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15 réponses de 1 à 15 (sur un total de 1,814)
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  • DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Bonjour et bonne lecture

    SUITE AUX PROPOS DE TEL-QUEL
    SUR LEURS DITS ‘’MEDECINS ET ARNAQUEURS’’

    PROPOS SUR LES TOUBIBS

    Propos indécents, propos disproportionnés sur les médecins du Maroc. Un numéro peu ordinaire, un réquisitoire spécial, pour 20 dirhams*, seulement ! Voici les frasques des escrocs, enfin dénoncées, par les justiciers de service ! Des icônes trumpées* dans la m…de à l’africaine. Un avatar de l’étiquette présidentielle et‘’shithoole’’ du Sieur Donald, et plus caustique encore, sur Tel-Quel.
    Voici la curée initiatique et la rédemption. Les partenaires sociaux sont traînés dans la boue ramadanienne* et stipendies sans avoir violé, harcelé ni parjuré !

    Un wreck-end* de lecture vous est offert, afin d’arnaquer les lecteurs et de les intoxiquer. Pour ne pas dire plus du L’Couple de scribouillards auxquels on doit ce burlesque charivari. Leur but est-il d’enterrer la profession médicale, dans la honte sociale et la vindicte populiste ? D’en ternir l’image, à l’instar d’autres secteurs sociaux, stigmatisés et longuement conspués ? Pour les détruire enfin et s’en venger ? Ou pour les en corriger ? Ce que nous estimons positif et sincère. S’il avait été correctement entrepris, sans buzz ni parjures à l’endroit de ceux qu’on a si violemment ternis !

    Mais les pourfendeurs ont-ils toujours raison ? Quand leur métier, ô Quatrième Pouvoir, ne consiste plus qu’à s’épandre dans le sensationnel, pour vendre la haine à la semaine, outre le dépit et l’amertume de tous les jours ! Ou à verser dans un sens et pas dans l’autre ni à l’endroit, afin de faire justice ?

    Voici un numéro détourné, hors élections, puisqu’on a enfin un gouvernement plus que complet. Voici un numéro sadique, pervers, machiste, une jouissance illicite, contré gré, une érection partiale qui ne donne pas l’opportunité aux concernés de s’exprimer ni de donner leurs avis ! Et l’on y voit, dans ce procès inique que les frasques et les abus des césariennes ! Pour plus de facilités, de stupre et de luxures, des gynécos, selon les scripteurs moralistes, sont à pendre les premiers !

    Et viendra le tour du TPA et des cliniques acolytes ! Côté médecins, si les premiers ont des dons pour lesquels ils reçoivent des bribes, ou extorquent, disent-ils de larges honoraires, les autres ont dépassé le salaire de la peur et les bornes de leur 4ème pouvoir. Et voilà ce qu’écrivent nos fébréristes du 2 au 8 ème jour de ce Février pluvieux. Ce qu’ils osent avancer à outrances, en montrant leurs dents pour leur numéro !
    Des canines de carnassiers et de fauves, face aux cannibales d’Hippocrate ? C’est justice équitable, diriez-vous ! Sans peur et sans reproches, les cavaliers ont aiguisé leurs lames de cimeterres pour dégauchir les fossiles du caducée…Après s’être exercés et rodés dans leur média taquin à décrasser les gros crocodiles de nos ères primaires politiques !

    DU SENSATIONNEL A LA QUETE DE VERITE !

    A tous les médecins, civiques humanistes, humanitaires et non arnaqueurs… A tous les journalistes et assureurs, libres de leurs consciences citoyennes, de leurs mots justes ou de leurs plumes acerbes et amères. A ceux, qui sont libres de toutes influences ou pressions financières, émanant de leurs intimes détracteurs. Ces magnats aussi riches que puissants, si bons ministres ou grands capitalistes. Ceux des grands cadors qui les poussent à si bien faire ! Ceux qui les chargent, sans entraves, de médire.

    Ceux qui les motivent, afin de lutter avec conscience ou par intérêt matériel à moraliser les us qui sont travers ! Ceux qui les poussent à dénoncer les excès injustes qui gênent leurs clinquantes et nouvelles infrastructures ! Ceux qui les motivent et les poussent à étayer avec courage ou partialité, ces pratiques douteuses, devenues si banales ! Et pire encore, ces déviances que l’on tait, faute de courage pour les corriger, dans tous les Secteurs de Santé, hélas oui, sans les curer, les avouer ni les exposer !

    Achetez le Tel-quel 797 de Février 2018 ! Pour vous informer et lire entre les lignes les motivations de ce réveil civique, quoique tardif de Tel-Quel. Pour deviner les origines de cette mortification brutale et soudaine des médecins par ce magazine. Lequel, faute de dossiers politiques brûlants, sous la main ou dans le caniveau, verse dans la fange médicale.

    Mais qui le dope, cet ineffable et aguichant Hebdo, pour parler d’un illustre Bouchakara, ce dès les premières lignes de son dossier si crâneur ? Et ce avec tant de largesses et de colonnes, qu’il en vient à casser les gynécos césariseurs ! Un travail outrageant, sans preuves donner ni détails sur les noms des dits-arnaqueurs ! Synonyme d’une insulte généralisée, d’une vivisection d’un métier social, des moins pathologiques qui soient. Avec comme résultat celui de jeter ses membres en pâture aux hyènes et aux loups, afin de ternir à jamais cette profession et ce métier !
    Seulement, messieurs, dames du Journal, dites-nous dès lors, qui pousse, les médecins à exagérer et à sortir de leur éthique supposée obligatoire et bien acquise ?

    Où sont leurs profs et leurs supposés directeurs de conscience ? Absents ? Quid du TPA ? Forcené Temps Plein Permanent…N’est-ce pas ! Où sont les responsables de ce Secteur sanitaire qui doivent le surveiller, l’honorer et le règlementer ?

    Où est cette ANAM ? Où est donc sa révision promise dès les premiers barèmes et tarifs ? Et ce, depuis le départ ! Où sont leurs Conseils ordinaux et leurs Syndicats médicaux, pour réagir face à Tel-Quel ou tels autres ? Des détracteurs qui exagèrent, salissant la profession, détruisant la confiance des patients envers leurs médecins, sans alternative offrir pour ce secteur orphelin !

    Le déshonneur et la vilénie, un caillassage qui jette l’opprobre et l’ignominie, sur la classe médicale entière ! Là devant les ministres absents, qui se défaussent ou qui traitent, ces mêmes toubibs d’agitateurs, sans ménagement aucun ni respect de leurs manifestations sereines ou de leurs blouses blanches éclaboussées.

    PROSELYTISME

    Où sont leurs avocats, ceux-là qui doivent répondre aux attaques, défendre la noblesse de la profession et pourfendre ces sinistres gageüres ?
    Qui reconnaîtra le bon grain de l’ivraie ? Qui relèvera les dols face aux arnaques et à la généralisation de ces terribles injures ?
    Qui des Parlements, vides, analphabètes ou somnolents, qui du Secrétariat Général du Gouvernement, qui du Ministère de la Santé ou de la Justice saura corriger, à juste titre, ces erreurs commises de part et d’autres ? Et de le faire avec tact et justesses, continuité et mesure, aux fins de respect du droit et de la justice, de la bonne gouvernance et de la pédagogie.

    Qui ira défendre les praticiens, au lieu de leur voler leur pain, après avoir vendu aux non-médecins, leur médecine et leur sacerdoce ? Pourquoi les Bouchokara n’ont-ils pas envahi de leur pèze, les pharmacies, les cabinets d’architectes et ceux des avocats ? Mais, par contre et électriquement seulement, les cliniques des médecins libéraux !

    Qui défendra les pauvres cabinards, sans couverture médicale ni retraite ? Ces riches libéraux chèrement outillés, ces parvenus aux grands noms, qui viennent d’envahir le secteur réservé aux médecins marocains dans le secteur privé ?

    Qui donc ? Ces cadres du service public, qui s’occupent de les régir, de les juger ou de les laisser couvrir d’opprobre par les journaleux ?
    Qui ira avec conscience et de plein droit, protéger les malades d’abord, les étudiants ensuite, et disons vrai, les praticiens, dont les miséreux d’entre-eux ? Ceux-là des grosses boîtes ? Ou ceux-là de parmi les spécialistes que l’on critique de façon vendable, mais coupable et si acerbe, aussi sincère serait-elle !

    PROPOSITION ET ESPERANCES

    Il s’agit d’offrir une tribune à ces proscrits ! Démocratiquement, puisque vous aimez ce mot, par équité, afin de leur permettre de plaider leur cause, contre cette vendetta qu’on leur intente et ce champ de tir où l’on veut les incriminer.

    Vivement un autre numéro de printemps de Tel-quel, pour y laisser parler les médecins et leur permettre d’étayer leurs problèmes et leurs idées. Une occasion plus franche et plus courtoise, plus directe, afin de combler les lacunes des journalistes et de les informer, clairement, face aux supputations, aux exagérations infâmes, aux non-dits, afin de nettoyer le secteur, pour l’exemple, desdits escrocs et arnaqueurs.
    C’est un devoir moral et d’équité que celui d’effacer l’injustice et les bas propos. Ces préjugés et ces incompréhensions qui voudraient ranger les toubibs parmi les gangsters et pousser l’Etat et le Peuple à la chasse aux sorcières. Ces scélérats faits ‘’médecins et arnaqueurs’’ que pourfend Tel-Quel dans son numéro !

    L’idéal et la correction seraient de dénoncer, cas par cas, les excès et les arnaques subies, devant l’Ordre des médecins et la police ! Afin de faire un travail utile, une œuvre publique de nettoyage et de civisme.

    Le corollaire de cette police des mœurs, de ce brûlot est le réveil des médecins les moins bien honorés pour leur actes est d’adapter les prix et les barèmes médicaux. De les réviser et les coller aux réalités du pays en les comparant à ce qui se fait ailleurs, pour des actes similaires. De dépasser et de renforcer les acquis du Ramed pour les cas simples et compliqués. Et de concevoir une santé gratuite à l’endroit de tous les démunis.

    #354357
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant


    Dommage pour les libertés, car il y a des avis et des opinions qui se perdent.

    La pudeur médiatique est une bonne école pour les freins ! Loin des censeurs et des cerbères, un grand merci par contre à Libération pour les libertés qu’elle respecte et pour l’ouverture qu’elle offre à ses concitoyens et ses lecteurs. Seulement, s’il persiste des risques de susceptibilité politique, il y a des abus et des risques à savoir gérer, en précisant par exemple, que ‘’ l’opinion délivrée sur les forums ne regarde que son scripteur’’.

    J’écrivais à Libération, voulant donner un conseil pour Nizar Baraka et Hamid Chabat du Parti de l’Istiqlal en congrès électoral, ceci.

    Bonjour et comme suite à votre :
    http://www.libe.ma/L-Istiqlal-vers-un-changement-de-tete_a90645.html

    En souvenir des grands noms du PI et de l’USFP, des premiers leaders des partis nationalistes, disons patriotiques, maintenant ! En souvenir de Maître Oualaalou, de Ssi Abderrahmane Yousfi et de feu Ssi Ali Yata, auquel j’avais écrit pour que l’opposition entre au Gouvernement. Cela se passait durant l’ère de feu Hassan II et de M. Driss Basri. Il fallait pénétrer au Palais pour le pouvoir, comme Ulysse et son cheval sont entrés à Troie

    Je suis koutlaoui, volontiers socialisant, nécessairement porté sur les valeurs primordiales de notre pays, qui me sont des plus sacrées qui soient, parce que unicistes, d’abord !

    Je suis déçu de la fracture des partis nationalistes ! Ce depuis les premiers déchirements que j’ai mal vécu, alors étudiant !

    Je suis contre l’existence de cette trentaine de partis politiques, que l’on fabrique à volonté, pour déstabiliser importunément d’autres.

    Trois ou quatre suffisent pour intéresser et motiver, avec clarté les électeurs, et réunir autour des urnes l’ensemble des marocains ! Des gens déçus, qui plus est désorientés, qui sont souvent perdus devants le nombre des partis en lice. Ceux-ci se démultiplient, alors que les principes de leurs programmes sont quasi ressemblants.

    De ce fait, je donne un conseil, politique, nationaliste, indépendantiste, gratuit, à Ssi Hamid Chabat ! Un conseil diplomatique, qui plus est. C’est ce qui vient.

    Ssi Hamid, ouvrez les bras à Nizar ! Épaulez-le au lieu de le combattre ! Allez avec lui, pour ne pas rester, vous-même dans les coulisses ! Allez avec lui pour ne pas fracturer le PI ni l’affaiblir. Ne vous présentez donc pas contre lui. Dites-le publiquement, affirmez-le, pour vous et vos amis et pour la cohésion du Parti de l’Istiqlal, et son remembrement avec les autres partis similaires et ceux de la Grande Koutla.

    Evitez de retourner et de dresser les frères contre leurs frères ! Ce serait une honte ! Ce serait une idiotie politique qui plaira aux machiavélistes* de tous bords ! Ceux qui aiment les disputes entre frères et qui n’aiment pas le Maroc, mais qui en profitent à outrance !

    Allez avec lui, ravisez-vous, vous et vos fidèles militants ! Epaulez-le, ouvertement, ça vous grandira ! , Aidez-le, au lieu de laisser au sein du PI, se créer des ennemis à contre-courant, contrairement à la logique du nombre, alors que pour régir et diriger, il faut s’unir et se fédérer.

    Pour le bien du pays, la facture actuelle du gouvernement, est une illustration. Elle a la force fédérative, de partis différents, et c’est pour ça qu’elle arrivera à un bon gouvernement, malgré les divisions précédentes ! Et cela, pour la sauvegarde du Maroc et de ses grands axes de développement à travers les continents. Alors participez à ce saut dans l’avenir te le progrès et non dans la moquerie qui nous harcèle de hogra ! Songez à l’avenir ! Regroupez avec le Parti de l’Indépendance, d’autres plus petits partis, ou des proches et des sympathisants !

    http://www.libe.ma/L-Istiqlal-vers-un-changement-de-tete_a90645.html

    PS :

    Je compte sur vous Ssi Chabat, sur Nizar Baraka sur l’USFP et ses cadres, pour revoir mes lettres. Celles émanant de l’Association des Amis des myasthéniques du Maroc, qui sont relatives aux taxes iniques que paient les malades sur leurs maladies. La Taxe de Douane et celle de TVA, sont des taxes indirectes, (de 27%), invisibles, appliquées cyniquement sur tous les intrants et les médicaments.

