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Sujet: Maroc: Paradis ou Enfer
Notre pays est-il vraiment le meilleur pays du monde ??
Le Maroc va-t-il bon chemin ?? Va-t-il mal ??
Qu’est ce qui ne va pas chez nous ??
Purquoi trouve-t-on du mal a decoller malgré le nombre phénoménal des grands chantier lancés dans les 4 coins du royaume ??
Des questions qui attendent vos reponses ..➡ ➡ Et bien a vous Oujdinautes !!
pourquoi le Maroc ne reussit pas a se debarasser de la corruption?es qu il ya vraiment une volonte a mettre les choses en ordre?et pourquoi le ministre de finance actuel defend ses interets personnels avant les interets publics? rappel toi Monsieur le ministre quand vous etiez a l opposition tes paroles sont toujours dans notre memoires.
et enfin vous ne voyez pas avec moi que le Maroc a besoin des cadres jeunes pour soulever les defis,on est marre de ses vieux qui occupenet les postes des ministres depuis ma naissance….les jeunes sont notre tresor.Les divorces «explosent» à Oran
Les mariages et les divorces explosent à Oran, mais les séparations sont plus nombreuses que les unions. Ces dernières années, le nombre des mariages était plus ou moins égal à celui des divorces. Cependant, cet équilibre s’est brutalement rompu l’année passée avec un taux de divorce record de 78%, selon le service des mariages de la commune d’Oran. «On n’a jamais vu autant de divorces que l’année passée. C’est incroyable. Même cette année, nous avons remarqué qu’il y a beaucoup de couples qui divorcent», affirme une employée du service des mariages. Le taux de divorce de 78% atteint l’année passée est sur toutes les bouches au niveau de la mairie d’Oran. Tout le monde en parle. Chacun essaie d’analyser, à sa façon, le phénomène qui gangrène la société algérienne.Certains accusent le nouveau code de la famille, d’autres la crise économique et sociale. Le logement serait l’une des causes principales de l’augmentation des cas de divorce. Les mariages de complaisance sont également les plus fragiles, d’autant que les familles sont de moins en moins associées dans les décisions de mariage. «Les jeunes se marient en été et divorcent en hiver. En six mois, ils découvrent, pour une raison ou une autre, qu’ils ne peuvent pas continuer à vivre ensemble. Certains se remarient juste après. En août dernier, nous avons atteint les 110 mariages par jour. Un record. C’était vraiment beau de voir autant de nouveaux mariés chaque jour à la mairie. Même durant le Ramadhan, les mariages ne s’arrêtent pas, avec une moyenne de 20 par jour. Mais quelques mois après, les filles en larmes commencent à venir pour signaler le divorce», explique une employée de la mairie. Autre phénomène qui prend de l’ampleur, de plus en plus d’adolescents se marient. Filles et garçons qui n’ont pas atteint l’âge légal du mariage sont de plus en plus nombreux à célébrer leurs noces. «Ils ramènent une dérogation de la justice et se marient. Ce sont ceux-là qui divorcent le plus, contrairement aux couples dont la moyenne d’âge est plus grande», affirme une autre employée qui s’attend à une fin d’année «bien chargée» et des divorces à la pelle.
Hamid G. Quotidien d’Oran, le Dimanche 22 Octobre 2006.
Précision : Code de la famille en Algérie = Moudaouana au Maroc.
Alors, que vont nous dire maintenant les défenseurs « du droit de la femme ».S.M. le Roi Mohammed VI a nommé El arbi Mrabet, gouverneur, chargé de la coordination avec la Minurso
EL arbi MRABET est né le 24 mars 1951 à la province d’Oujda.
Titulaire du doctorat d’Etat en droit de l’Université de Paris II en 1981 et d’une licence en littérature anglaise de l’Université de Paris III, M. Mrabet est professeur de l’enseignement supérieur depuis 1983.
De 2002 à 2004, M. Mrabet a occupé le poste de coordonnateur régional des Chaires Unesco de la paix, la tolérance, la démocratie et les droits de l’homme dans les pays arabes.
Il a dirigé le centre d’études canadiennes entre 2002 et 2006 et la revue marocaine d’études internationale.
Mrabet, qui a à son actif plusieurs travaux de recherches et publications, assure depuis 1994 la fonction de doyen de la faculté des sciences juridiques, économiques et sociales d’Oujda
d ‘aprés le journal le Matin.