Résultats de la recherche sur 'cherche ferme'

Forums Rechercher Résultats de la recherche sur 'cherche ferme'

15 réponses de 1 à 15 (sur un total de 181)
  • Auteur
    Résultats de la recherche
  • DR IDRISSI MY AHMED
    Participant


    Heureux les riches, ils ne font rien gratuitement !
    Les coursives de la pensée entre les êtres et les choses

    Les chroniques différées de Mme Student. Résumé de la situation.

    Vannes et boycott

    La kabbale des protestataires spontanés ou le boycott des refuzniks légitimes. Les prix excessifs et usuraires, finissent par nuire au développement, comme ils handicapent les progrès, en versant dans l’irrespect des droits et de la dignité des citoyens.

    Sahara, libertés, premier Mai et Ramadan ! Dans les coulisses de la médisance stérile et des vannes dédaigneuses, dans les ravins des bidonvilles des ‘’massaquines’’ et les corridors des ‘’affamés’’, de superbes ‘’Jiânines’’ braient face aux prestigieux milliardaires ! Et les dites ‘’mauviettes’’ hermétiques du Net, logiques et vraies, hurlent poliment et avec constance, en dénonçant et les infamies usuraires et les prix exorbitants !
    Le peuple du Web, ces petits consommateurs, mais grand râleurs, avancés et intrépides, face aux saigneurs, usent d’une arme nouvelle, le Web ! Une formule nouvelle de lutte et d’appels, pour un boycott, ô stupeur, quasi généralisé ! Une excroissance difractée et polymérisée, qui pénètre par les phones enflammant tous les foyers !
    Et les richissimes cadres et ministres n’ont que leur bonne bouche pour braver et rétorquer ! Les illustres cadres, blessés dans leur amour propre, menacés dans leur recettes et autres rentes permissives, veulent sécuriser leurs statuts sans rien céder ! C’est naturel ! Comment il leur faut-il, en tant que ministres concernés, apaiser le souk qui hurle sur la Toile et les renie ! Al Hoceima et Jérada ont servi de modèles aux hordes déchainées, avec les risques publics et les peurs nationales que l’on sait !
    Avec qui leur faut-il palabrer, dans cette ombre ombreuse ? Avec qui, quels syndicats, quelles associations, quels partis dissimulés ? Parler dans le vide, après avoir raillé et insulté ? Dialoguer et composer, mais où ? Car il faut le faire vite, avant que ça ne se dégrade ou que ça ne s’amplifie.
    Qui ramasser par leurs amis du Makhzen ? A fortiori, pour leur sécurité et dans le cadre de la rigueur sereine et respectueuse de ce Makhzen, si nécessaire, mais souvent accusé. Le Pouvoir, dont ils sont les gardiens, les élus, les zélés, les ailes économiques et les bonnes issues !
    Qui arrêter, qui juger pour troubles de l’or particulier et de l’ordre public ? Ce alors que la ‘’rue’’ virtuelle impacte ou sabote l’économie dans le réel et pour de vrai et qu’on la stipendie et vilipende, sans arrêt ! Comme autant de ‘’troupeau’’ et de ‘’mdaoukhines’’. Des déments ou des drogués ?
    On peut relever des paramètres socio-anthropologiques, dignes d’analyses diligentes et de décisions urgentes, mais aussi ces miasmes putrides, ces mots ces injures, qui viennent d’en haut et qui sont si bas, qui sont si néfastes et certes, à condamner ! Mars, le dieu romain de la guerre cherche en ce mois de Mars la guerre en Maurétanie Tingitane ! Que de siècles d’erreurs et de progrès humains oubliés !
    La prodigalité, les faveurs, les dépenses s’opposent aux sacrifices de ceux des classes médiocres ou moyennes qui enrichissent ceux-là mêmes qui appliquent aux produits de base, des tarifs abusifs voire outrés ?
    Le Net réveille, le Net parle, le Net boycotte, mais personne avec qui discuter ! Il faut donc que les correctifs proviennent des usines et qu’ils soient établis, sous le regard des services autorisés, actifs et vigilants de ce gouvernement, où les concernés ont leur digne place ! En urgence, afin de convaincre et d’apaiser, et qu’ils soient établis en parallèle avec le benchmark et les prix standards, ailleurs usités.
    Ce geste d’adaptation des produits visés par le boycott se doit d’intéresser par la baisse de tous les autres produits de leurs séries ! Il devra toucher les légumes et les fruits, les viandes et le poisson, pour aller de l’épicerie, au médecin et à la pharmacie et surtout prix des régies d’eau et d’électricité !
    La paix sociale, le civisme, le patriotisme, sont à ce prix, car, nous sommes guettés par les actes de dépit des chômeurs que de guerres, tant face aux terrorismes divers que d’avec les maestros et les agitateurs du Polisario ! Oui messieurs, dames des parlements, des partis et du gouvernement ! On n’a pas participé à la Marche Verte pour laisser péter le pays et la nation, à cause de l’eau, du lait ou du pétrole !
    La baisse des prix ne doit surtout pas être une plaisanterie, de quelques dirhams, trop vains, trop mesquins, trop insuffisants, pour convaincre, mais assez ostensibles et pompeux, pour tromper sans jamais apaiser.
    Or, le risque de créer un précédent, peut devenir une mauvaise habitude chez les consommateurs. C’est à croire que ce serait antinomique des conduites de gestions habituelles précédemment usitées. La bonne gouvernance, comme elle a cours et qu’elle se produit, se doit aussi d’évoluer, même si les principes psychologiques, sociologiques et sécuritaires antérieurs sont stricts et aguerris.
    Constitution, démocratie, libertés, transparence nouvelle, Constitution, importent localement et dans le regard des autres pays qui nous attendent ou qui nous surveillent avec acrimonie, comme ils interfèrent avec nos propres critères et notre gestion de nos libertés, qui plus est sur l’intelligence et l’évolution de nos cadres respectables et hautes autorités.
    Ce spectacle est déplorable. Silence et sagesse d’un côté et en face les paradoxes industriels et commerciaux d’autre part, dans un théâtre de schizophrénie politique et médiatique qui s’opposent, sans baisser ni le ton ni les armes ! Une partie du Peuple, engagée avec spontanéité, comme si elle n’attendait que ça ! Une logique, vraie, défensive à juste titre contre les excès sur les prix et dans les dires. Un ensemble d’ingratitudes et de cris, blessants par endroits, mais qui restent respectueux de la Constitution et des valeurs de notre nation.
    L’abus de privilège et de monopole, le trafic d’influence et le népotisme, le libéralisme sauvage, sont des formes d’opportunisme et d’asservissement des masses. Ces procédés déloyaux, prédateurs outranciers, sont décriés par les médias pour être contraires à la libre entreprise et à la justice sociale.
    Ce conflit d’intérêt existe, il est patent. Il est massif et ubuesque et exorbitant. Il se situe entre les businessmen, détenteurs de portefeuilles ministériels et d’amitiés au sein du Gouvernement et le peuple du bas. Un milieu nutritif, un marché réservé, sur lequel s’appliquent leurs prix, quasi monopolistiques ! Qui plus est, leurs directives, leurs amitiés fortes et leurs lois.
    Des dérives et des exactions, des profits exacerbés du genre colonialiste empiré, seulement ! Ce sont des excès à corriger pour la Patrie, car ce Pays n’est pas une jungle, réservée pour la peau des lions ou le cuir des éléphants. Voilà la leçon du boycott et de la morgue qui lui est réservée. Et des impressions, logiques ou subjectives, que je veux émettre par acquis de citoyenneté !

    Les petits et grands maux selon les propos de Mme Student

    Et à ce propos, voici ce que la revenante, Mme Laure Student vient appuyer de sa douce France. Son Eden jalousé, sa patrie civilisée des droits de l’homme, voire de trouble-fêtes ou de troublions de l’Otan, impénitent guerroyeur d’Orient et à Trump actuellement affiliés ! Malgré cela voici ses mots !
    Les entreprises, les usines et les banques, ont tellement poussé dans nos villes qui s’étendent comme les galaxies de l’univers ! Les immeubles asphyxier, rues étroites qu’ils cachent le ciel et obstruent l’espoir…Qu’en est-il chez vous les maghrébins qui avez un long parcours encore à faire. Spécialement dans les villages encore rustres et les villes bidonvillisées ?
    Il y a du boulot pour les grandes entreprises mais où sont vos revenues ? Vos créations, vos productions concurrentielles, où sont-elles pour vendre et briller ? Vous ne faites que boire et manger ! Encore que ! Vos dettes sont importantes, malgré les dons de vos mais ! Et vous êtes, côté crédits lourdement handicapés, car vous êtes en guerre pratiquement depuis vote indépendance ! Et vos adversaires ne cessent, face à vous, de se suréquiper et vous dépasser et vous vous sentez menacés !
    Et vos gourous, vos entreprises libérales et ouvertes, certes, qui plus est vos ministres aussi élogieux soient-ils, chez vous ou chez nous, augmentent les prix de vos premières nécessités et denrées ! Eau, viandes, légumes et lait ! Pourquoi ? Malgré sa baisse à l’International, votre pétrole se hausse des fois plus que chez nous !
    J’ai lu vos plaintes et entendu parler de la vague du Net qui crie et vous fait insulter ! Comment expliquer que 80 % des vôtres veulent émigrer ? Ou ceux des nôtres qui veulent venir vous visiter souvent ? Les faits sont paradoxaux. Celui d’habiter ou d’exister encore dans ces beaux lieux, est un deal ! Là, sous les insultes publiques et l’emprise richissime et vultueuse de ces braves gens qui nous représentent ! Qui devant nous vous représentent mais qui vous traitent comme du rebus. J’ai entendu de vous être un peuple ‘’m’khalaf’’, de ‘’m’dawakhines’’ et de ‘’Jiânine’’, des affamés, en sortes attardés ! C’est pénible à entendre pour la prof de français que je fus chez vous !
    Un ‘’troupeau’’ d’électeurs, des ‘’ apaches ‘’de ‘’l’Istihmar’’, des ‘’ânes’’ patentés donc, qui se doivent de boire leur pétrole, leur eau et leur lait de vaches ‘’attardées’’, afin d’évoluer dans leur fermes, ou leur basses-cours, en toute liberté. Et de voter pour eux ! Là, la française que je suis, nièce du maréchal Lyautey, fille de Voltaire, Racine, Molière de Rousseau et de Montesquieu, ne peut admettre qu’on dise cela de mes vieux amis marocains, si prospère, si propre et beau, si intelligent et huppé de parmi les grands soit-on !
    Et pourtant, mes chers, la Démocratie est là, avec ses Urnes, ses Parlements et son Gouvernement, ses syndicats et ses associations, qui doivent protéger le pays et ses gens ! Certains en suffoquent et sifflent les partitions infâmes, au lieu de respirer cet air de paix et de libertés, de bonheur, de fierté et d’aisance, qui sans être les leurs, les leurrent, malgré le jihad économique qui fleurit ici, mieux qu’ailleurs !

    Mic mac autour du Sahara

    Une fois de plus, le sérieux, la crédibilité et la prééminence s’imposent contre les adversaires. Le premier ennemi est l’ignorance, le second l’égoïsme, le troisième l’injustice. Aggravés qu’ils sont par l’arrogance, les passe-droits et le mépris. Beaucoup reconnaîtront ce qui se passe en nous et autour de nous, allant de la sociologie à la philo et de l’histoire à la géographie. Si vous avez pensé à quelque chose ou à quelqu’un, vous avez raison.

    Perfidie et incompréhension : « Le Maroc rompt ses relations avec l’Iran. Car le Hezbollah, allié de Téhéran, soutient militairement le Polisario ». Et si on devait généraliser cette conduite ? Poussez le raisonnement un peu plus loin ! Enfin, juste à côté ! Beaucoup en seraient heureux. Le Dernier Jugement avant l’Apocalypse !
    Heureusement que des groupes de pays, avec une surprenante vélocité, se sont immédiatement distingués en se solidarisant avec le Maroc, face aux menaces de ses adversaires. A citer les groupes arabes, islamiques et africains qui se sont prononcés pour nous appuyer face aux dérives bellicistes envahissantes de nos contradicteurs et de leurs commanditaires.

    Les dire des petits Muppet Show

    Entre temps ma petite fille Nour, me dit que si l’on arrête de boire de l’eau, du lait et des dérivés du lait, et d’utiliser du pétrole que c’est un deal improbable et que les riches qui les produisent ne céderont pas pour garder la mains sur les consommateurs qui se lasseront d’une lutte, d’une guerre ringarde et inégale et que ce concours de bras de fer finira par être gagné par les gens riches et puissants qui dirigent l’administration et le gouvernement. Elle n’a que dix ans. Est-elle bien informée ou que déjà otage et prisonnière du phone et des produits de consommation, sa combativité est ramollie ou vendue.
    Adam, lui, refuse l’assistance de la maîtresse. Cette étudiante, qui vient lui expliquer deux fois par semaine ses leçons scolaires. Résister, lutter pour arriver, travailler pour comprendre les difficultés et les dépasser. Réussir finalement, est comme un sport difficile, tel celui des alpinistes qui grimpent les montagnes élevées malgré tous les reliefs. Et là, on a besoin d’un guide, d’un soutien, d’un coach pour nous instruire et nous expliquer ou pour nous accompagner durant ce combat qui nécessite volonté, concentration, mémoire et persévérance. Pour peu, il la mettrait sur la liste des liquides, des choses et des gens boycottés ! Eau, lait, pétrole, maîtres, ministres, valets !

    Tandis que Coco, le beau coq gaulois, qui est bien un envahisseur, est un infiltré du même gabarit que ses congénères ! Si bien adapté aux nôtres, il me fait les mêmes coups que ceux de la basse administration. Moi qui lui ai donnée, puis livrée, les pattes liées, une poule brune ! Une femelle, une jeunesse intacte, bent darhoume, qu’il a conquise et éclatée en lui faisant pondre douze d’œufs, en moins d’une semaine ! De quoi la foutre dans un coin, un réduis, une cachette, une cage naturelle finalement, derrière les tiges des bignones de la clôture, pour la forcer de couver sa progéniture ! Sa descendance ! Un rôle de femelle que beaucoup des nôtres respectent pour la bonne répartition du travail entre hommes et femmes ! Pour la culture, l’élevage, l’éducation, et pas pour l’héritage égalitaire ! Allez les filles, allez sur le Net, vous aussi pour râler ! Les awacs des Awkafs se souviendront des révisionnistes de nos textes sacrés !
    Mais voilà que l’infâme picoreur, au bec de vandale, est en train de faire le zouave, le seigneur, l’émir du Moyen-Orient en faisant une descente sur mes terres fleuries ! Pour peu, il en appellerait à nos chanteuses et autres danseuses du ventre pour ses fêtes interminables dans nos permissives, lubriques, luxurieuses et sardanapalesques villas ! Je fais appel à Nabil Ayouch, à ses Much loved Loubna Abidar, ses nouvelles lubies fantasques et crédibles à la fois, afin de tourner des films vrais, crus mais pas très visibles par les pudiques et les schizo-fanatiques de la culture cinématographique, sans salles de cinéma ! Alors qu’il n’y a rien d’érotique à glaner là-dedans et que le pire est ailleurs, avec plus de frasques et d’obscénités. Là, dans nos impasses, sous nos platanes et au bord des trottoirs de nos avenues !
    Il ne les déshabille même pas, le ptérodactyle. Il les bouffe mes pauvres fleurs, cet effroyable ogre d’Occident. Une razzia sur mes plantes ! Oui, celles-là mêmes que je viens d’acquérir et de planter. Des fleurs locales, bien plus chères que les vaniteuses et ostentatoires plumes du Coq faussement hexagonal! Que faire face à ce touriste, obscène sauteur de mur et sans visa ? Ce volatil qui fraie sur mon dos qui a élu domicile chez moi ? Le renvoyer lui et ses gauloiserie, loin de ma cour, à son tas de fumier d’origine? Le mettre au panier ! Le couvrir d’une gouffa* locale et le donner aux dieux lares, en offrande à Jupiter, avant l’Aïd et le Ramadan?

    Le coq, symbole de la fable de Student

    Univoques et inéluctables protecteurs, ils sont souvent comme cela nos célèbres et riches amphitryons. Ils agissent comme en pays conquis, à l’endroit de leurs hôtes indigènes ! Ils foutent de la merde, comme dirait monsieur Trump, comme si de rien n’était, et ce même dans les endroits propres ou les lieux saints ! Comme si des affaires succulentes et prospères pouvaient monter là-dessus ou pousser là-dedans ! Le problème reste posé à Al-Qods et dans bien des régions de cet Orient ou d’Afrique que les grandes puissances, d’essences impérialistes aux relents coloniaux, qui le bras long, manipulent, fomentent, faisandent, fermentent et formatent et font ployer les nations et les états, pour leurs étroits et égotistes profits, qu’ils disent et vendent comme ‘’ civilisateurs, démocratique et humanitaire’’ ! Sic !

    Tel est encore le cas des richards repus et contestables, qui veulent me déloger de mon boulot et toi de ton île grecque ou de ton bout de désert que tu appelles Syrie ou Sahara ! Bientôt de ma ville, de mon pays, de mes passions et de ma religion ! Et toi de la surface de la Terre ! Parce qu’ils sont riches et aptes à faire des affaires sur nos propres destins et nos vies intimes ! Que de couples se sont formés dans les nouvelles sociétés crées chez vous Grâce à l’ouverture de notre pays, de son hospitalité tolérante et à son sens de la coopération win-win. Du coup de quoi suis-je responsable devant Dieu ? Si n’importe quels Hachachines ou pétro-arrivistes démontent, dénaturent ou obvient mon propre cursus dans la vie en interférant radicalement mon destin !
    Ils ont les moyens de bouleverser les habitudes et les destinées de chacun, et puis de se jouer de l’existence de milliers de gens ! De déclarer la guerre, leur usufruit, et d’envoyer les fils des prolétaires sur les fronts. Partout où ils veulent et que cela leur rapporte ! Surtout là où leurs affaires pourraient se crisper devant de simples règlements ! Des idées, des actes qu’une dose de bonne psychologie, appelez ça diplomatie, pourrait les sortir de l’intrigue ou de l’impasse où leurs affaires sont parties prenantes !
    La dépendance avisée ou l’Afghanistanisation*! Parlant de nos pays et par extension, du coup les planètes iront chercher d’autres ‘’astres protecteurs’’ que leur Soleil, ailleurs dans une autre galaxie !
    La loi locale est l’alliée de ces sublimes et extatiques amis de nos crésus ! Les riches bandes et régions de ce lit-berceau qu’est notre monde. Elle, (la loi ou le devoir), leur obéit, d’autant qu’ils siègent dans le Labyrinthe ! Pas loin de Zeus qui a changé d’Olympe ! Comprenez leurs Onu et Otan, comme maîtres décideurs indécrottables et parrains exigeants ! Ils végètent là et ils sont les vampires et les flambeaux. Ils sont les éditeurs uniques et les prescripteurs jaloux du nouveau livre de Nicolas Machiavel. C’est dans leurs coursives où l’on décide de nos politiques et de nos destins, de qui doit aller au paradis ou qui doit rester là ! Leur emblème est justement ce Coq qui devrait être hissé, en statue guerrière et conquérante, sur les frontons des malls, pour illustrer leur insatiable mais étroit panthéon.

    Les leçons des gosses

    Regarde Nour, ces rangées et ces files qui bougent sur le balcon. Des fourmis qui, à la queuleuleu et sans arrêt, traversent murs et jardins, allant des abords immédiats de nos chambres à leurs fourmilières.
    Ils sont omnivores comme nous ma fille ! Leur menu…Des tiges des fruits, leur queues, qu’ils grignotent pour faire tomber les pommes, les poires ou vos avocats, aux insectes et autres bêtes, la chair qu’ils grignotent et qu’ils ramassent pour alimenter les-leurs.
    La reine invisible, la belle qui sans roi, ‘’enfante’’ en silence! La reine discrète qui met bas et qui pond des œufs, sans arrêt ! De futures fourmis qui grouillent comme des larves dans les bas-fonds et les souterrains. Là, sous tes pieds, lecteur. Ou là, sur les draps et le corps de cet homme mourant… A la cité, près de la mosquée aux cigognes, non loin des cimetières des trois religions…Et de la prison où vivent logés, nourris, blanchis et bien gardés, des voleurs et de grands criminels ! Des assassins, mais aussi encore des opposants.

    Des fourmis aux bulles d’air, en effervescence. Elles flottent avant de s’éclater. Elles prennent toutes les libertés pour exploser, dans un désordre apparent. Et ça bouillonne à fleur de verre, dans la bière, le vin, le jus ou la bonne eau ! C’est un peu comme la vie la société, l’économie, la politique et les passions. Les anciens l’ont dit, tout passe. Mais où sont-ils déjà, nos sages ancêtres ? Edéniques, fils du fratricide Caïn, primates évolués, guerriers barbares, complotistes ou quels qu’ils soient ?

    Appel du cœur à une grande dame

    Ô Meriem, arrête tes abus ! Laisse les boire à leur soif de ta bonne eau ! En te remerciant, je te suggère, par respect, vu ton travail, ta carrure sympathique de cadre avertie, ta calme dignité, d‘oser la première et de faire un brave geste. Car tu n’as besoin de rien pour bien vivre ! Ça se voit, comme pour ma cousine du Souss…L’Akwa ? Je le sais !
    Trop de fric nuit à la santé des propriétaires ! Et trop d’argent, dis-moi, ça sert à quoi quand on jouit de tout ? Mais, quel est le pays d’origine, l’essence, de ceux qui ont sorti le slogan qui relie l’Ona au lait binational et à l’eau de source ? De grandes sociétés, respectées ou vénérées, sources de bienfaits et de nécessités, sont brutalement indexées et jalousement traquées ? Question de prix pratiqués ! La nouveauté, c’est le Facebook, quasi virtuel, qui s’attaque à la réalité ! Sans attaches politiques pour ses débuts, il voit des partis connus, chevaucher la vague tsunamique du mécontentement, pour le renforcer, le formater et le crédibiliser ! Les sociologues ont du pain sur la planche et les grands Partis des choses, des tactiques et des méthodes nouvelles à apprendre !

    Un petit coup de métaphysique

    De la spontanéité banale naissent la philosophie, le programme et l’action.
    Insectes en tous genres, bulles, eaux et leurs hôtes microscopiques, intention, vies, utilités et buts ? Combien sont-ils ? Les premiers insectes, qui ont à mon souvenir de fac un poids d’acides nucléiques et de protéines considérable, dépassant la masse de tous les êtres humains. Compare-les aux sphères d’air et/ou de gaz suivantes, qui éclatent dans le nez ou sous les yeux.
    Que dire de leurs consciences, d’êtres, aussi insectes élémentaires et primitifs soient-ils ? De leur propre vie, comparées aux nôtres, aussi prince arabe que Trump soit-on ? Que dire de leurs de leurs buts et consciences ? Celles de chacun, de leur but collectif, eux qui vivent depuis des milliards d’années ? Bien avant les vertébrés, ces ‘’humains’’ et ces ‘’bêtes’’, qui cumulent les deux appellations ! Des actes individuels, les trajets courus, les fins visibles ou pas, dépassent le but de chacun de ces ‘’pointillés’’ mouvants et hyper mobiles que chacun a pu écraser, nonchalamment un jour !
    Sinon à coup d’insecticides. Et on en vend de par le monde, des supers armes et des ‘’produits homicides’’ ! Des armes de tous genres pour pousser les parasites et ou pour laisser les bêtes inférieures s’entretuer…Afin et pour ne pas envahir les meilleurs !

    Des bombes sur les insectes

    Ces êtres sont dits inférieurs, mais on est toujours les inférieurs de quelqu’un ! Demandez aux impérialistes ce qu’ils pensent de ‘’l’homo ridiculus’’ d’Afrique ou du Moyen-Orient ? Ces bons à gazer pour les dégager de leurs gaz et pétrole, avant qu’ils ne deviennent, selon eux, des revanchards, dangereux pour leurs cousins sémites. Ces riches et intelligents et évolués cousins, tels que réinjectés, après Hitler, sur les terres de litiges, évacués des leurs !
    Est-ce aussi important que nos actes farfelus, nos guerres, nos jeux désuets, ou nos jouets pervers dans cette vie ? Celle dont chacun jouit ou qu’il endure, et qu’à ce qu’il lui semble, il n’aurait pas choisie ! Des ‘’vies’’, là dans ces navettes de passage, ces corps fongibles, maladifs ou beaux, ces gadgets appelés, ‘’ corps ’’. Mon corps, comme le perçoit chaque humain durant sa vie. S’il n’y ajoute pour le compliquer et sans les voir, ni les montrer, un esprit, une âme et peut-être plus de spectres résidents, mais invisibles ! En moi, en eux et en toi !

    Comme toi pour ton argent, bloqué ici ou ailleurs, dans les paradis fiscaux, ces banques d’outre mers et océans. Paies-tu des timbres de quittance dessus ? La bourse, elle aussi est dans la poche, libre de toute pression et aucunement taxée ou timbrée.

    Mystique et déontologie

    Je suis dans le même état que toi, concernant mes patientes et en accord avec le code de déontologie. Je ne veux pas donner des noms, ce serait comme un délateur ! L’éthique et la protection de l’intimité dans le cadre du respect des libertés !
    Ça existe encore des vétérans qui croient en ces dix versets et bout de parchemin ? Cette table fossile de Moïse qui pour certains qui ne représente plus rien !
    Concernant les idées miennes, même si je suis navré par de telles réglementations et lois, je lutte, je m’explique et me défends, sachant même que le résultat sera souvent consternant.
    Nos idées, nos pages, nées par-delà la diatribe et l’inconnu, on ne sait comment, s’envolent hors du temps. Un prodige net de Saint Web !

    C’est ainsi que je sens en moi l’envie d’écrire, mais l’énergie, le déclic, le starter ne viennent pas. Ils sont hors de ma portée, même si elles m’appartiennent et que je les ai en moi !
    Sont-ce les éléments dramatiques et secrets dont on ne parle pas ? Le mutisme qui se joue des ‘’ qu’en-dira-t’on ’’ ? Les maladies cachées que l’on ressent ou pas, en plus du dégoût patent de certaines actes et de certaines gens ? La désillusion, la vacuité et la vanité, le dégoût de la vie est-ce compris dans cela ?
    Toujours est-il que, par allusion à vos richesses, Crésus, des kilos de notes sont déposées, çà et là. Mais, il me manque l’envie de les couler en textes et en argent ! Tu parles, mon pote ! On ne lit plus ! On se phone seulement et même le majuscule Trump fait dans le simple ‘’ tweet’’, sa politique du monde présent !
    L’envie de reprendre les fœtus dans l’œuf, de rattraper le temps, ce souk de notes ou d’écrits sur brouillons qui sont autant qu’un musée d’ors absents ! Des actes ratés, usés et hors du temps. Un anachronisme patent, fait de pensées silencieuses, fâcheuses ou insipides, de chroniques tues et de réactions muettes…Une passivité circonstancielle, envers le décours des actes ? Non pas qui snobe, mais timide et pudique, l’autre nom de l’autocensure et du respect ! Le temps d’y réfléchir en fait, ce qui les rend détachées de leur époque de leur opportunité et de leur temps…Un révélateur de nos vertus virtuelles de nos passions qu’absorbe l’oubli et la course du temps.

    Confidences

    Non, je ne suis ni de Mars ni de Neptune ! Ni de Marrakech ni de Taroudant ou de Rachidia. J’ai des enfants bruns de peau, comme beaucoup et leurs larges narines, je les dois aux Faquirs et aux Gnaoua. Qui sont ces Wahhabites qui m’ont poussé à faire la queue chez les fakirs aux roquias et autres charlatans-pécheurs en mal d’arnaques sur le dos des gens ? La crédulité fait partie de nos mœurs ataviques, aussi cultivés et scientifiques serait-on !

    Pour la gloire du pays et de ses sahraouis

    Et de ce fait je ne sais pas d’où est venue, comment est née, cette diatribe, fébrériste, civilisée, aussi opportune ou populiste soit-elle, et que l’on attribue à un parti local ou à un autre activiste étranger ! Elle pousse au boycott des produits de consommation et ça emplit a les saturer les pages de Facebook. Cette manif hors des rues est-elle judicieuse ou injuste ! Les prix pratiques sur les dérives du lait, du carburant et de l’eau minérale sont trop chers comparés au revenu des marocains et aux prix pratiqués en Europe.

    En conclusion, vous les Riches, faites gaffe à notre Nation !

    Alors que l’Etat n’a pas encore épongé les problèmes soulevés par le Hirak d’Al Hoceima et les marches anthracites de Jérada, voilà que cette affaire du boycott viral du Net qui fait dans les fractales épidémiques !
    Devant les tambours de guerres et les collusions dangereuses, la société se divise ! On rappelle le primum movens des augmentations du prix du pétrole qui avait connu une baisse à l’International pourtant, et de la casse de la Caisse de Compensation, en inculpant des personnages qui en fait appliquent et ne décident, tout seuls, de rien !
    Seuls nos adversaires coalisés riront de nos bévues et de nos échecs et ils salueront l’arrogance têtue des riches exploitants comme les bavures des sociétés boulimiques qui n’évolueront pas patriotiquement, en persistant dans le mensonge égoïste et les crâneries hautains, voire l’entêtement désadapté des premiers de listes, qu’ils sont pourtant.
    Pour le Sahara et que ce soit bien clair, pour la bonne gouvernance et face aux gaucheries des notables, des excuses et des mises à niveau des prix s’imposent, afin de d’établir des prix locaux adéquats pour chaque chose ! Pour encore plus de consommation et de bénéfices des producteurs, grands et petits, pour la paix du front intérieur et son renforcement, ce face aux velléités de guerres de soumission impérialistes et face aux actes belliqueux et sordides des factions insoumises, créées par les voisins pour des raisons dépassées depuis entres les deux blocs et la haine établie face à notre régime souverain.
    In fine, la paix des prix s’impose face aux lâches qui veulent casser le travail serein du gouvernement des coalisés et le faire éclater dès à présent. Place à celui pacificateur, raisonnable et diplomatique de l’ONU. Attention aux pressions irresponsables et aux gaucheries sociales, très mal gérées, alors que se joue entre guerre et paix l’affaire, existentielle pour tous, de Notre Sahara !
    Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, les 03-06 05 2018

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Du coq à l’âne, ou les prédateurs et les proies

    LES ‘’ CHRONIQUES MISCELLANEES’’ DE MME STUDENT

    Question de force et de faunes

    Trois avions sont tombés ce jour, bien loin des champs de guerres, des fusées, des gaz toxiques, des bombes, de leurs explosions et de leurs feux. Combien de morts faut-il encore commettre sur les enfants et les civils ? Là en Syrie, en Iraq et en Palestine ? Et pourquoi que ça se tue encore entre humains ? Dites ! C’est compliqué ?

    A tous les zombis contemporains

    A tous les zombis contemporains et autres robots charnels aux organes détraqués ! Cette terre est une véritable boucherie où les êtres, animaux qu’ils sont, se mangent et se tuent pour disparaître sans se recycler. Maladives, fortes et puissantes, les espèces se sont multipliées. Sans retour aucun ni solutions pour l’avenir, l’homme pollue et épuise la terre, de tout ce qu’elle a engrangé depuis des millénaires ou des milliards d’années.

    ‘’ J’ai gâché mes plaintes et caché mes souvenirs. Depuis, je les ai oubliés. Que dire de leur mémoire chez autrui ? Je souffre de douleurs à faire pleurer de joie mes ennemis et je gère des faiblesses implacables outre mes coutumières paralysies. Ma reine, Chefs, le cœur insatisfait ou opéré, je sais ce que c’est, car il regorge de bonté ’’ Dixit Ghandi !

    Réveils et verbiages inutiles

    Mais, par-dessus la honte et les incapacités, rien ne vous empêche, glorieux Chef et vous, les Mahatmas, de travailler et de regarder d’en haut ces Trumps, ces Netanyahous, leurs zélotes et leurs consorts hébreux, et si actifs de partout ! Non qu’ils soient minables ou puissants, ou amusants et méchants, à la fois ! ‘’… ‘’Ça, tout le monde le sait ! Et des chefs d’Etat me l’on dit !‘’
    Pontes et complices, exagèrent pour enfoncer leurs adversaires ou pour plaire à leurs suppôts et compères ! Une caricature où excelle le virulent et truculent, Ssi Messahal Abdelkader que je viens de citer plus haut. Leur morale est à genou ! Allah yarham Belkacem Mellab qui a fait irruption ici ! Lui, qui est parti trop tôt, il doit gigoter dans sa tombe. Ressuscité par la colère, car j’aurais fait parler, ici, son lubrique MAE, qu’on dit être marocain, mais qui est issue de la même ville d’Algérie !

    Les jeunes, des assassins ou des fusibles ?

    Mais là, parlant de hauteur, je suis à la renverse ! J’ai appris le cas de la jeune étudiante qui s’est suicidée. Ce drame va rendre folle sa pauvre mère. Une parmi d’autres ! Cela me rappelle le fils de son voisin et libraire. Et encore ce grand malade qui a tué et découpé la même nuit, et son père et sa mère ! Et le lendemain, ce fut ce technicien-télé, qui fut poussé par les bourrasques de vent de la terrasse où il travaillait. Là, par-dessus la parabole qu’il voulait réorienter ! Hier encore, une princesse arabe s’est jetée d’un balcon pour se suicider ! On est loin du pétrole, du prestige, de la civilisation et des mille et une nuits.
    Arrête de parler de ces incidents mineurs, regarde la Syrie, le Proche-Orient que les rapaces déchirent en causant des milliers de milliers de morts ! Parle des battues sur les Rohingyas, un nettoyage ethno religieux de plus, que les Birmans opèrent sans gène devant le monde entier ! Parle des camps de concentration et des murs de détention, des pogroms des palestiniens et de leur apartheid et mortelles exactions racistes ! Parle de la pression acolyte erronée et inlassabledes zélotes, puis de celle ‘’des pays démocrates, avancés, si aisés et pleins de gens bien’’ ! Parle des enfants, entend les jeux de tirs des soldats sur les manifestants palestiniens ! Non ! La guerre et l’humiliation, le vol de la vie de quiconque, ce n’est pas humain ! Et moins encore divin, pour quelque peuple, religion ou civilisation que ce soit !

    Braconniers

    Là, mon moral est à genou ! Ils sont tels ces gibiers et ces fauves dont les braconniers exposent les dépouilles comme des trophées de guerre, après les avoir abattus au cours de leurs safaris en Afrique ! Distractions féroces pour les touristes aisés, qui après les conquêtes terrestres d’hier et l’esclavage antique, se tournent vers les bêtes qu’ils tuent pour leur simple plaisir et pour s’amuser. Pour frimer ou pour se distinguer ? Un commerce de la violence et des armes aussi, est sous-jacent dans ces exotiques pays ! Le tourisme en savane ! Ce sont des chefs d’états, des présidents qui y ont été pris à ce jeu carnassier ! Les persiffler, les indexer de qualificatifs outrageants et plus que barbares, est inélégant. Inutile, politiquement négatif et contre-productif sur le plan de la morale politique ou de l’éthique banale ! On mange bien de la viande ! Nous tous ! Dis-moi, BB ? Alors laissons les grands et les grosses légumes tranquilles pour ne pas bouleverser la carte politique du monde et le destin des peuples en voie de développement !

    Tact et mesure

    Si politiquement, il faut user de balance dans les propos, si psychologiquement il ne faut pas jeter l’opprobre sur les grands richards, pour les vilipender et les indexer, à quoi sert-il alors de de livrer son opinion et de penser différemment ? Alors un sermon faute de les sermonner ! Certains amis parmi-eux sont encore vivants, soit ! Mais que feront-ils des peaux de bêtes ainsi tuées ? Où les mettre à leur départ ? Par terre, au salon, à l’entrée pour remplacer les tapis du sol, sur les murs de leurs bureaux ? Vont-ils les emporter avec eux, si leur départ était proche ? Hélas rien d’ici n’ira vers l’Au-delà. Ni peaux de bêtes, ni ustensiles, ni mobilier, ni costumes !
    On ne peut pas couvrir nos âmes, une fois morts, avec des peaux de panthères noires ou de tigres zébrés ! Rien ne profite, même pas l’objet du crime, rien ne sera exporté vers l’au-delà ! Une certitude pour ceux nombreux qui espèrent et qui croient au paradis. Mais cette sagesse, si banale et commune, qui prospère chez les gens crédules et les croyants, ils s‘en fichent ! Eux ! Ils sont si grands. C’est leur face, non pas athée, mais simplement insouciante, riche ! Et, ces meurtres, ce ne sont que des jeux ! Un ‘’privilège’’ donné aux pays noirs, une chance, pour se développer et pour donner à manger aux leurs, grâce au tourisme étranger, qui leur apporte beaucoup d’argent !
    On a tellement de paraboles, de phones, d’écrans, de parasols et de parapluies que nous n’avons plus d’espace dans cette maison où les caser ni dans ce pays où les disposer. Et ces symboles des gens puissants et prospères, ces décideurs influents et écoutés, il faut les ménager dans tous les cas de figure ! Quand on a besoin de les utiliser, ils sont perdus, bloqués ou cassés, faute de les entretenir et de bien les ‘’ranger’’. Pour nos progrès et notre résilience, la bonne maintenance, la fidélité, entre amis, est de bonne gouvernance. N’est-ce pas Chefs, que c’est indispensable pour persévérer dans la voie de l’amitié et de la paix ?

    Quid des arbres et des trottoirs ?

    Encore ! Alors si l’hypocrisie remplace la critique et chasse la guerre, c’est que tout va bien avec tous nos amis ! Et que l’on saura y faire avec ces boss, en singeant les psy coaches, sur ce chapitre discrétionnaire et lors des conduites et des comportements diplomatiques de mêmes ressorts !
    Avant-hier, à Kénitra, il aura fait 10 saisons en moins d’un jour. Avec ces changements de temps, rien ne peut être prévu. Les platanes centenaires et les faux-poivriers, laissent les oiseaux sans nids et nos regards se perdent sur les horreurs des façades et des constructions hideuses que leurs branches, jusque-là, nous masquaient ! Ils vont vous apporter de ces palmiers dits-américains, hauts de 6 à 8 mètres et très couteux, qui ne portent que 4 palmes en haut de leurs affreux troncs, si horribles et disgracieux !
    Aujourd’hui, Kénitra ressemble à Casablanca ! Feu le roi Hassan II, dont l’esprit est toujours prégnant parmi-nous, l’avait prédit pour son développement. Seulement maintenant, c’est le revers de la prophétie qui se réalise. Cela s’est passé ce matin, non loin de la gare TGV et de ces espaces industriels de la zone franche, là où l’industrie internationale trouve sa superbe expansion. Les pilonnes électriques, du moins les poteaux d’éclairage, ces hauts lampadaires, sont tombés comme une avalanche sur les toits des autos !
    Ce n’est pas la faute au vent qui les aurait fait choir et qu’il faille incriminer ! Les habitants ne sont jamais informés par la presse ni par leurs élus de ce qu’ils font, les élus et les municipaux, sous leurs fenêtre et dans leur rues. On ne va pas leur souffler ce que veut le vent. Domaine terrien sacré, domaine terrestre sucré, les espaces et les investissements sont du domaine secret, réservés aux puissants de parmi les proches. On ne va pas crier à la promiscuité avec le pouvoir divin, ni gronder ceux qui se les premiers officient dans le délit d’initiés de par le monde. Le copinage et le népotisme…Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt. Corruption, compromission, concussion, malversation, cherchez l’erreur !

    Nostalgie arboricole ou végétale

    Syndrome du colonisé. J’ai souvenir de ces eucalyptus centenaires qui furent plantés du temps du général Lyautey et qui embellissant la ville, sans entraver l’espace ni gêner personne ! Les assassins des villes et des espaces verts, portent-ils un nom dans la juridiction ? Ah si les pontes pouvaient changer aussi vite, ou en mieux seulement ! Tels ces trottoirs avec leurs carreaux craquants, neufs, mais vite brisés sous les pas, que l’on dégage maintenant pour élargir cette avenue, dont on a dévasté les arbres ! Une artère dédiée après son meurtre au militant de la lutte pour l’indépendance, l’istiqlalien Diouri ! Et quelle indépendance ? Avec tellement de bonnes coopérations et de crédits internationaux ! Mais, on n’a pas le choix.
    Revenons à nos pénates et aux dieux lares. Sont-ce ses héritiers ou ses neveux qui comblent les espaces vides de cette bonne ville ? Afin de loger au mieux les nouveaux venus. Et l’on assiste à une invasion de voitures, le centuple en dix ans ! Les R’batis vont être ruralisés. La campagne se venge sur les capitalistes !
    Ni expos ni conférences suffisantes, ni vitrines aguicheuses sur les reliquats d’avenues, plus de théâtres ni de cinémas ! Ça, plus jamais ! Pas même des arbres pour contrebalancer la nudité, la hideur de certains coins, ou pour aérer l’atmosphère embrumée par ces fumées insanes pour leurs vieux poumons de fonctionnaires, rétrécis.
    Ce sont de nombreux couples refugiés, malades ou à la retraite, dans notre largissime patelin, aux normes perdues. Ils viennent ainsi d’avaler notre province aussi ! Longtemps connue comme une Willaya pour son espace vital, ses cigognes, son port, son chabel, l’alose, cette espèce disparue depuis, sa plage, maintenant rétrécie, sa Kasbah, en ruines, attendant la résurrection du Sultan alaouite, My Ismaël, pour la ressusciter, ses prisons célèbres de par leurs hôtes distingués, ses bases, adieu les States et l’Oasis, ses forêts qui ne glandent presque plus rien, son agriculture, qui espère depuis les récentes pluies de meilleures années !

    Le ciel de l’olympe

    Le ciel de l’olympe est plein de riches, de suzerains, de héros et de demi-dieux, aux pouvoirs suprêmes ! ‘’Gardons sa grandeur à l’Amérique’’ ! Vous pouvez apprendre, puis adhérer et appliquer à vous ce nouveau slogan de Trump ! Attention, il nous copie. Il chasse aussi de ses ministres ! Adieu Tillerson !
    Je suis riche comme Crésus dit-on, les jaloux ! Mais plus puissant encore ! Comme Trump, pour ceux qui le connaissent un peu ! Chef de Parti, propriétaire de banques et d’assurances, des fermes et des usines, des mines et des gisements. A moi seul, je vaux un pays au moins ! Je suis son Président, à vie, comprenez son propriétaire et son empereur à la fois.
    Mais je suis peiné pour vous, car je ne suis qu’un être humain ! Je passe ! Le néant m’interpelle. Je suis périssable, même si je suis très beau et sympa, volubile et loquace. Attention vous autres, mind ma princesse, je suis encore attirant et toujoursorgueilleux. Si je philosophe pour vous amuser, je ne suis ni timide ni gonflé é, et pas périmé pour autant !
    Les femmes et leurs branle-bas de combat m’offusquent grandement, si elles vous taquinent devant les juges messieurs et dans la presse, un peu !
    Mon Dieu, je n’ai pas besoin de les harceler, moi ! Ce sont elles qui viennent au secours de mon âme ! J’ai grand cœur ! Le cœur dans la main ! Et je sais faire…la charité ! C’est un bon placement pour investir dans l’au-delà !
    L’au-delà, ce sont des milliards de milliards d’étoiles et de planètes. Et il faut les combler, les Stars ! Les habiter, y investir et les faire marcher. Je suis leur homme. Et cela en tolérant les diables, les anges, les autres créatures et celles qu’on rencontrera ! Tout en respectant les droits de l’homme, sur les armes, les femmes et les minorités, les usages américains de la démocratie et de l’argent, comme on sait les pratiquer, ici dans Mon pays. Soyons tolérants !

    Chacun son chemin de croix

    Hymne à Mister Trump ! Mais d’ici là, je suis las. Le cœur, encore une fois ! Quand je pense à la fin, je refuse de vieillir et de passer l’arme à gauche. Pour l’âme, je ne sais d’où elle provient, si elle est là et où elle ira ensuite, quand le robot de chair que je suis, fondra dans la poussière ou que ses cendres s‘envoleront ! Aussi, je fais comme si j’étais éteint et éternel à la fois. Je laisse une dynastie : mon simple nom suffit à la pérennité terrestre et par-delà la nuit ! Ne suis-je pas le Président, le roi de l’Amérique et celui du monde ? Oué ? Presque ! Celui du bas monde ! Certes ! De la High society ! Yes !
    Comme tu le dirais, lors de ton sermon d’investiture, archevêque Cristobal, il nous faut rester zen et tolérants !
    Mais, il y a ce chinetoque de coréen Kim Jong-un ! Il pétarade impunément et menace les States, leurs amis et leurs statures ! Je n’aime pas cette fantasia.Je le défi et je lui donne-rendez-vous en Avril prochain. Ce n’est pas un poisson d’Avril ! Mais un poison à traiter chimiquement…Avant qu’il ne me fasse un Tchernobyl ou un Hiroshima ou qu’il me coule mes porte-avions ! Ils sont fous ces chefs d’états arrivistes ! Des jeunots et ces ‘’trop vieux’’ ! Des mutants ou des pharaons à stériliser ! Vengeurs hargneux, ingrats qu’ils deviennent avec le vol de nos technologies et leurs usages fous, de vrais démons qu’il faut purger !

    Délits et délectations ; attention aux hormones

    Tentative d’analyse psy. Attention aux droits et au respect des gens. Le sexe sans peuret ses braconniers impénitents. La testostérone est devenue une hormone de la violence ! Essai de compréhension du désir de chair, féroce ou violent des partenaires hasardeux masculins.
    Engouements pour les interdits, le sexe affole l’homme, la femelle en devient seulement sa proie. Il n’est nullement question de partenaire, ni d’entente nécessaire, souvent. C’est le cas de la femme mariée, la dame du couple, qui refusant l’acte sexuel avec son mari, et qui en est ou qui se sent violée ! L’homme, le mâle, est un pécheur-né. Incapable d’accepter le refus et l’échec, quand il n’arrive pas à obtenir le sexe ni à mériter un amour naturel, ou son expression physique, directe et partagée. Il perd de sa contenance et sort de ses gonds. Devant le désir de sexe, celui qui s’impose à lui lors d’une simple rencontre fruit du hasard, il se déclenche en lui, un coup de foudre. Une véritable explosion, un désir fou, une tempête dans son ego. Ce stress, égoïste ou maladif, est amplifié et exubérant. Il en devient une force une forme de terreur, quand il reste sans échos de la part de la présumée partenaire. Synonyme de refus, l’opposition déclenche chez ce mâle malheureux, la folie et la guerre !
    Voire la déchéance de la personnalité, de son surmoi devant les réserves, le refus ou la pudeur de celle qui l’a rebuté et empêché d’obtenir le fruit précoce d’un amour exigeant, physique, indésirable et insupportable pour elle ! Sa morale virile et son sens du respect des droits, se perdent devant la montée de ses hormones et de ses désirs effrénés. Il ne perçoit qu’une solution pour satisfaire son désir. Celle de sauter sur sa victime et de la surprendre. Il en devient une bête, un fauve, un délinquant souvent, un criminel parfois.

    La suite profane

    Viol et violences. Le paresseux qui vagabondait dans les sinus et les coulisses du sexe se transforme en bête assoiffée de sexe. Devant le défi, celui du ‘’non pas ça’’ de la femelle visée, le mâle va aimer et oser pratiquer la chasse prohibée. Lors de ces jeux dans les bois imaginaires, en se marrant, il va sentir un bonheur interne. Une extase préliminaire qui provient du défi suscité en lui et qui augmente lorsqu’il en snobe les frontières, les limites et les lois. Prendre par la force et carrément voler le sexe, forcer celle même, ‘’qui ne lui appartient pas’’, tel en devient là, son défi existentiel, sa pulsion. Une gymnastique faite de hasards et de surprises, de bravades et d’égos boursouflés.
    Le chasseur de sexe, insiste dans sa besogne et harcèle sa cible sans répit. Il désarçonne sa proie qui perd de ses moyens et qui devient de fait ‘’sa’’ victime ! Sa propriété, sa raison de vivre, son but et son obligation d’agir. La porteuse de sexe, est une entité ciblée qui n’a pas le droit de dire non, ni de réagir! Un défi vital s’impose à lui où il perd toute réserve et toute volonté, toute retenue, toute logique. Un entêtement où le dément perd sa boule. Il perd le respect et la pudeur, certes, qui plus est, il ignore et bafoue les droits et il dépasse la peur.
    La ‘’bête amorale’’et sans vergogne prend le dessus sur l’homme, devenu, sans freins ni crainte tel un fauve en colère’’. Le violeur est devenu un assassin immonde que la justice entend et se doit de punir et de juger.
    Ce, quels que soient la réalité du deal, les cas où les politiciens le piègent et où les victimes oubliées sont recherchées afin d’être alignées pour ester en justice. La profondeur du crime, le désir de la dame lors des préliminaires, son hésitation, sa volonté changeante par la suite, son refus bouleverse la donne et change le mâle en monstre, irrespectueux et peu amène !
    La variance des scènes, l’oubli ou la revanche, la justice ou le silence dépendent alors des unes et des autres. Le vacarme social, le fracas du coït imposé, celui de l’orgasme volé auront des incidences spectaculaires, dégradantes et punitives. La renommée et le métier que professent, le ‘’sombre héros’’ seront entachés de mépris après le scandale. Le cinéaste, le philosophe, le journaliste ou le futur et potentiel président, seront bafoués et avilis à vie.