    Et ne paient ces taxes, messieurs les leaders, que les seuls malades ! Vous comprenez cette mesquine injustice et cette ignoble usurpation ! Ça, c’est une honte pour le pays et ses libéraux, un déni pour ses musulmans, partisans ou pas. Ces pénalités taxatives sur les douleurs, sont une honte pour les libéraux, comme pour ses socialistes qui la laissent ‘’traire les souffrances’’ des malades.
    Salut !

    Dr Idrissi Ahmed, Kénitra
    Président de l’AAMM
    Le 28 Septembre 2017

    #354228
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    CORRECTIF
    *********

    Le cas du chaos

    La résurrection de Mme Student et de My Othmane. Une nouvelle de science-fiction et de frictions avec le réel. Une âme vient de nous quitter…Hommages à celle de Lalla Fatma et à celles qui viennent de partir.

    PAIX A LALLA FATMA !

    Non, il ne s’agit pas de retrouvailles au sens propre ou du bercail ! C’est une revenante, quoiqu’hypothétique, qui revient refaire la destinée bâclée deMy Othmane. Oui l’artisan ébéniste de tant de mosquées est bien mort. Afin de lui éviter les affres et les hasards du destin post-mortem, lors du Jugement Dernier, Mme Student ressuscite en premier afin de l’aider. C’est une exception ! Ne pensez pas en profiter si vous avez de l’argent. Faites-vous congeler, puis reprendre par un esthéticien, le moment venu. La conscience et les services de Mme Student ne sont pas achetables. Loin d’elle les micmacs universels de prébende, de népotisme ou de corruption. Même si vous êtes Crésus, le Pape ou l’Empereur, on ne vous renaît pas. C’est tant mieux pour l’académie, le gouvernent bancal et le parlement momifié !

    C’est donc pour Mme Student et son esprit réincorporé, un autre pèlerinage sur cette terre. Connait-elle d’autres et y a-t-elle ses entrées ? Une mission mystique nouvelle pour la sainte dame, mademoiselle Laure Student, nous est relatée ici. Paragraphe par paragraphe, selon la méthode usitée dans ses Chroniques différées. Un livre qui ne sortira jamais sur papier. Question de préserver les forêts et l’oxygène de cette boule de terre !

    Voici donc un homme simple de son état, un bougnoule, un aborigène, qui fait la nique aux puissants de ce monde, et qui seul, fait les faveurs du ciel pour renaître afin de parachever son deal ! La métempsychose, ce n’est pas pour les chiens…seuls ! Ou pour les vaches ‘’iniquement’’ !

    On rebat les cartes, comme si rien n’était fait de grave lors des cycles précédents et hop, il ressort de son trou, frais et dispos, dans le meilleur état possible ! Une variante du destin qui permet aux orientaux de se refaire et de se rénover en ressuscitant. Une réincarnation, une résurrection, malgré le contenu des crédos locaux et des rites qui ont cours dans cette région. En cette terra nucléus africaine, origine de l’espèce humaine, à peine défrichée de sa nudité et de ses longs poils dermiques. Une aire si éloignée des Indes et de ses rites mystiques, là où l’on sait que c’est possible de renaître et où l’on croit que c’est la seule façon de purifier son âme et de laver son karma.

    STANCES ET RELIQUATS

    Il fantasmait en pensant : « J’ai souhaité une longue vie sans tare ni maladie pour adorer le seigneur et une fois parti, je le veux, sans douleurs, devenir un ange aussitôt. Et, immédiatement faire de la musique et voler des ailes au lieu de braver les arbres et de taillader les planches. Je n’ai besoin ni de vins ni de fruits ni de femmes de compagnie, j’en ai assez eu là déjà. Leurs photos sont dans mon placard ! Je veux juste le connaître, le bon Dieu, je suis libre de mes vœux ! Et je veux éternellement l’adorer, moi qui l’admire ! L’argile revient à la terre. Moi je veux de l’air, du ciel et un doigt pour y écrire toute la vie, afin de décorer d’arabesques le paradis et d’y sculpter ce que j’ai à dire »

    Le menuisier et maâlem de Tayeb Laalaj, qui reçoit la visite de Mme Student est ébahi. Son corps git dans la tombe de cet espace de la Cité où trois cimetières, chacun pour une religion, cohabitent dans la paix. Aucune ne jette l’autre à la mer ni nettoie l’autre de ses terres ! Une esplanade œcuménique qui donne sur l’Au-delà. Vous pouvez venir le constater de vous-même ! Je ne raconte pas de bobards. Et c’est là que Lalla Fatma va retrouver son époux légitime…On va en parler plus loin, ici-bas, dans ce texte.

    Pas si loin du Sebou. Pas si loin de cette Prison Centrale où des résistants, révoltés ou des révolutionnaires, ont payé de leurs libertés et de leur temps, afin de devenir des hommes célèbres et des citoyens. Assagis ou assujettis, réalistes et exemplaires.

    Faut-il le réveiller dans l’état où il fut et le lever de son lit de terre ? Qui recollera sa mémoire et son âme, sa personnalité, ses souvenirs partis en morceaux ? Qui lui donnera des forces pour remonter la scène, pour tailler de nouvelles planches, d’autres rôles, d’autres meubles, d’autres actes et missions encore ? Lui, le banal menuisier de Fès-Jdid, si près du palais royal et du célèbre Mellah aux bijoutiers juifs et de ces nombreuses mosquées. Et de la mahya et autres petits vins et liqueurs alambiquées de Sefrou.

    Qui retrouvera-t-il comme partenaires, pour rejouer ses rôles et refaire en mieux sa vie ? Faut-il repasser par sa jeunesse ou la redémarrer jeune enfant ? Orphelin de père, il devait travailler comme apprenti commerçant en Médina, puis ouvrier en ville nouvelle indigène, en passant par la Makina royale de Moulay Hassan. Un bastion devenu plus célèbre encore depuis qu’on y chante chaque année, au festival de Fès, très religieusement ! Si jeune et trimer pour ses plus jeunes sœurs et son dauphin de frère ? Oui, c’est une noble mission que l’on se rappelle ! Va-t-il se tromper encore de car, comme lors de cette virée de Moulay Yacoub ? Ou réussir mieux et plus dans cette nouvelle fiction ? Afin d’en faire un film, pour le bénéfice de l’humanité, faut-il appeler Arnold Schwarzenegger ? Le célèbre acteur et metteur en scène, maintenant qu’il s’est libéré des débats de Donald Trump, en lâchant la crinière léonine sur le reste du zoo.

    AUTODERISION

    Je suis Sisse Douze, une fusée qui tel un cylindre effilé, couronnée d’un casque hémisphérique, fendu veut conquérir le monde du bas. Dante, le monsieur de l’Enfer, n’est pas loin !
    Je sors du ventre pour vivre dans mon berceau. Un linceul enfilé dans un cercueil, dans un sépulcre qui est déposé là, depuis un moment. L’éternité ça passe vite quand on est anesthésié ! Etalé dans une tombe oubliée, jeté comme une serviette, usée et anonyme dans un caveau qui appartint aux ancêtres venus comme refugiés, du Levant. Un cimetière en ruines, couvert de forêts rasées. Je m’imaginais avoir tellement de forces dans ce crâne et autant de volonté. Celle de conquérir l’espace et sa matrice et de maîtriser l’art d’aimer, comme un aède sa chanson. La façon de pénétrer les cœurs et de dominer les esprits, comme serpent, comme un train dans son tunnel, ce fut vrai, il y a longtemps. Tel un orfèvre, adoucir l’humeur des dames et les sculpter, c’était un fantasme et un vrai ravissement. Et en poète de la lyre, exprimer l’homme sur ces cordes et multiplier ses fans ! Ne vous inquiéter pas, c’est symbolique ! Je délivre un secret pourtant.

    MONTE SUR SES GONGS.

    C’est comme un minaret érigé sur une tombe ou au-dessus d’une plateforme parolière, ou pétrolière, cent derricks en face de cent hôtels. Bel investissement pour l’avenir, n’est-ce pas Sidna ! Mais, où sont mes millions, Seigneur ? Moi, tel un inventeur, je ne vends que les idées ! Les actes, je vous les loue et vous les rends.

    Mille et une églises surgissant des fondations d’une synagogue. C’est la Bible que toutes les religions héritent. C’est une confusion des sens et une fonte de l’intelligence. N’est-ce pas Mme Student ? Toi qui m’écoutes et qui transmets mes propos sur le Net, déjà ! Cet édifice fantasque est l’ultime complémentarité qui dépasse les rixes entre les idiots, les mésententes entre les bâtards et leurs imbéciles de clans ! Le défi pacifique contre les guerres de religions et des idéologies, la fin des guerres de civilisation ! Inter galactiques ? L’escrime entre les diables et les anges avec comme arbitres, des Hommes ! Des blancs de Hollande, avec à leur tête ce purulent blondasse qui veut fermer les aires de prière, les mosquées, et interdire le Coran !

    On ignore les variétés, les autres types êtres, créés par le bon Dieu…Il y a tellement de place à occuper dans la Voie Lactée et sur les autres dimensions, extraspatiales, que l’on peut supposer, même si on ne les connaît pas ! Qui vous dit que l’univers est unique et qu’il n’y en a pas sept comme celui-ci ? Il y a tellement de places, disais-je, pour tous, qu’il est dément de se bagarrer, à l’ombre du même Dieu. Il ne doit pas aimer ça ! Sauf que ce n’est pas si simple de dire qu’il y a de la place pour tous ! Et que ce n’est qu’une formule didactique, à l’instar de celles qui laissent dire aux pauvres et aux moins nantis ‘’ Il y a de la place dans les cœurs ’’. ‘’Lequel demandera-t-on, en leur disant : ‘’ Mais allez-y dans ces cœurs ‘’!

    MADAME FATMA

    Elle est partie, ma grande voisine ! J’ai récité, ma main sur son front, quelques versets du Coran. Je lui ai recouvert le visage pour aller rédiger, plus loin, son attestation de décès. En sortant, je vois des tréteaux blancs qui vont supporter la planche de bois sur laquelle elle recevra son ultime lavement. Là, non loin de la salle de bain où il y a quelques mois, elle avait vomi tant et tant de sang. J’ai signé son constat de décès au salon, là où elle avait fêté les mariages de ses enfants, du vivant de son mari. Elle a demandé à retourner chez elle, après un alitement de 4 mois en réanimation. Et elle est partie un jour après son transfert. Elle laisse ce grand jardin aux colombes et aux fleurs de printemps. Adieu ! Si tu voies Khity et Lalla, passe-leur le bonjour.

    Bien d’autres petits actes emplissent la vie de chacun. Mais, je n’ai pas pu travailler ce samedi-là. Courbatu, désœuvré, je n’ai pas fait mon devoir de simple connaissance ni celui de voisin en ne revenant pas présenter mes condoléances, à la famille qui s’est rassemblé pour la cérémonie de deuil. Choqué par la mort, par la disparition de cette bonne personne.

    Plusieurs nuit d’insomnies précédentes, réunions tardives avant-hier, veillée mortuaire hier soir et écoute assourdissante de psalmodies. Néanmoins utiles, qui me rappelait les stances de chaque vendredi chez mon grand-père, soufi et derqaoui à la fois, Lafquih Lyazghi. Utile et profitable par cette double invocation de miséricorde à mon endroit par les fqihs qui sont venus psalmodier et déclamer le Coran ! Et puis, il a tellement plu que je suis fatigué, à dormir assis, devant cet écran d’ordinateur, d’où je vous parle…

    C’est surtout parce que je suis démoralisé de les voir partir ainsi, Belkacem, Khalil, le maâlem Sefrioui, le ministre Boucetta, les fugitifs, les noyés, les réfugiés, les asphyxiés et les éclatés ! Ces parents, ces amis, ces personnes que vous connaissez qui vous laissent seuls. Ces voisins et ces patients. Les pièces comme des jetons sautent de l’échiquier, un à un !
    Des grains de sable que le vent souffle et qui ne vont plus compter…Que dans la mémoire de leurs enfants ou de leurs rares amis. Les plus âgés étant déjà partis, dégommés ou déménagés. Et tant d’autres…attendent, divertis ou conscients !

    REFRAINS ET RENGAINES ERRONES

    Tardivement, la télé relate ces millions d’exilés, ces centaines de milliers de morts. Des arabes, des musulmans et des africains, encore et encore. Des fugitifs, errant dans leurs restes de pays en guerre, par la faute des grandes puissances, amies ou ennemies, qu’elles furent. On y essaie des armes, on justifie leurs achats et leurs ventes. Agitateurs et manipulateurs, des états-escrocs, boursicoteurs de guerres, envahisseurs, pilleurs et saccageurs, y font leurs abattoirs. Les pires espèces de riches, de démocrates et d’impérialistes inhumains. Pardon pour le pléonasme.

    Dans le froid et sous la pluie, les habits plus que mouillés, en loques déchirées, ils errent ! Je vois, je sens leurs drames et mon impuissance. La vôtre aussi, Lecteurs ! Leurs peurs et leur faim me sautent au cou et m’étranglent. Quoi faire ? C’est le même état que vivent les peuples décolonisés de cette large région qui fait le bonheur des infos et leur matière ! C’est le sort de beaucoup de pays ! Leurs tragiques détresses sont travesties par d’autres valeurs, au profit de leurs adversaires et vrais ennemis, cachés derrière la scène.

    Leurs terreurs, masquées, trahies, font office de culture pour d’aucuns ! Un plaisir, un ravissement naturel ! Cela renforce et défend leur immunité, leur politique, leurs unions bellicistes et leurs belles identités. Cela raffermit leurs incessants guerroiements, face aux drames que les militants dévoyés, devenus des extrémistes, allument de par leurs actes terroristes ! Crimes contreproductifs et odieux ! Confusions perfides de la détresse et de l’usage de celle-ci comme ferment en politique, comme dans la haute finance. La peur entretient les affaires.

