucune initiative sans mon consentement.
    Toi, mon cher Rachid, puisque c’est toi qui a filé notre homme ; tu veux bien nous donner un aperçu de la situation ?
    _ Avec plaisir, rétorqua ce dernier
    Bon, pour commencer, j’ai suivi tous les déplacements de notre homme : depuis sa sortie de l’immeuble Saada jusqu’à son retour chez lui
    _ Donc, tu sais ou il habite !
    _ Bien sûr ! Il habite dans une vieille maison dans le vieux quartier des anciens combattants. Au fait cette maison est habitée par plusieurs personnes ; la plupart sont des vagabonds, des voyageurs et des vendeurs ambulants. L’homme à l’imperméable occupe
    Une pièce presque isolée des autres pièces.
    Il est entré vers dix heures du soir .
    Halabi était le premier à s’étonner :
    _ Mon bon ami, tu as passé tout ce temps à errer dans les rues
    _ Non, rassure-toi ; j’ai posté un de nos contacts qui s’est chargé de tout
    Mais, attends : je vais t’expliquer du début
    Après avoir bu un verre d’eau, l’inspecteur Rachid dit :
    _ Quand il est sorti de l’immeuble Saada, il est allé tout droit vers un café au centre ville : le café des martyrs .Il est entré à l’intérieur .Je l’ai vu parler longuement avec un des garçons de l’établissement .Après, il s’est assis au coin .Quelques instants, on lui sert un verre de thé .Puis, deux individus l’ont rejoint
    _ De quoi ont-ils l’air ? demanda Hazim
    _ De vrais gibiers de potence ; je crois qu’ils sont des habitués de nos prisons.
    Donc, je me suis approché de quelques tables d’eux ; malheureusement, c’était assez difficile d’entendre ce qu’ils se disaient. Cependant, cela m’a permis de voir de près ce qu’ils manigançaient. A un moment, Bangui a fourré quelque chose dans un journal qu’il a plié ; puis il l’a donné à l’un des deux malfrats. Ces deux derniers sont partis .Aussitôt, j’ai sonné Elmiloud l’archiviste .Je lui ai fait une petite description des deux hommes.
    Juste cinq minutes après, il me contacte et me donne leurs noms.
    En effet, ce sont deux repris de justice. D’ailleurs, ils viennent de sortir de prison, il y a une quinzaine de jours
    Il s’agit de Saleh Elmaleh connu sous le sobriquet de Mjinina et de Azzam alias Harroudi
    _ Et alors ? Intervint Halabi
    _ J’ai bu une limonade ; puis, je suis sorti
    _ Et Bangui ?
    _ Il est resté là-bas jusqu’à deux heures de l’après midi
    _ Ne me dis pas que tu l’attendais dehors toutes ses heures
    _ Détrompe-toi ! j’ai posté un de nos contacts. Justement, il travaille comme garçon dans ce café .Je lui ai donné mon numéro de téléphone et lui ai dit de me prévenir de l’heure de sa sortie du café.
    Pendant ce temps là, je suis allé au septième arrondissement qui se trouve à quelques mètres du café .Par coup de chance, je connais l’un des inspecteurs de police.
    Aussi, je lui ai demandé de retenir nos deux hommes sous les verrous pour une durée de vingt quatre heures en tant que suspects dans une affaire de vol .Il me répond qu’il connaît ces deux lascars et qu’il va les capturer dans moins d’une heure, parce qu’il connaît tous leurs déplacements
    _ Bravo mon cher, le complimenta l’inspecteur Aïssam
    Et ensuite, qu’est-ce que tu as fait ?
    _ Je suis allé chez moi pour déjeuner ; ensuite j’ai fait une petite sieste .Vers deux heures, le garçon m’avertit que Bangui vient de sortir du café et qu’il l’a fait suivre par un de ses amis pour ne pas éveiller les soupçons de ce dernier.
    Une heure après, le contact m’a fait savoir qu’il est entré au cinéma .Il n’est sorti qu’à la fin de la seconde séance.
    _ Donc, conclut Halabi, vers huit heures
    _ C’est un peu ça, approuva Rachid
    Et d’ajouter :
    _ Après cela, il est entré dans un restaurant pour manger un sandwich.
    Enfin, il est allé à son domicile .Moi j’étais entrain de l’attendre là-bas .Cela m’a pris presque deux heures d’attente .Enfin c’est peu par rapport l’emploi du temps de Bangui.
    _ Qui t’a donné son adresse ?
    _ Le garçon du café, pardi !
    Pour clore cette réunion, l’inspecteur Halabi répéta les mêmes consignes puis dit :
    _ Messieurs, quant à moi je vais être l’ombre de monsieur Sedrati .Je vais me cacher dans la voiture du banquier .Quand , je vous donnerai le signal par deux bips longs , vous interviendrez !
    D’Accord, messieurs ?

    #279528
    houmidi59
    Participant


    Intrigue policière : la femme
    mystérieuse

    Episode XVI : le patron de l’homme à l’imperméable


    L’homme à l’imperméable escalada les escaliers .A chaque étage, il fit une petite pause pour regarder de près chaque appartement .Au cinquième étage, il sonna l’appartement trente deux .Après quelques instants, il entendit comme un chuchotement :
    _ Qui est-ce ?
    _ C’est moi Bendahou !
    La voix reprit avec un ton un peu dur :
    _ Pourquoi êtes-vous venu ? Ne vous ai-je pas dit que c’est dangereux de me contacter chez moi ?
    _ Mais, il est important que je vous voie
    _ Bon…J’espère que vous n’avez pas été suivi
    _ Rassurez-vous ! Et puis la police a d’autres chats à fouetter plutôt que s’occuper de mon cas
    Aussitôt, la porte s’ouvrit et l’homme à l’imperméable entra furtivement.

