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MUCH LOVED, LE PARADOXE MAROCAIN ET SES FAUNES BIPOLAIRES
DROIT DE REGARD, CENSURE ET POLEMIQUE
Nous divaguons et voguons entre le modernisme et les libertés, les tabous, la pudeur et les qu’en-dira-t-on, empreints de moralisme, de peurs et de religiosité. Pris entre les feux de ces valeurs opposées, nous avons des craintes pour nos enfants, pour la réputation politique, comme pour l’économie touristique et l’ouverture de notre pays.
Jésus, que la paix soit sur lui, a dit à ceux qui voulaient lapider Marie-Madeleine, incriminée de prostitution : ‘’ Que celui qui n’a jamais péché, lui jette la première pierre ’’ ! C’est rapporté dans les Evangiles. Tous les bonnes gens se sont retenues de caillouter à mort la sémitique catin ! Loin du péché charnel, un film dont j’ai oublié le nom, prétend même que Jésus se serait marié avec cette dame, par la suite ! Grâce et indulgence, résipiscence et magnanimité, dignes de ce prophète des plus proches de Dieu.
AYOUCH ET ‘’ CES FEMMES SI MAL AIMEES’’
Son film, non sorti en nos salles introuvables, ne laisse personne d’indifférent et pourtant, Sid Essatyre, vous m’invitez, en me défiant, à regarder le film, ‘’Much Loved’’ d’Ayouch, entouré de ma famille, grands et petits ! Je vous réponds par d’autres questions, espérant être lu et bien compris.
Etes-vous sérieux autant que vous êtes poli ? Vous ai-je manqué de politesse ? Non, je ne vous connaissais pas. Et qui plus est, ce ne sont pas mes manières. Ce, même avec les inconnus du Web, non plus. Ces gens qui vous interpellent et vous invectivent, souvent cachés derrière leurs pseudos.AIMER, DETESTER ET INTERDIRE
Forums outrés et remontrances outragées ! Avez-vous vu le film ? Comme moi, je suppose, et seulement de courts extraits ! Avez-vous jamais soigné ou écouté seulement, ou vu des respectueuses ?
Avez-vous vu le film ? Comme moi, je suppose, vous avez zyeuté seulement ces courts extraits ! Avez-vous jamais soigné ou écouté seulement, ou vu des respectueuses ? Malades ou florissantes en santé ?
On sait que lorsqu’un film ou une émission publique sont reversés aux adultes, que c’est bien signalé ! Interdit aux mineurs. On les en chasse, vous comme moi…C’est bien compris. On n’en fait pas la ‘’curée’’ ensemble, avec les petits, ni l’explication du texte et du contenu, non plus. On les regarde, librement, si on veut, quand les enfants se sont endormis. Soit !Permettez-vous à vos enfants de voir la télé ? Toutes les chaînes paraboliques de télé ? D’aller travailler chez leurs copains ? Et là, Dieu seul sait ce qu’ils peuvent réviser ! Regardent-ils en cachette des DVD ? Pas besoin d’Ayouch pour les leur adresser. Moi, j’ai bien spécifié sur le texto : ‘’ Envoie-moi une copie de ton film…Lol… ‘’ LOL, est dit pour en rire et plaisanter. Les DVD, c’est 5 Dh seulement ! Ou loadés, gratis sur le NET. Pas besoin de les recevoir de chez Ayouch ! Il se perdait en timbres pour répondre aux normaux comme aux plus timbrés
NOSTALGIES ET HERITAGES CULTURELS
Nous habitions près de nombreuse mosquées et d’un bordel, Moulay Abdellah, près de la Makina où l’on fête actuellement les musiques sacrées, à Fès. Tout près du palais royal et de beaux jardins, hier encore publics ! Je n’y ai jamais mis les pieds. Je parle du quartier chaud ! C’est une fois adulte que j’ai appris que les français installaient ce genre de villégiatures pour le repos de leur guerriers, les soldats de la Légion et leurs goumiers, comme à Casa et ailleurs. Des noms célèbres où l’on a conçu des petits mulâtres aux yeux clairs !
De nos jours, c’est plus dramatique encore. Il y a des guerres de pouvoir ou de libération, commanditées, armées, entre les peuples de la même religion. C’est à vous fâcher avec eux tous, tant c’est déshumanisé à l’extrême et des plus cruelles sauvageries que l’homme ait connues !
Dans ces cas ‘’extrêmement pieux’’, même les bons musulmans de Daech invitent les femmes au combat. Ce n’est certes pas pour papoter ni pour leur faire porter des armes ! Elles sont naturellement bien armées. Je ne veux pas être hypocrite, mais si j’ai peur, je le pourrais. Sommes-nous ce que nous sommes avec tout ce qui se fait autour de nous ?
CHEZ NOS FAMILLES MAROCAINES
Vous invoquiez ma famille. Je suis touché et enchanté ! On a été parfois à la mosquée avec eux, parfois seuls, mais jamais au ciné. On dormait tôt. Pour discuter plus librement, je ne veux pas invoquer mon père, il était artisan et il savait manier le crayon, l’équerre, la scie, le rabot et ses autres instruments aussi. Il avait beaucoup de clients des deux sexes. Ma mère était fille unique de Lafqih Derkaoui. Elle s’est mariée très jeune. Et de leur temps, il n’y avait que des classiques égyptiens au cinéma de Boujeloud Tous sont morts depuis. Ce qui fait que ne saurais pas voir le film d’Ayouch avec eux. A Sidi.
Quant à mes enfants, en classe, ils ont étudié les sciences, la morale et l’éducation sexuelle aussi. Leurs profs leur parlaient de sida et de capotes ! Ils devaient bien savoir comment et à quoi cela servait, sans cachoterie ni hypocrisie. Ça devait les amuser.
UN BRIN DE VERITE.
En ce qui me concerne, la pudeur à l’intérieur de la maison est de mise, comme chez vous, vous qui demandiez à Dieu de protéger les vôtres.
Un brin de vérité. Au Maroc, il y a des gens très intègres, pas que des corrompus. Et des gens très religieux qui sauvegardent leurs sexes et qui ne commettent jamais le péché de chair. Ah si jeunesse savait ! Mais, il y a bien des exceptions, la plus grande majorité des hommes et des femmes, qui nous forcent à être réalistes et à évaluer le film en question dans ses données non pas spectaculaires, érotiques ou pornographiques, mais comme j’ai dit de témoignage, filmique, anthropologique et sociologique ! Relisez mon post, SVP !
EDUCATION SEXUELLE ET PRATIQUE SENSUELLE
Comparez avec moi le nombre d’hommes mûrs, majeurs, qui n’ont jamais couché, avant d’être mariés…
Franchement, dans les villages et les cités, de notre si beau, si chaud et si religieux pays ! Il y a foison ! Mais la discrétion est de mise. Les ébats intimes, c’est discrétionnaire. En cachette, sans les enfants de quiconque !
Comme le genre de films paraboliques, des anciennes cassettes ou actuels DVD ! Ils ont fait ça, les jeunes et les plus mûrs, comme dans toutes les cités du monde et à toutes les époques. Il y en a même qui avaient des harems, souvent 3 ou quatre femmes à la fois ! Et même des esclaves, chez de pieux musulmans, sans compter…C’était pour le pieu et non pour la piété. Mais, on se libère de ces ménages multiples, on évolue ! Seuls les riches ‘’phénomènes’’ des pays pétroliers et les touristes s’égaient avec les nôtres de garçons et de filles de joies. Sont-elles si joyeuses que ça ?DE LA PROHIBITION NAISSENT LES MAFIAS
Ailleurs, elles sont patentées, surveillées médicalement et elles paient des impôts à l’Etat ! Sont-elles si joyeuses que ça ?
Et c’est là, le problème que pose Ayouch, avec les prostituées, il me semble. Pourquoi lui interdire de commercialiser le film ? Par peur, par respect, pour les jeunes et la religion, certes ! Comme à ce couple de ministres amoureux, démis de leurs fonctions ou renvoyés à leurs pénates ! Mais, la censure pousse à plus de défis et de curiosités ! Faut-il interdire les jeux d’argent ? Et le vignoble ? Néanmoins, ce film documentaire, sera vu par la majorité des gens qui ont une parabole. Va-t-on leur faire la morale ? Ou leur casser leurs antennes, mon respectable monsieur ? Censure et prohibition fabriquent des maffiosi.Hier encore, et là je le vois en 3D en sculpture, plus qu’en film 2D ! Ce sont ces scènes sexuelles dans différentes positions, sur les façades des temples indous ! Le Kama Soutra livré sous nos yeux en vrac ! Ça vient des disciples de Gandhi ! Ces fresques et ces bas-reliefs sont une forme de civilisation, de culte, chez eux. Ils ne s’en défendent pas et ils ne cassent pas non plus leurs vieux temples ni les statues, comme ces fanatiques qu’i s’en prennent aux vestiges, ces biens immatériels de l’humanité..
Conscience de pères assagis, convictions religieuses et morales, jugements préconçus, préjugés sur le compte des quêteurs d’explications, malédictions sur ceux qui sont en attente d’informations et de vérités, ou simples partis-pris, férus de méchancetés ou de belles religiosités ? Je vous remercie sincèrement pour votre opinion que je respecte et je vous laisse lire mon texte. Sans jeux de mots sur le nombre des consonnes nasales sur nos ‘’annales’’ monsieur Essatyre ! Sans rancune ni censure ou remontrances, qui plus est dans cette polémique apaisée !
DR IDRISSI MY AHMED, KENITRA, LE 26 MAI 2015
RELATIONS MINISTERIELLES
OU LES SNIPERS ET LA ZOMBIEIn les chroniques différées de Madame Student, chapitre 50 et plus
LES PROLOGUES DU PRELAT
Je ne veux pas mener ces idées troublantes et erratiques tout seul, comme dans un monologue délirant et avec parcimonie. Ce voyage, à travers les thèmes tordus de l’heure et les idées fantaisistes inventées, a besoin d’une tierce personne pour accompagner les fantasmagories populaires.
Si les prédateurs s’accaparent des richesses, sans partage, y compris celles des arts, de la culture, de l’industrie, des fiances, du commerce et de l’agriculture, de la politique et des mots, moi sans jalousie, je les partage avec Mme Student.
Ma concierge fait du bavardage un magistère. Le dialogue se construit, s’élève et monte, avec ses flashes, ses réparties et ses clashs.
Prenez votre temps, c’est un chapitre de livre que vous avez gratuitement sous les yeux. Avec commisération et charité, je vous invite à vous amuser. Si j’y arrive, pensez à me le dire, ça me plairait.JE SUIS UN OBJECTEUR DE CONSCIENCE…
‘’Voici des élucubrations diverses et avariées, sans aucun intérêt, il me semble, sauf chez un psychiatre peut être.’’
M_C’est le jugement dont m’a encensé un lecteur du Web. Ainsi avertis, vous êtes prévenus des détracteurs qui pourraient vous envenimer votre soirée ou concurrencer votre libre arbitre, en vous inoculant ces dénigrements !
S_ Non Maidoc, tu es expert en qu’endiratonades, comme te le disait le Dr Polémic ! Il fut aussi vivant que taquin…De profundis… Il s’est rongé dans le sérieux killer ! On ma dit qu’il…
M_ Quoi, barbare ! Tu me connais de pseudo ! Et tu connais mon ami Polémic ?
S_ Comment non ? Je vous connais de longue date tous les deux. Avant que tu ne soies mordu par cette meute, cette chiennes et ces loups. Avant qu’on se soit amusé à te sortir du Styx et de l’Achéron en t’électrifiant !
M_ Ma parole que c’est vrai ! Mais je ne suis ni le mur barbelé de Ceuta ni la muraille électrifiée de Ghaza pour être électrifié ! Mais au fait, d’où sors-tu ces souvenirs, la concierge ? Tu travaillais là-bas, chez les militaires ?
S_ Tu as oublié la veuve-noire, la fibrillation cardiaque, le déchoquage chez l’armée…Le café avec Saïd l’anapath, les dîners avec le poète Laaroussi …
M_ Hum, l’artiste est mort ! Fis-je de dépit, sans soulagements.
S_ Y ajouter, dans tes errements spiritueux…
M_ Arrête, qui es-tu au fait ? Je tente le spirituel et je ne bois pas de spiritueux ! Plus du tout…ça me bloque dans la gorge !
S_ Les temps sont durs, je sais. Et il faut avoir des amis, pour partager les bulles et accéder aux hauts degrés !
M _ Un autre humm ! Qui me rappelle un autre, en majuscule !
S_ Je te disais, Maidoc, que des idées colportées, des idioties ressassées et refroidies te servent de soupes de réflexions et de fumées de divagations ! C’est du mérycisme !
M_ Quoi ? Qu’est-ce que c’est que ce charabia de faquir femelle ?
S_ Tu régurgites et tu ravales !
M_ Ouaêe ! Pouf ! De grâce !
S_Tu fais des rites et des mythes un principe fondamental, existentiel. Et de la mythologie élémentaire, toute une mystique superficielle et une philosophie, bien terre à terre !
M_ Ça c’est trop beau et j’aurais voulu que ce soit vrai…Même si c’est minime comme résultats…De vulgarisation..
S_ Attend, que je termine ma phrase. Tu es pire que le gars de 2Mtv, qui bloque les ministres invités, qui les interrompt en leur clampant la parole et qui rompt l’expression et la suite des idées…!
M_ Il va se plaindre, Le Gouyalahcen !
S_ J’maffou ! Je disais que tu en fais une philosophie largement superficielle et une supercherie profonde, peut-être inconscientes mais qui te trompent, toi le premier. Et ne me coupe plus, please !
M_ Quoi ? Tu commences bien sacrée concierge ! Tu me rappelles une peste que j’ai connue. C’est vrai. Elle qui se prenait pour une psychologue avertie et une pédagogue de métier, imbue de sa nationalité.
S_ Et tu dissertes encore à perte de vulve ! De quoi noyer les lecteurs dans tes salives et tes eaux. La tienne de vue est trompeuse et glauque. Celle des yeux chastes qui te lisent en devient émoussée. !
M_ Il n’y a qu’une femme qui peut me parler de la sorte. Je te reconnais fripouille… Non tu es morte…Tu ne peux pas exister.
S_ Impossible ? Je ne suis pas une ombre. Je suis là devant toi ! Touche !
M_ Je veux bien ! Oh, c’est de la chair ferme !
S_ Bas les pattes, vieux lard !
M_ C’est toi qui m’as demandé de te toucher !
S_ Tu confonds les impressions, les expressions et la réalité, la fiction et la vérité ! Je viens d’emménager ici. Je suis engagée dans cet immeuble des ministres et des parlementaires. De braves gens qui viennent des fois s’y reposer…
M_ Ou s’égayer, comme tout le monde !
S_ Jamais de bouteilles ni de condoms dans les poubelles, rarement des restes de repas. A se demander ce qu’ils font dans ces piaules de luxe !
M_ Tourner des clips pour Youtube, lire les Facebook des étudiantes qui ont besoin de bourses…
S_Ce sont des être humains, après tout. Se reposer entre deux siestes, des coups de gueules et des batailles de mots…Ce n’est pas interdit. C’est rendre service au peuple qui les a élus en justifiant les absences fréquentes.LA SYCOPHANTE
M_ Ah, malheureuse espionne ! Je te vois, je te sais ! Tu recommences à zyeuter pour les beaux yeux d’Israël ? Mission, épier et rendre compte. Sournoises fourberies des délatrices ! Guetter nos gentils ministres, surveiller les allers et venues, scanner leurs visiteuses…Essorer les linges, analyser les tâches de leurs draps. L’ADN des eaux de lessive et des égouts récupérées ! Et tu te fais payer pour ça ! Pour ces coups bas, perverse, le gite et le couvert, en sus !
S_ On ne suce pas ! C’est faux ce que tu avances !
M_ Tu veux que j’accepte qu’une femme, de ton gabarit, rajeunie au Botox et aux tiraillements, une Marine Le Pen, en coupe garçon, laisse sa Tour Eiffel, sa douce France, ses parfums et ses fromages, pour accepter de travailler, ici dans le Nothingland, comme une concierge ? Et toute seule, dans cet immeuble-là ? Tu viens nous espionner, satanée Student ! Ah ! Je ne te savais pas aussi perfide !
S_ Silence ému de la nouvelle Fadzma, made in France. M_ Je me dis en moi-même. Le fait de la reconnaître, aussi facilement, après sa disparition, a été un déclic dans sa nouvelle vie. Je l’avais connue quand…Bref, pour ne pas m’étaler sur vous, dès les préliminaires. Ce fut quand j’étais toubib à côté et qu’elle venait en consultation…Gratos, vue qu’elle était la préceptrice du prince d’Israël ! Et ces gens on les respecte, sinon on devient l’ennemi de leur divine espèce !LA CONCIERGE EST HOMOPHOBE
M_ Le proprio de notre immeuble vient de l’engager sur recommandation de l’ambassadeur suisse, comme concierge-femme ! M’avait-il confié. Comment connaissent-ils les fils de Guillaume Tell, ce richard absolument analphabète ? Mais pas ignare du tout !
S_ Les voies du seigneur sont impénétrables ! Ça marche au piston et au pèze, chez vous. C’est culturel. Ce n’est ma faute !
M_ Et ça existe partout les recommandations. D’ailleurs, c’est de vous autres parangons, qu’on a appris ces méthodes efficaces. Ce dialectique comportement économique est devenu indispensable. L’entregent, la concussion, le népotisme, la corruption, sont des préceptes fondamentaux de la bonne politique et des bonnes manières. Ce sont des médiations payantes. C’est comme de payer une course, un avocat ou un courtier…
S_ Bigre, tu as un complexe des colonisés morbide hypertrophique ! Une colonialite* chronique !
M_ Student, Tu connais tout ça ! C’est universel et vous en êtes les maîtres avérés. Alors, la ferme, ma jolie !
S_ Je n’en ai pas de ferme ! Moi, je viens de débarquer sur terre ! Je n’ai qu’une piaule de 20 mètres carrés, dans cet imposant immeuble…
M_ moi, j’ai un appart de 50, juste au dessus de toi !
