Résultats de la recherche sur 'le tren'

Forums Rechercher Résultats de la recherche sur 'le tren'

15 réponses de 301 à 315 (sur un total de 326)
  • Auteur
    Résultats de la recherche
  • Iznassen
    Membre

    @Anonymous wrote:

    بسم الله الرحمـان الرحيم
    Mr Mokhtar, il est souhaitable que la Direction du Site annule le topic que tu as créé pour ne pas qu’il y ait confusion.
    J’ai intitulé le sujet « Les Idrissides de l’Oriental » en Arabe et en Français pour permettre à tout intervenant de s’exprimer dans les 2 langues chacun selon sa préférence. Et on ne doit pas ignorer la langue Arabe car il y a beaucoup de références qui sont écrites en cette langue qui est la langue du Coran et la langue du Jugement Dernier pour les personnes qui croit en Allah notre Dieu Tout Puissant, sinon ça ne sera que polémique stérile.

    Pourquoi les Idrissides du Maroc Oriental ? Pas en tant qu’une partie de Chorfas comme on dit, dans le sens noble ou aristocrate comme pourront penser certains gens ; pas mal d’entre eux sont pauvres ou vivant comme de simples gens; mais en tant que Ahl El Bait qui ont des droits et devoirs comme tout le monde et qui à chaque fois qu’ils pensent avoir certains privilèges spirituels, se trouvent confrontés à des punitions divines plus sévères en cas de manquement à leurs devoirs. Je ne vais pas m’étaler sur ce point tel n’est pas mon but.

    Pourquoi les Idrissides du Maroc Oriental ? Car, et c’est que je vais évoquer avant son temps, les Idrissides ont été persécutés et massacrés et ce qui obligé une partie d’entre eux de fuire et de trouver refuge dans différentes régions du Maroc parmi lesquelles le Maroc Oriental où ils ont été reçus et adoptés par différentres tribus arabes et berbères qui les ont permis de vivre parmi eux; des gens qui ont toujours cru en Ahl Albait et en notre Prophète Mohammad et les recommandations qu’a fait ce dernier sur sa déscendance.

    Personnellement, je ne cherche pas transformer une simple recherche un peu curieuse du devenir de cette diaspora qui pourrait ressembler à pas d’autres groupements à une querelle stérile entre ce qui arabe, berbère ou autre.
    Je suis suis certain que cette recherche interessera une partie de gens qui s’y trouve mélée d’une façon ou d’une autre et peut être on nous apportera surement des informations utiles dans le domaine.
    Nous essayerons d’être à la hauteur de cette tache.
    Il est 02h 57 et c’est l’heure de la Prière.
    A bientôt

    Une recherche sérieuse et complète suppose donc de parler de tous les aspects qui ont lien avec le sujet.

    Votre réaction est un peu exagérée à chaque fois qu’on évoque l’héritage Amazigh . Chez certains marocains le mot « amazigh » est synonyme de  » polémique », « non marocanité » ! Alors que l’héritage « Arabe » rime avec « unité », « marocainité » !

    Allons jusqu’au bout ! et ne pas traiter les sujets à moitié.

    Pour la langue arabe, je ne pense pas que Dieu a révélé le Saint Coran dans cette langue pour que certains « la sacaralisent » ! et la mettrent au dessus des autres langues ! Toutes les langues se valent !

    #213421
    amazigh78
    Membre

    @denzeller wrote:

    Mon cher sfinks59

    Tu veu savoir pourquoi les marocains préférent apprendre le français ou l’anglais plutot que le berebre. parce tout simplement ces deux langue sont universelles et qu’elles le permettron de s’ouvrir sur le monde, de connaitre beaucoup plus de gens et surtout d’espère rappartenir a leurs communauté. Le berbere au fil des siècles a été oublié, fau les comprendre maintenant comment veux tu apptrendre une langue du passé, que tout le monde a oublié jusq’à ces dernieres decennies plutot que dapprendre une langue importante et qui a sa place dans le monde.

    Je te le dis sincérement je pense que pour que la langue berbere est sa place au cotes de larabe et autres langues, il faudra sensibilliser et leur fere redécouvrir le LOINTAIN passe du maroc lorsqu’il nete peuple que par des berberes

    je vais te poser une question.
    Crois tu que les arabes du Maroc descendent des arabes d’arabie ?

    #213420
    denzeller
    Membre

    Mon cher sfinks59

    Tu veu savoir pourquoi les marocains préférent apprendre le français ou l’anglais plutot que le berebre. parce tout simplement ces deux langue sont universelles et qu’elles le permettron de s’ouvrir sur le monde, de connaitre beaucoup plus de gens et surtout d’espère rappartenir a leurs communauté. Le berbere au fil des siècles a été oublié, fau les comprendre maintenant comment veux tu apptrendre une langue du passé, que tout le monde a oublié jusq’à ces dernieres decennies plutot que dapprendre une langue importante et qui a sa place dans le monde.

