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Les divorces «explosent» à Oran
Les mariages et les divorces explosent à Oran, mais les séparations sont plus nombreuses que les unions. Ces dernières années, le nombre des mariages était plus ou moins égal à celui des divorces. Cependant, cet équilibre s’est brutalement rompu l’année passée avec un taux de divorce record de 78%, selon le service des mariages de la commune d’Oran. «On n’a jamais vu autant de divorces que l’année passée. C’est incroyable. Même cette année, nous avons remarqué qu’il y a beaucoup de couples qui divorcent», affirme une employée du service des mariages. Le taux de divorce de 78% atteint l’année passée est sur toutes les bouches au niveau de la mairie d’Oran. Tout le monde en parle. Chacun essaie d’analyser, à sa façon, le phénomène qui gangrène la société algérienne.Certains accusent le nouveau code de la famille, d’autres la crise économique et sociale. Le logement serait l’une des causes principales de l’augmentation des cas de divorce. Les mariages de complaisance sont également les plus fragiles, d’autant que les familles sont de moins en moins associées dans les décisions de mariage. «Les jeunes se marient en été et divorcent en hiver. En six mois, ils découvrent, pour une raison ou une autre, qu’ils ne peuvent pas continuer à vivre ensemble. Certains se remarient juste après. En août dernier, nous avons atteint les 110 mariages par jour. Un record. C’était vraiment beau de voir autant de nouveaux mariés chaque jour à la mairie. Même durant le Ramadhan, les mariages ne s’arrêtent pas, avec une moyenne de 20 par jour. Mais quelques mois après, les filles en larmes commencent à venir pour signaler le divorce», explique une employée de la mairie. Autre phénomène qui prend de l’ampleur, de plus en plus d’adolescents se marient. Filles et garçons qui n’ont pas atteint l’âge légal du mariage sont de plus en plus nombreux à célébrer leurs noces. «Ils ramènent une dérogation de la justice et se marient. Ce sont ceux-là qui divorcent le plus, contrairement aux couples dont la moyenne d’âge est plus grande», affirme une autre employée qui s’attend à une fin d’année «bien chargée» et des divorces à la pelle.
Hamid G. Quotidien d’Oran, le Dimanche 22 Octobre 2006.
Précision : Code de la famille en Algérie = Moudaouana au Maroc.
Alors, que vont nous dire maintenant les défenseurs « du droit de la femme ».Sujet: Belleville pdt le Ramadan
Belleville : un ramadan en or
Un quartier populaire de Paris à l’heure du ramadan
Dossier Joyeux ramadanLe quartier de Belleville de Paris est en effervescence. C’est bientôt l’heure de la rupture du jeun de ramadan. Le monde s’attroupe autour des étalages improvisés et surchargés. Tous les petits commerçants de la rue Jean-Pierre Timbaud ont sorti les tables sur les trottoirs sur lesquelles repose leur marchandise estampillée « spécial ramadan ». Car ils ont bien compris que ce mois béni pour les musulmans l’est aussi pour leurs bénéfices.
Métro Couronnes. La sortie donne sur une rue descendante où se succèdent librairies, boutiques dédiées aux vêtements islamiques et autres bazars de toutes sortes. Les djellabas, foulards, gâteaux, dattes et livres spirituels et religieux se côtoient sur les étagères et dans les bacs, et débordent parfois jusque sur le trottoir.
Les musulmans de Paris, et plus généralement d’Ile-de-France s’y retrouvent pour renouveler leur bibliothèque ou pour se réapprovisionner en nourriture orientale, voire tout simplement pour vivre l’ambiance ramadan. Car celui qui connaît quelque peu le quartier en dehors de cette « saison » un peu particulière que constitue ce mois sacré peut aisément s’apercevoir du changement radical.
Tout au long de l’année, le quartier est plutôt calme. Ceux qui y circulent en temps ordinaire font leurs emplettes et s’en vont, tandis que, durant le mois de ramadan, les trottoirs sont bondés, les tréteaux regorgent de gâteaux et autres galettes, de dattes et de figues, bref, tout ce dont la femme active ou l’étudiant esseulé pourrait avoir besoin est mis à leur disposition… à condition de délier sa bourse !
Dattes et produits laitiers sont les rois des étalages
Il est à préciser que, outre les dattes et les gâteaux, les produits laitiers constituent aussi un produit-phare et rapportent gros aux commerçants durant ce mois. Le beurre, le lait de ferme, le petit lait (laban) et surtout le lait caillé (raïb) parsèment les étalages. « C’est exceptionnellement pendant le mois de ramadan, que nous faisons venir tout ces produits frais de fermes », déclare un commerçant, qui s’est installé juste devant une boucherie halal. Sur l’emballage des produits, aucune indication quant à leur provenance n’y figure. Le commerçant explique que, tous les matins, les produits laitiers provenant d’une ferme basée dans l’Essonne sont livrés par un distributeur de Corbeil-Essonnes.
De l’autre côté de la rue, Lahcène, la vingtaine, tient lui aussi un petit étalage. Le jeune homme se réapprovisionne en lait caillé chez un fermier des Yvelines, plus précisément à Jouy-en-Josas. Le lait caillé est conditionné dans des petits paquets plastiques, et l’adresse de la ferme y est mentionnée. Sur une face, les indications sont inscrites en français et sur l’autre en arabe. Visiblement, les fermiers de la région parisienne se mettent à la page durant le mois de ramadan. « Il n’y a que les musulmans pour consommer du petit lait et du lait caillé », assure Lahcène. « Les fermiers l’ont bien compris », poursuit-il. « Nous, les musulmans, nous aimons les produits naturels et traditionnels. »
Le consommateur averti se sera rendu compte cette année de l’augmentation du prix des dattes. En moyenne, le kilo est à cinq euros. « C’est parce que c’est la récolte de l’année dernière. A Rungis, on les achète à trois euros cinquante. Dans ce prix, il y a le coût de stockage des dattes qui n’ont pas été vendues l’année précédente, c’est pour cela que le prix augmente », assure-t-il.
Lahcène fait habituellement les marchés durant l’année. Le mois de ramadan est pour lui un mois propice pour la vente des produits frais. Et il ne le cache pas. « Je sais que les gens achètent beaucoup de nourritures et de livres, les vêtements pas trop. C’est pour ça que je vends les produits laitiers et les gâteaux, ici dans ce quartier. C’est le moment de me faire un peu plus d’argent. »
De l’eau de Zamzam dans les librairies islamiques
En continuant sur ce trottoir de la rue Jean Pierre Timbaut, une librairie islamique est bondée. A l’intérieur, le client n’y trouvera pas que des livres, loin s’en faut ! A l’entrée, d’emblée des dattes de la Mecque sont entreposées. Du miel, du shampoing à base de graines de Nigel (habba sawda), des savons à l’huile d’olive et même du dentifrice halal au siwak jonchent les étagères.
On y trouve même de l’eau de Zamzam conditionnée soit dans des jars en plastiques, soit dans des petites bouteilles. Cette eau provient de la source Zamzam située à La Mecque. Selon la tradition islamique, cette source a été donnée par Dieu par le biais de l’ange Gabriel à Hagar, mère d’Ismaël et femme d’Abraham, alors qu’elle se trouvait seule dans le désert avec son fils. Source inépuisable, on rapporte qu’en la buvant, toutes les invocations du fidèle sont exaucées.
A trois euros cinquante la bouteille de cinq cents millilitres, l’eau de Zamzam est aussi une source de bénéfice pour les libraires. Finalement, les commerçants ont bien compris que ce mois béni pour les musulmans l’est aussi pour leurs bénéfices.
vendredi 13 octobre 2006,
Nicolas Mom, pour SaphirNews
et sa77a ftourek
Allah ya9bal
bonjour à tous les Franciliens du forum 😉 😉sa ce passait tout au début quand dans la police marocaine il ont
integrée des femmes policières,au rond point, à berkane il ya un policier et une policière qui surveille
la circulation des voitures, soudain un fourgon conduit par un berkani
brûle le feux rouge, le policier prend son sifflet ,et siffle pour qu’il s’arrète.
mais lui s’arrète à 400 M de là, quand le policier le rejoint, il lui dit, j’ai siffler, pourquoi tu t’es pas arréter sur place,
et le berkani, de lui dire c’est par résper MR: l’agent , je t’es vu avec ta femme ! c’est pour celà que je me suis arréter plus loin …