S_ Tu dis des choses choquantes, auxquelles tu ne crois guère.
M_ C’est pour sonder le lecteur, l’attirer et l’intéresser.
S_ Oh le beau geste humanitaire et à tes frais encore ! Loin de l’INDH de Zoulékha, de la zakat et du Ramed ! Pour épicer ton texte gras et lourd, mon vieux, sois plus court…
M_ Je ne puis l’être plus que ça sinon c’est du nanisme
S_ Je parle de faconde… Sois moins obséquieux…Parle de sexe ! Oublie les anges, les fleurs, les animaux ! Fuis la morale et la apolitique !
M_ Alors il ne resterait plus que toi, nue ! Et rien d’un texte circoncis.
S_ Circoncis toi-même ! C’est ainsi avec cette histoire abracadabrante d’équivalence des sexes, entre-eux.
M_ Equivalent ou similaires, il en est qui les trouvent, affreux, sales, inégaux, inaccessibles, mais passionnément complémentaires. Mais, malgré les différences de taille, hommes et femmes sont égaux.
S_ Bavure biologique, une seule ! Celle de pousser les homonymes à se tromper d’adresse et à se prendre comme maris ou épouses des similaires, de même sexe, pour fonder une famille.
M_ Là, je suis perplexe, je reste ringard et arriéré !
S_ Tu leur conviens dans ce sens et cette posture !
M_ Leurs hormones sont à l’envers et ils ne font jamais l’amour à l’endroit. Il y a des foyers de feu sans lumière !
S_ Ils vont adopter des enfants, faute de pouvoir en faire, question de faire du bien et de ne pas s’ennuyer !
M_ Avoir deux mères ou deux pères, c’est tentant ?
S_ Ils les pousseront insidieusement vers un comportement similaire. La répétition de l’expérience où les mioches ont vécu et auront poussé !
M_ Tombée dans un trou, à l’envers, l’humanité malgré ses religions, ses sciences et ses progrès, s’est trompée de culture.
S_ La biologie, c’est de la m…de !
M_ Allons, Student, baisse le caquet ! Tu n’es pas concernée pour oser ces mots. Mais moi, j’en sui comptable. Le lecteur et l’éditeur pourraient me le reprocher !
S_ Même les ringards d’Amérique vont adopter cette loi.
M_ A ce train, sans conducteur, Hillary ne pourra pas éviter de prendre une femme à ses côtés. Ou un beau brun qui n’aura pas été grillé !
S_ Un brunot tiré par un bellâtre, c’est contraire à la loi !
M_ Se faire tirer par un visage-pâle policé, par derrière ! 8 ou 10 coups directs. C’est malsain, là aussi ! Vaut mieux se frotter à Hillary, on pourrait se la gagner aux élections.
S_ Simple question de rendre la pareille à son Bibile vieilli et de se venger, si elle arrive, de Si M’barek Oubama. Ould Bana, pour les africains !
M_ Ton immeuble, je ne te dis pas. Une centaine de marches sans ascenseur ! De quoi empêcher toute femme de mener à terme sa grossesse et d’accoucher bessif et gratos à sa première sortie de son sanctuaire nuptial. Simplement en descendant de son immeuble.
S_ Le bâtiment est sis en plein centre, en péri-parlementaire de notre très chère et inaccessible capitale !
M_ Rabat était bien du temps des sultans et des colons. Peu de gens, la classe sans être trop riches. Presque pas d’étudiants. Des bars des églises, des cinémas ! La médina, un véritable musée d’histoire, fossilisé, silencieux, anesthésié, avec un Mellah à son côté et une mosquée, qui ne fait pas de bruits. Estropiée, en ruine, elle regardait passer le Bouregreg et ses rares poissons, évitant d’effrayer et de réveiller les voisins français qui ne prient pas vraiment de nuit !
S_ Ils font autre chose !CET SMS A HENRI ET PINOT
M_. Pourquoi et pour qui dois-je publier mes délires, contenus et continuels, avec cette capricieuse Mme Student, qu’il vous arrive de percer sur le Web ? Sur le sofa captivant de ses plaisants 50 épisodes sur le Net.
S_ Tu donnes ton avis épais, gratuitement, pour te payer ta tête ! La tienne oui !
M_ Encore un rire extrait de tes fourbitudes* colossales, la Student !
S_ Gargarismes prolixes de bavard insatiable !
M_ Pléonasme !
S_ Faute de contenir tes ‘’vomito ergo sum’’, de ravaler tes régurgitations et tes remugles, tu nous fais avaler bessif tes penses insanes !
M_ Ah, je ne veux pas te tuer, immortelle !
S_ Cesse donc tes batarbarismes et ces langueurs de préciosité monotones ! C’est déclassé les classiques, il fau parler argot et twitter pour se faire comprendre !
M_ On te comprendra mieux ! Allais-tu encore me dire.
S_ J’ai été prof de français à la Mission et accessoirement celle ton turbulent papillon à l’époque…Je ne savais pas qu’il allait devenir ce qu’il est…
M_ Oui, I got my Doc Djo ! C’est toi qui l’as esquinté avec tes exigences de faire travailler les enfants et les parents, chez eux, le soir !
S_ Mais enfin, Toubib or not Toubib, tu ne vas pas m’apprendre mon métier ? 50 ans de cours préparatoires ! L’agrégation. Plus 15 ans avec le Prince David-Salomon d’Israël. Et encore les heures sup sur l’esplanade de la résurrection…
M_ Surannées, dépassées comme méthodes terrestres ! Comme celles de ton au-delà.
S_ Les seules valables comme pédagogie, incrédule§
M_ Apostat !
S_ C’est toi l’anachorète ! Maidoc ! Tu ne fréquentes plus personne. Tout le monde t’a fui et déserté.
M _ Je râle ô misère, sans trouver de repos. Même dans la solitude ! Mais les douleurs m’accompagnent ! Le sommeil est pour moi inutile, puisque je ne le trouve pas. Les songes m’échappent et me réveillent fatigué, outre-mesure ! Et je ne profite guère de mes songes et chimères. Ces voyages pour l’ailleurs sans succès, ni mémoire. Et tu viens m’habiter, chez moi, comme un cauchemar ? Toi, Student qui ronge mon temps, au lieu de me laisser épier le sommeil et calmer mes nerfs ! Tu viens dominer mes pensées, les voler, me les interdire et m’empêcher de parler.
S_ Oooh, Maidoc, toi le trahi, le délaissé ! Je souffre pour toi. C’est vrai, je devrais t’emmener avec moi au Paradis, afin de te dispenser de souffrir à me rendre malade, à mon tour !
M_ Oooh , Student mine ! Le spectre féminin de moi-même. Serais-je schizophrène à cause de toi ! Tu m’aimes tellement que tu me déchires et la raison, ma raison devenue hybride, éclate en deux. Voire quatre ou trois, à force d’amatrices et de tutrices, de parrains et de tyrans !
S_ Je me crois indépendant de toi et je voyage dans le temps et l’espace. Entre la mort et les résurrections. J’ai, je te le répète, puisque tu m’as découverte, des messages à faire et à donner. Un magistère à remplir.
M_ Oh, arrête ta fiction, Chose ! Aucune personne de ceux qui nous lisent ne croit en tes balivernes.
S_ Calme-toi ! Calme tes viscères et ta voix. Cesse de te dire que tu es malade ! Et si en manques d’amis, tu veux fuir la solitude et rencontrer des gens, va la joutia, au café ou aux bars ! Ne te méprends pas, même si je suis éprise de toi…
M_ Ah, répète que tu m’aimes, ça me suffit et ça me comble de joies !
S_ Moi, c’est par humanisme et par mystique !
M_ Moi, parce que tu me manques ! Même, si tu n’es qu’une partie de moi.
S_ Il y a »râle » et » râles », selon les mots et les onctions. Quand les premiers ratent on a droit aux suivants. Faute de plaisirs, à deux, on récolte les sanctions. Tu t’en veux, une fois réveillé ! Va faire un tour au psy, il pourrait faire acte d’hospitalité et t’interner, par amour de la confraternité
M_ La quoi ? Tu es devenue poétesse, sycophante ? La fêlure du mal fait rimer tes mots !
S_ J’ai oublié ce que je fus hier et avant le déluge. Je suis concierge, sur terre. C’est mon rôle actuel où j’entends me perfectionner.
M_ J’en suis heureux pour toi ! Mais toi, concierge, couverte de médailles et bardée d’agrégations. Ça me fout les varices aux méninges, que tant de diplômes ne servent à plus rien. Je comprends les docteurs-chômeurs qui manifestent devant le parlement quitte à trinquer avec les bâtes de la police et recevoir des coups de bogates* pour se disperser…
S_ Ah Maidoc tu ne comprends que dalle…J’ai une mission divine.
M_ On nage lecteur en plein délire. Ou délices ? C’est selon ! Tu as compris la zouave de Student. Elle patauge entre Dieu, les humains et le temps !
S_ Maidoc, qu’est-ce que tu renâcles ? Mouche-toi ! Ce n’est pas le matériel qui m’importe, mais ce que je peux faire, dans le rôle qui m’est imparti…Ce n’est pas difficile à saisir, même si l’appel vient d’En Haut.
M_ Chérie, je suis médecin, ni pas voyant, ni spiritiste ou magicien ! Et la souffrance des cadres qui reçoivent des coups alors que le pays en a bien besoin, me pose des questions existentielles. J’en sens des coups qui se portent sur moi !
S_ Simple frappes et dégâts collatéraux.
M_ C’est un sacrilège et une faillite, une injustice et une aliénation, qui me font douter de la même science et de la raison que je veux trouver chez le gouvernement. Celui-là même que nous devons remercier ainsi que l’Etat qui a beaucoup, beaucoup investi et emprunté des banques étrangère, aliénant l’avenir du pays et ses générations, pour nous former. Former des chômeurs, c’est d’un luxe, révoltant.
S_ Ça nous éloigne des ministres, humains et fauteurs, que nous voulions comprendre et mordre, critiquer, interpeler, pour nous élever !
M_ Il eût fallu que tu soies à l’académie, à la tête d’un institut ou d’un ministère…Pour m’acheter du chocolat, m’offrir des fermages et des chevaux pour nos weekend, quelques villas et des voitures de luxe, pour venir te chercher.
S_ Pour que le peuple se moque de notre couple ?
M_ Peuple et ministres font pire ! Pour vivre heureux, vivons cachés !
S_ Attend, attend, on n’est pas encore mariés. Et je n’ai rien ramené de l’au-delà, comme cadeaux à t’offrir, en plus de mes os !
M_ Moi j’aime les maigres et j’aime me frotter à leurs os ! Et puis je n’ai pas que le sol dur en guise de plancher ! J’ai un sommier et un lit à baldaquins, que j’ai hérité de grand’mère ! Pour tirer et t’étirer, il tira sans rien te casser !
S_ Craquants et craquelants ! Hcham a labla ! Il y a des enfants qui nous épient.
M_ Lui, le peuple, ne nous maudira point ! Ses fanatiques et ses légalistes, sûrement ! Le peuple est blasé. Il est aigri et amaigri. Il admire les femmes de gros calibre et de grands gabarits. Il adule à la folie les mamelles. Ces seins outrageux, qui lui rappellent ses rurales vaches, à satiété ! Quant aux femmes du Sud, elles embellissent sous les tentes et les corticoïdes !
S_ Cochon ! Hcham chouiya…Laisse les sahraouies tranquilles
M_ T’as qu’à voir le corset des stars et des pinups de ton quartier, pour te faire une idée. Et puis, c’est toi qui m’as conseillé de parler ainsi !
S_ Pourquoi encore ?
M_Moi je ne fais que raconter des histoires et parfois des faits. Je ne t’ai pas spécifié ce que je veux ni ce que j’aime chez toi, Student, ou chez les autres.
S_ Je donne ma langue au chat !
M_ Non, donne-la à moi ! Et ne parle pas de ta chatte. C’est trop cruel pour moi !
S_ Te faut-il que je soies ministre pour m’épouser et m’aimer ?LES PETITES ET LES BASSES CONDITIONS,
S _ Oublie tes rêves et tes projets. Et après !
M_ J’ai mon opinion et celles des gens de tous les quartiers à rapporter ! Des ides et des idylles, des idiots et des élites, des zélotes barbus et imberbes aussi !
S_ Continue Maidoc, dit ! Des brarek aux apaches de feu sidna, en passant par les chorfa, aristocrates, privilégiés et ubiquitaires, les pauvres et pudiques d’entre-eux, sans pèze ni agréments, sans villégiature ni appartements d’agrément . _
M_ Les malls du bien et les ferrachas du mal et qu’on reclasse, dans de jolies baraques.
S_ Pas de langue de bois, STP. On dit tout, même si on n’est sûrs de rien !
M_ ou qu’on se trompe, c’est la foire aux misères ministérielles ! Amusez-vous, la liberté le veut.
S_ Et les Parlementaires !
M_ Là stop, j’ai un ami là-bas, que j’admire toujours ! Les autres, de la rigueur, de la justesse mais, pas de pitié !
M_ Je langue, donc je suis. Les journalistes sont des guetteurs de jour et d’ennuis.
S_ Ça fait une heure qu’on en parle.
M_ Vous me rappelez mon héroïne de satire. Student. Je vous ai appelée par son nom, Mme Fadzma ! Mais, je n’arrive pas à croire que ce soit vous ! Malgré votre perversion ! Je suis tombé en panne…De mémoire. Cet unique et rare instrument est tombé jachère, vidé.
S_ Quand on perd la mémoire on perd sa conscience et sa personnalité.
M_ Que reste-il d’un vieux vêtement pitoyable ? Une grande part et quand on la perd… Je l’ai perdue, cette perspicacité, perdu cet éveil. Et bien sûr, comme dirait le Dr Polémic, l’intelligence et la raison partent avec.
S_ Safi, jemaêna we twéna ? Mais, je suis là ! Je suis venue te guérir et te sauver, mon cher Maidoc. Je suis celle-là quetu as reconnue après une décade d’absence. La cousine du maréchal Lyautey ! L’ancienne préceptrice du prince d’Israël, David-Salomon, le XVème du nom !
M_ Heureuses retrouvailles, alors ! Mais je garde le doute scientifique ! Comment avez-vous fait ? Je vous avais enterrée. Vous vous êtes ressuscitée ? Et vos amours avec votre cousin ? Vous l’avez retrouvé dans les catacombes célestes ?
S_ Non Il était homophile. Et malgré mon adoration pour lui, je ne voulais pas le partager avec un athlète arabe, un tireur, un éphèbe marocain, un simple fantassin !
M_ Un trio du diable, partageant la même queue !
S_ Chacun sa chair et chacun son paradis ! Mais, moi, mourir que de partager mon corps et mes émois avec plusieurs personnes, à la fois…
M_ Je note pour nos ministres amoureux c’est pour toi Student ou Fadzma ‘’ Mourir que de partager mon corps et mes émois avec plusieurs personnes, à la fois ‘’
S_ J’ai été réincarnée en concierge pour me rapprocher de toi et te dire que je te resterais fidèle et longtemps en vie. J’ai de nouveau une mission sur terre, après ton père, c’est toi ma mission…
M_ Après une longue, une très longue omission ! Je vois que tu as lâché mon Bassou et la Baddou de même ! La pinup respectable et néanmoins ministre de la santé.
S_ Je constate que tu ne t’es guère frotté à Si El Houssaine ! Est_ce par respect pour Abdelkrim El Khettabi ?
M_ C’est ce que je me dis. On peut critiquer et respecter. Ce n’est pas une caricature iconoclaste du prophète ni une injure face aux croyants !
S_ Ce n’est qu’un universitaire, comme nous, pardi !
M_Et que toi, non plus Princesse, tu ne t’es guère approchée du rifain, qui nous mène la vie dure aux cliniques des libéraux.
S_ Qui s’y frotte s’y pique…Le respect mon vieux Maidoc !!
M_ Non, c’est par manque de temps…
S_ Ou que c’est par lâcheté, que tu as lâché, le Zine El Wardi ?
M_ Non, c’est par manque de temps, c’est tout. Et on ne peut pas critiquer les points et les choses qu’on partage, lui et moi. Et toi Student ?
S_ Les revenants n’ont pas peur, mais on a peur d’eux ! Je suis une snipper qui zappe et qui choisit les revenants morts-vivants…Il ne me fait pas peur ton ministre à toi. Je ne suis qu’un élément, un fantôme dans un corps d’emprunt.
M_ Le pauvre corps ! Mais il peut réanimer tout ça ! Notre sauveur !
S_ Alors tes ministres, dormeurs es-service ou sexy, ça vient ? M_ On en parle ou se les lâche pour un futur épisode, des fois ? S_ Sujet de rédaction. Le couple Choubani-Benkhaldoun, ont-ils bien fait de vouloir se marier, quitte de créer un précédent ? Un bug ministériel qui joue contre les intérêts du PJD ! Ont-il bien fait de lâcher leur bride, érotique ou maritale, sous la pression et la férule des modernistes ? Ces modernistes et laïcards, qui sont contre toute espèce de polygamie !
M_ Préfèrent-ils des relatons, égalitaires fructifiées ! Moins chères et moins complexes, multiples et changeantes, plus aléatoires que déterminées ?
S_ Vous dites ici que le nom du mari est marqué sur le front de la fille !
M_ Le destin et le libre arbitre, le choix et les libertés, c’est pour un autre chapitre, Mme Student ! Toi qui reviens de l’espace-temps, par ordre divin, peut-être, tu as plus de données sérieuses à nous donner, sur ce sujet !
S_ Bon, ça va continue. Donne-nous ta fatwa, a Si Le Fakir !
M_ Je disais. Des relations discrètes, mais directes, sans progéniture, juste pour le plaisir. C’est la tendance libérale, moderne, actuelle dans les pays développés. Et ce, sans se marier, juste pour se marrer ! Sympa non ? Quitte à être ensemble, toutes les nuits, avoir 4 enfants. Choisir une autre puis une autre et se balader dans l’Elysée.
S_ Maidoc respecte Monsieur François Hollande, le président de notre métropole et amie !