    Ou trouver un sens à cette humanité dévoyée et factice ? Déplorables faussaires dont se vantent les états les plus riches. Ceux-là qui s’estiment être les plus avancés techniquement, les meilleurs en terme de libertés, de civilisation. Ces parangons de démocraties exemplaristes, ces hautes cultures droit-de-l’hommistes. Peu importe qu’ils soient souvent libertaires et laïques ! Grand bien leur fasse !

    Fuyant les carnages, les horreurs, la famine et les maladies, affamés sous la pluie et dans le froid, à pied, les hordes fuient le chaos. Bombes au phosphore, gaz toxiques asphyxiants, tuent en masse vos frères et les pourchassent jusqu’en enfer. C’est le pétrole du Moyen-Orient qui les brûle, mais pas tout seul !

    Otages ou fugitifs, rescapés pour le moment, ils laissent derrière-eux des corps, étendus, qui livrés au soleil, qui aux vents. Repues, les bêtes qui n’ont pas fui, se rassasieront de ceux qui ont échappé à la mitraille, aux fosses communes et aux explosions. Debout dans leurs linceuls, malades et en haillons, courbés et hagards, ils marchent, entre la terre qu’ils fuient et la mort qui les rattrape. La souffrance qu’ils endurent et les haines qu’ils inspirent aux gens-bien endurcissent les cœurs de ceux qui n’ont rien compris.

    LE DIVERTISSEMENT

    Qui sommes-nous ? Que sommes-nous ? Oublions ces questions sans réponses ! Vivons la vie qui nous est donnée sans y penser. Sans nous connaître, nous et notre corps. Cette machine, ce robot qui se répare seul et qui fonctionne, même quand nous dormons ! Et qui un moment s’arrête…Oui, le problème qui nous importe aujourd’hui est là !

    Dès lors, oublions ces questionnements farfelus et occupons-nous à jouir et à nous divertir. Le divertissement est défini comme étant une activité qui permet aux gens d’occuper leur temps en s’amusant afin de se détourner des préoccupations moins jouissives.

    La vie c’est une plaisanterie ! La vie, par sa densité et sa durée, une futilité, un leurre, si courte qu’on se doit d’utiliser à fond les rares instants de conscience et de présence par ici sur terre. Est-ce un but ou un jeu ? Est-ce utile et à qui ? Qu’est-ce qu’il en restera, qu’on en profite ou pas de cette vie durant ? Longtemps ou pendant un court instant, elle échappe en gommant celui ou celle qu’elle animait…L’occupation, les divertissements, le travail, sont un palliatif, un largage, un remède contre l’ennui et les questionnements, pour passer le temps, sans y réfléchir.

    Amusements, détente, les joies sont le placebo de l’oubli ! Un masque, un isolant qui empêche de se poser les questions ! La vie, son stress existentiel profond, sont éludés ? Son but, son utilité ! On n’y pense pas. Le sens de la vie, par-delà celle-ci et avant ! Qu’en dire pendant que la personne existe et que sa mémoire et ses sens palpitent de désirs de sens et de vie ? Plaisirs des sens et vanité des biens, opulence, emplissent nos sentiments de désirs et de satisfactions comme notre apparence…Pas plus je crois.

    PARADOXES

    Egos boursouflés, cupides, fainéants, infantiles, stupides ! Le mal est inhérent à cette machine admirable et exceptionnelle, souvent mal utilisée, de notre vivant.

    Par-delà les haies vertes et les clôtures végétales ou en ciment, qui nous isolent et nous séparent, un à un les voisins, simples, riches ou anciens, sautent la barricade pour faire dans le finish, une escapade !

    Une autre donc est partie ce matin, délivrée d’un corps lésé qui se faisait ancien. Un corps usé qui a trop souffert, malgré les amours qu’elle a donnés et les soins attentifs et louables qu’elle a reçus des siens ! Et ces attentions respectueuses qu’en réponse, Lalla Fatma de son nom, savait les recevoir, elle était la gentillesse-même et le grand cœur, et la bonté, mais aussi l’écoute et la discrétion.

    Hier, fort ou puissant, angélique ou abject et ignoble, aujourd’hui à moitié détruit, débilité et débile, la mémoire détraquée, qui peut se vanter de persister éternellement en vie, âme et mémoire sur corps ? Sinon dans les cœurs de ceux qui restent. N’est-ce pas Bassidi, n’est-ce pas My Othmane et toi Khity ? Toi, la novice et nouvelle âme, qui est partie ce samedi matin, Lalla Fatma ! Mme Laude Student et son alibi ne sont que des mirages, des prétextes, des ombres pour célébrer votre souvenir immortel et cette âme que vous êtes en fait et que je ne vois pas ! Bonsoir !
    Dr Idrissi My Ahmed,
    Kénitra, le 05 Mars 2017

    #317864

    Sujet: '' ISLAMISTE '' WHAT IS IT ?

    dans le forum Débats
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    LIRE CECI ET VOICI UNE RÉPONSE QUE JE VOUS SOUMETS

    http://www.atlasinfo.fr/Deux-conseillers-du-roi-Mohammed-VI-rencontrent-Abdelilah-Benkirane_a78080.html

    SI SAMIR AMOR, BONJOUR. Vous dites  » Le Premier ministre islamiste »’

    Le qualificatif, pernicieux en  » ISTE comme son alter ego en ISME est devenu un amalgame dans les tribunes et le vortex des médias francophones ! Une confusion se fait aux dépens de ceux qu’on en qualifie et cela contre le bon sens, de même.

    On en use pour confondre et stigmatiser, ainsi ISLAMISTE a fait fortune, repris par nos propres médias. En user, c’est stipendier le parti du Progrès, PJD, et lui coller une étiquette belliciste, arriérée, querelleuses et guerrière, volontairement erronée, pour tromper le lectorat, les votes et les décideurs.

    Cet ISTE qui lui colle sur le dos est une supercherie, une vision trompeuse. ISTE, lui confère une responsabilité, une identité grave, un programme batailleur et xénophobe, qui n’est heureusement pas le sien. D’autant que le PJD et Benky, retenus dans le prochain Gouvernement de SM le Roi, ne revendiquent certainement pas.

    C’est au moins une confusion ou un manque de précision. Islamique oui, islamiste, c’est donc non !

    Voir ma réaction à TBJ sur ce sujet, ici ou là :

    A TBJ, ISLAMISTE EST-CE UNE INJURE QUI DOPE UNE TARE ?

    http://www.alterinfo.net/A-TBJ-ISLAMISTE-EST-CE-UNE-INJURE-QUI-DOPE-UNE-TARE_a125776.html

    http://www.blog.ma/A-TBJ-le-mot-islamiste-est-ce-une-offense-qui-dope-une-tare_a1149.html

    http://www.agoravox.fr/actualites/medias/article/a-tahar-benjelloun-la-terminaison-185765

    NB, je n’appartiens à aucun parti.

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Vallsopathie et Vallsothérapie

    ‘’ La Vallskyrie du burkini ‘’

    Dans la série des ‘’ Chroniques différées de Mme Student’’, mon héroïne et institutrice préférée, nièce méconnue du général Lyautey, voici l’une de ses vallsopathies. Je dirais diplomatiquement de vallsothérapie préventive. Cette vieille institutrice retraitée, qui n’est pas aguerrie comme donneuse de leçons, revient en vacances au Maroc. Elle assiste aux bêtises et aux chicanes et s’en fait le témoin.

    Mea culpa autour du burkini

    Qui a peur de la vérité ? La France, nous apprend la franchise parmi ses gauloiseries. On y va de ce pas lui faire écho de ce qu’on sait. Francophonie, francophilie, identités dégommées, civilisations anthropophages et modernité… Où est la place de l’éthique dans ce brouhaha qui réveille les passions bellicistes de l’Occident exigu ? L’hexagonal franchouillard en premier. Cet empire postcolonial qui est dépassé par les genres, les espaces et les espèces, qu’il a pu conquérir, civiliser ou exploiter, mené vers les guerres ou militariser, par le passé, est maintenant, à l’instar d’autres grand pays moins assagis, bouleversé par de récentes tragédies. Les contrecoups du terrorisme islamiste, qui plus est, chez-lui. Qui sème le vent récolte la tempête. Il est des politiciens tellement imbus et sûrs de leurs manigances qu’ils s’octroient comme des prérogatives, qu’ils essuient ces réactions et leurs travers, sans se ranger ni ménager. Phase de délire maniaque, post ménopausique, de ces vielles métropoles qui ont vécu et prospéré de par leurs belles gourgandines de colonies !

    Cet occident, qui étymologiquement est fait de façon anecdotique, de  » occi ’’ et de ‘’dent  ». On devine dans cette déviance ce que ça veut tuer, mâcher et digérer ! Où est dans cet espace de pays assagis, mais au passé multi guerrier, la place de l’humain, quand on ne tient compte que de l’apparence et de l’habit différent des normes usitées ? L’habit fait le moine avec certitude et pour le mauvais musulman, c’est garanti ! Par malheur son physique participe et le rend reconnaissable, donc suspect. Là où il ne doit plus jamais mettre le pied, ça fat tâche génétique et tâche sur l’honneur ! Dès lors, ce sont des ennemis qu’il faut pourchasser. Des silhouettes à marquer, non d’une étoile de Shoah, jaunie et ressassée, mais d’une mauvaise étoile, barbouillée et embrunie.

    Les Français ne sont pas des anges ! Leurs envahisseurs non plus. Mais pourquoi inculper les Français de tant d’animosité envers autrui ? Je parle de la xénophobie. Ils sont chez-eux et depuis des millénaires. Que de guerres n’ont-ils pas menées pour défendre leur pays contre les envahisseurs, les barbares et leurs ennemis.

    L’Europe proximale, celle qui reste appendue à l’Orient et à l’Afrique , n’aime pas les Sémites qu’elle n’arrive pas à niveler ou qu’elle refuse de digérer. Je parle du racisme atavique. Les exemples ont fait l’histoire. Voici des énergumènes patibulaires, des masques terrifiants proscrits, qui déambulent et se déhanchent chez eux, profitant de leur air, de leurs libertés et de leur sécu !

    Cessons la plaisanterie cynique

    La Vallskyrie, j’adore cette musique de Wagner ! Sauf que là, ce sont des aspects d’humains que l’on veut caricaturer et hypertrophier, démoniser et sacrifier aux fins de les définir comme autant de symboles bellicistes. Des religieux ou guerriers. C’est terrible comme confusions volontaires et amalgames populistes et déjà légalisés ! Avalisés pour l’école laïque dès les débuts ! Vite, vite les amis, cachez vos croix et pliez vos calottes. Sauvez-vous ou déménager !

    M. Sarkozy ne se voile plus la face pour les burkinis ! Il en fait tout un bain électoral. La France ne veut pas d’ennui avec son identité. Et elle déteste tous les autres qui lui rappellent, ses croisades, ses guerres des colonies et puis ses nouvelles guerres messianiques, cachées ou atlantiques, ethniques, celles d’un état devenu mercenaire, et qui sont actuellement finies ou ratées. C’est la prohibition ! Cachez-vous cachez vos idées ! Changez, les Emigrés ! Mais, ça ne marche pas pour vous, ils restent exclus dans les banlieues. Ces bantoustans pour les bannis et les marginalisés, mis au ban de la société ! Vous êtes dépassés. Alors ouste aux étrangers ! C’est ça ! On veut vous déplacer. Mais, c’est pire, vous vous multiplier comme des lapins ! Mais, zut, on vous interpelle, allez voter.

    Psychose des peurs, des fictions vraies et des frictions inutiles

    Bien plus grave, on est noyés, mis en minorité ! Avec ces migrants, ces ruraux déplacés, qui ne veulent pas se noyer ! Et ces réfugiés qu’on a poussés à venir, après avoir allumé chez eux des guerres. Si viles, civiles, entre sectes, entre pays voisins pour les découper. En plus, on ne veut pas de vous ici. C’est clair, c’est ce qu’on vous dit nettement, politiquement, dans la rue et les marchés ! Sur les forums, avec la violence et de la haine, non-retenues, comme les manifs ciblées ! Qu’est-ce qu’il faut être cons et sans honneur, sans nif , pour subir autant de la haine dans la géhenne et de persister à rester ! C’est subjectif, oui !

    Abaisse-leur les culottes, France, pour vérifier, si ce n’est pas dans leurs sinus qu’ils ont des idées cachées ! Fait donc plus que les tribunaux d’inquisition hispaniques, allume ton holocauste pour les cousins des Juifs, ces bons sémites que tu as policés et mieux intégrés ! Les haines finissent par passer…

    On entretient la psychose terroriste, bien que réactionnelle à un pari belliciste vaseux, et on table sur la fiction, en termes de rapports avec la politique américaine. Alors qu’au départ ces habits n’étaient que des ‘’caches pudiques’’, on veut les transformer en  » armes offensives cultuelles massives » ! Versus en habits de victimes ! Ces femmes écrasées par les mâles islamistes, sont une offense faite à Marianne, devant les yeux et au sein de la république laïque ! Mais, quand s’appercevoir de la triche ? De la quête du pouvoir et des urnes, du pays et des consciences, que l’on veut détourner, intoxiquer par les réflexes racistes, et dominer par la phobie d’autrui pour les diriger où l’on veut ! Le fracas des pays arabes et islamiques, qui  » menacent la sécurité et la vie de tel autre  », c’est ce à quoi on veut arriver ! Mais, n’est-ce pas une fiction, caricaturée ?

    Je reviens à mon drone d’insecte

    J’étais en train de penser à mes douleurs et à mon traitement raté, en essayant de dormir. Puis, j’ai trouvé pour te décrire, ces armes du cœur, ces parfums des mots, dans leurs fioles dorées de diadèmes, dignes du meilleur Eden. En retour de politesse, cette dédicace : Splendide, sublime, magnifique, je te vêts de ces robes-là, Student, ma chérie….

