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Chronique d’un mariage
Il y a trois jours de cela, j’ai été invité à une cérémonie de mariage .Bien entendu, j’y suis allé après avoir acheté un cadeau digne des deux mariés.
Quand je suis arrivé , on m’a accueilli avec des accolades et des dattes accompagnées d’un verre de lait.Puis, je suis entré dans une grande salle pleine de tables entourée chacune d’une dizaine de chaises.En jetant un coup d’œil aléatoire , j’ai constaté que j’étais venu parmi les premiers venus
Je me suis installé donc dans un petit coin qui me permettait de suivre toutes les entrées des invités .En effet , ces derniers entraient de temps à autre en groupe de quatre ou cinq personnes tenant à la main des cadeaux ,et comme, moi ils ont mangé une datte et bu un verre de lait .
Quelques instants après, des bruits de son et de musique nous ont fait surgir : c’était l’arrivée de la mariée .Aussitôt, j’ai sorti de ma poche mon appareil photo pour prendre quelque cliché de cet événement tant attendu.
La mariée est entrée entourée de ses parents et de sa famille .Ces derniers ne cessaient de danser et d’applaudir au rythme de la « dakka almarrakchia » .Tous les convives se sont levés pour témoigner l’intérêt qu’ils portaient à la mariée .Certains d’entre eux se sont joints au groupe de danseurs.Pendant ce temps, je prenais des photos en me déplaçant comme le ferait un expert.
Puis, la mariée a pris sa place tout en attendant l’arrivée de l’élu de son coeur.
Soudain, un grand vacarme a fait détourner l’attention de toutes les personnes présentes : l’arrivée du prince charmant
Comme sa princesse, il a joui pendant une trentaine de minutes de chant ,de danse et de partage de photos, et même de prises de vidéo.
Enfin, le couple a pris sa place et le spectacle a commencé
Aussitôt , un groupe de musiciens a fait son entrée sous les applaudissement des invités.Alors, les chansons se suivaient et changeaient de rythme.
Pas de doute, on s’amusait comme des fous.
Après presque deux heures durant lesquelles les oreilles de tout le monde ont été « cassées » sauf celle d’un sourd muet et un quinquagénaire qui ronflait comme une scie, on nous a annoncé l’ouverture du banquet.
Bientôt, les serveurs sillonnaient la salle avec des plats de poulets, des plats de viande aux abricots, de la limonade et un plat de fruits variés.
Pas la peine de vous dire que les invités se sont remplis la panse .Quant à moi , je préfère vous dire que j’ai usé de l’astuce du renard avec le loup.Mon voisin de table a remarqué la chose et m’a dit en toute clarté qu’on avait rarement de telle occasion pour se goinfrer et moi je lui ai dit que moi je ne tenais pas à verser une grosse somme d’argent au médecin et au pharmacien , alors qu’avec cet argent je pourrais m’offrir des jours de vacances loin de chez moi ; sinon , je m’achèterai bien ces plats en double exemplaire.Evidemment, mon interlocuteur n’était pas de mon avis .Alors , il a dit avec philosophie : la mort il y en a qu’une ; pourquoi se priver des belles choses ?

Pour clore cette discussion, je lui ai répondu qu’il avait parfaitement raison .Puis, je me suis éclipsé prétextant devoir aller aux toilettes pour me laver les mains .Quand je suis revenu, le boulimique avait lui aussi changé de table.Cela tombait bien pour moi parce que tout simplement je n’avais plus envie de discuter de la gastronomie ,mais plutôt du mariage.
Donc, après avoir débarrassé les tables des restes de poulets , d’os et de pelures de fruits, les serveurs ont apporté le « chlal » .Une seconde fois , je me suis lavé les mains.Vous savez, il ne faut jamais se faire remarquer.Pourtant ;, l’un des serveurs m’a dit que mes mains semblaient propres ; je lui ai répondu que par inattention j’ai du les fourrer dans ma poche.Il a souri un moment ; puis il a ajouté que cela lui arrivait aussi de tels trucs , mais pas quand il a les mains malpropres.Lui, les entrées secrètes de sa veste , étaient toujours remplies de friandises et de fruits
.Malheureusement, il lui arrivait de les oublier un certain temps et bien, entendu ,vous devinez sûrement ce qui pourrait arriver dans de telles situations .