M_ Je disais que ces relations, qui apparaissent comme libertaires se réalisent et se font couramment, et ce, sans contrainte. C’est un choix de société laïque à respecter, mais qui n’a pas cours ici ! Ici, la religion est l’essence de la constitution et du pouvoir politique. Elle prime sur toutes les libertés et les conduites. C’est une option vitale, morale, religieuse, cultuelle, esprit des lois et de la constitution ! Elle ne supporte nulle entorse ni déviance, nulle entrave apostatique ou hérésie.
S_ Pardon laisse-moi respirer…Juste le temps d’aller faire un acte urgent ! Une cloppe, pour réfléchir à ce que j’encore si je t’épouse ! !
M_ Tu es déjà revenue ! Ici, c’est plus complexe ! On coure des relations, hasardeuses, libres, mais ni ostentatoires ni légalisées par des adouls ! Deux mondes différents. Les libertés et le respect d’autrui dans la dignité totale. Les libertés, chacun les voit à la lumière de sa culture et à l’aune de la religion prégnante. Litige entre l’individu et la communauté. Paradoxe entre la sienne et celles où il se reconnait mieux, ailleurs pour ses libertés, sans y avoir accès ! L’Europe, l’Occident !
S_ Ouf ? Pitié pour le lecteur, quand tu lui fais faire un marathon et que tu en profites, pour te libérer.
M_ Tu m’en veux à ce point, Student, quand tu me laisses parler ?
S_ Je reviens au problème soulevé par la rumeur et qui intéresse le lecteur de ce chapitre ce lui des libertés et de l’abus dans la permissivité ! Quand même s’il y a eu du chahut et des extravagances, ça se comprend ! 300 millions pour un lit. C’est pire que les quintaux de chocolat ce cet autre ado de ministre ! C’est de la frime qui mousse mal.
M_ C’est peut-être pour une reine en visite ou une princesse, des fois qu’elles se sentiraient mal, lors d’un pèlerinage chez le saint homme ou une visite d’état ! C’est de la prévenance de la part du bon ministre ! Pour une fois qu’un homme voit loin dans le choix de ses meubles, sans que sa moitié ne lui en fasse regretter l’existence et l’achat.
S_ Tu parles trop ! Ou en va te censurer gentiment ou te faire ravaler ton papier, par ton souffreteux sigmoïde ! Et même te châtrer après ça !
M_ Ça doit faire mal dans tous les cas. Mais ces pratiques inquisitoriales, ce fut en Espagne, pas ici ! Alors, pourquoi ce lit d’après toi, la voyante Student, la mage venue de l’au-delà pour élever l’humanité et faire de moi, ton homme ?
S_ Un homme simplement !
M_ Homo simplex maidocci. Alors, pourquoi ce lit ? Dis va !
S_ Diva ? Moi, Student, ta Diva ? Même si je ne chantais, je ne mérite pas tant ! Je reviens au lit
M_ Tu ne ferais pas mieux ! Alors, c’est chez moi, ou chez toi ?
S- C’est simple pour le ministre de la literie bureautique. Il lit au lit…Tiens ! Sans fantasmes ni médisance. Sans intrigues ni ironies ou irrévérences ! Qui a prétendu que c’était pour coucher ? Un satyre, un faune vous habite, les marrants !
M_ Et vous faites, ma dame, dans la mécréante invective de vos similaires simiesques.
S_ Ah ! Ce que les marocains sont incrédules et naïfs à la fois!
M_ Paradoxe et antinomie des schizophrènes que nous sommes.
S_ Mon cher voisin, ce sont des allégations sordides et stupides. Lâchez ces braves gens !
M_ Ça dénote des souffrances sociales chez les individus. Des complexes intimes chez les personnages. Ça froisse les convictions morales des justes et les lois en cours de cette communauté. Hyper religieuse et de stricte moralité.
S_M’ssaquine !
M_ C’est permissif pour beaucoup de gens, mais dès qu’on parle d’un Ministre, c’est la suspicion nationaliste et les doutes patriotiques. C’est la fdiha, le mépris et le holà ! C’est une vache à lait pour les médias
S_ C’est une vache à terre que des bouchers, veules et vils, veulent équarrir et dépecer. Ce n’est plus un Ministre mais un sinistre individu. Qui par vengeance devra payer pour toute l’humanité. Un séisme qui désole la patrie ! Et qui veut chuter le gouvernement.
M_ Et jeter aux orties chabatiques son parti ! Comme si nous étions tous des anges exemplaires. Des femmes intègres, sans instinct ni défauts, exemptes de fautes en particulier.
S_ Pourquoi parles-tu des femmes uniquement ? C’est une réduction psychiatrique, une déviance ! Qu’est ce que tu as contre les femmes ? Ministres, intellectuelles, pieuse ou pas !
M_ J’en ai pour elles ! Du pieu, du très pieux pour les plus pieuses…
S_ On devrait te psychanalyser ! Je crois que c’est ce qu’on fait là. Et sommes toutes ça doit être ‘’ ma mission’’.
M_ Je parle de respect et non de taille, a Madame Bouga ! Je n’ai ni le temps ni les moyens. Et l’assurance de Polémic ne paie rien de tout ça !
S_ On te le fera prendre en charge par le Ramed.
M_ Faaamme, femmmmme, femmes !
S_ Tu parlerais ainsi de ta maman ? Mon petit chéri !
M_ Elles ne sont ni anesthésiées ni paralysées, ni émasculées encore !
S_ Elles ont leur maux à dire et à les crier !
M_ Ce sont elles qui maîtrisent les instincts. Les plus hauts comme ceux du bas et du milieu. La haute finance et les bas instincts. Le matérialisme, je veux dire. T’as vu avec le FMI ? On enlève un vrai homme, DSK, qui ne rate aucune et on met une Femen, trop habillée, pour le flousse et pour le désappareiller.
S_ Continue de crier leurs noms…aux femmes. Elles ne te sauveront pas pour autant. Elles ont leurs plans… Maidoc ! Ministres ou pas !
M_ Tu veux dire les bas instincts, Oui ? Je sais, c’est si bien dissimulé ? C’est une espèce d‘oiselles de proie, sous forme de mamies ou de paons ! Des extraterrestres, des ET démasculinisantes ! Elles ont envahi la Terre pour la dominer et l’anéantir ! La Terre est une planète d’hommes.
S_ Non, non, non, pas uniquement ! Mais, ce sont des instincts maternels, des instincts de conservation et de la famille et par là, de l’espèce.
M_ Le droit de prendre tout l’espace. De prendre toutes les décisions sinon de tomber dans le coma. Du cinéma Et de menacer d’hystéries si le ‘’patient’’ tient bon
S_ Allons, allons Maidoc. Cesse de plaisanter. Les lecteurs vont être fâchés contre toi. Ils ne comprennent pas le style cynique des canards !
M_ Boiteux ou pas ?
S_ Vous faites des confusions. On n’est pas dans une cour des miracles. Je parle pour les épouses, des droits et de leurs dons. Le nid, le foyer, leur défense pour leurs enfants
M_ Sois claire, la Student ! Tu veux dire le monopole de l’espace et de l’argent ?
S_ Un peu de ça, mais surtout de la canalisation ou de la dérive du sexe ! Celui de l’homme qu’elles ont élu et possédé ! De sa passion pour elles et de sa gouverne ! De sa fidélité, spécifique et exclusive, malgré les aléas du temps.
M_ Esclavage ?
S_ Elles veulent le garder, entier, complètement et seulement, totalement à elles seules ! L’homme, apprécie au plus haut point la fidélité de son côté !
M_ Oui !
S_ Et il l’exige de sa partenaire, par respect de sa dignité et de son appartenance intime exclusive, à son bien, sans partage avec aucun. Et il attend d’elles autant ! A moins que ce soit de la traîtrise, de la haine ou quelque chose qui s’appelle désintérêt et séparation ou vindicte et vengeance…C’est la passion trahie, le meurt et la tragédie…Va lire Racine et retrouver Corneille, puis faire un tour en prison !
M_C’est un scellement ! Tu dis, que les femmes, veulent le garder pleinement et unique ment à elles seules.
S_ Oui !
M_ Mais comment le partager, entre elles seules, madame? Entre gentes dames, un petit ou de rares moments ?
S_ Quand je vois, la première épouse, aller de concert avec la maman du mari, demander la main d’une dame ministre de son état ! Je nage en plein roman !
M_ Elle qui a eu un mari et 4 enfants. Une grand-mère, encore potable, de surcroit. Curieux, tu ne trouves pas ? A ton âge Student, on peut avoir des enfants ? Faut-il encore que je puisse te toucher, vraiment !
S _ Je vois que les flèches de l’amour passion, ou pas, ne t’ont jamais été servies ni décochées. Tu joues sur les mots, sur le pluriel et la conjugaison !
M_ Oui ? C’est conjugal, c’est ce que je te dis.
S_ Il ne s’agit pas de le partager, c’est un ciment !
M_ Une mise en berne. Des boniments ! C’est une mise en boîte, tout bonnement. Ça présage des cercueils, en voie de façon et d’enterrement !
S_ C’est une possession à vie ! L’un de l’autre. Qui te parle de mort, Maidoc ? Il s’agit pour elles qu’il vive leur homme et s’occupe d’elle, tout le temps, très longtemps, éternellement !
M_ L’un à l’autre ! Pas aux autres !
S_ Absolument ! C’est un enrôlement à vie. Sans concession aucune ni faiblesses du vœu de mariage !
M_ Avec une nymphe masculine emmaillotée, bonne pour la postérité. Un pharaon enrubanné, un fossile à l’abandon…Student ?
S_ Qui te parle de partage, Maidoc ? Je parle de possession et d’exclusive ! Rien que toi pour moi seule.
M_ Ah ! J’étouffe, enfin. Tu m’étouffes ! Tu me veux ?
S_ Je parle en général. C’est à la troisième personne. Même si je te dis, ‘’ je te veux, tu me veux’’ ! Zut ! Tu ne comprends rien à la grammaire !
M_ Grrrh, guères aux grands-mères ! Ça me fout les …!
S_ Je parle de possession, d’alliance, de ciment et d’éternité ! A la chrétienne pas à la riche arabe pétrolifère ni à celle du paysan quêteur de main d‘œuvre gratuites. Celles de ses nombreuses femmes anachroniques et de ses enfants analphabètes ! C’est banal, c’est rigoureux. Et c’est bilatéral et à vie !
M_ Ce sont les revers fourbes et sanglants des libertés inoculées. Que certains refoulent ou digèrent. Ceux des gens libres, des pays riches, cultivés laïques ou athées et développés. Il faut se placer ici, c’est social et anthropologique et économique ! On ne peut pas comparer d’entre les valeurs. Le milieu géographique, le degré de développement sont des paramètres vitaux, crédibles et sérieux ! Utiles, pour comprendre l’insanité de tes critiques, des arabes et des ruraux de parmi les marocains.
S _ Tu me pourfends le cœur !
M_ Tu en as déjà ? Je vais écrire tout ça au journal. Mais je, vous, vous allez les blesser.
S_ C’est obligé, si tu veux faire ton boulot ? De rapporteur
M_ De journaliste, STP !
S_ Ta besogne, sans travestir les pensées. C’est ça la responsabilité et l’engagement.
M_ Que des mots ma vieille !
S_ âlahe ana mouk lallak !
M_ Tu es plus vieille et plus méchante, Querida mia. Elle est partie Lalla…Elles sont parties. Je les aimais bien.
S_ Et en quoi ça me concerne, Querido mio ? C’est à elles que je me dois de demander ta main ?
M_ Tu fais allusion à qui ? Au couple des ministres qui avaient besoin de l’aval et de la bénédiction de la première épouse ! Et maintenait du gouvernement, pour lui éviter, la hchouma !
S_ Ta vie n’intéresse pas les lecteurs. Tu n’es ni star, ni ministre, ni chanteuse ni inventeur ! Les lecteurs s’en moquent ! Donne-leur des nouvelles des ministres qu’on critique et qui chicanent? Ils s’intéressent au lit, donne-leur du sexe ! Ils s’intéressent aux ministres, oublie leur politique et les problèmes amers ! Donne-leur les cancans acides et les potins épicés…
M_ Quitte à envoyer le lit du bureau à la joutiya…Savoir qui l’a acheté et quel musée va l’exposer ?
S_ Et le mariage à la Saint Glinglin. Ah toi il faut te régler comme j’ai réglé ton fils !
M_ Je le sais, tu me l’as déjà dit ! A propos, je saute du coq à l’âne…
S_ Vas-y saute mon pote et commence à braire ! Tant qu’on est dans la basse-cour, joue avec les bêtes de ton choix ! Les ombres de sous les arbres, le fumet du fumier, l’ânesse qui chasse les mouches, le chiot qui courre les poules ou le coq qui chante, dit-on, pour te rappeler tes prière de l’aube en face du levant. Et peut-être, le devoir de préparer pour l’au-delà. C’est pour cela je crois, que je suis là !‘’A M. LE PR LOUARDI : LE SERVICE MEDICAL CIVIL ET LE CIVISME D’ETAT’’
Le civisme est bon, important, obligatoire et nécessaire.
S’il développe le sens de la citoyenneté et le devoir envers la communauté où l’on vit, cet engagement bénévole ou modique, se doit de s’entourer d’un esprit de justice de la part des institutions de l’Etat. Et pas seulement des contraintes, pour ceux dénués de protecteurs et de pistons !
Des pressions, punitives et contre gré, des obligations d’asservissement, par delà les contrats et au-delà du supportable, virent à la révolte et au manque de rendement, sinon çà et là, à la corruption dans les hôpitaux, entre autres.
Vous ne dites pas les inconvénients des cadres, leur réussite rare, malgré les déboires du système de l’enseignement (demandez au Ministre Belmokhtar), vous ne dites pas les difficultés de leur accès à la formation, ni les sacrifices de leurs parents, ni leurs attentes familiales propres, encore moins la liberté de l’individu. Liberté au sens premier et moderne du terme, que le même Etat doit leur assurer de façon, aussi civique, et ce à toute personne, y compris aux civilistes de parmi les futurs médecins.
Ces individus, fraichement émoulus, devenus de serviles ‘’pratiquantes’’ entre les mains de la société qui attend de ces assujetties au service civil, un travail noble et quasi bénévole à la fois. Le respect de leur dignité en somme est une nécessité, un devoir, un égard pour ces civilistes, rompus à la tâche, afin de pouvoir servir, sans faillir et sans corruption. Et pour ce là, les enrôler de force après leur formation hospitalière, ne veut pas dire salaires minables à ces pions. Ça ne veut pas dire les laisser tel des otages indigents, en attendant de la population servie, qu’elle leur assure leur vêtement et leurs repas !
Où étaient les ministres et les gestionnaires précédents qui sont responsables du hiatus actuel et de l’incurie patente, laissée aux successeurs comme une entrave insoluble.
Seulement, la mesure intelligente de ressusciter le service civil pour être démocratique, doit être généralisée, élargie et appliquée à tous les cadres, et pas seulement aux médecins.
Parlons des autres ministères et des régions, des communes, qui ont besoin de techniciens et de cadres, de toutes sortes et à bas prix, pour leurs fonctions et services paralysées, leurs décollements coincés, vus leurs enclavements fossilisants.Mieux, les cadres retenus malgré-eux, durant des années supplémentaires, après leurs fins de contrats, devraient voir leur salaires automatiquement augmentés. Une mesure temporaire et équitable pour ne pas les ‘’esclavagiser’’ plus que soutenable, voire les tenter de rester, in loco, au service du Ministère de la Santé Publique.
Lui-même, ce Ministère, est responsable du défaut de prévenance et du manque de gouvernance, antérieurs, oui, et notoire certain ! Il n’a pas anticipé, en temps utile, la formation de ses cadres pour répondre aux besoins futurs de la société qui se modernisait, et qui créait autour d’elle d’amples besoins et des attentes cruciale pour progresser.
Une vision ‘’futurible’’, la formation des cadres de santé, en conséquence et en prévision en son temps a certes manqué à nos illustres ministres ! Avis aux actuels tenants de la barre ! Avis à Si Benkirane et au Dr Louardi.Avaient-ils les moyens, ces prédécesseurs ? Préférant réparer, comme hier encore, les déficits de l’après-indépendance avec des techniciens, souvent importés des pays de l’Est ! On va continuer à importer du mercenaire ? Oui, si le progressiste LOUARDI ne pousse pas assez l’Université à se dépasser et l’Education Nationale à s’investir plus dans la Santé. Faut-il encore penser à nos Leaders et Chefs de Gouvernement, d’encourager et d’attirer les aspirants à ces longues études et surtout bien rémunérer les lauréats ! Ceux qui seront piégés par le système, à leur sorties de fac !
Coté gestionnaires, on a eu droit à des bricoleurs, même quand ce furent des ‘’Saigneurs’’ en leur époque. Ces précurseurs, qui géraient au pif leurs départements, selon leurs humeurs et leurs intérêts particuliers. Pas toujours propres. Notamment ceux des Partis successivement au pouvoir et de leurs programmes populistes, jamais respectés. Eux-mêmes très loin du milieu médical, de la pratique sanitaire et de la formation politique des fois !
Si on a droit à un bon ministre en ce moment, LOUARDI, un maestro capable de galvaniser et de révolutionner les habitudes légitimes et légales, les textes juridiques notamment, il faudrait que sur le plan du nombre de la qualité, de la formation des cadres, qu’il use, Le Professeur, de plus de moyens. Quitte pour son Magistère ministériel de faire faire à l’Etat plus d’efforts d‘investissements et de demander des crédits extérieurs, plus lourds…Ce n’est pas une simple question d’exiler un médecin, homme ou femme quelque part et de l’oublier ad-vitam ! Il faut réguler et relayer obligatoirement les médecins dont il dispose, le Ministre, sur ces sites excentrés ! Et non pas laisser ces jeunes, cloués au pilori, sur place et en exil, faute de pistons et d’avocats !