    Et tu es arrivée…Quel moustique t’a piqué ? Tu étais en burkini, signé Cartier, faisant les vitrines aux Champs Elysées, pour faire un pied de nez à Valls et ses amis …Oui, sur les car les plages, c’est interdit d’être pudique sur leurs sables laïcs…Interdit de dire librement comment on est. Il faut se la fermer et être un bon hypocrite…C’est le b, a , ba , des libertés publiques….

    Reste loin ! Loin des fallacieux paradis où des énergumènes et des assassins construisent par le sang les fondations de leurs éternelles félicités. Ces terroristes et leurs impérieux colons, mentaux, ces goules et ces zélotes, qui prennent la terre pour une arène de gladiateurs et se livrent à de rituels combats.

    Anophèle, tu me pousses à écrire ! Et même à crier ! Qu’as-tu gagné, pouffiasse et vampire sanguinaire, de ce sang versé de ma jambe sur ma jambe ? Le sang que tu as pompé de la veine de ma main, cette main qui t’a punie en prenant ta vie ce matin. Qu’as-tu gagné, putain, alors que tes mâles pour se nourrir vont sentir le pollen des fleurs et s’oxygéner sous les feuilles qui les abritent quand ils te fécondent. Mes membres à force de les gratter sont tout rouges et brûlants, alors que sale bête, tu es là, gisante, dans ton sang qui souille le mien. Et pourtant, je n’aime pas tuer les bêtes…J’en mange, par habitude, animale. Si, si BB !

    Mystique mystérieuse d’un moustique femelle

    Je change dit-elle de sexe, pour dévier le destin. Je les essaierais toutes, fussent-elles hermaphrodites, afin de sentir toutes les piqûres et le zèle que j’ai donnés à tout cet essaim de belles. Pourquoi le hasard a-t-il fait que tu soies sortie seule du jardin et que ta destinée fut de pourrir ma nuit ? Tu as juré d’augmenter mes inquiétudes et mes faiblesses, alors que je pensais être libre pour mieux donner.

    Tu portes le voile et le burkini, et maintenant des ailes ! Tu changes de langue, de race et de sexe, sans oublier les vieux us de ton pays ! Tu changes de caste, tu t’es trompée d’espèce et de vie ! Tu affrontes les colères de la république, celle des rois et celles des rues. Tu veux devenir un ange pour t’occuper enfin de moi ? Mais las, ton karma n’a fait de toi qu’un moustique. Une femelle zélée d’aedes egypti, qui fait le chantre et l’aède, sans instruments autres que tes ailes ! A son honneur, si les insectes ont en, tu avertis ta cible de proie et tu sonnes le clairon. Tu donnes l’alarme, comme un chant avant de saigner ta victime expiatoire. Un sacrifice intime sur son lit et propre autel à la fois !

    Je n’avais plus de force, tu as volé mon sommeil et mon repos. Mes vacances pourries, elles aussi, avec cet amalgame des idées et du port d’habits. Ostensibles ou pas, mais portés, mis au pays des libertés ! Ce pays qui enseigne aux autres le sens des libertés et où il faut rester digne et être franc, sinon égaux ! C’est la base de l’identité, de la morale, des droits et du respect.

    Retour au burkini et au Conseil d’Etat

    Où est cette dignité, où est cette liberté, quand la police, armée, se fait juge et partie ? En déshabillant en public, contre gré, de force les amis, une femme, pudique. Là sous le spot de la caméra pour les électeurs abusés et la télé ! N’est-ce pas un crime, à l’image de ces polices qui tuent les noirs, de dos ou la face sur le goudron de rue ! En les supposant , quand ils se sauvent, d’être armés !

    Des voiles et du burkini, toute la politique et ses populistes propos ! Tu as détruit mes rêves avant de me piquer. Tu t’es éprise de moi, pensant me foutre ton zirka. Je ne pensais qu’à toi, tyrannique insecte, ignoble parjure et félon apostat ! Je voulais t’atteindre, mais tu m’as longtemps nargué et humilié. Que de fois, cette nuit tu m’as échappée , à croire que vous étiez une nuée de vampires ! Halluciné, les yeux troubles, j’étais la cible fatidique d’une ruche de guêpes, la proie d’une tribu de vipères et de toutes ces bêtes fauves à la fois ! Pris d’une fébrilité sans nom, je divaguais. Je marmonnais ou chantonnais, sans connaître ses paroles, la Vallskyrie… Colonisés, nous sommes trahis par les infâmes impérialistes qui ont laissé les extraterrestres nous prendre pour leurs aliments. Ces envahisseurs, ces prédateurs immondes, nous collent en partant des maladies, dont plus jamais personne ne se réveillera. C’est un film , là ! Vous pouvez en prendre l’idée.

    France, mère des arts des armes et des lois,

    Mère, mère, je pense à ce jour où méconnaissable à moi-même, ignoré, je serais oublié. Je n’aurais existé pour personne. Même de ce que je fus pour toi. Pourrais-tu, si je me trompe, me faire revivre une autre fois, loin du cirque . Ce cirque italien Fantastico, où l’on tue les acteurs sur place. Là, à Kénitra. Là où on laisse les spectateurs stupéfaits, même de loin. Les mauvaises odeurs s’en occuperont pour les anesthésier.

    Loin de ce caniveau où les cafards et les crocodiles, violent les plages ! Loin de ces cimetières, négligés et mal famés, qui font peur aux mourants, avec tellement de sorcières et de matrones nécrophages dans leurs céans et à leurs bords ! Des empoisonneuses et des profanateurs qui viennent piller les organes des morts pour les revendre aux jeteurs de sorts ! Loin de ces voyous, drogués et ivres, qui sont autant d’assassins potentiels. Ces assassins qui se servent de ces aires de repos, comme repères et sanctuaires ! A leur tête ces faiseurs d’épaves et nécromanciens !

    Loin de ces fakirs de toutes les métropoles d’Europe d’Asie ou d’Orient ! Ces médias ennemis, autant qu’adversaire, loin de ces politiciens de mauvais augures à barbes de singes et aux queues inassouvies de démons. Qu’ils soient blonds ou gris !

    Pour les  »locos  » ! Loin des moutons de l’Aïd et des ânes enfumés qui les moquent ou qui portent aux urnes et aux nues ! Loin de ces parias aux cimeterres, qui prennent notre maison pour une jungle privée. Loin encore de ces lions qui décident de nos destinées et de nos sorts. De ces pontes éléphantesques, qui menacent de leurs trompes et leurs jets de pierres, les enfants du zoo, qui viennent leur dire bonjour ! Loin de leurs erreurs qui piègent les plus hauts dignitaires et commandements, sur cette petite sphère de terre. Le globe où pour avoir raison, il faut tuer et faire la guerre. Pour cinq dirhams, un paquet de clopes ou le devenir de plusieurs nations, voire d’une région.

    Si sereine, si aimable, si propre et si correcte, splendide, sublime, magnifique, je te vêts, Khity, ma mère, de ces robes-adjectifs, là ! Ce n’est pas une burka, mais un simple voile qui laisse tes yeux verts , encore , me regarder.

    Et toi Mme Student, toi la paonne de service, approche, voici ma chère maîtresse, un burkini pour te protéger des sables mouillés de notre Mehdia. Vas-y, baigne-toi, nue le soir sous la lune ! Ou le jour, habillée comme tu veux, face au soleil, de peur de brûler ta peau. Nage ou danse, coure, face aux regards de ces vieux et verdâtres amoureux ! Ne t’inquiète pas pour moi, si tu les attises, malgré leurs longues barbes et leurs explicites et trop bons mots. Attention, ne leur dit pas que nous sommes mariés.

    Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 27 Août 2016

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    A dame  »Vipère » qui a dit du poème,’’ Dieu’’, qu’il est somptueux !

    Dédicace à cette dame au pseudo de Vipère sur Agoravox
    qui a dit que mon poème,’’ Deus’’, était somptueux !

    J’étais en train de penser à mes douleurs et à mon traitement raté, en essayant de dormir. Puis, j’ai trouvé pour te décrire, ces armes du cœur, ces parfums des mots, dans leurs fioles dorées de diadèmes, dignes du meilleur Eden. Splendide, sublime, magnifique, je te vêts de ces robes-là. Loin des fallacieux paradis où des énergumènes et des assassins construisent par le sang les fondations de leurs éternelles félicités. Ces terroristes et leurs impérieux colons, ces goules et ces zélotes, qui prennent la terre pour une arène de gladiateurs et de rituels combats.

    Au moustique muse et  » inspirateur » du  » Coach  »

    Anophèle ! Qu’as-tu gagné, pouffiasse et vampire sanguinaire, de ce sang versé sur ma jambe ? Le sang que tu as pompé de la veine de ma main, cette main qui t’a punie en prenant ta vie ce matin. Qu’as-tu gagné, putain, alors que tes mâles pour se nourrir vont sentir le pollen des fleurs et s’oxygéner sous les feuilles qui les abritent quand ils te fécondent. Mes membres à force de les gratter sont tout rouges et brûlants, alors que sale bête, tu es là, gisante, dans ton sang qui souille le mien.

    Je change dit-elle de sexe pour dévier le destin. Je les essaierais toutes, fussent-elles hermaphrodites, afin de sentir toutes les piqûres et le zèle que j’ai donnés à tout cet essaim de belles. Pourquoi le hasard a-t-il fait que tu soies sortie seule du jardin et que ta destinée fut de pourrir ma nuit ? Tu as juré d’augmenter mes inquiétudes et mes faiblesses, alors que je pensais être libre pour mieux donner.

    Tu portes le voile et le burkini, et maintenant des ailes ! Tu changes de langue, de race et de sexe, sans oublier les vieux us de ton pays ! Tu changes de caste, tu t’es trompée d’espèce et de vie ! Tu affrontes les colères de la république, celle des rois et celles des rues. Tu veux devenir un ange pour t’occuper enfin de moi ? Mais las, ton karma n’a fait de toi qu’un moustique. Une femelle zélée d’aedes egypti, qui fait le chantre et l’aède, sans instrument autres que ses ailes ! A son honneur, si les insectes ont en, tu avertis ta cible de proie et tu sonnes le clairon. Tu donne l’alarme, comme un chant avant de saigner ta victime expiatoire. Un sacrifice intime sur son lit et propre autel à la fois !

    Je n’avais plus de force, tu as volé mon sommeil et mon repos. Tu as détruit mes rêves avant de me piquer. Tu t’es éprise de moi, pensant me foutre ton zirka. Je ne pensais qu’à toi, tyrannique insecte, ignoble parjure et félon apostat ! Je voulais t’atteindre, mais tu m’as longtemps nargué et humilié. Que de fois, cette nuit tu m’as échappée à croire que vous étiez une nuée de vampires ! Halluciné, les yeux troubles, j’étais la cible fatidique d’une ruche de guêpes, la proie d’une tribu de vipères et de toutes ces bêtes fauves à la fois ! Pris d’une fébrilité sans nom, je divaguais. Je marmonnais. Colonisés, nous sommes trahis par les infâmes impérialistes qui ont laissé les extraterrestres nous prendre pour leurs aliments. Ces envahisseurs, ces prédateurs immondes, nous collent en partant des maladies, dont plus jamais personne ne se réveillera.

    Mère, mère, je pense à ce jour où méconnaissable à moi-même, ignoré, je serais oublié. Je n’aurais existé pour personne. Même de ce que je fus pour toi. Pourrais-tu, si je me trompe, me faire revivre une autre fois, loin du cirque où l’on tue les acteurs sur place et les spectateurs, même de loin.
    Loin de ce caniveau où les cafards et les crocodiles, violent les plages ! Loin de ces cimetières, négligés et mal famés, qui font peur aux mourants, avec tellement de sorcières et de matrones nécrophages dans leurs céans et à leurs bords ! Des empoisonneuses et des profanateurs qui viennent piller les organes des morts pour les revendre aux jeteurs de sorts ! Et tant de voyous drogués et ivres que de potentiels assassins, qui s’en servent, comme repères et sanctuaires ! A leur tête ces faiseurs d’épaves et nécromanciens !

    Loin de ces fakirs de toutes les métropoles d’Europe d’Asie ou d’Orient ! Ces médias ennemies, autant qu’adversaire, loin de ces politiciens de mauvais augures à barbes de singes et aux queues inassouvies de démons. Qu’ils soient blonds ou gris !
    Loin des moutons de l’Aïd et des ânes enfumés qui les moquent ou qui portent aux urnes, aux nues ou en offrandes ! Loin de ces parias aux cimeterres, qui prennent notre maison pour une jungle privée. Loin encore de ces lions qui décident de nos destinées et de nos sorts. De ces pontes éléphantesques, qui menacent de leurs trompes et leurs jets de pierres, les enfants du zoo, qui viennent leur dire, juste un bonjour ou un petit salut ! Loin de leurs erreurs qui piègent les plus hauts dignitaires et commandements, sur cette petite sphère de terre. Le globe où pour avoir raison, il faut tuer et faire la guerre. Pour cinq dirhams, un paquet de clopes ou le devenir de plusieurs nations, voire d’une région ou d’un hémisphère.

    Si sereine, si aimable, si propre et si correcte, splendide, sublime, magnifique, je te vêts, Khity, ma mère, de ces robes-adjectifs, là !

    Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 25 août 2016

    Anonymous
    Membre

    Bonjour,

    L’immigration subsaharienne au maroc dans le but de passer en France me tiens particulièrement à coeur de vous en parler car je vis en couple avec un de ses hommes qui à eux le courage et la chance de traverser cet enfer. Cela fait déjà 4 années que nous sommes ensemble et chaque jour je reconnaît son courage à vivre en France et avoir réussi à construire sa vie et se battre pour sa famille, resté au cameroun. Il n’a pas traversé le Maroc par Berkane mais il esy parti de nador pour l’europe, il es arrivé en espagne en bateau alors qu’il ne sait pas nager.
    Je suis française et n’ai pas connu la difficulté ou là pauvreté comme beaucoup (mes parents était ouvriers), ma vie était simple et encore aujourd’hui il ne me faut pas grande chose pour vivre. Mais ma rencontre avec l’homme avec qui je vis aujourd’hui m’a fait réaliser certaine chose, et surtout que nous devons aider et soutenir ceux qui sont dans le besoin.
    Mon beau frère qui n’a que 15 ans est actuellement en train de traverser le chemin difficile en direction du Maroc, Nador ou Malilla je n’est pas quel parcours il choisira mais je pense à lui tout les jours et espère qu’il arrivera en espagne saint et sauf.
    Je tiens tout simplement à dire à ceux qui verront mon message, et qui sont au maroc ou encore qui souhaite venir en europe pour un monde meilleur. Saches que se n’est pas facile, tu devra être fort, robuste, courageux, garde la foie et croit en ton étoile, et ne renonce jamais car ta famille compte sur toi, tes frères, tes soeurs, tes parents… Soit plus malin que les autres et fait les bon choix, fait confiance à personne sauf à toi même. Toi seul est maître de ton destin.
    Un conseil personnel pour traverser le maroc, allez à Melilla s’est dangereux, soit tu reste fort sous la douleur des blessures soit tu choisi un autre chemin qu’il te semblera plus simple. Rencontre les bonnes personnes, mais reste discret.
    A tous ceux qui lirons se message et qui ne seront pas d’accord avec mes conseils, leur avis ne m’importe peux. J’aide ceux qui ont besoin d’encouragements, de courage et de conseil. Si j’avais les moyens de créer une organisations française pour venir en aide aux immigrants africain je le ferais, je fais se que je peu avec se que j’ai.

    Courage à vous

    #279038
    Anonymous
    Membre

    Bonjour
    je connais parfaitement Abdelkader Hamouti : nous étions camarades et amis au lycée branche science mathémtiques
    effectivement il était à l’école polytechnique de Lauzanne.
    Aujourd’hui il s’est converti en tant qu’herboriste il est à Oujda: facile à trouver rue de Marrakech il a un cabinet sur cette rue.

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    CONSEILS DES ARBRES AUX NOUVEAUX ELUS
    PENSÉES BIAISÉES ET RÉCRIMINATIONS ACCABLANTES

    AUX CADRES, CES PENSÉES BIAISÉES ET RÉCRIMINATIONS FASTIDIEUSES

    Comment puis-je creuser une montagne dans l’image que je vois à la télé ? Comment sortir du tunnel que je vois dans le rêve ? Aller sur d’autres mondes et retourner sans crainte du néant ? Comment rendre vivant cet objet et faire de cette image une femme mienne ou mon autre frère ? Rendre les images vraies et agir dessus et par elles ? Questions d’enfants ? Pas si sûr ! La réalité dépasse la fiction. Il n’y a qu’à être puissant et riche. Mais le contraire est plus facile. Détruire les objets, saper la nature, médire des autres et en avoir peur ! On y va pour la lecture…

    Oniric’art ou sciences oniriques…Entre la fiction et les fantasmes, la métaphysique et les recherches sur les potentialités du cerveau, voici quelques divagations banalisées et des imprécations autour de l’amour de la nature et de la place de l’homme imprécateur, insatisfait mais positif. Un exutoire pour les premiers jours de 2012.
    Nous ne sommes que les invités d’un corps et d’une terre, des occupants brutaux et peu amènes! Idées préconçues, pensées en errance, ou comment exploiter les souffrances et les insomnies. Dire banalement aux autres ce qu’ils savent, n’est pas facile, surtout à l’endroit des cadres tordus ! Ils se reconnaitront, s’ils ont la chance de nous lire. Lâcher des invectives quand on a des protecteurs est également lâche. Surtout quand on jouit d’autres sanctuaires, d’autres revenus parallèles, d’autres dieux ladres et chiques nationalités. Le courage est de s‘exprimer ici, quitte à bêler parmi les vaches, de vive voix et selon les voies qui sont à peine tolérées.

    Tonnerres sur les viscères. Éclairs dans les chairs, lumières dans les hémisphères, veille consciente, douleurs aux tendons et aux jointures. Le député ou la ministre est partie. Elle ne peut plus complaire ni en rire ou attirer sur elle, les imprécations, messire. Les muscles répondent point par point aux tortures. L’ire liquide attise la colère. L’insomnie donne l’impression d’une éternelle douleur. Exaspéré, tu prends conscience de ta souffrance, celle de ton bien, celle de ton corps, pour ressasser sans les oublier celles de ta cité ou de la terre entière. Et pourtant c’est la fête dehors. On vous empêche de dormir. On fait du bruit avec de la musique et on se marie.

    ARBRES ET TROTTOIRS

    Là, ce sont des arbres ‘’urbanisés’’, vivant dans la même serre. Sur l’un d’entre eux, tu pourrais admirer un souvenir gravé avec art. Un cœur est dessiné, un poignard le perce dans l’écorce. Y sont écrits depuis presque cent ans deux prénoms. Ce buste vient de tomber sous la scie. Le souvenir avec de ceux qui sont passés. Il ne reste plus de témoins à cet amour.

    Nos administrateurs peuvent se targuer de dire : là, ce furent des arbres ‘’urbanisés’’, qui vivaient dans la même serre que nous. Nous respirons le même air avec ressentiment l’air pollué, âcre et stertoreux qui révolte les poumons et révulse les narines. On voulait rendre muet les sujets, maintenant on veut asphyxier les citoyens. Façon de les apaiser ou de les maudire. De les sanctionner en les forçant à respirer leurs excréments ?

    Pourtant, ces êtres immobiles, les arbres, rafraîchissaient l’atmosphère et donnaient de leurs vertes statures un air embelli à la ville. Malgré ses trous et ses territoires, ses façades délabrées et sales, qui persistent comme une offense à la modernité du pays, sans que nulle campagne publique ne vienne à les restaurer pour ne pas dire les embellir. Pour être justes et objectifs, en fait on s’active, mais c’est trop peu. Autres sujets, délicats et plus tranquilles, cloués au sol comme des demandeurs d’emploi devant le parlement, ils sont de toujours serviables et utiles. Je parle des arbres.
    Des arbres, des concitoyens silencieux et immobiles, hé bien, un décret malin vient de les condamner. A la scie et au bûcher, comme les martyrs du moyen-âge. Ce qu’ils vont devenir, du charbon. Ce sont des arbres ‘’ domestiques ‘’ que l’on enferre, que l’on enferme, que l’on vide, que l’on tue et que l’on viole. Que penser, qu’imaginer, que voir, que dire, que faire ? Même les arbres souffrent, dans nos murs et sur nos trottoirs, sur ce qu’on appelle improprement nos terres ! La terre, ‘’mine aïnalaka ma laneyakounaqateînedaka mine qable?’’ Réduits, exiguës, troués, encombrés de trous et longeant des avenues devenues plus étroites de que des rues, les trottoirs sont sur la coupe du néo-colonialisme, cafetier. Les piétons n’ont qu’à aller se bousculer sur le bitume et s’éviter de casser les pare-chocs des voitures ! Envahie, la ville, dortoir humide, est quasi tétanisée.

    HOMO SAPIENS

    L’aube dorée de la femme juxtapose le crépuscule violet de l’homme décrépi. Le brasier des passions et les barbouzes du sexe prospèrent dans leur viscérale industrie. La noblesse des idées se heurte à la fausseté de la pratique, quand les contraintes morales échouent sur la réalité. Idées préconçues, théories, allégations, singeries, copiage sans garde-fous des frasques du plus vieux métier ! Autrui nous sert d’exemple faussaire. Littérature, lubies et rêves estropiés. Le roman n’est pas une biographie. Ce qu’on raconte n’est pas forcément vrai. Du moins ça change comme le regard et la vue, la vision du moins, à travers les facettes d’un prisme. L’entrelacs des civilisations libertaires, mosaïques multicolores et tourbillonnantes vues à travers les dentelles boisées des moucharabiehs.

    Vous dites enthousiaste, ingénu et franc : « Je sais comment travailler, mais je ne sais pas contrôler ». On vous répond, avisé et magnanime : « Faites ce que vous avez à faire, le reste viendra ». Fort bien ! Compliments et assurances sereines et averties comme ressorts ! Par-delà les essais et les erreurs on retient la moralité de l’histoire. Pour l’avenir commun on compose. J’écarte, tu disposes. On ne détruit plus. Les accapareurs et les exploitants aux tristes records seront plus avertis contre les excès, les bricoles et les bavures. On solde ceux qui vous ont fait inventer de quoi épuiser les terres ? Peut-être pas ! On les assagit, avec le gîte et le couvert.

    THÉÂTRE PROLIFIQUE

    Le jeu, celui de vivre et se multiplier sur terre est une comédie assez courte, une anecdote, une blague éphémère par rapport çà ce que l’homme, sapiens de surcroit, profane, épuise à jamais et consomme. Le jeu, la vie de l’espèce humaine, cette comédie où les acteurs se suivent et ne jouent qu’un instant sans faire carrière, à quoi est-ce que ça sert ? A qui sert-il ? Y a-t-il un but ? Pour quels acteurs et spectateur ? Qui est dans les coulisses ? Est-ce simplement le fruit des hasards ? Pour une pièce, dont le générique et le scénario, se sont pas totalement écrits et dont les acteurs inconstants sont toujours des novice, qui n’ont lu ni préface ni prospectus, nous sommes toujours à l’essai ! On ne devrait pas nous juger ! Le jeu se complique et se développe à l’intérieur de lui-même. La pièce prend le dessus sur ce qui a été auparavant prescrit pour elle. Elle s’invente et s’amplifie au fur et à mesure, selon la véhémence des acteurs et ou leurs interprétations placides.

    Nous sommes les spectateurs insensibles de nous-mêmes, les acteurs inconscients et distraits. Nulle moralité n’est à attendre de cette fable dont les plus avertis partent sans laisser d’adresse ! Quelques plaisirs futiles, oniriques, pour certains et puis le néant ! Ou les funérailles qui laissent de vagues cendres sur la scène que les acteurs triturent des pieds. Pour les autres, la grande majorité, c’est un tissus conjonctif, mou, aux marges de figurants, qui ne sont que de sombres des silhouettes au plus. L’exclusion est leur ratage habituel, les privations les douleurs leur lot. Certains obtiennent des cachets qui sont des millions de fois supérieurs à ceux que récoltent d’autres acteurs pour jouer sur la même scène, avec les mêmes compétences et parfois plus ! Parfois, avec plus de maitrise, de sérieux, d’intelligence et de compétence et plus d’ardeurs que les tristes opportunistes. Les bonnes manières perdent leurs détenteurs.

    Retraites sophistiquées et pesanteurs financières. Qu’ont-ils fait pour obtenir ces mérites, ces salaires prohibitifs et insultants, ces retraites qui poussent à la révolte les plus pudiques et les plus austères comme les plus sincères ? Qu’ont-ils fait pour obtenir sans mérite visible, pour tout prendre et tout posséder ? Des acres et des acres de terres en plus des âmes et des corps qu’ils ont de leur entrisme dans le pouvoir investis. Ou seulement montré un peu plus d’hypocrisie que les plus humbles envers le ciel ? Et plus d’arrogance et de mépris face à leurs frères des basses sphères ! Leurs fruits hors saison, des usurpations pour ne pas dire des rapines sur les commerces et sur les terres. Toutes les terres, avec en plus du pouvoir et des privilèges, l’arrogance comme nous disions et le silence, légitimisé*, sur l’asservissement.

    DÉVELOPPEMENT EN SOUS SOL

    Les chercheurs, le savent ils, ils sont nombreux à avoir joui des actes de cette pièce, que nous continuons de jouer, d’imaginer et de compléter. Souvent comme observateurs, parfois aveugles et passifs, parfois vivants, avec conscience et critique à porté de lèvres, parfois comme des ombres, des zombies ou des avatars, une déviance du rôle tel qu’il a été conçu et prescrit.

    Ils ont dit, preuve à l’appui, qu’il a fallu des millions d’années en durée, il y a des millions d’années de cela, pour que les forêts poussent, se développent et comment les plantes sont devenues un minéral. Du charbon qui a été exploité pour faire naître la révolution industrielle, développer les machines, les industries du fer et de l’acier. Puis, par la suite, ce furent des mers de pétrole, qu’on a pompées des profondeurs pour rouler, pour cuire et s’échauffer.

    Mais comme certaines espèces, ces filons, ces puits se sont épuisés, formant ça et là des fortunes colossales dont les propriétaires et les envieux ont fomenté des guerres pour les défendre ou pour se réapproprier ces richesses. Le charbon et le pétrole, issus de cette ère géologique si prolifique du carbonifère, sont le résultat des forets enterrées sous la pression des couches telluriques. Imaginez ce qu’il a fallu comme vie et longévité des espèces dans ces forêts et leur destin qui n’allait servir aux hommes d’aujourd’hui, qu’un court instant ! Une durée de 2 ou 3 siècles, pour anéantir à jamais ces trésors du temps que l’homme a dû pomper, sans réserve, jusqu’à épuisement définitif ! Et après, ces matières, ces réserves, toute cette richesse n’auront plus d’existence. Enterrés dans les cendres, évaporées sous formes de gaz, toxiques, nuisibles ou mortels.

    LA VIE LEUR VIENT DU CIEL

    Ils sont lumière et chaleur, cachant les nuages, trouant la couche d’ozone, apportant maladies, inondations, désertifications et fragilisant hommes, animaux, végétation et terres.

    Bonjour à toi, ô trait de lumière ! Heureux de pouvoir te saluer chaque matin au travers des persiennes. Heureux que l’on te voie et de constater que le soleil n’ait pas sombré loin de la terre. Que celle-ci par miracle, pivote encore, penchée sur son axe, en spinant* autour de toi, Soleil et que l’homme ne l’ait pas luxée par quelques trous d’explosif ou de bombes que ce soit ! Bonjour à toi, heureux de te voir pénétrer en cette chambre. Heureux que mon cerveau et ma rétine, enfin ce qu’il en reste, puissent encore te percevoir. Bonjour à toi et heureux d’avoir conscience de te voir. Grâce à toi lumière, par toi qui proviens d’explosions survenant sur les astres, les arbres poussent et se synthétisent grâce au feuillage. Grâce à toi, Soleil, forêts et buis nous servent, nous réchauffent et nous éclairent, à travers nos divers appareils en brûlant arbres, charbon et bois.

