Résultats de la recherche sur 'la honte'

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15 réponses de 451 à 465 (sur un total de 624)
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  • #230064

    En réponse à : que dis la religion

    k’allah vous modisse pr vos parole vs modise vs modisse vs modisse vs vous fouté de s musulman moi jaime pa lislam? lahi naalek ou innal alforum dialek tu devrai avoir honte tu me di denlevé lavatar ou ya marké la ilaha ila allah mohamed rasoul lah k’allah vs modisse pr vos paroles vs vs moké dé ikhwan vs suivé kalimat alyahoud on se verra inchalah o jour du jugement dernier et tu verra rabi allaalamin sil va pa te ppunir pr té paroles allah ou akbar allah ahsana lkhalikin!!! allah ma3a almoujahidine fil irak ou fi falistin ou fi koul aard almuslimin!!

    #230057

    En réponse à : que dis la religion

    resalam c moi hichem le gars qui fou la honte a toute l’humanité merci de mavoir censuré les relations affectives ou physique hors mariages sont interdit en islam

    #230056

    En réponse à : que dis la religion

    Alaa-eddine
    Participant

    Juste quelques remarques pour équilibrer un peu le débat 🙂

    @Nezouh : quand le saint coran est venu, il y avait des filles qui se mariaient très jeunes, mais une grande partie se mariaient assez agées aussi. ce n’est pas par rapport à ca que le coran a interdit les relations hors mariage, mais bien pour d’autres problèmes de société que cela puisse engendrer.
    donc désolé de te dire chere nezouh que ce n’est pas ca la bonne interprétation ni la mise en contexte du phénomène.
    quand aux jeunes qui crient Allah et roulent de joints. personne ne peux nié qu’il ont tort sur toute la ligne, et qu’il font plus de mal que de bien à la religion, d’ailleur ce n’est pas là leur vrai but, eux tout ce qu’ils cherchent à faire c’est de se rebeller, de n’importe quelle manière la religion n’est qu’une excuse parmi d’autres et tu as deja signalé le problème de ses jeunes dans un autre poste toi meme 🙂 … le problème de ces jeunes c’est que l’ascenseur social est coincé au sous-sol et sent …. mauvais .

    @Saidi : Juste un petit point, si je l’ai mal compris précise moi ; quand tu parle de gens qui reviennent aux hadith de boukhari et mouslim, tu remet en cause les hadiths mêmes ou leurs interprétations ??
    deuxième point, le fait que l’homme considère la femme inférieur est tout sauf religieux, la preuve, celà a existé dans toutes les société et continue d’exister malgrès tout, sous differentes formes et dans les communautés les plus égalitaires … ce ne sont pas les exemples qui manquent, certent dans nos société c’est encore pire, mais le fait de lié celà directement à la religion n’est pas une solution mais un excuse pour ne pas traiter les vrais problèmes de fond .

    pour revenir au sujet qui a été lancé vous avez tout les deux parlé d’un idéal qu’on vois à la télé, un exemple d’une société qui s’assume et qui parle librement de sexualité … ok tout celà est bien beau
    mais qu’on parle franchement cher saidi, chere nesouh : dans la société européenne ou on parle de sexualité « ouvertement », sur les plateau de télé, les conférances tout ca chapeau bas rien à dire … par contre dans la société … c’est une autre histoire, je suis jeune, je fréquente des jeunes et je sais de quoi je parle, tout ce que je peux dire, c’est que c’est répugnants … quand je vois comment parlent de hommes mariés de leurs femmes et inversement … se sont des blaaaague ah ouiiii, mais c’est dégradant, je me demande qui prend vraiment les femmes pour des objets … bref vous savez de quoi je parle

    au passage notre prophete parlait de sexualité à ces compagnons et à ses femmes qui ont transmis âpres lui, il suffit de revenir aux livre de sira entre autre ou on trouve des réponses aux sujets les plus « tabou » . et en parlant des tabous, y’en a un autre aussi qu’il ne faut pas oublier 🙂 celui d’assumer que lire des livres de hadith ou de sira n’est pas une honte surtout quand on est musulman.

    #230603
    OUJDI_PUR
    Membre

    tbarkallah 3lik a lalla nezouh
    oujdiya nta3 bessahe 😆
    tu sais il ya des oujdis di3afe a noufouss (comme a dis ratek) et heureusement qu’ils ne sont pas nombreux qui ont honte de parler en leur propre accent je ne sais pas pourkoi ?