    **************

    Au commissariat, l’inspecteur téléphona à monsieur Driss Hamdi :
    _ Je suis navré de vous déranger, mais j’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer : on a trouvé votre fils mort dans son salon de coiffure
    Après un bref silence, il ajouta :
    _ Je vous attends pour vous accompagner à la morgue
    Sur ce, le téléphone sonna à nouveau :
    _ Allo, l’inspecteur Halabi à l’appareil
    _ Bonjour Aîssam ! Je suis dans l’immeuble Saada
    _ Alors, ça tombe bien .D’ici peu monsieur Hamdi va sortir .Tu veux bien l’accompagner à la morgue
    _ Mais, je suis entrain de guetter notre homme, l’homme à l’imperméable
    _ Dis-moi : ou est-il en ce moment ?
    _ Au début, j’ai cru qu’il allait rendre visite au vendeur des chaussures à savoir Driss Hamdi. Après, je l’ai perdu de vue ; mais je crois qu’il est monté au quatrième ou au cinquième étage
    _ Donc, conclut Halabi, il t’a semé mon vieux
    _ Pas du tout ! Je vais l’attendre patiemment .Il finira par sortir de son trou
    _ Puisque c’est comme ça, ne te fais pas voir par Hamdi. De toute façon, je lui ai dit de me rejoindre au commissariat
    _ Tiens, le voilà, souffla Rachid .Je vais me dissimuler sous l’escalier
    ************

    Dans le salon, l’homme à l’imperméable fit un compte rendu à son interlocuteur .Celui-ci l’écouta sans l’interrompre .A la fin, il le réprimanda sévèrement :
    _ Vous avez commis une grosse erreur en allant à la banque. Vous aurez du l’attendre chez lui.
    _ Pas du tout, patron ! Sa demeure est sous surveillance depuis l’assassinat de sa femme
    _ Et pour la banque ?
    _ J’étais sur les lieux avant son ouverture .L’un des gardes que je connais très bien m’a aidé en se faufilant à l’intérieur avant l’arrivée des employés. C’est lui qui a tout arrangé pour faciliter mon entrevue avec le directeur de la banque
    _ Voilà qui est rassurant !
    Puis :
    _ Donc pour le rendez-vous, c’est demain ?
    _ Oui, confirma Bendahou
    _ En y allant, faites bien attention et surtout ne vous faites pas remarquer
    _ N’ayez aucune crainte !tout se déroulera comme les autres opérations.

    ***********
    L’inspecteur Halabi, accompagné de monsieur Hamdi entrèrent dans la morgue .L’un des employés vint à leur rencontre :
    _ Que puis-je faire pour vous,
    inspecteur ? Lança-t-il en guise de salut
    _ Je voudrais jeter un coup d’œil sur la dépouille d’une personne qu’on vient de vous livrer. D’ailleurs, voilà les références : A212
    L’employa les pria de le suivre .Aussi, il entra dans une grande salle qui contenait beaucoup caisses métalliques .Il s’approcha de l’une d’elle et dit tout simplement :
    _ Voilà votre homme
    Monsieur Hamdi dévoila le cadavre de son fils et se recueillit un long moment sur sa dépouille. L’inspecteur le laissa faire.
    Puis, après avoir essuyé ses larmes, il dit à l’inspecteur Halabi :
    _ Comment est-ce arrivé ? Est-ce que vous avez arrêté son meurtrier ?
    _ Pas encore, mais on est sur une piste
    C’était loin de satisfaire l’oncle de Siham .Aussi, il s’énerva :
    _ Monsieur l’inspecteur, comme moi vous savez qui est le meurtrier de mon fils : ce n’est que ce vaurien de Sedrati .D’ailleurs, je vous l’avais dit avant-hier
    _ Détrompez-vous : ce n’est pas lui qui a assassiné votre fils. En plus, on connaît déjà le meurtrier .Ce n’est qu’une question d’heure .D’ici peu, on va lui mettre la main dessus.
    _ Mais qu’attendez-vous pour le faire ?
    _ S’il vous plait, monsieur Hamdi ; soyez un peu patient !

    ***********

    L’inspecteur Slaoui s’apprêtait à jeter un coup d’œil dehors, quand il vit la silhouette de l’homme à l’imperméable. Aussitôt, il se cacha sous les escaliers. Bangui sortit du bâtiment et se dirigea vers sa voiture et prit la direction du centre ville.
    Immédiatement, l’inspecteur Rachid téléphona à son collègue pour l’avertir du départ de son « client ».Ce dernier lui recommanda de le suivre à distance et noter tous ses mouvements.0