    Je te le dis sincérement je pense que pour que la langue berbere est sa place au cotes de larabe et autres langues, il faudra sensibilliser et leur fere redécouvrir le LOINTAIN passe du maroc lorsqu’il nete peuple que par des berberes

    Iznassen
    Membre

    Bloqués depuis peu dans la région de Berkane, les harragas subsahariens survivent grâce à l’aide des habitants. Les rapports entre les deux populations sont particulièrement cordiaux, malgré quelques petits heurts et malentendus quotidiens.

    Arrivé du Cameroun, après un périple à travers le Niger et l’Algérie, Youssef est venu tenter de forcer la lucarne de l’Europe : Melilia. Mais, depuis la destruction du camp de Subsahariens de Gourougou en février 2005, près du préside espagnol, il s’est replié comme beaucoup de ses compagnons d’infortune dans les bois près de Berkane. Refoulé régulièrement à la frontière algérienne par les autorités marocaines, réexpédié illico presto à la frontière marocaine par les autorités algériennes, Youssef se pensait simplement en transit à Berkane. Il y est depuis sept mois, en escale permanente. “Les seuls contacts que nous avions avec la population locale, c’étaient les gendarmes ou des paysans qui nous donnaient à manger quand on retournait tenter notre chance à Melilia”.

    Berkani d’adoption
    Depuis, Youssef est devenu Berkani malgré lui, il descend régulièrement en ville pour mendier et préfère attendre le moment propice pour y tenter de nouveau sa chance car le climat y est plus tolérant : “A Berkane, aucun commerçant ne refuse de nous servir contrairement à Nador” raconte-t-il. Dans ce refus, entrent pour une bonne part les pressions exercées par les autorités sur les commerçants pour qu’ils ne vendent rien aux Subsahariens. Cependant, ces pressions ne semblent pas encore avoir prise à Douar Halouma à quelques kilomètres de Berkane. Sur ce morceau bâti de campagne, sans route goudronnée, où vivent des “immigrés” de Taza et Beni Mellal, Ahmed a appris deux ou trois rudiments d’anglais à force de servir les anglophones d’Afrique noire qui vivent dans un camp, dans la forêt qui surplombe le village en béton.

    Souvent à court d’argent, les Subsahariens survivent aussi grâce à la générosité des villageois. “Ils viennent frapper aux portes des habitants, la nuit, pour qu’on les aide” explique Ahmed. La cohabitation entre les deux communautés se passe sans heurts, même si le commis d’Ahmed s’inquiète de la dernière rumeur qui circule. Un employé de banque aurait été tué par un Subsaharien. “L’homme est tombé dans un canal d’irrigation et s’est noyé”, doit lui expliquer Najib Bachiri, président de l’association Homme et environnement qui assiste les Subsahariens à Berkane. “Il y a de plus en plus de rumeurs de cannibalisme, d’agressions ou de meurtres qui sévissent dans la province de Nador mais elles ne rencontrent pas encore d’écho à Berkane”, estime ce dernier. “Le racisme n’est pas le fait des gens simples et ordinaires dans la région, mais plutôt celui des gens dits ‘cultivés’”, ajoute Najib Bachiri qui a vu une responsable d’association accuser “ces nègres d’avoir mangé les singes de la forêt” (sic). “Depuis que nous sommes plus nombreux, le climat a changé”, constate pour sa part Fabrice, un compatriote de Youssef, totalement désenchanté : “Nous n’avons pas le droit de travailler, juste celui de mendier. Les gens ici sont généreux, mais un jour ils en auront marre de donner”, ajoute-t-il. Les Berkanis se sont habitués à rencontrer les Subsahariens, le mardi jour du souk ou le vendredi, jour de la prière. “A Oujda ou Nador je suis obligé de donner un prénom musulman pour bénéficier de l’aumône. A Berkane, ce n’est pas utile”, explique Fabrice. “Les gens, pour ne pas avoir d’ennui avec les autorités, ne les emploient plus. Alors qu’il y a quelques années, beaucoup travaillaient dans les champs autour de Berkane et les chantiers de construction pour payer leur voyage” raconte Najib Charafi.