C’est aussi s’occuper de ces exilés-civils, plus sérieusement, pour qu’ils donnent à cette population exclue, librement et spontanément, le meilleur d’eux-mêmes. Les encourager, ces ‘’médecins humanitaires de force’’, et les récompenser pour qu’ils assument ces charges sociales et humanistes à la fois, n’est ni un extra ni une dépense inutile. C’est un devoir légitime et nécessaire pour accompagner la ressuscitation de cette loi, qui veut organiser le service civil obligatoire, chez les seuls médecins !
On a vu les catastrophes humanitaires de cet hiver. Il faut se prépare en été à rassembler et les voitures et le nécessaire !
Parallèlement, je suggère une saine évaluation et un investissement humains et matériel plus large de la part de l’Etat pour répondre aux exclus et les zonards et les ruralisés de nos montagnes et Sahara.
Nous n’avons pas de leçons à donner au professeur LOUARDI. C’est lui notre maître es-qualité, même s’il fut trop jeune pour être le mien, mais nous restons dans l’attente, nous ses adeptes et ses patients.Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 22 avril 2015
SIMULACRES ET CONFUSIONS, MYSTIQUE ET PHILOSOPHIE
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J’ADMIRE LA CULTURE ‘’GENERALE’’.Fanfaronnade excessive quant au grade dont on l’affuble, large comme un ruban filiforme, marque page de dico, profonde dans sa superficialité comme le marc d’une tasse de café éclatée.
Je suis consterné, complexé devant ces savoirs pluriels et ces connaissances massives qu’offrent les encyclopédies. Quiconque peut glaner sur le Net tellement de sciences sans jamais les épuiser. Des peuples arriérés aux gens les plus avancés, que de profits à tirer de ces intellectuels et ludiques voyages! Vadrouilles, recherches et zappings, que des millions de vies humaines ne pourraient jamais cumuler. Entre les peintures rupestres et ce que l’homme sait aujourd’hui. Que de progrès et quelles merveilleuses distances avons-nous parcourues !
O CIEL ! MYSTIQUE ET PHILOSOPHIE.
Malgré un peu de brume, je lève les yeux au ciel espérant y voir un miracle. Je lâche pour cause de torticolis. C‘est ainsi avec les courants mystiques et les philosophies, ça donne de l’allure et de la contenance aux spécialistes, mais des vertiges aux questeurs non préparés. Quand aux vrais maîtres du ciel, astronomes et astronautes, ils ont du savoir en physique et en mathématiques supérieures, en plus du gros matériel… Je n’ai, quant à moi, que des lunettes de vue. Et, si la Voie Lactée s’est contractée, quant à la Grande Ourse, je la vois comme une casserole, à l’envers !
Nous restons effarés devant cette immensité qui nous déconcerte et nous déstabilise. Un vertige fait de découragements qui vous défient et vous glacent. De cette masse de connaissances qu’il vante sur les ondes, ventile sur le Net ou imprime sur des milliards de pages. Mais aux berges de la préhistoire, que d’ignorance encore, au tiers-monde, ces déserts incultes et cette plèbe paupérisée, que l’on marginalise et exploite !
Que d’ignorance encore devant ce qui entoure par delà les cieux ! Nous sommes nés, incubés et en sursis et nous restons soumis sur cette sphère. Cloitrés dessus une planète, microscopique, quasi invisible, si près de sa ruine toxique, de son terme explosif et de l’oubli, dans un univers sans limites, qui de plus en plus expansif, s’étend. Telles des puces ou des tiques, nous vivons collés sur le dos de cette croûte. Cette terre qui tourne à son tour follement et qui voyage à travers le temps et l’espace. Là, levez les yeux, sous le regard des astres placides et monstrueux ! Vous vivez un vrai mystère. Une implosion, un trou noir ? Quand ? Quand la Terre sera épuisée et que les races, inférieures, infirmes et paupérisées, seront dégommées, pour qu’exulte l’égo des plus puissants. Pas besoin de faire dans la prospective, ni sortir de Harvard, pour en faire le présage.
QU’EST-CE QUI NOUS ATTEND ?
Je suis terrifié même si je ne serais plus là. Terrifié à l’idée de voir l’humanité partir en fumées. Déjà, partir en voyage, avec ces accidents ? Voir ces meurtres sur Youtube, ces décapitations, ces crimes abjects, ces fosses communes ? Voir ces guerres de conquêtes, les résultats des guerres mondiales sur nos pauvres pays, sur nos civilisations, sur nos us et sur nos cultes ? Voir ces guerres civiles, ces anathèmes, ces haines entre voisins et entre frères, savoir qu’on les y pousse pour vendre des armes de guerre ! Voir ces nettoyages ethniques entre les religions du même Dieu…Ces familles déportées, ces peuples exilés, ces villes que l’on vole ou que l’on efface, ces écoles et ces hôpitaux que l’on rase…Humanité, ce sacré mensonge ?
CHAOS ET DELIRE PESSIMISTE
Quand j’entends parler de ces noyades par centaines, de ces explosions et de ces guerres, de ces accidents terribles sur les routes. Je suis consterné et je pleure sur nos faiblesses et notre dite humanité. Les bêtes, carnassières par essence, chassent par instinct et tuent leurs proies, pour manger, sans pour elles vouloir faire du mal ! L’humain verse pour ce faire et se faire, dans le plaisir et le contraire.
Notre virtuelle existence et notre futilité me terrifient et m’humilient plus encore ! Je ne suis presque rien et tous les autres riches ou puissants, non plus. Ça me rassure sans m’enivrer ! En fait, cela m’irrite et me rend plus malade.
Ce n’est pas une quelconque perte de l’estime de soi, ni une diminution ou une dépréciation de soi, encore moins une cynique autodérision sur notre espèce, c‘est une vérité contenue et réaliste, que j’évalue pour tenter de m’enquérir et de m’assumer. C’est une décapitation de la raison pure, la plus élémentaire qui soit.
QUESTIONNEMENTS
Témoin, qui suis-je pour bailler et balancer ces balbutiements, Lecteur, quand j’espère que tu fasses autant ? Qui suis-je, pour baver, sans respecter personne de ces rustres et sordides monuments ? Tenez, dans quel but, par quels hasards ou destins, suis-je là ? Quelles sont les réponses réalistes et vraies que les sciences et les religions peuvent me livrer ? Vous me le direz, si vous l’apprenez un jour ?
Vivre et mourir ? Partir dans les douleurs, sans répit ni indulgence… Partir sans n’avoir jamais rien compris du principe, des règles et du but de ce jeu qu’est la vie ? Vie donnée, gratuite, sans la demander puis reprise, obligatoirement. Espérer retourner un jour pour les uns, avec le privilège de revivre mieux, de ressusciter ! Ou pire, pénalisés pour emplir et chauffer les enfers ? S’anéantir et s’annihiler pour d’autres, moins naïfs et plus incrédules, sans autres formules de procès ni garanties de retour ? L’argile revient à la terre et les cendres aux oublis ! C’est injuste, c’est inutile et c’est vain. Mais, il y a la relance de l’esprit, celle de l’âme, après épuisement et la mort naturelle. Pour les crédos avérés, ‘’ce n’est qu’un au revoir, mes frères !’’.
MAIS, POUR LES MEURTES ?
Pitié pour les vivants, ils n’ont qu’une seule de vie. Avis aux criminels de toutes natures et d’où qu’ils soient. Ils s’en tapent, quand la folie les prend. Par vengeance, les haines ou la peur. Ils créent leur droit, le droit d’occire, sans réserves, autrui,! Des guerres, faites à l’homme qui cherche sa croûte, ou à ceux qui espèrent un peu de démocratie, un peu de libertés, dans leurs pays et leurs contrées. Que retenir ? N’être que de passage ou ne pas naître du tout. Mais qui possède d’entre nous ce choix ?
Et puis, ces tragédies de la route. Ces 40 jeunes qui après de simples jeux scolaires, rentraient chez eux. Dans un car mortuaire, face à une citerne d’essence qui roule. Il a suffit d’un instant, aussi infime qu’une parcelle de seconde, pour que le hasard, le sommeil ou l’inconscience s’immiscent dans leur destin, en créant le drame, l’hécatombe !
Sortir de chez soi devient une aventure, un péril, pour beaucoup et déjà en ville. Ces villes sans urbanité réelle ni respect de l’autre. En sortant, vous perdez la protection de vos pénates et de vos dieux ladres ! Les trottoirs sont saturés, les routes surchargées, les piétons et les conducteurs, accrochés aux phones, en délire. Ne vous dites-vous pas ‘’ que je suis casanier’’? C’est pire, peut-être, vous vous êtes cloitrés par sécurité, dans vos peurs ! Vous affirmez. ‘’ C’est mon droit de voter et mon droit d’avoir peur’’. Simple sagesse, simples précautions qui répondent aux délires et à l’effroi…
C’est mon tempérament, que de céder à la paresse et de rester chez moi. Car Autrui est une menace, un ennemi, un danger, un fou cruel ! Surtout ces taxis déglingués avec des fous au volant. Ces tracteurs dits des 4×4, ces bus à étages, véritables immeubles roulants, ces bateaux sur roues, ces bus cassés, ces taxis, véritables chars d’assaut, et ces camions véloces, arrogants, imprudents et tyranniques à la fois !
ELLE M’A DIT. J’AI PEUR,
Peur de ne plus exister, à cause d’un imbécile en faction ! En regardant tellement de pertes et de morts se produire ici et là. Sur le Net et la télé, je suis quasiment prise d’effroi. Je pense qu’ils ont du courage à sortir plusieurs fois par jour, pour aller en classe, pour oser se détendre, pour acheter une babiole, ou pour travailler, pour trois fois rien ! Ou pour courir, pour le sport ou pour rien, pour rire ou même se délasser, un instant. Mais, je me dois d’aller faire le marché et récupérer les enfants ! Alors vite, il me faut engager un garde corps ! Un militaire, des soldats, armés de surcroît.
Oui, j’ai peur, pour eux, par lâcheté. Et pas seulement des anthropophages et des abrutis ! J’en veux aux cadres, ces vampires qui s’en foutent royalement ! J’en veux à tous ces fallacieux factionnaires malades de réunionites! Je déplore leurs corruptions, mesquine et perfide, leurs erreurs, leurs abus, ils ont tord d’exister ! J’abhorre les guerres qu’ils se font, les lois qu’ils manipulent, les polices et les armes qu’ils salissent. Je regrette ces avocats et ces juges, les médecins et les maîtres, des banquiers qui nous mettent en banqueroute, toutes ces autorités qui se fourvoient. Hélas encore pour le makhzen, usurier morbide et ses tyrans d’autrefois. Du protectorat qui s’est trompé de sortie en traînant le pas. J’accuse ces impôts impies qui nous arrachent la peau des fesses ! Et pour ces générations encore, nos fils, qui devront payer leurs crédits et nos dettes.
LAISSER-LA PARLER
Je ne peux monter cet ne pour faire le berrah et vous vilipender ! Ni sur une échelle des voleurs, une tribune pour faire le héraut, et vous tancer ! Ni sur ta chaire, toi le maestro, pour lire un sermon copié-collé ! La critique est salutaire, libératrice, bonne pour les autres…Moi, je suis femme, je dois ne taire pour exister ! Ou faire l’hystérique qu’il faut subir ou matraquer. Divine comédie !
Les valeurs sont faussées ! Le Pape fait de la politique ! Pourquoi pas ? La religion fabrique des lois pour enseigner les valeurs et assurer la démocratie. Va encore ! Mais la politique devient vaine avec ses lieux communs ! Des valeurs factices, trompeuses ! Des fauteuils roulants ou en bois vermoulu ! La vie, c’est comme de grimper un ravin ou de sauter d’un nuage vers une faille qu’on ne voit pas ! J’exagère à peine, car vous m’avez compris et vous dites la même chose ! Ces peines d’autrui, que je comprends et que je rends ainsi, comme un vomi sanglant, fait de mots secs, comme du pain rassis, sans olives et sans thé. Oui, je pense à ces extrémistes, à ces colons, étrangers narquois ou sordides indigènes, à ces terroristes, ignorants, affamés et indigents, à ces criminels individus fanatisés ou super états et puissantes nations ! A ces guerres, des conquêtes aux coloniales, des mondiales aux nucléaires, à ces meurtres d’enfants et de civils, à ces bombes au phosphore, véritables tsunamis !
Je suis femme et mère, ô mortels ! Dois-je souffrir votre indigence et me résigner ? Ou me taire devant votre morgue et votre impudence et vous laisser appauvrir mon pays et gommer mes enfants ?
AMALGAMES.
Je vous écoute et vous admire. Vous avez eu les mots justes pour le dire et bien forts pour maudire ! Toutes ces approches pour expliciter et pour expliquer, pour m’avouer ou me faire écrire que tu as peur de ne plus exister. Peur des autres, peur par pitié pour les autres, par comparaison, par compassion. Et tu as raison. Qui de vous peut m’assurer du contraire ?
Chacun tient à sa petite et intime personne ! Il n’a que ça en fait comme bien précieux. Tu oserais soutenir le contraire, toi lecteur ? Peur de perdre la vie, c’est de perdre ce que je suis. Ce que tu es ! Perdre ce qui est mien, la plus importante des choses qui existent. Le summum de ce qui est mien est mon corps. Et peut-être, plus ma raison ! La conscience d’être ce que je suis. La persuasion, la certitude de ce qui n’appartient à personne d’autre que moi.
Je suis un être que les biologistes classent comme animal ! Mais, j’ai honte d’appartenir à ce règne de loups et de chiens infâmes ! Mais autour de moi, sommes-nous vraiment tous humains ? Avons-nous un cœur ou quelque âme, faite de lumière ? Mais je tiens à ce que je suis, ne pouvant être autre chose que moi-même. Quel que soit mon état, ma race et mon identité, mon pays, me sont les meilleurs !
Même si je sais que j’ignore comment et de quoi je suis fait, comment je fonctionne, comment je me répare et comment que je vis. Ce qui fait moi et qui me fait ainsi penser m’est inconnu ! Mais, il est à moi. Cet organisme, en vie, que je pilote en partie, me dirige et me fait. Ce qu’il en adviendra, quand je ne serais plus là, me concerne maintenant que je suis conscient. Ce sont mes questions, les vôtres certes !
De ces questionnements existentiels, banaux, surmédiatisés, apparaît vôtre conscience ! Et bien, il est moi et il est à moi, cet être que je suis ! Pour combien de temps encore et dans quelles limites de santé ? Là, c’est autre chose ! Même si j’ai inclus en moi, mangé, digéré bien des choses et des chairs, des êtres pour me construire et me maintenir comme je suis, ce corps et le mien et je suis ce que je suis, tant que j’existe ! Il est chargé d’emprunts ; il est un robot, il est une machine, mais il reste mien, même s’il est labile ! Pour combien de temps, encore ? Je suis un chaînon du cycle qui ne veut rien manquer ! Un élément de la chaîne qui me fait, qui me porte et me transporte, qui m’emporte et m’importe !
VIVRE EST SUBSIDIAIRE,
Car l’avenir, le devenir, l’après cessation de vie est la vraie question. Celle qui n’a ps de réponse et qui importe. Forcé que ça arrive même aux puissants, comme à ceux qui voient se prolonger leur vie et se posent cette question vers la fin. Celle aussi de savoir si un ‘’autrui’’, cet autre chose d’impalpable, réside bien dans le corps et qu’on appelle esprit ou âme, pour l’éterniser. Demain et par delà les cieux et la terre, que sera la réalité ?
Parlons des plus petits des êtres. Attention où vous mettrez les pieds. Il y a de la vie qui circule. Malgré cette ignorance extrême, le peu de substance physique qui les composent, d’atomes ou de molécules, de cervelles ou de méninges, ils ont un cœur, aussi infimes soient-ils. Un cœur qui palpite avec les éléments et qui conduit et pousse leurs sangs. Mais aussi leurs élans d’amour, sinon ceux de la sexualité reproductive, instinctive, bien ou mal comprise. C’est devant les plus petits insectes, les fourmis, les papillons et des vers à soie, que j’ai commencé à réfléchir et à composer mes premiers vers ! Je reste perplexe devant le miracle qui fait ce qu’ils sont. Et, c’était là, sur un terrain verdoyant sous la muraille du palais royal de Fès, là où j’ai perdu bien des ballons de foot. J’avais douze ans ! Merci grand-père, Bassidi Lafquih, pour l’argent que tu me donnais, à chaque fin de mois, pour en racheter !
EROS ET THANATOS.
Trois séquences comme images. La première. Sans dire son nom, il est venu chercher un tonique sexuel. Il me confie : ‘’ Son image et mon désir se réveillent et m’obsèdent. Je me suis rasé cet après midi, puis appliqué des rasades de parfums. Entre le travail nouveau, pour elle, le jeûne et les cours, qui la rendent moins disponible, va-t-elle se libérer ? Elle m’obsède et mon désir s’exacerbe. La force déclinante, la fatigue extrême, malgré le diagnostic rassurant de l’urologue, rien ne me fait faire changer d’avis ! Je suis venu vous consulter. Revenu chez moi, seul, je me suis rabattu sur le chocolat et les petits pains froids. Aidez-moi, Docteur ! J’ai un diabète et du cœur. Je ne veux pas la perdre, ni perdre ma virilité. Ni prendre ces comprimés bleus, à cause du cœur ! N’est-ce pas Docteur ?’’ J’ai aidé ce patient qui avait quelques regrets qui le freinaient ou l’inhibaient plus que l’âge. Mais, il s’en est mal sorti, cette fois. Il se doit de renouveler les conseils et les toniques prescrits.
La seconde image. J’ai vu le chat, galant et batailleur, poursuivre une femelle, la crier, la griffer, sous la voiture et la poursuivre. Elle le tentait et elle tentait de se sauver des ébats de ce macho de fauve ! Ses hormones féminines n’étaient pas au rendez-vous. Il n’a pas répondu à mes appels, se contentant de repartir, sans se retourner, en se ‘’déhanchant’’ du ventre, comme un de ces bourgeois ! L’orgueil des félins est d’une superbe ! Econduit, déçu des ses approches libidinales ratées, plus rien ne l’intéresse dans le commerce superflu, des hommes ! Il me nargue et continue son chemin, sans se retourner…
La troisième. Et puis là, sur le muret du voisin d’en face, qui vient de mourir, puis sautillant ensuite sur les fils électriques, ces merles qui virevoltent dans l’air. Un jeu de trapézistes où le mâle tente de béqueter sa noire femelle, en plein vol. Et puis voilà celle-ci de nouveau sur le fil qui étend sa queue en éventail. Un geste d’attirance, pour se sauver ensuite, plusieurs fois, des approches du mâle. Elle répète encore fois son scenario chagrin, avec un bagou insondable et une grâce, toute féminine. On reverra ça demain à l’aube, avec le roucoulement des palombes et les cuicuis de ces autres oiseaux dont j’ignore le nom.