    #279534
    houmidi59
    Participant

    Intrigue policière : la femme mystérieuse

    Episode XV


    Partie 1 : négociation à la banque


    Monsieur Sedrati entra dans la banque .Il paraissait calme .Cependant, il ne manqua pas de regarder autour de lui à maintes reprises. Aussitôt, l’un des agents de la banque s’approcha de lui :
    _ Monsieur le directeur, un étrange personnage tient absolument à vous voir .Il faut prévenir la police
    _ Non pas la peine, rétorqua celui-ci. Je vais d’abord savoir ses intentions ; mais vous, tenez vous prêts ! J’aurai peut-être besoin de votre aide.
    Puis, il pénétra dans son bureau .L’homme à l’imperméable était assis sur le fauteuil des visiteurs. Il fumait un mégot qu’il écrasa en voyant le directeur de la banque entrer :
    _ Excusez-moi, dit il ; je ne m’attendais pas à vous voir aussi vite
    Monsieur Sedrati le dévisagea longuement :
    _ A qui ai-je l’honneur de cette visite ? Déclara-t-il sans ambages
    Le visiteur ricana et tout en se relevant, il dit :
    _ Monsieur le directeur, ne jouez pas ce jeu avec
    moi ! Je suis venu pour toucher mon salaire
    _ Quel salaire ! S’interrogea le banquier
    _ Allons, allons ! On dirait que votre mémoire vous joue des tours
    _ Mais, je ne comprends rien .Qu’est-ce que vous êtes entrain d’insinuer ?
    _ Je vous ai rendu un fier service, non ?
    _ Quel service ?
    _ Bon, je m’explique : D’abord, je vous ai débarrassé de votre femme !
    _ Ah, c’est vous qui avez assassiné ma femme !
    Salaud, pourriture …
    _ Attention pas de gros mot .Mais détrompez-vous : celui qui a tué votre femme est l’un de ses amants que vous êtes loin de connaître
    _ Je vous interdis de parler de la sorte de ma femme
    L’homme à l’imperméable sortit de sa poche un pistolet qu’il braqua vers monsieur Sedrati :
    _ Pas un cri ou un mot, sinon ce sera votre fin.
    Pour commencer, asseyez-vous et écoutez attentivement ce que je vais vous dire
    Comme je viens de vous dire : votre femme est morte, son assassin aussi et l’assassin de ce dernier .Enfin de compte votre gendre est le dernier de la liste des morts.
    Voilà ce qui va se passer après : la police fera son enquête sur la mort de Oualid Hamdi .Tôt ou tard, elle découvrira que vous et le défunt, vous ne vous entendiez pas bien et que vous n’avez jamais caché votre antipathie pour lui.
    Donc, vous serez le suspect numéro un par excellence
    Le directeur de la banque semblait réfléchir un moment ; puis :
    _ D’accord, vous avez raison .Alors, dites-moi qu’est-ce que vous me proposez ?
    _ Mais acheter mon silence ; parce que voyez-vous, je peux brouiller les pistes ; sinon faciliter votre culpabilité
    _ Quel est votre prix ?
    _ Voilà qui est bien parlé !
    Et d’ajouter : rassurez-vous je ne suis pas quelqu’un de trop cupide.
    Ok, donnez-moi quarante mille dirhams et je vous promets que je disparaitrai de votre vue à tout jamais.
    Monsieur Sedrati accepta l’offre de son interlocuteur en hochant la tête .Aussi, il le pria de lui donner juste vingt quatre heures de délai pour réunir la somme.
    _ D’accord, conclut le maitre chanteur ; rendez-vous demain à six heures du soir à la sortie de la ville près du pont de oued Isly.
    Mais, attention, venez tout seul !
    Sur ce, il sortit du bureau et quitta les lieux. Aussitôt, le directeur de la banque téléphona à l’inspecteur Halabi :
    _ Il va sortir d’un moment à l’autre
    Puis, il raccrocha


    Partie 2: filature exprès


    A une vingtaine de mètre du siège de la banque, un homme était entrain de savourer un café .Quand il vit l’homme à l’imperméable sortir de la banque, il lui donna une centaine de mètres d’écart pour le suivre sans se faire remarquer.
    L’homme aux moustaches longues se dirigea tout droit, puis emprunta une ruelle et monta dans sa voiture.
    Aussitôt, le détective privé sonna son chef :
    _ Allo chef ! ça y est il est monté dans une voiture : une Renault 19 de couleur bleue foncée ; il va prendre le boulevard Tarik Bnou Ziad
    Juste après, l’inspecteur téléphona à son collègue :
    _ Allo Rachid, mets le moteur en marche ! D’ici peu une voiture R19 bleue foncée va passer près de toi. Suis-la de près sans la perdre de vue.
    Quelques instants après, l’inspecteur Slaoui remarqua la voiture en question se diriger tout droit ; puis tourner à droite en longeant le boulevard de la résistance .Trois cents mètres après, la voiture s’arrêta devant un bâtiment .Dés que l’homme entra , l’inspecteur s’approcha de la construction pour noter l’adresse :immeuble Saada .A l’entrée , il y avait des boites aux lettres sur lesquelles étaient écrits les noms et prénoms des locataires .En les parcourant , l’inspecteur s’exclama : ça alors!0 !