    L’ego sauvage

    Le plaisir immédiat de l’une des parties n’est ni envisagé ni considéré et le fric immédiat non plus. Ce sont de gros sous pour les réparations juridiques en plus de la réputation et de la sanction pénitentiaires, la prison après le procès, la perte du boulot et de la renommée, perdue à jamais, qui vont être arrachés au carnassier impénitent. La mondialisation de ses affres et de ces affaires, la presse fouilleuse, yeuxteuse de coutume et celles du Net, sont Insidieusement embrigadées dans ces affaires de sexe. Des cascades de partages, virales, fuitent. Embrasées pour faire empirer le verdict et pour obscurcir le destin du faune entêté. Le bonhomme est verni, terni à jamais, fini pour toujours, sans possibilité de pardon des siens, de la société ni de résilience aucune.

    Les cas patents

    Introït. Apropos d’Avril, n’oubliez pas le poisson, les locaux ! N’oubliez pas, vous les Amérocains*, d’ajouter 1 heure à vos horloges pour le changement d’horaire estival, cela avant le Ramadan.
    La date, la montre, l’horaire, c’est juste pour l’introduction. Et ce à propos de Ramadan…De Bouachrine et de Lamjarred ! J’oublie les autres qui sortent du propos !
    Qu’est-ce que ça donne à la fin cette vague de harcèlements et de viols ! Tout est politisé ou presque. Et on passe de la guerre des culs, de celles qui acceptent et qui refusent, à la guerre des religions ! On n’en est pas loin chez Tarik Ramadan.
    Les dames de circonstance, mentent parfois, ou exagèrent, pour se venger ainsi de l’homme indélicat, ce criminel érotomane et violeur outrageant. Elles forcent sur l’empathie et les sentiments pour attendrir la Justice, son sceptre et le poids de ses sanctions ! Elles parviennent, en rendant ainsi la justice plus politisée qu’elle n’est matérialiste ou équitable. Elles parviennent en poussant à l’erreur la police, lors des plaintes et des PV, en tendant de mouiller les officiants et de les rendre complices de leurs délires. De leurs vengeances, de leurs droits au respect à la réparation ! Ainsi-est-il de la sortie extraordinaire du Procureur de Casa, dans l’affaire de Bouachrine.
    Les sanctions sont très lourdes ! Les Médias paumés, par sympathie, envers les unes ou les autres des parties en conflit, en deviennent exubérants devant la Justice. Ils lui emboitent le pas, à cette justice, lente, dans les relents et arcanes de leur 4ème pouvoir. La presse se met à influencer la justice, les juges et les autorités, en publiant ses propres thèses, ses jugements, ses enquêtes parallèles et ses opinions. Dans l’affaire Bouachrine, on passe de l’acte monstrueux, comme dixit l’un des avocats des plaignantes, aux déclarations erronées et trompeuses ! Un parjure volontiers sur PV, et ce devant la police. C’est ce que l’une des femmes, engagées, commence à avouer, donc !

    Le tour des filles et des enfants

    Après les gamins, les actes pédophiles sur les enfants de chœurs, dans les églises, voici ici et là, le tour des femmes et des filles ! A la sortie des boîtes de nuits, au journal, dans les directions voire aux ministères ! Partout, tout devient un lit !
    Pour ces évêques, pour ces cinéastes, ces ministres de partout, pour DSK, que représente l’objet du désir ? Un flirt, Inconséquent, un objet pour vidange urgent, une pissotière ? Avec plus d’énergumènes, ce sont des razzias sur les femmes indociles, des atteintes à leur honneur, à leurs vies certes, et pas seulement la satisfaction d’une une lubie, féroce, ou fallacieusement romancée, celle d’un court instant.

    Alternatives

    De la piaule sanctuaire, de la planque au violon, quelles que soient les paroles des chanteuses insatisfaites, qui elles, font dignement chanter les mâles impudents ! Après les avoir aguichées et émoustillés, évidemment, souvent ! Le cas de Lamjarred est patent.
    Un peu de tenue pour les protéger, c’est de les mettre sous clef et sous les hijabs, chez elles ! Non et non ! Le ciné, les boites de nuit, seront interdites aux filles ! Le boulot réservé aux seuls hommes…Ils n’auront qu’à se débrouiller entre-eux, comme des grands. Mais attention aux mineurs les homos ! Arrête ton délire, c’est sale ! Les postérieurs ne sont pas physiologiquement faits pour ça ! Le monde et sa morale, ses libertés, ici et là, sont en délire, et souvent opposés d’un pays à l’autre.
    Et puis zut, il y a partout du savon ! Qu’on leur apprenne l’onanisme et d’en user en solitaires ! Par prophylaxie sociale et prévention ! Ce avant d’aller couiner au boulot ou de sortir pour voir ou perturber les gens ! Avant de citer des acteurs, des metteurs en scène, des artistes célèbres ou des ministres, en fonction ! Mais, les responsables des excès, des délits, doivent rendre compte, partout, quels qu’ils soient ! Sont-ce des indications médiales ? Je ne pense pas. Il faut inventer un logiciel, une application, un refuge, une conduite, une éthique, un prix, pour revisiter ces positionnements-là !

    Trumpologie en retour

    Que faire pour le désamorcer, le shintoïque de Corée ? Je sais que d’ici là, il fera la Chaêbana et qu’il allumera une fusée et un cigare en se passant la main sur sa houppe de cheveux noirs ! Cliché ! Avec un sentiment succulent de satisfaction et de suffisance, Trump se trempe les cinq doigts de sa large la main droite dans sa toison capillaire blanco-blondasse, gonflée on ne sait comment.
    On verra pour les barbus de l’Iran. Les autres arabo-musulmans, les Islamopathes*, comme les palestiniens, ils sont défaits, quels que soient leurs chefs et leurs griefs, depuis des civilisations ! Je n’en parle pas, je ne les vois pas…Je les emmure pour ne pas les laisser déferler sur le monde ? Semble-t-il dire à Nethan ! Lequel, comme les grands, serait plongé dans des affairés de flousse, et de lucrative corruption !
    Je ne les conçois pas, les Orientaux ! Comme se dirait le Mec Donald ! Sauf quand ils peuvent versent 500 milliards de dollars pour mon soutien et mes émoluments ! Ce n’est pas à la portée des premiers venus que je me déplace ! Ma Mecque, c’est moi ! Mon sourire vaut des milliards ! Ma présence, cent fois plus ! N’est-ce pas madame. Toi, ma lubie, ma Poutine, ma grande charmeuse de soviétique ? Comment va-ton Pote, depuis ? Il ne s’est pas calmé en Syrie, hein ! Il me cherche, n’est-ce pas ? Il est tenace et prétentieux, comme toi ! Mais ça ne fait rien. Sa moisson d’arabes est à saluer ! Un havre de paix pour nos fervents amis et souteneurs, les enfants de Ssion* ! Vous m’en voulez pour cette nouvelle sortie ? Un clash, une vanne lubrique ? Ce que je dis est-il faux ? Faut-il jouer aux hypocrites ? Même quand on est Le riche Président des Etats-Unis ?

    Synthèse symbolique

    Les entreprises et les ministères ne suivent plus. Ça vous apprendra à vouloir sauver les limaces et les escargots, de votre éden, de nuit ! Au lieu de les faire bouillir comme dans les cavernes de vos ancêtres Néandertaliens !
    Souriez ! Ces habits vous vont bien, mon vieux ? Achetez-en encore ? Vivez ! Dites qu’il fait beau, pour encourager les jeunes et pour leur redonner espoir dans leur vie et leur pays afin de cesser ces Hiraks impromptus ! Levez les 2 bras ! Vous pouvez tirer la langue ?
    Ok ! Pas de neuro-lésion ni d’AVC ! Ce n’est pas une attaque neurologique cérébrale ! Vous êtes sauvé Papy ! Juste un Alzheimer qui débute et un paquet de névralgies ! Ah, ce sont vos nombreuses arthroses du cou ! Non ! Une simple déchirure des tendons musculaires du bras ! Les beaux ménages et les gros muscles ne tiennent plus ! Et les méninges ? C’est le principal ! Et le petit muscle ? Disparu ? Non ! Alors rien n’est fané ? A la bonne heure ! Vivez !
    A suivre…Dr Idrissi My Ahmed,
    Kénitra, le 15 Mars 2018

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    LES TYRANS MÉDISANTS N’ONT PEUR NI DES TRIBUNS NI DES RHÉTEURS
    *************************************************************

    TRUMPOLOGIE

    « Pays de merde !»: Macron condamne les propos de Trump ! Il est aussi magnifique que cette sublime et dorée perle, cet extrait rare et solide qu’est l’indicible, l’inénarrable, l’inattendu Président ! Chut, pas de médisance ! Sinon on te poursuivra pour incident diplomatique et usage de gros mots.

    Voici en revanche, des louanges adressées à ce merveilleux et fantasque président. Il en faut, même en retard, pour comprendre et répondre à ces contes et légendes, faits d’horribles frictions et de joutes verbeuses !

    Je disais que l’inconnu du haut qui blasphème et se trompe est tel comme ce pénible et étonnant président du nouveau monde !
    Tout comme, cet autre évangéliste ! Le président est petit-fils ou arrière cousin de ceux qui ont fait le nettoyage ethnique des indiens d’Amérique ! Il est toujours bel homme à son âge, et plus étincelant encore, en beau, blanc et blond ! Autant que cela ? Tu lui enduis de la pommade avant de le badigeonner d’orties !

    Respecte ses cheveux blancs. Il est incontournable, il est puissant. On ne va pas le laisser sympathiser en réaction avec nos adversaires et avarier notre dossier du Sahara ! Il faut le ménager, même s’il a péché ! Il peut redevenir de nos amis !

    Son allure et son style viennent de son amour insatiable pour la beauté. Hélas, les renvois qui lui sortent de ses orgueilleux naseaux, occupent une place de choix dans ses hémisphères fienteux. Un encéphale plein de centres fécaux proéminents et hypertrophiés!
    Il a donc un cerveau ! Oui, puisque cet organe qu’on trouve chez les serpents et les scorpions, comme chez les ours et les rhino-féroces* porte aussi ce nom de ‘’cerveau’’. En parlant de nos pays et continents, SM, l’horrible empereur, a aimé dire ou osé dire que ce sont des pays de merde !

    ’’SHITTY COUNTRY’’

    Sauf votre respect, lecteurs ! Mais c’est lui, l’homme le plus important du monde civilisé et l’un des plus riches qui l’a prononcé ! La chose qui dérange SM s’appelle ‘’merde’’ même si elle comporte deux continents et compte 4 milliards d’habitants !

    Nos gens seraient pour ce magnat de l’orgueil et du stercor, que du fumier, du caca, des déchets puants, dans leur ‘’shitty country’’ ! Des miasmes que son dictionnaire scatologique, si bien policé, permet de traiter de la sorte ! Ne soyez ni inquiets ni jaloux, ce ne sont que 50 pays qui sont minorés et traités de la sorte. Leurs peuples avec. Vous et moi, les blancs becs, les mulâtres aux 50 nuances de gris, et les plus sombres de peau ! Qui a ses yeux valent moins que rien, Mais qui ne peuvent justifier ce buzz incendiaire qui hoaxe* le Whatsapps !

    Le fumier politico excrémentiel, les ordures de quartier, manquent à l’évidence de diplomatie. Et il en faut du tonus, de l’éducation, de la trempe dans la bouche du président Trump, pour s’exonérer de s’exprimer ainsi ! Un délit de langue que l’on peut oublier. Une erreur qui pété trop vite du respectable cucu et que ses langes n’ont pu retenir !

    Tous ces mots ont fusé à l’endroit de ceux qui n’ont pas admis la partialité de l’Amérique en son nom interfère ce dossier colonial entre guerre et paix, entre Palestiniens et Israéliens et le transfert préjudiciable à la paix de l’ambassade américaine à Jérusalem…Pourquoi pas à l’intérieur de la mosquée Al Qods ou carrément à la Mecque ?

    Pourquoi pas, surtout, question d’être juste et diplomate de paix, une ambassade américaine aussi, dans la capitale de l’Etat de Palestine ! Dans les lopins restants de leur territoire, un gruyère rongé par les colonies de toutes parts, qui ne cessent de se multiplier et de s’étendre, en empoisonnant toute tentative ultérieure de sécurité et de paix ! Amen aux rêves de droits des peuples et de justice, M Trump ! Vous, dont la famille est alliée et engagée !

    Qui plus est, pourquoi ne pas dire d’office et franchement, que l’état d’Israël est une partie de l’Etat américain ? Un membre de la Fédération des States ? Une étoile à six branches, de plus, parmi la cinquantaine de leur bannière étoilée, à cinq bras seulement !

    AMITIE ET NEANT

    A Crésus, Thanatos et Trump ! L’amitié est un altruisme rentable et utile. Une de ses formes, la confraternité est la pire des hypocrisies. Cependant, celle-ci a le courage d’indiquer dans son préfixe d’entête la connerie de ladite fraternité ! Une coopérative d’indépendants, liés en concurrents acerbes, coalisés en apparence dans une ligue, et forcés à obéir de près ou de loin à une éthique vaine, dans une cohorte loin d’être protectrice ou syndicale !

    En Fait, un groupe d’indépendants, forts d’égotisme et de concurrences indéniables, limés par les sabotages perfides et lâches mixés de critiques hautaines, acerbes ou sournoises, provenant d’autres secteurs. La fidélité ingrate coopère contre-gré dans la constance des contraintes et des craintes, celles de perdre le client, la renommée et la rente.

    Cupidon, c’est ton estomac insatiable de crétin, devenu inintelligent, ton ventre qui te cause des misères. Tu es Crésus et cupide à la fois. Ta ferveur de pseudo messager, à avaler toute ce que tu touches pour devenir Crésus, transforme tout ce qu’il touche en or, ta nourriture et tes ordures, jusqu’à pourrir bloqué !

    Les anciens sont partis, qui morts, qui dans le déni des oublis ou des tristes infamies. Qui fatigués, attendent devant le mur de trouver un trou percé par où se jeter. Lui, son parchemin et ses vœux, dans un talisman, un code manuscrit pour aller dans l’Au-delà, en forçant l’espace-temps et le sien de destin et ses vœux.

    Qui face au mur des puissants qui l’isolent et le renient, qui le tirent et le tue ? Qui, de multiples maladies traîne dans les boues et les boissons sales, rebelle face au destin criant qui le harcèle ? Qui, debout dans la boue, se la boit encore ? Qui, aux fêtes, ô charité, oublie les confrères trahis par le festin ? Qui, à la porte de l’Alzheimer, est déjà bien faisandé ? Un saut final pour un as devenu, du jour au lendemain, un sot ! Un insecte de moins qui laisse des milliards d’autres en suspens, troublés par un drame, dans l’attente de leur fin. Un de plus et un de moins, pour toujours oublié, et ne restent que les os friables et nus d’un robot sans vie….

    LES LEISHMANIOSES

    Traces de moustiques écrasés sur des pages. Livre ouvert sur l’insomnie, sans rêves et les mauvais sommeils. Critiques et compositions verbales par-dessus la poubelle et les urinoirs d’un soir. Un don viscéral au plus gros des moustiques, de ses saillies verbeuses et de ses racistes entrailles.

    Du papier humecté de douceurs humides, de récipients châtiés et d’urinoirs de couleurs, des offrandes dans un calice d’argent sur un autel de cristal, à travers les mosaïques noires aux couleurs sans gloire. Un papier plein des relents de riches victuailles, rêche, âcre, fade et astringent, comme la paille et les lits de la racaille et des barbares sans cœur ni âme.

    Diogène accoudé sur l’échafaud, la guillotine comme accessoire, regarde en complice volontaire, la masse fécale de l’empereur, l’ingrat Donald, si prolixe en stertors, dans ses mouvements turbinatoires et stercoraux !

    J’ai écrit ton poème, lyrique, verbeux comme un masque de macaque boutonneux, plein d’ellipses et d’épilepsies masturbatoires. Le grand mal, le Parkinson qui fait trembler la Terre le fait tourner devant ton âme ! Un livre mal fermé, que tu m’inspires, féru de critiques, ferré de vérités, sans espoir pour toi de les atteindre ou de les comprendre. La sagesse, la bonté, tu n’en a que faire !
    J’ai écrit Votre poème, devais-je dire par respect, sur un papier d’hygiène, un rouleau que je déroule, comme un tapis rouge sous vos pieds, une bible ancienne sur ses saints rouleaux, en votre scatologique honneur !

    IRRESPECT

    J’ai écrit votre poème donc sur un manuscrit délitable dans les eaux. J’en use à l’envie et ce n’est que pour l’offrir à la mer, aux puits et à leurs profanes arcanes, afin qu’elles comprennent ce que tu ne peux guère entendre ! Hélas, j’aurais voulu voir en toi le père que j’ai perdu, un mécène, un oncle moins profane.

    Seule la bobine du film, plaquée au mur, est capable de retenir les scories des gavials et des guépards. Les crocodiles et les fauves de vos aires, pires que celles de nos pays de merde, en méritent les honneurs ! Et pire encore, l’antidote de vos blasphèmes abominables et de vos matrices bucco-fécales.

    Il est plus énervant que les moustiques et les leishmanioses. Il gâche votre destin qu’il dévie et qu’il salit et votre vie qui chute plus encore, quand les insectes se piquent seulement de votre sommeil seulement. Il, c’est Lui, c’est eux.Il est plus énervant que les malades dont il se plaint, alors qu’il est payé pour eux, quand il les quitte pour aller aux cliniques du privé faire des heures plus rentables pour son art !

    Il est comme ce coq des voisins, Coco, qui vit ici. Là, c’est son paradis, terrestre et final, avant de voir sa photo sur le Net et de périr dans la cocotte ou la bouilloire du voisin qui l’a vu perdre des plumes et qui voudra l’égorger, ‘’halal’’, pour le sauver d’une mort inutile ! Une moustache, en qui de crête. Si Coco m’a adopté, juste pour mes mies de pains, je vais jusqu’à croquer des cacahuètes pour les lui donner en dessert. Je mâche les mots que je t’offre, Excellence, pour nourrir de bonté la bête qui est en toi.

    Lui, c’est un redoutable faussaire ! Masqué, de sa face hypocrite et doucereuse, il vous enlève votre bol de la bouche et ouvre en plus gueule ! Il est spécialiste de la compétence. Ce qui le rend acerbe et plus méchant encore. Ces gens, c’est lui ! Il est particulier, intelligent, certes, malin et dangereusement riche, mais abruti par son ostracisme. Il est l’emblème, le chevalier nouveau des racistes et des xénophobes de la planète impériale.

    Tous ont peur de ses actes surprises et de ses méfaits inattendus. De ses réactions démentielles ! S’ils ne sont pas ses amis, ils deviennent la cible de ses colères ou de ses ambitions de conquêtes ! Acheté par les lobbies, il ne cache pas sa nouvelle religion, mais en en grossit les ambitions, les infractions et les délires, endossant l’indécence et justifiant les crimes.

    UN TRUMP, ÇA TROMPE FORT

    Facile de penser à un éléphant dans un magasin de porcelaine. L’Afrique ! Trump ça trompe comme un dessin animé trafiqué ! Car il est pour de vrai solide, 3D et vivant. Il a l’âge ses maladies infantiles. Il est vigoureux et impudent. Et la folie sienne, ne compte pour rien, puisqu’il est le plus fort des princes, des roiset des présidents. Il les soumet à ses désirs, impétueux, ceux un ado en mal de cadeaux. Il lesexploite pour ainsi dire et les dirige à sa guise, et les mate en les mouillant. Comme les autres pontes, ils seront indirectement dominés par les zélotes d’Amérique, les cavaliers de l4apocalyse vue et corrigée par Sion. Il n’a pas échappé au port de la calotte, il en fait l’apologie. Il en est libre, pardi ! C’est un mur d’un roi saint, Sidna Soulimane, que même ceux d l’islam respectent.

    LES DOCS ET LES TOUBABS

    Pendant que vous êtes en train de parfaire vos connaissances, ne zappez pas ce texte,bonnescollations et autres copulations avec le savoir.
    Ils vivaient de la charité et s’embourbaient dans les frasques des dons, des impôts, des labos et des dettes. Je n’irais en Amérique ni dans l’Au-delà, que lorsqu’il sera démis de sa fonction ou qu’il disparaîtra !

    Cet immonde désir de répondre au scatologique de l’illustre personnage, me torture ! Et me crampe les viscères éclaboussant de ses maux mon sommeil fragile. Si la lâcheté entre gens politiques n’est pas un mythe ou un refrain, celle entre confrères n’est pas un conte de Noël, non plus. Il me rappelle le must  »Gentil Ami », ce docte et trivial savant. Il est d’Afrique aussi et ce Trump peut le traiter de tous les excrétas ! Sa bonhomie crue le fait aimer par ses clients et collègues de son patelin du sud entre frontières, montagnes et oasis !
    Mais, il aura si bien trahi celui qu’il appelait ‘’Cousin’’ qu’il est devenu faux et pathétique. Vengeance sur les frustrations…

    Confraternellement, blasé, je vide ma place et le laisse faire ses études, le travail de sa pompeuse formation postuniversitaire. Celle d’ici-bas et de là-bas ! Je vous délaisse à vos dons ! Parce que le vide est réversible et que les criminels et les lâches disparaîtront ou qu’ils finiront par payer pour leur préjudices. Je ne vais pas encore leur lancer de mes justes malédictions.

    TRUMP ET CHIMIE VISCERALE

    Redites élégiaques et refrains. Ô Crésus, ô Chronos, ô Princes des ténèbres, qu’a-t ‘on fait pour que l’un des vôtres devienne le plus important, sur cette terre, l’un de nos Présidents ? Le bouton rouge est sous sons doigt ! Un sceptre, un spectre. Tant que vous y êtes, apprenez à le faire sur ordonnance et aimez ce métier et apprenez votre sujet. Le leader Nord-Coréen, Kim Jong-un, vient d’affirmer que le bouton nucléaire est sur son bureau en permanence. Informez-le que moi aussi j’ai un bouton nucléaire, mais il est beaucoup plus gros et plus puissant que le sien, et il fonctionne. Dixit le pimpant et érectile Président Trump.

    La thérapie est amour, mais la thérapie est aussi l’amour. Apprenez donc à ces métèques sordides, à ces merdes dont vous vous plaignez, ce que vous avez au ventre et au cœur, en plus de vos propres et richissimes matières. Celles que vous dorlotez en votre bel intérieur et que sublimez avant de les expulser, telles vomissures pour honorer la postérité, des dons vos entrailles chéries ! De l’or, car tout ce que vous touchez devient de l’or !

    Ce que vous appelez merde, ou pays de merde, ne valent pas vos expressions intimes ni vos seigneuriales approches. Et la possession démoniaque de vos sujets vous vient d’un maître en la matière.Car votre patron dans ses urnes d’églises et son tronc usuraire, au pays de Jésus, aété élu pour vous troubler vous et vos sujets et vous réveiller ô peuples gris et noirs ! Si vous appelez à bannir la merde età la haïr, ce n’est pas fairel’amour, c’est ô hypocrisie un des ferments, des éléments de ce monde basique. Un extrait, une offrande des chairs précieuses et internent qui travaillent pour vus faire vivre dans l’intime discrétion.

    PARADIS AMÉRICAIN

    Il est plus que la légende, plus riche que Crésus, et mieux servi qu’au paradis, entouré qu’il est d’un harem d’éphèbes, de femmes stériles et de subalternes ! Et autant de riches seigneurs, des mécènes et des bénéficiaires, des laudateurs, de puissants présidents et de grands décideurs. Il a le monde entier dans la paume de la main, ‘’ He has the whole world in his hand’’, le Pouvoir, pour ainsi dire d’agir sur milliards d’êtres et d’altérer leurs destins, faute de les aider à mieux le faire.

    Il est au Paradis déjà ! L‘Amérique, la Maison blanche ! Celui qu’il s’est fabriqué, mais jusqu’à quand encore ? Car l’homme, disons des banalités, quel que soit son statut, n’échappe ni au déclin ni à la mort. Il disparaît dans le néant, si ce n’est dans l’oubli et pour toujours. S’il reste, il est telle une tâche scatologique dans nos vies, comme ces malfrats, dans notre mémoire pour les meilleurs, dans l’histoire pour leurs grandes actions et rarement dans nos cultures. Ses immeubles et ses affaires sont des preuves immuables dans son pays de géants.

    Il est immense ! De ce fait, il ne sert à rien de l’injurier pour ses mots, ni de lancer des imprécations sur son caractère, ses confabulations ou ses brusqueries burlesques. Comme il ne sert à rien, non plus, de le conspuer pour ses méfaits fantasques et périlleux! Car il est entouré d’influents hypocrites et d’homme sages ! Des fourbes et des abjects, ne doivent pas manquer ! Ce sont eux qui ont la main dessus ! Il le sait, mais il n’est pas toujours aimable ni bienveillant de ce fait, malgré ses frasques, ses mots et ses foucades!

    Il en est qui désespèrent et qui qui le quittent, avec un Livre incendiaire, en grand fracas.Ça ne sert plus à rien car il est Le Président. Il ne sert à rien non plus de vouloir le comprendre ou de lui expliquer, il a ses préjugés et ses convictions. Il est sur ses gardes. Impossible de faire l’hypocrite et de le tromper,il connait ça ! Car Il sait voir derrière les masques et il a une avance sur vous ! Il sait, de ce fait il n’est pas toujours aimable ni bienveillant. C’est un atout. Un Président n’est pas fait pour être doux ! Un ado plein d’ego, c’est pire encore, puisqu’il en est resté à ce stade-là, le gâteux bien gâté !

    Il est grand et fort, vieux mais il croit, il sait, qu’il fut beau, la classe ! y a photos ! Quand il vous salue, sa poigne vous secoue et vous écrase, pour vous montrer que sa force persiste et que le mec est encore puissant. Il vit dans un monde, létal, morbide et éphémère, quasi virtuel, mais un monde plus beau et plus vrai que les paradis mythiques des sémites qui le commandent ! Les apparences qu’il leur offre, sont un plus, un must en cadeau ! Le reste est pour la frime et la rare vertu. La galerie, l’Occident, la Russie. Jusqu’à présent, il sait se déployer .

    Envie et liberté de vos sujets. Le magnat devenu esclave, croit envier sa nudiste dulcinée. Se trompe-t-il au point de se croire encore virile sur ce sujet ? Ses adeptes ignares ont rempli leur office, alors que l’esclave blanche lui donne le bras et le ventre. Une horreur, un monstre, Satan, le Diable, le Démon l’habite ! C’est le Méchant qui l’a élu et sorti de sa boîte magique et que ses adeptes ignares, ont rempli les jours de vote, en faveur de l’Elu.

    Ignare belliqueux, monstres pervers et martyrs aussi. Celuide la fausse démocratie, ordonnée sur bulletin pour chaque américain dans l’urne, le jour des Grands électeurs de son pays admiré et honni. A bas les limaces,à bas les masques ignares ! C’est son père, le malin Lucifer, qui a fait le despote. C’est lui qui lui a permis de remporter le poste de président.

    PAUVRE DE NOUS, LES SHITHOOLE COUNTRIES

    Les pays de merde, la sentence est ignoble. Pire elle vient d’en haut et sur nos oreilles, comme une gifle, elle a claqué ! Abjecte ! Et qu’en pense le beau et grand blond de belliqueux visage pale ! Qui sont ces individus et ces arrière-petits-fils d’esclaves qui auraient aimé que tu les diriges ? Ils sont là chez eux, ou souvent assimilés, contre gréet par la force, ne pouvant retourner ni dans leur berceau africain, ni sur leur espace de liberté. Espace de dignité, de respect de soi,et de leur nid d’Afrique, d’Hawaï et d’Haïti. Ces merdiers de ‘’shithoole countries’’!

    L’AFRIQUE RUMINE EN CHŒUR

    Dusses-tu Crésus, maître des divins stercors, sortir des cuisses olympiques ou du cul de Jupiter ! Tu sais que ton heureux père des dieux, Zeus, n’est qu’une invention plaisante des antiques Grecs ! Et voilà que tu falsifie et que tu vends,-Hélion, Ursamlam, la ville éternelle volée part le vieux Sion, au Nathan !

    Abject étranger, tueur du reste des indiens, amour malheureux d’un fils de vikings avec une mère et non une vulgaires pute ! Abjecte extravagance, challenge d’être dieu et de traiter ses adorateurs de merde ou de pays de merde ! Tu n’es comptable de rien, tu pars sans payer, pour tes maux et tes mots.

    Alors que les muezzins appellent à l’unisson pour la prière et à l’union avec Dieu, à la prière après la propreté, aux ablutions après les actes d’amour…Alors que ceux qui se lèvent tôt, à la fin de la nuit, dans cette humilité active prient le Seigneur, toi Crésus, tu restes objet de lucre, de stupre ! Mais, ô honte tu exultes et tu t’exécutes, en subalterne avec les richissimes adeptes de Sion. L’illustre lobby qui façonne les présidents a gagné !

    Tes esclaves, les blondes que tu chasses et pourchasses, ces captives que tu caches, sache qu’elles obtempèrent dans la peur, quand tu leur fais tes horribles grimaces quand tu ‘en approches ! Jamais ces divas, top models et actrices, n’oseraient avancer qu’elles font l’amour pour de vrai, avec toi, pour le lucre ou sous la terreur ! Moqueur et cynique personnage ! Tu les domines, réunies sous la bannière de l’effroi, de ce fait, tu fais peur aux autres. Objets qu’elles sont, de stupre, de lucre et de criardes splendeurs !

    Reste, apprenti démon, faux élu et vrai fils de Satan, l’impérialiste magnifique que tu es ! Et de la Terre, soies le plus grand saigneur ! Reste, pour mener la Terre vers son apocalypse et sa fin, sa mort de boule folle. Et morte la maboule, personne n’y bouge encore ou respire ! Acrimonieux bouffon et triste acteur ! Reste en toi-même dans tes miasmes et ta geôle ! Érection superbe d’un demi-dieu sur la plus grande des nations ! La honte de l’Amérique ! Dans ta métempsychose, et pour rester poli, étreins tes ricaines, Sorcier, jusqu’à ce que l’amour des tiens s’en suive ! Assassin des autres, tu deviens le héros planétaire, celui qui indirectement, tue, les jeunes manifestants palestiniens !

    Mais où sont les libertés, quand ce que tu étreins (.), ceux que tu domines de partout, en ont marre, en ont peur, ou que humiliés et déçus de t’avoir élu, ils se révoltent ? Mais où es ta propre liberté, quand tu te détestes, dès que tu te réveilles ? Où est ta liberté, quand devant le Mur, calotte noire sur la tête…tu te laisses dicter tes conduites et que tu fasses semblant de t’adresser, en prières, à Dieu !

    CRITIQUES INUTILES

    Pour payer une dette électorale…Combien de milliards en fait ? Et que moralement, à genou, tu plies malgré ta taille et ces honneurs où te poussent tes Ricains ? Là, devant les ruines de ce reste du temple de Salomon, que détruisirent, dit-on, les Romains, à quoi penses-tu ? Le héros en prière, sadique et maso à la fois, me fait penser à la Guillotine et à Robespierre ! La corde donc, après le pouvoir, après le fouet des humiliations et le feu des canonnières ! Le sang et la terreur, la désolation et les carnages, découvrent l’ampleur de tes horreurs et celles des assassins, tes illustres prédécesseurs ! La ‘’merde’’, comme tu dis, après le sang et les terreurs. Ivresse des excrétas que tu sors de la bouche, et qui découvrent et dénoncent l’instigateur des actes assassins, le permissif gâteux, le fauteur des horreurs !

    Que tu gouvernes, oui, mais tes gaffes, tes sorties ignares, infâmes et stupides, ne sont qu’apparences ! Ta stature de Démon apprivoisé, n’est pas si bête que cela apparaît à tes détracteurs, pour qu’on dise de toi, que tes actes ne sont que les effets de l’ignorance ou de l’inconscience. Les bons dieux sémites, qui t’ont adoubé chevalier de la calotte prophétique, te lâcheront un jour !
    Je rage, ô anges de la mort, mais ce n’est pas de vous dont j’ai peur ! J’ai peur que les plus pervers de ce monde ne soient que de vulgaires apprentis sorciers, des acteurs des mercenaires, ou les fils de l’élu, Lucifer. Sortis du cul de Zeus, pour châtier les humains sur terre et les hâter vers l’enfer.

    Allez ! Apprenez votre thérapeutique des conflits, révisez vos théories et votre sémantique, mais sachez que ‘’la merde’’ se ravale un jour ! Hypocrite fils du Démon, loin d’être cupide, stupide ou con, Hippocrate un jour, tu as sorti Alexandre de sa Grèce, Esculape de son sommeil, Cicéron et César de leurs tombes méconnues, Diogène le Cynique de son tonneau. Tous seront témoins des bavures de l’esclave de Sion, qui habite la Maison Blanche, surfe sur le Capitole, s’appuie sur le Pentagone et chie sur l’Afrique !

    ‘’ Ote ton cul de mon nez’’ ! Comme te dirait Diogène, si tu étais bien vivant ou si tu vivais à son époque ! Je vois ta tête, enfouie dans un sac de honte, avant qu’elle ne tombe dans le linceul. Car la terre entière et ses ‘’états de merde’’ reconnaissent ta stupidité et ta grande gueule, devenues légendaires. Mais, si tu es là, c’est le fait du destin ou par erreur ! Cette Terre te voue ces richesses et ces forces, ces avancées et ces puissants électeurs, des voleurs de terres et de faux zélateurs !

    Terre d’argiles, de noirs et de merdes, c’est pour toi, kif-kif et synonyme. La terre des pères et des ancêtres, des océans, (du pétrole, que tu aimes), du fer (et du ciment que tu adores..), la terre des mères, (tu les rends orphelines, veuves et stériles et veules dans la peur), la terre, l’africaine refuse que tu la mortifies et que l’injuries encore. Du haut de ta puissance, retourne à ton Seigneur ! Si tu obtempères, que ton Seigneur te pardonne ! Que les malédictions, que tous profèrent, ne soient plus que des conseils pour toi et pas des injures !

    TERRES DES NOIRS

    Ils viennent de cette Afrique, de ces pays de merde. Et de ces putains de races aussi, en continuant sur le ton de ton sordide raisonnement. Ils viennent de ces contrées originelles, de ces des espèces de primates, des animaux ou des bien moins que ça ! De ces races originelles, dont les hommes de l’Atlas et d’Irhoud. Bien plus vieux que ceux d’Europe et de tes origines ! Ils viennent de l’homo sapiens, de l’homo erectus ! Ils viennent de Dieu, si tu peux faire mine d’y croire. Ils viennent de la vie, du cycle de la vie, de cette terre qui t’honore et que tu vomis, alors qu’avec tes zélotes du Lobby, tu t’exécutes et c’est là, que tu excelles !

    Et un conseil, gratuit, pour faire cesser les vitupérations, afin que tu rejoignes ton vrai géniteur et père ! Mais, d’où vient-il en fait ton étranger de père ? De quels patelins de merdes et quelles origines connasses sont les tiens d’envahisseurs blancs ? Les blondins, qui dominent les States et les nouvelles terres, menaçant la paix de toutes parts, vendant les armes, causant partout des guerres pour dominer le monde, le vider de ses substances, de ses biens, en trafiquant et en détruisant les équilibres naturels, les plus anciens, en multipliant les haines, entre toutes le bêtes de l’univers. Qui te ressemblent !

    SYNDROME DE STOCKHOLM

    À moins qu’en superbe subalterne, tu continues toi aussi dans ta cellule aux fenêtres closes. Ton Amérique, où tu continues de subir et d’aimer subir les harcèlements et les agréments sexuels, contre-gré, de tes zélotes ! Tes mâtons qui t’élisent, te dirigent et qui te gouvernent ! Tu es leur prisonnier, sans murs autour de toi, pour te laisser crâner à l’aise ! Toi qui as baisé le mur sain du temple de Salomon ! Merci à Israël de te prendre par la main, afin de te guider vers son seul bien ! Toi qui veux faire le malin, en injuriant les pauvres et les gens biens !

    Stockholm, c’est un peu en Europe, là près de tes amis et soutiens russes. Merci à ta blonde et douce chérie ! Mind, tu pourrais te faire des ennemis, malgré tout, si tu continues à chercher des poux sur la tête chauve du Sieur Poutine ! Ils ne te rateront pas… Car ce serait aussi, des êroubis pour toi, des ‘’paysans de merde’’ ! Dis leur en face qu’ils sont de la ‘’merde’’ et tu verras ce qui adviendra de ton arrogante Amérique ! Et ce ne sont pas les nations d’Asie ou d’Afrique que tu peux encore traiter de merde !

    TU VIENS DE PONDRE

    Cette lettre, M. le Président. «Jérusalem est, et doit, demeurer, un lieu où les Juifs prient au Mur Occidental, où les Chrétiens marchent sur les Stations du chemin de la Croix, et où les Musulmans prient à la Mosquée Al Aqsa.»

    La moitié de ceux qui ont fait l’Amérique ou contribué à faire surtout les States, monsieur Trump, viennent de ce continent en burn-out de ses anciens maîtres-colons. Des criminels et des racistes. Ne faites pas pire, en les traitant de ‘’shitty country’’ de pays de merde ! Du haut du Capitole ou de la Maison blanche, qui hier encore étaient occupés par un beau brun.

    Et puis quoi encore ? Quand la moitié de nos sentiments et des mots en réponse sur le web, ne suffisent pas pour améliorer la diplomatie et apaiser les humeurs de ceux qui ont été blessés, outre mesure. Brimés, dans le combat pour la liberté et pour le respect par les envahisseurs sur leurs propres terres, les voilà outrés par tes actes et tes mots. Je parle de la Palestine et d’Al-Qods encore. Mon sang, mon credo, comme diraient 2 milliards d’âmes ! Au lieu d’user de vos potentiels, de votre position éclairée, de votre influence, de votre entrisme avec les uns et les autres, pour faire la paix entre-eux, vous, tu ravages tous les espoirs de paix. Et tu mènes l’humanité à la troisième guerre mondiale, en semant la terreur, la haine et le racisme rétrograde. Quiconque, à commencer par les Juifs et les Evangélistes, y perçoit l’Apocalypse et la ruine de la terre ou tes mots et tes actes mènent.

    Notre milieu; nos langues, plus que nos familles et nos maîtres, nos rues et nos relations, nos peurs, nos expériences, nos colons eux-mêmes et nos programmes, nos langues et nos morales, nos religions, s’activent tous avec leurs antinomiques paradoxes à fabriquer nos caractères et nos âmes ! Nos personnalités, malmenées, nos profils de citoyens dénigrés, ou celles de gens vivant en harmonie et en convenance, dans des pays, des tribus ou des clans. Peu d’entre nous tous, sur terre, y compris vous, Donald, évoluent
    convenablement dans l’éthique idoine. Ingrats, cupides et hypocrites, paresseux, frustrés, inhibés, peureux et lâches, sont courageux, altruistes, juste et bons parfois ! Tentez le change, et l’on vous apprivoisera !

    Comment avec ça, un américain, un juif, un noir ou un quidam d’origine occidentale, pourrait-il être en harmonie avec les concepts des blancs locaux, des berbères, des noirs, des musulmans ou des arabes ? Melting pot et mulâtres de toutes sortes, mélanges des esprits et des espoirs, des religions et des relations, des caractères, des ambitions et des incompréhensions, des susceptibilités et des races. C’est ici la Terre, non ?

    DR IDRISSI MY AHMED, KENITRA, LE 22 JANVIER 2018

    #354399

    En réponse à : LA VIE

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    LA VIE, FACE AUX PESSIMISTES

    La vie, c’est le monde, dirais-je. Sans la vie, ici ou sur d’autres planètes, que vaudrait l’univers ?

    DR IDRISSI MY AHMED
    Dimanche 7 Janvier 2018

    . Les éclaboussures de ses souffrances inquiètent les lecteurs sensibles ou à fleur de noirceur ! Et certains pourraient sombrer dans le même pessimisme

    LA VIE

    CHAPITRE UN : CHERS ‘’AMIS DE LA VIE’’, BONSOIR

    Je partage avec toi, Cole et toi Henri, ces mots publiés sur FB en réponse à un pessimiste qui a livré au public des idées noires sur ‘’ la vie…’’. Les éclaboussures de ses souffrances inquiètent les lecteurs sensibles ou à fleur de noirceur ! Et certains pourraient sombrer dans le même pessimisme et autres collants et infectant délires contre la vie et l’existence entière. Sans la vie et au-delà de la vie, avec plus d’espérances et de mieux être encore, l’âme pour être clairs, que serait le monde des humains, depuis le début de ses mythes religieux, de ses doutes philosophiques, de ses prolifiques cultures et de ses civilisations méconnues ?

    Voici des réflexions écrites entre deux patients cet après-midi. La vie, c’est ce que défend le médecin, en soignant la mère enceinte, les enfants malades et les adultes jusqu’au terme prescrit pour cette vie. La sauvegardes et le maintient de la qualité de la vie, ce dont on parle sans mysticisme avouer, quand on dit des médecins qu’ils opèrent dans le secteur de la ‘’santé’’ ! N’oublions pas que dans l’Antiquité, puis au Moyen-âge, ce furent souvent des religieux, (au sens moral et civique élevés du terme), l’Eglise, voire des philosophes et des sages, des alchimistes qui furent les thérapeutes. Ils opéraient dans ces œuvres, bénévoles et/ respectables, en pleines épidémies. Bien avant que ce magister ne devienne une profession, un simple métier, altruiste parfois, sous tendue par les techniques et les sciences diverses qu’englobe la médecine. L’art de soigner et de protéger la vie !

    DEUX : PASSONS SUR LES VIEILLERIES BANALES

    La vie, c’est le monde, dirais-je. Sans la vie, ici ou sur d’autres planètes, que vaudrait l’univers ? Ce serait des milliards de milliards d’astres sans buts (connus) et des massifs planétaires inutiles en train de vaquer dans un ou des univers extensibles !
    Cette terre, qui est peu ou prou, une partie infime de l’univers, est notre berceau sinon notre éprouvette. Pour les croyants, Adam est un fabriqué-main de divine facture ! Nous ignorons quand même, les étapes et les secrets de la fabrication du premier homme. Tant d’eau et d’argile, mais où, dans ce paradis terrestre. Ou à côté, avant d’y choir tout fait ? Et en sus du simple corps, il y a le souffle de Dieu, qui lui confère l’esprit. Ou l’âme ? Ce plus, qui part quand son organisme ‘’ne marche plus’’ !

    La vie, chimies, argiles, eau et lumière, ont fait que cette vie soit, (à notre connaissance), sortie des mers et du ciel. Du Ciel !
    A croire les évolutionnistes et leurs sciences, chaque être, des bactéries aux algues puis aux arbres, des premières cellules vivantes à cet humain que nous sommes, porte des éléments infimes qui expriment le hasard de son hérédité, l’animale, pour nous, les dit-hommes.

    Un destin de ‘’vie’’, un modus, est inclus, inscrit comme capital et moule dans les cellules. Là où se lit le dit-destin de l’animal, de l’arbre ou de l’insecte. Le b, a, ba, le noyau de la vie ! Y participent les gènes des chromosomes. Nos possibilités animales, nous font partager certains ‘’gènes ‘‘avec d’autres êtres de parmi les ‘’bêtes ‘‘. Celles qui nous entourent et dont nous usons en nous régalant, pour alimenter notre organisme, pour activer et animer ses activités, pour nous construire physiquement et nous réparer ! Nous sommes des carnivores et des prédateurs. Des fauves ! Messieurs Trump et Netanyahou, plus que d’autres ! La barbarie, la sauvagerie, le sang sont inclus dans nos comportements naturels, dans nos fibres et dans nos veines ! La vie, la nôtre est tributaire de ce cycle peu amène du sang des autres, de leurs chairs et protéines.

    Nos actions et les actes déterminés par le milieu, humain et matériel, climatique voire cosmique et astral qui interfèrent. Puis il y a les rôles réfléchis ou pas de la famille, de l’école et de leurs idées et autres programmes. Des directives, des idées, un apprentissage qui profilent ce que nous devenons et ce que nous sommes. Il y a l’impact et le standing du pays, le statut du village ou celui de la tribu, s’y ajoutent les cultures ingérées et concomitantes dites extérieures. Tout cela fait que les us et les cultures forment la personnalité et décident de ses opinions, en traçant en partie, son caractère borné ou changeant.

    Et l’on voit que viennent nous formater et nous modéliser les religions et les civilisations, leurs langues et leurs traditions. Celles-ci interfèrent avec le monde du livre et du téléphone maintenant, pour faire de nos opinions, rendues fermes ou ouvertes, plus perplexes qu’elles ne le furent pour nos anciens. Nos jugements politiques, nos convictions sociales et nos crédos, des élémentaires aux plus simples, les philosophiques ou les plus compliquées encore, cadrent nos vies, leurs modus et nos actes bien sûr. Langue et langages opèrent, pourvu que les oreilles et la voix marchent. Oui, notre vie et notre évolution sont tributaires de nos sens. Ces cinq sens ou plus, qui donnent aux méninges, au cerveau, de quoi former la personnalité, ses sentiments et ses propres pensées, comme le sens des actes et des conduites ! Que la mémoire vous soit fidèle, Alzhie !

    TROIS : LES DERIVES NECROLOGIQUES

    La planète est une scène de théâtre. Nous y voyons des gens puissants harceler et amoindrir les plus faibles, les asservir, les broyer et les annihiler pour les empêcher de progresser tout en gardant leurs identités propres. Voire leurs terres et leurs patelins ! Des hommes puissants contre des escargots ! La fin du film est connue. Et ces façons de dire et de se conduire, dans la vie en société, en ville, au stade ou en politique, vous diffèrent un ponte notoire, un sauvage, un riche ou puissant général ou président d’un minusculhomme * ! Un nain, un infra, ce n’est pas comptable ! Admettez, svp le néologisme, de ces mollusque-hommes ! Que ce bonhomme soit électeur ou pas, et comparez sa vie et sa conduite avec celles de ces illustres surhommes ! Dignes des super-héros. On ne parle ici, ni du travail, ni des recettes ni du bonheur ou de la santé, qui sont les paramètres de la vie. Mais des contraintes sur la vie des autres. De quoi détester ‘’la vie’’! N’est-ce pas monsieur le pessimiste ?

    Dès lors, comparez cet ouvrier de France ou du Maghreb, ces Rohingyas qu’on achève en Birmanie, avec un gars de la tronche de ce Trump et de ses comparses des lobbies qui l’on élu ! Je ne parle pas de paix vécue dans un pays donné, ni d’états en voies de soulèvements et de guerres, ni des richesses des uns ou des autres, mais des conduites envers autrui. Ses comportements, même lointains, interagissent et impactent notre vie. La personne, l’individu, ses libertés, ses droits et d’autant son sens de la vie, tourne parque la vie est devenue mondialisée. Remodelée, re-normalisée par les médias, les phones et les sites sociaux et communautaires ! Une vie, une personne, dotée d’un caractère, de pensées propres, devient le sujet de conduites schizophréniques. Elle est hallucinée, difractée sur plusieurs styles, ceux d’endroits et de milieux éloignés et différents d’elle.

    La poignée de main forte, la chevelure bienséante, de ses sorties virulentes, le riche ado jette son dévolu caractériel et son verbe, toute sa viralité de génie, sur les adeptes de ses tweets et de ses propos indélicats. Des inconduites ou des frasques politiques qui font des victimes. Avec sa trempe de dominateur, Trump a des capacités qu’il impose aux autres. Il faut dire que c’est sa vie et qu’il est l’Amérique ! Comme tel artiste ou telles stars, mais chacun a ses vils secrets, ses astuces, son brio et ses apparentes ou nobles qualités ! On a vu comment les chefs de marque, les illustres imperators, font les princes et défendent leurs pays, ou les pourfendent. Comme ils gèrent les révoltes et les gouvernements, comment qu’ils agitent la guerre ou l’invasion, ou qu’ils fassent faire la paix entre les ennemis d’hier. En un mot des sorciers et des manipulateurs ! Et comment leurs actes agissent sur nos destins et nos vies. Voir la réponse virile de ce Donald, à la limite de l’obscène, qu’il vient de faire au président de la Corée du Nord, à propos du ‘’bouton nucléaire’’!