    Des commerçants solidaires
    John, un Libérien de 20 ans qui fréquente un camp près de Fezouane, un petit village à une dizaine de kilomètres de Berkane, est l’un des rares à avoir trouvé un emploi dans un hôtel du village. De courte durée : deux jours alors qu’il est au Maroc depuis cinq ans. Descendu au village pour trouver à manger, il attend un compatriote parti en ville : “Il a emprunté une mobylette à un habitant du village”. L’un de leurs points de chute est le snack Chouaïb où le patron est connu pour servir des sandwichs gratuitement. Mais aussi la boulangerie Essalam où Amine a l’habitude de donner une vingtaine de pains aux abir sabil (enfants du voyage, comme il préfère les appeler) qui fréquentent la rue commerçante. “Ils évitent de se regrouper à plus de deux pour ne pas attirer l’attention et font très attention à leur tenue vestimentaire”, raconte Amine. Certains comme Youssef se sont même fait des amis. Ainsi, ce Camerounais est devenu l’avant-centre d’une équipe de quartier de Berkane et fait des merveilles chaque samedi sur le terrain. Chez Fabrice, depuis huit mois à Berkane, l’impression est plus nuancée : “Il arrive que les enfants nous jettent des pierres”, même s’il admet que les rapports avec la majorité de la population de Berkane sont cordiaux comme avec ce coiffeur qui lui coupe gratuitement les cheveux. Certains migrants laissent même en dépôt leur argent liquide chez certains commerçants de confiance pour ne pas se le faire voler S. Youssef et Fabrice attendent la Coupe du monde pour tenter un nouveau passage, comptant sur un relâchement des policiers marocains et espagnols distraits par les matchs de foot. Najib Charafi ne semble pas trop y croire : “La forteresse Europe a décrété que la tolérance n’avait qu’une seule couleur : elle est blonde aux yeux bleus” constate très philosophe ce dernier. En attendant, Berkane, la “noire” en Berbère, découvre la cohabitation avec une nouvelle population bien partie pour rester au Maroc…

    Hassan Hamdani
    Source: TelQuel

    #201508

    Sujet: Les enfants de la misere

    dans le forum Débats
    ahmed
    Membre

    Marrakech : les enfants de la misère envahissent les rues
    LE MONDE | 10.06.06 | 15h00 • Mis à jour le 10.06.06 | 15h00
    MARRAKECH ENVOYÉE SPÉCIALE

    lle a trois mois et boit son biberon toute seule, couchée dans son lit à barreau. On a coincé le flacon entre les pattes d’un ours en peluche posé sur sa poitrine. Comment faire autrement ? Il n’y a dans cet orphelinat, cet après-midi-là, que trois assistantes maternelles pour 72 nourrissons. Les jeunes femmes travaillent dix-huit heures par jour et, malgré leur fatigue, se montrent efficaces et patientes.

    Mouna est l’une des rares petites filles recueillies par cette crèche de la Ligue marocaine pour la protection de l’enfance, à Marrakech. On compte en moyenne dans l’établissement une fille pour neuf garçons. On n’abandonne pas une petite fille, au Maroc. C’est une denrée précieuse. Une fille, c’est utile et c’est docile. On pourra toujours la faire travailler comme « petite bonne ».

    Les garçons, eux, sont légion. Amine, quatre mois, a été retrouvé en pleine rue, enfermé dans un sac plastique, au bord de l’asphyxie. Fouad, six ans, a été « oublié » par sa mère, il y a six mois, sur la place Jemma El Fna, au milieu des touristes et des charmeurs de serpents. Quant à Soukaïna, deux ans, elle a été vendue à deux reprises par sa mère, pour 500 dirhams (50 euros).

    Au Maroc, les enfants de la misère ne se comptent plus. Le pouvoir est conscient du problème. Il a décrété le 12 juin « journée nationale de lutte contre le travail des enfants ». Mais par quel bout aborder un dossier aussi vaste ? Enfants non scolarisés. Enfants « sniffeurs » de colle. Enfants exploités sexuellement…

    Combien sont-ils à travailler, entre sept et quinze ans ? Il est difficile de le savoir, 90 % des petits marocains entrent dans le cycle primaire, mais plus de la moitié abandonnent l’école avant le secondaire. Environ 600 000 jeunes de moins de 18 ans sont hors du système scolaire (sur une population de 30 millions). Les uns atterrissent dans la rue ou dans des ateliers d’artisanat, les autres dans des familles bourgeoises, comme petites domestiques.

    A Marrakech, – première destination touristique du Maroc – on parle davantage du problème des enfants dans la rue que des enfants des rues. Ici, à l’inverse de Casablanca, les jeunes en situation précaire disposent, la plupart du temps, d’un semblant de famille – une mère célibataire et analphabète le plus souvent – et d’un toit. Mais, à l’exode rural, au chômage, à l’éclatement familial en augmentation vertigineuse, s’ajoutent les problèmes liés au tourisme. La mendicité est le premier d’entre eux, bien plus que la pédérastie, dénoncée par les médias.

    En ce début de matinée, les touristes sont rares sur la place Jemma El Fna. Les enfants-mendiants aussi. Ils n’arriveront que vers 14 heures, après avoir dormi. Tandis que leurs mères dessineront des arabesques au henné sur la paume des passantes, ils vendront des Kleenex, des sacs plastiques, ou se contenteront de tendre la main. Quand ils iront se coucher, vers minuit, ils auront récolté quelque 200 dirhams, soit 6 000 dirhams mensuels, alors que le smic est à 2 000 dirhams.