    #279531
    houmidi59
    Participant

    Intrigue policière : la femme mystérieuse

    Episode XV

    Partie 1 : négociation à la banque


    Monsieur Sedrati entra dans la banque .Il paraissait calme .Cependant, il ne manqua pas de regarder autour de lui à maintes reprises. Aussitôt, l’un des agents de la banque s’approcha de lui :
    _ Monsieur le directeur, un étrange personnage tient absolument à vous voir .Il faut prévenir la police
    _ Non pas la peine, rétorqua celui-ci. Je vais d’abord savoir ses intentions ; mais vous, tenez vous prêts ! J’aurai peut-être besoin de votre aide.
    Puis, il pénétra dans son bureau .L’homme à l’imperméable était assis sur le fauteuil des visiteurs. Il fumait un mégot qu’il écrasa en voyant le directeur de la banque entrer :
    _ Excusez-moi, dit il ; je ne m’attendais pas à vous voir aussi vite
    Monsieur Sedrati le dévisagea longuement :
    _ A qui ai-je l’honneur de cette visite ? Déclara-t-il sans ambages
    Le visiteur ricana et tout en se relevant, il dit :
    _ Monsieur le directeur, ne jouez pas ce jeu avec
    moi ! Je suis venu pour toucher mon salaire
    _ Quel salaire ! S’interrogea le banquier
    _ Allons, allons ! On dirait que votre mémoire vous joue des tours
    _ Mais, je ne comprends rien .Qu’est-ce que vous êtes entrain d’insinuer ?
    _ Je vous ai rendu un fier service, non ?
    _ Quel service ?
    _ Bon, je m’explique : D’abord, je vous ai débarrassé de votre femme !
    _ Ah, c’est vous qui avez assassiné ma femme !
    Salaud, pourriture …
    _ Attention pas de gros mot .Mais détrompez-vous : celui qui a tué votre femme est l’un de ses amants que vous êtes loin de connaître
    _ Je vous interdis de parler de la sorte de ma femme
    L’homme à l’imperméable sortit de sa poche un pistolet qu’il braqua vers monsieur Sedrati :
    _ Pas un cri ou un mot, sinon ce sera votre fin.
    Pour commencer, asseyez-vous et écoutez attentivement ce que je vais vous dire
    Comme je viens de vous dire : votre femme est morte, son assassin aussi et l’assassin de ce dernier .Enfin de compte votre gendre est le dernier de la liste des morts.
    Voilà ce qui va se passer après : la police fera son enquête sur la mort de Oualid Hamdi .Tôt ou tard, elle découvrira que vous et le défunt, vous ne vous entendiez pas bien et que vous n’avez jamais caché votre antipathie pour lui.
    Donc, vous serez le suspect numéro un par excellence
    Le directeur de la banque semblait réfléchir un moment ; puis :
    _ D’accord, vous avez raison .Alors, dites-moi qu’est-ce que vous me proposez ?
    _ Mais acheter mon silence ; parce que voyez-vous, je peux brouiller les pistes ; sinon faciliter votre culpabilité
    _ Quel est votre prix ?
    _ Voilà qui est bien parlé !
    Et d’ajouter : rassurez-vous je ne suis pas quelqu’un de trop cupide.
    Ok, donnez-moi quarante mille dirhams et je vous promets que je disparaitrai de votre vue à tout jamais.
    Monsieur Sedrati accepta l’offre de son interlocuteur en hochant la tête .Aussi, il le pria de lui donner juste vingt quatre heures de délai pour réunir la somme.
    _ D’accord, conclut le maitre chanteur ; rendez-vous demain à six heures du soir à la sortie de la ville près du pont de oued Isly.
    Mais, attention, venez tout seul !
    Sur ce, il sortit du bureau et quitta les lieux. Aussitôt, le directeur de la banque téléphona à l’inspecteur Halabi :
    _ Il va sortir d’un moment à l’autre
    Puis, il raccrocha

    Partie 2: filature exprès


    A une vingtaine de mètre du siège de la banque, un homme était entrain de savourer un café .Quand il vit l’homme à l’imperméable sortir de la banque, il lui donna une centaine de mètres d’écart pour le suivre sans se faire remarquer.
    L’homme aux moustaches longues se dirigea tout droit, puis emprunta une ruelle et monta dans sa voiture.
    Aussitôt, le détective privé sonna son chef :
    _ Allo chef ! ça y est il est monté dans une voiture : une Renault 19 de couleur bleue foncée ; il va prendre le boulevard Tarik Bnou Ziad
    Juste après, l’inspecteur téléphona à son collègue :
    _ Allo Rachid, mets le moteur en marche ! D’ici peu une voiture R19 bleue foncée va passer près de toi. Suis-la de près sans la perdre de vue.
    Quelques instants après, l’inspecteur Slaoui remarqua la voiture en question se diriger tout droit ; puis tourner à droite en longeant le boulevard de la résistance .Trois cents mètres après, la voiture s’arrêta devant un bâtiment .Dés que l’homme entra , l’inspecteur s’approcha de la construction pour noter l’adresse :immeuble Saada .A l’entrée , il y avait des boites aux lettres sur lesquelles étaient écrits les noms et prénoms des locataires .En les parcourant , l’inspecteur s’exclama : ça alors!0 !

