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trucs et astuces pour concerver une bonne mémoire
il existe un lien étroit entre l’alimentation et le fonctionnement du cerveau. Pour favoriser notre dynamisme cérébral et notre mémoire, il est conseillé :
– de consommer des céréales qui contiennent des vitamines indispensables au bon fonctionnement des cellules de notre cerveau (vitamines du groupe B).
– des huiles végétales qui contribuent à renforcer la membrane des cellules de notre cerveau par leurs acides gras insaturés
– du jaune d’œuf et du poisson : les populations qui se nourrissent essentiellement de poisson gardent plus longtemps dans la vieillesse un bon fonctionnement cérébral.
– le cerveau est un gros consommateur de sucres rapides. Le miel, est, à cet égard, particulièrement recommandé.L’alcool est l’ennemi n°1 de notre mémoire. N’abusez pas du café, ne touchez jamais aux drogues et aux stupéfiants : ils provoquent une détérioration physique et intellectuelle parfois irréversible.
– repos physique respectant les besoins de sommeil et les intervalles de repos dans la journée.
– repos affectif : mémoire et affectivité coexistent dans le système limbique. « La mémoire dépend plus de la volonté et du cœur que de l’âge et des études ».(Ph. Baumgartner)
· La fixation des souvenirs dépend en premier lieu de la qualité de notre attention. Sachons écouter sans interrompre notre interlocuteur, lire « le crayon à la main ».
« Apprenons à écouter les autres, dans un monde bombardé d’informations, mais où personne ne sait plus écouter. »
Nous ne retenons bien que ce qui nous intéresse et ce que nous aimons. Apprenons à aimer notre temps, à nous passionner pour toutes les découvertes qu’il ne cesse de nous apporter. Apprenons surtout à aimer les autres et à nous intéresser à eux. Toute personne rencontrée constitue à elle seule un monde passionnant et d’une diversité inépuisable. Pour accéder à ce trésor, il suffit d’être ouvert à la rencontre et au dialogue.Toutes les informations nous viennent par les sens.
· Chez l’homme, la mémoire visuelle est la plus développée.
· Veillons à protéger nos yeux d’une exposition excessive au soleil et aux rayons ultraviolets, à l’abus d’écran de télévision et d’ordinateur. Assurons-nous, pour lire, de bonnes lunettes convenant à notre vue, et d’un bon éclairage. Distinguons « regarder » et « voir ». Voir demande un œil exercé, une attention en éveil. On ne voit bien que ce que l’on cherche.
· Apprenons à écouter, et à parler distinctement. L’audition et la voix constituent un chemin privilégié d’échange entre les hommes. Fuyons tous ces bruits excessifs engendrés par la technique moderne. La musique moderne fabrique des générations de sourds. Lors que notre ouïe commence à faiblir et rend plus difficile la communication avec les autres, n’hésitons pas à porter une prothèse auditive adaptée. Donnons toute la place à la musique, au chant, à la poésie.
La beauté du rythme et des images, la richesse des sonorités apportent une aide irremplaçable à la mémorisation.· N’oublions pas le grand pouvoir évocateur de l’odorat et du goût, sur la mémoire et notamment la mémoire affective. C’est une madeleine trempée dans du thé qui fit émerger de la mémoire de Marcel Proust, tout un monde de souvenirs d’enfance, et le mit sur la voie de la « Recherche du Temps Perdu », son chef-d’œuvre.
· Apprenons à nos enfants à être calmes, à vivre pleinement dans le moment présent. « L’anxiété d’un avenir imprécis bloque notre activité dans le présent, nous fait perdre la joie de vivre du moment présent. »
(Ph. Baumgartner)
Efforçons nous de vivre et de faire vivre notre entourage, dans la confiance et l’optimisme. Apprenons à nous décontracter, à détendre en particulier les muscles du visage et des membres. Nous pouvons, le cas échéant nous aider de Matha-Joga, technique de relaxation pratiquée selon 3 règles : mouvements exécutés avec lenteur, contrôle respiratoire total, détente complète.
Ouvrons-nous aux autres. Communiquer, c’est écouter et parler. « La conversation, voire les bavardages, sont préférables aux renfermements. »(J.M. Robert)
· Notre cerveau, pour bien fonctionner a besoin de beaucoup d’oxygène. Il utilise à lui seul, 20% de l’oxygène de notre corps, alors qu’il ne représente que 20% de son poids.