    « C’est dur, dans ces conditions, de convaincre les mères d’envoyer leurs enfants à l’école. Elles me disent toutes : « mais avec quoi vais-je les nourrir s’ils cessent de me rapporter de l’argent ? L’urgence, ce n’est pas de mettre mon fils à l’école, c’est de me trouver un travail ! » », raconte Karima M’kika, jeune fondatrice et directrice d’Al Karam, association qui se consacre aux enfants en détresse.

    Pour comprendre le problème des enfants au travail, il faut « dépasser les clichés que l’on a en Occident », souligne Fouad Chafiqi, universitaire spécialiste des sciences de l’éducation et consultant de l’Unicef. Beaucoup de ruraux voient « comme une bénédiction », explique-t-il, le fait que leurs fils et filles soient engagés comme apprentis ou « petites bonnes » peu après leur arrivée à Marrakech. De leur côté, les employeurs ne sont pas loin de penser qu’ils « font le bien » en sauvant ces enfants du vagabondage.

    Au fin fond de la médina, du côté du souk des tanneurs, Khalid, jeune éducateur de rue employé par Al Karam, semble découragé. « La sensibilisation et l’éducation ne suffisent pas. La vraie solution est économique. Il faudrait des programmes de réinsertion sociale », soupire-t-il. Khalid s’inquiète d’un phénomène en plein essor : « les parents fugueurs ». De plus en plus de mères viennent lui dire : « Je n’en peux plus. Débrouillez-vous avec mes enfants, moi, je renonce ! » Et elles partent pour une autre ville.

    Soumis aux pressions internationales pour réduire les dépenses publiques, le pouvoir marocain semble hésiter sur la conduite à tenir. On lui reproche souvent de privilégier les apparences. Les initiatives, il est vrai, ne manquent pas : coup d’envoi, en juin 2005, d’un ambitieux programme, « Le Maroc digne de ses enfants » ; préparation d’une loi réglementant le travail domestique ; signature, le 6 mai, d’un accord de partenariat entre l’Unicef et la willaya de Marrakech, etc.

    Sur le terrain, se plaignent de ne pas obtenir de budget dès qu’elles s’écartent du « spectaculaire ». « Un « généreux donateur » est venu proposé un centre exclusivement consacré aux enfants abusés sexuellement !, raconte, d’un air las, la responsable d’une association d’aide à l’enfance. Nous manquons d’éducateurs et de travailleurs sociaux. Personne ne veut prendre en charge leurs salaires. Or nos urgences sont là, dans l’invisible. »

    Florence Beaugé
    Article paru dans l’édition du 11.06.06

    Alain
    Membre

    DEFINITION DES OBJECTIFS GENERAUX

    Après l’étude des besoins, le projet commence à devenir un peu plus clair.
    On sait mieux de quoi on parle.

    Mais justement, parler n’est pas une formulation précise. Il faut REDIGER.

    C’est le passage de l’implicite à l’explicite.

    Les exemples sont nombreux qui montrent qu’autour d’un projet, on a l’impression que tout le monde est d’accord. Lorsque l’on passe à la phase de la rédaction du projet, alors là, on se rend compte que finalement chacun avait vu les choses à sa manière et que ça ne va pas de soi que l’on soit d’accord sur tous les axes.

    Mettre par écrit, c’est aussi se donner un cadre de référence qui sera la mémoire des décisions.

    LES OBJECTIFS GENERAUX
    C’est l’affirmation des valeurs et des buts de l’association.

    Exemple : l’association a pour but de créer des emplois pour des familles mono parentales.

    L’énoncé des buts doit être clair, simple, compréhensible par tous.

    L’énoncé des buts est ensuite suivi par les valeurs que l’on défend, les raisons qui nous poussent à agir.

    Exemple : l’association a pour but de créer des emplois pour des familles mono parentales.
    Dans la société française d’aujourd’hui, il est de notre devoir de tout mettre en œuvre pour que des mères de famille disposent de ressources générées par leur travail afin de gagner une totale autonomie.
    Cet exemple est réel, il s’agit d’une association dont je suis un des administrateurs qui reçoit principalement des femmes africaines (du nord et du sud) avec enfants qui ont été abandonnées par leur mari, qui ne savent ni lire ni écrire, qui n’ont pas d’emploi, qui disposent des Allocations Familiales et qui ont un logement

    L’association désigne les 2 valeurs du projet : elle indique l’obligation d’une société dite « évoluée » à mettre en place et à financer un dispositif visant à l’autonomie des mères de famille vivant seules avec leurs enfants.

    Il est donc dit clairement que la société civile doit prendre en compte (c’est-à-dire financer) un projet conduisant à l’autonomie à terme. Ce n’est donc pas un projet charitable qui apporte des ressources et fait l’aumône, mais un projet qui prend en charge pour une période LIMITEE dans le temps des femmes qui sont en réinsertion sociale.

    L’association s’engageant en contre partie à créer des emplois pour ces femmes.