    #279526
    houmidi59
    Participant

    Intrigue policière : la femme mystérieuse

    Episode XV

    Partie 1 : négociation à la banque


    Monsieur Sedrati entra dans la banque .Il paraissait calme .Cependant, il ne manqua pas de regarder autour de lui à maintes reprises. Aussitôt, l’un des agents de la banque s’approcha de lui :
    _ Monsieur le directeur, un étrange personnage tient absolument à vous voir .Il faut prévenir la police
    _ Non pas la peine, rétorqua celui-ci. Je vais d’abord savoir ses intentions ; mais vous, tenez vous prêts ! J’aurai peut-être besoin de votre aide.
    Puis, il pénétra dans son bureau .L’homme à l’imperméable était assis sur le fauteuil des visiteurs. Il fumait un mégot qu’il écrasa en voyant le directeur de la banque entrer :
    _ Excusez-moi, dit il ; je ne m’attendais pas à vous voir aussi vite
    Monsieur Sedrati le dévisagea longuement :
    _ A qui ai-je l’honneur de cette visite ? Déclara-t-il sans ambages
    Le visiteur ricana et tout en se relevant, il dit :
    _ Monsieur le directeur, ne jouez pas ce jeu avec
    moi ! Je suis venu pour toucher mon salaire
    _ Quel salaire ! S’interrogea le banquier
    _ Allons, allons ! On dirait que votre mémoire vous joue des tours
    _ Mais, je ne comprends rien .Qu’est-ce que vous êtes entrain d’insinuer ?
    _ Je vous ai rendu un fier service, non ?
    _ Quel service ?
    _ Bon, je m’explique : D’abord, je vous ai débarrassé de votre femme !
    _ Ah, c’est vous qui avez assassiné ma femme !
    Salaud, pourriture …
    _ Attention pas de gros mot .Mais détrompez-vous : celui qui a tué votre femme est l’un de ses amants que vous êtes loin de connaître
    _ Je vous interdis de parler de la sorte de ma femme
    L’homme à l’imperméable sortit de sa poche un pistolet qu’il braqua vers monsieur Sedrati :
    _ Pas un cri ou un mot, sinon ce sera votre fin.
    Pour commencer, asseyez-vous et écoutez attentivement ce que je vais vous dire
    Comme je viens de vous dire : votre femme est morte, son assassin aussi et l’assassin de ce dernier .Enfin de compte votre gendre est le dernier de la liste des morts.
    Voilà ce qui va se passer après : la police fera son enquête sur la mort de Oualid Hamdi .Tôt ou tard, elle découvrira que vous et le défunt, vous ne vous entendiez pas bien et que vous n’avez jamais caché votre antipathie pour lui.
    Donc, vous serez le suspect numéro un par excellence
    Le directeur de la banque semblait réfléchir un moment ; puis :
    _ D’accord, vous avez raison .Alors, dites-moi qu’est-ce que vous me proposez ?
    _ Mais acheter mon silence ; parce que voyez-vous, je peux brouiller les pistes ; sinon faciliter votre culpabilité
    _ Quel est votre prix ?
    _ Voilà qui est bien parlé !
    Et d’ajouter : rassurez-vous je ne suis pas quelqu’un de trop cupide.
    Ok, donnez-moi quarante mille dirhams et je vous promets que je disparaitrai de votre vue à tout jamais.
    Monsieur Sedrati accepta l’offre de son interlocuteur en hochant la tête .Aussi, il le pria de lui donner juste vingt quatre heures de délai pour réunir la somme.
    _ D’accord, conclut le maitre chanteur ; rendez-vous demain à six heures du soir à la sortie de la ville près du pont de oued Isly.
    Mais, attention, venez tout seul !
    Sur ce, il sortit du bureau et quitta les lieux. Aussitôt, le directeur de la banque téléphona à l’inspecteur Halabi :
    _ Il va sortir d’un moment à l’autre
    Puis, il raccrocha

    Partie 2: filature exprès


    A une vingtaine de mètre du siège de la banque, un homme était entrain de savourer un café .Quand il vit l’homme à l’imperméable sortir de la banque, il lui donna une centaine de mètres d’écart pour le suivre sans se faire remarquer.
    L’homme aux moustaches longues se dirigea tout droit, puis emprunta une ruelle et monta dans sa voiture.
    Aussitôt, le détective privé sonna son chef :
    _ Allo chef ! ça y est il est monté dans une voiture : une Renault 19 de couleur bleue foncée ; il va prendre le boulevard Tarik Bnou Ziad
    Juste après, l’inspecteur téléphona à son collègue :
    _ Allo Rachid, mets le moteur en marche ! D’ici peu une voiture R19 bleue foncée va passer près de toi. Suis-la de près sans la perdre de vue.
    Quelques instants après, l’inspecteur Slaoui remarqua la voiture en question se diriger tout droit ; puis tourner à droite en longeant le boulevard de la résistance .Trois cents mètres après, la voiture s’arrêta devant un bâtiment .Dés que l’homme entra , l’inspecteur s’approcha de la construction pour noter l’adresse :immeuble Saada .A l’entrée , il y avait des boites aux lettres sur lesquelles étaient écrits les noms et prénoms des locataires .En les parcourant , l’inspecteur s’exclama : ça alors!0 !