Pour lui prouver que je ne manquais pas de jugeote, je lui ai dit : êtes-vous marié? Il a répondu par la négation .Alors,je lui ai dit philosophiquement : on reproche souvent à nos épouses de fouiller nos poches ; pour vous mon ami votre femme vous aurait rendu un grand service
Oui, a-t-il ironisé , mais elle m’aurait fait mener une vie d’enfer
C’était un autre sujet à discuter et puis ce n’était pas le moment propice pour évoquer les méfaits du mariage .Alors, je lui ai dit : restez comme vous êtes ; vos poches se saliront certes, mais votre esprit sera toujours propre et lucide.
Quelques minutes après, le chant et la danse ont repris leurs cours normaux avec un petit changement: il y avait moins de danseurs et ceux qui avaient toujours la possibilité de faire des mouvements avec leurs membres et leur ventre rempli de victuailles trouvaient une grande difficulté pour se déplacer.
Non, non, je plaisante certains d’entre eux seulement
Donc, on nous a fait distribuer des boites joliment décorées pour y mettre les variétés de gâteaux et de pâtisserie prévus à notre intention .En effet, les serveurs tenant à la main des plats nous invitaient à prendre chacun son goût une ou deux pièces.
Je ne vous cache pas que certaines main avaient un faible pour « les cornes de gazelles » .Cette spécialité purement marocaine n’a jamais cessé de faire des ravages. Surtout chez les fins gourmets.
Je vais vous dévoiler un petit secret : j’adore « kaab ghzal » .Certes , je ne le déguste que rarement à savoir durant les réceptions et l’Aïd el fitre ; mais j’en ai pris seulement deux pièces .Tandis que mes voisins les prenaient des deux mains
Après cela , une variété de boissons chaudes et froides : thé et jus étaient mises à la disposition des convives.J’ai profité de cette occasion pour m’éclipser une fois pour toute de la salle pour aller chez moi .Il était environs quatre heures du matin quand j’acceptais les bras de Morphée avec un grand soulagement
Quand ma fille adorée venait de me réveiller , j’ai constaté qu’il était presque midi (l’ancienne heure) Au fait , l’heure de la bouffe
Bon appétit les amis
Houmidi 59 : le 4 août 2010
Choses étranges que personne ne sait !
Les papillons goûtent avec leur pattes.
Le cri d’un canard ne fait pas d’écho et personne ne sait pourquoi. En fait, il s’agit d’une légende urbaine. Un test réalisé à l’université de Salford en Angleterre en 2003 a montré qu’un canard fait réellement un écho, comme tous les autres sons, mais celui-ci n’est peut-être pas facilement perceptible.
En 10 minutes, un ouragan produit plus d’énergie que toutes les armes nucléaires combinées.
90 % des chauffeurs de taxi de New York sont des immigrants fraîchement débarqués.
35% des gens qui utilisent les agences de rencontre sont déjà mariés.
Les éléphants sont les seuls animaux qui ne peuvent pas sauter.
C’est possible de faire monter un escalier à une vache, mais c’est impossible de la faire redescendre.
Les femmes clignent des yeux 2 fois plus souvent que les hommes.
C’est physiquement impossible de se lécher le coude.
La librairie principale de l’université d’Indiana s’enfonce d’un pouce chaque année, car lorsque elle a été construite, les ingénieurs ont oublié de prendre en compte le poids des livres qui occuperaient l’édifice.
Un escargot peut dormir durant 3 ans.
Tes yeux sont de la même grosseur qu’à ta naissance, mais ton nez et tes oreilles ne cessent jamais d’augmenter. Épeurant !
La chaise électrique a été inventée par un dentiste.Tous les ours polaires sont gauchers.
Dans l’Egypte ancienne, les prêtres s’arrachaient tous les poils du corps, y compris les sourcils et les cils.
L’oeil d’une autruche est plus gros que son cerveau.
Un crocodile ne peut pas tirer la langue.
Le briquet à été inventé avant les allumettes.