DOCTEUR, JE SUIS REVENU…
‘’ Le coiffeur m’apprête, je me sens plus d’alois ! Je me rase à froid. On sonne à la porte, je me blesse. C’est un banquier ! Je pense à la recette succincte et aux dépenses décuplées par cette sorte de fiançailles.’’ Docteur, me dit-il encore. Vous êtes mon toubib depuis tout petit et là, mon confident, comme un psy !’’ J’en suis honoré, et alors ? ‘’ Et bien, non, je ne peux pas l’appeler. Je me dois d’assister à un repas mortuaire. Je ne peux pas m’y rendre, juste après un rapport, car il me faudra assister à la récitation du Coran. Et je n’aurais pas le temps de faire mes ablutions… Je ne vois pas comment concilier ce besoin de sexe et l’hommage au mort !’’
Eh bien, lui répondis-je. Vous avez votre réponse, à la prochaine quand vous aurez moins de contraintes. Je le peux m’immiscer dans ces nuances. Je suis profane en matière de fatwa religieuses !DEPUIS ADAM ET EVE,
Les bêtes ont moins de freins, je dois vous dire. Mais pour le sexe, ils s’entretuent. Le lendemain de ces pensées, il me prend au téléphone. Une consulte de sexologie par phone. Il doit me confondre ou me prendre pour une nouvelle application d’Apple ou de Samsung.
‘’Docteur, excusez-moi de vous déranger de nuit, c’est délicat et urgent. Je vous paierais cette consultation et vous me remplirez ma mutuelle pour me faire rembourser. Voilà, pour ma fiancée, je lui ai phoné pour demander de ses nouvelles. En fait pour obtenir un rencard. Elle était dans le bus et s’en allait à son cours ! J’ai discute après une dizaine d’appels, avec elle de ce mariage entre deux ministres islamistes, en fonction’’ Et elle a dit qu’entre adultes, elle admire leur courage et leur amour déterminé. Mais elle ne comprend pas la position de la première épouse qui serait allé demander la main de la ministre. Elle trouve ça élégant et bizarre ! Mais elle trouve curieux que le peuple s’en mêle ! Alors, bonsoir Docteur, heureux d’avoir eu votre avis ! Je passerais pour les papiers, avec ma fiancée, pour les certificats d’aptitude au mariage. Si je dois l’amener aussi pour le certif, ce sera à sa sortie du travail. D’accord ? J’espère que son nouveau patron, en rixe de ménage, ne fondra pas sur elle comme un vautour affamé…Elle m’a dit que c’était un être charmant. J’ai peur d’être berné avant de commencer sérieusement avec elle ! ‘’. Fin de consultation.
Leurs Abel et Caïn, ça ne va gentiment en amours. La terre, île flottante, éprouvette, berceau, mangeoire, cimetière, caveau et caniveau, cultive la vie en semant la mort. Le but de l’amour est de recycler les êtres et de voir leurs espèces interagir et prospérer dans le monde. Certaines évoluent d’autres s’effacent et se perdent. Eros féconde ce que Thanatos emporte. Ils trompent leurs victimes et se complètent en s’amusant à les faire vivre et mourir.
A LALLA AMINA,
Amina, tu es déjà partie. Tu vas rencontrer pas mal de gens que l’on connait tous deux. Tu vas les laisser seuls, dépenser leurs héritages. Amina, je t’ai vue inconsciente, alitée, immobile, tous tes membres étaient recouverts de vésicules putrides. Quelle patience, quelle force et quel courage que ceux de ta fille qui t’a soignée et t’a veillée durant de longues années d’Alzheimer et d’hémiplégie !
Amina. Je me souviens de toi, comme ancienne patiente. La mort est une bataille avant d’être une libération et un soulagement. Si les survivants regrettent les partants, ceux qui sont partis ne ressentent plus rien. Et c’est là que le bât blesse ! Par anticipation, on regrette la perte de mémoire et le néant où versent ceux qui sont partis. Reste l’espoir pour ceux qui croient en l’Au-delà, en levant les yeux, vers l’univers ? On peut croire qu’ils ont raison, car c’est positif et plus réel que le pari de Pascal.
Amina, tu es déjà entre les mains d’Allah ! Il va en avoir du boulot avec ces carnages et ces corps déchiquetés. Ressusciter des zombis est-ce aussi facile ? Et mettre ces fanatiques sanguinaire, des camps opposés, ceux des mêmes religions et de leurs sectes, qui s’entretuent, au même Paradis, ça va être un vrai enfer ! Des Croisades à la reine catholique des Ibères, puis toutes ces guerres….Ces malades aux corps débilités, ces enfants avortés, ces terriens et ces êtres des autres sphères. Quel sacré boulot pour le divin Père !
LA MORT, LES CARNAGES ET METEMPSYCHOSE
Amina, tu es enfin libérée d’un corps qui n’en pouvait plus. Alors que tu partais, 35 enfants sont morts sur une route, 400 africains se sont noyés en allant vers les côtes de l’Italie. Des centaines sont laminés chaque jour, qui en Afrique, qui au Moyen-Orient. On se liquide entre factions religieuses et tribus des mêmes états et entre pays frères. Qui aux explosifs, qui au phosphore, qui au pistolet, qui à la hache et au couteau. Qui l’on pend, qui on brûle en cage ! Qui lors des prières en grand nombre, qui en bus ou devant un musée, une banque, un journal ou une superette kacher. Qui en hôpital, qui en classe ou en dormant. Rebelles contre l’ordre établi, à en mourir et à tuer sans grâce. Révoltés contre les tortionnaires et leurs maîtres prédicateurs. Révolutionnaires, pour leur simple usage pacifique des libertés ou pour avoir été bernés et été utilisés. Exploités comme les mercenaires de puissances occultes qui veulent exploiter la région et la briser surtout. A cause des egos hypertrophiés, des haines raciales et des peurs ancestrales
Amina, peut-être vas-tu revenir selon ton karma ? Ici ou aux Indes. Dans un an ou dans un millénaire. Le but est de te refaire. Sous les traits d’une princesses ou d’une ouvrière, d’une vache sacrée ou d’une guenon blonde, dans un temple brahmanique au milieu d’une forêt ! Mais, comme une dame, c’est mieux. C’est ce qu’on croit. Adieu, Lalla Amina !
KENITRA, LE 19 AVRIL 2015, DR IDRISSI MY AHMED,
Ce matin, 700 morts noyés africains sur le Stix et l’Achéron qui nous séparent de l’Occident. Ils rejoignent ceux qui sont partis du fait des meurtres, des accidents, des guerres et des bombardements.
Dossier de presseRencontre sur la thyroïde le 21 mars à Casablanca
La glande thyroïde : un petit volume mais un grand rôle
Le poids normal de la glande thyroïde ne dépasse guère les 30 grammes, pourtant sa fonction est primordiale. Elle agit principalement sur le cerveau, le cœur, le tube digestif, la peau et les muscles et régule toutes nos fonctions énergétiques. La thyroïde produit des hormones dont le taux est régulé par la TSH (thyroid- stimulating hormone) sécrétée par l’hypophyse.
L’acquisition des connaissances sur le rôle de la thyroïde n’a pas été facile à travers l’histoire. Il est resté mystérieux même jusqu’à l’époque de la renaissance où on supposait qu’elle servait de lubrifiant et d’humidificateur du larynx. Il fallait attendre 1910 pour que la Thyroxine (T4) soit isolée par l’américain Kendall, et ce n’est qu’en 1927 qu’on a pu réaliser sa synthèse chimique.
Les dysfonctionnements thyroïdiens : une pathologie de la femmeLes troubles thyroïdiens atteignent l’aspect de la glande ou dérèglent sa fonction. L’hypothyroïdie, caractérisée par un manque d’hormones thyroïdiennes, touche jusqu’à 2% de la population en majorité des femmes (jusqu’à 10 fois) souvent dans un contexte familial et surtout après 5O ans. Une chute des cheveux, une sécheresse et un écaillement de la peau, une fatigue avec de la lenteur et une intolérance au froid sont parmi les symptômes les plus communément associés à cette affection.
Les causes de l’hypothyroïdie sont nombreuses, mais la forme la plus courante est liée à la thyroïdite de Hashimoto, une affection auto-immune où l’organisme produit des anticorps qui détruisent le tissu thyroïdien. L’hypothyroïdie peut être induite par certains médicaments (amiodarone, lithium) et évidemment par l’ablation chirurgicale de la thyroïde. Elle peut aussi être congénitale concernant 1 sur 5000 naissances et devant être dépistée à la naissance afin d’éviter des répercussions irréversibles sur le cerveau du bébé.
L’hyperthyroïdie touche jusqu’à 1% de la population et 10 fois plus de femmes que d’hommes. Des palpitations, de la nervosité, une perte de poids, une sensation de chaleur excessive avec une transpiration accrue, une exophtalmie en sont les signes les plus révélateurs.80% des hyperthyroïdies sont d’origine auto-immune en rapport avec la maladie de Basedow. Cette affection survient lorsque le système immunitaire produit des anticorps qui stimulent la glande thyroïde
Tous ces dérèglements thyroïdiens interviennent le plus souvent chez les femmes à un moment charnière de leur activité génitale. La grossesse, la période qui suit l’accouchement et la ménopause sont des périodes à risque thyroïdien.L’iode : un oligoélément vital à la thyroïde
L’iode est indispensable à la thyroïde pour produire ses hormones. Les besoins journaliers en iode augmentent au cours de la grossesse et l‘allaitement. Mais, seules les algues et la morue fraiche en contiennent une quantité importante. Les œufs, les crustacées, les haricots verts en contiennent beaucoup moins.
Dans tous les pays de culture occidentale, le lait et les produits laitiers transformés constituent la première source alimentaire en iode du fait de la généralisation des aliments minéraux et vitaminés dans l’élevage. Dans ces pays, l’iode apporté par le sel iodé domestique ne contribue que de façon très marginale à la couverture des besoins en iode.
L’excès en iode n’est cependant pas souhaitable, il peut également perturber la glande.La thyroïde et le Maroc : de grandes avancées mais encore beaucoup à faire
Le Maroc est situé dans une zone de carence iodée modérée. Une enquête* réalisée en 1993 a révélé que 63% des enfants âgés de 6 à 12 ans avaient un déficit en iode et 22% avaient un goitre. Depuis, un programme d’iodation du sel alimentaire a été mis en place et des textes réglementaires rendant obligatoires l’iodation du sel ont été adoptés en 1995 et révisés en 2004. La vente du sel non iodé est officiellement interdite par la législation marocaine.
Néanmoins, après 10 ans d’instauration de la politique de la consommation du sel iodé, une étude ponctuelle menée en 2003 sur 326 enfants a révélé que seul 6% avait un statut iodé satisfaisant**.
En outre, l’hypothyroïdie congénitale n’est pas dépistée systématiquement, elle est la principale cause de retard mental évitable dans le monde. Sa prévalence au Maroc serait 20 fois plus qu’en Europe. Depuis 1996, Il y a eu plusieurs programmes pilotes et essais de dépistage, mais non encore de dépistage systématique obligatoire, ainsi qu’une sensibilisation à large échelle des médecins.
De nouvelles techniques innovantes ne sont pas disponibles au Maroc utilisant un robot piloté par le chirurgien et un accès à la thyroïde ne laissant qu’une cicatrice invisible, sous le bras du patient ; ainsi que l’utilisation d’un système de monitoring des nerfs des cordes vocales pendant l’intervention qui permet de limiter les conséquences de l’opération sur la voix des patients.
Références :*Chaouki N, Otmani S,Saad A, étude de prévalence des troubles dus à la carence en iode chez les enfants de 6 à 12 ans. Bul. Epidém. Maroc. 1996,17 : 2-19.
**Bousliman Y et al, Médecine du Maghreb, septembre 2011, N°189
Casablanca, le 26 mars 2015
DR Khadija Moussayer, Spécialiste en médecine interne et gériatrie,
Présidente d’AMMAIS******************************
Recommandations de la première rencontre clinico-biologique sur le thème ‘la thyroïde, une glande au centre du dialogue interdisciplinaire’
Appel à de nouvelles stratégiesL’association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques (AMMAIS) présidée par Dr khadija Moussayer et l’association marocaine de la biologie médicale (AMBM) présidée par Dr Hicham Ouazzani ont organisé avec le soutien des laboratoires Roche Diagnostic le samedi 21 Mars à Casablanca la première rencontre clinico-biologique sur le thème ‘ la thyroïde : une glande au centre du dialogue interdisciplinaire’
La thyroïde est une actrice essentielle du système endocrinien, et ses troubles sont un véritable enjeu de santé publique. Leur fréquence ne cesse d’augmenter depuis quelques années.
Parmi les principales recommandations issues des débats, l’ensemble des intervenants et des participants sont unanimement d’accord sur :1/ l’importance d’un apport optimal en iode. L’iodation du sel alimentaire est une mesure adoptée depuis plusieurs années au Maroc, mais la carence en iode reste fréquente. De plus, du fait des recommandations de l’OMS sur la limitation de la consommation du sel, des alternatives doivent être proposées comme l’enrichissement de l’eau, du pain, de l’huile ou du lait.
2/ la nécessité du dépistage systématique de l’hypothyroïdie congénitale chez tous les nouveau-nés car ses manifestations sont peu évocatrices en période néo-natale.
3/l’élargissement de la pratique de la cytoponction thyroïdienne devant tout nodule thyroïdien et cela avant l’acte chirurgical sur la thyroïde. Des opérations peuvent être inutiles si elles sont effectuées uniquement sur la base de la taille du nodule et son caractère froid à la scintigraphie.
Casablanca, le 26 mars 2015
DR Khadija Moussayer, Spécialiste en médecine interne et gériatrie,
Présidente d’AMMAIS******************************
Première rencontre clinico-biologique sur la thyroïde
L’association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques (AMMAIS) en partenariat avec l’association marocaine de la biologie médicale (AMBM) et avec le soutien des laboratoires ROCHE DIAGNOSTIC ont organisé le samedi 21 Mars à Casablanca la première rencontre clinico-biologique sur le thème ‘ la thyroïde : une glande au centre du dialogue interdisciplinaire’
Ont pris part à cet important événement de très nombreux participants, des médecins généralistes et de différentes spécialités : endocrinologues, internistes, gynécologues, ORL, pédiatres, chirurgiens, radiologues, anatomopathologistes et des biologistes ; ainsi que diverses catégories des professionnels de santé.Les dysfonctionnements de la glande thyroïde touchent plus de 10 % de personnes dans le monde, et des nodules sont présents chez plus de 50 % de la population si l’on considère les plus petits d’entre eux. Ce colloque a été l’occasion de faire le point sur les derniers développements de leur prise en charge ainsi que sur les défis à relever au Maroc, notamment en matière de systématisation du dépistage de l’hypothyroïdie congénitale, et de généralisation de la cytoponction des nodules avant le geste opératoire sur la thyroïde.
Au cours de cette journée, science du diagnostic et biologie se sont étroitement conjugués. Dr Edouard Ghanassia spécialiste en endocrinologie en France et auteur de plusieurs ouvrages sur la question a éminemment dénoué la problématique de la prise en charge des nodules thyroïdiens ainsi que celle de la gestion des hyperthyroïdies. Le Pr Saliha Chellak, spécialiste en biologie a souligné quant à elle l’importance du dosage de la calcitonine comme importante mesure du diagnostic du carcinome médullaire devant un nodule thyroïdien. A la fin des exposés, un très riche débat s’est engagé avec les participants et de très précieux éclairages ont été apportés par le Pr Amina Barakat, chef de service de médecine et réanimation néonatales et coordinatrice de la cellule de prise en charge des cas d’hypothyroïdie congénitale dépistés, et le Dr Hamdoun Lhassani, endocrinologue et membre du groupe marocain d’étude de la thyroïde (GMET).
L’événement a été couronné par la présence du Dr Laila Acharai, chef du service de protection de la santé de la mère et coordinatrice du programme national de dépistage de l’hypothyroïdie congénitale. Elle a éclairé l’assistance sur les travaux effectués par le ministère pour prémunir les nouveau-nés des sérieuses conséquences de l’hypothyroïdie congénitale non dépistée.
La journée a été entamée par une allocution du Dr Hicham Ouazzani président de l’AMBM, qui a mis en exergue l’importance de ces rencontres clinico-biologiques. Dr khadija Moussayer, présidente de L’AMMAIS a prononcé les recommandations de la journée et notamment la nécessité d’un apport suffisant en iode, du contrôle systématique du fonctionnement de la thyroïde des nouveau-nés, et de n’opérer un nodule thyroïdien qu’après la pratique d’une cytoponction.
Des outils performants et des compétences médicales sont maintenant disponibles au Maroc pour atteindre ces objectifs, le colloque a été l’occasion d’un dialogue multidisciplinaire et consensuel sur les pathologies thyroïdiennes pour les mettre en oeuvre.
Casablanca, le 26 mars 2015
DR Khadija Moussayer, Spécialiste en médecine interne et gériatrie,
Présidente d’AMMAIS
Les hauts de sur le cœur ou les rancœurs insatiables.INTRODUCTION
J’ai un ami, façon de parler, car comme membre actif du FN ses mots acerbes enclins au racisme pur et dur le plus transparent, voici en substance ce qu’il pense des relations Nord-Sud. Un monologue administré comme un sermon dirigé et indexateur qui laisse à peine percevoir les répliques de son interlocuteur.