    #279530
    houmidi59
    Participant

    Sujet répété.Aussi, je viens de le supprimer

    #279535
    houmidi59
    Participant

    Intrigue policière : la femme mystérieuse

    Episode XV

    Partie 1 : négociation à la banque


    Monsieur Sedrati entra dans la banque .Il paraissait calme .Cependant, il ne manqua pas de regarder autour de lui à maintes reprises. Aussitôt, l’un des agents de la banque s’approcha de lui :
    _ Monsieur le directeur, un étrange personnage tient absolument à vous voir .Il faut prévenir la police
    _ Non pas la peine, rétorqua celui-ci. Je vais d’abord savoir ses intentions ; mais vous, tenez vous prêts ! J’aurai peut-être besoin de votre aide.
    Puis, il pénétra dans son bureau .L’homme à l’imperméable était assis sur le fauteuil des visiteurs. Il fumait un mégot qu’il écrasa en voyant le directeur de la banque entrer :
    _ Excusez-moi, dit il ; je ne m’attendais pas à vous voir aussi vite
    Monsieur Sedrati le dévisagea longuement :
    _ A qui ai-je l’honneur de cette visite ? Déclara-t-il sans ambages
    Le visiteur ricana et tout en se relevant, il dit :
    _ Monsieur le directeur, ne jouez pas ce jeu avec
    moi ! Je suis venu pour toucher mon salaire
    _ Quel salaire ! S’interrogea le banquier
    _ Allons, allons ! On dirait que votre mémoire vous joue des tours
    _ Mais, je ne comprends rien .Qu’est-ce que vous êtes entrain d’insinuer ?
    _ Je vous ai rendu un fier service, non ?
    _ Quel service ?
    _ Bon, je m’explique : D’abord, je vous ai débarrassé de votre femme !
    _ Ah, c’est vous qui avez assassiné ma femme !
    Salaud, pourriture …
    _ Attention pas de gros mot .Mais détrompez-vous : celui qui a tué votre femme est l’un de ses amants que vous êtes loin de connaître
    _ Je vous interdis de parler de la sorte de ma femme
    L’homme à l’imperméable sortit de sa poche un pistolet qu’il braqua vers monsieur Sedrati :
    _ Pas un cri ou un mot, sinon ce sera votre fin.
    Pour commencer, asseyez-vous et écoutez attentivement ce que je vais vous dire
    Comme je viens de vous dire : votre femme est morte, son assassin aussi et l’assassin de ce dernier .Enfin de compte votre gendre est le dernier de la liste des morts.
    Voilà ce qui va se passer après : la police fera son enquête sur la mort de Oualid Hamdi .Tôt ou tard, elle découvrira que vous et le défunt, vous ne vous entendiez pas bien et que vous n’avez jamais caché votre antipathie pour lui.
    Donc, vous serez le suspect numéro un par excellence
    Le directeur de la banque semblait réfléchir un moment ; puis :
    _ D’accord, vous avez raison .Alors, dites-moi qu’est-ce que vous me proposez ?
    _ Mais acheter mon silence ; parce que voyez-vous, je peux brouiller les pistes ; sinon faciliter votre culpabilité
    _ Quel est votre prix ?
    _ Voilà qui est bien parlé !
    Et d’ajouter : rassurez-vous je ne suis pas quelqu’un de trop cupide.
    Ok, donnez-moi quarante mille dirhams et je vous promets que je disparaitrai de votre vue à tout jamais.
    Monsieur Sedrati accepta l’offre de son interlocuteur en hochant la tête .Aussi, il le pria de lui donner juste vingt quatre heures de délai pour réunir la somme.
    _ D’accord, conclut le maitre chanteur ; rendez-vous demain à six heures du soir à la sortie de la ville près du pont de oued Isly.
    Mais, attention, venez tout seul !
    Sur ce, il sortit du bureau et quitta les lieux. Aussitôt, le directeur de la banque téléphona à l’inspecteur Halabi :
    _ Il va sortir d’un moment à l’autre
    Puis, il raccrocha

    Partie 2: filature exprès


    A une vingtaine de mètre du siège de la banque, un homme était entrain de savourer un café .Quand il vit l’homme à l’imperméable sortir de la banque, il lui donna une centaine de mètres d’écart pour le suivre sans se faire remarquer.
    L’homme aux moustaches longues se dirigea tout droit, puis emprunta une ruelle et monta dans sa voiture.
    Aussitôt, le détective privé sonna son chef :
    _ Allo chef ! ça y est il est monté dans une voiture : une Renault 19 de couleur bleue foncée ; il va prendre le boulevard Tarik Bnou Ziad
    Juste après, l’inspecteur téléphona à son collègue :
    _ Allo Rachid, mets le moteur en marche ! D’ici peu une voiture R19 bleue foncée va passer près de toi. Suis-la de près sans la perdre de vue.
    Quelques instants après, l’inspecteur Slaoui remarqua la voiture en question se diriger tout droit ; puis tourner à droite en longeant le boulevard de la résistance .Trois cents mètres après, la voiture s’arrêta devant un bâtiment .Dés que l’homme entra , l’inspecteur s’approcha de la construction pour noter l’adresse :immeuble Saada .A l’entrée , il y avait des boites aux lettres sur lesquelles étaient écrits les noms et prénoms des locataires .En les parcourant , l’inspecteur s’exclama : ça alors!0 !