    Les buts et les valeurs doivent donc être l’affirmation d’un engagement réciproque entre les partenaires d’une même action.
    Les pouvoirs publics aident, dans le cadre de ses actions, une association qui elle-même s’engage en terme de résultat.

    On voit bien ici que l’étude de marché du chapitre précédent prend toute son importance, car il faut avoir la certitude que l’on est bien en capacité de créer des emplois.
    Il ne peut être question de s’engager sans respecter ses obligations…. Ça marche une fois…. Mais pas deux.

    C’est sur les buts de l’association que l’autorité de tutelle et de contrôle va exercer son évaluation. De cette évaluation dépendra la poursuite des aides ou au contraire l’abandon des aides publiques.

    ENVIRONNEMENT JURIDIQUE des ACTIONS
    Il est impératif de connaître parfaitement les dispositions réglementaires dans lesquelles nous nous inscrivons.
    Pour revenir à notre exemple, il faut connaître les lois et règlementations des différents intervenants publics aussi bien au niveau des actions de la ville, du département, de la région et de l’Etat. Ainsi que les actions des services publics tels que les allocations familiales, les caisses de sécurité sociales, les agences pour l’emploi…..
    Il y a une base de données à construire qui collectera toutes les documentations et tous les textes en vigueur.
    Il faut bien avoir conscience que c’est là un énorme travail.
    Il est indispensable, car lorsque l’on se retrouve en négociation avec l’un de ces services, nous avons tout intérêt à savoir ce que l’on dit, faute de quoi notre crédibilité en prend un sale coup… et l’on a vite fait de vous renvoyer à vos chères études en vous demandant de revenir lorsque vous serez au point.

    L’énoncé des objectifs généraux restent encore à détailler par la présentation des objectifs opératoires…..

    (à suivre)

    #213304

    En réponse à : Un Maroc Laïc ..

    dawy
    Membre

    Salut, Mr fadi:
    S’aurait été plus juste d’intituler ton sujet de la manière suivante :
    Y’a t-il des musulmans au maroc?.
    La réponse coulait de source.Il y’en a.Mais malheureusement ils ne sont pas aussi nombreux qu’on l’imagine.
    La grande majorité qui pretend l’etre, obeit à la loi du canada dry.
    Je dois jouer au musulman pour faire plaisir à mon entourage d’abord ,et dans une certaine mesure à toute la société.
    Juste un petit exemple. A la première personne, bien entendu, pour que personne ne puisse se sentir visé.
    Je dois deserter mon bureau le vendredi matin pour me preparer pour la prière .J’ai besoin de toute la matinée pour le faire.En sachant que je suis (indument) payé pour celà par plus de trente millions de …..
    Mon seul souci est d’avoir une jellaba bien blanche bien repassée(quand il n’y a pas de coupure de courant ce jour là) et un tarbouche bien rouge,et surtout d’etre vu par le maximum.
    Le MAROC n’est qu’un espace géographique qui est par definition,(musulmane), une terre des hommes.Terre des musulmans et des autres.
    Tout depend de l’approche qu’on a de la laicité.

    #213021
    Iznassen
    Membre

    @K – EL – H wrote:

    ا ….فهل تتصور يا أخي ازناسن ان الأمازيغية ستصبح في يوم من الأيام لغة علم ، ولغة اختراع داع ، ولغة اعلاميات ، …..فانت تعلم جيدا ان حروف هذه اللهجة يستحيل ان تتحول في يوم من الأيام الى لغة حاسوب ولغة اعلامية ولغة علمية انه من باب المستحيلات ….بل ان هذه الحروف ليست اصلا حروف امازيغية …فنحن الأمازيغ لم تكن لنا ابدا حروف …فهذه الحروف هي حروف فينيقية .. وراجع جيدا الأنتروبولوجيا والدراسات الأنتروبولوجية وستقتنع اننا معشر الأمازيغ لم تكن لدينا لا حروف ولا يحزنون ….فلا ينبغي ان نتشبث بالسراب والخرافات والأساطير .. وانني اتحداك ان تعلم ابناءك الأمازيغية فقط ولا تعلمهم لا العربية ولا الفرنسية ولا الأنجليزية وسترى نتائج ذلك انك ستخلق منهم اناس ما قبل التاريخ …..يا أخي ان لغة العلم والتكنولوجيا الآن هي اللغة الفرنسية ، واللغة الأنجليزية ، فبدلا من ان نعلم ابناءنا اتقان لغات العلم تريدون الرجوع بنا الى عصور ما قبل التاريخ …..بل صرتم تكنون العداء للأسلام وللمسلمين ، بدلا من تحمدوا الله على نعمة الأسلام ….. فكفى سفسطة ، وكفى مضيعة للوقت ، وكفى كلام فارغ والركب الحضاري قد انفلت من ايدينا …..فلسنا في حاجة الى من يفرض علينا هرطقات أكل عليها الدهر وشرب ….. وكن على يقين ان الذين يريدون خلق لغة امازيغية يعيشون في حلم سرعان ما سيستفيقون منه مذعورين ….. آنذاك سيتبين لهم انهم كانوا جد مخطئين وسيكون انذاك فات الأوان ….