    @neddiha gaouriya : tu as raison khouya si on liste les exploits des oujdis soit en domaine sportif ou autre domaines et bien on doit etre plus que fiers khouya et la liste est longue

    #230592

    @ratek84 wrote:

    j pense pa ke le dialecte oujdi est entrain de disparaitre
    pt etre k il y a des gens ki vivent f l gharbe et qui ont changer d accent 😡
    bessah a chaque fois k j rentre l oujda j ecoute chi moustala7at madaeyrinch
    l7wayej raha ghadia o developpa 😀 annas f oujda raha kheddama pr ça mm si il y a l télé qui influence et aussi quelque KHAWANA ki vivent f l gharbe et lorsqu’ils reviennent a oujda ils utilisent leur termes 😡
    pr ceux qui ont honte de parlé oujdi , j pense pa ke ça existe bcp sauf chi di3af l 9olob :D, ana j pense l contraire en dehors de oujda j parle loujdi kter m oujda, et j connais bcp d gens ki le fond

    Le probleme c’est que nnas ma yfehmounach mli7!
    j’ai essayé de parler avec nas casa,agadir,meknes et on se comprenait pas bien,alors que avec nas dzayer l’3asima ou meme nas annaba on se comprend sans probleme.
    Peut etre ceux qui veulent pas parler en oujdi c’est les nationalistes qui aiment pas les algeriens,et donc veulent se differencier d’eux en affirmant leur marocanité et donc avec un dialecte plus gharbi.
    En tout cas j’ai vraiment remarqué ça,que ceux qui parlent en oujdi pur en general aiment bcp les algeriens et ceux qui ne les aiment pas parlent plutot dans un marocain plus standard.

    #230591
    OUJDI_PUR
    Membre

    personnelemnt je suis fier de mon accent oujdi
    et j’aime bien l’accent oranais
    en ce qui conecrne l’accent gharbi ce que j’aime pas est le faite de feminiser les gens par exemple au lieu de te dire fine mchite il disent fine mchiti !!!!
    et aussi ce que j’aime pas c’est qu’il ya des oujdis qui ont honte de leur accent !! je ne sais pas pourqoi ?? surtout wlad mama w papa w cornflakes 😆

    #230589
    ratek84
    Participant

    j pense pa ke le dialecte oujdi est entrain de disparaitre
    pt etre k il y a des gens ki vivent f l gharbe et qui ont changer d accent 😡
    bessah a chaque fois k j rentre l oujda j ecoute chi moustala7at madaeyrinch
    l7wayej raha ghadia o developpa 😀 annas f oujda raha kheddama pr ça mm si il y a l télé qui influence et aussi quelque KHAWANA ki vivent f l gharbe et lorsqu’ils reviennent a oujda ils utilisent leur termes 😡
    pr ceux qui ont honte de parlé oujdi , j pense pa ke ça existe bcp sauf chi di3af l 9olob :D, ana j pense l contraire en dehors de oujda j parle loujdi kter m oujda, et j connais bcp d gens ki le fond

    #230586
    OUJDI_PUR
    Membre

    dsl chere madame:D

    tu as raison!

    Moi aussi,meme que des fois je fais expres!

    le probleme c’est que on est en minorité dans le maroc,et notre darija disparait peu a peu,surtout avec la television et les contacts…mais le pire c’est que bcp de oujada ont honte de le dialecte et ça je pourrais jamais le comprendre!!! comme quoi za3ma ça fait plus classe de parler casaoui ou rbati! c’est n’importe quoi!

    quand je vais a casa ou a fes ou n’importe ou,je parle quand meme oujdi,meme si je connais leurs mots,mais j’ai pas envie de devoir faire un effort alors que eux quand ils viennent chez nous ils parlent leur dialecte.
    A la limite je prefere meme parler algerien.Meme si c’est pas tt a fait pareil,c’est quand meme bcp plus proche.
    c’est pt etre tres borné mais personne ne me fera jamais dire daba ou achnou pour ressembler aux autres

    SAHHITE KHOUYA ALLAH YHAFDAK
    HADARTAK TAGLA3 LFAG3A

    #230584

    @nezouh wrote:

    tu sais Wachta Wachta, moi je fais tout pour ne pas parler comme eux, c’est pas que je n’aime pas comment ils parlent , hacha, mais je veux garder ma facon pure oujdy de parler!! le plus dur c’est mes petits enfants qui ont une mère oujdya et un père casaoui! Elle et moi on insiste pour qu’ils n’utilisent pas le féminin pour tout, et le reste, je pense que c’est un enrichissement que de connaitre les deux facon de parler.

    Bravo pour ton transfert de compétences Nediha Gawriya !!!!

    ps pour Wachta: je suis une femme!!!!

    dsl chere madame:D

    tu as raison!