    #279538
    houmidi59
    Participant

    Intrigue policière : la femme mystérieuse

    Episode XV

    Partie 1 : négociation à la banque


    Monsieur Sedrati entra dans la banque .Il paraissait calme .Cependant, il ne manqua pas de regarder autour de lui à maintes reprises. Aussitôt, l’un des agents de la banque s’approcha de lui :
    _ Monsieur le directeur, un étrange personnage tient absolument à vous voir .Il faut prévenir la police
    _ Non pas la peine, rétorqua celui-ci. Je vais d’abord savoir ses intentions ; mais vous, tenez vous prêts ! J’aurai peut-être besoin de votre aide.
    Puis, il pénétra dans son bureau .L’homme à l’imperméable était assis sur le fauteuil des visiteurs. Il fumait un mégot qu’il écrasa en voyant le directeur de la banque entrer :
    _ Excusez-moi, dit il ; je ne m’attendais pas à vous voir aussi vite
    Monsieur Sedrati le dévisagea longuement :
    _ A qui ai-je l’honneur de cette visite ? Déclara-t-il sans ambages
    Le visiteur ricana et tout en se relevant, il dit :
    _ Monsieur le directeur, ne jouez pas ce jeu avec
    moi ! Je suis venu pour toucher mon salaire
    _ Quel salaire ! S’interrogea le banquier
    _ Allons, allons ! On dirait que votre mémoire vous joue des tours
    _ Mais, je ne comprends rien .Qu’est-ce que vous êtes entrain d’insinuer ?
    _ Je vous ai rendu un fier service, non ?
    _ Quel service ?
    _ Bon, je m’explique : D’abord, je vous ai débarrassé de votre femme !
    _ Ah, c’est vous qui avez assassiné ma femme !
    Salaud, pourriture …
    _ Attention pas de gros mot .Mais détrompez-vous : celui qui a tué votre femme est l’un de ses amants que vous êtes loin de connaître
    _ Je vous interdis de parler de la sorte de ma femme
    L’homme à l’imperméable sortit de sa poche un pistolet qu’il braqua vers monsieur Sedrati :
    _ Pas un cri ou un mot, sinon ce sera votre fin.
    Pour commencer, asseyez-vous et écoutez attentivement ce que je vais vous dire
    Comme je viens de vous dire : votre femme est morte, son assassin aussi et l’assassin de ce dernier .Enfin de compte votre gendre est le dernier de la liste des morts.
    Voilà ce qui va se passer après : la police fera son enquête sur la mort de Oualid Hamdi .Tôt ou tard, elle découvrira que vous et le défunt, vous ne vous entendiez pas bien et que vous n’avez jamais caché votre antipathie pour lui.
    Donc, vous serez le suspect numéro un par excellence
    Le directeur de la banque semblait réfléchir un moment ; puis :
    _ D’accord, vous avez raison .Alors, dites-moi qu’est-ce que vous me proposez ?
    _ Mais acheter mon silence ; parce que voyez-vous, je peux brouiller les pistes ; sinon faciliter votre culpabilité
    _ Quel est votre prix ?
    _ Voilà qui est bien parlé !
    Et d’ajouter : rassurez-vous je ne suis pas quelqu’un de trop cupide.
    Ok, donnez-moi quarante mille dirhams et je vous promets que je disparaitrai de votre vue à tout jamais.
    Monsieur Sedrati accepta l’offre de son interlocuteur en hochant la tête .Aussi, il le pria de lui donner juste vingt quatre heures de délai pour réunir la somme.
    _ D’accord, conclut le maitre chanteur ; rendez-vous demain à six heures du soir à la sortie de la ville près du pont de oued Isly.
    Mais, attention, venez tout seul !
    Sur ce, il sortit du bureau et quitta les lieux. Aussitôt, le directeur de la banque téléphona à l’inspecteur Halabi :
    _ Il va sortir d’un moment à l’autre
    Puis, il raccrocha

    Partie 2: filature exprès


    A une vingtaine de mètre du siège de la banque, un homme était entrain de savourer un café .Quand il vit l’homme à l’imperméable sortir de la banque, il lui donna une centaine de mètres d’écart pour le suivre sans se faire remarquer.
    L’homme aux moustaches longues se dirigea tout droit, puis emprunta une ruelle et monta dans sa voiture.
    Aussitôt, le détective privé sonna son chef :
    _ Allo chef ! ça y est il est monté dans une voiture : une Renault 19 de couleur bleue foncée ; il va prendre le boulevard Tarik Bnou Ziad
    Juste après, l’inspecteur téléphona à son collègue :
    _ Allo Rachid, mets le moteur en marche ! D’ici peu une voiture R19 bleue foncée va passer près de toi. Suis-la de près sans la perdre de vue.
    Quelques instants après, l’inspecteur Slaoui remarqua la voiture en question se diriger tout droit ; puis tourner à droite en longeant le boulevard de la résistance .Trois cents mètres après, la voiture s’arrêta devant un bâtiment .Dés que l’homme entra , l’inspecteur s’approcha de la construction pour noter l’adresse :immeuble Saada .A l’entrée , il y avait des boites aux lettres sur lesquelles étaient écrits les noms et prénoms des locataires .En les parcourant , l’inspecteur s’exclama : ça alors!0 !

    #279533
    houmidi59
    Participant


    Intrigue policière : la femme mystérieuse

    Episode XIV


    Partie 1 : Résultats des analyses


    Au commissariat, l’inspecteur Halabi reçut le rapport des dernières analyses. Il les lut à la hâte. En ce moment là, l’inspecteur Slaoui fit son entrée :
    _ Quoi de neuf ? Lança-t-il en guise de salut
    _ Beaucoup de chose, mon cher, rétorqua Aïssam
    Pour les empreintes relevées sur le peigne ce sont celles de Oualid Hamdi
    Donc, c’est lui l’assassin de Hicham Elouafi
    Reste : qui l’a tué ?
    _ C’est évident, déclara Rachid .Ce ne peut être que le troisième amant
    _ Or, ajouta l’inspecteur Halabi, cet amant on a déjà son signalement et même ses noms
    _ Alors, proposa l’inspecteur Slaoui, il faut lancer un appel à tous les districts de police pour le trouver coûte que coûte
    L’inspecteur Halabi approuva l’idée. Aussitôt, il sonna le brigadier Hazim et le pria de diffuser le signalement de l’homme chauve à l’imperméable en vue de sa capture.
    Il y avait aussi des informations intéressantes relatives aux différentes expertises faites par les hommes du laboratoire scientifiques. On peut citer les empreintes relevées dans le salon de coiffure. Après plusieurs identifications, l’une d’elles appartenait à l’homme chauve .Ce qui indique qu’il avait une main dans le dernier meurtre.
    _ Donc, conclut Halabi, l’affaire est presque réglée. Ce n’est qu’une affaire de temps
    Bon, il est tard ; je vais aller me coucher à demain, mon vieux