    Pour vous répondre à propos de votre méprise de la lague de vos ancêtres, voici ce qu’il répond le recteur de l’IRCAM;, institut institué par Mohammed 6 pour la promotion de la langue amazighe.

    +++++++++
    L’héritage rupestre de la culture amazigh doit être préservé

    PHOTO: M. Ahmed Boukouss, recteur de l’Institut Royal de la Culture Amazighe.

    Le recteur de l’Institut Royal de la Culture Amazighe (IRCAM), Ahmed Boukouss, a souligné que l’héritage rupestre de la culture amazighe « doit être préservé du vandalisme dont il pâtit actuellement un peu partout », estimant qu’il devrait être promu au rang de patrimoine de l’humanité.

    Dans un entretien publié samedi dans le quotidien Libération, le recteur a fait cette remarque en plaidant la pertinence du choix porté sur l’alphabet Tifinagh pour l’écriture du Tamazight. « Il représente l’écriture de nos ancêtres.

    Des vestiges de l’art rupestre disséminés un peu partout à travers l’espace marocain montrent combien nos ancêtres ont fait preuve d’une intelligence rare et d’une ingéniosité remarquable pour inventer l’une des plus vieilles écritures de l’histoire de l’humanité », a-t-il souligné.

    « Pourquoi voulez-vous qu’on dédaigne ce patrimoine pour emprunter un autre alphabet ? », s’est interrogé le recteur, avant de poursuivre: « Cet héritage doit être préservé du vandalisme dont il pâtit actuellement un peu partout, et notamment à Tinzouline » (NDLR: près de Zagora). « Nous devons le promouvoir au rang de patrimoine de l’humanité et le protéger en tant que tel.
    Et il ne s’agit pas d’un patrimoine à reléguer dans les oubliettes des musées », a-t-il davantage plaidé.

    Selon M. Boukouss, l’IRCAM a modernisé cet alphabet, l’a codifié et l’a introduit dans les nouvelles technologies de la communication et de l’information. « C’est devenu un outil performant dont nous souhaitons une large implantation dans le paysage national », a-t-il insisté.

    Brossant un bilan des actions de l’IRCAM, le recteur a rappelé que l’Institut a commencé à fonctionner concrétement à partir de 2003, et qu’il a pu, depuis, « réaliser d’excellents choses, notamment dans les domaines de la recherche et de l’enseignement ».

    Constitutionnalisation de la culture amazighe

    Outre la codification du Tifinagh, a-t-il indiqué, les équipes de recherche ont commencé le long labeur de la standardisation de la langue amazighe et de la promotion de la culture amazighe dans ses différentes facettes. Il a affirmé, à ce sujet, que ce travail de standardisation « progresse de manière satisfaisante « , et que le dictionnaire de l’amazigh fondamental est prêt, la grammaire de référence et le manuel de conjugaison aussi.

    Pour M. Boukouss, assurer à la culture amazighe son insertion et son rayonnement dans l’espace social et culturel, ainsi que dans les institutions de l’Etat est l’essence même des prescriptions du dahir portant création de l’IRCAM. « Néanmoins, a-t-il commenté, sur le terrain, l’état de fait dénote un déphasage parfois abyssal qui trahit d’indécrottables réticences à sa tangible traduction ».

    « L’IRCAM, a-t-il ajouté, intervient pour interpeller les institutions concernées », précisant que de cette façon « de nombreux problèmes ont été résolus ». Dans ce contexte, il a rappelé que près de 70 associations amazighes se sont réunies le 8 avril à Meknès, estimant qu’il s’agissait là « d’une mobilisation pour la constitutionnalisation de la culture amazighe ».

    Source : MAP

    #211729

    En réponse à : Mariage mixte

    meeloud
    Membre

    Salam,

    La réussite d’un mariage mixte ne dépend que des deux personnes elles-même.

    en effet si elles se sont aimés avant de se marié peut importe après l’éthnie, la religion, etc….

    maintenant vient ensuite le but de ce mariage mixte :

    * si c’est pour les papiers : c’est mort, car une fois les papiers en poche, la personne ira chercher celle qu’elle aime
    * si c’est pour la beauté : c’est mort, car une fois qu’elle disparaît, ressurgissent alors les vrais affinités qui ne sont pas forcément compatibles
    * si c’est pour l’argent, c’est mort car la personne qui n’a pas d’argent se fera tôt ou tard remplacer par quelqu’un de meilleur (plus beau par exemple)…

    bref quand ce n’est pas basé sur l’amour réciproque, ça ne peut que se briser tôt ou tard…

    Maintenant se pose la question : pourquoi mariage mixte ???