    Moi aussi,meme que des fois je fais expres!

    le probleme c’est que on est en minorité dans le maroc,et notre darija disparait peu a peu,surtout avec la television et les contacts…mais le pire c’est que bcp de oujada ont honte de le dialecte et ça je pourrais jamais le comprendre!!! comme quoi za3ma ça fait plus classe de parler casaoui ou rbati! c’est n’importe quoi!

    quand je vais a casa ou a fes ou n’importe ou,je parle quand meme oujdi,meme si je connais leurs mots,mais j’ai pas envie de devoir faire un effort alors que eux quand ils viennent chez nous ils parlent leur dialecte.
    A la limite je prefere meme parler algerien.Meme si c’est pas tt a fait pareil,c’est quand meme bcp plus proche.
    c’est pt etre tres borné 🙂 mais personne ne me fera jamais dire daba ou achnou pour ressembler aux autres

    #229493
    Alaa-eddine
    Participant

    Chere nezouh, j’aimerai répondre à plusieurs points de ton derniers post avec lesquels je ne suis pas du tout d’accord :
    tout d’abord, il n y a pas de « vrai discrimination » et « fausse discrimination » 🙂 quand il y a discimination il faut le dire, et ne pas en avoir honte, il y a des degrés je suis d’accord, mais pas de vrai et de faux !

    quand au senarii que tu as décrit pour l’orientation scolaire des jeunes de quartiers, celà existe et persiste encore malheureusement … et il y a encore pleins de grandes fermés aux arabes (pas officielement, mais on se comprend) .

    en ce qui es des jeunes diplomés (le point sur lequel tu rejoint manara) je suis d’accord aussi, d’autant plus que j’ai vécu moi meme cette expériance pour trouver mes stages et mon travail. et voici un petit aperçu :
    dans ma formation (environ 80 étudiants) les étrangers étaient toujours les derniers à trouvé un stage ou du travail, à bac + 5 il n’est plus question de compétances puisque celle ci à été prouvé durant 4ans … d’autant plus que les étrangers étaient plutot les mieux classés . dans toute notre promotion aucun français n’a envoyé plus de 10 CV, avec un taux de réponses (appels à entretient) d’environ 80% … pour ma dernière année d’étude j’ai commancé à envoyé des CV des le mois de septembre puis j’ai relancé au mois de janvier, au total : 73 CV envoyés , 3 réponses (dont 2 entretiens) … donc voilà, je laisse les chiffre parler.

    autre point, quand tu dis, que si l’on trouve pas le métier qui correspond bien à notre formation on a qu’a changer d’orientation. dans l’extrème necessité je suis d’accord. mais pour généraliser NON ! j’appel ca baisser les bras! la devise de la France est « l’égalité », et quand on vie en France qu’on fait des études, et qu’on se comporte comme monsieur tout le monde, on est sensé avoir les même droits, les mêmes devoirs, mais aussi les mêmes chances de réussir ca vie que monsieur tout le monde.

    Si la France était un pays ou les droits de l’homme n’existaient pas, un pays d’inégalités, de discrimination …etc d’accord on auraient pas eu le droit de le juger sur ces points . mais la France est un pays des droits de l’homme et de l’égalité des chances ca on ne peut pas le nier, de ce fait, on a le droit, et je dirais même l’obligation de revendiquer nos droits, il n ya pas de honte à cela .

    #229217

    En réponse à : Modérés et intégristes

    saidi
    Membre

    @Alaa-eddine wrote:

    Je pense que maintenant que tu as été emporté par le debat cher ami saidi tu comprend peut etre mieux ma réaction avant …

    le problème c’est que quoi que tu fasse tu sera toujours critiqué, d’une part ou d’autre, celà est encore pire quand tu ne veux pencher ni pour un coté ni pour l’autre (ce que j’essai de faire tant bien que mal) là tu te fais traiter des deux cotés 😆 😆

    mais ce sont les règles du débat, on les prend ou on les rejette, et ce n’est que comme ca que les mentalités vont évolué .

    j’avoue que dans ce débat je n’ai trouvé aucune intervention qui convienne à ma façon de voir les choses (et c’est tout à fait normal aussi, chacun vois les choses comme il veux) , d’une part, il y a Monsieur Alain qui veux prendre le modèle européen et l’appliquer tel quel (avec tous ces avantages et toutes ses défaillances) à une société qui n’a absolument rien avoir avec la société européenne, en oubliant que le modèle européen actuel est passé par plusieurs générations avant d’en arriver là .
    d’autres part, les avis contraires veulent que tout reste comme il est, et n’admettent aucun changement.