    Partie 2 : Visite chez le directeur

    Le lendemain matin, l’inspecteur Halabi se dirigea vers la demeure des Sedrati. Ce fut la servante qui l’accueillit au seuil de la porte :
    _ Bonjour inspecteur, l’apostropha-t-elle.Monsieur Sedrati est entrain de boire son café et il vous attend.
    En effet, dans le salon, le directeur téléphonait. Quand il vit l’inspecteur, par un geste de sa main, il l’invita à s’asseoir ; puis, il dit à son interlocuteur du téléphone :
    _ Surtout, essayez de le retenir jusqu’à mon arrivée. Je serai là dans moins d’une demie heure
    Et il raccrocha
    _ Excusez-moi inspecteur !
    Puis :
    _ Voudriez-vous un peu de café ?
    _ Non, merci ; je viens juste de prendre mon petit déjeuner
    Monsieur Sedrati se versa une seconde tasse de café au lait ; puis, s’assit à son tour sur le canapé :
    _ Que puis-je faire pour vous, inspecteur ?
    _ Au début, je dois vous annoncer que l’homme que vous avez aperçu dans la chambre est mort. Juste deux heures ou un peu plus, on l’a trouvé un couteau planté dans le dos .
    Le lendemain matin, par un appel anonyme, on a su l’auteur du second crime : un coiffeur que vous connaissez très bien
    _ Oualid Hamdi, s’exclama le directeur
    _ C’est juste …mais, lui aussi vient de trouver la mort cette nuit : on lui a versé du poison dans son verre de jus
    Là aussi, on a un suspect pour le moment il est en fuite ; mais tôt ou tard , on va lui mettre la main dessus.
    Après un bref silence, l’inspecteur reprit :
    _ Dites-moi, monsieur Sedrati, ces derniers jours n’avez-vous pas reçu des visites soit chez vous ou à la banque ?
    Le directeur réfléchit longuement :
    _ Non pas que je sache ; mais…..
    _ Mais, quoi ? S’interrogea l’inspecteur Aïssam
    _ Ce matin, on me fit savoir qu’un étrange homme veut me parler à tout prix
    L’inspecteur sursauta :
    _ De quoi a-t-il l’air ?
    _ D’après mon secrétaire, c’est un grand homme avec de longues moustaches , vêtu d’un imperméable …
    _ Monsieur le directeur , l’interrompit Aïssam ; dites-moi ou est-il ?
    _ Il est entrain de m’attendre dans mon bureau. D’ailleurs quand vous êtes entré, on me parlait de lui au téléphone
    _ Monsieur le directeur, l’homme qui vous attend est le meurtrier du coiffeur
    Soudain, monsieur Sedrati devint tout pale :
    _ Non, non cria-t-il, je n’irai pas à la banque
    L’inspecteur essaya de le calmer :
    _ Rassurez-vous ! Vous serez protégé et je peux vous assurer que rien ne pourra vous arriver.
    Il faut le prendre la main dans le sac. Pour cela , votre aide nous est indispensable
    Allez, monsieur, soyez courageux et accomplissez ce devoir .Ainsi votre femme reposera en paix
    _ D’accord, s’encouragea le banquier ; mais, ne me perdez pas de vue !

    #232845
    wampus
    Membre

    bref l`anarchie…

    #232844
    pikhasa
    Membre

    Absolument d’accord. Pour ma part, j’ai découvert Saidia il y a 20 ans, c’était peu équipé certes à l’époque, mais c’était magnifique. Pendant des années, je n’ai révé que de pouvoir m’installer dans cette ville. Quand j’ai eu la chance de pouvoir réaliser ce rève, le projet de « station balnéaire » était déjà lancer malheureusement. Je me suis dis que je n’y pouvais rien, et me suis vu dans l’obligation de « faire avec », comme on dit. Je ne pouvais pas prévoir que Saidia (je parle de la ville et non de leur soit disant complexe …) allait devenir un chantier permanent. 6 ans, que je vis, en famille, les pieds dans la boue 5 mois sur 12, que nous sommes entouré de détritus, cela toute l’année, j’en passe et des meilleures…. Le soucis est que je ne vois pas le rapport entre ce soit disant complexe touristique et l’entretien logique de toute commune….

    #273941

    En réponse à : travaux

    wampus
    Membre

    helas oui c bien triste

    #232843
    wampus
    Membre

    je confirme,c le pouvoir qui encourage cette anarchie aveugle quand la bande d`eucalyptus allant de l`ecole charif idrisi (station de taxi) jusqu`a dallas a ete deracinee (ces arbres la dataient de presque 90 ans!) et fesaisent partie de mon enfance,et celle de mes parents avant moi, le roi a vu ca lui qui vient souvent a saidia pour passer du bon temps et bien il a rien fait allez voir ce qu`il ya a la place! du beton klk plantes brulees par le soleil merci pour tout ca!

15 réponses de 511 à 525 (sur un total de 23,230)
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