    comme l’a dit un de nos chers oujdis, Allah a défini des règles et il nous faut les respecter.
    plusieurs facteurs rentrent en jeu : il s’agit surtout de préserver la nation musulmane (le père transmettant la religion à ses enfants)

    #212871

    En réponse à : 1er mai à la couleur amazighe

    dawy
    Membre

    Salut:
    Tout à fait d’accord Mr OUJDI PUR.
    Peut etre Mr AHMED ignore -t’il que des kabyles se convertissent chaque année en France par milliers au christiannisme.La plupart d’entre eux sont des HARKAS.Des anciens collabos,ceux qui ont trahi leur pays duquel ils ont été bannis à tout jamais.La france leur a résérvé un statut de sous hommes.Ca venait d’etre confirmé publiquement par un élu du sud de la france .Ils se sont rabattu sur l’église qui leur offre un certain reconfort.Il n’embrassent pas le christiannisme par conviction religieuse mais plus par depit.
    Les prenoms de certains enfants de zidane,illustrent bien cette mentalité toute particulière.
    Si tu as encore des doutes sur ce qu’avance Mr Fadi je t’invite à suivre une emission d’une chaine catholique animée par des algeriens.Je tairai le nom .
    Ces énérgumènes qui sont minoritaires qu’ils soient kabyles ou notre residus rifain ne sauront stopper la marche de l’islam.
    In tansourou allah yansorkom wa youtabbita a9damakom .SAA

    #211843

    En réponse à : LABNAT O L BLED !!!!!!!

    dahlia
    Membre

    @bismi001 wrote:

    alors laissont les femmes celibataires se concentrent sur ce qu’elles visent comme projets futurs au moins pour qu’elles nous rajoutent de la valeure ajoutée au lieu de les alourdir par des pensées negatives comme celles la, ❗

    d’accord avec toi sur quelques points.
    mais tu sais il n’ ya personne qui pourrait laisser ou pas laisser les femmes celibataires réaliser leurs projets d’avenir professionell comme tu le dis .A elles seules le pouvoir de le décider et de le faire si elles y tiennent vraiement à part si elles se trouvent coincée dans des coutumes et traditions familiales particulières la ca devient un peu plus compliqué.

    Mais sinon si elles ont un entourage familial encourageant et l’incitant à aller au dela de ce qu’elle font comme etude je ne vois pas pourquoi elle preteront attention a des blablas par ci par la (bayra etc….) ,si elles sont satisfaites et convainques de ce qu’elles font ,si leur travail leur donne joie de vivre ,c’est qu’elles réalisent au moins quelque chose ,et qu’elle ne sont pas vaincue par les ragots des gens qui n’ont rien à faire (SE3DATHOME) que planter des discours insensés …tu sais koulchi biyadi allahe c’est pour cela que je ne cesserai de répéter que « innama al a3malou bi anniyyate » puis d’ajouter que li fèl moktab daba tji les gens biens ne sont jamais décus par leur bon dieu il suffit de patienter et de croire a ce qu’on fait 😉
    le savoir n’a pas de genre ,et TALABOU AL3ILM na jamais été pour les hommes uniquement ,le travail est sacré aussi si on travaille pour travailler bien sur….tant que les femmes ont accès au savoir ont devrait se préparer à ce qu’elles occupent de plus en plus des places sur le marché du travail .Le secret c’est comment sauraient elles concilier entre deux vies ,des responsabilités diffèrentes ,et c’est la question d’un sujet que j’ai lancé sur le café oujdacity ya longtemps 😉

    #211841

    En réponse à : LABNAT O L BLED !!!!!!!

    bismi001
    Membre

    salamo 3alaikoum
    merci pour votre reponse! c’etait generalement satisfaisant pour m’eclaircir qlq points que je negligeait avant!
    tout d’abord je prends pas en consideration dans mon analyse, les filles qui continuet leurs etudes superieures et s’habituent au va et viens juste pour multiplier les occasions de trouver un mari a la hauteur! nn je parle des autres qui respectent bien ce qu’elles font!
    mé generalement, une fois la fille se trouve avec une licence ou un diplome de bac + 4 a la poche, et qu’elle arrive pas a décrocher un job ce qui provoque bien evidement son long sejour chez ses parents, directement et inconsciement elle pense au mariage!….et c tout a fait normale, c crée dans l’instinct de la femme! et toujours pour multiplier les oppprtinutés , elle commence a effectué des sorties de temps en temps (bien habillée, coiffée et maquillée ) pour (la3alla wa 3assa) trouver le pretendant au mariage!!!!!
    si malheuresement elle reussie pas , et qu’aucun des jeunes (wled lbled) ne frappe a sa porte,……alors tout est foutu n l’air! on le nomme « bayra= vieille fille », comme s’elle est coupable de son destin ! « elle n’est pas arrivée a se marier alors elle lui manque qlq choses, …..elle a des anomalies…..certainement  » ! comme c le mariage et l’agregat qui met en evidence le parcours generale de la femme, et qui determine sa reussite!!!
    tout en negligeant, ses etudes, son niveau intelectuel,ses competances, son savoir faire, tout cela devient peu couteux aux yeux de la societé « lmouhim howa zwaj o l famila » 😡 !!!!!!!!!
    personellement , c’est exactement cette façon de penser et de voir les choses qui me deçoit !!!!! d’avoir des gens encore atachés a l’idée de mariage , sans pour autant penser que le monde change, que l’effectif feminin augment et inversement pour les hommes, comment peut on satisfaire la demande dans ce cas la 😆 ???????????pas d’equilibre!
    alors laissont les femmes celibataires se concentrent sur ce qu’elles visent comme projets futurs au moins pour qu’elles nous rajoutent de la valeure ajoutée au lieu de les alourdir par des pensées negatives comme celles la, on peut pas les marier toutes faute d’insuffisances dans les fonds!!!!!!!pas plus…… ❗