    Mon avis (et ca n’engage que moi), c’est que le problème de tout le monde ici c’est que rare sont les intervenants qui essaient de faire un petit pas vers l’autre, peut etre par orgeuille, peut etre par fierté …. ce n’est pas le plus important .
    d’une part il y en a qui prenne le modèle européen pour un idéal que tout le monde doit suivre, et ceux qui ne sont pas d’accord … hé bien ce sont des extrémistes …
    d’autre part il y en a qui mettent la religion dans tout et rien … et de ce fait donnent l’occasion aux premiers de trouver en la religion la boué de secours et la cause à tout les problèmes …
    aucune approche ne peut etre juste, quand on veux faire évoluer une société il ne faut pas commencer par la provoquer, et aller chercher des exemples extrèmes pour les généraliser à monsieur tout le monde, quand on discute de science on discute de science, quand on discute de politique on discute politique, et quand on discute religion on discute religion … il faut apprendre à ne pas chercher les amalgames mais les éviter .

    Je sais qu’en ayant ce genre d’interventions dans ce site, je serais et je suis critiquer par les deux cotés, mais croyez moi que je suis critiqué, je le prend en compte, et je n’ai pas honte de dire j’ai eu tort et de m’excuser . et c’est normal c’est mon role ici, mais je demande à chacun de faire un peu la même chose et de laisser son orgeuil de coté quand il vois qu’il a tort, et quand on crois qu’on a toujours raison …. c’est qu’il y a un problème quelque part .

    Chèr ALAA EDDINE, bonsoir,

    J’ai lu attentivement ton dernier post.

    Il me semble avoir compris ce que tu veux dire, je dis bien ce qu’il me semble!

    1. Cher ALAA , depuis quelues temps, j’ai remarqué que tu interviens sur certains sujets où tu n’as ta place, je prends comme exemple ce que tu dis à propos des notions religieuses ou philosophiques voir laics ou athées que te lances ALAIN qui n’est pas des derniers nés. A ta place et sije peux me le pemettre, c’est un internautes a qui je ne repondrais pas nitoi niles modérateurs qui t’nentourent. A ta place commeadministrateur, je ne rentrerais pas avec luidans les discussins, je me conterais de lancer les sujets qui ont été soulevés pa tel ou tel internaute et je les laisse discuter. Celà Cher ALAA EDDINE, je crois c’esst la première erreure que tu es occcupé à faire:

    – Tu reproches à ALAIN de devoir nous imposer son modèle occidental de vivr dans notre pays. Cher ALLAA EDDINE, j’ai posé la même question que la tinne à notre ami ALAIN? et je n’ai jamais eu de réponse?

    On l’attends! j’attends des réponses concrètess pour les questions que je lui ai posées. Si je n’ai pa eu de réponse, c’est qu’il ya manque d’arguments quelepart.

    Quand tu dis cher ALAA EDDINE, qu’il n’y pas mal de gens qui veulenht que celà reste telle que nous la vivons de nos jours, je suis d’accord, avec toi, mais je pense que ce n’est pas à toi de dénoncer ce genre de choses pcq ce n’est pas ton siège!!! laisse les internautes parler de celà, si tu constates que personne ne réagit, alors, en dernier recours, tu viens au secours, comme je sais depuis pas mal de temps que des gens comme toi, qui n’ont pas leur place dans cette discussion, se voit dégrader et lancer voir relancer le débat, c’est celà ce qui faity le niveau d’un site( relie stp alaa un sujet que j’ai envoyé sur le site topic je ne sais quoi qui s’intitule « quel avenir pour oujda city, quel type d’internautes? j’espèree qu’jourdh’ui qu’on se connait mieux, tu auras compris ce que je voulais dire au travezrs de ce message. Toujours est-il, tu continus, nous sommes derrière toi, nous sommes des gens sur qui tu peux compter dans la mesure d’élever le niveau de ce site OUJDA CITY . BIEN 0 TOI

    #228222
    saidi
    Membre

    @ayman wrote:

    @saidi wrote:

    Chèr AYMAN,

    Bosoir et je profites de te saluer et de te féliciter pour tous tes messages. Cependant, j’ai une question à te poser si tu le permet.