Apprenons donc à bien respirer, en privilégiant la respiration abdomino-diaphragmatique, et en évitant le blocage respiratoire. Une respiration ample et
profonde, en pleine décontraction, est souvent un bon moyen d’aider à l’évocation d’un souvenir qui nous échappe.
Aérons nous le plus souvent possible, la nuit en gardant la fenêtre ouverte quand la température le permet ; pendant nos temps de loisirs et de vacances, en privilégiant les activités de grand air dans un cadre naturel sans se laisser arrêter par un temps maussade.· La marche, en position correcte, tête droite et sortie des épaules, dos en rectitude, est un excellent moyen d’oxygéner notre cerveau et d’aider notre mémoire.
Fuyons le tabac qui nous imprègne d’oxyde de carbone, comme un poêle mal réglé, et affaiblit notre mémoire.· Faisons travailler notre mémoire.
Pour entretenir les circuits neuronaux où se gravent nos souvenirs, pour établir de nouveaux circuits, il est indispensable d’entraîner notre mémoire.
La musique, le rythme, la répétition sont les meilleures auxiliaires de notre mémoire :
– Exerçons notre mémoire musicale,
– Apprenons des chants et des poèmes,
– Répétons-les à voix haute, en nous efforçant d’en mettre en valeur la beauté.Quand nous lisons le journal, écoutons la radio, ou regardons le journal télévisé, faisons l’effort d’en retenir les éléments principaux, faisons le choix des évènements qui nous paraissent les plus significatifs, les plus porteurs d’avenir ; découpons dans les anciens journaux les articles les plus dignes d’intérêt (ou faisons-en la photocopie…) ; soulignons les passages que nous souhaitons retenir et parlons-en avec notre entourage.
Appliquons-nous, quand nous parlons et écrivons, à employer le mot juste, celui qui exprime le mieux notre pensée. Enrichissons nos moyens d’expression par le choix de nos lectures. Ayons un dictionnaire à portée de la main et consultons-le souvent.
Apprenons à connaître de mieux en mieux notre belle langue française et n’hésitons pas à apprendre ou à approfondir notre connaissance d’une langue étrangère. Apprenons tous les jours par cœur quelques vers d’un poème que nous aimons, ou quelques mots d’une langue nouvelle pour nous.
Apprenons chaque jour quelque chose de nouveau :
« Il y a plus de choses au ciel et sur la terre que l’esprit humain n’en pourra jamais concevoir ».
(Shakespeare)Lisons régulièrement de bons livres, des revues intéressantes. Visitons des musées et des expositions.Participons à des associations ou à des clubs qui nous donnent l’occasion de rencontrer des gens qui connaissent des choses que nous connaissons peu ou mal.
Lorsque nous voyageons, apprenons à regarder et à écouter, à nous passionner pour tout ce que nous découvrons : les gens, la nature, l’art.
Le jeu est un bon exercice d’entraînement de la mémoire, chacun selon ses goûts et ses préférences : belote, scrabble, bridge, échecs, jeux de société dans leur diversité.
« Un muscle qui ne travaille pas s’atrophie ; une intelligence et une mémoire qui ne travaillent pas s’atrophient, elles aussi, encore beaucoup plus vite. Lisez, voyagez, faits des mots croisés, jouez, soyez curieux ; intéressez vous aux gens, aux faits, aux choses. Toute nouvelle question que vous vous posez exerce votre intelligence. Posez vous beaucoup de questions. »
(Dr Aslan)
Sujet: Voici le Bilan du MOULOUDIA
C’est triste, c’est dramatique, mai c’est aussi logique et attendu. Hélas le Mouloudia ne fait plus partie des équipes de l’élite nationale à un moment ou tout l’Oriental décolle. Seul le Mouloudia rame contre le courant.
Après seulement 6 saisons en GNF1 l’équipe retrouve le GNF2, une étape très courte marquée par une lutte perpétuelle pour sauver sa place. Ce ne fut pas une période de gloire. Lahmami et ses acolytes l’ont voulu ainsi. Quel honneur ! Et quel bilan ! Incomparable honneur !
Le plus faible dans toute l’histoire de l’équipe.
Lahmami est venu au MCO avec un projet de 1000 adhérents. Ou sont-ils ? Il a promis de structurer le club ! Il en a combien de sections ? Et combien de catégories se sont imposés dans les championnats régionaux ? Combien de joueurs valables ont émergé de la pseudo école de l’équipe ? et le fameux clubhouse est-il achevé ? que rapporte –il à l’équipe ?