En fait, il parle sans violence même s’il fait mal à tous ! C’est d’un naturel génétique, , impénitent et dénégateur. Dialogue messianique critique des religions, des races, des noirs, des arabes et des past-colonies. Le ton est un peu dur et précieux, au vu des dernières attaques terroristes, des guerres éclatées, nées ou imposées au Maghreb et au Moyen-Orient.
CHAPEAU : LA POLEMIQUE
Il commence ses vomissures par ces mots : Edulcorons les religions sémitiques, pour plaire au Ciel et à ceux du bas ! Et qu’elles nous servent pour les encadrer, les occuper par leurs guerres civiles, et à les tolérer ! Ce, tant qu’ils nous servent encore. Rêves de civilisés : Par charité et altruisme, débarrassons les pays en voie de développement de la pratique des religions et des mœurs et pratiques qui ne suivent pas la démocratie.
Il continue.LE TEXTE
Des cauchemars que ces demeurés, des paresseux et des filous ! Surtout depuis qu’ils optent pour le terrorisme. Des lâches attardés qui ne pourront jamais aligner une armée technicisée ni puissante, face à nous, réunis. Ces ingrats n’ont pas su profiter des leçons qu’on leur a inculquées dans le passé ni des avancées qu’on leur a permises.
Je reste perplexe, mais j’écoute. Quels profits avons-nous tirés de ces bestiaux et hermétiques barbares et de leurs cruautés sanguinaires ? Notre but, en les pénétrant, si noble d’ailleurs, n’était pas de profiter d’eux de façon stérile et unilatérale, mais de les former et de les aider à nous aider, pour exploiter ensemble, leurs mimerais et leurs terres !
C’est ainsi que nous avons fait des émules qui nous regrettent encore et qui plaignent et regrettent leurs indépendances ! Ces leurres, factices en fait, qui nous libèrent de leurs contacts directs, préférant les administrer à travers leurs cerbères et leurs matons !
Les autochtones avisés, ces indigènes réalistes, pleurent nos départs furtifs. Ils ont repoussé leurs us fossiles et leurs religions rétrogrades pour adopter les bonnes nôtres. Ces valeurs modernes auxquelles s’attachent nos identités supérieures. Ce sont pour te les rappeler lecteur, la démocratie, les droits de l’homme, la laïcité, l’universalité et l’ouverture (unilatérale !) des frontières. Toutes vos frontières dans le bon sens du nôtre, sans visa, pour les marchandises et les gens.
De l’Orient en Amérique, en passant par l’Afrique, nous avons conquis le monde et réveillé les peuples de l’archaïsme végétal où ils pourrissaient comme réserves d’esclaves, et pour ceux rares, qui furent civilisés, nous les avons arrachés de leurs sommeils moyenâgeux et millénaires.
Pour ma par, je reste perplexe et désolé. Il en est qui, forts de leur culture, la nôtre évidemment, nouvellement acquise sur nos bancs, ont remis leurs langues oubliées à l’endroit et leurs droits et à l’heure de la mondialisation, pour les faire enseigner chez eux, deux millénaires après leur disparition de la terre !THESE
La démocratie est notre religion et notre morale, même si elle bouleverse leurs rites et leurs sobres et étroites valeurs ! Ce n’est pas péjoratif, c’est réel seulement, par respect pour leur orgueil. Primitifs ou primates avancés, alors que nous avons vieillis, ils ont tout l’avenir pour eux afin d’évoluer sur la sphère. Si elle n’a pas été rasée ou pété d’ici là !
Dès lors, il vous faut décoraniser* vos livres et leur enseignement traditionnel. L’originel, comme vous dites, et ce pour vous déculpabiliser à nos yeux. Dégommez les phrases guerrières, raclez les mœurs éculées de leurs rigidités féroces et de leurs valeurs forcloses. Descendez des arbres, cassez les branches pourries, cessez d’écrire sur les murs et sortez de vos grottes.
Ah bon ! Là, il s’adresse à moi, en homme des cavernes. Il faut penser que cette peau de tigre (du vrai zèbre) et cette crinière de lion me vont bien. Et plus, il voit l’humanité simiesque, encore accrochée aux arbres exotiques, ou édéniques dont elle descend !
Et mieux encore il ordonne au milliard et plus d’un demi que nous sommes de revoir nos livres saints, la Bible pour commencer. Les corriger, en sauter des pages ou des passages dits bellicistes? De simple défense de soi, en fait. Sauf que là, il faudra demander à celui qui les fait ! Les mettre à jour, en revoir les sens, en replaçant les mots et les préceptes dans leur historicité…
Je le laisse dégouliner. Je ne sais pas ce que tu marmonnes ! Je continue. Ainsi, nous les parrains civilisateurs, maîtres incontestés du monde, attendons avec fierté que vous révisiez vos versets archaïques et vos mœurs puritaines. Que vous ôtiez ces impuretés ethnocentriques d’abord, ces aspérités déroutantes et toutes ces pages vindicatives que vos brûlots de livres, dit-saints, véhiculent et qui ne sont que des slogans meurtriers et de l’intox violente !
Vous osez porter des signes distinctifs de vos balivernes, de vos crédos risibles, pour nous irriter. Et vous nous blâmez ensuite de tenir à notre laïcité républicaine et de défendre notre patrie, alors que vous mettez en danger de conversion nos jeunes et nos femmes à vos vêtements offensants et votre islam déplorable….
Pitié, votre honneur et maître FN ! Vous nous avez chassez de vos pays, que venez vous faire encore ici ? Vos livres vous servent de propagande guerrière et de supports pour endoctriner les jeunes et fanatiser les zélotes. Ces criminels, quel que soit le hadj qui les pilotent, aveuglés par de fausses promesses édéniques, ne sont ni des hommes ni des martyrs. Mais des assassins ! Ces bombes in-humaines, sont les éclats de votre intelligence bornée, abusée et dévoyée, le symptôme définitif de votre fanatisme extrême. Ce sont les victimes crédules et hallucinés de votre prosélytisme, criminel sans frontières.ANTITHESE
Pitié maître FN ! Ils ne le savaient pas. Je vous promets qu’ils ne recommenceront jamais ça de leur vie ! Bof ! Ces conduites, ces menées misérables et sans conséquences sur le terrain, sont les batailles des lâches de la 5ème colonne. Inégales, préhistoriques, elles surviennent 15 siècles après les Croisades. Périmées, elles sont inopérantes et vaines ! Appliquées avec ce dogmatisme fanatique qui est le vôtre, cette rigueur intolérante, cet extrémiste elles sont plombées. Elles n’augurent aucun résultat ni espérance. Les affidés, les adeptes, extrémistes et étroits, ensanglantent la planète. Sans résultats autres que l’horreur misérabiliste ! Terroristes passionnels, en révolte par surenchère, ils éclaboussent de parjures et de crimes, vos propres livres, mon ami. Ces livres que vous prétendez saints et dont ils ne comprennent même pas correctement les sens, sont à réviser, à relativiser. Et vous, non plus, ni mieux qu’avant, saurez vous le faire ?
Là, mon ami, hébraïques sépharade d’Europe, cadre du front national semble me défier et me donner une perche !
Attends, je continue. Cette vision confuse de vos livres sacrés et de vos combats terroristes est si malheureusement et si gauchement exprimée, que ça laisse comme une pitié. Une déception, chez vos ennemis antiques et chez vos adversaires modernes.
Aie, il mord là où ça fait mal !
Ces visions, disais-je, hé bien, elles montrent et démontrent les travers, vos travers, ce que vous pensez évidemment et ce que vous tentez de vulgariser et de professer. Confusions, contradictions et paradoxes, des amalgames et des contre-vérités historiques, qui compliquent l’entendement. Et que nous tous en retour, Peuples élus s’il en est, nous méconnaissons et nous ne partageons guère.
Incompréhensions, discriminations, en sont les causes ! Vous alliez dire ça, lecteur perplexe ?
Les terroristes ont tort ! Et combien même, ils les pousseraient à la sédition ou à la sécession pour refaire les frontières plus opportunes et plus propres, avec moins de bellicisme de groupe face à l’îlot démocratique d’Israël. Les terroristes ont tort, même quand ce sont les grandes puissances ou des états forts qui manipulent ces gens…PROTHESE
Mon FN d’ami vise-t-il les States de Bush et d’Obama ? Les Emirats turbulents ou à l’Arabie des rois mages ? A qui pense-t-il en fait, quand il agite le spectre des peurs ? Aux industriels qui fabriquent en masse les armes et qui manigancent ou suscitent des guerres pour les vendre ? Oublie-t-il les armes de dissuasion massive ? Mais, il obvie de dire qui a inventé ces joujoux en se dotant du nucléaire ? Cette option-là est faite pour inhiber les états turbulents, les peuples revanchards et les fous de Dieu. Vrai et nécessaire d’empêcher, par tous les moyens, la guerre y comprise, d‘acquérir ce type d’armements. Peu importe si ça empêche les plus avancés d’accéder au degré de développement et de respectabilité que ces gadgets induisent ! Le FN continue avec véhémence sa sadique et insatiable soliloquie.
Là, il me fixe sans pudeur, me dévisage et semble m’indexer pour me responsabiliser. Il vous faut, Môsieur le Malgrébin*, des termes nouveaux pour parler des actes infâmes et traduire en mots leurs mensongères cruautés …Termes et actes, des motifs de guerres ou de paix, selon nos concepts et à nos conditions, il est vrai. Cessez donc, de nous faire peur avec votre livre et votre dieu !
Il est allé pisser le FN, après avoir tellement vomi ! Je pensais en moi-même ceci. La race des seigneurs veut la paix. Leur fédération, libre et multiple, reste unie sur ce principe de paix, malgré la monstruosité de ses guerres bilatérales antérieures et des guerres mondiales successives. Auto-protégées, elles restent en paix en dirigeant les guerres. Des guerres qu’elles allument et induisent et qui les protègent en alimentant leurs affaires ! Elles bombardent de loin, sans se mouiller, cures chirurgicales pointues, quand les indigènes, indigents désarmés, égorgent leurs otages et les leurs.
Je pensais à l’intérieur de moi-même ceci. C’est de la cœliochirurgie*, de la microchirurgie militaire. Des guerres propres, sans bavures collatérales, sans verser nulle goutte de sang des leurs en vendant des armes aux belligérants ! Et peu importent les dégâts collatéraux sur les hôpitaux et les écoles. Ça fera moins d’apprentis suicidaires ! Un vrai jeu de tablettes ou de computers! Un théâtre sur télécommande, avec ses politiciens et ses psychologues, ses financiers et ses militaires. Et bien sûr, ses meutes d’investisseurs pour reconstruire les villes et les infrastructures détruites, ‘’pieusement’’ détruites.
Je pense à ces camps d’exclus, d’apartheids en périphérie des villes sanctuaires ! Et leur supposé lavage sarkosien au karcher. La stratégie des couches riches post coloniales, est faite d’exclusions dans les marais des canaques et de marginalisation sévères dans les bas quartiers, de ces honteux indigènes…..SYNTHESE
L’ami du FN reprend son souffle. Ces infâmes indigènes sont venus voler le boulot des nôtres, piller la sécu, bouffer la croûte et la mie blanches de nos bons chrétiens !
Pour ma part je me remémore leurs mots durs et qui sont autant les symptômes acerbes de cette maladie si propre aux tenants de l’identité supérieure. Une litanie faites des mots et de préceptes, des idées fixes et des versets, tels ceux que j’entends mon compadre du FN réciter comme des automatismes.
Le perroquet qui aboie si bien en FN majeur, prend un cigare et se tait. Comme pour chercher d’autres idées ou s’en convaincre, il met ses doigts libres sous sa joue et se frotte sa barbe sel et poivre. Il regarde par la fenêtre les ruines du restaurant Argana que des maâlems sont en train de restaurer après son dynamitage.
Voici des vérités que je reprends et que le copain du FN avoue comme un constat. Je repense à ce bellicisme atavique primaire des bien-nés et qui est le sien, exacerbé par sa torve duplicité sémitique qui le porte si haut. La naturalisation est un procédé louable et un système de redéfinition et d’identification naturel. Les commensaux de la franche république s’éclatent en lobbies divers. Une autodéfense communautaire et identitaire, les relie comme un ciment. Elle est sincère et brave pour la plupart. Les adeptes de la supériorité ethnique en font leur vraie religion. Ce qui les rallie plus que la religion, plus que la laïcité, c’est le culte de la suprématie raciale. Ils campent dans leur prépondérance historique, biblique et coloniale. Suprématie financière, commerciale, culturelle, enfermement technique, étanchéité civilisationnelle, cristallisation et enkystement.DISCUSSION
Le féroce FN reprend sa plaidoirie. Cet isolement est le nôtre, cette isolation en fait préventive. C’est une séparation tactique antiseptique, une marginalisation sécuritaire prophylactique qui emmure des deux côtes ! On ne peut pas et on ne veut pas aller chez eux ! C’est leur bantoustan et leur chasse gardée. Ce n’est pas comme vous dites une exclusion ni un fait d’apartheid. Ce cirque est un zoo vivant auto géré par ses dégénérés ! Ces quartiers barbares, mis hors circuit de l’histoire et de la géographie, se sont isolés d’eux-mêmes du fait que leurs habitants ne sont pas des nôtres. C’est clair !
Oui, c’est très clair ! Les émigrés venus de l’étranger se morfondent sur leurs sorts et pas seulement les émigrés. C’est une impasse culturelle, économique et raciste, pour leurs enfants, dopés de par la haine.
Le FN d’ami exulte et reprend sa propre autodéfense. Nous ne sommes pas les seuls xénophobes de la terre. Pourquoi fuir cette double responsabilité et cette raison de vivre et de vouloir persister nous-mêmes et chez nous. Je trouve là que c’est une éthique et une conduite, perverses, sournoises et arrogantes de nous reprocher nos selfs défenses. Si ces ‘’bavures’’ comme vous dites, enferment les gens d’Europe dans des conduites et des positions, cyniques et cruelles à fois, c’est ainsi. Nous au FN, nous l’assumons et nous vénérons ceux qui comme nous en Europe, ne veulent pas se laisser envahir ni dévaster par les couleurs et se laisser dégénérer par des genres ‘’ discutables’’ !
Et voilà que le pisseur du FN revient à la charge pour continuer son jet et sa conférence didactique. Il va parler des demi-dieux….
Je vois pour ma part, que ce qui dérange les étrangers, les envahisseurs, vous en fait, ne laisse ni confusions ni regrets chez nous, les ‘’hommes supérieurs’’, qui sont ici, chez eux ! Que chacun reste maître chez ses pénates !DELIBERATIONS
Nous sommes de parmi les gens du monde, de ce monde, les plus riches, les plus forts, les plus avancés des humains. Nos cultes et nos professeurs enseignent des vérités, des principes, des modes et des modèles à suivre, mais aussi des devoirs aux gens et des obligations qu’ils se doivent d’observer envers les nôtres. Les autres, les vôtres, hé bien, ils appliquent le contraire à aux couches débilitées des leurs.
Pauvres serviteurs, me dis-je, ces hommes, modèles-réduits, sont manifestement pour les heureux Européens des infrahumains. Ils les emprisonnent dans leurs réserves de chairs à l’intérieur des frontières qu’ils ont dessinées. Ils avaient cédé la main aux administrateurs devenus mercenaires ! Les cités-ruches, logent dans leurs quartiers suburbains, les assujettis et les subordonnés. Les Europatrons des métropoles les dirigent indirectement par injonctions et par directives à leurs élus. Les maîtres, gardiens des pantins dégénérés, sont des chefs vassalisés. Les satrapes et les tyrans, les gardes chiourmes de leurs débiles et amoindris congénères.
C’est révoltant monsieur du FN ce que vous défendez comme vertu sui generis de votre race ! C’est à croire que les clanismes ethnocentristes, les religiosités diverses et les barbarismes universels, ne sont rien à côté de votre éthique survoltée de surhomme raciste.
Monsieur le Mauresque, la faune humaine que vous défendez et dont vous êtes jaloux n’est pas encore sortie de sa bestialité.CONCLUSION
Larges comme des cités dont on vide les vies, c’est chaque jour que des autels sont allumés aux dieux voraces, de part et d’autres des frontières. On les formate on les ligue, pour appliquer des dictats ! Des prescriptions, des ordres et des injonctions. Si ce ne sont pas des religieux, qui colonisent le pouvoir à partir du temple, ce sont des hommes politiques, plus voraces, qui vendent comme autant de préceptes divins, leurs promesses électorales.
Dr Idrissi My Ahmed, le 01 Avril 2015
CATACOMBES PHLOGISTIQUES : LES HAUTS DE SUR LE CŒUR OU LES RANCŒURS INSATIABLES.
LA QUERELLE DES AVORTEMENTS, OU L’ETAT DES DIEUX ET LA VALSE DES SENTIMENTS
Santé : Le Dr Chafik Chraïbi démis de ses fonctions…
http://www.quid.ma/societe/sante-dr-chafik-chraibi-demis-ses-fonctions/
Comme réaction à chaud à cette pathologie endémique de la santé publique que sont les avortements, là où brille notre schizophrénie de marocains, toute emprunte qu’elle est de respectabilité affectée et de tartuferies vraies. Au milieu des contradictions, quelle est mon opinion, au juste ?HUMEURS DEPRIMEES ET CHOCS THERAPEUTIQUES
Que représente le fait de cureter un gynéco, un seul, et de le luxer de sa matrice ? L’évincer de son service et de ses pénates ? Ce, quand on est capable de mater et de formater tout un Secteur de la Santé !
Aux fins de galvan-iser ledit secteur privé, le ministre PPS a libéralisé aux non-médecins la création de cliniques médicales. C’est un néo-secteur, une avancée et une évolution…
C’est aussi une sanction des dérapages de certaines cliniques, qui affecte la moitié du système de soins. Les médecins privés, qui ont été cultivés, façonnés, formés pour ce faire ont dépassé leur bonne réputation.
Mais, il faut bien ouvrir les vannes de la mondialisation si on veut respecter nos amis étrangers ! Le Maroc n’est pas un marché fermé, obsolète, ni une réserve de chasse, réservés à une seule classe, à un seul pays du nord, une seule puissance !