    Quelle est l’origine du mot RIMITI?
    BIEN A TOI

    Voilà mon frere Saidi , bonne lecture 😀

    Cheikha rimitti est Née à Tessala (village situé près de Sidi Bel-Abbès, dans l’Ouest algérien) le 8 mai 1923, la petite fille prénommée Saïda se retrouve très vite orpheline.
    A 20 ans, elle s’installe à Rélizane, un grand centre colonial où la vie est rude. La pauvreté, les épidémies et la famine sévissent. « On grillait le grain de blé pour remplacer le café, que l’on buvait avec du sirop.
    La jeune Saïda, qui dort dans les rues, dans le hammam et mange quand elle le peut, se met à suivre une troupe de musiciens ambulants. D’ailleurs en nulle part, elle rencontre le célèbre musicien Cheick Mohamed Ould Ennems, avec qui elle se met en ménage alors qu’il est père de dix enfants. Il lui fait connaître le milieu artistique algérois et la fait enregistrer à Radio Alger.

    Une femme de cœur, toujours rongée par la honte et la timidité d’apparaître en public ou dans certains endroits non conventionnels. « Elle n’aimait pas chanter là où les gens pouvaient la reconnaître, rapporte Mohamed Allalou, ancien animateur de la Chaîne III et ami de la défunte artiste. Elle cherchait à se débarrasser de cette mauvaise réputation qui lui collait injustement à la peau. » Allalou se souvient du jour où il est parti lui remettre une invitation pour animer un concert au Parlement européen de Strasbourg. C’était en 1995. « Elle ignorait même ce que ‘‘Parlement européen’’ voulait dire. Elle vivait dans un minable hôtel du 10e arrondissement de Paris. La chambre était minuscule. Meublée d’un lit, d’une petite armoire, d’une valise et d’un réveil, le décor donnait l’impression d’une femme toujours sur le point de départ. » Après de longues discussions, Rimitti accepte enfin d’aller chanter à Strasbourg. Mais pose, tout de même, deux conditions. Dans la première, elle demande au Parlement européen de lui verser des arrhes en espèces. Chose, en principe, qui ne se fait jamais. Dans la seconde, elle fait savoir qu’elle refuserait, sur place, toute rencontre avec la presse. « Attention ! Journalistes zigzag, wallou », répétait-elle à Allalou durant tout le trajet. « Autrement dit, je ne ferai aucune interview. »

    L’histoire raconte qu’un jour de pluie où elle entrait dans une cantine pour boire un café, les clients l’ont reconnue et acclamée avec ferveur. Pour les remercier, elle veut leur offrir une tournée mais ne parlant que quelques mots de français, elle ordonne à la serveuse « Remettez, madame, remettez ». Le public la baptise aussitôt « la chanteuse Remitti ».

    Il y a aussi cette anecdote où Rimitti avait refusé de chanter deux fois de suite dans une même salle parisienne. Pour lui faire changer d’avis, son manager n’avait comme solution que de lui annoncer que le concert allait enfin avoir lieu dans autre une ville, située en province. Rimitti accepte donc la nouvelle proposition, obligeant, cependant, son accompagnateur à faire quatre fois le tour du périphérique parisien pour lui faire croire que la ville était vraiment loin. Pourtant, Rimitti se retrouvera, sans se rendre compte, dans la même salle où elle avait chanté quelque temps auparavant. Pas loin de son domicile. « Ne sachant ni lire ni écrire, elle n’avait tout simplement pas reconnu les lieux. »

    A la fin des années 70, elle pique un coup de sang lorsqu’elle apprend que des chanteuses reprennent son répertoire en France. L’une d’elles se fait même appeler Cheikha Rimitti « sghira » (la petite) ! En 1978, elle débarque à Paris et écume les hauts lieux de la chanson maghrébine populaire (dont le célèbre  » Bedjaïa Club », un café situé près de la station Stalingrad, en plein cœur du 18ème arrondissement).

    La mamie du raï, Cheikha Rimitti est morte, lundi, d’une crise cardiaque à Paris. Elle avait 83 ans. Insoumise et libre, l’auteur, à la vie rock’n roll, de Cherak Gataâ et Naouri Y’El Ghaba laisse la musique algérienne orpheline.

    Cher AYMAN BONSOIR,

    J’ai bien lu ton post concernant cheikha rimiti, et je te remercie pour les informations que tu m’a fournis. Je voudrais en attendant, te dire que ce qu’i écrit à notre ami VOUJDAV? C42TAIT CE QUE JE POSSEDAIT COMME INORMATION concernant cette défunte dame. je ne connais pas l’histoire de cette dame, je me suis simplementcontenté de répéter ce qui a été dit par certains producteurs de musique algérinne  » l’histoire du rai » qui m’ a entre autre influencé, je l’ai utilisé comme argument pour expliquer ce qu’st ce mythe de RIMITI.jje n’ai pour ma part aucun argument fiable ni convaincant pour te répondre. J’ai simplement écouté certains producteurs algériens nous raconter l’histoire du rai et par la même occasion, ils ont inclus l’histoire de RIMITI, je n’ai fait rien d’autre que de répéter à VOUJDAV en espagnol ce que j’ai en ma possession enregistré de la part de nos amis algériens qui ont raconté cette histoire. Maibtenant, Si vous estimez que ces gens n’ont pas raconté la vérité, il vous appartient de le contrer, pour ce qui me concerne, la seule chose que je peux faire c’est de vous faire écouter et lire ce qui a été dit à propos de RIMITI par les professionels de musique algérienne. point terminé.