Les Américains mangent en moyenne 18 acres de pizza chaque jour.
Presque tous ceux qui ont lu ce courriel ont essayé de se lécher le coude !!!
Auteur inconnu
Sujet: la RAM, la galère, l’orient.
La galère des Oujdis avec la RAM Royal Air Maroc ,
Il faut féliciter la RAM pour son savoir faire et surtout côté communication, ma mère souffrante et ma sœur avec ses trois enfants en bas âge avaient le vole à 21h10 hier je les ai accompagnés avec mon petit frère à Orly et voilà les voyageurs m’informent que le départ aura lieu de Charles de Gaule. Bon on a dit ce n’est pas grave l’essentiel que vous partez et une fois au pays la chaleur de la famille va vous faire oublier cette galère, alors on attend on attend rien, vers 20h00 les bus pour faire la navette entre les deux aéroports arrivent. J’étais frappé par le calme des voyageurs croyez moi pas de panique une solidarité tout le monde dans les cars qui ne partent pas, les chauffeurs n’ont toujours pas eu l’ordre de partir le flou total. Ce qui est étonnant dans cette histoire c’est que je n’ai pas vu l’ombre d’un représentant de la RAM,la seule info qui circulait: vous allez partir de Charles de Gaule ; surprise voilà un autre groupe d’Oujdis qui arrivent eux devaient partir à 13hxx qui montent gentiment dans les cars. Maintenant il y a plus de 45 mn si ce n’est pas plus les femmes et les bébés dans les cars, la température hier sur Paris était plus de 28 °. Encore une surprise finalement ceux qui avaient le billet à 13hxx partent d’Orly et les autres de Charles de Gaules (rassurez vous cher lecteur le cauchemar de tes compatriotes n’est pas fini) après une longue attente les cars ont démarré. Donc les accompagnateurs dont mon frère et moi font parti vont pouvoir rentrer chez eux, tout en espérant que la RAM va faire le nécessaire et prendre soin de ces clients Oujdis et qu elle va tout faire pour se racheter et surtout arrêter la souffrance des bébés et ne pas casser la joie des enfants. A 23h00 j’appelle ma sœur pour prendre de ses nouvelles, les pauvres finalement ils vont passer la nuit à Chales de Gaules et qu’ils vont partir demain matin. Aujourd’hui vers 14h30 mon frère m’appelle pour me dire qu’ils sont à Orly et notre sœur à appeler notre grand frère pour qu’il lleur apporte quoi manger. A suivre.
Merci la RAM et félicitation continue ainsi le succès est au RDV.Conte : la bûcheronne et la biche : épisode I
Il était une fois un bûcheron qui habitait dans une cabane isolée à l’orée d’une forêt. Il avait trois enfants: deux garçons et une fille. Malheureusement, il n’avait pas de femme. Celle-ci était morte juste après la naissance du troisième enfant. Aussi, c’était lui qui s’occupait de tout dans la maison. D’ailleurs le plus grand de ses enfants ne dépassait pas dix ans. Donc, chaque matin, il se levait de bonne heure. D’abord, il faisait chauffer de l’eau dans une grande marmite ; puis, il en prenait une quantité pour préparer du café. Après avoir pris son petit déjeuner, il sortait de la maison sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller les enfants.
Muni de sa hache et de sa sacoche, il se dirigeait vers la forêt. Arrivé sur les lieux, il commençait à abattre l’un des arbres .Il choisissait toujours le plus grand. Ensuite, il le découpait en morceau et mettait le tout dans sa sacoche .Après quoi, il prenait la direction du village. Là-bas, il vendait le contenu de sa sacoche .Certes, il ne gagnait pas beaucoup d’argent, mais c’était assez suffisant pour lui d’acheter de quoi manger, et boire. Il lui arrivait de se procurer des habits pour ses enfants et même d’économiser quelques dirhams.
Quand, il rentrait chez lui, ses enfants venaient juste de se réveiller. Alors, il les embrassait tendrement comme l’aurait fait leur mère. Ensuite, il leur versait à chacun un peu d’eau pour faire sa toilette. Aussitôt, il s’occupait du déjeuner .Quant à ses enfants, après avoir bu leur café, ils sortaient aux alentours pour jouer .Ils n’avaient rien à faire. Pour l’école, ils n’y allaient pas .D’ailleurs, l’école était à des kilomètres de chez eux.
C’était comme ça la vie du bûcheron et ses trois enfants..Ils étaient tous heureux et assez satisfaits de leur situation. Des années s’étaient écoulées, paisibles, mais surtout monotones. Ainsi, les enfants grandissaient, mais le père vieillissait. Bientôt, il se déplaçait péniblement .A la fin, il tomba malade et ne put se relever de son lit.C’était à ses enfants de s’occuper de lui. Sa fille Nacira qui était devenue presque une femme, préparait de quoi manger pour ses frères et son père. Les deux garçons, Khalil et Jaber devaient aller à la place de leur père pour couper du bois, ensuite aller le vendre au village. Malheureusement, aucun des deux enfants n’avait coupé de bois ; d’ailleurs, ils n’avaient pas la force et le courage pour faire ce travail fatiguant.
Que faire donc, sinon aller au village pour essayer de trouver du travail .Un jour Jaber dit à son frère :
_ »comme tu vois notre père est invalide ; pour ce qui est des provisions, elles sont sur le point de s’épuiser .Il faut que l’un de nous aille au village pour rapporter un peu d’argent….
Son frère l’interrompit:
_.. et comment penses-tu avoir cet argent? Tu sais bien que ni toi ni moi ne savons rien faire!
_ Justement rétorqua l’ainé, on se débrouillera…
Et d’ajouter:
_…et puis , je pourrai travailler comme porteur. Comme tu vois , je suis assez costaud et fort
_ C’est ça ironisa Khalil, , cette force dont tu te vantes ne t’a pas servi , ne serait-ce que pour couper du bois ?
_ Mais, je ne suis pas un bûcheron , moi, rouspéta ce dernier
_ Oui, conclut le benjamin, je suis d’accord avec toi; mais à une condition: je vais t’accompagner au village. »A suivre………
Oh ma ville d’Oujda,
Tu m’as nourri et d’autres de ton sein d’amour
Tu me manques et je sais ce que je te dois
Tu donnes sans mesure et te voilà embellie
le rire de tes enfants,
la droiture de tes hommes
la pudeur et l’honneur de tes femmes.Heureux, pieds nus
portant le pain au four,
cherchant l’eau à la fontaine
Libres frères et égaux
On pratiquait avant de comprendre.Tu es la plus belle femme pour toujours
Tu es la meilleure mère et
grand-mère avec tes faubourgs
Je t’aime et comment je peux ne pas t’aimer
Tu m’as aimé, choyé, câliné avec
les mains de tes hommes et tes femmesOh ma ville natale Oujda
Je ne cesserai de pleurer
tant que je suis loin de toiTon amour,
la pluie le vent la tempête le cyclone,
est intact dans mon cœurLe bonheur
D’être près de toi
Serré dans les bras
de tes rues chaleureuses
Caressée ma nuque
ton souffle chaud.Comment je peux ne pas t’aimer
Bonne mère que tu es,
Sérieux papa que tu es
Le grand frère généreux que tu es
La serviable soeur que tu es
La tendre épouse que tu esMon petit plaisir
Etre près de toi
Campé en famille à sidi yahya
Boire un thé à sidi m3afa
Faire découvrire à mes enfants l’orient
Sidi boubker ou leur grand parents ont commencé leur vie
Labssara d’où vient mon meilleur ami d’enfance wald jilali
Ain sfa qui a tjs partagé avec nous ses récoltes
Bni oukil notre voisin fidèle Dris
Figuig notre berceau de dine
Bni drar la courageuse
Berkane l’amour de la terre
Ahfir , Jrada, bou3afa,la gentillesseMon grand plaisir
Te servir et
Mourir dans tes bras.
Je t’aime et
comment je peux ne pas t’aimer
l’amour de la patrie
fait partie
de la foi.Pardonner ma mémoire j’en ai sûrement oublié d’autres lieues qui incarnent les nobles valeurs humaines qui sont la richesse de la région.