Si on essaie de faire un bilan de ces 6 ans on trouvera la même constante. Et les mêmes déboires
2003/2004 (7eme, 39pts / 15eme RSS 25pts).
2004/2005 (13eme, 33pts / 15eme MAS 32pts).
2005/2006 (11eme, 34pts / 15eme SCCM 27pts).
2006/2007 (10eme, 36pts / 15eme IRT 26pts).
2007/2008 (14eme, 31pts / 15eme FUS 26pts).
2008/2009 (15eme et relégable en GNF2).
Exception faite pour la première saison les échecs s’accumulent pour condamner en chiffre et en résultats l’incompétence des hommes et l’étourdissement d’un raté pléthorique et historique. Jamais un président n’a fait tomber le Mouloudia à deux reprises. A part l’actuel président : l’homme des échecs impossibles.
Cinq saisons qui se suivent et se ressemblent sans que les hommes se rendent à l’évidence et laisser l’équipe tranquille. Les lacunes et les imperfections se sont succédées à un rythme soutenu :
1- Plusieurs dirigeants, par sursaut d’orgueil , claquent la porte avant même que la saison commence alors que ce sont eux qui ont tout approuvé lors de l’assemblée générale.
2 : De son coté l’entraineur Biskri préfère fuir avant d’assumer toute responsabilité.
3 : Prêter Berrabeh en mi-saison au moment ou l’équipe avait besoin de son meneur de jeu laisse plus d’un perplexe.
4- Recruter des joueurs (Fantômes) , incapables de donner une passe exacte.
5- Un entraineur « Karkach » qui sait juste donner des déclarations au lieu de ficeler des schémas tactiques.
6- Azhari (Gardien de but de l’équipe) est le seule qui a le secret de ses sorties hasardeuses qui ont fait descendre l’équipe. Avant lui Charef fut accusé d’avoir triché. Il semble qu’il y’a des personnes au MCO qui doivent visiter un ophtalmologiste.
7 : à cause de l’arbitrage le MCO a perdu contre le DHJ mais grâce à l’arbitrage il s’est imposé face au MAT.
La saison prochaine commencera en Septembre et celui qui pense que le Mouloudia peut vite rebrousser chemin est trop imaginatif.
Il faut d’abord juger les responsables de ces échecs avec des audits du ministère des finances. Les juger surtout sur leur bilan. Le Mouloudia n’est pas l’affaire d’une poignée d’adhérents qui n’ont rien compris des lois. Les lois sont faites pour aller de l’avant. Pas pour massacrer le sport dans une ville frontalière. Les redoublants on les renvoie de toutes les écoles du mondeSource ; Oujda-ma.net
Sujet: Visitez mon nouveau blog
Mes chers amis, surtout mes fidèles lecteurs , je tiens à vous faire savoir que j’ai ouvert un blog .Aussi,je vous invite à le visiter .
Pour votre information, il y a des nouvelles de Jelloul .Il y a aussi des nouvelles sérieuses et des poèmes .
J’espère que vous serez nombreux à le faire .Cela m’enchantera plus si vous écriviez des commentaires .Comme ça, vous augmenterez mon « rank » .
Figurez-vous que ce blog offre des points au propriétaire du blog pour chaque visite et chaque commentaire et ceci chaque jour.
Faites moi plaisir et le votre bien entendu; puisque vous allez passer de joyeux moments de lecture, et rendez-moi visite quotidiennement.
Merci, les amis et grand merci à ceux qui sont fidèles
Avant de vous quitter je vous donne mon lien :http://jelloul.adventures.rigolades.over-blog.com/
Petite note (23:45): je m’aperçois qu’aucune visite n’a été faite de votre part.
C’est vraiment décevant !
La preuve: pas un seul commentaire !
Pour le moment, je n’ai qu’à attendre , on verraSujet: sécurité à Oujda
ça devient un vrai problème : à l’intention de la Wilaya d’Oujda
L’ancienne médina, en allant de l’entrée de la rue de Mazouzi jusqu’ au souk de Tanger, est devenue un espace ouvert à tous les dépassements. Désordre total, commerce illégal, marchands ambulants qui gênent passants et commerçants, délinquants en quête d’agressivités sèment la panique et la peur aux sus complaisants de certains responsables. De leurs cotés les charrues de toutes les espèces ont complément envahi le centre ville. A l’instar des figues de barbarie vendues en plein boulevard Mohammed V.