    #229215

    En réponse à : Modérés et intégristes

    Alaa-eddine
    Participant

    Je pense que maintenant que tu as été emporté par le debat cher ami saidi tu comprend peut etre mieux ma réaction avant …

    le problème c’est que quoi que tu fasse tu sera toujours critiqué, d’une part ou d’autre, celà est encore pire quand tu ne veux pencher ni pour un coté ni pour l’autre (ce que j’essai de faire tant bien que mal) là tu te fais traiter des deux cotés 😆 😆

    mais ce sont les règles du débat, on les prend ou on les rejette, et ce n’est que comme ca que les mentalités vont évolué .

    j’avoue que dans ce débat je n’ai trouvé aucune intervention qui convienne à ma façon de voir les choses (et c’est tout à fait normal aussi, chacun vois les choses comme il veux) , d’une part, il y a Monsieur Alain qui veux prendre le modèle européen et l’appliquer tel quel (avec tous ces avantages et toutes ses défaillances) à une société qui n’a absolument rien avoir avec la société européenne, en oubliant que le modèle européen actuel est passé par plusieurs générations avant d’en arriver là .
    d’autres part, les avis contraires veulent que tout reste comme il est, et n’admettent aucun changement.

    Mon avis (et ca n’engage que moi), c’est que le problème de tout le monde ici c’est que rare sont les intervenants qui essaient de faire un petit pas vers l’autre, peut etre par orgeuille, peut etre par fierté …. ce n’est pas le plus important .
    d’une part il y en a qui prenne le modèle européen pour un idéal que tout le monde doit suivre, et ceux qui ne sont pas d’accord … hé bien ce sont des extrémistes …
    d’autre part il y en a qui mettent la religion dans tout et rien … et de ce fait donnent l’occasion aux premiers de trouver en la religion la boué de secours et la cause à tout les problèmes …
    aucune approche ne peut etre juste, quand on veux faire évoluer une société il ne faut pas commencer par la provoquer, et aller chercher des exemples extrèmes pour les généraliser à monsieur tout le monde, quand on discute de science on discute de science, quand on discute de politique on discute politique, et quand on discute religion on discute religion … il faut apprendre à ne pas chercher les amalgames mais les éviter .

    Je sais qu’en ayant ce genre d’interventions dans ce site, je serais et je suis critiquer par les deux cotés, mais croyez moi que je suis critiqué, je le prend en compte, et je n’ai pas honte de dire j’ai eu tort et de m’excuser . et c’est normal c’est mon role ici, mais je demande à chacun de faire un peu la même chose et de laisser son orgeuil de coté quand il vois qu’il a tort, et quand on crois qu’on a toujours raison …. c’est qu’il y a un problème quelque part .

    #228203
    saidi
    Membre

    @ayman wrote:

    @saidi wrote:

    Chèr AYMAN,

    Bosoir et je profites de te saluer et de te féliciter pour tous tes messages. Cependant, j’ai une question à te poser si tu le permet.

    Quelle est l’origine du mot RIMITI?
    BIEN A TOI

    Voilà mon frere Saidi , bonne lecture 😀

    Cheikha rimitti est Née à Tessala (village situé près de Sidi Bel-Abbès, dans l’Ouest algérien) le 8 mai 1923, la petite fille prénommée Saïda se retrouve très vite orpheline.
    A 20 ans, elle s’installe à Rélizane, un grand centre colonial où la vie est rude. La pauvreté, les épidémies et la famine sévissent. « On grillait le grain de blé pour remplacer le café, que l’on buvait avec du sirop.
    La jeune Saïda, qui dort dans les rues, dans le hammam et mange quand elle le peut, se met à suivre une troupe de musiciens ambulants. D’ailleurs en nulle part, elle rencontre le célèbre musicien Cheick Mohamed Ould Ennems, avec qui elle se met en ménage alors qu’il est père de dix enfants. Il lui fait connaître le milieu artistique algérois et la fait enregistrer à Radio Alger.