    Dire que la vie n’est rien, pour répondre à ce monsieur, qui la trouvait dangereuse, nulle ou labile et trop courte, n’est pas si aisé ni facile, à la vue de ces évènements et des souffrances des peuples et de celles des gens perdus dans les villages des jungles ou perchés sur les montagnes inaccessibles et enneigées !

    Pour être heureux ‘’de sa sienne de vie ‘’ a-t-il pensé aux autres et comment ils sont astreints de vivre çà et là, leur p…périlleuse de vie ?

    QUATRE : L’INVASION DES CLOPORTES

    A-t-il encore, ce monsieur, pensé aux malades qui n’ont pas les moyens de se soigner, à ceux qui vivent en guerre et à ceux qui la fuient, pour plonger corps et âmes, dans les abimes des mers de non-retour ?
    Ou dans les pays qu’ils infestent et torturent, qu’ils embêtent massivement en tant que fugitifs et migrants honnis et mal-vus ! Et que faute d’amour de leurs hôtes, leurs misères notoires ne leur font rencontrer que gènes, nuisances et haines supplémentaires !

    Ne faut-il pas tout faire pour la paix, à l’international, dans tous les pays du Moyen-Orient ? Et non se mettre, chers démocrates cultivés et occidentaux, à les soulevez de façons perverses les uns contre les autres, à la manière de ce Trump qui a déclaré installer son ambassade américaine à Al Qods ! Un novice malencontreux qui fait pire que ses prédécesseurs et contre l’avis de l’Europe unie ! Et tout cela pour le pétrole, surtout pour la vente d’avions et d’armements aux Arabes, (Qu’il n’aime pas) sous couvert de ladite quiétude du très démocratique Israël. Brisez tous les pays arabes et les fracasser, en autant de parties subalternes et ennemies les unes des autres, le b, a, ba de Machiavel !

    Ne faut-il pas que les gens bien d’Europe, (ces pays qui ont survécu à ces guerres mondiales, atroces et abominables, qui avaient tué des centaines de millions de gens), agissent en connaissance de cause et des choses, de par leur statut de civilisations assagies, pour que ‘’ces fugitifs’’ rentrent définitivement chez eux ! Dans leurs pays éclatés, aux infrastructures ruinées, plutôt que de rester, là où personne ne les aime ni les désire ! Est-ce ‘’une vie’’ que la leur, comparée à la vôtre Monsieur, qui critiquez si véridiquement ‘’ la vie ‘’ ?
    Oui je vous comprends, si vous parlez de leur vie, à eux ! Pires que celle des chiens errants et des chats et de ces autres animaux qu’on abat, gratuitement, ou qu’on sacrifie pour nous vêtir, nous chausser ou nous nourrir.

    CINQ : LE SENS DE LA VIE DURANT LES GUERRES

    La Paix pour la vie de tous ou les affaires de certains pour la mort des autres ?
    Oui, je vous saisis, car ces vies, sans aucune dignité ni libertés, sont celles des prisonniers dans leurs propres pays, envahis et dévastés, ceux du Moyen-Orient, depuis la fin des colonies, surtout après la première guerre Irak-Iran et celles qui avaient pour buts de dévaster l’Irak, la Libye et puis la Syrie. A La recherche par ces grandes puissances à la pointe du nucléaire, d’armes atomiques ou de morts massives ! Et quels sont les pays visés ou celui qui sera au programme, après le Yemen et l’Arabie ? Et quels motifs invoqueront les maîtres du monde, pour faire détester la vie aux habitants de ces déserts ? Ces terres ‘’arables’’ et si utiles pour la sécurité et pour les affaires impérialistes ?

    Comme exemple, il y a encore celui qui fait la peine à tous. Merci au duo des acteurs Trump et Netanyahou. C’est le cas de ce pays qu’on efface de la planisphère et qui est envahi par des militaires surarmés. Ceux d’une puissance nucléaire, pan-terrestre. Ces Juifs du monde, bien cultivés, admirablement surmédiatisés, bien nantis, aux 180 prix Nobels ! Ces démocrates qui tuent les leurs de voisins-envahis et qui les maltraitent parce qu’ils leur demandent de libérer leur pays, et qu’ils ont la mauvaise idée de vouloir résister à l’invasion restrictive de leur terres ! Pourtant, je me dis des fois, qu’ils sont comme les Résistants de France, ceux qui ont fait face aux nazis !
    Ils demandent la vie, ces affreux rebelles du gommage colonial ! Ils demandent la liberté. Ils demandent la paix ! Et ce pour y vivre en bons citoyens, sur leurs terres restantes et dans leur capitale ancestrale. Envahis et tailladés, ils requièrent une vie libre, comme celle où vit notre bonhomme si critique de qualité sordide de ‘’ la vie’’ !
    Ils aspirent à une vie meilleure. N’est-ce pas le vœu de tout un chacun ? Une vie comme celle des Européens, actuellement, loin des envahisseurs et de la terreur constante. Loin des colons et autres tueurs, motivés au nom d’une religion ancienne, qu’ils instrumentalisent, de façon perverse, fourbe et raciste et ce au nom d’un dieu Yahvé…Somme toute, le même que Dieu et Allah ! Un Dieu tribal, inique, qui a ses préférés d’entre les hommes, et qui leur permettrait de brimer les autres et de les effacer, pour assoir leur foi !

    SIX : LES NOUVELLES ETOILADES* DE TRUMP

    Quid du sens de la vie durant les guerres ? Ou les nouvelles guerres de religions qui présagent d’une troisième guerre mondiale ! On réédite les Croisades. Ce sont des Etoilades*, qu’il faudrait dire ! On sort de ses arcanes antiques, barbares et lubriques, une époque religieuse. Celle d’une ère périmée qui est en train d’empoisonner et de pourrir ‘’ la vie contemporaine, de tous les habitants, sincère pacifistes, de la Terre !

    Et cela depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale. Il y a plus de 60 ans, anglais et autres alliés aux Américains, ont offert un foyer de feu, aux fils de ceux qui ont péri dans les fours crématoires allemands ! Oui, c’est la vie qui brûle ! Les Arabes paient pour Hitler et ses hordes de SS allemands !

    Surtout celles de millions de gens, des Palestiniens, qui a part leurs droits sur leur terres et leur fierté, sont jaloux de La Liberté que s’offrent partout dans le monde, leurs cousins Sémites. Ces Juifs poussés au Sionisme envahisseur par leurs puissants et rassembleurs lobbies américains. Ce sont pourtant les petits-fils du même prophète, sauvé du feu, Abraham, qui les massacrent sur leurs terres. Abraham sur son autel, n’aura égorgé pour Yahvé ni Ism-Ael ni Idzhak, mais sur l’autel de Palestine, la curée ne cesse pas ! Dieu, le vrai ne doit pas aimer ce sacrifice-là ! Plus jamais encore, il ne devrait leur permettre ça !

    Ce sont des envahisseurs, rescapés ou réchappés, issus de tous les pays du monde qui sont venus pour les cloîtrer dans des camps d’apartheid. Des occupants qui les emprisonnent derrière un mur dans de véritables camps de concentrations.
    Les maîtres attendent leurs suicides ! C’est-à-dire, des pertes obligatoires qui doivent survenir chez les plus faibles. A la suite des révoltes impuissantes contre les maîtres oppresseurs. Ces fins limiers de la terreur. A la suite des marches de dépit, de si bonnes occases pour que la réaction armée opère le nettoyage ethnique. Programmé et attendu par les machiavels universels pour et afin de purifier la région !

    SEPT : LE SENS DE LA VIE

    Que penseraient de ces mots, ‘’ le sens de la vie ‘’ des autres, ceux qui sont si près des livres pieux, les religieux ? Que penseraient de ces mots ceux qui jonglent avec les théories philosophiques ? Que pensent-ils de ‘’la vie’’ de ces basses-gens, de ces maîtres et de ces hauts personnages ? Ces tyrans dominateurs, programmeurs politiques des plus hautes fonctions et places, ces régisseurs de la planisphère financière, ces mastodontes, caractériels et frivoles, qui sont devenus d’horribles malades et de terrifiants dictateurs, pires pour leurs victimes, que ne fut Hitler, l’affolant führer !

    Etre opaque à la vie des autres, c’est vouloir être aveugle et sombre, trop pessimiste et stérile, fermé ou borné ! Et c’est une mauvaise école. Tant pour les jeunes, les vieux que les malades qui espèrent mieux que les despotes adorateurs adeptes du démon !

    Et si l’on fabriquait moins d’armes et qu’on créait moins de tensions, de suprématies et de guerres, cet argent spolié, irait aux soins des gens, à leur meilleur habitat et raisonnable alimentation, à une consommation plus utile, plus logique et moins effrénée. Les gens iraient au travail, s’occuperait de leurs terres, de leurs amours, de l’éducation de leurs enfants et de leurs villes. La famille sera mieux régulée et plus stable, partout et sans fioritures, alors la paix sera assurée partout et pour tous. Et peut-être que plus de bonheur reviendrait sur cette terre, pour de plus larges strates, pour tous les humains. Ce qui rendrait les penseurs et les critiques, plus optimistes à la vie et au sens de la vie !

    Dr Idrissi My Ahmed, le 05 / 01 / 18

    LA VIE

    #354397

    Sujet: LA VIE

    dans le forum Débats
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    LA VIE

    CHAPITRE UN : CHERS ‘’AMIS DE LA VIE’’, BONSOIR

    Je partage avec toi, Cole et toi Henri, ces mots publiés sur FB en réponse à un pessimiste qui a livré au public des idées noires sur ‘’ la vie…’’. Les éclaboussures de ses souffrances inquiètent les lecteurs sensibles ou à fleur de noirceur ! Et certains pourraient sombrer dans le même pessimisme et autres collants et infectant délires contre la vie et l’existence entière. Sans la vie et au-delà de la vie, avec plus d’espérances et de mieux être encore, l’âme pour être clairs, que serait le monde des humains, depuis le début de ses mythes religieux, de ses doutes philosophiques, de ses prolifiques cultures et de ses civilisations méconnues ?
    Voici des réflexions écrites entre deux patients cet après-midi. La vie, c’est ce que défend le médecin, en soignant la mère enceinte, les enfants malades et les adultes jusqu’au terme prescrit pour cette vie. La sauvegardes et le maintient de la qualité de la vie, ce dont on parle sans mysticisme avouer, quand on dit des médecins qu’ils opèrent dans le secteur de la ‘’santé’’ ! N’oublions pas que dans l’Antiquité, puis au Moyen-âge, ce furent souvent des religieux, (au sens moral et civique élevés du terme), l’Eglise, voire des philosophes et des sages, des alchimistes qui furent les thérapeutes. Ils opéraient dans ces œuvres, bénévoles et/ respectables, en pleines épidémies. Bien avant que ce magister ne devienne une profession, un simple métier, altruiste parfois, sous tendue par les techniques et les sciences diverses qu’englobe la médecine. L’art de soigner et de protéger la vie !

    DEUX : PASSONS SUR LES VIEILLERIES BANALES

    La vie, c’est le monde, dirais-je. Sans la vie, ici ou sur d’autres planètes, que vaudrait l’univers ? Ce serait des milliards de milliards d’astres sans buts (connus) et des massifs planétaires inutiles en train de vaquer dans un ou des univers extensibles !
    Cette terre, qui est peu ou prou, une partie infime de l’univers, est notre berceau sinon notre éprouvette. Pour les croyants, Adam est un fabriqué-main de divine facture ! Nous ignorons quand même, les étapes et les secrets de la fabrication du premier homme. Tant d’eau et d’argile, mais où, dans ce paradis terrestre. Ou à côté, avant d’y choir tout fait ? Et en sus du simple corps, il y a le souffle de Dieu, qui lui confère l’esprit. Ou l’âme ? Ce plus, qui part quand son organisme ‘’ne marche plus’’ !
    La vie, chimies, argiles, eau et lumière, ont fait que cette vie soit, (à notre connaissance), sortie des mers et du ciel. Du Ciel !
    A croire les évolutionnistes et leurs sciences, chaque être, des bactéries aux algues puis aux arbres, des premières cellules vivantes à cet humain que nous sommes, porte des éléments infimes qui expriment le hasard de son hérédité, l’animale, pour nous, les dit-hommes.
    Un destin de ‘’vie’’, un modus, est inclus, inscrit comme capital et moule dans les cellules. Là où se lit le dit-destin de l’animal, de l’arbre ou de l’insecte. Le b, a, ba, le noyau de la vie ! Y participent les gènes des chromosomes. Nos possibilités animales, nous font partager certains ‘’gènes ‘‘avec d’autres êtres de parmi les ‘’bêtes ‘‘. Celles qui nous entourent et dont nous usons en nous régalant, pour alimenter notre organisme, pour activer et animer ses activités, pour nous construire physiquement et nous réparer ! Nous sommes des carnivores et des prédateurs. Des fauves ! Messieurs Trump et Netayahoo, plus que d’autres ! La barbarie, la sauvagerie, le sang sont inclus dans nos comportements naturels, dans nos fibres et dans nos veines ! La vie, la nôtre est tributaire de ce cycle peu amène du sang des autres, de leurs chairs et protéines.
    Nos actions et les actes déterminés par le milieu, humain et matériel, climatique voire cosmique et astral qui interfèrent. Puis il y a les rôles réfléchis ou pas de la famille, de l’école et de leurs idées et autres programmes. Des directives, des idées, un apprentissage qui profilent ce que nous devenons et ce que nous sommes. Il y a l’impact et le standing du pays, le statut du village ou celui de la tribu, s’y ajoutent les cultures ingérées et concomitantes dites extérieures. Tout cela fait que les us et les cultures forment la personnalité et décident de ses opinions, en traçant en partie, son caractère borné ou changeant.
    Et l’on voit que viennent nous formater et nous modéliser les religions et les civilisations, leurs langues et leurs traditions. Celles-ci interfèrent avec le monde du livre et du téléphone maintenant, pour faire de nos opinions, rendues fermes ou ouvertes, plus perplexes qu’elles ne le furent pour nos anciens. Nos jugements politiques, nos convictions sociales et nos crédos, des élémentaires aux plus simples, les philosophiques ou les plus compliquées encore, cadrent nos vies, leurs modus et nos actes bien sûr. Langue et langages opèrent, pourvu que les oreilles et la voix marchent. Oui, notre vie et notre évolution sont tributaires de nos sens. Ces cinq sens ou plus, qui donnent aux méninges, au cerveau, de quoi former la personnalité, ses sentiments et ses propres pensées, comme le sens des actes et des conduites ! Que la mémoire vous soit fidèle, Alzie !

    TROIS : LES DERIVES NECROLOGIQUES

    La planète est une scène de théâtre. Nous y voyons des gens puissants harceler et amoindrir les plus faibles, les asservir, les broyer et les annihiler pour les empêcher de progresser tout en gardant leurs identités propres. Voire leurs terres et leurs patelins ! Des hommes puissants contre des escargots ! La fin du film est connue. Et ces façons de dire et de se conduire, dans la vie en société, en ville, au stade ou en politique, vous diffèrent un ponte notoire, un sauvage, un riche ou puissant général ou président d’un minusculhomme * ! Un nain, un infra, ce n’est pas comptable ! Admettez, svp le néologisme, de ces mollusque-hommes ! Que ce bonhomme soit électeur ou pas, et comparez sa vie et sa conduite avec celles de ces illustres surhommes ! Dignes des super-héros. On ne parle ici, ni du travail, ni des recettes ni du bonheur ou de la santé, qui sont les paramètres de la vie. Mais des contraintes sur la vie des autres. De quoi détester ‘’la vie’’! N’est-ce pas monsieur le pessimiste ?
    Dès lors, comparez cet ouvrier de France ou du Maghreb, ces Rohingyas qu’on achève en Birmanie, avec un gars de la tronche de ce Trump et de ses comparses des lobbies qui l’on élu ! Je ne parle pas de paix vécue dans un pays donné, ni d’états en voies de soulèvements et de guerres, ni des richesses des uns ou des autres, mais des conduites envers autrui. Ses comportements, même lointains, interagissent et impactent notre vie. La personne, l’individu, ses libertés, ses droits et d’autant son sens de la vie, tourne parque la vie est devenue mondialisée. Remodelée, re-normalisée par les médias, les phones et les sites sociaux et communautaires ! Une vie, une personne, dotée d’un caractère, de pensées propres, devient le sujet de conduites schizophréniques. Elle est hallucinée, difractée sur plusieurs styles, ceux d’endroits et de milieux éloignés et différents d’elle.
    La poignée de main forte, la chevelure bienséante, de ses sorties virulentes, le riche ado jette son dévolu caractériel et son verbe, toute sa viralité de génie, sur les adeptes de ses tweets et de ses propos indélicats. Des inconduites ou des frasques politiques qui font des victimes. Avec sa trempe de dominateur, Trump a des capacités qu’il impose aux autres. Il faut dire que c’est sa vie et qu’il est l’Amérique ! Comme tel artiste ou telles stars, mais chacun a ses vils secrets, ses astuces, son brio et ses apparentes ou nobles qualités ! On a vu comment les chefs de marque, les illustres imperators, font les princes et défendent leurs pays, ou les pourfendent. Comme ils gèrent les révoltes et les gouvernements, comment qu’ils agitent la guerre ou l’invasion, ou qu’ils fassent faire la paix entre les ennemis d’hier. En un mot des sorciers et des manipulateurs ! Et comment leurs actes agissent sur nos destins et nos vies. Voir la réponse virile de ce Donald, à la limite de l’obscène, qu’il vient de faire au président de la Corée du Nord, à propos du ‘’bouton nucléaire’’!
    Dire que la vie n’est rien, pour répondre à ce monsieur, qui la trouvait dangereuse, nulle ou labile et trop courte, n’est pas si aisé ni facile, à la vue de ces évènements et des souffrances des peuples et de celles des gens perdus dans les villages des jungles ou perchés sur les montagnes inaccessibles et enneigées !
    Pour être heureux ‘’de sa sienne de vie ‘’ a-t-il pensé aux autres et comment ils sont astreints de vivre çà et là, leur p…périlleuse de vie ?

    QUATRE : L’INVASION DES CLOPORTES

    A-t-il encore, ce monsieur, pensé aux malades qui n’ont pas les moyens de se soigner, à ceux qui vivent en guerre et à ceux qui la fuient, pour plonger corps et âmes, dans les abimes des mers de non-retour ?
    Ou dans les pays qu’ils infestent et torturent, qu’ils embêtent massivement en tant que fugitifs et migrants honnis et mal-vus ! Et que faute d’amour de leurs hôtes, leurs misères notoires ne leur font rencontrer que gènes, nuisances et haines supplémentaires !
    Ne faut-il pas tout faire pour la paix, à l’international, dans tous les pays du Moyen-Orient ? Et non se mettre, chers démocrates cultivés et occidentaux, à les soulevez de façons perverses les uns contre les autres, à la manière de ce Trump qui a déclaré installer son ambassade américaine à Al Qods ! Un novice malencontreux qui fait pire que ses prédécesseurs et contre l’avis de l’Europe unie ! Et tout cela pour le pétrole, surtout pour la vente d’avions et d’armements aux Arabes, (Qu’il n’aime pas) sous couvert de ladite quiétude du très démocratique Israël. Brisez tous les pays arabes et les fracasser, en autant de parties subalternes et ennemies les unes des autres, le b, a, ba de Machiavel !
    Ne faut-il pas que les gens bien d’Europe, (ces pays qui ont survécu à ces guerres mondiales, atroces et abominables, qui avaient tué des centaines de millions de gens), agissent en connaissance de cause et des choses, de par leur statut de civilisations assagies, pour que ‘’ces fugitifs’’ rentrent définitivement chez eux ! Dans leurs pays éclatés, aux infrastructures ruinées, plutôt que de rester, là où personne ne les aime ni les désire ! Est-ce ‘’une vie’’ que la leur, comparée à la vôtre Monsieur, qui critiquez si véridiquement ‘’ la vie ‘’ ?
    Oui je vous comprends, si vous parlez de leur vie, à eux ! Pires que celle des chiens errants et des chats et de ces autres animaux qu’on abat, gratuitement, ou qu’on sacrifie pour nous vêtir, nous chausser ou nous nourrir.

    CINQ : LE SENS DE LA VIE DURANT LES GUERRES

    La Paix pour la vie de tous ou les affaires de certains pour la mort des autres ?
    Oui, je vous saisis, car ces vies, sans aucune dignité ni libertés, sont celles des prisonniers dans leurs propres pays, envahis et dévastés, ceux du Moyen-Orient, depuis la fin des colonies, surtout après la première guerre Irak-Iran et celles qui avaient pour buts de dévaster l’Irak, la Lybie et puis la Syrie. A La recherche par ces grandes puissances à la pointe du nucléaire, d’armes atomiques ou de morts massives ! Et quels sont les pays visés ou celui qui sera au programme, après le Yemen et l’Arabie ? Et quels motifs invoqueront les maîtres du monde, pour faire détester la vie aux habitants de ces déserts ? Ces terres ‘’arables’’ et si utiles pour la sécurité et pour les affaires impérialistes ?
    Comme exemple, il y a encore celui qui fait la peine à tous. Merci au duo des acteurs Trump et Netanyahou. C’est le cas de ce pays qu’on efface de la planisphère et qui est envahi par des militaires surarmés. Ceux d’une puissance nucléaire, pan-terrestre. Ces Juifs du monde, bien cultivés, admirablement surmédiatisés, bien nantis, aux 180 prix Nobels ! Ces démocrates qui tuent les leurs de voisins-envahis et qui les maltraitent parce qu’ils leur demandent de libérer leur pays, et qu’ils ont la mauvaise idée de vouloir résister à l’invasion restrictive de leur terres ! Pourtant, je me dis des fois, qu’ils sont comme les Résistants de France, ceux qui ont fait face aux nazis !
    Ils demandent la vie, ces affreux rebelles du gommage colonial ! Ils demandent la liberté. Ils demandent la paix ! Et ce pour y vivre en bons citoyens, sur leurs terres restantes et dans leur capitale ancestrale. Envahis et tailladés, ils requièrent une vie libre, comme celle où vit notre bonhomme si critique de qualité sordide de ‘’ la vie’’ !
    Ils aspirent à une vie meilleure. N’est-ce pas le vœu de tout un chacun ? Une vie comme celle des Européens, actuellement, loin des envahisseurs et de la terreur constante. Loin des colons et autres tueurs, motivés au nom d’une religion ancienne, qu’ils instrumentalisent, de façon perverse, fourbe et raciste et ce au nom d’un dieu Yahvé…Somme toute, le même que Dieu et Allah ! Un Dieu tribal, inique, qui a ses préférés d’entre les hommes, et qui leur permettrait de brimer les autres et de les effacer, pour assoir leur foi !

    SIX : LES NOUVELLES ETOILADES* DE TRUMP

    Quid du sens de la vie durant les guerres ? Ou les nouvelles guerres de religions qui présagent d’une troisième guerre mondiale ! On réédite les Croisades. Ce sont des Etoilades*, qu’il faudrait dire ! On sort de ses arcanes antiques, barbares et lubriques, une époque religieuse. Celle d’une ère périmée qui est en train d’empoisonner et de pourrir ‘’ la vie contemporaine, de tous les habitants, sincère pacifistes, de la Terre !
    Et cela depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale. Il y a plus de 60 ans, anglais et autres alliés aux Américains, ont offert un foyer de feu, aux fils de ceux qui ont péri dans les fours crématoires allemands ! Oui, c’est la vie qui brûle ! Les Arabes paient pour Hitler et ses hordes de SS allemands !
    Surtout celles de millions de gens, des Palestiniens, qui a part leurs droits sur leur terres et leur fierté, sont jaloux de La Liberté que s’offrent partout dans le monde, leurs cousins Sémites. Ces Juifs poussés au Sionisme envahisseur par leurs puissants et rassembleurs lobbies américains. Ce sont pourtant les petits-fils du même prophète, sauvé du feu, Abraham, qui les massacrent sur leurs terres. Abraham sur son autel, n’aura égorgé pour Yahvé ni Ism-Ael ni Idzhak, mais sur l’autel de Palestine, la curée ne cesse pas ! Dieu, le vrai ne doit pas aimer ce sacrifice-là ! Plus jamais encore, il ne devrait leur permettre ça !
    Ce sont des envahisseurs, rescapés ou réchappés, issus de tous les pays du monde qui sont venus pour les cloîtrer dans des camps d’apartheid. Des occupants qui les emprisonnent derrière un mur dans de véritables camps de concentrations.
    Les maîtres attendent leurs suicides ! C’est-à-dire, des pertes obligatoires qui doivent survenir chez les plus faibles. A la suite des révoltes impuissantes contre les maîtres oppresseurs. Ces fins limiers de la terreur. A la suite des marches de dépit, de si bonnes occases pour que la réaction armée opère le nettoyage ethnique. Programmé et attendu par les machiavels universels pour et afin de purifier la région !

    SEPT : LE SENS DE LA VIE

    Que penseraient de ces mots, ‘’ le sens de la vie ‘’ des autres, ceux qui sont si près des livres pieux, les religieux ? Que penseraient de ces mots ceux qui jonglent avec les théories philosophiques ? Que pensent-ils de ‘’la vie’’ de ces basses-gens, de ces maîtres et de ces hauts personnages ? Ces tyrans dominateurs, programmeurs politiques des plus hautes fonctions et places, ces régisseurs de la planisphère financière, ces mastodontes, caractériels et frivoles, qui sont devenus d’horribles malades et de terrifiants dictateurs, pires pour leurs victimes, que ne fut Hitler, l’affolant führer !
    Etre opaque à la vie des autres, c’est vouloir être aveugle et sombre, trop pessimiste et stérile, fermé ou borné ! Et c’est une mauvaise école. Tant pour les jeunes, les vieux que les malades qui espèrent mieux que les despotes adorateurs adeptes du démon !
    Et si l’on fabriquait moins d’armes et qu’on créait moins de tensions, de suprématies et de guerres, cet argent spolié, irait aux soins des gens, à leur meilleur habitat et raisonnable alimentation, à une consommation plus utile, plus logique et moins effrénée. Les gens iraient au travail, s’occuperait de leurs terres, de leurs amours, de l’éducation de leurs enfants et de leurs villes. La famille sera mieux régulée et plus stable, partout et sans fioritures, alors la paix sera assurée partout et pour tous. Et peut-être que plus de bonheur reviendrait sur cette terre, pour de plus larges strates, pour tous les humains. Ce qui rendrait les penseurs et les critiques, plus optimistes à la vie et au sens de la vie !

    Dr Idrissi My Ahmed, le 05 / 01 / 18

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Un conte de Noel, ‘’La pluie, le coq et la paonne’’

    Délires politiques ou réflexions mystico-philosophiques. Errances, délires insoumis et fragrances. Dénigrements identitaires et machiavélisme

    Dédicace

    Chère consœur, madame Student

    Tu m’as demandé pour David-Salomon d’Israël, dont tu es la préceptrice même au Barzakh, et pour les fêtes de l’orée de 2018, un livre, qui serait ton testament. Je ne sais pas faire de testaments, même pour une vieille héroïne ! Tu voudrais y relater pour le public tes opinions sur les troubles contemporains, tes idées de professeure à confier aux médecins-citoyens, et aux gouvernants, adeptes du civisme universel. En voici alors les premières pages. Tu voudras bien en corriger les erreurs. Ce qui relève de ton boulot. Ce sera l’épisode 78 de tes chroniques différées, Mme Student. Bonne année et bonne lecture.

    Rencontres et hasards

    La pluie, un facteur impondérable et incontrôlable du destin. Ali qui habitait ailleurs, me raconte qu’après avoir cherché où loger à Marseille, dans plusieurs hôtels tous pleins, et ce par temps de pluie, qu’il avait fini par trouver un lit double. Qui plus est, il a rencontré là, un ami de classe qu’il n’avait pas vu depuis 20 ans…Le fait de ne pas trouver de chambre dans les précédents hôtels l’a poussé à chercher et a concouru à lui faire rencontrer, par hasard, cet ami du lycée, qui allait devenir maire de son patelin ! Destins et hasards ou actions parallèles subtiles et ignorées ?

    Regrets et tristesse

    Regrets et tristesses que les pleurs ne peuvent réanimer ni ressusciter les morts. Ces sentiments, même s’ils très forts et justifiés, ne sont pas des prières orthodoxes, des incantations magiques, des miracles, capables de redonner aux macchabées de nouvelles vies.

    Quand j’entends les voix, immortelles, de ceux qui sont morts, musiciens et chanteurs, je ne peux m’empêcher de regretter qu’ils ne soient plus là. Et que leurs ombres, esprits ou fantômes, ne soient pas ressuscitées pour continuer avec brio de célébrer la vie et reprendre leurs paroles et leurs chants.

    Hammoudah Ya Hammouda

    Voici une chanson qui me pousse à rendre hommages aux voix, aux lumières et aux flammes vibrantes et inextinguibles, de ces Jilalas, ces Flambeaux et ces Ghiwanes, qui malades ou morts, qui jeunes ou encore en vie. Et par devoir et révérence, je salue ceux qui comprennent et ravivent ces andalous, Loukili, Raïss, Brihi, et ces grands du Melhoune, dont je retiens Lhoussine Toulali.

    Je n’oublierais rien de mes émotions, je retiendrais encore mes aspirations culturelles, politiques ou poétiques pour toujours. Je cite avec admiration en les louant ces illustres monuments égyptiens. Oum Kalthoum Abdelwahab, Farid, Abdelhalim, entre autres puissantes et belles voix classiques, qui sont à des millions de fans et d’adorateurs plus précieux que les pharaons. Tahar Ben Jelloun vient d’écrire ‘’qu’il vaut mieux être chanteur qu’écrivain’’ en comparant le faste des funérailles de Johnny Halliday à la sobriété des obsèques du prolixe écrivain et académicien, Jean D’Ormesson !
    Des millions meurent sans laisser de traces à quiconque !

    Les écrivains, par-delà le verbe et le ton, furent pour certains, les ferments, l’esprit et la bravoure des militants. D’autres, furent parfois les laudateurs intéressés des mécènes ou des grands personnages des régimes puissants. Voire pour d’aucuns, la flamme de l’esprit, la force convaincante des bras libérateurs des résistants.

    Les chanteurs sont morts et leurs adulateurs, oublieux ou pas, ont vieilli dans le silence d’Alzheimer. Il est un Alzheimer qui s’appelle silence salvateur et mutisme hypocrite ! Quand je vois cependant, ces grands auteurs, qui avaient des choses à dire, qui ont nourri l’opinion et forgé les caractères, je reste jaloux des lettrés, des médias et des écrivains. Je suis effaré, époustouflé d’admiration, s’il faut multiplier ces idées et ces mots par tous les poètes et les auteurs de toutes les langues. Imaginez ce que représentent les productions encyclopédiques des dix siècles derniers.

    Corruption ou avantages

    Quand je vois des nôtres qui s’entêtent, à s’enterrer, pour soigner de petits bobos, pour se perdre et s’anéantir dans la petitesse des honoraires, afin d’assumer avec abnégation ces soins…Je ne peux que comparer ces actes à ceux de l’instituteur et de la ménagère. Des actes qui dit-on, qui sont autant d’actes de prières et de foi. Et puis, par dépit pour la masse, ces stars, ces milliardaires d’entre eux ! Des libéraux, dans le commerce, la finance et l’industrie qui ont si bien réussi…Et puis ces grossistes, mastodontes es-drogues et sublimes kifards, versés dans la politique pour certain, qui seraient derrière l’affaire d’Al Hoceima ! Et ces puinés de bouchoukaras, auxquels les bons ministres ont permis d’ouvrir des cliniques, sans doctorats ! Des joint-ventures qui crient le népotisme et la corruption. Ça se voit, ça pue ! Mais qui se sent morveux, se mouche !

    Quand ce n’est pas une forme de vol, de préhension bessif par les pontes qui ont du poids ! On ne défonce pas les habitudes ni la rigueur des lois aussi simplement, il faut avoir des appuis massifs pour le réussir ! Surtout quand la décision est plus rapide que l’éclair. Tonnerre de Zeus. Sauf que ces turpitudes et ces compromissions, ces favoritismes abusifs, sont des dépravations qui fragilisent les commerces, l’économie, la réputation et la continuité des gouvernements et des pays où ça se répand.

    Blanchisseurs par-delà les murs et les lois, rien d’illégal ne leur est impossible ! Je ne suis jaloux ni de leurs idées ni de leurs biens. Encore moins de leurs collections de gadgets inutile, de leurs fermes, de leur villas, ou de leurs super cités, construites sur les terres conquises, par-delà le mérite et les droits.

    Le travail et la citoyenneté

    Mais comment stimuler les jeunes au travail et au besoin du travail, du développement, cette éthique vitale, sans donner l’exemple des riches et de leurs succès, si aguichants ? Aussi vains qu’ils paressent à certains ! Ils servent de copie, de parangons, d’horizons et de buts à atteindre. Sans vrais milliardaires, visionnaires et volontaires à la fois, on n’aurait pas de Trump à Washington, ni à Jérusalem et demain, leurs ambassades sur Mars ou sur la Lune ! Et sans ces super-richards, on ne se porterait pas au chevet du climat, chez Macron, à Paris, ce 12 / 12 / 17. Mais là, nous sommes stupéfaits à l’ONU, ce 21 Décembre, devant la déclaration menaçante de la femelle-porte-parole-des-ricains !

    Dénigrements identitaires et machiavélisme

    Les virus des langues, du tribalisme et des religiosités diverses, les germes du clanisme, implanté et cristallisé par les colons, ont fini par inoculer des luttes et fomenter des guerres internes. Pendant que les plus nantis des nôtres, qui renient l’islam, l’arabité et l’africanité de leurs ancêtres, esquivent l’amalgame avec ceux des leurs qui crèvent dans la la résistance ou l’humiliation. Allah yerham le professeur Mehdi El Mandjra ! Humiliations, du fait de leurs langues, de leurs couleurs et de leur ADN, devant les Occidentaux. Les strates inférieures grincent des dents, croyant encore avec nationalisme, à leurs identités particulières et au prestige de leurs civilisations passées.

    ‘’L’arabe est une langue morte’’, selon Mohamed Chafik, enseignant des princes et chantre de l’amazighité. Faut-il croire à ses billevesées et balivernes ? Dénigrements et machiavélisme, un rebond colonial, avec effet retard, chez le conquis. On en est venu là, au nom des origines, des clans, des particularismes et des identités, factices ou opposées.

    C’est la curée pour ce melting-pot aux nombreuses originalités, qu’est ce Maroc. La partie est gagnée par l’adversité. Partouse dans les anciennes colonies ! Epouses conquises contre-gré, courtisanes ou hétaïres, que le virus du séparatisme a fini par briser et gangréner. Fausse couche du nationalisme, avortement du patriotisme par scissiparité… Les bras divorcent du corps : le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, la Lybie, sont écartelés ! Le Proche-Orient et ses fractures civiles et depuis religieuses, est malade des invasions anglaises, française et de nouveau américaines pro-sionistes et sionistes. Ces animosités erratiques vont foncer sur le Maghreb et s’y installer ! Nouvel exode des struggles barbares Nous nous sommes installés dans l’œil du cyclone. Le cyclope Trump !

    La paléontologie au service du nationalisme

    Je reviens aux fiers séparatistes et autres séparatistes ! Déni de leur naissance, de leurs us multiples, et de leur essence, péché originel infirmant leur estime de soi, le fait d’être nés ici, allant jusqu’à désavouer leurs identités multiples, leurs cultes et civilisations passées. Celles-ci sont, devenues infamantes, obsolètes et abjectes. Et dire que l’homme de Jbel Irhoud est d’ici-bas ! Salut à Fouad Benziane et aux découvreurs de l’Adam du Maroc et des homos sapiens du reste de la Terre. Les professeurs Jean-Jacques Hublin et Abdelouahed ben-Ncer doivent creuser plus bas encore ! Nos premiers homo sapiens, se sentent infirmes et orphelins devant les homos erectus du Nord, les descendants des Néandertaliens ! Qu’y avait-il comme ancêtres à nos ancêtres amazighs ?

    Je reviens à nos répulsifs hôtes, ils mendieraient, ne serait-ce qu’une infime attention des maîtres-colons du Nord. Ceux qui ont cherché parmi les moindres différences pour opposer, définir et déterminer des oppositions entre les habitants du Maghreb ! Une diffraction, des animosités, dans le but machiavélique évident de séparer d’entre les habitants pour dominer leurs esprits, leurs terres, sinon leurs richesses !
    Et ils chercheraient de leurs maîtres, une reconnaissance, une neutralité en se désolidarisant des leurs. Méfiance et dés-appartenance, leur sont ainsi insufflées pour ne pas sentir humiliés et sauver la face ! Cette humiliation séparatiste, cette indignation, cet avilissement, cette perte de la dignité et de la fierté, on la leur fait sentir, depuis les abjectes conquêtes de Sion !

    Fouilles dans votre génome !

    Sion, c’est l’Occident et l’Amérique réunis derrière un projet colonial, dont ont profité les victimes des nazis en réparation du forfait allemand. On voulait les mettre dans un territoire fourre-tout de tous les sémites, juifs, hébreux comme ayant le judaïsme comme religion, Israël en l’occurrence ! La Palestine a changé de nom, elle a été de longue date spoliée.

    A l’opposé, leurs racines de nos autochtones, les plus éloignées, sont reniées et refoulées. Ainsi, leur ADN est pur et sauf ! Ils, on a oublié leur histoire prodigieuse, vielle de plus de 3500 ans. Les multiples dynasties et les héros, la venue des Juifs puis les percées de divers envahisseurs. Les brassages des Branesses, venus des Pyrénées, le passage des Vandales, puis celui des Romains, tous ces-étrangers ont laissé des traces de leurs langues et mots dans les langues berbères et dialectales chez nos ‘’résistants gaulois’’, les Amazighes.

    Séparatisme et clanisme

    Faute de purisme racial, obsolète et étroit, on se pose des questions existentielles. Les Phéniciens, les Carthaginois, n’auraient-ils pas fait l’amour aux nôtres, pas plus que les Romains qui avaient élevés, le fils de Juba 1er et la fille de Cléopâtre ? Juba II fut marié par Auguste à Cléopâtre Séléné, la fille de la grande Cléopâtre et de Marc Antoine. Les deux enfants des célèbres vaincus, furent élevés à la cour de Rome.

    Il ne faut pas minimiser l’histoire, mais en être fier, sans la renier par complexe ou suffisance. Et tous ces noirs et ces mulâtres, venus depuis le passé, du sud du Sahara, faut-il les oublier ou les renvoyer en Afrique ! Ainsi, les sangs ont été mélangés de ces faits successifs-là, qu’on l’ait voulu ou pas ! Le Maroc est une terre de mélange qui doit reconnaitre tous ceux qui y vivent de plein droit, sans résurgence ni opposition des langues et dialectes usités ! On ne connait pas la couleur, ni la religion des hommes de Jbel Irhoud pour dire que tout le Maghreb appartenait à leur clan ou à leur tribu seulement.

    Heureuses situations que celles de ces millions de métis qui se savent nés des mélanges de marocains, blancs, issus des cités voisines, des bourgs et des villages, où les bruns ont épousé des blanches et où les gens des familles urbaines, dites arabes ou ‘’andalouse’’, se sont mariés à d’autres personnes d’essence et de langues berbères ! A noter que les premiers ‘’andalous’’, en plus des indigènes ibères, ont été des colons ou berbères !
    Où partir d’où et où se mettre, sur quel entre deux chaises s’assoir ou danser, quand on se sait et quand on se reconnait issu, sans complexes ni sanctuaires, des mélanges incessants de ces branches-là ?

    La faute à Machiavel

    Y a-t-il un but, une fin préconçue à ce complexe ravivé par les réflexes coloniaux séparatistes ? Machiavélisme oblige ! En fait ce droit est synonyme de libertés et de fidélités aux us et aux souches. Les racines sont inaliénables, quelles que soient les hauteurs et les branches où ils grimpent pour se différencier. C’est aussi le besoin de sagesse et d’unité qu’il est d’apaiser les racismes divers et de lutter contre la xénophobie, instillée par les maestros du Nord et leurs zélotes incongrus. Des agents, désintéressés, qui récitent, médiatisent et attisent les différences. Question de mieux se sentir dans leurs peaux, par rapport à ces ‘’arabo-musulmans’’, qui sont en déperdition d’image ! Leurs langues, leurs religions, leurs états ciblés, ces pays sont haïs de plus en plus, par les activistes des leurs ! Ces ‘’devenus quelque peu indépendants’’, furent antérieurement vaincus, colonisés et servent depuis de cibles et de repoussoirs. On est parvenu à imploser la population, et ici en Afrique du Nord, on a réussi à miner les sentiments d’unité nationale ou maghrébine !

    Ces ‘’divergents’’ se sont empêtrés dans les luttes existentielles, alors que les pays éventrés font face au sionisme international. Certains y adhèrent par une sorte refoulement rétrograde identitaires. Ils y retrouvent pour d’aucuns leur origines hypothétiques ancestrales. Le lavage de cerveau culturel est un but acquis et un symptôme. Il devient un atout une bouée de sauvetage, une échappatoire. Autrement on assiste au mal-être des humiliés et à leurs tentatives d’échapper au fait. On observe depuis leur volonté de se détacher des autres concitoyens, de ces ET, de par leurs différences de langue grossies et affichées, comme autant de particularismes identitaires qu’ils exhibent et instrumentalisent.

    D’autres sont sinon plus fragiles et ne font que réciter le slogan de pureté raciale berbère.

    Si leurs pays s’achètent des moyens de guerres pour se défendre et pour se faire face entre bons voisins, les nôtres de puristes, excipent des référentiels différents. Depuis leurs indépendances, nos pays équipent leurs armées, avec comme conséquences des freins économiques et des tares plus que aggravées. Les leurs, de toutes parts, subissent en plus de l’ignorance, de la pauvreté et de l’éloignement, la faim, les morsures du froid et la gageure des misères du corps, sans attentions ni soins.

    Anathèmes face aux outrages

    Omar Saghi de Tel-quel, me donne des idées intelligentes mais lâches pour me taire. Une urticaire que je redoute et répugne. Il propose, faute de paix ou de droits retrouvés, ‘’le silence des braves’’ ! Résilience dans l’enfouissement de la tête dans le sable ! Puisque les arabo-musulmans-palestiniens du monde entier, sont défaits ! Car, ils n’ont pas les moyens de vaincre ni de convaincre le Tyran surarmé qui va placer son ambassade à Al Qods. Quoiqu’en disent les autres puissances, que Trump défie, ils ressassent le problème sans pouvoir lui trouver une solution et sans pouvoir s’unir pour contrer leur adversaire, ne serait-ce que politiquement !

    Trump, qui malgré ses interdits, n’a pas pu atterrer la Corée du Nord qui s’équipe qu’on le veuille ou non, en fusées et autres engins de guerre atomiques, trouve sa revanche sur les Arabes et les Musulmans, bien plus aisée. Le fielleux est fou-furieux contre Pyongyang. Despote führer, arrogant et puissant, il faut le dire, il a galvanisé le maître es-fourberie d’Israël, Netanyahou. Cela, en dépit des oppositions et des imprécations, venues de partout dans le monde. Et il emmerde les pays qui lui résistent et ONU avec, en refusant leurs droits aux palestiniens et en humiliant par la même, les Arabes et tous les Musulmans de la terre.

    Comment comprendre son article ‘’ l’autre Jérusalem‘’ Les imprécateurs par milliards, pudiques et respectueux des forces inégales, témoins de l’injustice sur les leurs, vouent au ciel leurs prieurs et les âmes de leurs jeunes. Ils attendent du Dieu, commune en fait, qu’il milite et résiste face terroristes pour leur faire justice et les venger sur terre. Ruades et colères, en guise de prières pour les droits, la justice, l’indépendance et les libertés. Celles dont les envahisseurs disposent, ‘’démocratiquement’’, juste à côté d’eux ! En fait chez eux et en dedans d’eux, de leurs terres, dont ils sont les exclus, un apartheid ou ces colonisés, sont soumis à l’esclavage, au racisme et aux pires humiliations.

    A tous les gueux,

    Les tyrans ont volé Al Qods pour l’offrir à la tribu du dieu, et massacrent, en guise d’offrande à Yahvé les jeunes manifestants musulmans, qui copient le geste de David, avec leurs tire-boulettes dans la Cité de la paix, Your Salam. Jérusalem, autel de sang et non temple d’un quelconque dieu !

    Dédicaces cassées pour la bonne année

    A tous les gueux, à leur superbe et leurs offenses !
    A bas les gâteux, les ramollis de naissance, qui ont assombri la Lune en y posant leur pied.
    A ces coupoles vertes qui éclatent à l’appel des complices.
    A ce mur des lamentations qui assassine les muezzins.
    A tous ces avocats, ivre de justice et de droit, qui sommeillent sur l’affaire du Proche-Orient.
    A ces temples brisés, aux murs sans porte aucune !
    A ces monts nus, hier pileux et fiers, qu’aucune tempête n’a jamais rasé depuis un millénaire.
    A toutes ces ignobles ordures, ces cadors et consorts, ces abjects charlatans et vils faussaires !
    A tous ces misérables qui ont médit pour que Trump triomphe et que Netanyahou prépare l’Apocalypse ! Jérusalem se brise. Le cor va sonner l’Apocalypse. Ils la veulent, ils la préparent, ces Evangélistes guerriers de l’Amérique !

    A Shahrazade

    Les mille et une nuits ont cessé d’exister. Le Yémen pilonne Riad. Et vice versa. Après Al Qods, demain ce sera le tour de la Mecque et de Médine. A tous les minarets mutilés qui pleurent leurs fumées noires sur les cimetières verts, bleus de peurs. A tous les corps sanglants perdus dans le néant terribles des vents inutiles.

    Aux étoiles étiolées

    A tous ces soleils chaleureux, sans ombres et fiers, qui fleurissent sur les déserts fossiles.

    Aux funestes corsaires et aux sanglants barbares, aux assassins sans esprit ni âmes. A ces bêtes inassouvies, corrompues de richesses et de verbes infâmes ! Injustice meurtres d’innocents et guerres fratricides; vouées à l’ennemi pour lui plaire.

    Je pleure les bières qui vous couvriront de linceuls et les terres souillées de vos corps aux rouges infâmes. Je plains les pierres empourprées de vos cendres abjectes. Je déplore ces prières et ces offenses qui sortent de vos lèvres immondes.

    Condoléances culturelles

    La France soupire et regrette ses idoles et ses icônes éteintes. Qui pensait que ces monstres sacrés aillaient mourir un jour ? Hier d’Ormesson, Johnny Halliday ce jour. Demain d’autres aussi célèbres, passeront par la trappe. Déments, assassins ou héros des leurs, jacta est, BHL, Trump, Netanyahou, finiront un jour ! Comme le Che, Castro, les Césars et les Pharaons et tant et tant de leurs illustres prédécesseurs.

    Une ambassade à Jérusalem

    Je n’avais pas terminé ma carte de condoléances pour ce duo aux antipodes de la célébrité vraie, que voici cassant l’écran un super héros, Hulk 5D et en plus grand ! Tout blond et blanc, très wasp, il a fait une entrée fracassante dans la cascade des événements du monde qu’il embrouille et veut faire éclater. Des bouleversements, pire des projets telluriques ! Une avancée néfaste sur des abysses maudits, du fait accompli et de l’impérialisme funeste. Un éclat du racisme sioniste et de la tyrannie barbare, appliquées aux guerres de religions ! Un diktat aux antipodes de la démocratie, de la diplomatie et de toute civilisation.

    Vous avez vu la Palestine piétinée, dénigrée, les siens traités en esclaves-prisonniers, emmurés et muets, leur territoire rongé et sa capitale, volée. L’arnaque avalisée par les ténors du libéralisme des pseudo-démocraties. De vils assassins, super-menteurs cyniques et fourbes, porte-voix politique, qui pratiquent le racisme hypertrophié, comme identité et valeurs. Des médias et des ténors infatigables, des SS sémites aux antennes qui font l’opinion et créent l’injustice, la fausseté et l’atmosphère de haine et de guerre !

    Des philosophes, barbouses et mercenaires, au service du racisme et de la xénophobie planétaire. Ce au nom de la religion hébraïque, fanatisée à l’extrême, instrumentalisée, et dévoyée, la Bible débauchée, pour voler le territoire d’un peuple, pour commettre des invasions, des meurtres et des ravages, menaçant de guerre mondiale nouvelle, l’humanité asservie et corrompue !

    Sacrilèges et malédictions

    La malédiction des faibles et des abusés, crie et hurle, face à criminelle infamie. De quoi demain sera-t-il fait? Quelles guerres insatiables faut-il craindre ? On en devine les perdants, qui espèrent pour l’adversaire ignoble, la honte universelle, le châtiment de dieu et les pires avanies ! Ou la Justice politique, ici-bas, seulement ! Mais ils ne sont pas croyants. Pire, ils sont le peuple élu, la tribu de Dieu, ils ne craignent nul pénitence ni damnation dans l’Au-delà ! Les autres sont des blasphémateurs. Et nuls briseurs de silence ne viennent pour affronter les exactions et les fourberies des Sionistes. Ils sont vainqueurs de la ‘’guerre des civilisations’’, un nom, un adjectif faussaire, pour dénommer ‘’la guerre des religions’’ ! Et en apparence seulement. Un terme déplorable pour notre temps !

