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Sujet: Apprendre le jeu d’échecs!
Les échecs! Voilà un jeu qui n’a pas (encore) fini, depuis la nuit des temps, de faire des passionnés (et des fous, aussi!) dans le monde… Un jeu d’intelligence, de calculs et de psychologie… Quand on écrit sur les échecs, le plus dur c’est de commencer, car, après, il devient très vite difficile de s’arrêter…
Pour commencer, disons que la difficulté principale du jeu d’échecs c’est l’incroyable nombre de variantes qu’offre une position donnée (pas toutes heureusement, voir la suite)… A titre d’exemple, au tout début, si vous avez les blancs, alors vous disposez de 20 coups possibles, et plus vous avancez dans la partie, plus le nombre de possibilités croit de manière (presque) exponentielle… Certes parmi les N coups possibles, seuls quelques uns sont bons, voire même très bons, mais encore faut-il connaître lesquels…
Cependant il existe (incroyable mais vrai :-)) des positions particulières qui aboutissent avec certitude à un gain, à une défaite, ou à un nul… Ces positions peuvent être réparties globalement en deux catégories :
– les combinaisons (en boxe on les appelera des KO)… Une combinaison c’est un enchaînement de coups forcés que l’adversaire doit jouer pour éviter le Mat ou une perte matérielle importante (typiquement la Dame)… lorsque c’est pas possible d’éviter le Mat, on parle, alors, de combinaison de Mat!
– les positions de « finales»… Une « finale » correspond à la situation dans laquelle la victoire passe « presque » inévitablement par la promotion d’un pion… La promotion permet de convertir un pion qui a atteint la dernière rangée de l’échiquier en une pièce de votre choix (Dame, Tour, Cavalier ou Fou)… si la promotion ne vous dis rien, c’est que vous ne connaissez pas encore les règles élémentaires (c’est à dire de base) du jeu d’échecs :-).. apprenez-les et repasser plus tard!
Concernant la première catégorie, on y reviendra dans un prochain sujet… pour la deuxième, citons quelques exemples (attention la liste n’est pas exhaustives):
1. Roi contre Roi => nul,
2. Roi + Dame (ou tour) contre Roi => gain facile (à moins d’une grosse erreur qui aboutirait au PAT qui est une position de nul),
3. Roi + 2 fous Vs. Roi => gain (la technique est un peu compliquée mais jouable),
4. Roi + Cavalier + Fou Vs. Roi => gain mais c’est encore plus compliqué qu’en 3…Si les positions de finales sont « simples » (le plus dur c’est de les atteindre), les combinaisons, elles, nécessitent un « œil » averti pour les repérer… Parfois on les reconnaît parce qu’on les a déjà rencontrés, parfois seule l’inspiration du moment nous y guide !
Les grands Maîtres des échecs ont cette extraordinaire capacité de faire évoluer une partie d’échecs vers ce genre de positions « sûres »… Les stratèges (Karpov) sont plutôt portés vers les finales, les tacticiens (Kasparov) vers les combinaisons…
L’intérêt de tout ce qui précède c’est qu’il démontre qu’il y’ a une façon assez particulière d’apprendre les échecs, c’est de partir la fin et d’étudier (d’abord) des positions de « finales »…
La raison est très simple: en commençant par les finales, il y’a moins de pièces sur l’échiquier, on évite, ainsi, la grande panique qui s’empare du nouveau joueur, souvent « terrorisé » à l’idée de devoir calculer un nombre effroyable de suites possibles quelques instants à peine après avoir appris la marche des pièces… Des complications qui masquent finalement la finalité du jeu, à savoir la capture du Roi de l’adversaire… Cette capture est naturellement plus facile à réaliser avec quelques pièces sur l’échiquier qu’avec plein de pièces sur l’échiquier…
En adoptant cette façon d’apprendre, on développe un jeu à la fois simple et naturel… D’ailleurs lorsqu’on analyse les parties des joueurs qui ont appris les échecs comme ça (souvent pendant leur enfance), on sort souvent avec cette étrange impression que ces joueurs-là ne forcent jamais, que leur jeu est tellement fluide qu’il évolue presque systématiquement en leur faveur… Un jeu qu’on a souvent envie de dire qu’il coule de source!
L’exemple type est le grand champion Cubain, José Raoul Capablanca… Ce joueur qu’on surnommait la « machine à gagner » et qui était resté invincible pendant presque 8 ans (un record ansolu), a, lui aussi, appris les échecs en partant de la fin… Ses parties sont de vrais chef d’oeuvre, que je conseilleirai à tout un chacun désirant non pas parfaire son jeu, mais, mieux encore, comprendre ce jeu… profondément!
Conclusion, si vous n’avez pas encore appris à jouer aux échecs, ou si vous êtes un débutant qui souffre 🙂 ou si, enfin, vous voulez transmettre ce jeu à quelqu’un, suivez cette méthode:
1. Apprenez les régles de base (grosso modo la marche des pièces et la promotion des pions),
2. Etudier les « finales »,
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Sujet: recherche musique ancienne
Bonjour à tous,
Voila je suis a la recherche d’une très ancienne musique, chanté par un ancien gardien de prison à OUJDA.
Le refrain de la musique est : toli ya ma aala ouldek choffi ki rani…..
Si quelqu’un connait le nom du chanteur, je suis preneur.
encore mieux si vous avez le titre de la musique et un lien pour télécharger c’est serait top.
merci.