    Une femme de cœur, toujours rongée par la honte et la timidité d’apparaître en public ou dans certains endroits non conventionnels. « Elle n’aimait pas chanter là où les gens pouvaient la reconnaître, rapporte Mohamed Allalou, ancien animateur de la Chaîne III et ami de la défunte artiste. Elle cherchait à se débarrasser de cette mauvaise réputation qui lui collait injustement à la peau. » Allalou se souvient du jour où il est parti lui remettre une invitation pour animer un concert au Parlement européen de Strasbourg. C’était en 1995. « Elle ignorait même ce que ‘‘Parlement européen’’ voulait dire. Elle vivait dans un minable hôtel du 10e arrondissement de Paris. La chambre était minuscule. Meublée d’un lit, d’une petite armoire, d’une valise et d’un réveil, le décor donnait l’impression d’une femme toujours sur le point de départ. » Après de longues discussions, Rimitti accepte enfin d’aller chanter à Strasbourg. Mais pose, tout de même, deux conditions. Dans la première, elle demande au Parlement européen de lui verser des arrhes en espèces. Chose, en principe, qui ne se fait jamais. Dans la seconde, elle fait savoir qu’elle refuserait, sur place, toute rencontre avec la presse. « Attention ! Journalistes zigzag, wallou », répétait-elle à Allalou durant tout le trajet. « Autrement dit, je ne ferai aucune interview. »

    L’histoire raconte qu’un jour de pluie où elle entrait dans une cantine pour boire un café, les clients l’ont reconnue et acclamée avec ferveur. Pour les remercier, elle veut leur offrir une tournée mais ne parlant que quelques mots de français, elle ordonne à la serveuse « Remettez, madame, remettez ». Le public la baptise aussitôt « la chanteuse Remitti ».

    Il y a aussi cette anecdote où Rimitti avait refusé de chanter deux fois de suite dans une même salle parisienne. Pour lui faire changer d’avis, son manager n’avait comme solution que de lui annoncer que le concert allait enfin avoir lieu dans autre une ville, située en province. Rimitti accepte donc la nouvelle proposition, obligeant, cependant, son accompagnateur à faire quatre fois le tour du périphérique parisien pour lui faire croire que la ville était vraiment loin. Pourtant, Rimitti se retrouvera, sans se rendre compte, dans la même salle où elle avait chanté quelque temps auparavant. Pas loin de son domicile. « Ne sachant ni lire ni écrire, elle n’avait tout simplement pas reconnu les lieux. »

    A la fin des années 70, elle pique un coup de sang lorsqu’elle apprend que des chanteuses reprennent son répertoire en France. L’une d’elles se fait même appeler Cheikha Rimitti « sghira » (la petite) ! En 1978, elle débarque à Paris et écume les hauts lieux de la chanson maghrébine populaire (dont le célèbre  » Bedjaïa Club », un café situé près de la station Stalingrad, en plein cœur du 18ème arrondissement).

    La mamie du raï, Cheikha Rimitti est morte, lundi, d’une crise cardiaque à Paris. Elle avait 83 ans. Insoumise et libre, l’auteur, à la vie rock’n roll, de Cherak Gataâ et Naouri Y’El Ghaba laisse la musique algérienne orpheline.

    Bonsoir AYMAN,

    Merci pour les informations que tu m’as adressées, je les ai bien lues, J’avais une autre interprétation de l’histoire de cette défunte, que j’ai expliqué à VOUJDAV en espagnol, non pas pour dire que maitrise la langue cestellane mais simplement pour lui faire plaisir à elle aussi qui se sent un peu malmenée dans la langue française et arabe qui n’oubliez pas, relisez les archives si vous voulez savoir qui a commencé avec celà, vous y trouverez des gens qui revendiquaient l’utilisation de la langue arabe et rien d’autre sur ce site! ces personnes se rendent compte aujourdh’ui qu’ils étaient à côté de la plaque puuisque le principal c’est de communiquer avec n’importe quelle langue et n’importe quel dialecte avec ou sans fautes pourvu qu’on se comprennent. Il n’ya pas longtemps, j’ai lu sur ce site certains internautes revendiquer l’exclusivité de la langue arabe, je m’aperçois aujourdh’ui qu’ils se sont rendus compte qu’ils doivent se soumettre ou se tailler comme moi, je le fais en langue arabe, je fais un effort pour comprendre ce que les gens écrivent en arabe et j’ai tout le loisir de répondre dans la langue qui me paraît être la plus facile de me faire comprendre. Voilà, c’est aussi simple que celà et je ne pense pas qu’il ya là de quoi fairre un monde et en tout état de cause, si j’ai écrit des choses déplacées qui ont blessées l’un ou l’autre des internautes, je les prie de m’excuser. bien à toi

    #228192
    ayman
    Membre

    @saidi wrote:

    Chèr AYMAN,

    Bosoir et je profites de te saluer et de te féliciter pour tous tes messages. Cependant, j’ai une question à te poser si tu le permet.