    A côté des cris d’oiseaux qui saluent ton réveil, leurs parlers incompréhensibles, ils chantent les mêmes refrains que moi, sur toute la terre. Salut à la vie, salut au soleil ! Qu’est-ce qu’il y a pour manger tout à l’heure ! Dialogue, matinal, projets de ce qu’ils vont faire, ils parlent du temps, de ce qu’ils vont ingurgiter pour honorer les cycles de l’azote et du carbone.

    Réflexions ou philosophie, ces piaillements sont certes pour eux des pensées et toute une littérature. Gracieux par moment, incompréhensibles, ces trémoussements tiennent compagnie et nous donnent un aperçu de ce qu’il y a sur les planches sur cette terre. D’autres acteurs, d’autres êtres vivants, qui marchent, qui volent et qui s’ignorent. Chacun a sa part, son rôle, dans cette vaste et prodigieuse comédie, qui des profondeurs marines aux cimes, des montagnes, des sables aux nuées, grouille d’êtres. Ils s’activent, de leur naissance à leur fin, ils chassent, lutent, s’accouplent et se multiplient. J’éviterais de parler de ceux que l’on consomme et que l’on brise, pour vivre comme eux, un instant en s’en nourrissant ! Et comme la plupart d’entre eux, les carnassiers, les carnivores !

    Ignorant comment l’homme, qui veut sortir de la bête, pourrait se libérer de consommer d’autres êtres vivants, on devrait devenir végétariens ! A commencer par moi-même, pour adhérer à un projet de société, mondialisé grâce à l’internet et de nouvelles lois. Toute une révolution culturelle. A se demander qui cette tendance pourrait léser pour être empêchée de se faire ! Ceux qui se nourrissent de la chair des autres, comprenez les agro-industriels !

    LES ARBRES, NOS CONCITOYENS

    Mais pour être moins idéaliste, moins rêveur et plus prosaïque, je m’inquièterais pour les arbres ! Ceux juste à côté, comme ceux qui gisent à terre!

    Vies simples parmi ces milliards de milliards d’arbres des forêts et ceux du bosquet de ce jardin. Comme ces feuilles d’araucaraias, qui prises une à une, adorent en l’écrivant de leurs alifs et leurs ha, le nom d’Allah, le Seigneur. Vies immobiles qui flirtent la tête en l’air, avec les insectes, face aux vies conscientes des gens, qui bougent. Conscience de la vie et de soi, durant celle-ci et de rien d’autre de plus, sauf des questionnements !

    Et ces piaillements et ces pensées, gracieuses par moment, incompréhensibles à la gente humaine, qui tiennent compagnie s’ils ne nous réveillent, en comblant le silence et le souffle du vent. Ils montrent que sur ces arbres et ces branches, sur cette terre, que d’autres acteurs marchent s’ils ne volent pas. Chacun a sa part dans les deux sens et dans cette comédie, qui même dans les profondeurs des mers et des sables, vit et s’agite, multiplie les êtres les plus divers, les plus curieux, leurs activités, leurs nuisances, leur fins, leur invisible complémentarité, au hasard des nécessités et de l‘évolution.
    Nous épuisons lourdement les mêmes planches sur lesquelles nous jouons, pour notre drame, cette comédie humaine. D’autres l’ont dit mieux que moi. Je ne retiens pas très bien et je ne sais répéter. Je la vois et contribue à la jouer, à ma manière, moins comme acteur et plus comme sujet. Je vois de mon ornière ces arbres que l’on tue et abat.
    Les auteurs ont bien quelques raisons pour les assassiner et pour dévaster les espaces que ces eucalyptus occupaient hier encore. Ils vont mettre en jachère les jardins, déjà réduits, qui résistaient encore un peu aux barbares, Oui, c’est pour ramasser ou voler, prendre ou octroyer des faveurs, en vue de rapiner à leur tour. Bien sûr, je ne parle que des arbres et des vautours accessoirement. Mais, il n’y a pas que la vie des arbres, des animaux que nous leur prenons, aux dépens de leur courtes existence. Il y a celles, connexes des hommes, nos contemporains, puis celles de ceux qui finiront la pièce de théâtre que nous jouons en ce moment. D’autres clans, d’autres partis, d’autres parties, d’autres âmes !

    AU SECOURS ON AIME OU LE SEXE DES ANGES

    On a tous entendu cette littérature verbale ou écrite, si peu convaincante des premiers concernés. On a senti ou vu faire les passions pour autrui, la fièvre des jeux, du sexe, au hasard des rencontres. Des couples et plus, en nombre, se sont vus naître et devenir prolifiques pour la masse et illustres pour une minorité. Ce sentiment, ces approches, cette férule-là est devenue une véritable religion unioniste tendant à couvrir de plaisirs horizontaux toute l’humanité qui gite sur la sphère. Né instinct et conduite hormonale biologique, l’activité du sexe est devenue une culture fondamentale et une industrie prospère. Des comportements, devenus culturellement primordiaux sont labélisés du trivial mot et qualificatif ‘’ amour ‘’. L’Amour qui enjolive de la plus banale des sensations au plus amène des sentiments, tire-t-il quelque chose du mot âme ? Ou, que c’est plus animal encore, alors qu’il se balade au septième ciel souvent ?

    La littérature abonde de tout ce qui fait flipper, bander et jouir. Jouir, c’est être heureux, simplement. Et cela va des plus éloquentes émotions de romance, d’amitié respectueuse au spleen anxiogène des anciens. Des industries, fort nombreuses, sont nées de cette ‘’délicatesse’’ torride envers l’autre sexe. La passion conquérante d’un autre corps, la fascination pour sa beauté, la séduction des manières, vite attractives et attachantes, en vue de s’approprier de l’être désiré.

    Souvent ou plutôt toujours, cela tourne aux métiers du sexe. Que ce soit à travers l’écrit, la photo ou la lucarne. Modes, tenues, bijoux et objets, pratiquement toute l’industrie humaine se mobilise afin de complaire au besoin d’accessoires. Un monde parallèle, des plus inventifs, offre ses attirails onéreux afin d’opérer avec succès le cérémonial voué au dieu Amour. Et Aphrodite sert sur l’autel du désir, le sexe, sa jouissance et son sens de l’appropriation. Le mot, le sentiment ‘’amour’’ se vêt d’objets dispendieux. Des cadeaux qu’il faut offrir pour affirmer son sentiment d’amour. Une dévotion en fait, afin de certifier ce besoin d’appropriation exclusive d’autrui et du don de soi. La passion et la conquête, l’éloquence et la morale, les droit de l’homme, de la femme particulièrement, ne sont pas toujours au beau fixe ni trop souvent respectés. L’outrance, la possession illégitime, la contrainte sauvage et le viol, illustrent de manière pénale et criminelle les plus élevées des sociétés. Là où les qualificatifs de ‘’laïc’’ et de ‘’civilisé’’ sont de coutume. L’argent interfère avec le sexe, le crime et l’honneur, pour battre le tempo de la comédie humaine.

    VOLONTÉ DE PUISSANCE ET DON DE SOI

    Peut-être que le travail, les biens, la puissance ne sont que les procédés, les solutions pour cumuler de quoi opérer la conquête de l’autre. L’abandon de soi, n’est pas aisé. C’est une aventure, un véritable pari, un sacrifice périlleux. Le plus souvent celle qui accepte l’effusion des sentiments, la fusion et l’acception des jeux ou d’appropriation du corps de l’autre est une assujettie, fragilisée, plus qu’un acteur avertie. Toute cette gymnastique physico-chimique, ces exercices d’application physico-chimiques, des rêveries romantiques, et depuis cinématographiques, qui s’appellent le besoin de sexe, de séduction, d’érotisme et autres dénominations plus ou moins hard, soft ou romanesques.

    La quête du travail et la volonté de puissance ne seraient finalement que les instruments et les voies détournées, pour arriver à l’essentiel, la conquête de l’autre. L’amour, ni plus ni moins. Assurer ses pulsions et sa longévité, (instinctivement), avoir de la compagnie peut-être, de l’aide dans la vie, parfois, mais surtout une progéniture pour garder un nom, une fortune. Si on travaille pour vivre, assurément, c’est aussi pour faire son nid, construire son foyer, un synonyme de sécurité et de protection. On trime pour payer son loyer, assurer sa subsistance, si on ne vole pas pour ériger un hôtel, étaler des villas, ça et là ou de véritables palais, sinon des édifices hauts comme une montagne, au milieu d’une île. Ces conduites extrêmes biaisent ce qui est fondamental, l’assurance d’un simple foyer et la sécurité d’une petite famille. Les dérives poussent vers la conquête du pouvoir pour le pourvoir et pas seulement face à l’insécurité. Tout comme à la quête de la fortune et la possession des biens. Parfois, juste pour en disposer face au regard d’autrui et palier aux risques de l’infortune !

    Cette richesse, ce pouvoir qui vont assurer à l‘individu, à la personne adulte conquise, suffisamment de sérénité, de garantie de sécurité, et lui permettre de céder sa part de sexe à l’amour, à se préparer à l’idée d’enfanter. Mais l’idée d’enfants est connexe. Primordiale pour la continuité de la vie, a contrario elle ne vient pas à l’idée lors des premières initiations au sexe ni au moment du jeu, à la ludicité*. Elle y est évitée et même combattue. Bien sûr la biologie et la chimie des hormones dictent les conduites et mécanisent les instincts et les formules d’approche. Mais le résultat est symboliquement le même et pratiquement toujours vérifié : avoir pour posséder et vice versa.

    Dr Idrissi My Ahmed,
    ARCHI KEN 01-01-15

    #275962

    En réponse à : location maison saidia

    Anonymous
    Membre

    Bonjour,
    Je suis actuellement à la recherche d’une maison à louer pas cher qui se trouve au bord de la mer. J’ai pas besoin de beaucoup de chambre puisque je voyage en solo. Est-ce que votre offre est toujours disponible? je pense venir pendant les vacances d’été prochain. Merci

    Cordialement

    #257917
    Anonymous
    Membre

    Bonjour,pouvez vous mettre ou m’envoyez quelques photos ? Quelle est la surface et celle du terrain
    Cordialement

    Anonymous
    Membre

    Bonjour
    je suis de ouled mellouk 50 km de oujda .qqu’un peut de rensrenseignés sur les origine de ma tribu
    merci

    #207129
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    DR IDRISSI MY AHMED
    aamm25@gmail.com

    A Son Excellence Monsieur Le Professeur El Houssaine Louardi

    Bonjour Excellence,
    Que l’année nouvelle vous soit favorable et sans erreurs au ministère !

    Niet Monsieur le Ministre de la Santé !

    Là, vous vous gourez N’âamasse ! Ne sinistrez pas la Santé plus qu’elle ne l’est ! Les dossiers mal hérités, qui vous poussent ou vous obligent de commettre cette forcenée et regrettable erreur ! Sachez calmer, je vous prie, les ardeurs qui vous trompent et qui vous piègent. Et qui nous lèsent, en offrant à la flibuste mercantile, la chair de nos malades, comme on avait offert les fantassins du rif aux canons coloniaux du Nord !

    Vous, Monsieur le Professeur, votre parti, le PPS, le Gouvernement péjidéen en seriez devant l’histoire les architectes, les promoteurs, voire les pathétiques revendeurs de nos chairs ! Rien que ça et sauf votre respect ! On voit mal un excellent praticien, adepte de l’idéologie doctrinaire socialiste, telle que revisitée par pragmatisme et adaptée par consensus aux mœurs du pays et à l’esprit de la nation, céder faute de territoires aux étrangers, l’avenir de toute une profession. D’autant qu’il en est le tuteur légal au ministère, le professeur idoine et le doyen illustre et et le garant du succès de ses disciples.

    Laissez-leur leur travail à nos professionnels, qui sont vos lauréats et vos collègues ! Encouragez-les, à partir de votre Ministère ! Poussez les médecins marocains, vos collègues et vos pairs, vers le succès dans leur magistère, en excipant de leur supériorité technique, de leur formation et de leur savoir faire. Ce face aux étrangers dont on colporte et on vante la supériorité ! Ethnique? Celle de leur simple identité d’étrangers, Le marocain, friqué ou sans arrogance est féru du label étranger. Complexe du colonisé oblige. Vous le savez, et vous voudriez bien qu’on ne vous accusât point de cultiver encore plus ce complexe dénégateur ! Vous détruiseriez nonobstant, ce qu’il y a de plus noble dans la Médecine, l’humain au profit de la rumeur, du bizness et de la fausse réputation. Vous qui les représentez avec honneur, vous avez besoin des médecins marocains pour faire le Maroc et non point de mercenaires ou d’aventuriers pour vampiriser le secteur !

    Tant de travail et de temps, tant d’ambitions civiques et humanitaires, férues d’engouement scientifique, ont été investis par ces médecins et leurs familles. Il est juste et de bonne gouvernance, Excellence, que de respecter jalousement leurs droits. Et aussi judicieux de faire respecter l’adresse et l’ardeur dans le métier de ces privés qui rendent bien service à La Santé, ce Ministère que vous servez magistralement ! Pour tenter de devenir des cadres, vos collègues, ont consenti bien des sacrifices ! N’est-ce pas dangereux et partial que de les sacrifier de la sorte et de jeter aux orties leurs justes intérêts dans leur pays ! Et ce, malgré les longues études sur lesquelles vous avez-vous-même veillé longuement !

    Il n’y a pas que le lucre en médecine. A Casa au CHU, à la fac, aux urgences, en Réa vous n’avez pas connu la dureté matérielle de la moitié des médecins qui opèrent au Maroc ! Celle des généralistes, parent appauvris du système de soins et cinquième roue de la calèche ! Beaucoup d’entre nous souffrent des fins de mois mortelles et terminent très mal leurs cursus de vie.