    Nos sournois cousins sémites, si affables, hier chez-nous, fiers de leur passé, qui par le temps et le lavage de cerveaux, sont devenus des ingrats odieux et des félons pervers. Combien de victimes, enfants, femmes et vieillards, seront emportés dans les flammes sionistes et les explosions américaines ? Pour expier leur passé, périr au présent et souffrir le chaos pour l’avenir.

    L’homme, digne, pacifique et pudique, se tait. Le sage est fait pour mourir comme les autres bêtes. Les rares militants, les simples marcheurs, crèvent entre les mains des assassins de parmi les pays les plus puissants. Càd, les plus intelligents des hommes, purs, riches et blancs, démocrates, se disent-ils. Les plus forts de la planète, adeptes de Satan, ne sont que de vils renégats. Mais le Démon ne leur doit rien, il crie son innocence. Le Diable n’a pas leurs compétences fourbes et sanglantes ! Terrorisme biblique dévoyé, fait de subversion, d’humiliations, de perfidie et d’épouvante !

    Le globe des martyrs

    Combien d’êtres meurent après avoir vécu un si court instant, dans cette terre vieille de 4,5 milliards d’années ? Planète qui doit regretter de les abriter, si elle pouvait le leur dire et leur parler à sa façon. Tsunamis, cyclones, séismes et tremblements, qu’attendez-vous pour venger les êtres les plus frêles et faire justice aux innocents ? Mais, hélas ce n’est pas leur boulot !

    Sans parler des nôtres, les plus proches et nos parents…Illustres penseurs, artistes et politiciens, tous partent ! Certains avec dignité et regrets, les autres…attendent dans l’angoisse et la haine de passer, qui sobrement, qui ignominieusement, leur temps, en profitant de la vie, comme elle vient ! Jetant les autres, victime ou pas, aux orties du temps.

    Sont-ils des humains ou des prédateurs abjects et inconscients ? Leur fallait-il mourir, sans cérémonies du panthéon et des églises ? Honteusement humiliés avec leurs peuples, éclatés, déchirés, effacés. Ce qu’ont toujours voulu leurs ennemis ataviques ! Les voilà ! Qui pendu comme au western, Saddam. Qui sur une brouette comme Kadhafi, à la sortie d’un caniveau. Qui percé de trous, comme Salah ce chef yéménite, tué par ses acolytes? Ou comme ces enfants pulvérisés, en cendres, sous les explosions. Au bord la mer, ils dorment à jamais, les vagues câlinent certains. Et puis, là, ô honte de l’Afrique et de la pauvreté ! Ce sont des esclaves, de toutes les couleurs, qui sont vendus en Lybie. O honte à vous, illustres misérables, qui avez brulé ces grands et illustres pays du Moyen-Orient !

    Parallélisme

    En Israël pas encore, ils cherchent un nettoyage ethniques. Vive la politique de Nathan et de Trump, ils sèment la mort en Orient. Les pays de la région sont défoncés par les affres causées par les démocrates civilisés lors de leurs missions ! Ivres qu’ils sont du pétrole et de l’or d’autrui, comme de leurs fortunes, tributs de guerre, spoliés, ou de leurs capitales et de leurs terres, au prétexte de souffler un air de Liberté pour leur offrir la Démocratie ! Hypocrites menteurs et abominables assassins ! Les victimes de ces divers terrorismes attendent leurs droits.

    Froideurs mortelles

    L’hiver participe à la moisson des âmes, en soufflant les bougies des malades et encore plus des plus vieux. Grippés et alités devant l’écran, ils remercient Dieu pour la pluie qui plait aux agriculteurs, les richards d’entre-deux et les petits fellahs. Les politiciens vont enfin montrer leurs nez ! Leurs bénéfices iront grimper.

    Injonction !

    Tu aurais dû te faire vacciner contre la grippe pour t’éviter de nous dispenser tes peines et de sombrer dans les délires. Verbaux ou écrits. On veut lire autre chose. Tes maux de gorge viennent des échos que tu lances sans arrêt sur le Web. Et tes éternuements, n’agitent nul responsable pour répondre à tes idées saugrenues ! Ils sont loin d’écouter et de lire, ou d’appliquer tes suggestions. Si banales devant les fiers et distants décideurs…Inutile de les rappliquer et de les réécrire encore ici, même si certaines de ces idées ont été publiées dans la presse écrite, avant d’être appliquées, dix ans après ! Epargne-nous ton lexique boursoufflé qui constipe tes écritures. Déjà illisibles de par les lourdeurs incompréhensibles, les colères inutiles et les sorts jetés contre les plus puissants des tzars, des empereurs et des kaisers !

    Idées miennes, pertinence et réalisations

    Attendez, avant de me clouer le bec et de tourner la page ! Je cite de mes idées quelques-unes.

    * Les cours d’alphabétisation dans les mosquées. Voir Libération le journal socialiste, qui avait publié, cette proposition aussi frappante, bien avant que ça ne commence de se faire par les awqafs !

    * Les hôpitaux itinérants de secours militaires. Merci au doyen Berbich et au General Archane de leurs écoutes polies de mes anciennes lettres et au cas où ils auraient transmis, plus haut, mes suggestions et idées!

    * Cent hôtels en face des derricks. Des noms internationaux sur d’immenses hectares, d’Oujda à Tanger jusqu’à Lagouira. En invitant tous les pays à concourir et à y investir. Avec une route côtière pour les relier et du travail et des écoles pour les ménages immédiats et villages avoisinant.

    * L’université de perfectionnement théologique internationale. A Fès, capitale religieuses, ou à Maamora, spacieuse forêt, pour les abriter et pour s’y concentrer, le plus tranquillement possible. Chaque religion aura à faire ses constructions et ses départements, lesquels seront répartis comme des branches. Une étoile centrée par un vaste espace culturel pyramidal commun.

    * Et ces temples des religions, auront en commun, un amphithéâtre central, qui sera le lieu des conférences et des communications de l’université œcuménique des religions. Le Maroc donnera l’exemple d’ouverture aux nations, dans le cadre de la liberté des cultes et de la tolérance. Le dialogue des religions aura un organe pour de vrai et les sessions se feront avec respect, fréquemment.

    * Les aides humanitaires seront délivrées dignement. Plus jamais de sacs de bouffe humiliant aux gens, pour éviter la cohue des souks et les morts conséquents. Un choix libre et plus amène serait de leur donner des subventions et de l’argent ! Ni de souks de ce genre lors des fêtes ou au début de l’Aïd et du Ramadan, mais de l’argent comptant, pour minimiser la cohue et les déplacements.

    *L’Intérieur et les Municipalités auront le soin de faire les listes des bénéficiaires réguliers et de délivrer les subventions. Sous le contrôle des services de sécurité, des Awqafs et des représentants de ces bonnes gens !

    * Pour les urgences à travers le pays. Multipliez les hélicos de secours de la Gendarmerie royale et de façon importante.

    * Une division et du personnel à former d’un seul tenant, pour la maintenance, le pilotage et les soins. Grâce aux dons et aux prêts humanitaires des pays nantis. Des ressources transparentes et visibles. De par le concours important de nos amis du Moyen-Orient.

    * Revoir avec sérieux et totalement les routes des villages et celles de l’accès des tous les villages aux axes routiers nationaux. Un plan Marshall grâce aux soins de nos amis d’Orient et d’Occident ! Ecoles, dispensaires, électricité, eaux de boisson, voiries, routes et ponts, tout cet ensemble pour plus de complémentarité rurale. L’INDH sera rurale aussi. Le Maroc, sera transformé en un chantier incluant tous les villages de toutes les régions du royaume. Pas que Al Hoceima, qui aura obtenu cela, en faisant beaucoup de bruits.

    * Plus facilement et en clin d’œil sur simple décision royale ce projet. ‘’Opérations cités propres’’. Afin de rehausser la notion de cité et de communauté citadine, des biens et des devoirs collectifs, de culture de citoyenneté et de civisme, qui sont les bases élémentaires du patriotisme, de l’amour du pays et de la civilisation.

    * Des trottoirs nets et nettoyé, propreté et carrelage,

    * Des chaussées à goudronner et des façades à peindre, avec curage des voiries, avant les hivers, à faire durant une semaine symbolique et à réaliser 4 fois par an, dans toutes les villes et les bourgades du royaume.

    * Interdire de roulage toute auto ou bus dégradés et dégradant. Une horreur pour les locaux et aux yeux des touristes. Une honte internationale pour ce Maroc qui veut faire tant d’efforts pour améliorer son image et montrer ses progrès à l’Afrique et aux pays développés.

    * Le Roi s’échine à améliorer notre image pendant que les municipalités commettent des entraves punissables et des inepties qui détruisent les efforts du Roi. Sévir et corriger les saboteurs et les impudents, est une bonne philosophie, qui doit devenir la règle et la norme et non l’exception !

    Appel citoyen aux Hautes Instances,

    Patience Lecteur ! Appel de l’AAMM ! Encore un mot de prospective, qui annonce et prophétise une autre Révolution Royale, sanitaire cette fois ! Une attention soutenue envers l’Enseignement, la Justice et la Santé.

    Outre le Ramed et les efforts de l’INDH consentis en matière de santé, l’attention envers les handicapés et face aux épidémies, sont des faits encourageants certes, mais à plus développer.

    Qui plus est, sur le plan des impôts indirects et sur les maladies, il y a un hiatus arbitraire inique ! Des impôts indirects, des taxes inconscientes, des taxes de Douane et de TVA sont appliquées avec ineptie. Les malades sont exploités, grevés d’un tiers du prix ! Des taxes prélevées sur leurs médicaments et durant leurs états de souffrances et de maladies !

    Il y des aveugles ou des ingrats, parmi les ministres, les conseillers parlementaires et les cadres surpayés, surpassés ou dépassées. Des responsables qui n’ont pas résolu le problème des taxes injustes sur les maladies et les médicaments !

    Imaginez ces créatures nouvelles, hommes et femmes, puis ces lois immondes qu’elles nous laisseront encore appliquer sur nos tares épisodiques et sur nos affections chroniques ! Imaginez Lecteurs et Décideurs, que pour ma grippe et mes maladies chroniques, que je paie des impôts indirects. Et vos parents et vous aussi !

    Des taxes de Douane et de TVA, innommables et abusives, sur mes douleurs et mes peines. Sur les pauvres et les riches ! Et qu’un carcan de 27 % du prix, invisible et de trop, va pour alimenter ces ministres bien aimés ou pas et que le destin rejette et ces parlementaires qui méritent la prière de l’absent. Je me plains à celui pour lequel on ne vote pas. Et à Dieu, tant qu’on y est. Pourquoi pas ? Peut-être qu’ils m’entendront, les anges ? Faute d’ouïes chez les ministres concernés et très souvent sollicités, par mes soins. Faute de réponses polies des conseillers d’en haut et de ceux d’en bas, les parlementaires, présents et assidus.

    Il faut que la bonne gouvernance, remarquable, celle autoritaire et efficiente des plus hautes autorités entourant SM le Roi, soit intéressée et investie afin de corriger ces exactions et cette bévue.

    Répétition et précisions

    Le deal du projet de Réforme Royale devra cerner le grave problème de l’iniquité fiscale. Celui qui concerne en bloc les soins, les analyses, les radios et les médicaments. C’est celui du carcan des taxes punitives et moyenâgeuses, sur les médicaments. La dime et la gabèle que sont les taxes iniques qui ne frappent que les seuls malades ! C’est grave, convenez-en !

    Nous le redisons. Il faut procéder à une meilleure justice fiscale en dispensant, en dépénalisant les médicaments et les malades, qui sont les seuls à payer la Douane de 17 % et la TVA de 7 qui a été portée honteusement pour son innovateur à 10 % ! Soit 27 % de pénalités et que ne paient que les seuls malades, sur leurs médicaments. Une honte et une injustice ! Avouez-le !

    Les malades de tous les secteurs, ceux des Hôpitaux dans l’achat du matériel médical, des réactifs et des médicaments, ceux des Caisses des malades, supportent ces ponctions aux dépens des économies de leurs adhérents malades. Et c’est pire pour ceux qui n’ont pas l’heur d’avoir une couverture médicale.

    Ainsi, oser la justice de la fiscalité des soins et des médicaments, est une réforme sublime. Elle est digne des plus grands actes religieux et de justice sociale de SM le Roi.

    Elle sera exemplaire, car c’est une innovation planétaire. C’est un chantier humanitaire et de justice, digne de SM le Roi Mohammed VI. Je vous laisse réfléchir, messieurs dames les Leaders des Partis, des chambres du Parlement et vous autres dignes et respectables Conseillers de SM le Roi !

    Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 24 Décembre 2017

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    L’habit fait la nonne, ou le vêtement et la verdeur des sentiments

    Pourquoi vous déshabillez-vous, mesdames, en apparence ? Ou vous habillez-vous de la sorte, en si court ou totalement cachées ? Analyse dédiée à ceux et celles qui dépensent trop d’argent en Europe et ailleurs, ici aussi, pour paraître un moment et ne plus porter jamais leurs fringues, raccourcies et tapageuses, mais toujours onéreuses. Attention, je ne suis d’aucun parti politique. Je n’ai jamais dit à ma fille, diplomée en modélisme à Paris , ni à ma petite fille, comment elles devaitent s’habiller. Bonne lecture de ces propos ouverts.

    Coté ‘’vêtement féminin léger’’, son versus philosophique, et son thème principal en sociologie est synonyme des libertés et de la pudeur. Je le pense, face à la nudité, dont la poésie et les plaisirs s’inspirent et qui sont réservés à l’intimité. Encore que, toute la presse et la littérature, les magazines de mode et la filmologie en sont prégnants et inassouvis.

    La pudeur, est un choix, une éthique, universelle, (antan), une obligation (encore chez certains), une forme de respect simplement, sinon un devoir devant autrui, quel qu’il soit. Ses parent ses amis et ses enfants. Ça, c’est de histoire pour certains.

    La pudeur est un comportement, une expression, un savoir être, fait de respect indu, lié à la prévention. C’est une prophylaxie, une hygiène publique, contre les harcèlements.

    L’attirance s’impose aux regards, ou importe des regards, parfois insistants, dérangeants ou outrageants. Un paradoxe. Des regards qui invitent, à une forme d’admiration-exposition, des avances faites à minima, ou pas, mais qui offusquent l’autre qui se voit rabrouer, dès qu’il ose !

    Pudeur-réserve-défense’’ mais aussi ‘’liberté-d’être-et-de-paraître’’, un compromis comportemental vestimentaire, libre, en face ou à la base des regards insidieux et de ce qu’ils suggèrent comme sexe. Ce qui n’est certes pas l’amour, immédiat. C’est son début peut-être, voire le coup de foudre ! Sinon le plus souvent, faute d’amitié, une triste répulsion. En fait pour y revenir, l’exposition, la nudité partielle ou calculée, invite l’autre au désir impulsif. Qu’on le veuille ou non ! Ne parlez ni de complexe ni d’esprit mal tourné. La psychanalyse de la chose, son historicité, son but, ne sont écrits dans un prospectus qui se vent avec le vêtement.

    La semi nudité, ou ce qui lui ressemble en plus transparent et plus court est un sort jeté sur le masculin ! Et plus encore, une invitation pour les plus pervers ! C’est le profit instinctif, sinon animal (ou hormonal et permissif) du sexe qui les interpelle en les piégeant ou pas ! Pas plus ! Mais toutes les proies et les cibles s’en cachent.

    Il y a d’autres mots pour le dire, je ne veux pas les prononcer, ça confine au crime et à la bestialité. L’amour est une denrée, digne, romanesque, un rêve vitalisant, un accès positivé à une autre sphère. L’amour est un attachement possessif, bilatéral ou pas, passager ou constant, qui vient par la suite. Juste ciel ! Quand on se donne ainsi, à la vue d’autrui, on l’attire, parfois contre gré ou si naturellement, innocemment ! Le champ est là et libre, il escompte de quoi le semer autrui, si fertile en appels, comment le planter et le cultiver, pour en cueillir les fruits ! Le plaisir immédiat, le 7ème ciel, sans lendemains fixes, voire les enfants. Et la cultiver cette passion du regard par-dessus les habits qui interpellent, au sens adoration du mot amour. Béguin, fidélité native, ferveur ou possession. C’est selon la culture et les fantasmes de l’une et de l’autre des parties qui se regardent. Souvent sans paroles, au tout début des regards et de l’hypothétique affection.

    Se lier l’un à l’autre, est une épopée qui va de la simple exposition de son corps de femme (en partie déjà), de ses atours et de son physique, partiellement découvert. Puis ensuite de ses dons et de sa culture, de sa personnalité, de ses atouts et de ses capacités. Dont l’entraide, qui chez le couple et par la suite se découple et se décuple dans la liaison-possession. Appelons cela, mariage pour faire court. C’est-à-dire un lien fort, par-delà le matériel et le temps, une possession l’un de l’autre, dans les deux sens, basée sur l’estime, le don de soi, la confiance et la fidélité. Sinon alors, une simple couverture sociale ou communautaire, par devant les adouls*, la famille, les amis ou la mairie. Le mari, une fois la bague au doigt, résistera-t-il aux habits légers, et public, qui montent ou divulguent partiellement son intime bien ? Ou cherchera-t-il à faire comprendre à sa femme, les besoins d’une tenue plus ferme et à la lui imposer ? La dulcinée n’est pas de cet avis partout dans le monde.

    La pudeur, conjugale ou pas, communautaire ou historique, c’est ou ce fait d’offrir cultuellement et par éthique à la femme et lui permettre, librement ou le lui demander de se protéger des regards d’autrui. Des regards qui sont, sauf hypocrisie, retenus par de la pudeur masculine et la bonne éducation. Ça, ça semble être le passé ! Des regards troublants, excitateurs, qui invitent, qui insistent, à devenirs harcelants et inquisiteurs, voire provocateurs des mâles, que la femme soit mariée ou pas ! Quels qu’ils soient. Les monstres !

    Où restent alors le respect, la retenue, la loyauté, la capacité de fidélité de la personne attirante ? Comment faire face, avec dignité, à ces regards perçants des plus indécents, des plus insatisfaits d’entre les hommes, face à ce qu’ils voient et draguent du regard : la femme habillée légèrement et quelle qu’elle soit ? Leurs feux virils et pénétrants, leurs instincts n’ont pas toujours ce respect, cette morale et cette retenue (faite d’admiration ?) que la femme naturelle, attend de tous automatiquement.

    Mais comment certaines arrivent-elles à faire face aux avances insidieuses, inlassables, qu’elles soient mariées ou pas ? Tout maîtresses d’elles-mêmes qu’elles seraient, en restant stoïques et attirantes dans leurs attirails légers et à la mode souvent. Et si souvent ! Adieu bourse-s et argent. Je ne dirais pas attirail imprudent, ni impudent, ou cynique, encore de par son aspect attirant et répulsif à la fois ! Car je ne suis pas un extrémiste de quoi que ce soit, mais juste un simple observateur, tentant de réfléchir, à cette sociologie disparate de l’habit et du paraître ! Si l’habit ne fait pas le moine, ça dépend de qui est en dedans !

    Nos conduites modernes ou passées, pour la plupart, sont résumées dans ce slogan. Celui de ‘’ l’être qui veut avoir pour être’’. Il y a un micmac fait de symboles de par le vêtement local ou d’importation. Une confusion politisée, un paradoxe cultuel, fanatisé, ou vu selon un prisme et un angle étroit ! Des amalgames qu’on colle à Dieu, selon les sites, les rites déviés ou pas, les amalgames et les endroits. Toi et moi percevons et jugeons parfois ce qui nous entoure partout.

    Pour ma part, avec le peu de psychologie en usage chez le médecin que je reste, jaloux de gendre humain (adjectif et fonction que je partage des fois). Lhomme, quels que soient son sexe, ses idées, son identité et sa race, voire ses concepts de civilisé en avance dans certains pays, ou rétrograde et fanatique dans d’autres, des étrangers ou de simple mutants, qui ne savent avec les cultes et les guerres, dans quelle terre et quel monde, ils sont. Ni de ce fait et de cette déstabilisation de par le monde, commente être, comment se vêtir et se comporter, comment suivre la mode, ses libertés et ses fantaisies, sans braver les autres, les gens. Ou au pire, comment les haïr, les insulter et les punir et les exclure, en leur collant tous les maux !

    Et quand je dis les autres, je pense aux plus pauvres, de partout, en premier, leurs vêtements, oui, leurs études, leur travail, leur santé aussi ! Par-delà les libertés, du vêtement et de ses fantaisies, il y a les moyens. Je parle par-delà la jungle ! Je parle sous cet angle de la pseudo mondialisation de ce village. Je parle, en pensant plus au ‘’civisme universel’’, une philosophie à développer, et je pense à nos devoirs d’humains, entre nous tous, avec respect, pacifiquement ! Je suis sorti du sujet, là, car je lie vêtement à la légèreté dispendieuse et aux pauvres qui manquent de tout et qui en meurent dans les neiges ou dans les tropiques.

    Je disais que cultures, us et conduites, celles-là dues aux excédents hormonaux, virils, osés, impudiques, deviennent arrogants et compulsif, facilement criminels. Quelles que soient les lois du milieu. Et on le voit très souvent, dans les pays civilisés comme dans les plus chauds. Et là les mâles se portent au pire. Encore et toujours, à côté, chez vous, chez nous, même chez les leaders et les présidents, ce sont les viols, qui els ont cassés. Parce que la fille, la femme, était faisable et trop belle, infiltrée ou pas, et qu’elle le montrait si bien dans son port. Le vêtement léger est-il pour quelque chose dans cette attractivité du pire, ou seulement dans la fréquentation et les lieux dits libertaires !

    Célébrités et autres, nous montrent hélas pour eux et pour leurs renoms, comment le mâle, hyper-friqué ou drogué, par quoi que ce soit, se laisse prendre en perdant ses freins et sa retenue, sa situation et son avenir, sa liberté et sa position sociale, pour un délire, un divertissement, une folie passagère, parfois devenues liaison, devant l’appel de la chair. Ces beaux corps, nus ou à moitié nus, si séducteurs et si affriolants. Cachez moi ces seins que je ne saurais voir…sans les toucher ! Retour psychique à la mère à la tendresse, dans toute notre sexualité, peut-être ! Il voulait dire boire. Des formes qui les inspirent et qui les interpellent leurs hormones mises en effervescence et parfois leurs bras. Dans les deux sens, quels que soient les droits et les endroits.

    Je copie du Net. ‘’’Couvrez ce sein, que je ne saurais voir. Par de pareils objets les âmes sont blessées, Et cela fait venir de coupables pensées. » Le refus de porter les yeux sur les appas de la femme fait partie des traits de comportement généralement attribués au dévot hypocrite.’’

    Là, ce n’est ni mon boulot ni ma fonction. Faut-il la laisser, la Femme, au physique attrayant, dénudé par endroits, attirer, aguicher et accrocher plus que les regards les gestes, les offres sinon les offenses ? La femme fatale, n’est pas un vain mot.

    Cherche-t-elle à le devenir en fait de par son port de vêtement, avant ses offres et ses propos ? Eve et la perdition, Eve et Satan ? La nudité découverte, nos mythes et nos référentiels, sont en fait des propositions, des avances de la femme, faites inconsciemment de par sa nature et son apparence. Ou insidieusement de par sa biologie, couverte ou travestie ? Un sort de par sa nature, une habitude de par sa féminité, qui interpelle, attire et harangue. Vêtue sobrement ou pas ! Une sorte de mystère. Devine Zyeuteur, à travers le peu que je porte, ce je cache en dedans !

    Enigme et magie du vêtement, se couvrir pour se montrer ? Le cherche-t-elle, la femme ? En fait un peu plus, selon les rites et les endroits, de par ses libertés, sociales, culturelles ! Elle en oublie le sens du vêtement et du port des peaux de l’animal, pour la protection et la chaleur primitives que ces dermes et ces phanères des proies apportaient et le luxe qui en ressort de nos jours ! Elle en oublie le sens du vêtement, comme moyen de protection et d’adaptation au climat. Ne lui reste que l’héritage vestimentaire et la mode interactive. Des us, un capital immatériel, propre à la femme pour montrer sa dote féminine et suggérer d’autres trésors, d’elle-même. La matrice de la civilisation, la coupe des fortunes, des conflits, le trésor des aspirations, de l’inspiration, de la vie et des guerres.

    Femme, je te laisse explorer mes fautes et mes oublis. Je te laisse continuer sur ces idées et m’en apporter d’autres, comme réflexions encore ! Et vous hommes aussi bien !

    Dr Idrissi My Ahmed, le 3 décembres 2017

    #354365
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    PEUT-ON ETRE MINISTRE ET CON A LA FOIS?
    Est le meilleur titre de presse que j’ai lu en ce moment !

    Chers camarades,
    Je salue, votre franc et courageux titre d’édito. Et en première page de Libé de l’USFP, SVP ! Merci à messieurs, Benarbia et Malki, comme à leurs collaborateurs !

    Libération a parlé.
    Libération est l’un des titres de presse, de l’un des premiers Partis socialistes du Maroc qui a fait plusieurs gouvernements. L’USFP compte actuellement des ministres au Gouvernement et son directeur est le premier homme au Parlement! Ainsi soi-t-il !

    Aleas jacta est !
    Le ministre des affaires ‘’étranges’’ de notre voisin, havre ancien de nos opposants et soutien de la gauche à travers le monde, tonne et nous étonne. L’Homme de l’Extérieur du sanctuaire polisarien s’est livré insidieusement et kadhafiquement* à vouloir déchirer le Maroc. Bellicisme atavique torpide intéressé. Certes, par plus que la démocratie, les droits de l’homme ou le droit des peuples (entendez les tribus) à s’auto-je-ne-sais-plus-quoi ! !
    Entendez-vous ces forfanteries et ces bravades ? Ces beuglements transfrontières, par delà le mur et la toile ? Muraille qui a chuté entre les deux blocs sans tomber par là ! Frontières discutables et rempart qu’ils ont édifiés frontalement, et quasiment, autour de nous !

    Pauvre de nous !
    Comme avait dit Tarik Bnou Ziad : « Al âdou amamakoum, wa el bahrou waraakoume ». Ces accusations flagrantes dans la bouche d’un ‘’irresponsable’’ sont du domaine de la psychiatrie ou de la justice. Maladive, c’est de la diplomatie de marde ! J’allais l’écrire comme ça a été dit souvent dans cette expression.
    Pour l’exemple, cet hurluberlu nocif, ne doit pas rester en Algérie, ‘’son pays d’accueil’’ dit-on, mais restitué aux siens ! Les ingrats et les renégats, ouste, allez aux vagues, allez chez les requins !

    Sur l’édito moi, j’ai lu :
    ‘’Abdelkidar’’, quand, par charité allusive vous avez écrit ‘’Abdelkader’’, pour rappeler ses fourberies à ce hlayqui* de parodie, qui traite nos plus dignes institutions de mafieuses et de blanchisseuses de l’argent de drogue ! Sans devoir pour moi de copier-coller ses mots empestés. Si l’une chose de ce qu’il avance est vraie, qu’il en produise la preuve et les éléments, devant les jurisprudences internationales publiques allouées ! Ou, qu’il fasse amende honorable et dise qu’il exagère trop, que c’est erroné et qu’il ment.

    Des remugles à ravaler
    Ces insanités stipendiées doivent être ravalées par leurs émissaires, quels qu’ils soient ! Ou qu’ils démissionnent de honte, les parias. Qu’ils aillent en retraite pour leurs billevesées de champions, ou qu’ils les versent carrément au diable, s’il en veut! Messahel ne mesure pas ses maux !

    Punching-ball
    Je salue votre  » poing de presse  » et votre franc parler éditorial ! Libé tire la sonnette d’alarme et fustige ainsi le serpent à sornettes ! Un ancien journaliste, devenu ministre de son état, chez le voisin socialiste. Un extramuros, extra-mural ! Expérience oblige, du wazir bouzbal (sic) ! Hchouma had leklam des znaki !  » Al âdou amamakoum wa el bahrou waraakoume  », selon l’expression Tarik Ibnou Ziad. Des mots et des expressions qui ont fusé sur Youtube depuis !

    Mais, que cherche-t-il ?
    Pourquoi va-t-il jusque-là ? Pour faire des ennemis ou augmenter le nombre des amis ? Mais là, au lieu de faire dans la politique ou dans la diplomatie, il érige sa mauvaise langue en arme politique de diffamation. Ce alors que l’ONU nous envoie son émissaire, en vue de trouver une solution de paix, pour stabiliser la région et fermer les dossiers qui l’infectent ! Sauf que par cette bravade, emporté par le show, le sinistre énergumène, s’emporte et son venin dépasse par mégarde les limites de la politesse et les interdits diplomatiques. Sa mauvaise haleine le plante. Sentences ou semences de voyous, qu’il a dû recevoir durant sa formation, mais où ? La langue se fourche dans des supputations malsaines et il lance ses flammes et ses semences virulentes provoquant la diatribe malsaine. Sa taille animale le traîne sur sol, à la merci des picadors, pour l’éventrer au lieu de s’élever et d’élever le débat avec ses voisins !

    Mais, il ne risque rien !
    Sauf d’être félicité par ses pairs pour son impair ! Certains, peut-être, mais pas beaucoup ! Ses supérieurs, qui exulteront, s’en féliciteront. Certains, s’en moqueront par dessus leurs galons. Ils y verront dans l’offense le célèbre et ostensible nif de nos valeureux voisins. Mais, cet énergumène-là dépasse par sa morve, l’honneur indu aux patriotes et la face évoluée de leurs bonnes gens. Des gens de valeur, de fierté et d’orgueil, qui s’en mordront les doigts, d’avoir une ministre comme ce fanfaron-là !

    Des étrons et de maux
    Qu’il chevrote et bêle ! Laissons-le braire et qu’il déblatère ses âneries et achève seul sa mutation et sa cure zoophile ! Le premier diplomate vicinal, dans le vertige des mots s’est gouré d’espace et s’est planté dans ses pointes polluées, faute d’être policées ! Perdu dans sa harangue verbale et sa verve insane, il exulte de fierté, de pureté et de sagesse affectés, pour nous porter des ruades et lancer des imprécations scatologiques, en sortant ses griffes de vampire.

    Cette forme de haine publique et d’interjection, à tout un système, le nôtre, justifie notre colère et notre dégoût ! Quels que soient les mots que nous sortirions pour taxer cette infamie. Afin de donner échos aux insanités, stupides et vaines !

    Con.citoyen,
    Félon, ingrat et renégat. Lui, qui a bien réussi sa carrière, chez les voisins, jusqu’à devenir algérien, a pété les plombs pour sonner les gongs de sa fin et funeste carrière ! Mon Dieu, protégez-moi de mes amis… !

    Dr Idrissi My Ahmed
    En soutien à l’édito de Libération du 23 Octobre 2017

    http://www.libe.ma/Peut-on-etre-ministre-et-con-a-la-fois-Oui–L-Algerien-Messahel-en-est-la-preuve_a91445.html

    Kénitra, le 23 octobre 2017

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    JE NE SUIS NI AMOUREUSE NI MALHEUREUSE

    Ou de la vie des gadgets égarés

    Episode 74 de la série des ‘’ Chroniques différées de Mme Student’

    Maidoc _ Un tout petit chaton miaule sans arrêt. Il n’a pas cessé de piailler, de toute la nuit, tant sa voix avait changé et faibli. On lui verse du lait dans une assiette, mais il ne sait ni boire ni lécher. Sans mère, pour le faire téter ni père pour le manger, il continue de geindre et de crier. Ce qui a fait pleurer Nour. Douze heures après, je le retrouve étendu, immobile et sans cri. Il est, tranquillement couché sur son côté droit. Des dizaines de fourmis parcourent ses yeux et lui couvrent le corps, tentant de le percer.

    Student _ Les empereurs, les César et les Trump, sont des images superbes, mais fugitives de demi-dieux. Virtuels tyrans, généraux, satyres et potentats, ils passent par les armes…de la vie ! Les pontes partent, sans repères ni puissance, ni corps encore de femme ou de fric à emporter. D’autres s’anéantissent, en catimini, ils passent quasiment inaperçus. Que reste-t-il des rois, quelles que soient leurs bonnes œuvres et leur laudateurs réunis ? Tant l’épaisseur des humains et leur poids sont nuls dans l’espace-temps de cette galaxie. Ces sommités que vous craignez ou que vous fréquentez…sont virtuels…ou à peu près !

    Maidoc _ Ces princes que j’ai chantés, et pour rien, il est vrai, seront un jour périmés ! Mes vers, plus longs à sculpter et plus âpres qu’un tableau de peinture à colorier ne leur ont pas plu. Collecter, aimer, avoir, posséder est une question de moyens importants, mais aussi de goûts avertis.

    Student _ Tu peux attendre tes 3 milliards, sombre rêveur de parodie ! Le temps est un maître, mais ses élèves ne demeurent pas longtemps dans ses coursives et leurs classes sont aussitôt vidées.
    Maidoc _ Tu ne peux pas parler normalement, comme tout le monde ? Pour le simple besoin de comprendre tes allusions et tes paraboles.

    La suite du dialogue entre Docteur Maidoc (M) et Mme Laure Student (S)