    Quelle est l’origine du mot RIMITI?
    BIEN A TOI

    Voilà mon frere Saidi , bonne lecture 😀

    Cheikha rimitti est Née à Tessala (village situé près de Sidi Bel-Abbès, dans l’Ouest algérien) le 8 mai 1923, la petite fille prénommée Saïda se retrouve très vite orpheline.
    A 20 ans, elle s’installe à Rélizane, un grand centre colonial où la vie est rude. La pauvreté, les épidémies et la famine sévissent. « On grillait le grain de blé pour remplacer le café, que l’on buvait avec du sirop.
    La jeune Saïda, qui dort dans les rues, dans le hammam et mange quand elle le peut, se met à suivre une troupe de musiciens ambulants. D’ailleurs en nulle part, elle rencontre le célèbre musicien Cheick Mohamed Ould Ennems, avec qui elle se met en ménage alors qu’il est père de dix enfants. Il lui fait connaître le milieu artistique algérois et la fait enregistrer à Radio Alger.

    Une femme de cœur, toujours rongée par la honte et la timidité d’apparaître en public ou dans certains endroits non conventionnels. « Elle n’aimait pas chanter là où les gens pouvaient la reconnaître, rapporte Mohamed Allalou, ancien animateur de la Chaîne III et ami de la défunte artiste. Elle cherchait à se débarrasser de cette mauvaise réputation qui lui collait injustement à la peau. » Allalou se souvient du jour où il est parti lui remettre une invitation pour animer un concert au Parlement européen de Strasbourg. C’était en 1995. « Elle ignorait même ce que ‘‘Parlement européen’’ voulait dire. Elle vivait dans un minable hôtel du 10e arrondissement de Paris. La chambre était minuscule. Meublée d’un lit, d’une petite armoire, d’une valise et d’un réveil, le décor donnait l’impression d’une femme toujours sur le point de départ. » Après de longues discussions, Rimitti accepte enfin d’aller chanter à Strasbourg. Mais pose, tout de même, deux conditions. Dans la première, elle demande au Parlement européen de lui verser des arrhes en espèces. Chose, en principe, qui ne se fait jamais. Dans la seconde, elle fait savoir qu’elle refuserait, sur place, toute rencontre avec la presse. « Attention ! Journalistes zigzag, wallou », répétait-elle à Allalou durant tout le trajet. « Autrement dit, je ne ferai aucune interview. »

    L’histoire raconte qu’un jour de pluie où elle entrait dans une cantine pour boire un café, les clients l’ont reconnue et acclamée avec ferveur. Pour les remercier, elle veut leur offrir une tournée mais ne parlant que quelques mots de français, elle ordonne à la serveuse « Remettez, madame, remettez ». Le public la baptise aussitôt « la chanteuse Remitti ».

    Il y a aussi cette anecdote où Rimitti avait refusé de chanter deux fois de suite dans une même salle parisienne. Pour lui faire changer d’avis, son manager n’avait comme solution que de lui annoncer que le concert allait enfin avoir lieu dans autre une ville, située en province. Rimitti accepte donc la nouvelle proposition, obligeant, cependant, son accompagnateur à faire quatre fois le tour du périphérique parisien pour lui faire croire que la ville était vraiment loin. Pourtant, Rimitti se retrouvera, sans se rendre compte, dans la même salle où elle avait chanté quelque temps auparavant. Pas loin de son domicile. « Ne sachant ni lire ni écrire, elle n’avait tout simplement pas reconnu les lieux. »

    A la fin des années 70, elle pique un coup de sang lorsqu’elle apprend que des chanteuses reprennent son répertoire en France. L’une d’elles se fait même appeler Cheikha Rimitti « sghira » (la petite) ! En 1978, elle débarque à Paris et écume les hauts lieux de la chanson maghrébine populaire (dont le célèbre  » Bedjaïa Club », un café situé près de la station Stalingrad, en plein cœur du 18ème arrondissement).

    La mamie du raï, Cheikha Rimitti est morte, lundi, d’une crise cardiaque à Paris. Elle avait 83 ans. Insoumise et libre, l’auteur, à la vie rock’n roll, de Cherak Gataâ et Naouri Y’El Ghaba laisse la musique algérienne orpheline.

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