    Les médecins n’ont même pas de couverture sociale ni de retraite pour leurs vieux jours…Songez-y Maître ! Commencez par cela, s’il vous plaît, à coté des formations post-universitaires, qu’il est temps d’offrir et d’organiser systématiquement dans ce pays !
    Avec un professeur à la tête de ce Ministère, jetez-en les fondements ! On se rappellera de vous comme fondateur ! Et non comme celui qui aura poussé le libéral marocain, à la reddition, devant les appétits féroces des investisseurs, qui pourraient trouver ailleurs, là au Maroc, d’autre créneaux pour fructifier leurs biens, au lieu de parasiter un secteur, longtemps sacré, qui a toujours appartenu aux seuls médecins. Quelle place laisseriez-vous à ceux qui ayant fait chirurgie dans vos hôpitaux, ou complu à dix ans dans vos services, d’orl, de cardio ou de gynéco, et qui voudraient une fois libérés, investir simplement dans leur propre domaine, dans des cliniques, sans se mouiller ailleurs ou se pervertir autrement !

    Est surtout, pitié pour votre beau parcours, car nous vous admirons tant. Et vous le savez Monsieur le Doyen. Nous n’avons pas besoin de vous jeter des fleurs, Si Louardi ! Ne refaites pas l’erreur de la création des cliniques CNSS. Une forfaiture anti ordinale, non réglée à ce jour. Elle aura été pour notre sensibilité éthique, pire que la création d’un certain état colonial et raciste en Palestine ! Libéraux par choix, par culture et par essence, ayant vu hier, l’Ordre dépassé par la forfaiture, nous ne pensons guère autrement ! L’histoire, ‘’ le principe de ne pas être juge et partie à la fois’’, nous ont donné raison, après quarante ans de malversations, de débauchage et d’errements ! Et depuis, de tergiversations !

    Ces Polycliniques, qui tardent à fermer ou à retrouver preneurs locaux, s’étaient ouvertes avec l’arrogance inique de l’ère ‘’saturnienne’’ antérieure ! En bravant l’Ordre d’abord et le Ministère ensuite et depuis toujours, en déviant ses cadres, ces médecins du public, de leurs offices, en tant que fonctionnaires de l’Etat. Cette forfaiture s’est incrustée dans les mœurs, comme une seconde nature, difficile à extirper, tant les passe-droits sont devenus monnaies courantes ! En rabattant sans frein ni pudeur ses malades, en racolant ses médecins, en les déviant, en les empêchant de faire intra-muros, le travail hospitalier pour lequel ils sont payés… D’autant qu’on raconte et qu’on en tait encore, les actes de dilapidation des biens des assurés, par les véreux gestionnaires de la Caisse de l’époque.

    Ce fait, fut un viol en cette époque quasi féodale. Ce forfait de leur création avait créé un précédent. Un forcing pour enfanter un Secteur pirate, bâtard comme il se doit. Lequel avec forfanterie et une arrogance inégalée, déviait les spécialistes et les profs de leurs services hospitaliers et de leurs obligations strictement universitaires. Si des malades et des étudiants ont en souffert, c’est d’une certitude qui se passe de chiffres et de commentaires ! Le passé ne sert qu’à illuminer l’avenir. Et nous espérons tellement de clarté de votre part, Professeur Louardi.

    Cette confusion, ces dépassements, ont contribué à appauvrir les hospices de la Santé Publique. D’abord en privant automatiquement les hôpitaux de l’Etat, les premiers, des apports des mutualistes et des assurés sociaux, d’un pactole non négligeable, qui eusse pu permettre de moderniser les hôpitaux d’alors ! Car ces formations ont été spoliées de la prise en charge des assurés sociaux, des mutualisés et même des malades non assurés,  » des clients », les grands payants disait-on, qui se déversaient sur ces hospices, plus attractifs ! Livrés à un secteur né rabatteur, ils ont été servis !

    On en est encore à chercher des repreneurs étrangers pour colmater la Bavure anticonstitutionnelle en leur fourguant ces unités. Ces cliniques qui doivent commencer à tomber en ruine et à se démoder, ne représentent plus peut-être que des charges salariales et des terrains immobiliers pour les éventuels acheteurs ! Une aubaine !

    Evidemment pour placer de l’argent sale, il n’y a pas mieux comme opération ! Evidemment, les prix de cession resteront totalement ou partiellement dehors ! Sauf miracle ! Mais, de notre part, ce ne sont que des supputations…

    Le Peuple n’a pas encore compris où pourrait le mener cette bavure. Une des exactions qui ont failli ternir encore plus vos prédécesseurs ! Cette extravagance que vous devriez éviter aussi, en tant qu’homme propre ! Sans vous inonder de fleurs !

    Votre opération de vente de la Santé aux étrangers, cette opération serait parallèle à celle des concessions des services par Basri ! Qui plus est, elle se commettrait sur le dos des seuls médecins libéraux. Elle livrerait les marocains malades, ligotés et conditionnés, aux conditions drastiques des investisseurs. Chose ‘’instinctivement naturelle’’ pour le lucre qu’ils viendraient chercher. Les autres secteurs libéraux en seraient soulagés!

    Un investisseur, avec sa m’halla de pontes en affiche, ne viendront que pour le gain, sensu stricto. En dehors de quelque rares cadres étrangers, qu’apportent-ils aux Régies et au Marocains, pour rafler tant de bénéfices ? Augmenter les tarifs, malgré les accords, ils trouveront et les combines et les complices parmi les ‘’honorable conseillers. Quitte à abuser de la confiance aveugle et de l’ignorance des  »indigènes », nos gens seront prédatés ! Vous ne pouvez pas avoir les yeux des Inspecteurs de la Santé, constamment vigiles et sincères, sur les dépassements et les manquements. Seuls critères de gains chez certains racoleurs qui profitent de leurs nationalités, bien introduites et quasi immunitaires, pour s’offrir des passe-droits, si naturels sur le dos des autochtones ! La nature humaine est ainsi faite.

    Seulement là, dans le domaine de la santé, c’est le seul  »secteur libéral » que vous voudriez punir et pénaliser en soldant aux capitaux privés et aux étrangers, un package de malades ! Leurs malades ! On parle volontiers et ostensiblement du savoir faire étranger…Certes ! Est-on réellement selon vous, Maître, si mortellement à la traîne ? Où déjà éteints ? Et à quoi seraient dues nos défections en tant que marocains ?

    Les taxes de TVA et de Douane sur le matos, jusqu’à 37 % ! Nous n’avons pas cessé de les décrier aux plus hautes autorités de la Nation, à partir de l’AAMM. Nous persistons à réclamer pour la Santé une révision des impôts sur les maladies et les soins. Un appel, une supplique pour les Hauts Lieux aux fins de Réforme Fiscale. Cette révision de la législation prédatrice en vigueur, se doit trouver en vous son leader ! Des taxes punitives des malades, indirectement partiales et iniques s’appliquent uniquement sur le dos des malades, respectant ceux qui sont sains ! Elles s’appliquent sans vertu ni équité, pour renchérir l’accès aux soins.

    Ces taxes moyenâgeuses, telles les dîmes et la gabelle, sont une espèce insane de chaînes, de boulets et de carcans, qui handicapent et enserrent le cou des seuls malades. Elles frappent ce qui est essentiels et vital aux seuls malades, leur juste droit à la santé ! Le diagnostic, les soins et les médications en sont bridées. Ces taxes indirectes, sournoises et perfides, inconscientes pour la masse, sont naturellement appliquées avec un sadisme effarant sur les patients ! Appliquées tant sur les instruments, le matériel, les réactifs, les intrants que les médicaments, elles pénalisent tous les secteurs, et les Hôpitaux et les Caisses de remboursement.

    Cette cherté supplémentaire bloque les investissements et la modernisation de par la plus-value, taxative et vexatoire, qu’elle englobe lors des achats. Cette partialité, qui ne frappe que les couches malades est inique, antidémocratique, contre-productive et anti-citoyenne ! Convenez-en, Excellence ! Elles pompent votre budget d’équipement médico-pharmaceutique de plus d’un tiers ! Vos propres achats en sont réduits. Les modernisations nécessaires et les investissements potentiels, ceux de la Santé Publique, la première, en sont inéluctablement affectés, monsieur le Ministre. Prenez-en conscience, de nouveau, Naâme a Sidi !

    Et si retard, il y a en matière de cadres, d’équipement et de services dans les services de santé, tous secteurs confondus, ce serait la faute de qui, Maître ? De ceux qui avant vous, ont détérioré l’enseignement au Maroc ! Comme l’a stigmatisé, avec un magistral courage, Sidi Mohammed qu’Allah le guide ? Et qui plus est, la Santé, notre mère à tous, s’en ressent et vous en êtes l’un des témoins les plus objectifs !

    Ainsi, en ne pénalisant que le secteur médical privé, par la pénétration étrangère, vous acceptez d’épargner de fait les autres fonctions libérales. Par équité, ou par glissement jurisprudentiel, inéluctable, l’Etat devrait leur appliquer la même politique d’ouverture ! Pardon, les offrir à la même curée invasive extérieure ! Et puis surtout, en élaguer ce qui ne servira à plus rien, les Marocains ! Car les Etrangers, sensés être riches et meilleurs praticiens, plus que admirés des nôtres, sont libres d’opérer en leur milieu conquis et tolérant, le Maroc. Il faudra dès lors commencer à fermer ces p….de facultés, que l’on décrie tant et pousser au DVD les enseignants restants ! Et là, retour au sublime et magistral discours de SM : « 

    Cesser de fabriquer des chômeurs » ! Je parle des marocains devenus superflus et inopérants, qu’il faut marginaliser, au profit des Gouares*. Les porteurs de capitaux et les capitalistes, d’origines douteuses, en mal de blanchiment dans notre Eden fiscal.

    Donc, avis aux libéraux de tous les métiers confondus sur cette menace qui plane sur leurs fonctions ! Pendant que les Occidentaux s’enferment et s’enkystent, protégeant les leurs du chômage et des intrus, même européen, nous autres, nous nous ouvrons à eux ! Des vétérinaires aux dentistes, des pharmaciens de ville aux architectes et aux avocats, devraient fermer leurs boîtes et leurs caquets, au profit des groupements d’investisseurs, des Siadna N’sara ! Car l’Etat, en mal d’argent frais, honteusement complexé et déficitaire en cadres, puisque non formés par lui, viendra à leur appliquer la loi martiale, pardon la loi médicale !

    Tous les métiers libéraux, seront à la merci des exo-capitalistes, qu’ils soient du métier médical, ou pas ! Qu’ils proviennent d’ici ou d’ailleurs, ils seront les bienvenus pour chasser ceux qui n’ont étudié localement que pour cela, et qui n’ont comme pays que Ça ! Le Maroc est une belle concession, pour ne pas dire plus de son ouverture intime, pardon de son éventration !

    Les privatiser, ces cliniques et demain les cabinets, par les anciennes métropoles est une sanction pour les pays vaincus. Cette forfaiture nouvelle portera, avec prestance, le nom de celui qui en permettra le premier la pénétration. Ceci est donc un projet de recolonisation du Maroc, par ce Gouvernement nationaliste ! Malgré le fait qu’il ait à sa tête des ministres, des patriotes, qui ont juré fidélité au Roi, pour la sauvegarde de l’Indépendance du Maroc, pour son unité, autour de la personne emblématique et agissante du Roi!

    Seulement cette opération, cette confusion, cette parodie économique, est un opprobre moral ! Elle aliénera les Marocains les plus affaiblis, les malades ! Ceux que vous avez aussi juré, un jour, de servir. Et nous de soigner et maintenant d’en défendre la dignité et les intérêts de ces concitoyens, en tentant de vous expliquer, avec ardeur, notre opinion !

    Cette déconfiture ouvre la voix aux Saigneurs ! Elle crée le précédent, ouvre la porte et la dérive, sur tous les métiers libéraux disais-je donc, en menaçant leur existence, carrément. En justifiant de leur nombre, de leur insuffisance et/ou de leurs compétences on les pousse au chômage ou à l’extinction. Car vous voyez déjà, avec leurs crises économiques patentes, les gens du Nord venir se déverser chez nous. Nous sommes si hospitaliers, si largement ouverts et si bienveillants envers nos anciens colons ! Les Médecins, leurs médecins et autres cadres libéraux, profiteront de nos concessions et de nos faiblesses pour inhiber encore plus la production et la formation de nos cadres. Je ne suis pas du FN, j’abhorre ses thèses, mais je suis conscient des dérives potentielles que cette greffe, que ce bricolage pourraient faire de notre métier, de notre magistère et nôtres !

    Car nous tolérons tout, au nom du conflit du Sahara. Aussi, nous-pénétreront-ils avec plus de libertés et d’engouement encore. Libres de toute cupidité, nous subirons, désarmés par tant de béatitude, les invasions des privés étrangers. Oui, là aussi, ça fera du boulot et de la création de travail….Sic ! Et les nôtres, hé bien, ils iront se réchauffer au Mali ou faire les hitistes* sur les contreforts du Mur ou de la Mauritanie. Je me demande ce qu’auraient fait un Guéant, un Hortefeux ou une Lepen, s’ils étaient des cliniciens marocains !

    Honte à nous et à nos prédécesseurs pour cette question irrésolue des polycliniques ! Je propose comme solution maroco-marocaine que la Santé Publique les prenne, ces cliniques CNSS, au dirham symbolique. Les absorber pour les sauver, avec leurs acquis, leurs malades, leurs médecins et leurs arriérés !

    Cher Maître

    Vendre des sociétés aux étrangers va ! Des terres, ça passe encore. Mais là, des patients ? Les vôtres ? Si c’est offert, c’est un pari antisocial. Mais quelle honte pour ce Gouvernement de récupérer les erreurs et les concepts trompeurs de ses prédécesseurs ! Autrement dit, si ce projet est maintenu par votre équipe, on croira qu’il n’y a plus de nationalistes parmi vous, au Gouvernement ! Aucun homme de sensé chez l’élite de la Nation, pour comprendre le danger potentiel de cette hypothèque, sur ses cadres efficients ! Et ça rapportera, tout ce bazar, combien de millions au Maroc ! Des prunes !

    On croyait Basri mort avec sa permissivité, ses licences d’ordures et d’eaux, offertes aux sociétés de travaux étrangères…Nous sommes incapables de ramasser nos ordures ! On a encore besoin des colons pour nous en montrer le ‘’où’’ et le ‘’comment’’ les déposer ! On aura fait appel à des Ponts-et-chaussées pour combler nos incompétences ! Quid de nos malades, auprès de nos médecins ? Ça avait commencé par Rabat, la capitale du pays  »indépendant », avant d’aller à Tanger, l’internationale, pour s’installer à la Casa ! Casablanca, la noircie, qui a été stipendiée dans le dernier discours du Roi. Regardez les grèves, les insuffisances, les détritus et les immondices. Et ces prix de l’électricité qui deviennent pour le Peuple, exorbitants !

    Encore un mot, maître

    Cependant, les cliniques d’ici ou qui vont débarquer de l’Au-delà, les spécialistes goulus de banalités, les vendeurs en pharmacie qui opèrent les premiers actes, les gestes simples et les soins, tout comme les changements permis sur nos ordonnances, en avisant ou sans en aviser, ce n’est certes pas général. Puis ceux qui filent directement les malades aux spécialistes, en premier! Méconnaissant du rôle familial et préliminaire des généralistes, tout comme ceux des herboristes et des charlatans ! Ça ne les gêne pas, les généralistes. Ça fait partie des dégâts. Délaissés, dénigrés, notre déception est devenue organique. A titre d’exemple combien de médecins ont été médaillés ? Je ne parle pas du Nobel, mais positivement et simplement des Wissames ! Toutes les professions défendent les leurs et les illustrent ? Les nôtres, nous rabaissent, nous écrasent notre patrimoine professionnel avec une exaction terminale dopée d’une offense nationale de surcroît.

    A l’ouverture du Parlement, on ne le dit pas. On ne le sait pas, on ne le sent pas ! Le Ministre de la Santé ne pense pas y mettre de l’ordre, tout seul. Ça ferait tomber l’édifice sanitaire un peu plus vers le bas. Ou carrément chuter le Gouvernement, pour une année ‘’chabatique’’ encore ! Mais ce qui devait arriver, arriva ! Le feu vert de la loi passe au vert en nous grillant.

    Mettre de l’ordre dans des comportements éthiques, au milieu de la confusion générale entre blouses blanches et au sein des compétences diverses, vous n’y pensez pas, ce serait pire et plus dur que les travaux d’Hercule dans nos écuries d’Augias ! La Santé et ses lobbies, est un dilemme complexe et délicat. Mais vous avez eu le courage de l’affronter. Merci Patron !.

    Ce qui fait que cette histoire de cliniques, mercantilistes ou post coloniales, ne nous mord pas, nous les Généralistes privés. Car nous sommes vaccinés après avoir perdu toute réactivité immunologique et toute place dans les agendas des nôtres ! Déçus ou déprimés, désorientés, ayant vu leur métier devenir dérisoire, leur œuvre minorée et leur avenir cassé, plus rien n’émeut ni n’intéresse les médecins ! Une strate sociale, naguère fière, doit subir votre puissant et drastique karma ! En véritables apatrides de la médecine, exilés dans notre ‘’ propre‘’ pays, malmenés, nous n’avons plus aucun espoir, aujourd’hui dans nos cadres, ni dans cet avenir incertain. Et les facultés continueront de procréer des ‘’bacs plus 15’’ pour grossir les factions, fêléesn, crades et criardes, d’en face du Parlement !

    Seulement, il y a comme un sursaut civique quand on voit commettre l’impensable. Ça nous fait mal à notre Pays, qui jette l’opprobre sur ses derniers retranchements ! Et nous n’allons pas faire du 20 Fev, pour amuser les hooligans de la politique ou la galerie des badauds. Ni aujourd’hui, ni demain. Soyez en tranquille, gérez en paix, leur deuil et leur crépuscules. Ils n’en valaient pas tant ! Nous vous faisons confiance encore, Monsieur Louardi, pourtant.

    Maître Baddou avait caressé l’échine des siens ! On avait marché dessus. Ça casse ou ça passe! Matraquées, personne ne les respectera plus, ces blouses blanches ! Trois mille, fussent-ils médecins, furent d’un coup désacralisés, comme des fœtus avortés, des fétus de paille. Le message de la pimpante avocate fut clair. Elle s’est défendue en immolant les siens. Nous n’irons pas tirer des ânes caricaturaux devant le Ministère, ni nous dévêtir ou nous donner des coups devant nos séides du Parlement. Socialement parlant, ce fut une violence contre l’éthique que l’histoire retiendra. Nous ne jetterons pas nos blouses ! Et par respect, nous ne nous déshabillerons pas non plus, devant les caméras du Parlement !

    Car, il s’en va de la dignité, résiduelle et combative, de toutes les blouses blanches. Des médecins et des malades aussi. Car ceux-là, du moins, doivent croire en leurs médecins et continuer de faire confiance aux praticiens que vous formez. Et le deal, ça ne va pas loin en soldant les secteurs clés de la Santé, mais en réparant les dols de ses acteurs citoyens. En nettoyant, en encourageant, en rendant justice. Et en communiquant, ce que vous ne cessez de faire, brillamment.

    Seulement si la reddition du Ministère est totale, et si vous êtes obligés d’être aussi activement permissif devant le mercantilisme invincible ambiant, quels garde-fous restera–t-il aux malades ? Quelles garanties aux médecins contre les excès attendus du patronat ? Ceux impériaux des financiers, parachutés des cieux !

    Les manigances et le snobisme outrancier, les passe-droits arrogants des investisseurs, ont de toujours donné leurs preuves, ici ou ailleurs ? Ce ne sont pas des infos ou des rappels que l’on donne à un socialiste avéré. Il connait la musique, il sait par charisme et idéologie, tout ça ! Leurs dépassements et leurs malversations, ne sont pas des craintes mais des faits, partout où l’on va ! Quelles garanties laisseriez-vous ainsi, à vos confrères vaincus, quand vous ne serez plus là ?

    Monsieur le ministre,

    Le fait de vouloir solder les malades aux étrangers est donc une bavure anachronique. Vous avez l’exemple pernicieux et permissif des autres services municipaux ! Ou autrement, il faudrait nous importer tout un Gouvernement ! Les étrangers sont comme nous et nous ne se sommes pas pires, pour vous laisser vendre notre réputation, nos malades ou notre travail ou celui de nos aides ! Et si les cliniques tombent entre les mains des mafieux, des pontes à l’argent facile, comment leur appliqueriez-vous les lois ? Ce seront eux qui proposeront leur ministre de la Santé, pour défendre leurs intérêts seulement.

    Une incompétence, un manque d’idéal et d’idées, va encore ! Mais, une inconscience antipatriotique, comme celle de la vente de la médecine, la formation d’un 4ème néo-secteur, cosmopolite, extatique avec ses protecteurs dans les pays amis. Nous solder, à l’instar de tel service ou de telle autre concession, est finalement une trahison de la Nation. Une trahison du Peuple qui devrait pouvoir s’honorer en comptant d’abord sur les siens ! Ou qu’on ait rien compris, esclaves que nous sommes des capitaux, malgré nos diplômes ! Et puis, cette affaire est une défection de notre administration et de nos représentants qui manquent de gouvernance, en optant pour le plâtrage…Comme ce fut pour le secteur pluribricolé de l’enseignement. Après le discours de SM le Roi, on devrait en tirer un enseignement.

    Cela rappelle le deal du protectorat des années 1900 et l’appel  » obligé  » aux colons pour éponger nos dettes. Auriez-vous un Abdelkrim au Nord pour vous réveiller ? Et un autre Ali Yata pour taper sur la table, afin de reprendre les valeurs socialistes initiales de votre Parti, et que nous respecterons, lui et ses hommes, ses militants de toujours!

    Dr Idrissi My Ahmed
    Kénitra, le 20 octobre 2013
    Repris le 03 janvier 2015

    #262979

    En réponse à : lycée abdelmoumen d’Oujda

    sebbani
    Participant

    @Driss ABDELMOUMNI wrote:

    Bonjour à tous les anciens du Lycée ABDELMOUMEN
    Je vous souhaite à vous ainsi qu’à tous ceux qui vous sont chers, mes meilleurs voeux de santé, de bonheur et de prospérité en espérant que 2011 soit pour tous une année qui verra se réaliser tous vos souhaits et vos prières.
    Clin d’oeil spécial à Moumen Mohamed et à BENDALI Yahya Azzedine.

    Bonne et heureuse Année 2015 à tous les anciens ( et nouveaux ) du Lycée Abdelmoumen d’OUJDA !!
    Chaque fois que l’occasion m’est donnée de visiter OUJDA , je fais le tour de ce lycée  » historique  » et j’éprouve une forte nostalgie des années 1964 à 1967 !

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Réponse à un article de Nadir Yata
    de ce 24 décembre 2014 sur http://www.lnt.ma

    « Bonjour ….

    Je ne sais pas ce qu’aurait rétorqué Plékanov à cette admirable analyse du Pr Nadir Yata, faite mûrement à posteriori. Lui, cet activiste au pseudo communiste, si féru du forum et si interactif face aux éléments.

    Vous dites,  » passivité inadmissible  ». N’est-ce pas une retenue tactique, si rare en fait à notre époque ? Une précaution sage chez Benkirane, lui qui est d’habitude aussi prolixe que véloce ? Si les autres partis de cette coalition remixée, dont le PPS de feu Si Ali Yata, sont restés précautionneux, après le conseil du gouvernement, n’était-ce pas pour laisser au Roi l’opportunité d’assumer son rôle arbitral ? Lui, qui est le vrai et royal ponte de ce Gouvernement, qu’on incrimine pour des vertes et les pas mûres. Quitte « à faire manger de l’ail par la bouche* de Benkirane».

    Vous dites,  » C’est par les réseaux sociaux, également, que le Souverain choisit de communiquer de façon aussi crédible que non officielle, notamment lorsque sa photo ou ses activités apparaissent sur les « walls » ou les pages virtuelles de citoyens marocains. « . Ah ! Est-ce si sûr que ce soit le choix du roi de taguer ainsi sur les murs ? Lui, qui est sensé s’occuper des cas extrêmement sérieux avec le moins possible de ludisme ? Si ce sont des ballons-sondes, leurs informations tronquées ou amusées, peuvent porter à confusion. La médiatisation, c’est plus professionnel pour les sujets sensibles, afin de ne pas laisser sombrer les véhéments royaux dans les batifolages. Légers ou frivoles, il ne faut pas négliger néanmoins de leur importance et de leur ouverture, quasi libre et universelle.

    Je vous suis quand vous dites, ‘’C’est par les réseaux sociaux que les services de communication du Palais royal prennent le pouls de l’opinion publique. ‘’ A tout seigneur tout honneur ! Et les voies du Seigneur sont impénétrables ! Sauf qu’on ne peut pas dire que c’est à la vue des walls que le roi serait sorti de sa réserve pour sauver le gouvernement de coalition, voire et la tête de Benkirane. La stabilité du pays, en pareille phase, sa réputation de quiétude relative pars les temps qui tournent, ne souffrirait pas, ne supporterait guère, le yoyo d’élections avant terme!

    Vous dites, ‘’ Le patron du PJD a pêché par légèreté et manque de discernement politique, ce qui, en principe, est interdit à tout homme d’État. ‘’ Sauf que, à mon sens, aller à la va-vite et suspendre derechef un ministre, suite au brouhaha de la toile et aux voix des hooligans du stade, aurait été une erreur, une reddition, une bavure, un tsunami.

    Sans vouloir, pour ma part, incriminer avant la fin de l’enquête, (décidée immédiatement par SM le roi), et sans jugement Ouzzine, c’est pécher par excès ! Sans vouloir défendre d’office Benkirane, je salue cette retenue totale de son gouvernement cosmopolite. Elle est pour moi, un point positif. Une maturité, acquise avec plus de discernements et de gouvernance pour ce Benkirane, qu’on veut conspuer. S‘emporter de sa part, aurait été le fait du quérulent chef de parti qu’il fut, et son défaut aussi !

    Assagi, il n’aura fait qu’acte de préséance et non de fracassant emportement. Laissant la juste rancœur sur sa faim et à la honte bue, son dévolu sur l’éthique froide, qu’il faut observer dans de pareils cas ! Il réservait ainsi, contre vents et marées, à la Justice sa liberté entière et son pouvoir de sanctionner. Loin des foules qui pendent aux arbres des twitts douteux les impétrants, le Roi, encore une fois, usait de ses préceptes de son privilège arbitral, pour ôter Ouzzine de ses fonctions. Quel mal y a-t-il à le déférer, cet Ouzzine, devant la justice et à différer nos instincts punitifs et nos revanchards jugements ?

    Lui, Benkirane, en ténor es-qualité du Parlement, est tels ces leaders défunts, dont on regrette la prestance, le bagou et l’éloquence, est devenu soudainement zen. Lui, qui fut si intempestif avant de porter la cravate du pouvoir…

    N’oublions pas le struggle des titans auquel s’est livré notre truculent Chabat, ses diatribes amusées et opportunes, ses ânes de mardi gras et ses coups de poings sur la face du…Parlement. La galerie s’était largement gaussée ces inepties. On se rit de nos fadaises ! Encore, encore dit une voix au plus profond de moi. Vous êtes bien payés, messieurs, amusez-nous au moins, quand vous êtes là.

    Et le large gouvernement de sauvetage et de replâtrage, en fut la lourde conséquence. Nous risquions de donner un portefeuille, à chaque adhérent des partis ayant réanimé ce gouvernement de mutants. Alors, pour une fois, qu’ils sont d’accords ces Partis, laissons leur l’heur de travailler.

    Non, Monsieur Yata, sauf votre respect, Benkirane, tel Moïse et comme Noah, a sauvé des eaux son gouvernement. Sauver son radeau du torrent ! C’est ça la politique, je crois.

    PS : Si je fus unémiste dans les années 66, je ne suis pas du PJD, parce que dans ce texto, je défends telle réserve de Benkirane ou telle prérogative. Ni affilié à aucun de ces 35 Partis qui me donnent le vertige et dont je ne peux, comme eux d’ailleurs, réciter de tous, leurs noms !

    Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 24 / 12 / 14
    Et bonnes fêtes, à tous, dans la paix,

15 réponses de 1 à 15 (sur un total de 1,814)
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