    #211784
    Lili
    Membre

    je viens d’avoir les coordo de la maison des jeunes: merciii dahlia!! Ca fait des jours que je galère pour trouver ca, donc c’est vraiment cool!

    ensuite par rapport a l’asso: on a monté mOZaïk ya presque un an dans le but d’organiser des echanges interculturels: que les gens se rencontrent, se connaissent pour qu’il y ait plus de tolérance. en gros on veut aider à ce que toutes nos différences soient percu comme une force.

    Concretement on essaie de mettre en place des partenariat associatif entre structure similaires: maison des jeunes et centre aéré.
    pour cette année, ya donc deux projets: un reportages vidéo faits par les deux mj et la réalisation d’un « calendrier de la tolérance » fait par les enfants des centres aéré. Jpense que le faire ensemble, la réalisation commune va permettre un premier rapprochement.

    Si ca t’intéresse ou si d’autres gens sur oujda sont intéréssés, jpeux vous envoyer des doc de l’asso. Plus yaura des gens investis des deux cotés de la mediterrannée, plus le projet sera cohérent. Voilou!

    Et toi dahlia, tu fais tu fais de l’autodéveloppement personnel durable? c’est tout un programme!! a bientot jasper

    #211690
    mco91
    Membre

    regarde kho moi je sui vraiment content pacek ils ont pa mis des fotos d oujda 😉 ON VEU PA LEURS TOURISTES!!!! 😆 moi j aurai préféré qu on interdisent les etrangers de rentrer à oujda 😆 (telement je veu po ke ces perveres rentrent ds notre terre 😈 )

    #210929
    Anonymous
    Membre

    @Anonymous wrote:

    ACTION SOCIALE ET DEVELOPPEMENT DURABLE
    Zahra Zaoui
    Zahra Zaoui est d’abord une juriste qui a mis ses connaissances juridiques et humaines au service de la cause féminine.

    Originaire d’Oujda, capitale du Maroc Oriental, elle a effectué ses études de droit entre le Maroc et la France. Elle fait partie de ces femmes marocaines très actives qui vont à la recherche d’informations et de nouveautés en matière de droits humains aux quatre coins du monde. Elle a participé à différents colloques et congrès portant sur le sujet de la situation de la femme marocaine avant de créer son Association « Oujda Ain Ghazal 2000 » qui oeuvre pour le développement local.

    Zahra est d’ailleurs membre du Conseil d’administration de l’Agence du Développement Social et membre de la Fondation Orient Occident. Les projets réalisés par son association démontrent la détermination de cette femme pour la consolidation de la situation de la femme marocaine. « Oujda Ain Ghazal 2000 » a construit un centre socioculturel où le personnel de maison bénéficie de cours d’alphabétisation. Elle a notamment construit un centre d’écoute pour les femmes en difficulté et initié une campagne d’éducation civique (électorale) à l’initiative de l’IFES et l’IRI. Toujours dans le cadre de la sensibilisation, Zahra Zaoui a organisé plusieurs conférences et tables rondes invitant des spécialistes comme Hassan Kharouae ou encore Rita Khayat, incitant les participantes à se pencher plus activement sur la condition féminine. Les récoltes de dons de l’association ont donné naissance à plusieurs projets sociaux, permettant la restauration d’un centre de santé rural, la création d’un centre d’hébergement pour les femmes en difficulté, un centre de documentation ainsi qu’un atelier de reliure au profit des jeunes filles diplômées. Récemment, Zahra Zaoui a vu l’aboutissement d’un projet de centre d’hébergement en partenariat avec la Fondation Mohammed V pour la Solidarité. Une femme d’exception à qui on tire chapeau sans aucune réserve.

    Pour voter : http://www.khmissa.org/?ref=13

    😥

15 réponses de 301 à 315 (sur un total de 326)
SHARE

Résultats de la recherche sur 'le tren'