    S _ Je ne suis ni amoureuse ni malheureuse !
    M _ Pourquoi dis-tu ça ? As-tu dépassé l’âge des problèmes et des envies ? Ou, es-tu déjà, comme ce chaton du haut, sans vie ? Pourtant, à ce que je vois, tu parais encore comestible.
    S _ Merci. Je sais. J’écoute Oum Kalthoum, elle me rassasie.
    M _ Mais tu ne suis pas vraiment ce qu’elle chante, on dirait. Comme tu ne comprends pas ce qu’elle me dit !
    S _ Je vieillis bêtement, alors que je n’ai envie ni de tomber malade ni de mourir d’envies !
    M _ Ignorant que je suis, je n’ai pas deviné !
    S _ Alors raconte-moi, toi qui chantes et qui suinte d’envies, ce que te dis Oum Kalthoum ou qu’elle exprime et que je n’aurais pas saisi ?
    M _ L’amour, ma chérie ! L’amour..
    S _ Quoi ? Tu y crois encore ?
    M _ Trois longs appels stridents et consécutifs au phone me détrônent ! Est-ce cette stressante fille ou cette autre qui daigne rappeler à cette heure insidieuse ? Telle une fusée qui pète le feu, je m’éjecte du siège qui me sert de salle de réflexion, de lecture et de trône.
    M _ J’atterris sur la table et je rappelle aussitôt. Qui c’est ?
    X _ Nous avons appelé un autre médecin !
    M _ Je rappelle cet autre numéro qui est entré lui aussi sur mon phone. Qui c’est ?
    Z _ C’est Ikram qui vous a consulté samedi dernier.
    M _ C’est pourquoi ?
    Z _ Ne vous dérangez pas ! On a appelé le Dr Clairmont. Il arrive. C’est pour mon grand frère. Je crois qu’il est mort.
    M _ Je le connais ?
    Z _ Non ! Il est vieux. Il suivait ailleurs d’autres médecins.
    M _ Mes condoléances mademoiselle ! Que pouvais-je dire de plus ?
    S _ La vie est un struggle, un stress, à la poursuite des plaisirs. Ces drogues qui dissipent les pensées nuisibles et les soucis néfastes. Ces oublis, ces passe-temps, sont de relatifs instants de bonheurs qui font oublier la mort et ses peurs. La vie, est-ce la quête, inconsciente, des jouissances, des jeux et du bonheur, pour dribler la crainte de la mort ? Ces artifices plaisants, ces masques temporaires, ces gommes et ces conduites palliatives, cachent les pensées tragiques de l’existence. La destinée, la vie, factice et labile, est vouée chez tous les êtres, à la mort.
    M _ Son côté inéluctable et tragique est une immense phobie. Comment font les gens pour ne pas y penser ? Une solution : l’oubli. La course aux plaisirs des sens, la course vers l’accès aux biens, contre toutes les règles, l’amoncellement et les cumuls, souvent inutiles, expliquent en fait cette volonté d’oublier la fatuité de la vie, sa furtivité, et la contrainte inexorable du trépas qu’elle prédit.
    S _ Ou le refuge dans la religion, le credo et l’espérance d’une autre vie, moins courte et moins saugrenue ! Maidoc, moi, qui reviens de l’Au-delà, je te pose une question, Docteur. Que reste-t-il des lambeaux, des débris et des cendres ? Que reste-t-il des traces de nos passages et des ombres de nos entités ? Là sur les moules d’argiles de nos berceaux de chairs. La vie est clairsemée d’ombres inconnues, de feux et de lumières. De bonheur, de plaisirs et de joies, parfois ! Les haines et les guerres, les meurtres et des carnages (ouvrez votre télé !) ont fini par tout sup planter.
    M _ Depuis les premiers âges, des sauriens et autres fossiles, des singes et des troglodytes ou de Caïn et d’Eve, que sommes-nous en fait ? Ô sombres entités du monde civilisé, dites ! Identités suprêmes de ladite humanité, jactances prétentieuses, osez dire ! Avouez ! Suprématie des purs et des nantis ostentatoires que vous êtes, ô les classes supérieures, renseignez-nous ! Alors que nous somnolons, nous les nuls que vous ruinez et que vous méprisez, pour les humilier encore plus et les ravager !
    S _ N’y-a-t-il pas d’autres valeurs à fructifier et d’autres sentiments à multiplier ? Ensemble et de connivence, les humains ne peuvent-ils vivre en paix et dialoguer ? Un peu plus de compréhensions, d’amour et de partage, sans que ce soit la totale équité ! Si vous la craignez pour autant, afin, Docteur Maidoc, de ne pas te paraître niaise ou indélicate ! Je le dis aux vaniteux, aux orgueilleux, aux radins, aux peureux pour qu’ils se rassurent, ils ne seront ni appauvris ni ruinés pour autant ! Si des esprits chagrins croient que je lance des idioties utopiques, des fadaises stupides et des insanités, qu’ils arrêtent de me lire, là, tout de suite !
    M _ L’idéal, existe comme la justice, la beauté et les libertés, ne serait-ce que de nom !
    S _ Qu’est-ce qui est important, de l’homme qui conduit un véhicule ou cette voiture de marque, qui vieillit entre ses mains et qui sera détraquée ? Qui est le plus important, ce corps vaniteux, ce véhicule arrogant mais admirable robot ? Ou ce qui le meut et qui plus est, ce qui lui donne la vie ? Appelle-le ‘’esprit ou âme’’, ce truc qui colle au corps et qui le fait bouger ! Même si tu n’as jamais vu sa tête, sa couleur sa forme, ni contrôlé son permis !
    M _ Je saute par-delà ta philosophie de spectre expérimentée et de revenante au physique potable !
    S _ Potable seulement ? C’est du contre-harcèlement, Docteur ! Ou des avances déplacées ?
    M _ C’est kifkif ! Je te confie un truc, Student ! C’est une débauche de sentiment, un zeste d’amitié, fanée ! Un test en déphasage que j’ai commis ! J’ai appelé par inadvertance, le pharmacien. Il semble s’être caché, d’après le rictus de sa vendeuse qui avait été le prévenir de mon appel !
    S _ Certains se cachent pour mourir ! Celui-là, ton bonhomme, pas si doux ni louable, t’évite, pour ne pas livrer son avis ni partager ses secrets. Il ne t’aime pas. Point. Pourquoi insistes-tu ?
    M _ D’ami, sans convictions, il devient le contraire, sans aucune. Avec en sourdine sa rage que j’ai sentie. Je l’avais souvent sondé, sans résultat ni réponse de sa part. J’appelais ça de la haine silencieuse et concentrée.
    S _ Je ne pense pas qu’il ait fui ou qu’il ait refusé ton appel téléphonique. Il rentre et ressort du labo, il va à la pharmacie ou qu’il sort parfois dehors pour ses affaires à côté !
    M _ Bof ! Que reste-t-il de nos puissances ? Que reste-t-il des tristesses, des erreurs et des ombres de nos pas, des ratés, des cris, des joies, de nos monstruosités ou de nos erreurs ? Nos bêtises et nos insuffisances, sont-elles à ce point importantes pour rester notées et figées jusqu’à la fin des temps ? Pour nous les remémorer et nous confondre le jour du Jugement Dernier afin de nous juger.
    S _ Une éternité remplie de nos riens terrestres et de nos perfides imperfections ! Des bavures de jeûnards* et des bévues ineptes de vieillards, inaptes à toutes thérapies réelles ! L’âme lumineuse, d’origine divine, doit-elle souffrir et payer pour des corps nés d’argiles, aux instincts bestiaux, aux corps dérisoires et fragiles. Des pannes qu’il t’arrive de tenter de soigner, Maidoc !
    M _ Ces mécaniques, vite déglingués, aux intellects sont à la merci des instincts et des hasards.
    S _ Le hasard, tel un jeu aux règles inconnues, nous jette devant le mystère occulte et secret. L’aventure, l’hésitation, le courage y font face, sinon l’égoïsme, la peur, la violence et la rapacité.
    M _ Attend la suite. Voici un appel que je reçois à 16 heures 03 minutes d’une inconnue. Je ne réponds pas, j’ai mal au ventre. Ne savent-ils pas que je ne consulte pas le dimanche ? Surtout par phone ou sur Facebook ! Qui plus est, si je suis malade, pardi !
    S _ Ou au bain !
    M _ Cette consultante de l’espace a besoin d’un psychologue. Comment-a-t-elle eu mon phone ? Ont-ils l’Internet dans l’Au-delà ? Chaque entité tient un portable sous les yeux pour ne pas s’emmerder, en attendant la Résurrection. Ou c’est le calme plat, le silence des âmes, afin de les laisser s’apaiser au mieux ? Les âmes et les esprits se reposent dans des alvéoles, comme des larves d’abeilles !
    S _ Elle a besoin de vous, aussi bien ! Pour l’écouter et la diriger, avant de revenir refaire son karma sur terre. Enfin, c’est possible du moins ! Ça devait être ça !
    M _ De but en blanc, elle insiste, persévère et entre dans le vif du sujet. Elle a vendu le match, renié ses amours, ses parents, me dit-elle, ainsi que ses précédents amis !
    S _ La déprime, quoi ?
    M _ Ou le libre choix ? Elle est partie se marier dans l’Au-delà. Pourquoi a-t-elle besoin de moi pour m’appeler après 7 mois de maladie et 7 ans d’égarement dans le zénith céleste ? Pour regretter ses dons d’organes décalés, ses échanges de politesse et autres envies de gâteaux et de chocolateries ? N’ayant pu s’acclimater à sa famille, ni à lui, se prépare-t-elle à un autre divorce dans son esprit ? Est-ce valable dans l’au-delà de divorcer, Mamie ?
    S _ Déjà le sexe, ici, je ne me vois pas faire ça, en pratique ! Mais, là-haut, c’est bah, niet ! La nourriture des anges ou leur sexe, ça ne rentre pas ici. Les gens de l’Au-delà, non, je n’ai jamais vu faire ça là !
    M _ Lui, son mâle, a-t-il continué à boire, là-haut ? D’autant, dit-elle, qu’il ne la sort plus le week-end. Pour aller où, madame, dans l’au-delà ? Vous êtes dans le septième ciel ! Que voulez-vous de plus ? Aller de tombe en tombe, mais pour aller vers où ? Ce ne sont pas des portes spatiotemporelles. Alors, c’est grève du sexe et les chichis pour savoir qui va commander la maisonnée ! Ça ne se fait pas là ! Pourquoi appelle-t-elle alors, un médecin, plutôt qu’un ange ou un psy de là-bas ?
    S _ Je reste perplexe, tout comme pour ces infos-là. C’est vrai que la tête du chinois ne va pas se coller seule et s’adapter à celle de l’Italien, comateux. C’est vrai que les Rohingyas, ça continue de saigner au ‘’ Myanmar de Birmanie…
    M _ C’est vrai aussi que Daech, ce putain d’EI, qu’il périclite, mais qu’il fait encore tonner des bombes pour alimenter les enfers quotidiennement de centaines de civils innocents, dans vos pays d’Europe, Mamie Student.
    S _ Dans les vôtres, ça pète aussi, Mondoc ! Les arsenaux qu’on découvre, juste ciel, là chez vous ! Marrakech, Casa, c’est où, dis-moi ? Des tonnes de drogues diverses, ça vient d’où ? !
    M _ Je reviens à mon sujet ! La Paonne, m’appelle de votre aire justement, Madame Student ! De votre sphère éthérée, et en PCV, SVP ! Alors que je suis dans l’impossibilité de la soigner. C’est une erreur. Je ne suis ni un spécialiste des marabouts ni un psy des revenantes,
    S _ Encore moins un saint ou un ange, qui plus est !
    M _ Ne font-ils pas des gardes, le week-end ceux-là, non plus ? Phoner de l’Au-delà, à ce moment, pour me rappeler les viscères enflammés de son vivant est une impéritie. Ces questions existentielles, matérielles et immatérielles, va-t-elle s’en souvenir ? Et me les rappeler, là-aussi, cette momie ?
    S _ Elle a vécu comme une célibataire jusqu’à cette retraite-là. Sa tendresse de paonne, sa frime, l’a poussée à se ranger dans cette basse-cour de mâles en rédemption avec un ange alcoolique, en perdition !
    M _ C’est le Diable alors ! Satan, Lucifer, le Démon ! Bof ! Les enfants de Bacchus et ces Faunes, sont portés sur le sexe et le vin. Comme s’il fallait être ivre avant de manœuvrer une femme, pour la forcer de coucher. La conquérir et lui plaire vaut mieux que de la contraindre ou de l’apitoyer ! Enfin !
    S _ Elle a choisi la banalité, le couple sans amour, pour se ranger et palier aux incongruités de la vie.
    M _ La case qui lui échoit, c’était de se caser, au lieu de flirter, à la va-vite ! La drogue du couple, l’amour, avant la mort, ça paie !
    S _ La paix !
    M _ La paix afin de fuir la misère et les coups durs de son village rifain. C’était navrant, mais bien avant Fikri, ses espadons écrasés, le Hirak et ce Zafzafi et ses copains qui ont mal tourné.
    S _ Les stress pénibles, les aléas rendent malades les meilleures ouvrières. Alors elles marchent et ont manifesté, elles aussi !
    M _ Il semble qu’elle devint malade de son directeur, la Paonne. Un coopérant technique de son état, un diable veuf, un rustre de surcroît, qui l’avait harcelée et qui avait juré de l’agresser littéralement dans son boulot à trois sous, si elle refusait de l’épouser.
    S _ Ah bon ! On va jusque là pour se marier dans votre respectable pays ? Chantage, plus qu’amour, ou balivernes ?
    M _ Désir et passion sauvage, d’un seul côté ! Je ne sais ! Celui du mal, du mâle, avant la rapide mise en scène des mariages. Et la prison, comme étape de repos, à regret !
    S _ La mort, la fuite et le départ au Barzakh, finirent de calmer leurs ardeurs. ‘’ Une fois mort, plus rien ne périt’’! ‘’Les amants de l’au-delà’’ ? Sont-ce des titres de films ? Ou de simples expressions qui me sont venues et qui collent à ce couple bizarre !
    M _ Epousée quasiment contre son gré, elle a fui ses problèmes de sa famille, sa mère, une radine qui la détestait, le loyer qu’elle devait se débrouiller et son triste logeur, ainsi que les graves soucis d’argent de sa chômeuse de jolie sœur. Tu confirmes, la Messagère ? La majorité des nôtres, africains, indigènes locaux, citadins ou qui plus est, ruraux sont ainsi pétris. Tu confirmes, la Messagère ?
    S _ Je le sais, Toubib et je te confirme ce que j’ai dit sur les aveux de ce couple de morts que je sui venu corriger ! Et par là, les sombres et violents comportements de tes contemporains.
    M _ Quid du sexe ?
    S _ Le sexe devient le modus vivendi, l’emblème de tous, celui bonne ou de mal-vie. La malédiction de l’homme est inscrite sur son sexe !
    M _ C’est un autre titre de film ?
    S _ La malédiction de l’homme est écrite sur son bout de chromosome. Plus que l’amour, le culte ou la divine et palliative beauté ! Plus que l’argent, le pouvoir, le sexe est une arme de vie !
    M _ La vie dans ce pays est un enfer déjà pour les exclus. Pas besoin de les embêter dans l’Au-delà, ils auront déjà payé !
    S _ Bah !
    M _ Seulement, pour répondre à ce couple, côté femme du moins, je te dis en substance. Ces soucis, ces problèmes sont ceux de toutes les personnes, comme des millions de femmes africaines, qui n’ont pas eu de chance et qui végètent dans la merde, en attendant de sauter sur les barques ou sous les vagues !
    S _ Ces bavures et ces erreurs par la suite, sont celles d’une personne exploitée, qui gagne peu, malgré son relatif savoir, sa technicité et son rang. Et après, qu’as-tu dit à cette Paonne ou fait, Maidoc ?
    M _ Au revoir, lui dis-je. Si jamais tu chutes ou que tu reviennes ici sur Terre, je pourrais t’aider comme avant, afin que tu puisses mieux entendre et corriger ton destin et surtout mieux voir où va ton intérêt. J’ai conscience de tes regrets et de tes déboires. Mais, tu es devenue un esprit ! Patience, alors ! Attend, Mme Student ! Elle va te ramener sur le sol, pour te délier de tes erreurs passées et changer ton karma, fortifier ton âme, pour une autre meilleure vie.
    S _ Je ne lui aurais pas proposé plus que tu ne lui a dit, Mondoc !
    M _ Parallèlement à ce quiproquo, d’outre-tombe, qui me dépasse, le phone sonne encore. Et c’est toi, qui arrive ! Toi l’espionne de l’Au-delà, toi la Student ! Avec ton bavardage intemporel, te voilà revenue, ma chère Laury pour sauver l’humanité !
    S _ Tu parles, Mondoc ! L’espionne qui est revenue pour son 74 ème épisode de son épopée, celle que je suis, vient t’offrir ses délires et pour te sortir les vers du nez !
    M _ Une espionne mystico-mythique de l’espace-temps, est la bienvenue ! C’est un air frais, avec cet été qui dure ! Une nouveauté, avec ces banalités politiques que l’on vomit et qu’on remâche et ravale comme des remugles de vaches vieillies et avachies !
    S _ Je viens pour passer une consultation gratuite, au profit de mon protégé, le prince Hébreu ! Je n’aime pas dire ‘’Juif’’, c’est comme arabe, ça indispose certains ringards !
    M _ Ils se sentent visés les leurs, et ils se croient réprimés par de telles appellations. Un statut qu’ils retrouvent aussi péjoratif que le mot islamiste , que j’ai tant et tant analysé !
    S _ David Salomon, le 60ème de nom, t’a déjà consulté !
    M _ Je le connais, Mamie ! C’est un personnage intéressant, militant de son état, pervers, sournois et querelleur !
    S _ C’est une richesse caractérielle pleine de connaissances !
    M _ Un portefeuille de contacts ! Oui ! Un monument de complexes, un prophète et un roi arrogant. Il est Zemmour, BHL, Finkielkraut, la cabale sioniste du philosophe et dix autres pareils, de son espèce racée et de sa tribu messianique, de France et de New-York, à la fois !
    S _ Arrête, tu déconnes ! On dirait un arabe mal rasé qui parle ! Laisse-moi le faire entrer. Il a longtemps hésité avant de venir.
    M _ J’imagine qu’il sait le rapprochement du Hamas de Gaza avec les-leurs de Cisjordanie et de Palestine !
    S _ Lui qui aspirait au trône d’Israël. Il est tombé malade et se faisait soigner à Paris. Sans succès certain. Il est revenu plein de traumatismes. Physiques, mental, fibromyalgique, politique, économique, philosophique et religieux et laryngé ! Aphone et quasiment nerveux, querelleur potentiel. Bref il veut te consulter.
    M _ Moi ! Harbech ? Vade au trou, Sainte Anesse ! Un prince mort, qui revient de l’Au-delà pour consulter un zouave de Médecin, qui n’est même pas connu du palais de Rabat ! Et qui ne s’est pas rasé ce matin…C’est un délire, madame Student !
    S _ Du calme Toubib ! C’est plus pour ta sagesse que pour tes compétences qu’il veut te rencontrer…
    M _ Laisse-moi rire ou me moquer de moi-même !
    S _ Non merci.
    M _ Je ne partage pas ton jugement de travers, ma Vieille chipie.
    S _ Je t’aime et je te respecte plus que ça !
    M _ Allez, crache !
    S _ Bref, c’est un burning-out existentialiste qui, c’est certain, s’est aggravé dans l’Au-delà au vu de ce qui se passe sur la Terre. A cause des Sionistes et de leurs comparses de la haute finance, industrielle et de guerre !
    M _ C’est quoi ça ? Explique aux pauvres lecteurs …
    S _ Tu le sais, Maidoc ! Et lui, comme un Hébreux racé de longue lignée, tu l’as dit, il n’aime pas cette injustice. Une bravade constante, un entêtement de déments, commis au nom des Juifs qu’il représente, ici, sur leurs cousins sémites, les fils d’Abraham, dont il descend de par Sarah et Idhak
    M _ Ah ! Isaac, Celui qui rit ! Viens mon frère, on va s’embrasser !
    S _ Attend, please, one minute ! Avant de te mouiller !
    M _ On dirait qu’il travaillait chez Web Help ou chez Fastbrooken dont l’avocat mercenaire vous cherche noise, à partir de sa Témara, pour que vous lâchiez ces pauvres gars et ces gentilles garces, qui sont aussi grillés par leur travail d’assujettis à la multinationale !
    S _ Le brouhaha des généralistes ne servira à rien. Calme-toi. Tu n’auras nul soutien de tes pairs. Et puis, t’es hors jeu, depuis que se sont installés au privé cet autre couple de toubibs M. Choduho et Mme Viduba
    M _ C’est un impair ce métier de c… ! De cafouillards !
    S _ On a détruit la médecine, dit humaine, dans ton pays. Le privé a été vendu à tous les vents par tes dignes poltrons de patrons, devenus des sous fifres, depuis qu’ils sont aux ministères, avec tous les cumuls de privilèges népotistes ou usurpateurs qu’ils se sont arrogés ! Marx est devenu expansionniste. Vive le communiste impérialiste investisseur !
    M _ Je les préfère aux envahisseurs. Ne me fait pas dire ni écrire aux terriens, ce que je n’ai pas dit. Je ne veux être grillé par personne !
    S _ Le capital est obligatoirement créditeur et envahisseur ! Les multinationales et les banques de poids, c’est leur boulot mon pote ! Va te renseigner ! Demande à DSK qui est marocain comme toi !
    M _ Ils exècrent et exploitent les nôtres. Qui a dit que l’esclavage n’existait plus ?
    S _ Allez, Mon Doc ! Assez de banalités, tu vas chasser mes honorables lecteurs !
    M _ Ok ; je saute du coq à l’âne.
    S _ Ils vont se fâcher !
    M _ Qui ? DSK ou DS 60 ? Nathan Yahoo, Trump, Macron ou le Pape?
    S _ Continue comme ça et ils vont te tarir ! On va voir où tu vas errer, au ciel, et qui s’emportera à ta venue !
    M _ Quand je lui parle, à DS 60, ton poulain Juif, de la démocratie en Israël ou du droit des Arabes, ici en particulier, ou en Orient, il me parle de démocratie chez eux !
    S _ Le Paria !
    M _ Et dire, que la ministre Azoulay ou son Conseiller de padré, qu’ils sont bien des notables de chez nous ! Il est né où ton zouave de prince charmant ? A Essaouira ou à Rabat ? On l’aurait repêché d’un puits comme Joseph ou sauvé d’un fleuve, comme le fut Moïse ?
    S _ Cesse de radoter avec tes allusions alluviales ! Reviens à la raison !
    M _ On est dans un roman ou pas ? L’Unesco enseignera ces vérités nouvelles, dont dépend le sort d’Israël qui ne veut pas appliquer La vérité mais Sa raison ! Et les Usa, ne veulent pas débourser pour cette boîte à instruments-là !
    S _ Attend !
    M _ Quoi ? Que je finisse, donc ! La montée de l’affriolante Laoufir en nouvelles noces chez DSK. L’ascension de ces Kahenas et Chipies à la tête des organisations est garantie. La fermeture d’Al Qods aux Musulmans et l’ouverture des caniveaux pour les lui faire passer dessous et dedans seront ses sujets de prédilection.
    S _ Mais David-Salomon le 6oème, il connaît tout ça !
    M _ Attend ma Maboule, s’il vient, le DS60, c’est pour bavarder ou pour me faire perdre du temps, en faisant semblant de consulter, pour me tirer les vers du nez..
    S _ Ce sera l’occasion de te faire payer !
    M_ Sa tête ?
    S_ Non ! Il te paiera en différé et hors taxe de douane, au Barzakh ! Les dollars de l’Au-delà sont de devises fortes. Une monnaie à valeur de bénédiction !
    M _ Alors, je lui cracherais, pardon, je lui sortirais, mes quatre vérités ! Mes 3 milliards de centimes, comme honoraires. Juste salaire pour faire du bien autour de moi et à moi. J’en ai marre d’écrire, discrètement et poliment. Marre de lui écrire sous toutes les voies et insinuations, sans succès.
    S _ Réveille-toi ou va dormir. Je repars. Au prochain feuilleton, Mon Pote. Je vois les tiens…Comment-vont-ils ?
    M _ Adam dessine toujours et colorie de petits hommes. Il les parfume au Classic Aoud. L’encens de Saja, au santal, offert par M. Bahram, l’ambassadeur du Koweït, si Cher à feu Hassan II. Comment va-t-il, celui-là avec sa dramatique tristesse ? Celle d’avoir perdu son seul fils. Un être si jeune au début de cet été !
    S _ Salut Docteur ! Je pars. Voici ton Adam qui arrive ! Laisse-le placer un mot ! Dis quelque chose au micro, mon chéri !
    Adam _ Mais t’as pas de micro. Tu me prends pour un nul. Qui t’es d’abord ! Je laisse un message quand-même ! Arrête de fumer Papa ! Sinon qui s’occupera de moi, quand mes grands-parents seront partis ?
    M _ Il y a des poèmes et des idées, des vers, qui viennent des près et des fleurs. D’autre viennent de si bas, que c’est honteux de les décrire, tant qu’on espère les voir partir en fumée. Je souffre de regarder le ciel, la nuque m’indispose et la gorge me serre ! Pourtant, Mme Student, il suffit de regarder le ciel pour supposer ou comprendre que cet univers a besoin d’un Créateur.
    S _ Hello, Maidoc ! Je te laisse rêvasser. A plus, je pars.
    M _ Non Mamy je ne suis pas prêt ! Retourne d’où tu viens, ma ‘’fossile’’ chérie !
    S _ Je voudrais t’emmener, car j’aime ta compagnie. Tu ne te plaindras qu’aucun ennui.
    M _ Je ne te conviendrais pas. Je ne supporte pas les Tiadal et autres Sildénafil ! J’ai bien des choses à faire ici, avant que ma mémoire ne parte et que mes muscles ne fondent dans leur paralysie !
    S _ Pourtant Dmitri Medvedev (ou Maidoc ?) aurait été reçu au Palais. Par le Roi !
    M _ En cachette ou discrètement, sans trop de tralalas, afin de ne pas faire de l’exubérance autour de cette paradoxale et renaissante amitié prorusse. Le blondasse qui nous sert de Chabat-et-Ilyas réunis, à la Maison blanche, risquerait de ne pas apprécier cette proximité-là. La tolérance n’est pas de qu’il affectionne le plus.
    S _ Oui, c’est vrai la Maison blanche servait de maison de tolérance, à Fès, du temps des colons ! Comme Moulay Abdallah, le quartier tout près des jardins et du Palais.
    M _ Tu te trompes de palais, de planète et d’époque, ma Belle !
    S _ J’arrrrive…pour te prendre !
    M _ Hawell, dégage ! J’y suis, j’y reste ! Mais avant, répond-moi, si tu le sais, toi la Revenante !
    S _ Goule. Parle !
    M _ La vie, l’esprit, l’âme…Comment définis-tu ces dites parties qui meuvent ton corps, dans la veille ou durant ton sommeil, ou qui la quittent, sans que tu ne puisses jamais mettre la main dessus, les voir un jour ou les sentir, ne serait-ce qu’un peu ?
    S _ Définis-moi d’abord, Docteur, la vie ! Puisque tu en parles tant et que tu la préserves et la soignes des fois ?
    M _ T’as le Larousse, la Blonde ! Ton dico de prof, chère maîtresse. N’est-ce pas ?
    S _ Ses pages sont déchirées, roussies, absentes ou moisies, depuis que je suis partie. Morte, avant d’être revenue et retournée, ici et maintenant ! Je ne saurais plus l’utiliser.
    M _ C’est vrai que maintenant, on ne tourne plus la page. On la garde et la regarde, souvent à l’œil. On ne salit plus les pages, on clique sur la touche ou la souris et on les survole ou les lit, quand le temps le permet.
    S _ Idem, pour tes plaisirs. Une puce et tu appuies sur la souris ou le bouton. Pas besoin de moi. Mieux, tu pourras partager tes clics avec tes Fakinistes…à l’œil.
    M _ Mon passé s’est effacé, mon présent se gomme aussitôt et je sais que je ne retiendrais rien de l’avenir, qui ne saurait durer et tu me racontes des conneries, La Blonde. Ce n’est pas un matos que je pourrais vendre ou inventer. Même si tu m’en donnes l’idée.
    S _ Bravo docteur pour ton éternel combat. Dommage qu’il n’y a pas beaucoup d’intellectuels comme toi pour essayer de faire vivre et avancer le pays. Le Nobel t’attend !
    M _ C’est trop pour moi ! Il peut attendre.
    S _ Je te comprends. Si tous les médecins avaient ton attitude et ton comportement, bien des choses seraient différentes. Tu es un militant actif et convaincu. C’est pour ça que je te donne rendez-vous, ici-bas ou là-haut et on s’amusera sans retenue ni freins
    M _ Merci cher amie tu fais autant et mieux ! Et puis, c’est encore toi qui me pousses à persévérer. Par ton exemple, ton objectivité vigilante et tes encouragements aussi.
    S _ Omnia vincit amor ! L’amour vaincra tous les cœurs.
    M _ Dis-le à ces hommes et à ces dames !
    S _ Plaire et aimer, pour vaincre la mort par la vie et notre inéluctable retour…
    M _ Sinon, comment éloigner la peur de la mort ?
    S _ Cesse d’en parler ! Occupe-toi de soigner et de te réjouir. Vis ! Tu n’as pas vu comment tu es essoufflé ces jours ? Et lors de cette réunion, tout pâle, tu n’arrivais même plus à parler ni à lire ton discours ! Vis, mon vieux !
    M _ Comment ? Avec quoi ? Avec qui ? Pour qui ? A quoi ça sert? Et jusqu’où ça ira ? Puisque ça finit totalement un jour.
    S _ Vis comme si rien n’était le cours de tes jours ! Vis sans penser à la mort aussi souvent et aussi fort. Crois-en-moi, mon Pote ! Je suis une revenante.
    M_ Silence des autres !
    S _ Ça ne te suffit pas ?
    M _ Il y comme un silence chez Ce Lecteur.
    S _ Et ce ciel et cet univers ?
    M _ Il y a un X derrière !
    S _ Et c’est pour qui, cet univers ? Rien que pour nos insectes toxiques et nos vers ? Ce n’est pas un jeu futile, mon vieux. Il y a un Créateur derrière !
    M _ Tu prêches à un con vaincu.
    S _ Pardon !
    M _ Tu prêches, à un convaincu, disais-je. Mais aux autres, tu racontes des histoires, maboules !
    S _ Ta boule ? Le Gros !
    M _ Non ! J’ai dis maboule, ma Fofolle ! Je te précise Femme et je te demande de m’écouter, pour une fois. Tu racontes des âneries, ma Belle !
    S _ Moi des âneries ! Je viens du Barzakh, aux fins de mission de sauvetage humanitaire, pour m’entendre dire des insanités pareilles par un Toubab en déphasage ! Docteur, dans un pays de dessous développés ! Par-dessus le marché ! Non, c’est trop, mon Dieu ! L’enfer est plus simple que ces gens-là !
    M _ Rajeîi le Allah ! De grâce, écoute et reste avec moi, par delà les plaisanteries et les jeux de mots !
    S _ Je ne supporte pas tes plaisanteries et je ne les tolère de la part de personne, d’ailleurs! Va au…
    M _ Madame la Fantôme, ma Revenante Chérie ! S’bare ! Je parlais des humains, de ces peuples, de ces gens ! Ils sont déçus pour avoir été abusés ! Agnostiques ou athées, ce n’est pas là, la question ! Ils ne croient plus en rien ! Ils connaissent les batailles des religieux et les dégâts de leurs guerres. Ils ne croient plus en personne. Les prêcheurs et autres gens cultivés, les gérants des états, les leaders, ils sont comme cet écrivain de son état et escroc notoire. Ils sont prêtres et pédophiles, ils sont religieux et assassins. Le meurtre leur sert de solution, froidement politique, pour assoir leur puissance. Et quand ils parlent aux peuples de la religion et de la morale, et de celles des autres, hé bien, les gens ne croient plus en rien. Cqfd !
    S_ Ok Doc ! Maintenant, tu as été plus clair ! Pour ma part, en ce qui me concerne, dis à tes amis et saches, que je suis venue,
    M _ Pour me tenir compagnie !
    S _ Et surtout pour te rassurer afin que tu puisses réparer tes erreurs et pour contribuer à réparer les erreurs de tes semblables. Je te livre le message en deux mots : « Vis et aime » ! Car, aimer est l’assurance-vie ! Le moteur de la vie, le ciment de la vie, le but de la vie et le facteur de transmission de la vie.
    M _ Tu te répètes et tu racontes mal ce que n’ont pas cessé de dire les poètes et les prophètes. Tu ennuies mes lecteurs par ton prêche sur l’amour qui est le but de la vie ! La vie en tant qu’entité et phase existentielle déterminée. Mais pour le bout d’homme que chacun est, pour lui sa question est ‘’c’est quoi Sa vie ‘’ ? Que représente son brin de vie ?
    S _ Sa vie, c’est un trait d’union. Alors, assez prôné et harangué. A un autre sermon !
    M _ Oui, pour un autre serrement, Ma Vie !

    Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 19 octobre 2017

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant


    LA NATURE AURA RAISON DES RUINES ET DES HOMMES

    ‘’Les frictions infernales’’, épisode 73 des chroniques différées de Mme Student.

    Le réveil des rois mages, flirt mystique avec des revenantes

    Dédicace et condoléances

    Ces pensées très tristes et impuissantes, sont dédiées à cette fillette, morte subitement, dans la cour de son école.

    Flirt ou tango mystique
    L’enfer est déjà sur terre. Avoir pour être, posséder autrui, ses libertés, son être et ses avoirs ! Inceste et onanisme, pédo, homo, zoophilies, népotisme et corruption de la personnalité et de l’identité, conquérir et dominer ! Meurtres gratuits de déments aux pays des libertés, guerres de ceux-là qui s’impliquent dans les pays riches et/ou arriérés. Flirts mystiques, par religiosité, esprit de libérateurs et des libertés, mythes de démocratie…Pavé de bonnes et de mauvaises fréquentations, l’enfer est déjà sur terre pour adapter aux affres les siens ! Madame Student revient dans cette scène pour y distiller ses chroniques sociales mythiques.

    Idées vagues et réflexions parcellaires
    Sincère franc, charitable en paroles, loquace comme un philosophe et dispendieux comme des riches, obsédés par les conquêtes, les gains et les achats, nos mots, m’as-tu vu, calques ou copies, sont des voiles. Nos pensées, nos idées, leurs mots sont des habits de fortune ou de luxe. Nous les formulons comme un étendard révélateur ou des voiles cachotiers ou de pudeur, pour exprimer selon notre richesse, notre être et notre paraître. Cet aspect de notre être ou de notre personne, celui que l’on brique le meilleurs de nous-mêmes. Pour faire la quête de notre contenance, certes, mais aussi la conquête de l’estime d’autrui, de son admiration ou de son simple respect. Je me dépense pour être, je me vêts pour être, par ce que j’ai pour être.

    Le flirt mystique des revenantes
    Présentation du deal. Mesdames Ghinsatni Wemchate et Ghissiri Mouti-Blache, deux métisses sud-africaines, ont des problèmes de réception de l’Internet.

    Des esprits
    Ces grandes âmes, sont des revenantes, de nouvelles messagères de l’équipe des revenantes de madame Laure Student. Laquelle, mes vieux lecteurs le savent, est devenue à son départ de Kénitra, (du fait de la pollution toxique te puante qui y règne, comprenez à sa mort), une meneuse de femmes !
    Elles ont comme tâche ici, dans ce 73ème épisode des chroniques infernales de Mme Student, et ce depuis leur réincarnation, de retrouver les esprits de nos célébrités défuntes. De les diriger au besoin et de leurs transmettre nos amoures réelles et nos pensées positives, en plus de les coacher et de les entourer de conseils afin de mieux plaire à leurs peuples, à leurs fans et leurs descendances.

    Apocalypse retardée et résurrection précoces
    On peut leur parler d’ici, Sauf que le Net ne s’est pas encore entré dans les usages de tous les esprits des morts. Les anges si, ils travaillent avec et bien avant son invention humaine…Ce reste de vie, l’esprit, quitte donc le corps délabré et se repose. Les esprits des morts stagnent dans l’inter-monde, en attentant l’Apocalypse et la Résurrection. Certaines âmes bénéficient de réincarnation pour se corriger et se refaire. D’autres vont dare dare au paradis sans jugement aucun…Mais c’est rare. Ils appliquent durant leur vie le simple précepte que l’on dit être musulman : « Enadafa mina el imane ». Sauf qu’il est de très bons athées, qui quels que soient leurs cultes d’origine, sont bien plus propres que la masse des islamistes, des juifs, des bouddhistes et des amères-loques*.

    Rencontres
    Nos héroïnes vont ainsi rencontrer les personnalités qui ont marqué le monde et fait les civilisations, pour laisser leurs traces sur l’histoire du monde. Les patriarches mythiques devenus des prophètes, des saints ou des demi-dieux, les empereurs importants de par le monde et les grands rois, tels Hassan II et bien d’autres saints. Nos héroïnes vont leur présenter les hommages vivaces et les pensées de leurs fidèles laudateurs, car à l’endroit de leurs repos, ils ne les ressentent plus. Puis elles verront les grands ministres, les généraux, les opposants liquidés, ceux périmés, les chefs des partis politiques, les vétérans des résistants, puis son illustre père, Mohamed V, ainsi que ses prédécesseurs anté-coloniaux, dont le maréchal Lyautey, le célèbre cousin de Mme Laude Student, notre héroïne de service. Ils vont reparler franchement et sans censure de l’histoire mondiale, la locale de nos indigènes, puis des péripéties de nos dynasties du moyen-âge, de nos Homos sapiens primitifs jusqu’aux ancêtres des ères reptiliennes. Cela fera beaucoup de travail en fait. Mais le temps est contracté, elles ne sentiront pas de fatigue à la tâche.

    La tâche est immense, Tous les anges seront de la partie.
    Mythe et mythologies réactivées Elles passeront en revenue les 5 dormeurs de la caverne, les 5 hommes (crânes) de Jebel Irhoud, Alexandre le grand, les Pharaons, tous les Césars, y compris ceux du cinéma, Brahma et Bouddha. Les Nobels de la paix, dont la criminelle Aung San Suu Kyi. Elles auront ainsi interviewé Moulay Idriss, des deux et leurs descendants, Tarik Ibnou Zyad, Kamal Attaturk, Jamal Abdenoceur, Saddam Hzine et Kadhafi Znaga Zanga ! Et bien d’autres dont j’ai oublié les noms…Ça me revient Yasser Arafat, Shimon Perez, Yitzhak Rabin, et ces gaulois de Rabelais, Molière, Racine, Rousseau, Montesquieu, Lamartine et Hugo…. Napoléon…l’exilé de Sainte Hélène, comme Mohamed V de Madam Gascar. Ces bons nôtres de Harba et Zhiliga, Houcine Slaoui, Tayeb Laêlej et Taïeb Seddiki…les deux géants des planches sont cuits. Sauf que Laêlej est un vrai menuisier et poète ! Ces pyramides cairotes d’Oum Kaltoum, Asmahane, Farid, Abdelwahab, Abdelhalim… Puis encore ces phares germaniques de Marx, Freud, Einstein…Lénine, Hitler, sont aussi sur leurs listes… Les autres sujets de SM, à cause du Brexit, tant pis, je ne les citerais pas ! Et puis, il y en des tas encore ! Je ne peux ni les citer ni les retenir. Ce sont des générations et des générations qui nous ont laissé des conneries et bien de positifs souvenirs. Wikipedia et Google vous renseigneront.

    Le boulot terrestre des brunettes fantômes
    Détour sur les affres et les sujets de la rédemption. Ainsi, nos africaines, venues pour notre rédemption, auront visité les calcinés de Daech, dont elles suspectent le chef, Abou Machette mille fois tué par les américains, d’être un faussaire. Un terroriste escroc et un falsificateur. Un espion judéo-chrétien et ses conseillers, des gradés militaires, saddamo-irakiens !
    Nos héroïnes de l’au-delà, messagères non prophétiques, visiteront les âmes des enterrés vivants. Ceux des fosses de Bosnie Herzégovine, des Rohingyas de Birmanie. Ces victimes du nettoyage ethnique; massacrées en masse et enfouies par la ‘’prix Nobel’’ Aung San Suu Kyi et sa junte militaire birmane du Myanmar.

    Et puis les dossiers allemands !
    Les Nazis seront écoutés pour le massacre les Juifs allemands de l’Holocauste, qu’ils ont calcinés. La belle humanité des parangons suprêmes ! Des puristes qui illustrent leurs identités d’êtres supérieurs dans leurs démocraties civilisées ! Et au-delà. Exemple : ces injustices des réparations, faites sur le dos des autochtones et des voisins arabo-musulmans. Des injustices causées par les victimes de l’Holocauste sur d’autres victimes innocentes des malheurs des Juifs. Les mêmes victimes du célèbre berger David. Le père du roi Salomon, Salomon. Edda Yaôud, qui d’un coup de tire-boulette, sournoise et perfide, traîtresse et fourbe, terrassa le Goliath palestinien…Ils sont là leurs descendants. Ecroués dans ce centre de concentration et d’apartheid au Moyen-Orient, par les fils des victimes des Nazis ! Ces apatrides sont restés plus ou moins chez eux, en Palestine. Zélotes de l’Islam, par contiguïté, seront entendues pour leur emprisonnement ethno-religieux dans des camps de concentration, n donne nul regret ni culpabilité à ceux qui ont créé Israël. Havre de paix en pleine aire de guerre, chaud de ses armes atomiques, un véritable porte-avion nucléaire, en face des pays musulmans et des russes, sanctuaire de la démocratie (sic) en face des déserts

    En résumé, si vous avez tout lu.
    Pas loin, et plus près d’ici et plus encore, c’est l’affliction devant eux dont les têtes ‘’aborigènes’’ ornèrent les piques et les créneaux de nos murailles épiques fassies ! Les Inspectrices angéliques de l’Au-delà verront ainsi les victimes des guerres coloniales, des guerres de religions, celles livrées aux indiens et aux noirs, puis celles des guerres mondiales et celles des guerres livrées aux Indiens, décimés qu’ils furent et ces Noirs, kidnappés par tribus entières pour devenir des esclaves depuis l’antiquité.
    Puis les messagères du bien, je n’ai pas dit les ‘’mégères’’, monsieur le concierge, étudieront les guerres mondiales. Celles ahurissantes et démentes entre Catholiques et Protestants et pire encore, celles de nos jours, des Sunnites et des Chiîtes. C’est mon drame ! Là toujours, devant vous, ô ministres intègres, dans les pays fracassés par les Américains, qui firent et qui font encore la joie de leurs antiques et ataviques ennemis.

    Dialogue entre Maidoc (M) et Student (S)

    S _ De ce fait, les karmas bousillés de tout ce beau monde ont besoin de résipiscence et donc de métempsychose ! Un toilettage du corps, de l’esprit, un nettoyage de l’âme ! D’une rééducation dynamique en profondeur aux fins de leur réédition sur terre. Une nouvelle vie, où ils seront logés dans une autre chair, afin de tenter une nouvelle fois leur et de réhabilitation sur terre. Elles vont assister à la nouvelle plongée de ces esprits dans d’autres corps, ici dans le monde des vivants, ou sur d’autres strates et sphères de l’univers, en hommes ou en bêtes , selon leurs choix et les disponibilités qui leur échoient.
    M _ Comment faire pour les morts ? Messieurs, il y a l’ADN résiduel, ses infimes traces ou ses copies notées dans l’Au-delà. Et puis la télécopie 4D ! La copie photo, télécopie espace-temps.
    S_ Ce recyclage, cette foire inlassable de sessions, ce cinéma en multi vision, cette miséricorde faite pour réchapper les âmes des morts et les réhabiliter est d’une bonté et d’une commisération céleste unique, une divine et inextinguible grâce.
    M_ Et ce cas est celui de nombreuses dames aussi, ce qui donne en résumé ceci. Elle était jolie angélique ou disons, belle ! Elle a pris de l’âge et contracté un homme et des maladies. Elle s’en est servi et quand elle ahanait sous leurs poids, elle se disait qu’elle allait survivre à ce futur squelette vieil amant et de collant mari. Et qu’à son départ elle en profitera durant de longues années. Une patience prometteuse, puisqu’elle est veuve et hospitalisée…
    S _ Destins et jeux de hasard, de la vie, des impacts sur soi et sur autrui, des actes ratés et des erreurs de bonne foi. Quelle science peut gérer toutes ces créatures, toutes ces vies et tous ces mouvements ? Et en garder trace ! Que dire de ce qui se passe à la mort ? Et qu’est ce qui se passera bien après ?
    M_ Ils ont bloqué leur mort pour certains. Ils restent coincés dans les labyrinthes invisibles et les casiers du Barzakh.
    S _ Là-haut, ne persistent que les esprits immaculés et les âmes pures. Les autres restent sur terre avec leurs problèmes et ceux qu’ils causent sans regrets aux gens. Tous ces assassins que vous voyez aux infos, ceux du passé et leurs prédécesseurs de l’antiquité, tous les rebelles et les tyrans, les révoltés insatiables, tous les révolutionnaires qui n’ont pas réussi et qui se sont lancés dans le terrorisme, les auteurs des actes de France, de Belgique, d’Espagne, d’Amérique, ceux constants des pays fracturés du Moyen-Orient, tous ces malfaiteurs aux âmes impures et nuisibles, auteurs d’actes qui abaissent l’humanité aux plus bas degrés des assassins, toutes ces catégories lugubres et néfastes, ont besoin d’être lavées par des conduites morales honorables.
    M_ Ceux et celles à contrario, qui ne le font pas, leurs esprits maléfiques continuent de les mettre en peines dans la perversité satanique. C’est ce dont parle l’empereur Donald Trump, à la suite de la fusillade de Paddock à Las Vegas. Trump dénonce cette attaque comme étant un acte « absolument diabolique » ! Il en a tué 60 et blessé près de 600. Le tireur s’est suicidé. Le FBI a rejeté la piste d’un attentat djihadiste. Trump croit au diable malfaiteur, alors qu’il se devrait d’interdire non seulement la vente d’armes aux civils de parmi les siens, mais à travers le monde entier !

    S _ Par-delà la tuerie féroce, Trump reste muet sur les armes à feu.
    M _ La seule manière de créer un climat de paix dans le monde et de revenir à des actes plus naturels, plus humains ! Façon de dire qu’ils doivent cesser leurs mascarades, ces fabricants de canons. Et que leurs industries, leurs actes assassins, doivent être dénoncés à travers le monde. Leurs sbires sont leurs clients obligés et prospères. Ces matons ont été hissés à la tête des états, les nouvellement préfabriqués ou les plus anciens, que les grandes puissances dépècent ou brisent à volonté, en jetant leurs populations sous les bombes et au fond des océans.
    S _ Pourquoi faut-il que ces cannibales mangent des singes et ces anthropophages bouffent des cochons? Ne savent-ils pas, ces mammifères debout et à peine évolués, qu’ils partagent des viscères qui se ressemblent et bien des chromosomes en commun, avec les victimes dont ils se repaissent ?
    M _ Après, M’Barek Obama, le beau brun qui est allé se ressourcer en Afrique, question de nous faire la politesse, lui qui n’a jamais mis les pays dans notre bled, voici une amie qui allait nous rassurer. Manque de pot pour Hillary, c’est son riche adversaire, le grand blond et blanc, qui nous fait le Mac Do ! Donald Trump de son nom ! Viendra, viendra pas visiter le pays des premiers homos sapiens. On lui fera une réception à Djebel Irhoud, question de lui montrer son ancêtre bougnoule marocain &! Et de lui offrir un terrain d’entente et d’investigations pour s’impliquer et s’investir…Ne sommes-nous pas ce vieil état, le premier pays qui a reconnu, il y a 2 siècles, le sien.
    S_ Maidoc ! Mind ! Les deux dames, des missionnaires et des messagères, telles des prophétesses, sont venues racheter bien des gens, des fauteurs morts ou des imparfaits qui sont morts. Des âmes inachevées, qu’elles vont assister pour leur résurrection dans le monde des vivants. Le nôtre, n’est-ce pas ? Une nouvelle vie, offerte, de novo aux morts, dans le but de leur permettre de se corriger afin que leurs âmes puissent mériter le paradis ! Elles vont, les Dames, ainsi assister des millions de gens. De quoi remplir dix planètes habitées durant plusieurs ères géologiques. Car il faut de l’espace et du temps pour abriter ces retournards*! Des revenants, en chair et en os, pas des spectres ou des fantômes ! Pour une fois, grâce à leur programmes et à leur message de miséricorde divine opère une Résilience.
    M _ Un miracle constant et large va se produire.
    S _ Pour les médiocres, les peureux, les timides, les pudiques, les malades, les démunis, les amoureux plaqués en bas. Je continue l’énumération. Pour les mauvais poètes sans instruction, les romanciers ratés en mal de papier, les impuissants qui ratent leurs coups et leurs déclarations, les athées et les religieux de toutes les religions. Pour les putes, et leurs bon services, les homos, que Dieu inverse leurs vapeurs. Pour les fornicateurs petits et grands. Les timides onanistes, les assassins sans peur ! Pour les victimes des guerres des deux sexes et de toutes les guerres, les victimes, des escrocs, les martyres des femmes, les hommes rescapés des guerres conjugales. Pour les mauvais gestionnaires, les pires des cancrelats, les méchants élèves qui frappent les autres dans les cours, les copieurs, les malfrats de parmi les profs, des services et des administrations, ceux de la santé, de la gente policée et de la justice, les corrompus de ce pays et des vôtres (ça en fait pas mal). Pour ceux qui haïssent les autres, ceux qui combattent la paix, les colons, les esclavagistes, les gros richards, les rois méchants et les impérialistes de tous les temps.
    M _ Bref, tous les morts vont retourner refaire leurs ablutions sur ce sol terrestre ! Ce n’est pas un peu trop à lessiver pour 3 filles, seulement ?
    S_ C’est épuisant et énorme ! C’est Dieu qui y pourvoira.
    M _ Vous les 3 mousquetaires femelles, vous revenez de l’Au-delà, pour ça ? Toi, feue la blondasse avec tes deux gouinettes africaines, de belles fessues aux larges tresses ! On ne va pas vous laisser tranquilles !
    S_ C’est à la mode les callipyges d’Afrique ! Depuis que le Maroc la redécouvre et qu’il réalise qu’il est aussi africain, et chez lui qui plus est, grâce aux 35 voyages de son bon roi !
    M _ Vous vous parachutez de l’Au-delà, comme ça. Vous revenez pour racheter toute humanité ? Petits innocents, brutes et cons ! Et mettre votre doigt dans nos viscères intimes et autres histoires locales ! On ne peut écouler son destin sans l’intervention de vous autres ? Les grandes puissances, les impérialistes, les past-colons, nos administrateurs, nos femmes ! Et maintenant, les revenantes !
    S _ Il y a d’autres ! J’arrête de les énumérer pour que vous puissiez retrouver votre souffle et me remercier pour cette halte.
    M _ Si j’écris ‘’’mal’’, comme tu l’as dit et rapporté sur le forum, pour que tu le vois de l’Au-delà, c’est que tu ne sais pas lire. Une simple question de temps insuffisamment accordé au texte, de concentration absente ou de simple culture qui doit te manquer. Trop haute, trop calée, trop prof…Toi l’éducatrice de mon fils Djo, ton grade de Préceptrice du Prince, David-Salomon 60ème, ne te quitte pas ! Toi la médaillée de Paris et d’Israël, la cousine et copine du Général Lyautey !
    S _ Comment, diable, sais-tu tout ça ?
    M _ A propos comment qu’il va, notre bienfaiteur de militaire, depuis qu’on a enlevé sa statue du jardin public de Boujeloud de Fès ? On devait pour la culture et la civilisation universelle, nous rendre nos antiquités ! Nous rendre ainsi notre statut et cette statue moins abîmée…Dis-le, please, à la France, au Makhzen, devenus si gentils et si zens et au consulat ! Nous les Maures, contrits ou pas, sans notre Mauritanie, on est des amis avec la Gaule coupable de mauvais partage sécession. N’est-ce pas ?
    S _ Maidoc, fait gaffe, je ne veux pas te perdre ! L’oncle Chabat a été suicidé pour ça ! Mon toubib, mon frère, tu as été mon garde-corps. L’un de mes plus fidèles soignants et admirateurs.
    M_ Ma fidèle admiratrice, bénévole et sans succès, hélas !
    S _ C’est vrai, c’est juste, sans connivence ni compromis ! Quand mes propres généraux, les médecins du maréchal Lyautey, mon cousin, ont failli ou voulaient, pour des raisons secrètes de la république, me tuer, tu étais là pour me sauver.
    M _ Dont mention it !
    S _ Tu m’agaces avec tes reliquats d’anglais.
    M _ Passons, pour ne pas sortir du sujet !
    S _ Oui, mais malgré tout, à mon départ, je te confie mes femmes, mes brunettes d’Afrique du Sud et Tanganyika, pour les protéger comme tu le fis pour moi. Malgré les susceptibilités nationalistes de ton pays !
    M _ Mind ! Je ne suis pas un vendu pour céder aux conneries des ingrats de Mandela !
    S _ Prends soins d’elles, car ce sont elles ton futur job. Et à vie ! Ton contrat de maître-d‘œuvre, scientifique et mystique à la fois. Avant que tu ne montes, toi aussi là-haut !
    M _ Oui, j’ai compris, je vais partir un jour quitter mes clientes ! Et te retrouver, toi Laure Student, à la réception. Au bout du tunnel, afin de guider mes pas de novice là-haut ! C’est vrai que moi, je me soigne mal, Le placebo n’a pas de portée sur soi ! Aussi médecin qu’on soit !
    S _ Si j’écris cette recommandation, comme un talisman pour elles et que ce soit une confidence par-delà la mort, c’est pour que mes enfants, ces filles, vivent toujours sous l’autorité et la garde de la mamy que je suis et du parrain que tu devrais être pour elles.
    M _ Mes dernières volontés écrites, mon testament ne comprendra rien de mes vœux intimes. Je te préviens. Quant à elles, je ferais de mon mieux. Je les soignerais gratis !
    S _ Je vois que tu fais des efforts intrinsèques, immenses et de quoi ruiner ton reste de méninges, dans ta soliloquie torride, digne des toréadors de la masturbation cérébrale, des faiseurs de partis politiques, qui mangent ton pays, à bras ouverts ! Sache, entre nous, Mon Doc, que je ne dirais ça à personne. Et que de plus, mon cher Toubib, les revenantes que je te confie afin de corriger et soigner les âmes des trépassés que les spectres et les fantômes, ne tombent jamais malades et qu’ils ne meurent pas non plus !
    M _ Tu me rassures ma bonne dame. Si j’écris c’est pour soulever le dialogue et non pour placarder des dazibaos, inculquer des sentences ou administrer des impératifs. Si je communique, c’est pour apprendre et partager, c’est pour me corriger, pour recevoir et donner. Et si soigner est mon job, c’est aussi mon magistère. C’est aussi une tâche qui me remplit de bonheur. Si tes brunettes de revenantes vont revivre parmi nous sur terre, comme moi ou ces autres revenants qu’elles vont aider à refaire leurs âmes, elles pourraient avoir besoin de moi ! Tant pour leurs corps que leurs esprits. Ce que je ferais avec sagesse et prédisposition et assuétude.
    S _ Tu n’as rien perdu, de ton agressivité avec l’âge ! La mémoire et la force physique, peut-être ? Pour la virilité, qui vivra verra. Mais attention, Maidoc, ne touche pas à mes revenantes et missionnaires invités, sinon elles vont se retourner…
    M _ Non je n’aimerais pas ça me trouver dans cette position ! Mon passé s’est effacé, mon présent est si lourd qu’il s’en va en se gommant, mon futur m’est inconnu et mon avenir ne me rendra pas mes souvenirs. Et ses lubies ne devront rien craindre rien de ma part, qui puisse les déranger ou harceler leurs adeptes non plus !

    S _ J’aime la vie et cette ville Maidoc ! Le lantana penche ses branches aux boutons multicolores sur le mur de clôture, non loin de l’ibiscus rouge impérial et des bougainvilliers plantureux. Telles des offrandes aux sens de qui veut les recevoir, ils balancent leurs fleurs incandescentes sur la chaussée, espérant couvrir les erreurs des mortels.
    M _ Je t’aime mieux en romantique, Maîtresse ! Je me demande pourquoi tu n’as jamais rien publié, comme romans, nouvelles ou récit poétiques ?
    S _ Je compte sur toi pour rapporter mes pensées et mes dires !
    M _ Je ne veux pas être ni rapporteur et je ne veux rien maudire non plus ! Mes adversaires n’ont rien à craindre de mon courroux. Je demande seulement à Dieu de me réparer ces impairs
    S _ Halte là, avec tes jeux de mot ! Tu as dépassé les classes primaires, je pense ! Si tu ne veux pas leur casser la gueule, à ses escrocs et ses pauv’s types de truands ou de menteurs, c’est que tu es trop tendre et trop timide ! Ou impuissant ? Ou que tu manques de force et de vigueur !
    M _ Ah bon, c’est comme ça que tu juges ? C’est toi qui veux refaire le monde et corriger les âmes des défunts qui ont des conneries durant leurs vies ?
    S _ Dans ton pays, Mon Doc, ils sont comme ça. Pudiques ou violents. Tyrans ou habitués à la matraque, des gens passifs ou à l’inverse, des prédateurs! Les antipodes se jouxtent, les paradoxes s’opposent et se marient. On le voit à travers les difficultés de mariage et le nombre des divorces…
    M _ Je préfère que tu me parles, ainsi, d’amours !
    S _ Vigoureuses et goguenardes, les chattes miaulent en pourchassant les tourterelles qui s’aventurent près d’elles, à la recherche des miches de pain que les félins d’instinct snobent. Les fauves préfèrent la gente ailée au pain de blé jeté par terre. Le plaisir de croquer se décuple à la chasse. Les chats y mettent plus de zèle. Un chasseur adroit montre ainsi qu’il est plus viril afin de féconder les femelles. Celles prêtes aux semences qui dégagent assez d’hormones pour montrer qu’elles sont fertiles !
    M _ La chatte noire à la face blanche de ma cour allaite une nouvelle recrue. Ses précédentes filles en âge déjà de chaleur la tètent de nouveau depuis qu’elle a mis bas !
    S _ Ça doit être la faim, Docteur, qui repousse ses quatre paresseuses à la sucer et l’exploiter encore. Il en est ainsi de notre espèce, l’amour d’un côté et les profits de l’autre. Et c’est pire, des paresseux et des bras cassés, qui comptent toujours sur les vieux retraités des leurs, pour les alimenter et les nourrir, ou pire encore. Le chômage, la drogue, le sexe, les guerres. Ça va jusqu’aux forums où l’on vous traite gratuitement de tous les noms. On vous malmène on vous disloque, dès que vous voulez tempérer ou donner un conseil. Voire sortir une opinion ! A qui, pour qui, veux-tu publier ou écrire Maidoc ?
    M _ Je les connais depuis que le Web existe et que les forums du Net étrangers offrent des espaces de partages et de dialogue ! Attention, partout, virtuel ou pas, il y a des félons de ce genre qui vous critiquent parce que vous usez de leur langue, mieux qu’eux ! Ou que vous avez dans la hâte laissé une erreur, une faute d’orthographe ou une conjonction de trop. Je n’en veux comme preuve qu’Agora, qui ne signifie pour eux que faire fermer la gueule aux étrangers ! Obstruction et condamnation de la voix des autres, des étrangers. C’est un comportement analogue à leur incivisme chez eux, dans les cités, dans leur jungle.
    S _ Pourtant, Agora-vox, comme son nom l’indique, est la voix de tout un chacun dans le cadre d’une tribune ouverte, respectable, vivante, faite pour entendre s’exprimer toute cette foule.
    M _ Oui ma chère professeure ! Avec un nœud.
    S _ Des ovaires, Môssieur, pleins d’œufs, s’il te plait ! Des ovules pour ne rien me rétorquer ! Un E, à professeure et à docteure s’impose.
    M _ Pardon pour mes jeux de maux ! C’est un peu maladif des fois ! Je ne dialogue pas toujours avec des intellectuelles. Parfois seulement des gens biens, de simple cadres et d’anciens ministres…
    S _ Maux pour mots, c’est trop banal, mon Pote ! Tu vas avoir l’occasion de parler à plusieurs d’entre-eux dans le mois qui vient.
    M _ D’où le sais-tu ?
    S _ Je viens de l’espace-temps, afin de placer des morts avec les vivants. Ça ne pouvait ni se cacher ni m’échapper cette sanction ! Il y a des noms qui ont fuité et qui circulent depuis l’affaire de l’espadon assassin de Fikri, du Hirak qui marche et de Zafzafi qui stagne en taule ! La politique est faite de coup bas. Les gens qui en profitent sont élevés… dans les manipulations. Les politiques ont un dieu latin, Machiavel ! Tu lis les journaux français, j’espère !
    M _ Les cafards et les moustiques, des vandales et des vampires. Des monstres et des misérables sévissent dans la politique, dans tous les pays !
    S _ Il n’y a pas qu’au Maroc que les leaders et les parlementaires se traitent de tous les noms d’oiseaux, de bourricots, de reptiles et autres vampires du pouvoir ou tahakoumistes !
    M _ Allez vous deux, vous tous, faites taire vos querelles puériles de syndicalistes en mal de grève ! Ne faites pas comme des zoufrias ! Honorez la mariée, c’est honorer la paix au Maroc. C’est un symbole de paix et d’union, si vous saviez ! Oui, la politique est une chose ! Wakha ! Mais la politesse est une autre psychologie, merveilleuse et qui prime. Et la diplomatie est meilleure, pour rendre les gens bien meilleurs ! Et la politique que l’on dénigre, ici et partout, est une forme de mariage, de reviviscence, de réticences tordues, d’actes ratés, de paris gagnés, de gageures et de programmes tenus ou pas, de succès et d’échecs. Parfois conjoints. Il ne faut pas leur jeter la pierre et griller ceux qui furent ouvertement aux ordres ! Complaisamment ou par entente cordiale, sage, avisée et certaine ! Les jeter ensuite comme des serviettes sales ou des mauviettes, afin de se démarquer et d’échapper à la critique, soutenus dans son sanctuaire ! Les jeter en pâture au peuple, et pour l’exemple, afin de sauvegarder et de sauver la face à ceux qui persistent loin de l’arène aux lions, est un jeu partial et inique. J’ai vu ce que vous faites de vos anciens présidents et autres ministres, passés.
    S _ Y a pas la joie, non plus, chez les Gaulois.
    M _ Il y en a qui se sont suicidés, parce que désavoués publiquement ! Cruellement ou injustement ! Ah, la presse ! Le 4 ème pouvoir est le pire des procurators.
    S _ J’allais perdre patience à écouter ton panégyrique à l’envers, mais aussi plaidoyer à l’endroit. Une autre défense symbolique mais pas très franche, il me semble ! N’est-ce pas de l’autocensure ?
    M _ Non seulement ils sont pourris, mais ils puent très fort, exaltant très haut leur puissance pour exhaler du fric ses pénétrantes odeurs. Ils sont les maîtres suprêmes de la terre, les conquistadors. Les autres sont leurs matons, les seigneurs et les administrateurs de leurs guerres ! Ils ont partout leurs zélotes, leurs affidés, leurs satrapes et leurs vicaires. Tous des esclaves et des prisonniers des gardiens des séides et leur mercenaire.
    S_ Tu parles des impérialistes ! J’en ai ras le bol de ce discours.
    M_ Ah ! Ça toucherait des fois ton pays à toi, la Gauloise ?
    S _ Niet ! Nous, on est bien ! Et les morts, de là d’où je reviens, ne parlent que de ça et de leurs supplices à vivre ces épopées, terrifiantes et dramatiques, rarement heureuses, sur cette terre !
    M _ Garderais-je pour ma part, assez de mémoire, pour râler dans l’Au-delà ? Les plantes, contrairement aux animaux et aux humains, vivent utiles et belles et se multiplient sans avoir conscience du bien qu’elles nous font. Mes souviendrais-je de quoi que ce soit sous terre? Là où les plantes tirent pour vivre les substances de leurs racines. Mon souffle parti, mon esprit dans le vague de l’âme, seront-ils responsables de ce que mon corps fit ou qu’il lui reste à faire ! Retrouveront-ils mes souvenirs, pour se rappeler mes actes et mes peines, alors que vivant encore, ma mémoire est déjà en jachère ? Verrais-je encore un peu de cet univers ? Les étoiles qui me manquent. Et les milliards de milliards de planètes et leurs êtres que j’ai envie de découvrir et de connaître? Question de donner plus de savoir et de sciences à mon être, à cette âme qui appartient à Dieu et à ce même univers !
    S _ Du calme Maidoc ! Tu vas me faire encore taper une crise ! Parlons d’ici, de toi, de ta vie, de tes projets, des gens qui vivent là ! Des odeurs de la pollution et du climat sur cette terre du Gharb que j’ai aimée…
    M _ Pourquoi cultiver des fleurs si on les dope aux excréments ? Le recyclage des déchets animaux, purin par ci, fumier par-là ! Les engrais naturels ou physiologiques, à côté des déchets chimiques et toxiques, sont des paramètres morbides du climat. Des sommités à l’échelle planétaire étudient leurs impacts et leurs nécessaires et vitales limitations et endiguement.
    S _ Oui, ça je sais !
    M _ Je me demande ce que tu ignores ou que tu feins d’ignorer encore Student ? Terre, air, mers, nous faisons souffrir à notre tour les éléments, de façon géologique ou pire. Tahtawiyate et bas-ventrologie en représailles ! Cataclysmes et guerres ! A son tour, le ventre en feu, la Terre fait bouillir ses volcans, sans sentiments ni pudeur, et soulève de ses tsunamis passionnels, les terres qui émergent ou surnagent encore.
    S _ Mais le climat, toute cette géologie, ces attractions célestes, ces explosions ces feux, ces vents, régulent les humeurs et la vie !
    M _ Certes ! Il régule le sommeil, les comportements alimentaires, la pression artérielle et la température corporelle, les chroniques et les articles de presse. Tiens, TBJ n’y va pas par quatre chemins. C’est du KO livré aux enturbannés. Une ruade de plus à Riad ! Mais au fait, comment ne pas avoir dit cela directement au Roi d’Arabie ? Nous, on n’y peut rien, pour tout ce que TBJ a cité.
    S _ TBJ veut qu’on se gausse, au Nord, de tous vos amis arabes et musulmans.
    M _ C’est comme s’il avait perdu la foi, avec la nationalité ! C’est tout !
    S _ Ça le regarde, mon pote ! Il défend qui il veut. Et puis il ne prendrait pas de photo à l’Elysée avec le Roi !
    M _ Ne sois pas mauvaise langue, alors ! Nous sommes la galerie à amuser, aux dépens d’autrui. Sommes-nous, mieux nantis que ces richards ? Qu’on n’aurait pas des choses à curer des fois ! Question de donner à TBJ des sujets de choix, de soi ! Nous sommes la galerie à amuser, aux dépens d’autrui. Sommes-nous, mieux nantis que ces richards ? Qu’on n’aurait pas des choses à curer des fois ! Question de donner à TBJ des sujets de choix, de soi !
    S _ Pourtant, la terre est un immense berceau qui s’offre aux semences des êtres vivants. Lac de vie, où sont passés les âmes ? Quand elles existent chez les hommes ? Humains autres animaux et toutes ces plantes ! Nous sommes dotés de bien des sens que l’on développe, avec les cultures au grés des plaisirs des sensations et sentiment qu’ils rapportent. Parfums et senteurs ne laissent personne dans l’indifférence. Ouïe et tact, vues et spectacles, participent. Les yeux ravis ainsi que l’intellect, pour les chanceux qui reçoivent ces idées et ces tacts qui les éduquent, les séduisent et les impactent. Mais, il est un sens que l’on partage avec les chiens et les autres rapaces, le flair !
    M _ Ça me ravit quand tu parles comme les classiques, ma chère Pouf !
    S _ Moi ! Pouf ? Et puis quoi encore, résidu vivant de mes chastes amoures !
    M _ Pardon de l’erreur de frappe ! Je pensais dire ‘’Prof’’, ma chère professeure !
    S _ Tu frappes trop fort. Va dormir ! Adam et Mohammed attendent !
    M _ Tes concitoyens, encore vivants, ou tout comme, ont perdu leur langue ! L’odorat que l’on méprise ou que l’on flatte, selon les espèces, leurs milieux, leur tranche et leur la tronche. Il en est que ces facultés aident vivre et à chasser. D’autres ne souffrent de les voir par trop développés ou carrément annihilés. Ce qui les indispose. Les simples humains que nous sommes, consomment et jettent. En retour, la nature, agacée ou flétrie, nous fait respirer nos propres fientes. Goutez, manger, sentez ce que vous me faites, dirait-elle à nos cadres de cette région et de cette ville. Dès, au vous mettez le nez dehors, vous attrapez la crise ! Je ne parle pas de ces asthmatiques que l’on néglige ni des responsables aveugles qui les indispose, en les regardant suffoquer. Mais de ceux qui en encore sains, doivent mourir de ces relents, sinon des haines torrides et des inutiles et torpides ressentiments.
    S _ En venant chez toi, avec mes belles brunes, j’ai senti ce mal. Un calvaire. J’ai les narines fonctionnelles et encore vierges !
    M _ Seulement les narines ?
    S _ Le reste est saint, ceint et saint, sans aucune issue ni ouverture autre que l’esprit.
    M _ L’odeur nauséabonde qui monte des cafés du bas et près desquels on est obligés de passer, remonte des escaliers au couloir. Elle supplante celles des solutions utilisées en infirmerie. Salles d’attente et d’examen, dégagent un repoussoir qui asphyxie les gens qui veulent se soigner. Le pire est qu’à la sortie, ces puanteurs deviennent acceptables, face aux pestilences de la ville, qui veut nous noyer. Le syndrome de Stockholm, réduit du sexe, de la prison et de l’esclavage à la simple asphyxie par les odeurs nauséeuses comme punition !
    S _ Mais où veux-tu qu’ils voient le Maroc gagner au foot le Gabon ? Et Nizar Baraka battre Chabat, ce jour, si ce n’est aux cafés.
    M_ J’en profite pour lui lancer un mot sur libération. Félicitations à tous. Pensez à refaire la Koutla, malgré ceux qui la freinent. Pensez au dossier que je vous ai adressé, quand vous étiez Ministre des finances, sur la détaxe des médicaments ! TVA et Douane totalisent sans honte pour l’Etat 27 % du prix des soins. Ces maladies que l’on taxe de façon inique et que l’on exploite, et ces malades que l’on pénalise parce qu’ils souffrent. Vous les entendez ou pas ?
    S _ Tu m’as freiné avec ce propos hors sujet. Je te disais pour les attablés des cafés et pour ces établissements sur trottoirs, que ces seconds ‘’homes’’, sans femmes ni enfants, ces casse-têtes, criards et turbulents, ces râleuses de nougarates*, sans gamins turbulents, sont des espaces antistress pour tous. Des centres de cures sociétales qui rapportent des impôts et des recettes à l’Etat. Voire aussi du calme aux familles. Beaucoup de gens y ont établis leurs bureaux aussi. Et ce sont aussi des endroits de ralliement et de rendez-vous d’un tas de gens. Ces ‘’hospices’’, ces cafés, ces fumoirs, remplacent le ciné, la bibliothèque et le stade aussi !
    M _ Que voulez-vous, ô grands Cadres de la ville ? Que les touristes viennent chercher et humer nos pestilences ou vos ordures toxiques! Iraient-ils encore, viendraient-ils investir dans cette atmosphère puante avec laquelle et dans laquelle vous nous agressez ?
    S_ J’en doute ! Tu exagères, Maidoc ! Ils vont te cherchez noise, tous ces partis pour tes piques ! Et, ils vont se liguer contre toi. Pour une fois ils seront unis, grâce à toi, afin de te faire taire, te punir ou t’affamer !
    M _ Sont-ce nos façades embellies, leurs vitrines aguichantes, nos trottoirs partout nets et réguliers ? Sont-ce nos avenues correctement plantées et superbement carrelées ? Seraient-ce nos théâtres, nos bibliothèques, nos cinémas, nos musées ou encore nos bus ? Ces ruines nuisibles, qui roulent ostentatoirement devant la police et ses agents ? Sont-ces offenses, qui vont les attirer ? Ou leur faire aimer cette ville qu’on laisse ainsi puer ? Ses ressortissants anciens, ceux des grands cadres qui y sont mutés, ceux venus des capitales pour prospérer, ceux qui viennent pour y couler leurs vieux jours ou demeurer. Ont-ils commis une erreur, pour venir s’infecter ou un plus terrible péché encore pour s’infester ? Côté ordures, n’en parlons plus, c’est souillé. Allons voir la capitale, qui nous a avalés et qui est juste à côté. Les poubelles sont pleines à croquer.
    S _ Tu as dit croquer …des poubelles ! Tu veux dire pleines à craquer ? Corrige ton tir!
    M _ J’ai dit et je répète ‘’croquer’’ ! Ce n’est pas un lapsus. Elles, si elles pouvaient parler, ces poubelles, diraient comme nous, qu’elles ont ras-le-bol des municipalités et de leurs concessionnaires. Missionnaires et rabatteurs laissent bailler leurs surplus sur nos chaussées défoncées. A plus d’un titre.
    S_ Tout ceci, relève de l’inculture civique manifeste ! L’éducation manque, c’est tout. Ce n’est pas le rôle des multinationales qui viennent vous transporter.
    M _ Là, ce sont des traces ! Des ordures et des offenses. Et ce n’est pas une exception, insuffisantes en nombre et par trop remplies. Elles sont pleines des restes de fêtes et leurs excès qui laissent leurs traces sur le sol. Les traces de leurs facondes et de leurs fécondes richesses !
    M _ Des millions perdus bêtement dans d’ostensibles cérémonies de réjouissantes épousailles, qui se décessent en bruits de haut-parleurs assourdissants, en guise de musique, habits de luxe à ne porter qu’une fois dans la vie, puis en nourritures profuses et autres marques de richesses, bien ou mal acquises, infectes ou saugrenues ! Les familles aisées ne calculent pas le coût de leurs fastes. Même quand elles achètent ces sorditudes* de l’étranger ! Des magasins de rebus de fringues troués rapiécés et signées, des décors dépassés ou des tableaux mièvres
    S _ C’est la mode espèce de paysan arriéré ! Incapable de faire de telles dépenses, tu parles par jalousie.
    M _ Non !
    S _ Les familles aisées ne calculent pas le coût de leurs fastes. Les nuptiaux les premiers ! Les exemples viennent du ciel de nos civilisations prestigieuses et du haut de nos plus belles pages des milles et une nuit.
    M _ Rien n’est dispendieux pour réaliser l’idéal en pareilles circonstances, afin d’assumer le mieux-être et la quintessence du paraître devant les familles ainsi rassemblées.
    S _ Les fortunes se font et se réalisent pour assumer de pareils moments et pour les transformer en fêtes de retrouvailles mémorables, entre frères milliardaires et autres hommes d’affaires !
    M_ Le prestige est de s’entendre dire que c’était formidable et que j’ai assisté, une marque de gloire te et que tels ministres étaient de la partie ! Tous ce qui était présenté et offert était digne d’eux.
    S _ Des plateaux onéreux, emplis de cadeaux, des tissus coûteux et des parfums pharamineux ! Un récital de mélopées, des chanteurs impressionnants. Des orchestres brillants, qui ont livré à l’auditoire prestigieux, les canons du classique dans un concert de mélodies variées.
    S _ Je rêve ? Tu changes de ton ! C’est une mélopée divine que tu me sors là ! Tu étais invité des fois ? Ou pour une fois ! Et voilà que tu critiques tes hôtes !
    M _ Du jardin, recouvert de tapis rouges, aux tentes largissimes, qui par endroits laissaient respirer les arbres, propres et polis…Des dames qui superbement habillées, se sont librement mises à danser, suivies des jeunes filles, aussi belles les unes que les autres, qu’on les dirait, signées, façonnées et décorées, par les mêmes esthéticiennes que la mariée…De rares adultes, appelés par leurs moitiés, qui n’arrivaient pas à délaisser leurs coupes des mains, servaient de garde ou de cache-corps à celles qui arrivaient encore à suivre la musique ou à déambuler sur la piste… De beaux tapis, quasi neufs, étendus et répandus sur l’immense jardin, qu’on avait honte, hier, à marcher dessus, chaussés !
    S _ Redites.
    M _ Ce sont des cascades de gâteaux, de tous genres et styles, qu’offraient sans arrêt des colonnes et des rangées de garçons, en tenues de soirée, tout au long de ces heures de ce dîner, simplement formidable et fastueux.
    M _ Finalement nourris, logés, habillés au mieux qui puisse être, l’argent ne sert qu’à ça ! Au mieux et pour le justifier, pour rassembler les familles et leurs amis aux parents de sa douce moitié. Peut-on être amoureux et heureux sans ce faste onéreux ? Ces réceptions inénarrables et luxuriantes, si touchantes, touchantes et foisonnantes, dans les pays dits pauvres, les amis ?
    S _ Alors que le boucan qui sort des hauts parleurs géants, vous sature et vous plombe les ouïes et qu’il vous empêche d’entendre comme de respirer. De quoi parle-t-on, entre proches et amis, lors de ces fêtes familiales, gastronomiques, vestimentaires, dansantes et musicales?
    M _ De la pluie et du beau temps ? Des rencarts pour de prochains contrats ! De la politique locale ou de la trans-satellitaire ? Des affaires indigènes ou du social ? De l’histoire et de la religion ? Oui, des blagues, chacun plongé dans son phone !
    S _ Mythes délogés ou mites au logis ?
    M _ Similitude des noirs et des gris, quand la verdeur se perd et que l’hiver emplit de feuilles mortes les regards des égouts.
    M _ Les conduites et les bouches sont à curer et les trottoirs à nettoyer. Non pas des farrachas* et autres voleurs et truands en puissance qui y trouvent un job quand même qui les retient et le alimentent honnêtement. Les conduites et les bouches des grands et des plus immenses encore, sont à curer, pour plus de progrès, de justice, de liberté et moins de peines. Comme ces trottoirs à nettoyer de leurs innombrables chaises. Cockpit de bombardiers et de tireurs déshabilleurs, qui combattent les piétons et les jettent sur la chaussée, souvent mal asphaltée ! Nettoyer ces trottoirs de leurs tables exubérantes des cafés, voilà la bataille de demain. Et s’ils veulent passer des IRM aux fesses, vous qu’à leur ouvrir de nouveau les cinémas ! Car ces phares aux regards indiscrets et agressifs, ces yeux incandescents, des attablés sur les tasses de marc, scannent vos pas et pénètrent votre passé et votre avenir aussi !
    S _ Je ne crois au dieu auquel tu ne crois pas l’athée !
    M _ Student, écoute ! Je respecte et j’admire, je loue et je vénère Celui qui a fait le Soleil, la Lune et la Terre. Celui qui est de toujours et qui a créé les lois pour que l’univers et ses astres, ce cosmos, te fassent naître un jour et …te taire le suivant ! Tu n’as aucune idée de ton destin ni de souvenir encore.
    S _ Tu n’as nulle idée non plus de ton destin ni de souvenir encore de ton passé. Moi, Maidoc, je suis passé par là et je reviens à la vie, comme messagère active, pour te rassurer et pour dire des choses à tes…
    M_ Moi, athée ? Hram âliq a lkaîya ! Terre, air, eau, espace, temps, au pluriel, il y a Un ‘’X’’, derrière !
    S _ C’est Celui que je loue pour ses immenses œuvres et que j’admire.
    M _ Et puis plus bas, en bas, cet air qui fait palpiter les branches d’arbres. Leur danse de ce jour d’Achoura. La Noëlle pour ces peuples archaïques qui se déchirent. Les feuilles et leur haleine sous ce vent. Leurs hymnes, leurs prières et leurs chants. Leurs danses ne laissent aucune trace ni ombre sur le sol. Qui retiendra ces bacchanales et leurs farandoles ? Quels souvenirs laisseront-t-ils ? En moi, en toi, sur le climat et l’air ambiant qu’on respire ? Et quels actes sur nos destins, autres que ces actes de bonheur, qui est de les percevoir, heureux de vivre et de bouger ?
    S _ Il y a une limite à ta litanie, Mondoc ! Oui, surtout lorsque ces ouragans et ces cyclones sèment la terreur, au pays des Bush et des Trump ! Ou quand ces vents violents s’abattent sur les hommes, arrachent les arbres, les maisons et les terres !
    M_ C’est vrai !
    S _ Tu n’as aucune idée de ton destin ni de ton futur. Ce sable, cette argile, ces branches qui se balancent, vont jeter leurs graines, avant d’y plonger et de mourir à leur tour, pour alimenter et nourrir d’autres créatures. Toi peut être si tu vis encore, tes descendants encore ou simplement ceux qui vont te manger ! Les insectes et les vers.
    M _ Moi, être mangé par les insectes et les vers ? Quand même ! Avec tous les alcools que j’ai bus et les parfums que j’ai mis, je vais les faire fuir et les intoxiquer…
    S _ Quelles différences de destins, d’égo ou d’épaisseur, d’importance, de vie en somme, y a-t-il entre toi et ces petites bêtes, les anges ou ces milliards d’êtres cellulaires ? Quelle différence pour le destin entre ces papillons et ces larves, ceux de nos êtres, classés comme inférieurs ? Qui plus est, ceux des démons et des créatures des planètes habitées ? Des créatures, des quidams, aux têtes et aux sexes multiples, dont tu n’as nulle idée encore ! Ton sexe, bout de bambou, sceptre de ton monde et de ton espèce, ta digestion qui te nourrit de bêtes assassinées, ton cœur qui bat sans tes ordres, la terre qui tourne sans demander ton avis, elle est pleine de reptiles et des fossiles des tiens. A ce propos, d’où viens-tu et que vas-tu devenir, si tu as de l’esprit, ô grande âme ?
    M _ J’ai expliqué à mon bof Med, que la tête du mouton de l’Aïd El Kébir ; offerte par le frangin, et que nous partageons ce soir, en pensant aux chefs démis prochainement de leurs ministères et fonctions, que ces bouts de viande allaient le reconstruire. Lui donner d’autres protéines nouvelles pour soigner son vieux corps… Et à cet chef un autre gouvernement. Les moutons, c’est utile, ça nourrit en votant. Il a rigolé en bêlant d’un surprenant et merveilleux ‘’baaê’’ !
    S_ A ce propos, d’où viens-tu, Maidoc ? Et que vas-tu devenir, si tu as de l’esprit, ô grande âme… des fois?
    M _ Une minute. Je partage avec toi, ma chère Student, l’esprit de cette réponse faite à Christian Labrune.
    S _ Qui c’est celui-là ?
    M _ Je commence par la conclusion. Je parle de la terre ce monde où nous vivons.
    S _ On en a suffisamment parlé, de quoi débouter les lecteurs…
    M _ Laisse-moi finir. Je propose une ouverture pacifique sur tous les humains. Et plus que la tolérance, le respect égalitaire. D’où mon idée de  » civisme universel  ». Un véritable idéal difficile à concevoir et à réaliser, en suivant les normes culturelles usitées en ce moment, avec les enseignements prodigués actuels, ici et là. Mon propos, c’est Le civisme universel. Une idée qui a dû être formulée avant moi et certainement pas lors de la période coloniale ni entre les deux guerres mondiales…C’est un deal que cette mondialisation que l’on vante en ce moment. Avec pour la freiner ces impérialismes divers, en manque de conquêtes, de suprématie et de pouvoirs. Des états qui dominent ou fractionnent les peuples et les pays.
    S _ Comment ?
    M _ Tu plaisantes ! Regarde les infos ! L’intérêt est d’enseigner les religions aux lycées, et pourquoi pas les thèses athées, les cultures des différents peuples, la philosophie obligatoire comme les sciences, voilà les matières à inculquer partout. C’est ce que je voulais formuler en réponse à cet éditorialiste qui parlait d’Averroès, en invoquant son esprit de tolérance. Et tous cela pour relever  » l’Homme  », cet animal égotiste actuel, à ce ‘’ civisme universel ’’.
    S _ Un idéal ou un simple comportement, qui équivaut pour moi, au respect de la Terre et de la Vie de tous et de toutes ses formes. Un ‘’rêve’’ un peu délicat devant ces raz de marées sanguinaires, qu’on voit autour de nous !
    S _ Les fanatiques sont des assassins, un point, c’est tout.
    M _ Les politiques qui ont fabriqué ou réveillé ces tueries terroristes ou extrémistes sont leurs parrains et les premiers à reconsidérer. Toute chose a une cause et peut-être une solution. Merci de m’avoir fait parler. Enfin, écrire sur la buée du Net
    S _ Tu es le bienvenu dans le virtuel. C’est un spectre qui te le dit, Mondoc ! Je Transmettrais tes dires et ton ire à qui de droit et à qui sait lire. Tu fais plus de boucan que le Hirak, Chabat, Benky, Ilyas et Ayouch, réunis.

    Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 8 Octobre 2017

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    LA NATURE AURA RAISON DES RUINES ET DES HOMMES

    ‘’Les frictions infernales’’, épisode 73 des chroniques différées de Mme Student.

    Le réveil des rois mages, flirt mystique avec des revenantes

    Dédicace et condoléances
    Ces pensées très tristes et impuissantes, sont dédiées à cette fillette, morte subitement, dans la cour de son école.

    Flirt ou tango mystique
    L’enfer est déjà sur terre. Avoir pour être, posséder autrui, ses libertés, son être et ses avoirs ! Inceste et onanisme, pédo, homo, zoophilies, népotisme et corruption de la personnalité et de l’identité, conquérir et dominer ! Meurtres gratuits de déments aux pays des libertés, guerres de ceux-là qui s’impliquent dans les pays riches et/ou arriérés. Flirts mystiques, par religiosité, esprit de libérateurs et des libertés, mythes de démocratie… Pavé de bonnes et de mauvaises fréquentations, l’enfer est déjà sur terre pour adapter aux affres les siens ! Madame Student revient dans cette scène pour y distiller ses chroniques sociales mythiques.

    Idées vagues et réflexions parcellaires
    Sincère franc, charitable en paroles, loquace comme un philosophe et dispendieux comme des riches, obsédés par les conquêtes, les gains et les achats, nos mots, m’as-tu vu, calques ou copies, sont des voiles. Nos pensées, nos idées, leurs mots sont des habits de fortune ou de luxe. Nous les formulons comme un étendard révélateur ou des voiles cachotiers ou de pudeur, pour exprimer selon notre richesse, notre être et notre paraître. Cet aspect de notre être ou de notre personne, celui que l’on brique le meilleurs de nous-mêmes. Pour faire la quête de notre contenance, certes, mais aussi la conquête de l’estime d’autrui, de son admiration ou de son simple respect. Je me dépense pour être, je me vêts pour être, par ce que j’ai pour être.

    Le flirt mystique des revenantes
    Présentation du deal. Mesdames Ghinsatni Wemchate et Ghissiri Mouti-Blache, deux métisses sud-africaines, ont des problèmes de réception de l’Internet.
    Ces grandes âmes, sont des revenantes, de nouvelles messagères de l’équipe des revenantes de madame Laure Student. Laquelle, mes vieux lecteurs le savent, est devenue à son départ de Kénitra, (du fait de la pollution toxique te puante qui y règne, comprenez à sa mort), une meneuse de femmes !
    Elles ont comme tâche ici, dans ce 73ème épisode des chroniques infernales de Mme Student, et ce depuis leur réincarnation, de retrouver les esprits de nos célébrités défuntes. De les diriger au besoin et de leurs transmettre nos amoures réelles et nos pensées positives, en plus de les coacher et de les entourer de conseils afin de mieux plaire à leurs peuples, à leurs fans et leurs descendances.

    On peut leur parler d’ici,
    Sauf que le Net ne s’est pas encore entré dans les usages de tous les esprits des morts. Les anges si, ils travaillent avec et bien avant son invention humaine…Ce reste de vie, l’esprit, quitte donc le corps délabré et se repose. Les esprits des morts stagnent dans l’inter-monde, en attentant l’Apocalypse et la Résurrection. Certaines âmes bénéficient de réincarnation pour se corriger et se refaire. D’autres vont dare dare au paradis sans jugement aucun…Mais c’est rare. Ils appliquent durant leur vie le simple précepte que l’on dit être musulman : « Nadafatou mina el imane ». Sauf qu’il est de très bons athées, qui quels que soient leurs cultes d’origine, sont bien plus propres que la masse des islamistes, des juifs, des bouddhistes et des amères-loques*.
    Nos héroïnes vont ainsi rencontrer les personnalités qui ont marqué le monde et fait les civilisations, pour laisser leurs traces sur l’histoire du monde. Les patriarches mythiques devenus des prophètes, des saints ou des demi-dieux, les empereurs importants de par le monde et les grands rois, tels Hassan II et bien d’autres saints. Nos héroïnes vont leur présenter les hommages vivaces et les pensées de leurs fidèles laudateurs, car à l’endroit de leurs repos, ils ne les ressentent plus. Puis elles verront les grands ministres, les généraux, les opposants liquidés, ceux périmés, les chefs des partis politiques, les vétérans des résistants, puis son illustre père, Mohamed V, ainsi que ses prédécesseurs anté-coloniaux, dont le maréchal Lyautey, le célèbre cousin de Mme Laude Student, notre héroïne de service. Ils vont reparler franchement et sans censure de l’histoire mondiale, la locale de nos indigènes, puis des péripéties de nos dynasties du moyen-âge, de nos Homos sapiens primitifs jusqu’aux ancêtres des ères reptiliennes. Cela fera beaucoup de travail en fait. Mais le temps est contracté, elles ne sentiront pas de fatigue à la tâche.

    La tâche est immense,
    Tous les anges seront de la partie. Elles passeront en revenue les 5 dormeurs de la caverne, les 5 hommes (crânes) de Jebel Irhoud, Alexandre le grand, les Pharaons, tous les Césars, y compris ceux du cinéma, Brahma et Bouddha. Les Nobels de la paix, dont la criminelle Aung San Suu Kyi. Elles auront ainsi interviewé Moulay Idriss, des deux et leurs descendants, Tarik Ibnou Zyad, Kamal Attaturk, Jamal Abdenoceur, Saddam Hzine et Kadhafi Znaga Zanga ! Et bien d’autres dont j’ai oublié les noms…Ça me revient Yasser Arafat, Shimon Perez, Yitzhak Rabin, et ces gaulois de Rabelais, Molière, Racine, Rousseau, Montesquieu, Lamartine et Hugo…. Napoléon…l’exilé de Sainte Hélène, comme Mohamed V de Madam Gascar. Ces bons nôtres de Harba et Zhiliga, Houcine Slaoui, Tayeb Laêlej et Taïeb Seddiki…les deux géants des planches sont cuits. Sauf que Laêlej est un vrai menuisier et poète ! Ces pyramides cairotes d’Oum Kaltoum, Asmahane, Farid, Abdelwahab, Abdelhalim… Puis encore ces phares germaniques de Marx, Freud, Einstein…Lénine, Hitler, sont aussi sur leurs listes… Les autres sujets de SM, à cause du Brexit, tant pis, je ne les citerais pas ! Et puis, il y en des tas encore ! Je ne peux ni les citer ni les retenir. Ce sont des générations et des générations qui nous ont laissé des conneries et bien de positifs souvenirs. Wikipedia et Google vous renseigneront.

    Le boulot terres des brunettes fantômes
    Ainsi, nos africaines, venues pour notre rédemption, auront visité les calcinés de Daech, dont elles suspectent le chef, Abou Machette mille fois tué par les américains, d’être un faussaire. Un terroriste escroc et un falsificateur. Un espion judéo-chrétien et ses conseillers, des gradés militaires, sadamo-irakiens !
    Nos héroïnes de l’au-delà, messagères non prophétiques, visiteront les âmes des enterrés vivants. Ceux des fosses de Bosnie Herzégovine, des Rohingyas de Birmanie. Ces victimes du nettoyage ethnique; massacrées en masse et enfouies par la ‘’prix Nobel’’ Aung San Suu Kyi et sa junte militaire birmane du Myanmar.
    Et puis les dossiers allemands ! Les Nazis seront écoutés pour le massacre les Juifs allemands de l’Holocauste, qu’ils ont calcinés. La belle humanité des parangons suprêmes ! Des puristes qui illustrent leurs identités d’êtres supérieurs dans leurs démocraties civilisées ! Et au-delà. Exemple : ces injustices des réparations, faites sur le dos des autochtones et des voisins arabo-musulmans. Des injustices causées par les victimes de l’Holocauste, des victimes innocentes des malheurs des Juifs, elles-mêmes, victimes du célèbre berger David, père du roi Salomon, qui d’un coup de tire-boulette, sournois et perfide, terrassa le Goliath palestinien…Ils sont là ses descendants. Clouées dans un centre de concentration au Moyen-Orient, par les fils des victimes des Nazis ! Ces apatrides, restés plus ou moins chez eux, en Palestine, zélotes de l’Islam, par contiguïté, seront entendues pour leur emprisonnement ethno-religieux dans des camps de concentration. Plus encore, c’est l’affliction devant eux dont les têtes ‘’aborigènes’’ ornèrent les piques et les créneaux de nos murailles épiques fassies !

    En résumé, si vous avez tout lu.
    Les Inspectrices angéliques de l’Au-delà verront ainsi les victimes des guerres coloniales, des guerres de religions, celles livrées aux indiens et aux noirs, puis celles des guerres mondiales et celles des guerres livrées aux Indiens, décimés qu’ils furent et ces Noirs, kidnappés par tribus entières pour devenir des esclaves depuis l’antiquité. Puis les messagères du bien, je n’ai pas dit les ‘’mégères’’, monsieur le concierge, étudieront les guerres mondiales. Celles ahurissantes et démentes entre Catholiques et Protestants et pire encore, celles de nos jours, des Sunnites et des Chiîtes. C’est mon drame ! Là toujours, devant vous, ô ministres intègres, dans les pays fracassés par les Américains et qui firent, qui font encore la joie de leurs antiques et ataviques ennemis.

    Dialogue entre Maidoc (M) et Student (S)

    S _ De ce fait, les karmas bousillés de tout ce beau monde ont besoin de résipiscence et donc de métempsychose ! Un toilettage du corps, de l’esprit, un nettoyage de l’âme ! D’une rééducation dynamique en profondeur aux fins de leur réédition sur terre. Une nouvelle vie, où ils seront logés dans une autre chair, afin de tenter une nouvelle fois leur et de réhabilitation sur terre. Elles vont assister à la nouvelle plongée de ces esprits dans d’autres corps, ici dans le monde des vivants, ou sur d’autres strates et sphères de l’univers, en hommes ou en bêtes , selon leurs choix et les disponibilités qui leur échoient.
    M _ Comment faire pour les morts ? Messieurs, il y a l’ADN résiduel, ses infimes traces ou ses copies notées dans l’Au-delà. Et puis la télécopie 4D ! La copie photo, télécopie espace-temps.
    S_ Ce recyclage, cette foire inlassable de sessions, ce cinéma en multi vision, cette miséricorde faite pour réchapper les âmes des morts et les réhabiliter est d’une bonté et d’une commisération céleste unique, une divine et inextinguible grâce.
    M_ Et ce cas est celui de nombreuses dames aussi, ce qui donne en résumé ceci. Elle était jolie angélique ou disons, belle ! Elle a pris de l’âge et contracté un homme et des maladies. Elle s’en est servi et quand elle ahanait sous leurs poids, elle se disait qu’elle allait survivre à ce futur squelette vieil amant et de collant mari. Et qu’à son départ elle en profitera durant de longues années. Une patience prometteuse, puisqu’elle est veuve et hospitalisée…
    S _ Destins et jeux de hasard, de la vie, des impacts sur soi et sur autrui, des actes ratés et des erreurs de bonne foi. Quelle science peut gérer toutes ces créatures, toutes ces vies et tous ces mouvements ? Et en garder trace ! Que dire de ce qui se passe à la mort ? Et qu’est ce qui se passera bien après ?
    M_ Ils ont bloqué leur mort pour certains. Ils restent coincés dans les labyrinthes invisibles et les casiers du Barzakh.
    S _ Là-haut, ne persistent que les esprits immaculés et les âmes pures. Les autres restent sur terre avec leurs problèmes et ceux qu’ils causent sans regrets aux gens. Tous ces assassins que vous voyez aux infos, ceux du passé et leurs prédécesseurs de l’antiquité, tous les rebelles et les tyrans, les révoltés insatiables, tous les révolutionnaires qui n’ont pas réussi et qui se sont lancés dans le terrorisme, les auteurs des actes de France, de Belgique, d’Espagne, d’Amérique, ceux constants des pays fracturés du Moyen-Orient, tous ces malfaiteurs aux âmes impures et nuisibles, auteurs d’actes qui abaissent l’humanité aux plus bas degrés des assassins, toutes ces catégories lugubres et néfastes, ont besoin d’être lavées par des conduites morales honorables.
    M_ Ceux et celles à contrario, qui ne le font pas, leurs esprits maléfiques continuent de les mettre en peines dans la perversité satanique. C’est ce dont parle l’empereur Donald Trump, à la suite de la fusillade de Paddock à Las Vegas. Trump dénonce cette attaque comme étant un acte « absolument diabolique » ! Il en a tué 60 et blessé près de 600. Le tireur s’est suicidé. Le FBI a rejeté la piste d’un attentat djihadiste. Trump croit au diable malfaiteur, alors qu’il se devrait d’interdire non seulement la vente d’armes aux civils de parmi les siens, mais à travers le monde entier !
    S _ Par-delà la tuerie féroce, Trump reste muet sur les armes à feu.
    M _ La seule manière de créer un climat de paix dans le monde et de revenir à des actes plus naturels, plus humains ! Façon de dire qu’ils doivent cesser leurs mascarades, ces fabricants de canons. Et que leurs industries, leurs actes assassins, doivent être dénoncés à travers le monde. Leurs sbires sont leurs clients obligés et prospères. Ces matons ont été hissés à la tête des états, les nouvellement préfabriqués ou les plus anciens, que les grandes puissances dépècent ou brisent à volonté, en jetant leurs populations sous les bombes et au fond des océans.
    S _ Pourquoi faut-il que ces cannibales mangent des singes et que ces anthropophages bouffent des cochons? Ne savent-ils pas, ces mammifères debout et à peine évolués, qu’ils partagent des viscères qui se ressemblent et bien des chromosomes en commun, avec les victimes dont ils se repaissent ?
    M _ Après, M’Barek Obama, le beau brun qui est allé se ressourcer en Afrique, question de nous faire la politesse, lui qui n’a jamais mis les pays dans notre bled, voici une amie qui allait nous rassurer. Manque de pot pour Hillary, c’est son riche adversaire, le grand blond et blanc, qui nous fait le Mac Do ! Donald Trump de son nom ! Viendra, viendra pas visiter le pays des premiers homos sapiens. On lui fera une réception à Djebel Irhoud, question de lui montrer son ancêtre bougnoule marocain &! Et de lui offrir un terrain d’entente et d’investigations pour s’impliquer et s’investir…Ne sommes-nous pas ce vieil état, le premier pays qui a reconnu, il y a 2 siècles, le sien.
    S_ Maidoc ! Mind ! Les deux dames, des missionnaires et des messagères, telles des prophétesses, sont venues racheter bien des gens, des fauteurs morts ou des imparfaits qui sont morts. Des âmes inachevées, qu’elles vont assister pour leur résurrection dans le monde des vivants. Le nôtre, n’est-ce pas ? Une nouvelle vie, offerte, de novo aux morts, dans le but de leur permettre de se corriger afin que leurs âmes puissent mériter le paradis ! Elles vont, les Dames, ainsi assister des millions de gens. De quoi remplir dix planètes habitées durant plusieurs ères géologiques. Car il faut de l’espace et du temps pour abriter ces retournards*! Des revenants, en chair et en os, pas des spectres ou des fantômes ! Pour une fois, grâce à leur programmes et à leur message de miséricorde divine opère une Résilience.
    M _ Un miracle constant et large va se produire.
    S _ Pour les médiocres, les peureux, les timides, les pudiques, les malades, les démunis, les amoureux plaqués en bas. Je continue l’énumération. Pour les mauvais poètes sans instruction, les romanciers ratés en mal de papier, les impuissants qui ratent leurs coups et leurs déclarations, les athées et les religieux de toutes les religions. Pour les putes, et leurs bon services, les homos, que Dieu inverse leurs vapeurs. Pour les fornicateurs petits et grands. Les timides onanistes, les assassins sans peur ! Pour les victimes des guerres des deux sexes et de toutes les guerres, les victimes, des escrocs, les martyres des femmes, les hommes rescapés des guerres conjugales. Pour les mauvais gestionnaires, les pires des cancrelats, les méchants élèves qui frappent les autres dans les cours, les copieurs, les malfrats de parmi les profs, des services et des administrations, ceux de la santé, de la gente policée et de la justice, les corrompus de ce pays et des vôtres (ça en fait pas mal). Pour ceux qui haïssent les autres, ceux qui combattent la paix, les colons, les esclavagistes, les gros richards, les rois méchants et les impérialistes de tous les temps.
    M _ Bref, tous les morts vont retourner refaire leurs ablutions sur ce sol terrestre ! Ce n’est pas un peu trop à lessiver pour 3 filles, seulement ?
    S_ C’est épuisant et énorme ! C’est Dieu qui y pourvoira.
    M _ Vous les 3 mousquetaires femelles, vous revenez de l’Au-delà, pour ça ? Toi feue la blondasse avec vous deux, les gouinettes africaines, de belles fessues aux larges tresses ! On ne va pas vous laisser tranquilles !
    S_ C’est à la mode les callipyges d’Afrique ! Depuis que le Maroc la redécouvre et qu’il réalise qu’il est aussi africain, chez lui qui plus est, grâce aux 35 voyages de son bon roi !
    M _ Vous vous parachutez de l’Au-delà, comme ça. Vous revenez pour racheter toute humanité ? Petits innocents, brutes et cons ! Et mettre votre doigt dans nos viscères intimes et autres histoires locales ! On ne peut écouler son destin sans l’intervention de vous autres ? Les grandes puissances, les impérialistes, les past-colons, nos administrateurs, nos femmes ! Et maintenant, les revenantes !
    S _ Il y a d’autres ! J’arrête de les énumérer pour que vous puissiez retrouver votre souffle et me remercier pour cette halte.
    M _ Si j’écris ‘’’mal’’, comme tu l’as dit et rapporté sur le forum, pour que tu le vois de l’Au-delà, c’est que tu ne sais pas lire. Une simple question de temps insuffisamment accordé au texte, de concentration absente ou de simple culture qui doit te manquer. Trop haute, trop calée, trop prof… Toi l’éducatrice de mon fils Djo, ton grade de Préceptrice du Prince, David-Salomon 60ème, ne te quitte pas ! Toi la médaillée de Paris et d’Israël, la cousine et copine du Général Lyautey !
    S _ Comment, diable, sais-tu tout ça ?
    M _ A propos comment qu’il va, notre bienfaiteur de militaire, depuis qu’on a enlevé sa statue du jardin public de Boujeloud de Fès ? On devait pour la culture et la civilisation universelle, nous rendre nos antiquités ! Nous rendre ainsi notre statut et cette statue moins abîmée…Dis-le, please, à la France, au Makhzen, devenus si gentils et si zens et au consulat ! Nous les Maures, contrits ou pas, sans notre Mauritanie, on est des amis avec la Gaule coupable de mauvais partage sécession. N’est-ce pas ?
    S _ Maidoc, fait gaffe, je ne veux pas te perdre ! L’oncle Chabat a été suicidé pour ça ! Mon toubib, mon frère, tu as été mon garde-corps. L’un de mes plus fidèles soignants et admirateurs.
    M_ Ma fidèle admiratrice, bénévole et sans succès, hélas !
    S _ C’est vrai, c’est juste, sans connivence ni compromis ! Quand mes propres généraux, les médecins du maréchal Lyautey, mon cousin, ont failli ou voulaient, pour des raisons secrètes de la république, me tuer, tu étais là pour me sauver.
    M _ Dont mention it !
    S _ Tu m’agaces avec tes reliquats d’anglais.
    M _ Passons, pour ne pas sortir du sujet !
    S _ Oui, mais malgré tout, à mon départ, je te confie mes femmes, mes brunettes d’Afrique du Sud et Tanganyika, pour les protéger comme tu le fis pour moi. Malgré les susceptibilités nationalistes de ton pays !
    M _ Mind ! Je ne suis pas un vendu pour céder aux conneries des ingrats de Mandela !
    S _ Prends soins d’elles, car ce sont elles ton futur job. Et à vie ! Ton contrat de maître-d‘œuvre, scientifique et mystique à la fois. Avant que tu ne montes, toi aussi là-haut !
    M _ Oui, j’ai compris, je vais partir un jour quitter mes clientes ! Et te retrouver, toi Laure Student, à la réception. Au bout du tunnel, afin de guider mes pas de novice là-haut ! C’est vrai que moi, je me soigne mal, Le placebo n’a pas de portée sur soi ! Aussi médecin qu’on soit !
    S _ Si j’écris cette recommandation, comme un talisman pour elles et que ce soit une confidence par-delà la mort, c’est pour que mes enfants, ces filles, vivent toujours sous l’autorité et la garde de la mamy que je suis et du parrain que tu devrais être pour elles.
    M _ Mes dernières volontés écrites, mon testament ne comprendra rien de mes vœux intimes. Je te préviens. Quant à elles, je ferais de mon mieux. Je les soignerais gratis !
    S _ Je vois que tu fais des efforts intrinsèques, immenses et de quoi te ruiner ! Sache, entre nous, Mon Doc, que je ne dirais ça à personne. Et que de plus, mon cher, les revenantes que je te confie pour corriger et soigner les âmes des trépassé, que les spectres et les fantômes, ne tombent jamais malades et qu’ils ne meurent pas non plus !
    M _ Tu me rassures ma bonne dame. Si j’écris c’est pour soulever le dialogue et non pour placarder des dazibaos, inculquer des sentences ou administrer des impératifs. Si je communique, c’est pour apprendre et partager, c’est pour me corriger, pour recevoir et donner. Et si soigner est mon job, c’est aussi mon magistère. C’est aussi une tâche qui me remplit de bonheur. Si tes brunettes de revenantes vont revivre parmi nous sur terre, comme moi ou ces autres revenants qu’elles vont aider à refaire leurs âmes, elles pourraient avec besoin de moi ! Tant pour leurs corps que leurs esprits. Ce que je ferais avec sagesse et prédisposition et assuétude.
    S _ Tu n’as rien perdu, de ton agressivité avec l’âge ! La mémoire et la force physique, peut-être ? Pour la virilité, qui vivra verra. Mais attention, Maidoc, ne touche pas à mes revenantes et missionnaires invités, sinon elles vont se retourner…
    M _ Non je n’aimerais pas ça me trouver dans cette position ! Mon passé s’est effacé, mon présent est si lourd qu’il s’en va en se gommant, mon futur m’est inconnu et mon avenir ne me rendra pas mes souvenirs. Et ses lubies ne devront rien craindre rien de ma part, qui puisse les déranger ou harceler leurs adeptes non plus !
    S _ J’aime la vie et cette ville Maidoc ! Le lantana penche ses branches aux boutons multicolores sur le mur de clôture, non loin de l’ibiscus rouge impérial et des bougainvilliers plantureux. Telles des offrandes aux sens de qui veut les recevoir, ils balancent leurs fleurs incandescentes sur la chaussée, espérant couvrir les erreurs des mortels.
    M _ Je t’aime mieux en romantique, Maîtresse ! Je me demande pourquoi tu n’as jamais rien publié, comme romans, nouvelles ou récit poétiques ?
    S _ Je compte sur toi pour rapporter mes pensées et mes dires !
    M _ Je ne veux pas être ni rapporteur et je ne veux rien maudire non plus ! Mes adversaires n’ont rien à craindre de mon courroux. Je demande seulement à Dieu de me réparer ces impairs
    S _ Halte là, avec tes jeux de mot ! Tu as dépassé les classes primaires, je pense ! Si tu ne veux pas leur casser la gueule, à ses escrocs et ses pauv’s types de truands ou de menteurs, c’est que tu es trop tendre et trop timide ! Ou impuissant ? Ou que tu manques de force et de vigueur !
    M _ Ah bon, c’est comme ça que tu juges ? C’est toi qui veux refaire le monde et corriger les âmes des défunts qui ont des conneries durant leurs vies ?
    S _ Dans ton pays, Mon Doc, ils sont comme ça. Pudiques ou violents. Tyrans ou habitués à la matraque, des gens passifs ou à l’inverse, des prédateurs! Les antipodes se jouxtent, les paradoxes s’opposent et se marient. On le voit à travers les difficultés de mariage et le nombre des divorces…
    M _ Je préfère que tu me parles, ainsi, d’amours !
    S _ Vigoureuses et goguenardes, les chattes miaulent en pourchassant les tourterelles qui s’aventurent près d’elles, à la recherche des miches de pain que les félins d’instinct snobent. Les fauves préfèrent la gente ailée au pain de blé jeté par terre. Le plaisir de croquer se décuple à la chasse. Les chats y mettent plus de zèle. Un chasseur adroit montre ainsi qu’il est plus viril afin de féconder les femelles. Celles prêtes aux semences qui dégagent assez d’hormones pour montrer qu’elles sont fertiles !
    M _ La chatte noire à la face blanche de ma cour allaite une nouvelle recrue. Ses précédentes filles en âge déjà de chaleur la tètent de nouveau depuis qu’elle a mis bas !
    S _ Ça doit être la faim, Docteur, qui repousse ses quatre paresseuses à la sucer et l’exploiter encore. Il en est ainsi de notre espèce, l’amour d’un côté et les profits de l’autre. Et c’est pire, des paresseux et des bras cassés, qui comptent toujours sur les vieux retraités des leurs, pour les alimenter et les nourrir, ou pire encore. Le chômage, la drogue, le sexe, les guerres. Ça va jusqu’aux forums où l’on vous traite gratuitement de tous les noms. On vous malmène on vous disloque, dès que vous voulez tempérer ou donner un conseil. Voire sortir une opinion ! A qui, pour qui, veux-tu publier ou écrire Maidoc ?
    M _ Je les connais depuis que le Web existe et que les forums du Net étrangers offrent des espaces de partages et de dialogue ! Attention, partout, virtuel ou pas, il y a des félons de ce genre qui vous critiquent parce que vous usez de leur langue, mieux qu’eux ! Ou que vous avez dans la hâte laissé une erreur, une faute d’orthographe ou une conjonction de trop. Je n’en veux comme preuve qu’Agora, qui ne signifie pour eux que faire fermer la gueule aux étrangers ! Obstruction et condamnation de la voix des autres, des étrangers. C’est un comportement analogue à leur incivisme chez eux, dans les cités, dans leur jungle.
    S _ Pourtant, Agora-vox, comme son nom l’indique, est la voix de tout un chacun dans le cadre d’une tribune ouverte, respectable, vivante, faite pour entendre s’exprimer toute cette foule.
    M _ Oui ma chère professeure ! Avec un nœud.
    S _ Des ovaires, Môssieur, pleins d’œufs, s’il te plait ! Des ovules pour ne rien me rétorquer ! Un E, à professeure et à docteure s’impose.
    M _ Pardon pour mes jeux de maux ! C’est un peu maladif des fois ! Je ne dialogue pas toujours avec des intellectuelles. Parfois seulement des gens biens, de simple cadres et d’anciens ministres…
    S _ Maux pour mots, c’est trop banal, mon Pote ! Tu vas avoir l’occasion de parler à plusieurs d’entreeux dans le mois qui vient.
    M _ D’où le sais-tu ?
    S _ Je viens de l’espace-temps, afin de placer des morts avec les vivants. Ça ne pouvait ni se cacher ni m’échapper cette sanction ! Il y a des noms qui ont fuité et qui circulent depuis l’affaire de l’espadon assassin de Fikri, du Hirak qui marche et de Zefzafi qui stagne en taule ! La politique est faite de coup bas. Les gens qui en profitent sont élevés… dans les manipulations. Les politiques ont un dieu latin, Machiavel ! Tu lis les journaux français, j’espère !
    M _ Les cafards et les moustiques, des vandales et des vampires. Des monstres et des misérables sévissent dans la politique, dans tous les pays !
    S _ Il n’y a pas qu’au Maroc que les leaders et les parlementaires se traitent de tous les noms d’oiseaux, de bourricots ou de reptiles !
    M_ Allez vous deux, vous tous, ne faites pas comme les gens habituels ! Honorez la mariée, c’est honorer la paix au Maroc. C’est un symbole de paix et d’union, si vous saviez ! La politique est une chose, wakha*, oui ! Mais la politesse est une autre psychologie, merveilleuse et qui prime. Et la diplomatie est meilleure, pour rendre les gens bien meilleurs ! Et la politique que l’on dénigre, ici et partout, est une forme de mariage, de reviviscence, de réticences tordues, d’actes ratés, de paris gagnés, de gageures et de programmes tenus ou pas, de succès et d’échecs. Parfois conjoints. Il ne faut pas leur jeter la pierre et griller ceux qui furent ouvertement aux ordres ! Complaisamment ou par entente cordiale, sage, avisée et certaine ! Les jeter ensuite comme des serviettes sales, des mauviettes, afin de se démarquer et d’échapper à la critique, soutenus dans son sanctuaire ! Les jeter en pâture au peuple et pour l’exemple, afin de sauvegarder et de sauver la face à ceux qui persistent, loin de l’arène aux lions ou est partial et inique. J’ai vu ce que vous faites de vos anciens présidents et autres ministres, passés.
    S _ Y a pas la joie, non plus, chez les Gaulois.
    M _ Il y en a qui se sont suicidés, parce que désavoués publiquement ! Cruellement ou injustement ! Ah, la presse ! Le 4 ème pouvoir est le pire des procurators.
    S _ J’allais perdre patience à écouter ton panégyrique à l’envers, mais aussi plaidoyer à l’endroit. Une autre défense symbolique mais pas très franche, il me semble ! N’est-ce pas de l’autocensure ?
    M _ Non seulement ils sont pourris, mais ils puent très fort, exaltant très haut leur puissance pour exhaler du fric ses pénétrantes odeurs. Ils sont les maîtres suprêmes de la terre, les conquistadors. Les autres sont leurs matons, les seigneurs et les administrateurs de leurs guerres ! Ils ont partout leurs zélotes, leurs affidés, leurs satrapes et leurs vicaires. Tous des esclaves et des prisonniers des gardiens des séides et leur mercenaire.
    S_ Tu parles des impérialistes ! J’en ai ras le bol de ce discours
    M_ Ah, ça toucherait des fois ton pays à toi, la Gauloise ?
    S _ Niet ! Nous, on est bien ! Et les morts, de là d’où je reviens, ne parlent que de ça et de leurs supplice à vivre ces épopées sur cette terre !
    M _ Garderais-je pour ma part, assez de mémoire, pour râler dans l’Au-delà ? Les plantes, contrairement aux animaux et aux humains, vivent utiles et belles et se multiplient sans avoir conscience du bien qu’elles nous font. Mes souviendrais-je de quoi que ce soit sous terre ? Là où les plantes tirent pour vivre les substances de leurs racines. Mon souffle parti, mon esprit dans le vague de l’âme, seront-ils responsables de ce que mon corps fit ou qu’il lui reste à faire ! Retrouveront-ils mes souvenirs, pour se rappeler mes actes et mes peines, alors que vivant encore, ma mémoire est déjà en jachère ? Verrais-je encore un peu de cet univers ? Les étoiles qui me manquent. Et les milliards de milliards de planètes et leurs êtres que j’ai envie de découvrir et de connaître? Question de donner plus de savoir et de sciences à mon être, à cette âme qui appartient à Dieu et à ce même univers !
    S _ Du calme Maidoc ! Tu vas me faire encore taper une crise ! Parlons d’ici, de toi, de ta vie, de tes projets, des gens qui vivent là ! Des odeurs de la pollution et du climat sur cette terre du Gharb que j’ai aimée…
    M _ Pourquoi cultiver des fleurs si on les dope aux excréments ? Le recyclage des déchets animaux, purin par ci, fumier par-là ! Les engrais naturels ou physiologiques, à côté des déchets chimiques et toxiques, sont des paramètres morbides du climat. Des sommités à l’échelle planétaire étudient leurs impacts et leurs nécessaires et vitales limitations et endiguement.
    S _ Oui, ça je sais !
    M _ Je me demande ce que tu ignores ou que tu feins Student, d’ignorer encore ? Terre, air, mers, nous faisons souffrir à notre tour les éléments, de façon géologique ou pire. Tahtawiyate et bas-ventrologie en représailles ! Cataclysmes et guerres ! A son tour, le ventre en feu, la Terre fait bouillir ses volcans, sans pudeur, et soulève de ses tsunamis passionnels, les terres qui émergent ou surnagent encore.
    S _ Mais le climat, toute cette géologie, ces attractions célestes, ces explosions ces feux, ces vents, régulent les humeurs et la vie !
    M _ Certes ! Il régule le sommeil, les comportements alimentaires, la pression artérielle et la température corporelle, les chronique et les articles de presse. Tiens, TBJ n’y va pas par 4 chemins. C’est du KO livré aux enturbannés. Une ruade de plus à Riad ! Mais au fait, comment ne pas avoir dit ça directement au Roi d’Arabie ? Nous, on n’y peut rien, pour tout ce que TBJ a cité.
    S _ TBJ veut qu’on se gausse tous de vos amis arabes ou musulman.
    M _ C’est comme s’il avait perdu la foi, avec la nationalité ! C’est tout !
    S _ Ça le regarde, mon pote ! Il défend qui il veut.
    M _ Mais alors pas de mauvaise langue…Nous sommes la galerie à amuser, aux dépens d’autrui. Sommes-nous, mieux nantis que ces richards ? Qu’on n’aurait pas des choses à curer des fois ! Question de donner à TBJ des sujets de choix, de soi ! Nous sommes la galerie à amuser, aux dépens d’autrui. Sommes-nous, mieux nantis que ces richards ? Qu’on n’aurait pas des choses à curer des fois ! Question de donner à TBJ des sujets de choix, de soi !
    S _ Pourtant, la terre est un immense berceau qui s’offre aux semences des êtres vivants. Lac de vie, où sont passés les âmes ? Quand elles existent chez les hommes ? Humains autres animaux et toutes ces plantes ! Nous sommes dotés de bien des sens que l’on développe, avec les cultures au grés des plaisirs des sensations et sentiment qu’ils rapportent. Parfums et senteurs ne laissent personne dans l’indifférence. Ouïe et tact, vues et spectacles, participent. Les yeux ravis ainsi que l’intellect, pour les chanceux qui reçoivent ces idées et ces tacts qui les éduquent, les séduisent et les impactent. Mais, il est un sens que l’on partage avec les chiens et les autres rapaces, le flair !
    M _ Ça me ravit quand tu parles comme les classiques, ma chère Pouf !
    S _ Moi ! Pouf ? Et puis quoi encore, résidu vivant de mes chastes amoures !
    M _ Pardon de l’erreur de frappe !
    S _ Tu frappes trop fort. Va dormir ! Adam et Mohammed attendent !
    M _ Tes concitoyens, encore vivants, ou tout comme, ont perdu leur langue ! L’odorat que l’on méprise ou que l’on flatte, selon les espèces, leurs milieux, leur tranche et leur la tronche. Il en est que ces facultés aident vivre et à chasser. D’autres ne souffrent de les voir par trop développés ou carrément annihilés. Ce qui les indispose. Les simples humains que nous sommes, consomment et jettent. En retour, la nature, agacée ou flétrie, nous fait respirer nos propres fientes. Goutez, manger, sentez ce que vous me faites, dirait-elle à nos cadres de cette région et de cette ville. Dès, au vous mettez le nez dehors, vous attrapez la crise ! Je ne parle pas de ces asthmatiques que l’on néglige ni des responsables aveugles qui les indispose, en les regardant suffoquer. Mais de ceux qui en encore sains, doivent mourir de ces relents, sinon des haines torrides et des inutiles et torpides ressentiments.
    S _ En venant chez toi, avec mes belles brunes, j’ai senti ce mal. Un calvaire. J’ai les narines fonctionnelles et encore vierges !
    M _ Seulement les narines ?
    S _ Le reste est saint, ceint et saint, sans aucune issue ni ouverture autre que l’esprit.
    M _ L’odeur nauséabonde qui monte des cafés du bas et près desquels on est obligés de passer, remonte des escaliers au couloir. Elle supplante celles des solutions utilisées en infirmerie. Salles d’attente et d’examen, dégagent un repoussoir qui asphyxie les gens qui veulent se soigner. Le pire est qu’à la sortie, ces puanteurs deviennent acceptables, face aux pestilences de la ville, qui veut nous noyer. Le syndrome de Stockholm, réduit du sexe, de la prison et de l’esclavage à la simple asphyxie par les odeurs nauséeuses comme punition !
    S _ Mais où veux-tu qu’ils voient le Maroc gagner au foot le Gabon ? Et Nizar Baraka battre Chabat, ce jour, si ce n’est aux cafés.
    M_ J’en profite pour lui lancer un mot sur libération. Félicitations à tous. Pensez à refaire la Koutla, malgré ceux qui la freinent. Pensez au dossier que je vous ai adressé, quand vous étiez Ministre des finances, sur la détaxe des médicaments ! TVA et Douane totalisent sans honte pour l’Etat 27 % du prix des soins. Ces maladies que l’on taxe de façon inique et que l’on exploite, et ces malades que l’on pénalise parce qu’ils souffrent. Vous les entendez ou pas ?
    S _ Tu m’as freiné avec ce propos hors sujet. Je te disais pour les attablés des cafés et pour ces établissements sur trottoirs, que ces seconds ‘’homes’’, sans femmes-casse-têtes, sans râleuses ni nougarates*, sans gamins turbulents, sont des antistress pour tous. Une cure sociétale qui rapporte des impôts et des recettes à l’Etat, voire aussi du calme aux familles. Beaucoup y ont établis leurs bureaux aussi. Et le centre de ralliement. Ces ‘’hospices’’, ces cafés, remplacent le ciné, la bibliothèque et le stade aussi !
    M _ Que voulez-vous, ô grands Cadres de la ville ? Que les touristes viennent chercher et humer nos pestilences ! Iraient-ils encore, viendraient-ils investir dans cette atmosphère puante avec laquelle et dans laquelle vous nous agressez ?
    S _ J’en doute !
    M _ Sont-ce nos façades embellies, leurs vitrines aguichantes, nos trottoirs nets et réguliers ? Sont-ce nos avenues correctement plantées et superbement carrelées ? Seraient-ce nos théâtres, nos bibliothèques, nos musées ou encore nos bus ? Ces ruines, roulantes, offensantes et détraquées, ostentatoirement nuisibles, qui vont les attirer ? Ou leur faire aimer cette ville qu’on laisse puer ? Ses ressortissants anciens, ceux des grands cadres qui y sont mutés, ceux venus des capitales pour prospérer, ceux qui viennent pour y couler leurs vieux jours ou demeurer. Ont-ils commis une erreur, pour venir s’infecter ou un plus terrible péché encore pour s’infester ? Côté ordures, n’en parlons plus, c’est souillé. Allons voir la capitale, qui nous a avalés et qui est juste à côté. Les poubelles sont pleines à croquer.
    S _ Tu as dit croquer …des poubelles ! Tu veux dire pleines à craquer ?
    M _ J’ai dit et je répète ‘’croquer’’ ! Ce n’est pas un lapsus. Elles, si elles pouvaient parler, elles diraient comme nous, qu’elles ont ras-le-bol des municipalités et de leurs concessionnaires. Missionnaires et rabatteurs laissent bailler leurs surplus sur nos chaussées défoncées. A plus d’un titre.
    S _ Là, et ce n’est pas une exception, insuffisantes en nombre et par trop remplies. Elles sont pleines des restes de fêtes qui laissent leurs traces sur le sol. Les traces de leurs fécondes richesses !
    M _ Des millions perdus bêtement dans d’ostensibles cérémonies de réjouissantes épousailles, qui se décessent en bruits de haut-parleurs assourdissants, en guise de musique, habits de luxe à ne porter qu’une fois dans la vie, puis en nourritures profuses et autres marques de richesses mal acquises, infectes ou saugrenues !
    S _ Les familles aisées ne calculent pas le coût de leurs fastes. Les nuptiaux les premiers ! Les exemples viennent du ciel de nos civilisations prestigieuses et du haut de nos plus belles pages des milles et une nuit.
    M _ Rien n’est dispendieux pour réaliser l’idéal en pareilles circonstances, afin d’assumer le mieux-être et la quintessence du paraître devant les familles ainsi rassemblées.
    S _ Les fortunes se font et se réalisent pour assumer de pareils moments et pour les transformer en fêtes de retrouvailles mémorables, entre frères milliardaires et autres hommes d’affaires !
    M _ Le prestige est de s’entendre dire que c’était formidable et que j’ai assisté, une marque de gloire te et que tels ministres étaient de la partie ! Tous ce qui était présenté et offert était digne d’eux.
    S _ Des plateaux onéreux, emplis de cadeaux, des tissus coûteux et des parfums prestigieux ! Un récital de mélopées, des chanteurs impressionnants. Des orchestres brillants, qui ont livré à l’auditoire prestigieux, les canons du classique dans un concert de mélodies variées.
    M _ Du jardin, recouvert de tapis rouges, à la tente largissime, qui par endroits laissait respirer les arbres propres et polis. Des dames qui superbement habillées, se sont librement mises à danser, suivies des jeunes filles, aussi belles les unes que les autres, qu’on les dirait, signées, façonnées et décorées, par les mêmes esthéticiennes que la mariée. De rares adultes, appelés par leurs moitiés, qui n’arrivaient pas à délaisser leurs coupes des mains, servaient de garde ou de cache-corps à celles qui arrivaient encore à suivre la musique ou à déambuler sur la piste. De beaux tapis, quasi neuf, répandus sur le jardin, qu’on avait honte, hier, à marcher dessus, chaussés !
    S _ Ce sont des cascades de gâteaux, de tous genres et styles, qu’offraient sans arrêt des colonnes et des rangées de garçons, en tenues de soirée, tout au long de ces heures de ce dîner, simplement formidable et fastueux.
    M _ Finalement nourris, logés, habillés au mieux qui puisse être, l’argent ne sert qu’à ça ! Au mieux et pour le justifier, pour rassembler les familles et leurs amis aux parents de sa douce moitié. Peut-on être amoureux et heureux sans ce faste onéreux ? Ces réceptions inénarrables et luxuriantes, si touchantes, touchantes et foisonnantes, dans les pays dits pauvres, les amis ?
    S _ Alors que le boucan qui sort des hauts parleurs géants, vous sature et vous plombe les ouïes et qu’il vous empêche d’entendre comme de respirer. De quoi parle-t-on, entre proches et amis, lors de ces fêtes familiales, gastronomiques, vestimentaires, dansantes et musicales?
    M _ De la pluie et du beau temps ? De la politique locale ou de la trans-satellitaire ? Des affaires indigènes ou du social. De l’histoire et de la religion ? Oui des blagues, chacun plongé dans son phone!
    S _ Mythes délogés ou mites au logis ? Similitude des noirs et des gris, quand la verdeur se perd et que l’hiver emplit de feuilles mortes les regards des égouts.
    M _ Les conduites et les bouches sont à curer et les trottoirs à nettoyer. Non pas des farrachas* et autres voleurs et truands en puissance qui y trouvent un job quand même qui les retient et le alimentent honnêtement. Les conduites et les bouches des grands et des plus immenses encore, sont à curer, pour plus de progrès, de justice, de liberté et moins de peines. Comme ces trottoirs à nettoyer de leurs innombrables chaises. Cockpit de bombardiers et de tireurs déshabilleurs, qui combattent les piétons et les jettent sur la chaussée, souvent mal asphaltée ! Nettoyer ces trottoirs de leurs tables exubérantes des cafés, voilà la bataille de demain. Et s’ils veulent passer des IRM aux fesses, vous qu’à leur ouvrir de nouveau les cinémas ! Car ces phares aux regards indiscrets et agressifs, ces yeux incandescents, des attablés sur les tasses de marc, scannent vos pas et pénètrent votre passé et votre avenir aussi !
    S _ Je ne crois au dieu auquel tu ne crois pas l’athée !
    M _ Student, écoute ! Je respecte et j’admire, je loue et vénère Celui qui a fait le Soleil, la Lune et la Terre. Celui qui est de toujours et qui a créé les lois pour que l’univers et ses astres, ce cosmos, te fassent naître un jour et te taire.
    S _ Tu n’as aucune idée de ton destin ni de souvenir encore de ton passé. Je suis passé par là et je reviens à la vie, comme messagère active, pour te le dire et te rassurer.
    M_ Terre, air, eau, espace, temps, au pluriel, il y Un ‘’X’’, derrière ! C’est Celui que je loue pour ses immenses œuvres et que j’admire. Et puis plus bas, en bas, cet air qui fait palpiter les branches d’arbres. Leur danse de ce jour d’Achoura. La Noëlle pour ces peuples archaïques qui se déchirent. Les feuilles et leur haleine sous ce vent. Leurs hymnes, leurs prières et leurs chants. Leurs danses ne laissent aucune trace ni ombre sur le sol. Qui retiendra ces bacchanales et leurs farandoles ? Quels souvenirs laisseront-t-ils ? En moi, en toi, sur le climat et l’air ambiant qu’on respire ? Et quels actes sur nos destins, autres que ces actes de bonheur, qui est de les percevoir, heureux de vivre et de bouger ?
    S _ Il y a une limite à ta litanie, Mondoc ! Oui, surtout lorsque les ouragans et ces cyclones sèment la terreur, au pays des Bush et des Trump ! Ou quand ces vents violents s’abattent sur les hommes, arrachent les arbres, les maisons et les terres !
    M_ C’est vrai !
    S _ Tu n’as aucune idée de ton destin ni de ton futur. Ce sable, cette argile, dans lesquels, les branches qui se balancent, vont jeter leurs graines, avant d’y plonger et de mourir à leur tour, pour alimenter et nourrir d’autres créatures. Toi peut être si tu vis encore, tes descendants, ou simplement ceux qui vont te manger !
    M _ Les insectes et les vers.
    S _ Quelles différences de destins, d’égo ou d’épaisseur, d’importance, de vie en somme, y a-t-il entre toi, ces petites bêtes, les anges ou ces milliards d’êtres cellulaires ? Quelle différence pour le destin entre ces papillons et ces larves, ceux de nos êtres, classés comme inférieurs ? Qui plus est, ceux des démons et des créatures des planètes habitées ? Des créatures, des quidams, aux têtes et aux sexes multiples, dont tu n’as nulle idée encore ! Ton sexe, sceptre de ton monde, ta digestion qui te nourrit de bêtes assassinées, ton cœur qui bat sans tes ordres, la terre qui tourne sans demander ton avis, est pleine de reptiles et des fossiles des tiens.
    M _ J’ai expliqué à mon bof que la tête du mouton de l’aid du frangin, que nous avons partagé ce soir, en pensant aux chefs démis, que ces bout de viande allait le reconstruire. Lui donner d’autre protéines nouvelles pour soigner son vieux corps…Il a rigolé en bêlant d’un surprenant et merveilleux ‘’baaê’’ !
    S_ A ce propos, d’où viens-tu et que vas-tu devenir, si tu as de l’esprit, ô grande âme ?
    M _ Une minute. Je partage avec toi, machère Student, l’esprit de cette réponse faite à Labrune. Je commence par la conclusion. Je parle de la terre ce monde où nous vivons.
    S _ On en a suffisamment parlé, de quoi débouter les lecteurs…
    M _ Laisse-moi finir. Je propose une ouverture pacifique sur tous les humains, plus que la tolérance, le respect égalitaire. D’où mon idée de  » civisme universel  ». Un véritable idéal, un deal difficile à concevoir et à réaliser, en suivant les normes culturelles usitées, en ce moment, avec les enseignements prodigués actuels, ici et là. Le civisme universel est une idée qui a dû être formulée avant moi et certainement pas dans la période coloniale ni entre les deux guerres mondiales…C’est un deal que cette mondialisation que l’on vante en ce moment. Avec pour la freiner des impérialismes divers, en manque de conquêtes, de suprématie et de pouvoirs. Des états qui dominent ou fractionnent les peuples et les pays. Regardez les infos…L’intérêt d’enseigner les religions aux lycées, et pourquoi pas les thèses athées, les cultures des différents peuples, la philosophie obligatoire comme les sciences, voilà les matières à inculquer partout. C’est ce que je voulais formuler en réponse à un éditorialiste qui parlait d’Averroès, en invoquant son esprit de tolérance. Et tous cela pour relever  »’ l’Homme  », cet animal égotiste actuel, à ce ‘’ civisme universel ’’. Un idéal ou un simple comportement, qui équivaut pour moi, au respect de la Terre et de la Vie de tous et de toutes ses formes. Un ‘’rêve’’ peu délicat devant ces raz de marées sanguinaires, qu’on voit autour de nous !
    S _ Les fanatiques sont des assassins, un point, c’est tout.
    M _ Les politiques qui ont fabriqué ou réveillé ces tueries terroristes ou extrémistes sont les premières à reconsidérer. Toute chose a une cause et peut-être une solution. Merci de m’avoir fait parler. Enfin, écrire sur la buée du Net
    S _ Tu es le bienvenu dans le virtuel, c’est un spectre qui te le dit, Mondoc !

    Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 8 Octobre 2017

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Notes pour Mme Student 71

    Les Chroniques différées de Mme Student . Chapitre 71 : Rêveries et chagrins.


    Rêveries et chagrins d’un citoyen loquace. Le récent chapitres des ‘’ Chroniques différées de Mme Laude Student ’’.

    Un tour au jardin des pensées pour se recueillir auprès des fleurs et arracher nos mauvaises herbes. Entre le coq et ses inlassables cocoricos nocturnes qui m’appellent, me hèlent et me forcent au fajr, et ces moustiques, les vrais et ceux qui les singent et me trompent en me sortant des yeux comme des mirages inattrapables, vous dites des photophènes, Docteur ! Et puis ce bambou nouveau de l’allée, pareil à une fusée en érection, qui cherche à se couper des farges* et des franges de la terre de ce jardinet, afin de libérer le passage aux humains, vers d’autres matrices et édens, sur d’autres planètes et cieux que la terre ! Puis ce rat de balcon, impudent déambulateur de nuit, qui devenu imprudent, a fini par se pincer le museau sur les dents de la souricière. Sans avaler le crouton de pain, imbibé d’huile d’olives qui attire les siens. Ce sont des factions de fourmis alléchées par le même bout de pain et attirées par la même huile, qui les premiers sont venus roder autour de son corps immobile, en commençant par le pourtour des yeux. Les cailles s’amusent à saute-moutons sur les rebords de terrasse de la maison d’en face. On devine pourquoi ils cessent de chanter quand ils se mettent sens dessus-dessous ! Tandis que des pies et des merles, posés sur les fils électriques, ajoutent leurs sifflets aux cris des paons, ceux de la volière du voisin, qui me lancent des appels qui m’interpellent. ‘’ Où est ta paonne maintenant ?’’ Oui je vais penser au coq qui me vient de chez les voisins. Et un peu à vous, les plus petits oisillons. Lancé du haut sur le bout de gazon, depuis hier soir, le paquet fermé attendait les coups de bec de Coco le coq, pour voir sortir les morceaux de pain. Ses voisins, petits et grands, les taupes et les souris, les tortues iront recycler les bouts de miches, non pour fermenter de leurs engrais le jardin, mais pour souiller ses abords ! J’entends déjà les mots désapprobateurs du patron de maison qui entame sa scène, du fait que leurs saletés et leurs fientes souillent les balcons. Cet espace, qui hier déjà fut noyé par les eaux qui giclaient le soir d’un trou ignoré du tuyau d’arrosage.

    Je vais vous raconter une histoire, pour la modique somme de 3 milliards de nos centimes royaux seulement. Un hoax dont je rêve pour arrondir les faims de vie. Plus une des belle voitures de collection, pas les intouchables, mais une commune, une occase-presque-neuve, comme cadeau. Pour services rendus ! Les fées n’existent pas mais les rois, si ! Pour vous faire avaler le texte, vous aurez droit à un sortilège. Celui sans prétention, des idées pétries dans une série de paragraphes. Pas forcément disparates, qui vous restent à découvrir ! Faute de patience, pour vous qui me lisez, le sortilège des mots sera gratuit et vous ne serez pas hypnotisés pour vous faire avaler n’importe quoi, j’aurai besoin de votre logique et de votre sagacité pour déchiffrer les symboles et les paraboles. Vous pouvez imprimer le texte pour ne pas vous fatiguer afin de le lire dans une aire de repos et de réflexion. Attention au papier rugueux imprimé en noir, il est tristement indigne pour le bel usage direct sur votre personne ! En milieu du texte, que vous pourrez livre gratuitement, jusqu’à la fin. Réfléchissez !

    Pensez à l’intelligence et à la vie des plantes qui se reproduisent, sans cerveau connu chez eux et sans harcèlements ni libertinages, sans crises sensuelles si sexes exor-bitant et autres mariages et divorces trop coûtants. Pensez à votre cœur et ce qu’il aurait dedans, une ou des amis, des parents, des enfants, un esprit, une âme, un amant, une diablesse, un manant ? Mais surtout un courant de sang qui vous maintient en vie tant qu’il circule, mais que vous ne commandez pas. Vous le maladroit chauffeur de ce robot-corps, que vous croyiez et que vous dites être vous, ou le vôtre ! Vous vous développez à partir de deux bouts de cellules, animales, une vie dont tous nous ignorons les manipulations et l’origine argileuse, marine ou atomique ! Vous naissez sans vos ordres, un hasard chimique séminal, et puis, voilà que vous poussez sans lui donner de directives ni de plan de construction. Aucun ordre physicochimique, neuro-hormonal, ou électromagnétique, ne vient de vous ! Ça monte et ça s’érige en mâle mastoc ou habile, en femme intelligente et belle, et ce cycle, regardez les crânes, regardez les fossiles, perdure depuis des centaines de milliers d’années. Là, sur une terre en fin d’exercice, littéralement épongée et évidée de ses ressources minières profondes et super salie. Intoxiquée et nous avec, innocents, ou coupables, sous ses nuages rares et ses fumées grises ! 7 ou bientôt 8 milliards d’homo sapiens, se font la guerre, la honte animale et l’hypocrisie humaine. Morale respect, dignité, démocratie, droits, libertés, cultures, cultes, racontez ce que vous voulez pour beaucoup, ce sont des mensonges, et ils n’y sont ni compris ni inclus. Allez, ce n’est pas pour déprimer, mais pour rester objectifs et alertes, vers le mieux-être et la raison. Un petit coup de bonheur, de travail ou de sport, un deal pour chacun afin d’oublier ou d’étancher tout ça ! Seul ou en bonne compagnie, avec une longue queue devant, la file suit le rang, face au guichet unique de ce vaste cinéma.

    Indignation et texte allégorique tournant autour des événements tristes et graves, survenus ici et ailleurs, tels que devenus quasiment banaux. Ces caractères et ces mœurs, ces conduites terribles et sauvages, sont-ils naturels et inhérents aux seuls déviants des nôtres ? Dans le labyrinthe des actes et des verbes, des sens et des sentiments, être et avoir sont des auxiliaires essentiels.

    Avoir, oui, mais où mettre mes livres, mes papiers, mes notes, mes dessins, mes djellabas et mes tarbouches, que je me dois de changer à chaque sortie et chaque vendredi ? Où cacher mon fric ? Dans quelle boîte et dans quel pays ? Oui, malgré mon héritage, j’ai transpiré beaucoup pour être ce que je suis ! Et je sue encore plus à force de m’exposer et de trop travailler. Où caser mes chemises neuves, celles reçues en cadeau de mon père et celles que mon beauf m’a achetées de la Joutia de Fès, celle qui est près de Bab Boujloud, de la moquée, du lycée où il a étudié et du Palais ! Où ranger mes pantalons apparemment usés et mes godasses neuves ? Je suis la mode pour ne pas paraître mon âge et pour reste jeune d’esprit. Ça compte dans les affaires et pour la petite famille aussi ! Je sais que je ne les porterais plus, à cause de cet ongle incarné et de mon ventre un peu enflé !

    Travailler, acheter, avoir et être, c’est plus que paraitre, c’est exister ! C’est à la fois, une tournure de mon esprit et une torture de la raison ! Si mes grands moyens me permettent de faire de la peinture et d’empiler des tableaux d’artistes, qui encombrent mes caves, ce sont les statuettes de toutes natures et les objets en cuivre, qui font crier ma femme. Vrai, qu’on ne les compte plus.

    Oui, la fortune de mon père, de son vivant déjà, puis celles que j’ai conquises et concentrées, me permettent de me guérir de ce délire. Celui d’acheter. Pour avoir. Pour me calmer. Pour les artistes et les hommes d’affaire, ce sont des placements plus sûrs que l’argent qui dort en banques ou dans les sommiers ! Quand on a les moyens, on fait ce qu’on veut, pardi ! Est-ce un crime ? Est-ce un délire maniaque ou une conduite pathologique, Docteur, que ce fait d’avoir et de collecter ? De collectionner ! Des livres, des disques, des cassettes, des films, ou des montres, depuis des décennies. Oui, c’est tout un bazar, un musée, des malls plus jolis que nos joutéya* originelles, ma chère Oudghiri de cousine ! J’ai besoin de l’immeuble de Trump et de quelques autres palais, si je dois tout vous montrer et étaler devant vous. Oui, je sais, à mon départ, ce sera ainsi. Versailles est un musée ! Mais en attendant, ces zoos et ces joutéyas à objets, j’ai hâte de vivre et de persister le plus longtemps, malgré mes maladies, et ce grâce à ces actes et ces actions, d’avoir et être, entouré de ces gens et de ces objets-là ! C’est grave, Docteur ?

    « Avoir juste pour être », m’a répondu le Toubib. Il ajoute en me lançant cette perche. « Je suis, je me sens bien quand j’ai et quand j’obtiens ». Moi, je pense, que je suis bien, quand je les garde, que je les regarde, ne serait-ce que le temps de les entreposer ! Mais, le temps de les regarder est si court et il ne se renouvelle pas ! Mais je sais que je les ai achetées, que je les possède et que je les garde, bien cachées. Là, je peux les voir quand je veux. Ça me rassure et ça me calme l’esprit. J’en suis satisfait. Mes enfants ont les mêmes tendances. Ils m’auront dignement copié avant de m’hériter, comme je l’ai fait, moi-même de mon père ! Mes compulsions, comme il les nomme, le Psy, sont contagieuses. Ce sont des concepts, somatiques, physiques, biologiques et culturels. Une religion, quoi ! On est devenus des copains depuis. On joue aux échecs et aux dames, parfois en famille. Et c’est bien meilleur que les cartes. C’est pour cela qu’il ne m’en a pas guéri. Certains collectionnent les cartels, les femmes, les potiches, les monnaies ou les tapis ! Moi, heureusement ce ne sont pas mes maladies, pas de haram ni de harem ! Je préfère m’astreindre au minimum vital comme affection, et me maîtriser, me retenir face à la multiplicité. Des offres et des penchants. On devient gracieux et on possède aisément, quand on est riche…

    La compliance parfaite n’est pas de ce monde. Si, si, répond-elle. La paonne s’est finalement éprise d’un coquelet ! Je suis la femme d’un seul, je ne veux pas appartenir à plusieurs ! Il faut dire que cette sœur, une catholique qui me l’avait déjà dit, s’est sincèrement rangée. Elle n’a plus qu’un Dieu unique, auquel elle s’adapte et qu’elle adore avec discipline et loyauté ! Et le Père, à l’occasion, est comme un véritable mari ! Elle est devenue une mère dévouée et respectable. Qui plus est, elle enseigne la vie autant que la sobriété et la grammaire, à toutes les belles-filles, qui emplissent ses classes ! La vieillesse nous pousse à la sagesse, pour de vrai, pas que pour la rime. Le corps devient inutile, une ombre dépitée appendue à ses capacités ramollies et ses attraits déclives ou délavés. Mais le religieux, à la longue, barbe ou pas, s’il s’est bien rangé par-delà les instincts, gagne en estime, en sagesse et en tolérance, ce qu’il perdrait, autrement, ailleurs !

    Trop c’est trop ! Et quand c’est trop, c’est inutile et dispendieux ! Question de cumuls, disais-je, en dehors de mon travail, je n’ai plus le temps de goûter les paroles des classiques ni les chansons, de l’époque ! Oum Kalthoum Abdewahab, Farid et Asmahane, rarement le malhoun ou le tarab, là dans ce café du bord de la rivière de Jnane Sebil, avec comme bruit de fond le ronronnement des norias ! Les oueds oubliés de nos jeunes années de colonisés, égarés entre plusieurs langues, restent riches de tant de nationalités ! Mon psychiatre m’a dit que ces dépenses sont inutiles. Que c’est un défi au bon sens et que c’est une injure faite la raison. Dans un pays relativement pauvre mais jalousé, qui emprunte pour s’armer pour la paix et se développer. Venant du cadre que je représente et par respect à ceux que je sers ! Il se goure, le Sage, et je n’ai pas de regrets.

    Il ignore, le brave Toubib du cerveau, que c’est de ces disques (que je collectionnais) que j’enrichissais mes camarades lors des surprises parties que j’organisais et des bals que je donnais chaque samedi. Qu’en ai-je gardé ? Un esprit de copains et de boîtes de nuit ! Un teint, un aspect de ma personnalité ? Altruiste et ouvert, hospitalier comme mon pays ! C’est un peu moi, c’est mon profil et mon caractère qui s’est perdu, dans cette fac-là, dans ce Maghreb déchiré, ce qui me nuit depuis ! Ma personnalité en souffre. Seul le sport et les vagues me calment, comme le chant et la bonne poésie. Enfin quand le travail me laisse un peu de répit…

    J’ai de la nostalgie. La causa nostra en est la raison. Vivement ma patrie africaine ! Ma famille retrouvée, je rentre chez-moi. Qu’ai-je gardé des débats, des ébats et des sports où je m’activais parmi eux ? J’étais bien le premier de ma classe en gym, durant de longues années médicales. De surcroit !

    Qu’est-ce qu’il va encore me chanter pour me culpabiliser, celui-là. Je ne dépense pas son argent, quand même ! C‘est le mien. Mais, il ne l’a pas entendu ainsi. Pourtant, malgré le copinage, et peut-être à cause de ça et des privilèges que je lui offre et concède, je le paie grassement. Il ne ratait pas une occase au début de ma cure, pour me parler des pauvres de son village des Beni Ouriaghel, Ajdir, situé près d’Al Hoceima. Là d’où vinrent les Ben Abdelkrim El Khattabi. De la république du Rif, des soldats espagnols ligués aux militaires français, des batailles victorieuses, dont Anoual. Puis changement de teint et de ton, déçu et révolté à la fois, il insiste sur les avions français qui déversèrent ignominieusement du gaz moutarde, paralysant, sur les militants et la population. Des actes interdits par les conventions et les lois. Des milliers de tués asphyxiés. Puis, des relents de gaz et de mutations cancéreuses nombreuses chez les rifains encore actuellement. D’où le Hirak. Il me fait souvent part de ses premières difficultés scolaires de l’époque, des livres et des cartables. Il avait fait l’école coranique, appris presque tout le Coran et bien compris à partir de sa langue maternelle, le rifain. Puis, dans ses discussions, c’est moi qui devenais l’écoute et le Psy. Le comptable des biens, le Ministre du bien et de la charité. C’est de là, qu’il saute au pain et au travail pour les jeunes et les veuves…Tu ne voudrais pas, Si Othmane, que je les épouse pour satisfaire leurs ‘’faims’’… ! Je ne suis pas dans le cas du Saint Roi, Idriss II ni de celui du sultan Moulay Ismaïl Alaoui, la terreur, qui voulait amplifier sa dynastie de par ses propres enfants. Je n’ai pas cette virilité ni cette faim, encore moins cette violence du beau brun de Meknès, qui demanda ou qui fit la cour par correspondance et sans succès, à la sœur de Louis XIV !

    Les ratages du hasard et du destin ou les incompétences occultes. Et puis, comme pour me faire la morale, en guise de leçon de civisme, il me parle le Psy de son récent client. Il s’agit d’un homme âgé qui ne peut pas acheter les médicaments antipsychotiques pour son fils schizophrène. Il a peur que son fils lui fasse la peau ! A l’instar du fils de son propre oncle qui avait tué ses parents, il y a 6 ou 7 ans de ça ! Il a été interné à l’hosto, à vie, le dément, pour avoir tué à coups de couteau et son père et sa mère. Une nuit tous les deux à la fois…Il a dû les surprendre dans leur sommeil. Un regret à l’âme de ce brave homme, plus valable que les riches Salétins et héritiers de la boîte où il avait travaillé avec M. Dirlo. Un juif digne et loyal, bien meilleur que ce Néo Hajji d’apparat. Un arriviste notoire, moins penché sur la valeur professionnelle et les mérites qu’il n’est sensible au népotisme. Une outrance partagée avec sa gargantuesque et docte cousine ! Un favoritisme partial, une dérive économique et professionnelle que l’on pratique comme un acte de piraterie, d’escroquerie et de corruption ! M. Duvert était un débrouillard, cool et sympa. Je lui avais donné cette chemise bigarrée, que je portais ce jour, parce qu’il l’avait appréciée, lors de sa consultation ! Rien d’important, un symbole d’amitié ou d’égards. Se priver pour partager. Qui dit mieux ? Et pour un collectionneur, c’est une partie de soi qu’il lâche. Même si le livre de collection, le milliard insignifiant pour lui, le très fortuné, ou le soulier, il ne va jamais l’utiliser ni le porter !

    Et le voilà en terre, M. Duvert, pas loin de son épouse. Là, dans un trou perdu, dans cimetière public, attendant la Résurrection et le Jugement dernier. Alors que son assassin de fils, malade il est vrai, vit et mange, prend des médicaments, bien gardé, sous surveillance médicale et aux frais de l’Etat. Non je n’invoque pas sa mort comme sanction de justice, terrestre, juridiquement méritée. Mais c’est un défi, à mon idée d’équité et à ma compréhension de simple être humain. Ses parents avaient le droit de rester en vie ! Celui d’être protégés par l’Etat, par la société et médicalement parlant protégés de la maladie de leur fils et de ses terribles évolutions. Les médecins traitants devaient le savoir…Où commencent leur responsabilité et celle du Ministère qui les paie et qui les emploie ? Entre son autolyse par suicide, il aurait pu se pendre comme le beau et sympathique fils de M. Larabe, ce brave libraire ! J’allais dire dignement, mais c’est cynique et stupide comme les caricatures de certains sites et autre presse ! Il aura choisi, le fils des Duvert, le plus facile et le plus lâche des actes ! Le double parricide, celui de tuer ses parents endormis. Leur avait-il donné des somnifères ? S’il en prenait, lui, déjà ! Que pensait-il, quand il les perçait ou qu’il les découpait ? Quels étaient ses sentiments ? Pleurait-il ou riait-il ? Etait-il sous l’emprise d’un démon avide de sang ? Ou en manque de médicaments simplement…

    Et c’est un autre bon juif de la capitale économique, que je salue ici ! M. Dubois, ce grossiste lui donne de quoi soigner son malade de rejeton ! Il veut me faire honte le Docteur en me racontant cette anecdote. Il veut que je verse, en plus des faveurs que je permets envers les proches et les démunis, qui me consultent, que je lui donne la zakat ! En plus des impôts que je paie à l’Etat ! Il ne va pas la garder, cette aumône, socialiste avant terme ! Il veut la redonner lui-même, à qui il veut. C’est comme l’Etat ou SM le Roi donnaient une caisse, un fond, à une fondation pour agir avec mesure et salubrité, conscience, droite et réserve en son propre nom ! Tu voies où je veux en venir, mon Docteur ? Etre et avoir, c’est pour donner, partager, afin de se sentir vivant et utile ! Et ‘est ça la meilleure sensation. U sport moral, une détente, qui vous rassit de bonheur. N’est-ce pas, Le Psy ?

    Et que par altruisme, islamiste, musulman ou islamique, je préfère dire, que je ne voyage plus, çà et là, pour mes affaires, pour ma famille nombreuse et pour mon pays ! Et qu’un seul hadj, suffit dans la vie d’un homme, comme tu me le dis, Mondoc. Fut-il milliardaire, prince ou roi ! Il est tombé sur la tête le Psy, doit penser le Lecteur ! Il avance le Toubib, que cet argent spolié en Arabie, enrichit les émirs pétroliers et les riches commerçants des lieux saints de la Saoudie ! Ignore-t-il que nos amis fortunés du Hijaz nous donnent, de leurs faveurs, de leur soutien et beaucoup d’argent en crédit ou sous forme de dons. Il est fou ce Mec qui dit soigner les fous ! Il semble déconnecté de la politique et des finances. Pas totalement en fait et ce n’est qu’apparent. Juste qu’il s’est converti dans la construction et les fermages ! En oubliant d’aller se rafraîchir aux congrès, sauf, quand son couple en est l’invité. Et c’est très souvent aux Emirats et à Paris !

    Oublions le docte trublion ! ‘’Mets mes mains sur tes hanches ’’. J’essaie de me rappeler cet air de jeunesse et cet air qui chantonne : ‘’Mets mes mains sur tes hanches ’’. Un slow. La chanson s’est vite achevée ! Partie dans les franges de l’Alzheimer. Comme les bords des nuages qui s’estompent durant leur vol, sous les vents du ciel. Etais-je alors marié ? J’ai oublié. Mais, ce respect des normes et des amies me reste comme un trait de vertu. Et comme un manque surtout, un acte manqué, des occases ratées. Les pudiques deviennent des timides et vice-versa. Alors que donner, argent, temps, conseils surtout et métier, restent des valeurs et des actes à ma portée !

    Partage d’idées. Des corrompus, voraces insatiables des pays et de leur biens, des assassins, violeurs des filles et des bêtes, aux malfaiteurs, nés ici ou ailleurs, il en est qui vont du banditisme simple au jihadisme. Des clans se forment pour devenir des états et des pays, alors qu’on veut les découper pour les anéantir à jamais et plus les exploiter. Les terroristes, happés par le fanatisme, se prennent pour des résistants et des libérateurs. Devenus ce qu’ils sont, des fanatiques surexcités et des assassins, ces criminels sont dopés par les religions dévoyées. Ils se font harakiri en s’explosant dans les lieux publics ou en écrasant des piétons avec des voitures tamponneuses, comme des camions-béliers, en roulant sur les civils, femmes et enfants. Des assassins qui se croient vengeurs et militants sur des relents ataviques, anti impérialistes et coloniaux. Lavés, formatés, ils sont intoxiqués par des gourous aux cursus occultes et aux géniteurs inconnus. Des sponsors qui leur promettent le paradis, en les poussant à tuer et mourir pour eux. La croisade et la guerre sainte se sont trompées d’époque et de paradis !

    La fête de la jeunesse ou les jeunes en trouble-fêtes. Intolérance et dénonciations. Et voilà donc un autre méfait mondial qui nous dessert et qui nous apporte la malédiction avec plus de haine et plus d’ennemis en réaction. Nous devons agir radicalement, culturellement et politiquement, pour nous éviter les bavures venant de nos ressortissants. Nos ressortissants, de noms, de dite-nationalité, double ou triple, et surtout de leurs conduites et semblants de religion. Installés ailleurs, ces émigrés, des fugitifs ou des mutants, sont sensibles aux tiraillements et aux sollicitations vengeresses de l’Etat Islamique et des entités analogues. Ce sera certainement pire, avec son éclatement prochain. Abusés, conditionnés, fanatisés à outrance, ces expatriés leur servent de tueurs et de terroristes ! Des hara-kiris qui iront assassiner des civils, lors d’actes terroristes, préparés d’avance. Une politique folle et démente, inutile, la-leur, qui enfermera le monde dit islamique, dans une chape de haine universelle.

    Voici donc des jeunes atrocement fous, aux référentiels marocains, nés au Nord ou en Espagne qui se sont ‘’ amusés’’ à tuer ! Usant de camionnettes tamponneuses sur la promenade Rambla de Barcelone. Bilan, 14 morts et des dizaines de blessés. De la xénophobie et du racisme, établis comme culture, là où ils végètent explique d’entrée ces cas. De la marginalisation à l’inculture et au chômage, le manque de référentiels, moral, civique ou citoyen ou religieux égal, il ne leur faut qu’un pas pour choir dans la révolte. Ces reniement empruntent le chemin idéologique de ‘’l’islamisme’’ un islam dévoyé, faussaire et assassin. Sont-ce des actes pensés, induits ou des jeux cruels ? Un non-sens, un combat perdu, une mise en scène ennemie. Un complot, réel ou hypothétique, où agissent des services secrets antimusulmans ? Un monde glauque, international, où se pavanent les organisations extrémistes et terroristes, dès leur annonce.

    Mais, ces méfaits, à qui profitent-ils finalement ? Quels que soient les criminels qui les commanditent, ceux qui les sous-traitent ou qui les arment, ce sont des égarements sataniques tragiques. Des actes d’une cruauté indigne pour toutes les religions. Et, avec certitude, ils sont contreproductifs de surcroît. Des actes nuisibles qui ne profitent jamais aux exécutants, mais qui servent les plans de ceux qui les projettent et qui les utilisent de loin, pour créer la haine entre les peuples et les humains. Ce, au nom de leurs identités supérieures, de leurs races pures, ou de leurs Etats divins ! Ou de leurs simples extrêmes-richesses qui font et défont les chefs ou les rois, et qui décident des guerres ou de la paix à tel ou tel endroit. Qui sont-ils au juste ? Sans vouloir nous bercer d’hypothèses hasardeuses, mythiques ou surréalistes !

    Ces meurtres ignobles sont dirigés sur des civils désarmés, qui plus est ils n’apportent que la honte à la religion remaniée, tordue et torpillée par ceux qui la profanent. Cet Islam qui se définit par la paix. Cette religion, est ignominieusement et bassement instrumentalisée par des mafias de la mort, des assassins qui déforment et dénaturent les religions qu’ils souillent, pour les faire conspuer et plus haïr par tous les autres pays et nations.
    En plus des embarras imputés à leurs pays, dont le Maroc, déjà mortifié par tant de dérives ennemies, fratricides, sécessionnistes au Sud et tumultueuses au Nord !

    Le sexe opaque. Hier, un pédophile, industriel, de masse ! C’était un vieil hispanique s’était livré au viol d’une vingtaine d’enfants kénitréens !
    Chaque semaine un homme se suicide en se brûlant à l’essence. Parfois un couple et là il y en a deux, les parents d’une fille violée, dont le responsable reconnu aura été trop vite lâché ! De temps à autre, c’est une fille qui se suicide après le viol. Celle-là aurait failli le faire, malgré son bacc à plus 19, avec mention par-dessus le marché. Malgré sa pauvreté, elle aura été raisonnable. Puis sagement récupérée par une université citoyenne privée.

    Les coups et blessures, sont quotidiens, en ville comme en campagne. Et ce, pour un oui ou un non, un mot déplacé, un bout de récolte ou un petit coin de moisson. Voire dans le couple, pour un acte de chair, une sexualité mal gérée, un chantage, en retour d’uen brimade, ou d’un service non rendu, voire d’un achat de tel ou truc, non conclu.

    Les jeunes de nos rues et des dits bas-quartiers, tels que délaissés, sont souvent de parents ruraux, paysans ou ouvriers. De simple gens. La masse qui va pondre des assassins !

    Des Apaches ? Non ! C’est une royale ovation et non un outrage à leur endroit, car ces Indiens, ces Awbaches défendaient leurs territoires, leurs vies et leurs entités, face aux envahisseurs blancs, venus des pays impérialistes, pour les déposséder et les coloniser.

    Les nôtres, mal encadrés, mal casés, marginalisés partout, tels des rébus, leurs formations civiques, morales ou religieuses, sont absentes ou laissent à désirer. Leurs cursus scolaires sont volontiers estropiés et ratés. Ce sont des fumeurs, des alcooliques et des toxicomanes, dopés. Hélas, ils en trouvent de quoi fumer ici, aux abords des collèges, des rues, et des lycées malgré les tonnes et les tonnes de kif, d’argent et d’armes qui sont bloqués !

    Ils forment une humanité, à part. Antisociale. Révoltés, méchants, brigands, bandits, voleurs, assassins ou de simples crapules. Je connais des gens biens, dont un écrivain qui n’a pas pu l’éviter. Manieurs de couteaux, de sabres et de haches.

    Et le sexe, celui des femmes volées et des filles violées, est l’un des motifs principaux. Le sexe et l’argent, sont les raisons de leur hargne et de leurs échecs. Comme ils représentent, à eux deux, la cible et le butin ! Le sexe est cet horizon interdit et désacralisé, où ils capitalisent et excipent de leur sauvage arrogance. Une brutalité vengeresse pour se défouler face à la société. C’est envers l’argent des autres et leur sexe qu’ils briguent et qu’ils quêtent. Deux ennemis à vaincre et à posséder, qui sont constamment dans leur semblant de tête ou de vestige d’esprit. Le sexe faible de préférence ou celui de l’homosexuel, auxquels ils vouent leurs harcèlements et leurs abominables conduites.

    Des caractères et des tempéraments irresponsables, d’une ‘’humanité’’ en délire et en involution. Mais, c’est une ‘’animalerie’’ qu’il s’agit, sauf le respect qu’il est dû aux plus simples de nos bêtes !

    Les jeunes n’ont pas de règles ! Côté morale, ils sont ménopausés ! Si ce n’est avec pas une poule, à plumes, qu’ils fricotent, c’est avec une brebis à poils, qu’ils vont jouer, pour l’égorger ensuite et la manger. Elle parlera en eux ! Après le partage de la chair de la poule, ce sera de cette chair qu’ils grossiront leurs muscles effrontés. Et morte la bête, personne ne leur fera de reproches après.

    Les ados s’adonnaient aux ânesses dans nos ruelles et autres coins des campagnes ! Etait-ce licite ? Ou n’avaient-ils que ça ? C’est quasi universel comme conduite ! Etait-ce seulement vrai, il y a longtemps, au passé ? Et puis qu’en pensent les biologistes, les psychiatres et les socio-anthropologues de cette espèce ‘’ humaine’’ en voie de perdition ! Est-ce la société et ses rêves-délires-aspirations, ses ratés et ses inconduites, élevés au grade de culture sexuelle et de fantasmes, qui infectent les jeunes esprits pour les livrer aux frasques des plus bas des instincts ? Pareil à l’argent qui anime et excite, le sexe, ne peut-il inspirer que ces travers, sans lyrisme ni amitiés romanesques, le sexe, son amour son usage, doit-il être dénué de spleen, d’art, de courtoisie, de politesse et de poésie élevées ?

    Châtiments et pénitences. Les violeurs de l’ânesse rabique. La région et la ‘’vile’’ de Kénitra sont devenues un véritable théâtre de crimes sexuels. De nos jours, c’est le sida, qui disent-ils, sera la sanction de la curée initiatique de ces ados de la campagne voisine de Kénitra ! Les 14 ados de Sidi Kacem, violeurs d’une ânesse, atteints de rage ! Un bug ou un coup de semonce ? Si ce N’est pas beau, le destin et ses sanctions ? Mais c’est la Santé Publique et le Ramed qui paieront pour ces sataniques adolescents.

    Les violeurs en bus de Casa. Ça baise en roulant ! Est-ce meilleur de harceler à 6 une bébête de fille dans ce bus des Hafilate de Casa ? Silences duplicité négligence et peur établie des vauriens, souvent drogués et armés ! N’y avait-il que ces 6 paumés dans ce bus et pas de témoins du tout pour oser les arrêter ! Et sans chauffeur ? Pour arrêter le bus et alerter la police ou les arrêter ! Et dire que ça s’est passé, il y a trois mois, déjà, avant que le Maroc des responsables ne bouge ! Une anecdote, un geste urbain, un sport qui eût lieu, il y a 3 mois ?

    Facebook est le nouveau parti, concitoyen, le leader libérateur, informateur, délateur et éveilleur des consciences et par là celles actives et efficaces, des autorités et des responsables !

    Voilà qu’on filme les marches sociales et politiques, les révoltes et les drames en live ! A ajouter aux attouchements et autres éjaculations lors des frottements de derrière les femmes, dans les bus. Un défoulement gratuit, devenu comme les vols, notoires, un transport au 7ème ciel durant le transport ! Nous ne parlons pas de ces jeux de sexe et de ces vols à mains armées, dans les voitures ou dans les impasses ! Est-ce la norme ? La normalité qu’on ne comprend pas. Par sagesse, par oubli, par hypocrisie ou par incompétence.

    Des bordels contre le bordel ? Ah ça jamais, nous sommes en pays islamique. Pas l’Etat islamique. Celui-là nous en veut et nous harcèle. Nous ne faisons la guerre froide qu’à nous-mêmes ! Ouvrir des maisons closes, c’est paradoxal et sera toujours interdit ! La Maison Blanche, cet hôtel de Bab Semarine, au nom initiatique, doublement révélateur ! C’est d’abord une immense porte qui donne sur le Palais Royal et la large avenue principale de Koubat Souk. Un autre sens qui veut dire ceux qui clouent, les savetiers, essemarine *. Qui enclouent quoi au juste ? C’est du passé colonial, là tout près du Mellah et du Palais.
    Ces maisons d’hôtes, publiques, des maisons, dites de tolérance, c’est intolérable ! C’est renier l’identité, les sources, les us, les références, la civilisation ! On préfère aux ‘’ ébats’’ publics, la simple et noble tolérance. La sagesse du silence, envers ce qui n’est pas vu ! Est-ce de l’hypocrisie ou de la pudeur ? Et quand la grossesse survient, il y a que les proches des bénéficiaires dénoncent et rapportent les faits. On pend les médecins avorteurs ! Comme ces anciens ou ces nouveaux gars de Rabat.

    Hier, du temps des maîtres colons, il faut actuellement dire, les maîtres-collants, tant ils sont devenus des coopérants nécessaires et inéluctables, tant ils restent incontournables et inlassables. Hier pour leurs hommes et soldats, c’était les filles de Bousbir, qui s’offraient pour la vidange martiale ! Là, dans nos villes historiques, ils respirent des brunes dans les palaces, en agitant leurs gros moyens, des boîtes musicales charnues leur servent de piste de de racolage, les riads resplendissants de lits, les splendides villas les invitent au regard des couleurs et aux senteurs des belles de nuit !

    A Moulay Abdellah de Fès, là aussi près de cet immense palais ! Ou dans les villes thermales, comme Moulay Yacoub aux eaux soufrées. Un baume antivénérien naturel qui encourage ceux qui après usage du sexe, sans toubibs, doivent se laver pour pallier aux infections ! Le bordel surveillé est une institution dans les pays civilisés et techniquement avancés. La sagesse, la tolérance, la compréhension ou la prophylaxie sociale et sexuelle, chassent l’hypocrisie, la pudeur et les risques des mariages précoces ratés. Les dépenses inutiles, les carrières et les études ratées, avec leurs dégâts, les divorces et les gosses, véritable orphelins des guerres ! Lesquels demain, seront les enfants des rues, les violeurs publics, les détraqués, les drogués, armés de poignards et de sabres, les voleurs à la tire, arracheurs de sacs, de portables et de bijoux ! Avant le Sida il y avait la Gonorrhée et la Syphilis qui faisaient rage ! Après le lait sulfureux on se lavait juste après les rapports aux eaux sulfurées et chaudes des baignoires ou des piscines en plein air !

    La vie. Je suis ici pour un examen. Certes, sans programmes établis selon certains ou pas du tout, pour d’autres consciences. Celles des athées, entre autres, questionneurs sans réponses, assagis dans la négation, pour éviter les doutes pascaliens et les compromis ! La vie, cet examen, est un sort ici, dans un pays, au sein d’une famille que je n’ai pas choisie. Comme le dira chacun. Combien de rois et de sultans, combien de pharaons et de césars, combien de généraux et de soldats, combien de richards et de leaders, combien de simples inconnus et de braves gens. La vie est un examen est un sort qui dépend de ton ADN, de ton génome, et de ton milieu. Tu n’y es, volontairement pour rien, à tes débuts certes et même pour la suite. Comme tu me le diras ! Ce qui peut être très heureux, satisfaisant ou carrément pas ! Je ne parle pas de mon cas, il me regarde, un tant soit peu, mais je réfléchis dans le cadre général du destin et des cas particuliers de chacun. Quoique programmé, (au hasard des fécondations et/ou grossesses), il me semble que ces chromosomes, cette mémoire de vie, ces clefs d’usine, cette hérédité, ne sont pas pour rien…Je suis ici pour un examen. Je ne connais ni le programme ni le sujet de l’examen, encore moins le jour ou l’instant des test, ni les instances qui les contrôlent et encore moins les corrections ultérieures que nous avancent les religions ! Serviront-elles pour me reformer ou juste pour sévir et nous servir des sanctions. Punitives, vengeresses, plus que correctives ou de simple justice…Les fantasme des témoins et des correcteurs peuvent engendrer à leurs tours des erreurs de jugement.

    Pitié, anges ayez quelques oublis ! De ce qui ne se rapporte pas, parce que je veux l’oublier et le taire, me diriez-vous ! Ou sinon, rappelez aux hasards leurs implications ! Destins et vicissitudes des hasards et d’autrui, de leurs actes et de leurs présences ! Ces actes parallèles ou inattentifs de tous ces gens, qui impliquent des interactions ! Inadvertance d’autrui et de ses responsabilités dans ma conception des choses et sur des actes. Facteurs secondaires ou primaires, de mon arrivée sur terre à mon départ en dessous, qui interfèrent dans le décours de mes idées, de ma raison et dans le choix ou pas de mes actes, voire de ma volonté.

    Ce n’est dit ainsi pour tenter d’échapper, vainement, à ma responsabilité ! Mais leurs faits sont là, car, je suis fait et fabriqué, monté, alimenté, usiné et usé, sans mon intervention ! Je ne suis pas indépendant de ma composition physique, charnelle et psychologique ! Je ne suis pas le seul responsable de mes actes. De tous mes actes, j’interagis tout en étant influençable, comme toi, ami Docteur et vous respectables et patient lecteurs. Quelle que soient ma volonté ou ma personnalité, quel que soit mon orgueil ou ma dignité, mon identité ou mon entité, ma force connaît des faiblesses et des approximations, des ratés si vous voulez ou des erreurs.

    La tienne, non ? Ou jamais ? Quels que soient ma détermination et mon caractère, ma personne, ma responsabilité subit les revers ou interagit avec des jugements et les actes d’autrui.

    Le temps est trop court pour connaître et apprécier ce qui est sur terre comme vies, comme êtres, comme fleurs et végétaux et toutes leurs chimies. Les livres écrits dans toutes les langues depuis que l’écriture existe, les paroles et les musiques, sont enregistrés et chantées. Pire le temps alloué à ces êtres que nous sommes, des mécaniques robotiques de chair, qui se reproduisent et qui se dissolvent en poussières, que l’on dit nous appartenir et être Ce ‘’Nous’’ qui nous représente alors que nous ignorons tout ce qui est ‘’nous’’ et en nous, et que nous ne commandons nullement par-dessus le marché, ni son devenir ni sa chimie qui nos maintient en vie. Pire, nous n’avons aucun moyen de palper ou de saisir l’essence de l’esprit ou de connaître l’âme. Ces lumières, que nous croyons persister et être l’essence de nos êtres, les vraies personnes, les comptables de nos actes demain, enfin de de ce qui nous attend après cessation physique de toute vie. Ça je le récite pour les croyants. Pour les autres, agnostiques, je n’ai nulle formule pour les convaincre de ce que nous sommes et de nos espoirs en cet ‘’’ X ’’, la foi, la croyance, le crédo en la nécessaire déité ! Seul Dieu, peut nous expliquer la vie, le but et les raisons de nos vies.

    Nos connaissances et nos moyens, nous montrent nos incapacités et ce rêve impossible d’accéder à l’espace et à toutes les planètes qui doivent regorger de savoirs et de vies.


    Kénitra, le 27 Août 2017
    Dr idrissi My Ahmed

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Divagations et digressions,
    le journaliste entre le tango des mots et la valse des sentiments

    De la valeur des médias et de l’importance des journalistes ! ‘’Le passé enterré’’ ! C’est le titre d’un des livres du sage académicien, le militant de la culture et du nationalisme, Abdelkrim Ghallab ! Vous dites, M. Kamal, ancien du PI vous aussi : » A quoi bon ! Tout le monde sait. ‘’
    1 / Je réplique par ces mots, en vous remerciant, et pas d’aujourd’hui seulement, de vos sémillants éditoriaux, qui depuis des décades, restent si alertes et si éclairants ! A ce titre, je vous offre ce paragraphe de définition ou de glorification du ‘’journaliste’’. Ce qui est un peu téméraire et un zeste prétentieux. Puis je terminerais en agitant notre drapeau, que je placerais en conclusion. Pour ne pas perdre le fil des idées, je vous invite à parcourir ce qui suit.
    Si c’est :  » A quoi bon ? Tout le monde sait…. », comme vous dites ! Suspens, émois et silences réactionnels ! Se taire ? Tout est fait ? Dès lors, taisons-nous si tout le monde le sait ! Tout est fait ! N’écrivons rien, non plus pour le dire ! Mais, ce serait chagrin pour nos ouailles, si nous ne posions pas de questions et que nous ne lisions pas de vos attractives et si belles lettres. Côté existentiel, hé bien les maîtres, comme vous semblez l’avouer, ils deviendraient dès lors inutiles !
    Le livre, bah, jetons-le, pas de lecture atypique ! Walou dans les toilettes, ni sur la Toile ou les étagères de la petite bibliothèque ! Les classes, bahe en dialectal infantile ! Nixt ! Pas besoin d’enseigner. L’argent des ministères de l’éducation, et de l’enseignement, celui de la pensée, ira du pétrole et des phosphates, quand en trouve, aux armes, seulement ! Tout en sachant, toutefois, que la culture et l’éveil, la civilisation sont aussi des moyens de défense de soi, de son milieu et de sa culture, voire de ses biens et de son identité.
    Autrement dit, et pour que ça tourne au mieux, laissons le Maître faire activement son cours et laissons ses proches Répétiteurs nous canaliser, même s’il en faille nous laisser harasser ! Pire que le Tahakoum connu ou décrié, il y a pire ailleurs, la tyrannie, l’absolutisme et l’hégémonie avec ses despotes universels et ses dictateurs. Du genre transnational, impérialiste, qu’on voit encore sévir ou s’exacerber, voire nous harceler ou nous affaiblir ! La valse de leurs sentiments est un tango obscène. N’est-ce pas, vous les messieurs de là-haut ?
    C’est le boulot qui le veut, l’enseignant, le journaliste, sur les bancs, de la télé aux forums, suscitent la compréhension, la participation et le dialogue. Même s’il y des erreurs et des empêchements dans le programme, de ceux d’en haut ou de ceux–là du bas, quels qu’ils soient, faut-il appliquer votre slogan éditorialiste ‘’ A quoi bon ? Tout le monde sait ! Et dès lors, on obéira les yeux fermés aux Répétiteurs, sinon, c’est la colle ! Ou la mort ! Surréaliste comme devise ! Mais, là, chez-nous, ‘’ânedna’’ du moins ou presque, c’est autre chose ! On nous éduque, on nous éveille pour participer ! ‘’Parler, c’est être’’, dirais-je en retour ! Faire parler, c’est laisser vivre, nos diverses opinions pour que, ensemble, nous puissions nous faire comprendre pour mieux être !
    2 / Métaphoriquement, le Pouvoir… La haute autorité du Directeur est dévoyée par certaines de ses Secrétaires. Parlons-en ! Le Prof, trans le personnel de service, reçoit des ordres erronés ou des commandements de travers ! Et pas directement, ou démocratiquement, par des voix responsables et selon des voies constitutionnelles transparentes. Et les pauvres bougres de Répétiteurs restent bouches-bées et bien nerveux devant des ados qui n’ont rien compris et qui manifestent, tels des Zmentets (impudents vauriens) sur cette ‘’esplanade’’ sacrée, la cour d’école, leur ardent et ostensible ‘’hirak’’.
    Ils se sont mobilisés, après qu’on ait écrasé publiquement un espadon ! La honte pour les nerveux qui veulent perdre le Nord après la mort accidentel du marchand de poissons ! Et depuis, on ne est venus aux bras, pour dénoncer les bras cassés des représentants, des partis, de la région, des ministères et des entreprises…
    Pour votre gouvernance, il est impératif de s’analyser, de faire son autocritique à la lumière des évènements, afin de se restaurer, ça va sans dire, pour se relever et persévérer dans son magistère. On redouble pour certains ou l’on refait, tous, l’année ! Groupés, si l’on est encore efficients et tolérés ! Ou l’on part, barré des classes, dépité, honteux et conspué ! Le verdict, judicieux ou falsifié, opte pour le changement des programmes et la révision du projet de société et le changement de l’identité ! Le yoyo des langues d’enseignement est là pour le confirmer !
    Les ordres sont les ordres ! Ceux des Cieux, que l’on nous dicte pardessus les parapluies, là sous nos tropiques, afin que notre avenir nous soit assuré, dans la continuité. Ou, qu’il nous faille appliquer, selon ceux qui s’exécutent brillamment dans la Cour. Ou à côté, là dans les classes supérieures, sans acrimonie. Des règlements et des actes auxquels il est interdit d’évoluer dans le mauvais sens ! Ok ! Sous peine de misères, d’éclatement des structures et de l’établissement tout entier. Comprenez le pays, les siens et la paix ‘’scolaire’’ sera renforcée par la rééducation, qui vaincra les oppositions, les divergences et les antinomies ! Comprenne qui voudra et/ou sauve qui peut !
    Dès lors, pas de vacances pour les Répétiteurs ! On les laissera réviser leurs plans de carrières, les retards et les ratés opérés, pour une meilleure rentrée scolaire ou de se raviser. Barra ! Oust, dehors ! Et celui qui n’est pas Ok ou qui est mécontent, n’a qu’à partir de ce pays ! Il était temps, avec leurs portefeuilles chargés et leurs restes de maroquins bourrés de s’ouvrir d’autres horizons, plus compréhensifs et évolués ! D’autres carrières, aussi mirobolantes, sont à briguer, pour les générations qui arrivent. C’est juste et c’est bien, parce que c’est clair et démocratique !
    3 / Qui craint la revanche ou la malédiction des fourmis ? Celles que l’on inonde d’imprécations ou qu’on arrose d’insecticides ? Parce qu’elles ramassent vos déchets et quelques grains de votre pain de blé ou de mie ? Bavures génétiques, ou génésiques à répétition, pour celles qui sont nées de leur mère unique, la reine. Mais voilà, comble de la dérision ou de la cécité, qu’elles agacent leur créatrice et critiquent les gestionnaires de son régime ! ‘’Quand la Marabounta gronde’’ ! Voir le film de 1954 où jouent Eleanor Parker et Charlton Heston.
    C’est une des plaies d’Egypte, dévoyée dans le temps et l’espace ! Invasion de fourmis. Elles veulent l’autonomie dans votre jardin et vos palais ! Mais, elles n’auront pas à célébrer Halloween, Hiroshima ou Auschwitz dans votre cour d’école ! Après avoir joué dans la Cour des grands, ils partiront comme des grands, rassasiés, gros et gras. La résilience du lycée, celle symbolique de l’Etat ou de la fourmilière, vous avez compris, sont à ce prix !
    4 / Dans, votre édito sur lequid.ma, http://quid.ma/billet/il-est-encore-la,-benkiarne et sur le titre, M. Kamal, vous faites à l’ancien chef du gouvernement, une jolie invitation. Sauf qu’à la place de votre, ‘’ Il est encore là, Benkiarne ‘’, dites-donc avec moi ; ‘’ Oui, Il est encore là, Benkirane ’’. Ou pour le taquiner aimablement, disons ensemble :  » Il est encore là, le Ben Kirâle ! ». Cette formule qui nous change de tous les ‘’Ben, qui?’’’, Benky et autres ‘’ Bénis oui-oui ‘’ ! Des gens bien, enracinés comme des chênes au sommet de l’Etat, des singes et des panthères sous la canopée. Mieux que des larves et des chenilles de papillons. Des insectes banaux, faute de démons et de reptiles, soumis sans états-d’âmes. En fait, des fossiles de reptiles, entravés comme par des chaînes rouillées. Des fossiles, ployés à des usages lourds, que nous ne leur jalousons pas !
    Oui, il faut des héros, çà et là, face à face. Face aux peurs ancestrales, devant des pratiques archaïques, face aux privations des libertés des autres, par inquiétude pour eux, par appréhension de leurs grognes ou de leurs simples hennissements de rues ! L’ordre, pour assurer la paix, fait pschitt, ce sera la ruine pour tous et aussi la fin des libertés ! Dès lors, heureux qu’il y ait des aèdes autour des Druides, des tribuns sur les céans de Césars et autant de ‘’Centurions pour rallier les cohortes’’ !
    5 / Et, pourquoi aux Parlements, va-t-on en vacances, si des Ministres restent collés à leurs services ? Des administrations en latence ou déjà en vadrouille estivale, sous les chaleurs de l’été, vont devoir ahaner pour rattraper le déphasage. Elles devront être opérationnelles ! Pour la patrie ! Pour permettre à d’autres dormir, sans photographes, sur les  » sables  » mérités ou se morfondre sur des whatsapps, qui sapent le moral. Eux qui s’activaient dans l’improductivité, en l’absence des potentats, rois de la fainéantise, qui s’absentent toute l’année ! El la retraite à vie, les attend tous, les mains enfouies dans le cambouis des billets engraissés !
    6 / Merci aux tribuns et aux ténors, d’exister, pour nous défatiguer des monotonies et de nous réveiller, entre deux sommes, pour respirer l’air de liberté ou râler. Ici sur la presse et aux Parlements, ne serait-ce que pour dire nos opinions et écouter avec profit les bonnes vôtres ! Allez dites avec moi, un seul vous manque et tout est dépeuplé ! Que ce soit, Benkirane, Chabat ou Ilyas, ou Yata et Oualaâlou et tant d’autres, hier encore. C’est l’occasion de saluer, par nos prières de miséricorde, les géants qui sont partis et leurs voix de ténors. Tous ces noms et ces icônes qui ont marqué la lutte pour l’Indépendance ou qui au besoin, ont usé une main de fer et des gants de velours, pour faire aimer et raffermir le Maroc.
    7/ Le journaliste est ce témoin et cette sentinelle. Un vigile, un guetteur qui informe et publie les nouvelles des gens, leurs joies et les calvaires, entre les affaires et les guerres. Délateur parfois ou laudateur, il est sur un fil tenu. Le judicieux milieu, entre les bouts extrêmes qu’il observe et leurs excès qu’il dénonce.
    Voire pour d’aucuns, l’espionnage usé comme spécialité. C’est selon l’occasion, les milieux, le salaire ou la vocation ! Le journaliste est une pièce maîtresse entre les lieux et le temps, le monde, les âges et les gens. Messager neutre à l’origine, technique et scientifique des fois, il est l’élève pour chercher et le professeur, en pleine action, et à chaque fois, avec courage ou banalité, il s’implique. Il est homme de formation, d’éveil et d’instruction, de culture universelle et locale à la fois. L’internet lui ouvre les quatre dimensions. Tu l’entends et tu le vois, là sur ton téléphone.
    8 / Les barreaux sont couverts de volubilis et de lierre. Ce sont des branches pointues et vertes sur un fond rouge écarlate, dont la liberté est de flotter comme une âme unique pour unir toutes ces personnes qui se sentent marocaines. A propos de notre drapeau… Je vous invite à lire sur le Web, mon poème nationaliste. Vieux de vingt ans et dédicacé, je l’avais intitulé : ‘’ La bannière étoilée ‘’…
    Sur un fond de nuages gris lactescents comme une scène de théâtre ou d’opéra de nuit, les hauts des bambous, à silhouettes humaines, maniant leur formes suggestives, bercent leurs cimes, se touchent, s’embrassent et dansent, avec comme musique cet air frais du soir qui vient les câliner. La danse du crépuscule, c’est la vie qui égrène ses ultimes heures, goutte-à-goutte.
    La vie, aussi puissants que ces rois ou ces riches ambassadeurs d’orient, s’épuise et largue ses sommités comme les preux ou les manants. Balgham, qui a perdu son seul fils, me sort entre deux anecdotes, une sagesse, alors qu’il me consulte et qu’il est souffrant. ‘’A quoi bon vivre’’, ici sur le paradis de cette fournaise de terre, là où crament et gèlent certains, ‘’s’il faut trépasser’’ ?
    Partir malades, démunis et inconscients, jeune ou très vieux, vers l’inconnu… Mourir, ne fait nulle différence entre les fourmis et les cloportes, les bêtes ou les hommes ! Oui, Si Mohamed, le corps est un robot de chair que l’on se dit posséder et qu’on défend pour être le nôtre. Alors qu’en fait, on le méconnaît et qu’on ne le guide qu’à peine, avant de le fatiguer et qu’il s’en aille en poussières pour nous solder. Et, je viens d’apprendre qu’un grand homme est parti. Comme bien d’autres écrivains-journalistes qui l’ont précédé. Adieu, maître Abdelkrim Ghallab.

    ‘’ Il est encore là, Benkiarne’’ par Naïm Kamal à voir sur :http://quid.ma/billet/il-est-encore-la,-benkiarne

    Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 14 août 2017

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Divagations et digressions, la valse des mots et des sentiments

    Vous dites, M. Kamal : » A quoi bon ? Tout le monde sait.  »…

    1 / Je réplique en vous remerciant, et pas d’aujourd’hui seulement, de vos sémillants éditoriaux, qui depuis des décades, restent si alertes et si éclairants ! A ce titre, je vous offre ce paragraphe de définition ou de glorification du ‘’journaliste’’. Ce qui est un peu téméraire et un zeste prétentieux. Puis je terminerais en agitant notre drapeau, que je placerais en conclusion. Pour ne pas perdre le fil des idées, je vous invite à parcourir ce qui suit.

    Si c’est :  » A quoi bon ? Tout le monde sait…. », comme vous dites ! Suspens, émois et silences réactionnels ! Se taire ? Tout est fait ? Dès lors, taisons-nous si tout le monde le sait ! Tout est fait ! N’écrivons rien, non plus pour le dire ! Mais, ce serait chagrin pour nos ouailles, si nous ne posions pas de questions et que nous ne lisions pas de vos attractives et si belles lettres. Côté existentiels, hé bien les maîtres, comme vous semblez l’avouer, ils deviendraient dès lors inutiles !

    Le livre, bah, jetons-le, pas de lecture atypique ! Walou dans les toilettes, ni sur la Toile ou les étagères de la petite bibliothèque ! Les classes, bahe ! Nixt ! Pas besoin d’enseigner. L’argent des ministères de l’éducation, et de l’enseignement, celui de la pensée, ira du pétrole et des phosphates, quand en trouve, aux armes, seulement ! Tout en sachant, toutefois, que la culture et l’éveil, la civilisation sont aussi des moyens de défense de soi, de son milieu et de sa culture, voire de ses biens et de son identité.

    Autrement dit, et pour que ça tourne au mieux, laissons le Maître faire activement son cours et laissons ses proches Répétiteurs nous canaliser, même s’il en faille nous laisser harasser ! Pire que le Tahakoum connu ou décrié, il y a pire ailleurs, la tyrannie, l’absolutisme et l’hégémonie avec ses despotes universels et ses dictateurs. Du genre transnational, impérialiste, qu’on voit encore sévir ou s’exacerber, voire nous harceler ou nous affaiblir ! La valse de leurs sentiments est un tango obscène.

    C’est le boulot qui le veut, l’enseignant, le journaliste, sur les bancs, de la télé aux forums, suscitent la compréhension, la participation et le dialogue. Même s’il y des erreurs et des empêchements dans le programme, de ceux d’en haut ou de ceux–là du bas, quels qu’ils soient, faut-il appliquer votre slogan éditorialiste ‘’ A quoi bon ? Tout le monde sait ! Et dès lors, on obéira les yeux fermés aux Répétiteurs, sinon, c’est la colle ! Ou la mort ! Surréaliste comme devise ! Mais, là, ânedna du moins ou presque, c’est autre chose ! On nous éduque, on nous éveille pour participer ! Parler, c’est être, dirais-je en retour ! Faire parler, c’est laisser vivre, nos diverses opinions pour qu’ensemble, nous puissions nous faire comprendre pour mieux être !

    2 / Métaphoriquement, le Pouvoir. La haute autorité du Directeur est dévoyée par certaines de ses Secrétaires. Parlons-en ! Le Prof, trans le personnel de service, reçoit des ordres erronés ou des commandements de travers. ! Et pas directement, ou démocratiquement, par des voix responsables et selon des voies constitutionnelles transparentes. Et les pauvres bougres de Répétiteurs restent bouches-bées et bien nerveux devant des ados qui n’ont rien compris et qui manifestent, tels des Zmentets impudents sur de cette ‘’esplanade’’ sacrée, leur ardent et ostensible hirak.

    Pour votre gouvernance, il est impératif de s’analyser, de faire son autocritique à la lumière des évènements, afin de se restaurer, ça va sans dire, pour se relever et persévérer dans son magistère. On redouble pour certains ou l’on refait, tous, l’année ! Groupés, si l’on est encore efficients et tolérés ! Ou l’on part, barré des classes, dépité, honteux et conspué ! Le verdict, judicieux ou falsifié, opte pour le changement des programmes et la révision du projet de société et le changement de l’identité ! Le yoyo des langues d’enseignement est là pour le confirmer !

    Les ordres sont les ordres ! Ceux des Cieux, que l’on nous dicte pardessus les parapluies, là sous nos tropiques, afin que notre avenir nous soit assuré, dans la continuité. Ou, qu’il nous faille appliquer, selon ceux qui s’exécutent brillamment dans la Cour. Ou à côté, là dans les classes supérieures, sans acrimonie. Des règlements et des actes auxquels il est interdit d’évoluer dans le mauvais sens ! Ok ! Sous peine de misères, d’éclatement des structures et de l’établissement tout entier. Comprenez le pays, les siens et la paix ‘’scolaire’’ sera renforcée par la rééducation, qui vaincra les oppositions, les divergences et les antinomies ! Comprenne qui voudra et/ou sauve qui peut !
    Dès lors, pas de vacances pour les Répétiteurs ! On les laissera réviser leurs plans de carrières, les retards et les ratés opérés, pour une meilleure rentrée scolaire ou de se raviser. Barra ! Oust, dehors ! Et celui qui n’est pas Ok ou qui est mécontent, n’a qu’à partir de ce pays ! Il était temps, avec leurs portefeuilles chargés et leurs restes de maroquins bourrés de s’ouvrir d’autres horizons, plus compréhensifs et évolués ! D’autres carrières, aussi mirobolantes, sont à briguer, pour les générations qui arrivent. C’est juste et c’est bien, parce que c’est clair et démocratique !

    3 / Qui craint la revanche ou la malédiction des fourmis ? Celles que l’on inonde d’imprécations ou qu’on arrose d’insecticides ? Parce qu’elles ramassent vos déchets et quelques grains de votre pain de blé ou de mie ? Bavures génétiques, ou génésiques à répétition, pour celles qui sont nées de leur mère unique, la reine. Mais voilà, comble de la dérision ou de la cécité, qu’elles agacent leur créatrice et critiquent les gestionnaires de son régime ! ‘’Quand la Marabounta gronde’’ ! Voir le film de 1954 où jouent Eleanor Parker et Charlton Heston.

    C’est une des plaies d’Egypte, dévoyée dans le temps et l’espace ! Invasion de fourmis. Elles veulent l’autonomie dans votre jardin et vos palais ! Mais, elles n’auront pas à célébrer Halloween, Hiroshima ou Auschwitz dans votre cour d’école ! Après avoir joué dans la Cour des grands, ils partiront comme des grands, rassasiés, gros et gras. La résilience du lycée, celle symbolique de l’Etat ou de la fourmilière, vous avez compris, sont à ce prix !

    4 / Dans, votre édito sur lequid.ma, http://quid.ma/billet/il-est-encore-la,-benkiarne et sur le titre, M. Kamal, vous faites à l’ancien chef du gouvernement, une jolie invitation. Sauf qu’à la place de votre, ‘’ Il est encore là, Benkiarne ‘’, dites-donc avec moi ; ‘’ Oui, Il est encore là, Benkirane ’’. Ou pour le taquiner aimablement, disons ensemble :  » Il est encore là, le Ben Kirâle ! ». Cette formule qui nous change de tous les ‘’Ben, qui?’’’, Benky et autres ‘’ Bénis oui-oui ‘’ ! Des gens bien, enracinés comme des chênes au sommet de l’Etat, des singes et des panthères sous la canopée. Mieux que des larves et des chenilles de papillons. Des insectes banaux, faute de démons et de reptiles, soumis sans états-d ’âmes. En fait, des fossiles de reptiles, entravés comme par des chaînes rouillées. Des fossiles, ployés à des usages lourds, que nous ne leur jalousons pas !

    Oui, il faut des héros, çà et là, face à face. Face aux peurs ancestrales, devant des pratiques archaïques, face aux privations des libertés des autres, par inquiétude pour eux, par appréhension de leurs grognes ou de leurs simples hennissements de rues ! L’ordre, pour assurer la paix, fait pschitt, ce sera la ruine pour tous et aussi la fin des libertés ! Dès lors, heureux qu’il y ait des aèdes autour des Druides, des tribuns sur les céans de Césars et autant de ‘’Centurions pour rallier les cohortes’’ !

    5 / Et, pourquoi aux Parlements, va-t-on en vacances, si des Ministres restent collés à leurs services ? Des administrations en latence ou déjà en vadrouille estivale, sous les chaleurs de l’été, vont devoir ahaner pour rattraper le déphasage. Elles devront être opérationnelles ! Pour la patrie ! Pour permettre à d’autres dormir, sans photographes, sur les  » sables  » mérités ou se morfondre sur des whatsapps, qui sapent le moral. Eux qui s’activaient dans l’improductivité, en l’absence des potentats, rois de la fainéantise, qui s’absentent toute l’année ! El la retraite à vie, les attend tous, les mains enfouies dans le cambouis des billets engraissés !

    6 / Merci aux tribuns et aux ténors, d’exister, pour nous défatiguer des monotonies et de nous réveiller, entre deux sommes, pour respirer l’air de liberté ou râler. Ici sur la presse et aux Parlements, ne serait-ce que pour dire nos opinions et écouter avec profit les bonnes vôtres ! Allez dites avec moi, un seul vous manque et tout est dépeuplé ! Que ce soit, Benkirane, Chabat ou Ilyas, ou Yata et Oualalou et tant d’autres, hier encore. C’est l’occasion de saluer, par nos prières de miséricorde, les géants qui sont partis et leurs voix de ténors. Tous ces noms et ces icônes qui ont marqué la lutte pour l’Indépendance ou qui au besoin, ont usé une main de fer et des gants de velours, pour faire aimer et raffermir le Maroc.

    7/ Le journaliste est ce témoin et cette sentinelle. Un vigile, un guetteur qui informe et publie les nouvelles des gens, leurs joies et les calvaires, entre les affaires et les guerres. Délateur parfois ou laudateur, il est sur un fil tenu. Le judicieux milieu, entre les bouts extrêmes qu’il observe et leurs excès qu’il dénonce.

    Voire pour d’aucuns, l’espionnage usé comme spécialité. C’est selon l’occasion, les milieux, le salaire ou la vocation ! Le journaliste est une pièce maîtresse entre les lieux et le temps, le monde, les âges et les gens. Messager neutre à l’origine, technique et scientifique des fois, il est l’élève pour chercher et le professeur, en pleine action, et à chaque fois, avec courage ou banalité, il s’implique. Il est homme de formation, d’éveil et d’instruction, de culture universelle et locale à la fois. L’internet lui ouvre les quatre dimensions. Tu l’entends et tu le vois, là sur ton téléphone.

    8 / Les barreaux sont couverts de volubilis et de lierre. Ce sont des branches pointues et vertes sur un fond rouge écarlate, dont la liberté est de flotter comme une âme unique pour unir toutes ces personnes qui se sentent marocaines. A propos de notre drapeau. Je vous invite à lire sur le Web, mon poème nationaliste. Vieux de vingt ans et dédicacé, je l’avais intitulé : ‘’ La bannière étoilée ‘’
    Sur un fond de nuages comme scène, les hauts des bambous, à silhouettes humaine, maniant leur formes suggestives, bercent leurs cimes, se touchent, s’embrassent et dansent, avec comme musique cet air frais du soir qui vient les câliner. La danse du soir, c’est la vie qui goutte ses ultimes heures.

    La vie, aussi puissants que ces rois ou ces riches ambassadeurs d’orient, s’épuise et largue ces sommités comme les preux ou les manants. Balgham, qui a perdu son seul fils, me sort entre deux anecdotes, une sagesse, alors qu’il me consulte et qu’il est souffrant. A quoi bon vivre, ici sur le paradis de cette fournaise de terre, là où crament et gèlent certains, s’il faut trépasser ? Partir malades, démunis et inconscients, vers l’inconnu. Mourir, ne fait nulle différence entre les fourmis et les cloportes, les bêtes ou les hommes ! Oui, Si Mohamed, le corps est un robot de chair que l’on dit posséder et qu’on défend pour être le nôtre. Alors qu’en fait, on le méconnaît et qu’on le guide qu’à peine, avant de le fatiguer et de s’en aller et nous solder.

    ‘’ Il est encore là, Benkiarne’’ par Naïm Kamal à voir sur :

    http://quid.ma/billet/il-est-encore-la,-benkiarne

    Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 12 Août 2017

    #354336
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    LA HAINE HEXAGONALE ET EXIGUË DES FUYARDS DES GUERRES DU MOYEN-ORIENT

    A mon amie française, Mme Cole, ce texte de Garcia que tu m’as mailé est bien méchant.

    http://saintsaturnin-dupontsaintesprit.over-blog.fr/2015/09/lettre-a-un-migrant-de-20-ans.html

    Mais il est d’une logique cynique et pernicieuse qui désarçonne n’importe qui et qui me défie ! Je me pose des questions polémiques. Faut-il gâcher le silence, comme un politicien lâche et lire cette  » lettre au migrant  », sans réagir ? De peur de fâcher ceux qui la regardent généreusement, ceux y croient, inquiets et aphones ? Faut-il pour les pays développés et de de paix intérieure, bannir ou accueillir les immigrants, pourchasser les expatriés, refouler les réfugiés et les fugitifs ?

    Explications

    De but en blanc. Je commence par affirmer que le Garcia qui écrit en français maintenant est de souche ibère. Depuis quand ses parents, les Garcia, sont-ils devenus français ? Ont-ils migré pour le travail et le pain ou fuit de la péninsule hispanique, sans leur donner d’adverbe péjoratif ni d’étiquette fallacieuse ? Est-ce lors de la pandémie de grippe espagnole ou lors de la Guerre Civile, du début du siècle dernier ?

    Ma chère Cole,

    Cette citation où au prince arrogant on l’avait tancé ces mots ‘’ Il t’a suffi de naître pour être roi ‘’ ! A l’auteur du PPS pamphlétaire, je dirais ‘’ il t’a suffi de naître dans une Europe en paix pour te pavaner odieux et suffisant ! Riche des mérites et des avantages des natifs d’Europe !

    Quel mérite -a-t-il de bénéficier, ce quidam, de ce capital qui le pousse à haïr et refuser un refuge ? Et c’est au pays hôte de fermer ses propres frontières, sinon de garantir la paix des siens, comme le refuge protégé de ceux qu’il a admis !

    Les laisser dans des campements sauvages est un préjudice pour les siens comme pour lesdits ‘’ lâches et sales envahisseurs ‘’

    Laisse-moi disserter

    Je dirais qu’on ne choisit pas non plus, ses parents ni sa nationalité. Encore moins la terre où l’on naît ! A fortiori sa ‘’ putain de race’’, sa couleur noire ou sa religion archaïque ! Ce texte bien méchant, même si tout égoïste qu’est son Scripteur, il a le plein droit, oui le droit, de refuser que  »’son pays  »’, donne serve de home ou d’abri momentané, aux fuyards !

    Avec toutes les guerres que l’Europe s’est faite entre elle-même ou qu’elle a fait subir aux autres, je ne sais pas si les ancêtres du Scripteur n’ont pas fui de quelque part, un jour pour s’installer dans la douce France ! Douce, en dehors de ses propres guerres internes ou exportées !

    Ces fugitifs, immigrés transitoires, vers un meilleur havre de paix, l’Allemagne un moment, l’Angleterre par dépit, ces jeunes affreux, ces  » lâches  », comme les traite le Scripteur, refusent le diktat syrien d’être intoxiqués aux gaz asphyxiants et d’être pilonnés et bombardés d’en-haut, alors qu’ils ne sont point suffisamment armés !

    En haut, sur le ciel du moyen orient, les anges se sont désistés ! Et ne règnent que les grandes puissances, nuisiblement opposées, par leur aviation qui vient mitrailler, canonner, les civils et les opposant, les enfants et les malades, dans le cafouillage ou dans l’erreur, certes, d’avoir initié et de s’être impliqué dans ce conflit ! Voire de faire un plus sur les civils mis en avant par Daeche comme des parapluies humains pour se protéger. Je voudrais bien voir ici, le courage de M. JP Garcia, si par malheur il était né arabe ou musulman, au Moyen-Orient !

    De la lâcheté des fuyards

    A contrario des nantis, bien installés dans leur éthique, leurs valeurs et leurs justes identités supérieures, ces ‘’pleutres fuyards ‘’ selon Garcia, n’avaient, je suppose ni les moyens, ni les soutiens extérieurs, ni le pouvoir d’importer des armes.

    Vos immigrés proches-orientaux, qui veulent simplement transiter…Ces noirs des nôtres qui veulent vivre et travailler…N’importe quoi, dans ce que vous répugniez et méprisez…

    Que leur offre-t-on ? Que demandent-ils ? Une tente, un toit de fortune contre les pluies et le froid ? Un pain pour la plèbe, pleine de peines et d’effroi ? Le Scribe vertueux, leur offre, comme d’aucuns de ses ouailles, à ces frustes sauvages et fils de barbares, la Peur ajoutée au Mépris, qui plus est, à la Haine ! Des sentiments majuscules, hypertrophiés !

    Invasion des fuyards des guerres imposées

    Ils sont venus, par milliers, noyés sur les mers ou sur la route enterrés ! Ils sont venus en fuite pour envahir l’Europe. C’est un double drame ! Pour les hôtes certes, comme pour les fugitifs ! Mais, c’est temporaire ! Ils attendent, tous, la fin des guerres imposées par ces mêmes étrangers sur leurs sols d’orient. Des menées destructrices, que ce soit au Moyen-Orient, ‘’grâce’’ et depuis le mensonge criminel des Bush en Irak, ou leur implication à distance, en Lybie et Syrie, du fait de leurs satanés successeurs de Washington !

    Des guerres exportées, imposées, pour le pétrole ou la sécurité. Ou les finances ! En tous cas pour assurer la protection colonialiste et la suprématie raciste et guerrière, de l’un des leurs, la démocrate Israël ! Le énième grand état d’Amérique, qu’on le veuille ou non, installé en réparation après le délire criminel des Nazis et de l’Allemagne de Hitler ! Là, face à l’URSS, exulte Israël, comme un porte-avion aux centaines de bombes atomiques, en face des Soviétiques de l’époque !

    La ménagerie des fous effroyables et abjects

    Des fous supérieurs, de lâches envahisseurs odieux et hideux. Apartheid et camps de la honte ! Torture et humiliation, xénophobie des indigènes, malédictions génériquées de partout, des idées fausses et des silences complices, qui supplantent la réflexion, les droits et toute compréhension ou pitié.
    Voici des indigènes qu’on abat de temps en temps. Des incursions pour les châtier pour leur bombinettes, par milliers. En vue de les gommer de la terre sainte, pardi. En plus de l’infrastructure que les séides et les tyrans étoilés pulvérisent, comme du papier confetti. Et, pour l’art de la guerre et l’immense similitude sémite, leurs dérisoires temples, leurs citées archaïques, et leurs mosquées universellement respectées, mis sous embargo et interdits aussi Dans le silence universel de ceux pour qui Al Qods, représente le 3ème site religieux et sacré ! Sauf pour moi !

    Concepts obsolètes, qui comptent pour du beurre. Et pour leur armée hébraïque, c’est un passetemps héroïque, que de les tirer comme des rats ! Le sport patriotique nationaliste, prophétique, la bonne vertu religieuse et de bon aloi, mise service des grands racistes, au nom du bon Yahvé. L’olympe actuel, les Zeus et les Jupiters de cette Amérique des grands financiers. Ce sont des banalités, tout le monde en est averti.

    Je cède la place à Sion et je reviens à Garcia.

    Ces émigrés contre-gré, ces fuyards des guerres, sont des enfants, des femmes et quelques vieux, exploités, par des passeurs, des transiteurs* qui leur font miroiter la sécurité !

    Que cherchent-ils ? Un abri ! Un home momentané, un sanctuaire, en attendant la fin des guerres. C’est le civisme et c’est ça l’humanité que de les aider ! Ou que je me trompe de civilisation ou  » d’animalité  » ?

    Ces étrangers, ces fugitifs sont venus des cités explosées ou des fronts de guerres imposées ! Imposées par le piratage international ou la guerre froide qui continue dans ces  » bas quartiers du Moyen-Orient et qu’on veut pulvériser pour de multiples raisons, vaseuses et de faux alibis.

    Philosophie humanitaire

    On pourrait trouver plus comme raisons à ce délabrement humanitaire pour effacer votre rancune et votre dépit ou votre simple xénophobie…Oui, j’en suis désolé pour les miens ! Ces humains, quelles que soient leurs races conspuées, leurs cités dévastées ou leurs religions méprise et bêtement crainte et haïe ! Ça suffit comme haut-le-cœur. J’ai trop dit, de quoi me faire détester, Cole ma chère, pour ma franchise ou mon opinion exhibée.

    Sauf, que je n’en veux pas aux gens de France et de Navarre, qui ont peur des hôtes, mal venus ! Seulement, ceux-ci, ces arabes, sont un peu excusables. Ou qu’on doive les comprendre, avant de les abhorrer et de les médire en bloc ! Ce au vu des actes, sales et exécrables, ces excrétas et ces chiffons et papiers, qui peuvent emmailler ces sites où ils sont entretenus et campés.

    En fait, ils n’ont rien à foutre en Europe ! Qu’on les laisse en paix chez eux ! Que l’on fasse la paix entre ces états poussés aux guerres, machiavéliques et immondes, dirigées contre ces ‘’ pauvres et mauvais-sémites’’ qu’ils sont, pour qu’ils retiennent leurs fugitifs…Des malodorants, hirsutes, jeunes et infâmes, ceux que vous Garcia, fils d’émigrés certains, et que vous conspuez !

    Discernement et comparaison

    Au fait, l’Australie, les States, l’Afrique du Sud, toutes les belles îles françaises, les parents de Trump, sa femme, les Kennedy, les Clinton, tous les juifs d’Amérique, des States, du Canada, des richissimes familles des EU, des super richards juifs de Londres, ces hommes cultivés, ces sémites, qui ont migré de l’Est russe vers la bienheureuse France, les Juifs venus de l’Est, fuyant, eux aussi les soviétiques et les pogroms, les camps sibériens…Ceux-là qui ont fait de nombreux prix Nobel, Einstein le premier, faut-il les lapider avec des pps du genre raciste et xénophobe, que j’ai lu de vous, M. JP Garcia !
    Dr Idrissi My Ahmed, le 21 Juillet 2017

    Je publie partiellement ta réponse préliminaire

    Rassure-toi Docteur, je suis tout à fait d’accord, mais ce que je n’accepte pas, c’est entre autre, le manque de respect que certains ont envers les personnes qui les aident bénévolement ou pas. Le fait de les voir refuser en la jetant, la nourriture que certains leur offrent avec tout leur cœur. De laisser derrière eux, des appartements dans un état lamentable, dégueulassés, souillés par de la merde humaine. Ma fille m’a envoyé des photos, ce ne sont pas des paroles en l’air. C’est cela qui me fait hurler. C’est vrai que cette lettre va loin, beaucoup trop loin, mais parfois il faut savoir percer un abcès, surtout quand on voit la trouille des routiers qui partent vers l’Angleterre et qui sont battus avec des barres de fer pour obliger certains migrants à passer la frontière.
    Oui, ils sont malheureux et ils fuient la guerre, et je les comprends. Alors pourquoi tant de haine envers les personnes qui les aident ? J’arrête là et je m’excuse d’avoir envoyé ce message, tu me connais, j’ai un esprit petit mais large. J’aime comprendre, mais parfois, je baisse les bras et j’avoue que cette haine et cette violence me font peur. Je t’embrasse en espérant qu’il n’y aura jamais de soucis entre nous. Ton amie, Cole !

    Ma petite réponse à cette grande dame de Cole.

    Ce n’est pas un souci. Ce n’est pas un problème que de parler de tout, de nos sentiments envers les guerres et les barbaries de toutes sortes et qui s’affairent et massacrent sur tous les continents. Mais, la guerre exporte en plus des gens de la haine et des peurs, des conduites antisociales certaines. Les sauvages, les salauds, les truands, ce que relate ta fille Cole, même en temps normal, on en voit partout…Ces déliquescence, ces razzias, cette corruption…Même en temps de paix, par-delà les émigrés et les fugitifs de toutes sortes !

    Les films italiens et américains et autres génériques, la pègre organisée, celles des trafics de toutes sortes, y compris de la politique et des véreux de celle-ci, çà et là, tant qu’on y est, les casseurs, les mentaux aux cimeterres et les déments gratuits…Tous des monstres qui se défoulent sur tout ce qu’ils voient, y en a plein et pas que dans les films ou dans les camps des réfugiés….Bisous.

15 réponses de 1 à 15 (sur un total de 181)
SHARE

Résultats de la recherche sur 'cherche ferme'