Cela à engendrer des comportements négatifs de la part de l’ensemble des intervenants dans la gestion de la chose publique, la protection des citoyens et le maintien de l’ordre.
Ce qui s’est passé Samedi dernier aux alentours de 10 h du matin à route Mazouzi et qui a obligé un policier à user de son arme pour se défendre, est un exemple du lot quotidien d’agressivité et de dépassement. Plusieurs citoyens ou agents de l’ordre sont sujets à de telles intimidations. Souvent ils ne sont pas protégés ou le sont mal malgré. Le travail en profondeur de certains « Oulade Annasse » ; qui font leur possible pour protéger le citoyen et maintenir l’ordre public ; doit être corroboré par des actions d’envergure.
Faut-il alors n comme réclament quelques inconscients, munir chaque citoyen d’une arme pour « accentuer le désordre » ? La réponse est catégorique : NON.
Seulement il faut déterminer les causes et spécifier les responsabilités. Le Maroc étant un état de droit ne peut tolérer ce « jemenfoutisme ».
La cause c’est qu’on a perdu la solidarité d’antan. « Machi Choughli » Ce ne sont pas mes affaires ; s’est forgé en principe et en idéal alors que c’est la solidarité qu’il faut cultiver pour assurer une réelle mise à niveau protectrice du citoyen.
Revenons au dernier fait divers : Samedi matin alors qu’un policier, accompagné d’un « moukhasni » accomplissait son devoir, il fut menacé par un repris de justice qui faisait sa loi en usant de son arme blanche aux alentours de Souk Laghzal. L’agent voulant le neutraliser s’est vu menacé pour de bon. Il usa alors de son arme. Des balles furent entendues et le forcené s’écroula suite à des blessures aux jambes.
Avisé, le parquet en charge de ces affaires ordonna l’évacuation du blessé vers l’hôpital pour recevoir les soins nécessaires avant qu’il soit mis sous observation policière. Une enquête fut ouverte pour déterminer les circonstances exactes de l’incident. Rapporte une source policière.
Sujet: Le prix d’une cigarette
Dans un café, deux amis sont entrain de siroter un thé à la menthe.A un certain moment, l’un d’eux se met à fouiller dans ses poches quelque chose qu’il ne trouve pas.Aussitôt, il s’adresse à son compagnon:
_ » T’as pas une clope Samir ?
_ Désolé, je n’en ai plus; et puis, j’ai arrêté de fumer depuis hier. »
Cette réplique ne paraît pas satisfaire Farid qui reprend d’un ton grave et moqueur :
_ » C’est du nouveau, ça ! »
Puis, il continue à voix basse:
_ » Peut-on savoir qui t’as poussé à te priver de ces délicieuses bouffées dont tu vantais tant le goût ? »
Samir ne semble nullement contrarié.Aussi, il répond tout de go:
_ » Mon cher Farid, j’ai arrêté de fumer et c’est tout !
_ Comme ça ! Mais, c’est pas possible !
_ Tu as peut-être raison, mais avec une grande volonté, on arrivera sûrement.Moi, par exemple…. »
Farid réalise aussitôt que son interlocuteur est allé un peu loin.Lui, il n’a pas du tout envie d’écouter les arguments de son ami.Pour le moment, son seul soucis est de fumer ; fumer n’importe quoi? Aussi, il interrompt Samir:
_ » ça, tu me le raconteras une autre fois.Maintenant, passe moi cent balles; voilà justement , Aziz, le vendeur de cigarettes en détail.
_ Désolé une seconde fois, je n’ai pas de monnaie sur moi !«
Cette fois, Farid est furax:
_ » Ma parole, tu me provoques!Allez, aboule vite !
_ Quoi ?
_ Enfin, Bon Dieu, tu veux me rendre dingue ou quoi ?
_ Ecoute-moi, Farid, et calme-toi: puisque tu connais bien ce vendeur, il te donnera sûrement quelques cigarettes à crédit.
Et d’ajouter:
_ » Tiens, je vais l’appeler. »
Samir fait signe du doigt à ce dernier qui accourt aussitôt vers les deux amis.
Mais, en apercevant Farid, le « détaillant » lui saute au cou :
_ » Je te tiens voleur et, tu ne m’échapperas pas cette fois ! »
Tout d’un coup, il l’empoigne par le col de la chemise et lui crie au nez:
_ » Paie-moi ce que tu me dois, sinon ça va être ta fête ! «