Pas de privilèges aux médecins ! Si aujourd’hui, ce sont les médecins qui casquent, demain ce sera le tour des avocats, des pharmaciens, des architectes, qui connaîtront de pareilles évolutions et ouvertures au grand capital local et étranger !
BEANCES DU COL ET DES FRONTIERES
Pas de protectionnisme si on veut servir le Peuple ! Ce sont les ministres courageux qui créent les événements et qui font progresser leurs nations, quitte à défier les leurs et leur sclérose. Le ministre, courageux et fort, nettoie les Ecurie d’Augias, en commençant par son propre Secteur et sans être intimidé par ses confrères. Malgré les efforts et les réussites nombreuses et avérées, devant la déliquescence des hospices de la santé, il n’y a de place pour nulle tendresse, compromission ou népotisme. Pas de pitié pour les crâneurs, fussent-ils des collègues ou des leaders !
Montrer nos défections aux étrangers, dans leurs chaînes et satellites est pire que les caricatures de Charlie. C’est une délation qu’il faut griller dans sa cage. Nous sommes mieux que ça ! Le Ramed, l’Amo, les médicaments, 1500 spécialités, moins chères. Demain, si le Ministre de la Rose se rappelle et nous écoute, d’autres médicaments seront détaxées, sans taxes de Douane ni de TVA !
Parallèlement, de grands capitaux viendront ouvrir des espaces, aussi vastes que ces cliniques, pour servir les marocains. Même dans les zones éloignées et désertiques, au lieu d’asservir les usagers à ces fascistes libéraux, communautaristes et excessifs à la fois. A leurs tarifs et passe-droits !
LE PATRONAT LIBERAL, UN PLACEBO
Le principal est que des professionnels soient compétents, libres de s’exécuter et d’exercer leur profession comme leur métier humanitaire, sans contraintes techniques, mais asservis aux capitaux. Ce, afin qu’ils ne soient pas, juges et partis, investisseurs et médecins à la fois ! Juges, avocats et procureurs, comme ils se targuent de l’être ou qu’on les aient vus ainsi le faire.
Un jour viendra où l’on vendra les CHU, dégriffés, aux capitaux privés, au lieu de les laisser se fatiguer à en construire ! Le cas des polycliniques CNSS est éloquent dans cette affaire. Des investisseurs salvateurs viendront faire la reprise des hôpitaux Averroès et Avicenne. Ce sera le lot des ressortissants des pays amis et de puissants investisseurs indigènes. Des banques et des assurances, qui les restaureront au mieux, pour leur donner plus de compétences, plus de modernité et de moyens encore, afin de servir les aspirations naturelles des clients !
CONFLIT ET LEGENDES HELLENES
Un médecin, s’il ouvre les ventres et les matrices, à bon escient, ne doit pas ouvrir les hôpitaux de la Santé à ces médias qui ne nous aiment pas, aussi étrangers et auto-permissifs, soient-ils.
La boîte de Pandore doit rester scellée et le Maroc n’est pas prêt de montrer ses défections ni ses retards, ni de libéraliser les avortements, même s’il libéralise la Santé au tout venant, qu’il soit bien racé ou local ! Nous ne voulons plus assumer ces honteux retards ni crier sur les toits des paraboles, ou vice-versa, qu’on fait de façons routinières des curetages abortifs, des avortements provoqués. Nous avons le droit de cacher nos hontes et nos imperfections. Et, nous professons que nous pratiquons, n’est-ce pas, des curetages, légaux et médicaux, pour sauver les mères, selon des indications religieusement acceptées et tout à fait, légales.
Néanmoins, ce forcing inter professoral est fameux. Il est une première, un combat inégal, entre Titan et gladiateur. Il représente un dommage pour la confraternité, me semble-t-il, et un dommage collatéral pour les futurs médecins ! Ils n’auront plus de tentes pour se protéger ni de sanctuaires pour se refugier. Le serment d’Hippocrate, ni la collégialité, ne vous protègent pas des ministres en colère. On a même vu un ministre, dégommé, pour une simple pluie dans un stade, qui a trop bu !
REANIMER OU ANESTHESIER ?
Le Premier Réanimateur du royaume se permet de réaliser un punch, une estocade, qui rend la ruade aussi dure qu’un KO, hors combat. Ce n’est pas du cynisme, car il est vrai et notoire que le professeur du Rif est bien plus célèbre que l’obstétricien et l’avocate réunis. Elle, la douce fassie, qui malgré sa féminité, a su mater la marche des 3000 blouses blanches, qui étaient venues la haranguer et la harceler, près de son propre ministère !
Nous serons heureux d’apprendre, que le ministre-doyen et professeur notoire, qui est vigoureux et dynamique, respectera l’autorisation de son homologue PJD de la Communication, que détiendrait le gynécologue évincé de façon surprenante et cavalière. Mais, il est du droit du ministre d’être l’Ulysse sur son navire et de ne pas céder à la tchatche des sirènes, fussent-elles les masculins marins de son équipage. A tort ou à raison, il est le maître responsable de son portefeuille et le commandant, nous le croyons, de son bateau !
VERS LA LIBERTE D’EVOLUER… AINSI SOIT-IL !
Même pas unis pour décrier la fonte, la vente, du deuxième Secteur, les syndicats ne sont ni unis ni suffisamment puissants pour défendre l’un des leurs et détendre cette atmosphère alourdie par les ténesmes du Ciel. Un climat délétère assombrit les confrères. Les épreintes du Maître de céans noient l’Obstétricien dans ses eaux territoriales et fœtales. C’est la rupture des membranes et des frontières. Le conflit académique et éthique et près rupture des …
Qui plus est, le ministre Louardi est compétent et tenace. Et, s’il apparait comme trop orgueilleux et fier, c’est inhérent à son prestigieux ADN ! Il est bien aimé et bien armé, dans une majorité qui frime de par sa grandeur numérique et sa taille, sa toute puissance, démocratique et électorale.
Or Chraïbi est un bon gars qui ne veut que du bien pour son pays et les siens. Une évolution sincère, par delà les problèmes sociaux qui structurent nos aléas libidineux et culturels. Ce sont nos femmes, seules, qui récoltent les fruits amers de nos problèmes sexuels. Dès lors, sans cynisme, un peu d’honnêteté nous impose d’enlever nos masques. Nous nous devons de ne pas faillir devant la terreur ni d’imposer la peur. Que cessent ces craintes qui nous infantilisent et ces nuages qui assombrissent nos horizons ! Les textes de loi doivent évoluer pour assainir nos us, afin d’écarter les dangers mortels et les pratiques illégitimes, qui nous oblitèrent et qui obstruent notre appel vers de réelles ouvertures libérales et plus de démocratie sociale. Amen !DR IDRISSI MY AHMED, KENITRA, LE 10 FEVRIER 2015.
APRES LE CONGRES DE MARRAKECH OU L’ON A PARLE DES DROITS HUMAINS….
LES TAXES SUR LES MEDICAMENTS,
OU DU DROIT DES PERSONNES MALADES A NE PAS ETRE EXPLOITÉES
PAR LE FISC DURANT LEURS SOINS DE MALADIES.Tout le monde peut tomber malade. C’est une occasion pour le bon marocain de parler et de penser aux pauvres, marocains. C’est une opportunité pour penser aux souffrances, au froid, aux pleurs, aux ratés, aux intempéries et aux grippes. Aux bronchites, oui, ça c’est pour les maladies de saison ou les moins graves.
Mais, pour les plus graves, les charges et les taxes sont impitoyables ! Même les caisses de maladie en souffrent en dernier ressort ! E, la Sécu nôtre, qui rembourse certains, partiellement, ou les hospices de la Santé, qui achètent matériel et instruments endurent, face aux taxes indirectes !
La session de Marrakech du 2ème Forum mondial des Droits de l’Homme, a parlé des enfants et des handicaps. Mais, il y des handicaps, que l’on sait, que l’on cause et que ‘l’on ignore. Le non-secours aux malades, les handicaps que l’on sème sur leur accès aux soins !
A Marrakech, on devait ouvrir un chantier proche ce ceux mis en exergue lors de ces journées mondiales. Celui du droit des personnes malades. Cela, au vu de leur exploitation par le fisc. Et pas seulement du fric à débourser !
Ce, face aux lois de leurs propre pays. On doit opérer une révision des concepts. Celui de la bonne gouvernance comme des conduites envers les malades. Tant à la lumière de l’INDH que des ‘’Richesses Immatérielles’’ ou de notre confrontation politique aux droits modernes universellement reconnus. Ainsi, on profitera des retombées humanitaires et des suites de cette magnifique rencontre de Marrakech.
Ces sont de nobles et modernes conduites que nous voulons acquérir et développer sur nos chantiers. Mieux, espérer pouvoir nous les appliquer ici, avant de les donner en parangons de la démocratie et de les exporter vers les pays émergeant et civilisés. Des pays similaires au nôtre.
L’un de ces droits, qui doivent être mondialement reconnus, est celui pour les personnes malades de ne pas être taxées durant leurs souffrances et leurs impotences.
Ces Taxes de Douane et de TVA sur les médicaments, les réactifs et le matériel, que le pays ne sait ni inventer, ni produire ni synthétiser, sont une iniquité monstrueuse. Inconsciente, insensible, absconde et des plus sordides qui soient. Pénaliser le malade qui souffre et exonérer celui qui est fort et sain est un paradoxe indicible et honteux. Alors que pas loin, au Maroc même, qui est à louer, on évite un tas de charges fiscales indirectes, au livre et au blé, qu’on importe comme à d’autres nécessités agricoles.
Les malades ne doivent plus être exploités fiscalement pour leurs maladies et ce durant leur incapacité nette de produire, par ces taxes sur les médicaments. Et autant sur le cursus des diagnostics et des soins. Que ce soit les taxes sur les médicaments, 24 %, que les nécessaire moyens et matériel technique de diagnostic, qui culminent eux, entre Douane et TVA, à 37 % !
Ce n’est bon ni pour les Partis religieux, qui ont les commandes de nos sorts, ni pour les partis démocrates, ni pis encore pour les partis de gauche, hélas !
Au Maroc, alléluia, on innove en fabriquant des lois au service des loups ! Des holdings extra-médicaux, qui seront envers leurs clients-patients, des juges et partis, des curateurs et procureurs, le tout à la fois. On se développe ainsi en vendant les dites ‘’Richesses Immatérielles’’. La maladie ! C’est une trouvaille, un objet de lucre !
Avant, c’était une mission, un magistère ! Voire un devoir communautaire, une action humanitaire. Maintenant, c’est un créneau criard ! Les Ulysses entrés, entrés aux commandes, lourds en sémillants milliards, en oublie l’industrie, les armes et les arts prospères, pour investir la Santé. Et ce sans délicatesse, ostentatoirement, , pour le profit seulement, sans qualificatifs professionnel. Il y a pour cela des : On s’amuse à innover en vendant la médecine libérale aux mercantilistes faméliques locaux et aux prédateurs étrangers. Vous verrez ! Parce que le ministère à ordre n‘a pas les moyens de faire mieux que l’offre des néo-impérialistes ! Je ne veux blesser personne, c’est un constat. Vous le savez. Question de montrer que le pays est ouvert…Béant, aux ultras ! La plus belle femme ne peut donner qu’elle a. Encore qu’il y ait des jaloux, nihilistes ou négationnistes ! Le Ramed est érigé en service louable phénoménal et il est loin d’être un ragued ?
Plaidoyer en faveur d’une abrogation des taxes sur les soins médicaux. Les ‘’ suites’’ sont est ici :
http://www.lopinion.ma/def.asp?codelangue=23&ref=2Et puis là :
http://www.libe.ma/Requisitoire-contre-un-gouvernement-qui-taxe-les-maladies_a56462.html
Dr Idrissi Ahmed, le 30 Novembre 2014,
KénitraCélébration de la Nuit des galeries
Publié le : 12 novembre 2014 – Driss Lyakoubi, LE MATIN
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Les deux artistes au féminin ont enchanté l’assistance grâce à leurs coups de pinceaux magiques.
Les deux plasticiennes ont en commun cette quête du sublime et du raffinement. Elles ont aussi cette capacité à réinventer un figuratif qui laisse une grande part à leur imagination. Mounia Idrissi aime à qualifier son travail de semi-abstrait. Ses œuvres sont le fruit de son imaginaire foisonnant. Son inspiration est enrichie par cet amour qu’elle voue à la science (théorie de l’évolution) et aux différentes cultures populaires. À titre indicatif, «La spirale de la vie» représente la terre et la mer. Ce tableau foisonne de symboles de sciences et de mythologies anciennes, comme le hibou. Cet animal est reconnu en Grèce antique pour sa grande sagesse et sa vigilance. À la nuit tombée, son vol présageait chez les Grecs une heureuse nouvelle. Son silence le rendait de bon augure, son apparition n’était funeste que lorsqu’il chantait. Pourtant, Minerve prit cet oiseau sous sa protection parce qu’il l’avertissait la nuit de tout ce qui se passait.
La seconde œuvre de Mounia est basée sur une technique mixte de collage sur toile et de peinture à l’huile. Dans ce tableau figure une femme paon. La plasticienne souligne, à cet égard, qu’elle se sent attirée par cette technique de relief et de suggestibilité. Selon elle, la technique est tributaire du thème proposé. En d’autres termes, un artiste n’est pas obligé d’être prisonnier d’une seule technique ou d’un seul courant. Il consacre également une grande part de son travail aux coutumes marocaines et à l’architecture traditionnelle nationale. À souligner qu’elle a exposé ses œuvres, le 21 mai 2014, à la galerie Nadira de Rabat. Elle a également organisé une autre exposition, le 20 septembre dernier, à la salle d’exposition de l’hôtel Tour Hassan de la capitale, dans le cadre d’un congrès de l’amicale des dermatologues de Rabat.
La nature morte et le ballet sont les deux thématiques principales de Hanane El Kebir. On constate dans son travail ce souci pour le détail et la perfection. Ses tableaux consacrés aux ballerines sont un hymne à la grâce et à l’élégance. Sa technique de peinture à l’huile au couteau rend son travail plus attractif et éclatant. Depuis toute petite, Hanane était fascinée par le dessin, mais son arrivée sur la scène publique artistique date d’il y a à peine trois ans. Le déclic pour la peinture s’est produit à la suite de la disparition de son père. Cet événement douloureux a libéré chez elle cette grande énergie créatrice. Elle considère les arts plastiques comme une thérapie. «La peinture est une source d’apaisement et de tranquillité intérieure», souligne-t-elle en substance
Son arrivée relativement tardive à l’univers de l’expression picturale ne l’a pas empêchée d’évoluer et d’inscrire son nom sur la scène artistique nationale. À cet égard, elle rend un grand hommage à l’artiste-peintre Abdelhak Arzima qui l’a encadrée à ses débuts
Rappelons que Kénitra est l’une des villes marocaines les plus fécondes dans le domaine de la création artistique, notamment au niveau des arts plastiques. On cite à cet effet des artistes-peintres tels que Nouredine Fidali, Moa Bennani et Mustapha Naffi.
Favoriser la convergence entre artistes
Le ministère de la Culture organise chaque année «La Nuit des galeries». Cette manifestation artistique nationale a pour objectif de faciliter la communication, la convergence entre les artistes de différentes générations et de célébrer la créativité visuelle dans ses diverses expressions. Elle permet aussi la diffusion de la culture artistique auprès du grand public marocain. La «Nuit des galeries» offre également l’occasion pour les espaces d’art de faire connaître les créations artistiques des pionniers de l’art et des jeunes talents marocains.
– See more at: http://www.lematin.ma/journal/2014/kenitra-_celebration-de-la-nuit-des-galeries/212157.html#sthash.0YYlWQfK.dpufETHNOCIDE ET REQUISITOIRE POUR LA PAIX UNIVERSELLE
L’UNIVERSITE ŒCUMENIQUE ET SON TEMPLE DES RELIGIONS
Le fait est que, depuis sa naissance et qu’actuellement pire encore, Israël l’entêté, est dirigé par des fanatiques, parmi les plus extrémistes qui soient. Cependant, le fait que cet état voyou soit en délire de guerre ethnique constante, n’enlève rien à notre idée humanitaire. Laquelle ?
Celle de la construction au Maroc de l’Université Théologique Universelle, avec son Temple Œcuménique des Religions. Peuple tolérant, respectueux et ouvert sur les autres pays et religions, cherchant avec respect la paix et l’équité entre nations, il est digne de recevoir en hôte cette institution mondiale et de réaliser sur son sol, cette première.
PRISE DE POSITION HUMANITAIRE
Rien n’empêche de dénoncer ce carnage outrageusement barbare et de montrer franchement notre refus, à toutes sortes de guerres. Fussent-elles ostensiblement encouragées et tolérées par les pays les plus puissants et les partis-pris des acolytes sionistes. Ou pire, par les silences complices, permissifs et passifs de certains états ! Des pays impuissants, qui sont rendus impassibles et qui jamais ne bronchent devant Israël et ses protecteurs. Autant de mensonges et d’amalgames criards, chez les esclavagistes et les ethnocidaires du plus cruel des colons, Israël. Ce pays phare des Juifs de la terre, où l’apartheid, racial, tribal, religieux, est une devenu une idéologie belliciste. Une ségrégation existentielle, une raison d’être de d’Etat, qui prend, qui vole et qui tue sous les applaudissements des pays libres ! Se justifiant devant ces laïques des mythes bibliques et des contes d’avant le Moyen-âge ! Les parangons universels laissent Israël sur militarisé, faire sa loi : Une idéologie, raciste, tribale belliciste !
Nous continuerons de dénoncer ces meurtres et cette claustration d’un peuple qu’on veut liquider et cette humiliation insoutenable pour tout le monde. Cette large nation des anciennes colonies, dépecées, déchirés et dont on facilite encore les sécessions des pays dits ‘’musulmans’’, afin de les éclater de peur de menacer Israël ! Nous ne cesserons pas de réclamer pour notre part, avec force justesse et passion, la justice et la paix. Pour tous ! La résipiscence de tous les Juifs et les Palestiniens. Paix dans cette région, pour tous ses peuples et résidents, comme sur la terre entière.
