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Une des photos de la cérémonie d’ouverture du Mondial
BRESIL : 3
CROITIE : 1Neymar lance la Coupe du Monde du Brésil dans la polémique
Grâce notamment à un doublé de Neymar, le Brésil s’est difficilement défait de
la Croatie lors du match d’ouverture de sa Coupe du Monde. Une victoire entachée
de plusieurs erreurs d’arbitrage qui feront polémique.MEXIQUE : 2
CAMEROUN : 1Le Mexique s’impose logiquement face au Cameroun
Comme le Brésil la veille face à la Croatie, le Mexique s’est imposé face au
Cameroun, vendredi à Natal. Une victoire d’autant plus logique pour la Tri
qu’elle a été privée de deux buts valables en première mi-temps.ESPAGNE : 1
PAYS-BAS : 5L’Espagne subit une humiliation face aux Pays-Bas
A l’issue d’un match palpitant marqué par des erreurs d’arbitrage, du suspense et
des buts à la pelle, les Pays-Bas ont réalisé la première sensation du Mondial en
écrasant l’Espagne (5-1), championne du Monde en titre. Comme en 2010, la Roja
perd son premier match mais cette fois-ci, la manière est inquiétante…CHILI : 2
AUSTRALIE : 1Le Chili s’impose difficilement face à l’Australie
Alors que beaucoup voyaient un carton du Chili face à la modeste Australie, les Chiliens l’ont
emporté dans la douleur, marquant même le dernier but dans les arrêts de jeu face à des
Australiens emmenés par un excellent Cahill.Sujet: l’espagne humiliée
ESPAGNE : 1…PAYS-BAS : 5
Qui aurait pu imaginer un tel scénario? L’Espagne, double championne d’Europe et championne
du monde en titre, a vécu une soirée cauchemardesque à Salvador de BahiaVictime de deux erreurs d’arbitrage en première période, le Mexique, opposé au Cameroun dans le
deuxième match du Mondial, aurait pu s’agacer, baisser les bras… Au lieu de ça, les joueurs de
Miguel Herrera ont fait preuve d’une abnégation à toute épreuve, pour l’emporter 1-0 face à
Samuel Eto’o et ses coéquipiers.A Baudelaire
« La balade sur le Nil ou l’ivrogne réprouvé »Les mucosités du cul qui ptose nous tiraillent
A frotter jusqu’aux sangs les restes des entrailles.Les béliers ont perdu leurs cornes dans le val
Les rivières ont mortes, les mers épuisées.Les tortues se sont écaillées sans les sables
Les poissons ne ‘bandent’ plus sur nos rivesLes pluies de slogans vantent les vents.
Les nuages voisins gâchent la couche d’ozone.Dans sa pauvreté, ce fils de grande famille,
Chômeur, ivrogne quand il trouve de quoi,
Eût un clair d’intelligence: un miracle sans foi !
Sissi, l’impératrice est devenue pharaonne.Il ira mendier les voisins, les fils de nantis.
Fermiers, entrepreneurs, Crésus et rois.
Il les interpelle, à l’aide aux noms des aïeux !
Des séides, du prophète, des saints et de Dieu.
Rendez-moi mon tyran ! Sauvez-moi du Général.
C’est la géhenne du printemps à la place TahrirIvre, tapis derrière le muret du portail
Il clame avec insistance, je veux boire !
Voisin, je te connais, tu es un bon médecin.
J’ai soif, ce n’est pas encore le Ramadan,
Apporte-moi un café, Sidi ou Moulay !Ritournelle qui agace, ses échos m’interpellent.
Il chantonne en mendiant blotti sous la muraille.
Il me donne des sueurs, il est dangereux, ce gars.Nos villes, nos prisons sont pleines de fous,
D’assassins, de notables froussards et de poux !
Même si je l’appelais, la police ne viendra pas.Il est une armée qui délire pour ouvrir un bar
Il m’empêche de chanter dans la baignoire
De prier Dieu ou de faire des poèmes,
Cet énergumène, ce triste ‘bachar’ !Au nom du ciel, je ne veux pas d’examen.
Je ne désire ni conseils ni médicaments
Juste un café noir, un bon et pas d’argent !Ah, bon !
O cœurs blancs, ô musulmans, je saigne.
Le monstre qui m’habite dévore mes os.
Mon estime pour moi, git tel un cadavre.O cœurs blancs, ô musulmans, je saigne.
Qu’ai-je d’humain dans ce pays de haines?
Je n’ai pas choisi d’y naître ni d’y mourir.Avatar, zombi, dans la poussière, je traine.
Je suis la honte qui vous attise et vous inspire, le trou.
La tombe, où vous devez gésir et geindre, ô frères !Comme ces fosses des trottoirs où je bute,
Cet hôpital qui m’a d’une jambe amputé,
Ces chaussées révulsées, ô esprits étroits !
Ô cœurs arrogants des blessures écarlates !
Je suis l’homme fatal qui souvent vous interpelle.
Je suis le maréchal fatidique qui ne mourra jamais.
L’armée qui me guide est aux ordres de mes colères.
Je suis la richesse et la paix, dans le travail.Pieds nus, j’ai mal, sans chaussures ni sandales
Pour vous les riches, je suis un fou, un vilain,
Un mendiant malade, un gros scandale !
Une grande honte, qui ne doit pas exister.
Qu’ai-je demandé à ces pieux musulmans,
Démocrates viciés ou preux intégristes ?La vie sauve, la santé, un livre, une pension ?
Non, rien, juste un café, de chagrins noir !
Noir avec du marc, pour vous voir dedans,
Voir votre avenir, si gros de mes colères !J’admire vos villas, vos enfants, leurs écoles
Je vous sais en vacances, le cerbère me chasse.
Vous êtes en fêtes ? Dépensez mon argent !Non le vôtre, le nôtre, c’est pareil !
Car, il ne me rapportera jamais rien.
Mais qu’il reste là, sans sortir des frontières !Ça m’apprendra de voter pour vous !
Vos images analphabètes, vos tests liminaires.
Rien que pour ça, je ne veux pas mourir,
Afin de vous voir éloignés de mes quartiers.Déchus des milliards volés aux hères , mes pairs,
Vous sentir en taule, loin du Caire, sans compères.
Dans une tombe inconnue, sans coran ni prières,
En pèlerinage à vie, une vipère accrochée, comme fers.
Sans jugement ni défense dans quelques enfers !
Ou coulés dans le ciment, une stèle en mer,
Comme ce funeste idiot qui fit haïr les frères.Qui mettrais-je à votre place, si je reste déçu ?
Les guides de pacotille, les zélés éternels ?
M’abaisser, ployer la tête, courber de l’échine,
Je ne sais dire que oui, j’ai appris à le faire !Les maîtres des émules, les bergers des ânes,
M’inspirent la crainte et me réconfortent !
J’ai appris à les chérir, je les veux, je hihane.Ils sont ma défense et mes premiers amours
Je les respecte, je les vénère, mes saigneurs.
Quand les serpents ou le moindre crocodile,
Me font aimer les démons et craindre les lémures,
Les hérauts, leurs slogans, leurs lois me sont pires.Où sont ces chanteuses, ces légendes vivantes ?
Ces voix musquées, leurs parfums langoureux ?
Le monde s’est tu, sans cet Orient de culture et de rêves.
Les manœuvres ordurières, continuent ordinaires,
Orfèvres militaires, lobbies de la Suprématie,
Sans démocratie aucune ni libertés réelles.Demandez au fou de vous dire son mystère.
Les pyromanes nous regardent sombrer dans le réel
Alors que là, non loin de là, chez les voisins on entend dire…Du bas de ces pyramides,
Un air s’envole et vous chante.
Pour me réveiller du rêve qui me hante.
Je veux juste un café, un café noir, sans rien.
Si, si, Sissi, cessez, cessez de dépenser mes biens,
Pour vous construire des pyramides, mais redressez la pente,
Afin me redonner des forces et me rendre mes espoirs.Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 08 Juin 2014
COMMENT FAIT-ON POUR Y TENIR, SANS RACINES NI AILES ?
http://media.paperblog.fr/i/124/1240434/terre-vue-ciel-L-1.bmp
Comment fait-on pour y tenir,
Sans racines ni ailes ?On reste liés à nos terres, accrochés nos belles !
Creusant la terre, debout, les mains sur les bretelles.Les basques usées de certains ‘’pieds sans semelles’’
Errant ou noyés, entre les cultes, les idées, le réel.Peur d’être décollés, ventilés vers le vide stellaire ?
Du calme les Argiles ! On appartient à Gé, la Terre.Matrice initiale, forge, urne aux atomes finale,
Elle est le doux berceau et le nid ou tu râles.Haleine de Dieu, Verbe, bigbang préliminaire
Elle remue, tourne et voltige, la fille du Soleil
Parmi les nébuleuses remplies de d’étoiles.Nous sommes là, Particule de vies, en permanent
Rituel, pour louer l’Eternel et espérer en le Ciel.Dr Idrissi My Ahmed
Kénitra le 08 juin 2014