HISTOIRE ET HEGEMONIE
A Israël, comme à Yahvé, son Dieu et Celui de tous, nous demandons la fin de la suprématie inique et injustifiée de certaines ‘’ races’’ sur toutes les autres. Un mythe fondateur erroné et injuste des soi-disant préférées de Dieu. Dieu ne pourrait être inique à ce point. Ce serait une malédiction pour toutes ses autres créatures ! Les autres ne sont pas des merdes ! Quelles que soient leurs croyances et leurs couleurs. Nous refusons que les mythes et les mensonges continuent de favoriser les injustices entre les hommes et de dicter aux peuples la suprématie et l’hégémonie d’Israël ! Nous vous interpelons pour que cessent l’esclavage et ces guerres torpides des religions. Nous voulons que l’on cesse toutes les formes de suprématies inquisitoriales, illégitimes et toutes les colonisations.
MONSTRUOSITES ET CARNAGES
Car dans cet abattoir nommé Gaza, Israël se livre impunément, avec une force inouïe et une démence folle, sans répit, avec méthode assurance, sans aucune éthique militaire, au nettoyage ethnique ! Par son usage démesuré de la force, arrogante dans sa suprématie et de sa sournoise et perversité fourberie, Israël cherche de se démontrer et d’exciper aux yeux des Arabes, un exploit. Une suprématie dissuasive sur tous les pays dits-musulmans, de par sa force militaire, ses techniques importées et les richesses que lui offrent ses protecteurs et ses coreligionnaires.
RELIGION HEBRAÏQUE DEVOYEE OU IMPERIALISME ?
Ce panache machiavélique, Israël l’exhibe en face d’un peuple inerme par l’usage criminel des armes prohibées. Ce, dans des combats suscités et programmés, ces attaques préventives, leurs raisons et causes, en vue d’essayer ces ADM sur les gens piégés dans leur terre spoliée. Ses propres cousins historiques, dit-on ! Israël, refusant justice au peuple arabe emprisonné, montre qu’il vit sous la menace des résistants ! Pour exploiter la peur qu’elle s’invente et qu’elle grossit et instrumentalise, pour terrasser des gens qu’elle traite de terroristes et de musulmans extrémistes, afin de créer l’amalgame et de susciter des réactions de sympathies chez ses protecteurs ! Aux fins et surtout de réduire de façon radicale toute velléité de résistance chez le peuple opprimé dans sa juste recherche de sa liberté, de son indépendance et de son d’autonomie. Israël y arrive. Ils sont emmurés, interdits de déplacement, largués dans la pauvreté, emmurés dans la misère, dans la désespérance sans fin et les maladies. Ils sont là, dépités, enchainés, sous la menace des drones et des exposions ciblées ou pas ! Ils sont là, fiers de montrer au Monde qui les méjuge, sa lâcheté éhontée et crade. Ils sont prisonniers, près de leurs terres volées, leurs campements emmurés, dans cet espace qui fut le leur, réduit à une peau de chagrin. Le camp concentrationnaire d’Auschwitz ne fut pas pire. Israël fête son Holocauste chaque jour en se vengeant des innocents.
ASYMETRIE
On n’est pas devant une légende discutable mais face une guerre inégale, impitoyable, implacable. ‘’Courage’’ et ‘’sagesse’’ de l’occupant, ce sont des invasions mécanisées, menées de main de maître, impudemment, sur des proies affamées, neutralisées et ligotées ! Pour de vrai et non dans un jeu de fiction quelconque. Un combat, non, non, c’est une guerre inégale et asymétrique, de type destruction massive. Israël haineux plus que jamais, s’applique religieusement, avec cette hystérie maniaque et sienne, à son jeu spécifique et forcené de meurtrier en masse. En montrant qu’il est une victime éplorée, pour en tirer subsistance.
ATAVISME BELLIQUEUX D’UN LIQUIDATEUR NOTOIRE
Jeu historique anté-médiéval de l’Europe et de porte-fléau vindicatif sur le Proche-Orient ? Carnages et croisades d’une époque révolue qu’on croyait devoir et pouvoir oublier ? En vue de prospérer ensemble, dans la mondialisation et la dignité, quelles que soient nos origines et nos croyances. Mais dupes et naïfs, la candeur ne nous met pas en Occident, à l’abri de l’intox barbare de ceux qui prônent la pureté ethnique. Le monde partial assiste sans bouger au ravage des innocents auxquels Israël et ses amis, refusent le dialogue, la négociation, sa réunion territoriale et son existence.
Identité raciste victimaire, ostracisme, qu’ils savent en maîtres cultiver, les sionistes, nos affables cousins, et qu’ils instrumentalisent savamment. On nous fait vivre dans un complexe, fait dans l’incrimination d’une criminalité historique, pour devoir la faire payer aux Palestiniens et par extension à tous ceux qui ont une fibre musulmane quelconque, encore jalouse de son altruiste humanité.
GUERRE DES RELIGIONS EN CATIMINI ?
On fait pleurer l’histoire et geindre les religions sur des mythes, sur des malfaçons, des contes et des légendes, des histoires tribales, que certains peuples et régions doivent payer, dans l’exclusion, le carnage barbare, et à huis-clos, dans le sang et l’emprisonnement. Là en ce vaste goulag emmuré, de Gaza et de Palestine, sans jamais relever le dos ni le front, encore moins les yeux sur leur avenir, défunt. Par ordre de Yahvé, le dieu biblique des Israélites ! Est-ce la Thora ou la terreur ?
A ce sport d’aliénés, Israël excelle. A cette passion, le tyran fasciste, diabolise et humilie ses victimes propitiatoires. Israël s’entraîne avec force et entêtement, à sa sordide et criminelle addiction. Nettoyer de leur terre, de la Terre ces impudents d’Arabes, faire taire et annihiler, à jamais, ce peuple de martyrs qui crie la honte de l’humanité et sa génuflexion devant les foudres d’Israël.
SYMPATHIES DEMENTIELLES
Pulvériser sous les yeux complices de ses puissants amis et protecteurs, dans des déluges de feu, ses victimes, quelle noble occupation pour le peuple biblique, la tribu de Dieu, le peuple de Moïse et de Yahvé ! Un créneau béni pour vendre les armes, une meurtrière par delà les murs, pour surveiller le pétrole.
Un enfer de feu et de sang versé dans cette géhenne concentrationnaire, pour se racheter de ses géniteurs euro-américains et pour les responsabiliser de l’Holocauste.
Seulement, nous sommes ahuris, inermes, blasés et outrés, inutiles ou complaisants devant ces crimes contre l’humanité qui perdurent face à la face du monde. Perclus et désarmés face à cette fausse et immonde humanité des financiers, sans cœur et sans scrupules ou des assassins de parmi les scientifiques fabriquant d’ADM. Hélas, nulle solution éthique ne viendra jamais limiter leur superbe, leurs avancées et leurs mortelles inventions. Suprématie, délires religieux et racial, suffisance et outrance, Israël a son plan divin pour dominer le monde en tant que branche illustre et des plus aisées des races supérieures !
Face aux colons, la résistance, justifiée et de droit, reste désarmée, quels que soient les armes primitives qu’elle se procure. Les tirs de roquettes, fantaisistes foutaises, ridicules instruments, comme les prises d’otages, réelles ou fourbes, bien instrumentalisées, ne servent qu’à irriter un monstre, devenu un criminel de guerre, mille fois plus vindicatif et plus puissant que ne fut le führer Hitler, en son temps.
CONCLUSION : HONTE ET PRIERES DE PAIX
Regardez ces crânes d’enfants éclatés ! Ces membres dispersés et brûlés ! L’homme est horrible, il ne mérite ni la terre, ni le paradis ni l’enfer. La preuve est ce que font les sionistes sur la Terre Sainte des Prophètes, en plein siècle de la mondialisation, des droits de l’homme, de la libre circulation des gens et des biens, du partage des connaissances et des devoirs humanitaires. Honte à toi Israël, toi la tribu de Yahvé, mille fois exilée, éprouvée par les empires barbares, les ghettos et la guerre d’Hitler. Honte aux méchants qui te dirigent dans la voie des crimes les plus abjects ! Que t’on fait ces Palestiniens que tu massacres aux yeux du monde ahuri ? En dehors de réclamer leurs droits et leurs libertés. Merci à vous hommes et femmes, juifs et autres, des plus intègres !
Dr Idrissi My Ahmed
Les 25 et 28 07 2014Honte à toi Israël ! Peuple de Moïse et tribu de Yahvé !
Regardez ces crânes d’enfants éclatés ! Ces membres dispersés et brûlés ! L’homme est horrible, il ne mérite ni la terre, ni le paradis ni l’enfer. Pour ceux qui y croient encore !
Quand on voit cette cruelle barbarie livrer la mort, sans respect, sans pitié ni morale ou retenue, à des milliers d’innocents, des civils, des enfants désarmés! Et ce encore par moment de trêve (encore un piège, fourbe !) sur un refuge de l’Onu !
L’Homme tue son humanité, ses enfants et son Dieu !
La preuve est ce que font les Sionistes sur la Terre Sainte des Prophètes, en plein siècle de la mondialisation, des droits de l’homme, de la libre circulation des gens et des biens, du partage des connaissances et des devoirs humanitaires.
Honte à toi Israël, toi la tribu de Yahvé, mille fois exilée, éprouvée par les empires barbares, les ghettos et la guerre d’Hitler. Honte aux méchants qui te dirigent dans la voie des crimes les plus abjects ! Sur qui et de qui te venges-tu de l’Holocauste que tu as subi ?Que t’ont fait ces Palestiniens que tu massacres, aux yeux du monde, lâche acolyte permissif ou ahuri et dépassé ? En dehors de réclamer leurs droits et leurs libertés ? Des gens qui militent pour leurs droits, comme le fit la Résistance française ou celles des pays contre des colons qui les entravaient. Refugiés, prisonniers emmurés dans les camps de la mort par la première démocratie !
Que ne prends-tu Israël, et sérieusement, la voie de la paix ?
Merci à vous hommes et femmes, juifs et autres, des plus intègres !Le 30 juillet 2014
Dr Idrissi My AhmedCher monsieur Naïm Kamal,
Sur votre Quid, cette plaisante et sentencieuse »têteuse, bonne à faire des enfants », m’incite au jeu de mots.
Elle me donne des idées. Torrides, en cet été transpirant de privations et sans humaines chaleurs. Et avec cette diplopie et ce soleil, difficile d’écrire ou de lire, mais plus difficile encore est-il de rester silencieux, quand on se méprend sur les valeurs de nos mères et de nos sœurs. Chacun voit midi à sa porte. Celle du septentrion, n’est pas la obligatoirement la nôtre. Le prisme des valeurs est irisé de nuances.
Oui, ce Ramadan paradoxal. Paranoïa alimentaire, maniaque et dépressive, à outrance où le mythe, le religieux, la laïcité s’entichent et affrontent pour se donner des airs de liberté, d’envie de progrès et de liberté, que la bien-panse dénigre comme fumisterie et opium affamant des archéonaïfs, torturés entre le divin, le satanique et le seulement biologique et humain ! La valse ou le pasodoble, entre la privation diurne et les excès nocturnes ! Tortures et arrogances !
Pire, il y a des injustices et des guerres, des meurtres de civilisation, des abattoirs, qui nous refroidissent de toute humanité et tout gai plaisir. Alors revenons à la têteuse et aux jeux de mots. La presse s’en donne à cœur joie pour notre plaisir.
Par de la ces préliminaires, où il est interdit de se tenir la langue ou se de fermer sa bouche, allons vers votre « têteuse, bonne à faire des enfants ». Pas à tenir tête, voyons !
. Dérapage lingual taquin et exercice linguistique amusant. Un joli jeu de mômes. Mômes-tu vraiment ? Ce n’est pourtant pas avec la langue qu’on commande des enfants ou qu’on les fait. Mollasse ou en glaise, elle est biologiquement inepte, la langue pour s’entourer, seule, d’un essaim de beaux enfants.Ou que les seins des saintes ne soient faits que pour produire du lait aux enfants ? Machiavéliques restrictions et résistances qui tentent de contourner la hausse anti malthusienne des prix. Ceux des produits lactés, en Premier Chef. Que les seins de nos femmes se remplissent ! Amen !
Que les seins n’aient eu la militance économique, l’intelligence, de faire aussi du pétrole ? Ou, est-ce pour cela que les jeunes sauriens, gérants de nos valeurs, intrinsèques, et bons géniteurs, les voueraient au carbonifère ? Aux charbons ! L’ère et l’aire préhistoriques des foyers se sont réduites ou éteintes ?
Des feux, du feu ! Hormis celui des prix des premières nécessités, auxquels il faut inclure celui de la femme, rien de celle-ci ne baisse ! Les mariages se raréfient et pourtant que de dépenses inutiles ! Pour festoyer à perdre les fonds, l’hypothèque, l’envie et l’haleine !
Festoiements culturels schizophréniques ! Musique d’aliénés, à perdre l’ouïe, surbouffe, la gave à vomir et à n’y rien comprendre ou retenir, comme leçon. Cette furieuse comédie, ressemble dans son calvaire, à un sacrifice, sur un autel. Un banquet entre les bacchanales sataniques et les martyres sémitiques.Le ménage est torturé et se doit rendre à gros frais ses dettes, pour le sexe légitime. Et cela le plonge dans les problèmes. Grosses frasques. Sources pérennes de mésententes couvent de conflits certains qui explosent les couples ou les rendent malheureux.
Pour le reste, tout se renchérit à cause des mafieux de l’immobilier. Pas les seuls, certes. Les œufs et les poules augmentent de prix là, encore. Les sAigneurs de l’argent font la boucle et nous y enchaînent.
Nous…On veut du feu pour exciter de par leurs flammes culinaires nos satisfactions gouapeuses et notre marmaille. On en a besoin. Sauf que ça n’a pas été dit comme ça par notre Chef.La langue, la policée a été chaleureuse et épicée pour annoncer au Parlement, la chôme et l’été. Sans tribun point de foire et sans zoo point d’enfants ! Et vice versa. Dragons ânes, diables et reptiles, amusent les enfants, grands et petits.
La langue, la polémiste et la suceuse, (la têteuse) se doivent d’éviter l’incendiaire et l’infâme. Afin de ne descendre personne dans les flammes d’ici-bas ni de les jeter aux enfers. La presse, en bonne pédagogue, prend le parti et sort. Sans ça, elle ne se vendrait point. Et c’est la jachère du quatrième pouvoir et ce sont les libertés que l’on bride et que l’on profane !
Osons le dire puérilement et à notre péril, d’acteurs agissants. La presse ‘’préceptrice’’, se doit des réserves pudiques à ses disciples lecteurs. Ah ! Je ne parle ni d’interdits ni de lignes rouges. Pour s’éviter des délits, il y a une éthique, appelez ça des freins. Les freins, c’est bien d’en avoir dans une voiture. Des garde-fous, en somme ! Pas des garde-bébés ! Ni des barbelés barbus de lames, pour ne pas révolter ni réduire plus ce qu’il nous reste de désir d’autrui et de fantasmes. Des mythes en les femmes ou des rêves d’évasion vers d’autres cieux ! Les leurs. Mais les cerbères bloquent les sorties, minent les passages et élèvent face à nous des remparts. Même nos prussiens et sacrés frères.
Revenons sans haine d’autrui, vers notre maman, ces princesse des fourneaux, cette fée ‘’têteuse, bonne à faire des enfants’’. Ces blancs et pâteux aliments que sont les extraits des mamelles, qu’on renchérit aussi, parce qu’ils ont la permissivité du visa. Le gout vrai, alterne et non virtuel du visa pour l’étranger. Le goût facile, sans l’obligation humiliante de faire la queue devant les officines emplies de cerbères !
Sans la banche lactance, point de café ni de gâteries à la crème. Ces laits, que la mondialisation, dans notre niaiserie univoque et dans son sens large, exclusif et post colonial, a vendus. Collectés, monopolisés, agrandis comme nous et offert aux étrangers. Ces fantasmes économiques, sont des magies, nous font pâlir comme des gosses qui ne comprennent rien à leurs baves ni à leur larmes ! A l’instar de nos modernistes, nous restons jaloux de nos racines parentales multiples, fiers de nos cultures et de nos folklores, bienveillants envers toutes les religions médianes et tolérantes.
Forts de cette ouverture en quête de valeur ajoutée, il n’y a rien de fermé pour eux, les étrangers, ni d’étrange ! Ils ont augmenté de prix au péril boursier de nos enfants. Nargué et arnaqué nos poupons ! Des sévices ou des séditions pédiatriques ! Pas de pitié pour les jeunes téteurs. Pas de compassion pour les extraits mammaires, chez les vaches. Nos dérivés du lait, sont devenus subitement des marques, un luxe, une franchise exogène ! Opposition et révolte s’obligent à renâcler, là devant le Parlement. Sans issue ni échos. Le Premier n’est pas du reste. Il a dénoncé le méfait. Comme un leader, il l’a fait. Il est en est brave. L’ombre de Ghandi plane sur Benkirane.
Malgré la relative pureté et l’ethnicité de nos vaches, de leurs mamelles indigènes. Le lait, qui sent la paille des nôtres, ses extraits ont le goût de la poudre, parce qu’ils affichent un prix explosif, plus hautain. Celui des conquérants conservateurs !
La traite des pères et la maltraitance sur les poupons. Des bébés, auxquels il faut souvent donner à téter, pour ne pas acheter du lait aux Vaches ! T’barek Allah ! Voilà un rôle de résistante, de plus, pour la femme marocaine. On dit chez nous que la ‘’langue ne contient pas d’os’’ pour pallier à son âpreté et alléguer que la langue n’est pas faite pour blesser et qu’il faut laisser passer les mots fâcheux et irritants.
Dans la maison comme au travail, dans la rue comme, au foyer, en ville comme à la campagne, avec ou sans lait, avec ou sans enfants, avec ou sans travail, la femme reste femme. L’unique égale de l’homme. Qu’elle s’entête ou qu’elle tienne tête, qu’elle tète ou qu’on la tète, sans elle ne serait rien.Kénitra, le 29 Juin 2014
Dr Idrissi My AhmedVotre référence est sur ce lien: