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باسم الله الرحمن الرحيم ,والصلاة والسلام علي أشرف المرسلين , وعلي آله وصحبه أجمعين
قــل قـــد جــــاء الــحــق وزهــق الــبــاطــل ان الــبـــاطـــل كـــان زهـــــــــوقـــــــا
صدق الله العظيم31 ANS DEJA QUE LE DERNIER SOLDAT ESPAGNOL QUITTAIT LE SAHARA
Trente et un ans déjà que le dernier soldat espagnol, affilié au corps d’armée coloniale qu’on appelait le « Tercio », quittait le territoire marocain au Sahara. Après des décennies d’occupation, le drapeau marocain s’était mis à flotter au-dessus d’une battisse qui servait de l’état major du gouverneur général de l’occupation,et qui se trouvait exactement au lieu dit :Souk Ezzaj l’un des rares bâtiments – consistant souvent en de simples baraquements – que l’Espagne franquiste avait « légués» au Maroc.
A l’ex-Villa Cisneros, rebaptisée Dakhla, un ferry avait embarqué l’essentiel des troupes et , seul avec quelques autres, était resté un colonel, chargé de passer le relais à notre vaillante armée .
La décolonisation était définitivement achevée en ce mois de février 1976. Laâyoune, Smara, Boujdour, Dakhla comme aussi les profondes localités du Sahara renouaient avec leur passé marocain et retrouvaient leur raison d’être, après une longue nuit coloniale.
Il faut replonger dans l’ambiance fiévreuse de cette époque pour mesurer la charge émotionnelle de ce retour en forme de justice rendue a notre pays. Pourtant, l’animosité du gouvernement algérien ne s’accommodait guère de cet apurement d’un conflit ayant opposé le Maroc et l’Espagne des décennies durant et mobilisé la diplomatie des deux pays et qui a connu son couronnement lors de l’accord de Madrid signé le 14 novembre 1975, en vertu duquel l’Espagne rétrocédait le Sahara à son ayant droit, le Maroc.
Cet accord tripartite signé sous l’égide des Nations unies, entériné par l’Assemblée générale fin décembre de la même année, stipulant que l’armée espagnole évacuerait le territoire au plus tard fin février, avait – a toujours d’ailleurs – valeur juridique irréfragable.
Croyant le contourner, et d’une certaine manière le piétiner, le gouvernement algérien a choisi de créer à la même date – celle du départ des soldats espagnols – la fantomatique<< rasd>>. Pis encore : il avait lancé des agressions contre notre pays, notamment à Amgalla, rappelant celle lancée en 1963 contre Figuig et les petites villes situées aux frontières du Sud-est.
Cette agression que l’Algérie de feu Boumediene assuma à l’époque, parce qu’elle était délibérément planifiée et exhalait un parfum de rancoeur, avait entraîné le 7 mars 1976 – il y a donc trente et un ans – la rupture des relations diplomatiques entre nos deux pays.
La mascarade des festivités organisée à Tifariti actuellement , agrémentée de communiqués triomphalistes, s’accompagne aussi d’une surprise : Alger entend relancer le plan Baker 2003… ! qui est enterré définitivement Ses diplomates, désarmés face au succès du projet d’autonomie et n’ayant rien d’autre à proposer, n’en démordent décidément guère.On exhume un texte ainsi, relégué déjà aux calendes grecques par les mêmes Nations unies qui en avait appelé à une solution négociée. والـــــــــــــــســــــــــــــــــلا م
[/b]Le parlement espagnol a refusé mercredi de souscrire à une proposition de loi portant sur la reconnaissance de l’utilisation par l’Espagne d’armes chimiques contre les populations civiles dans le nord du Maroc, au cours de la guerre du Rif (1921-1927) et l’indemnisation des victimes ou leurs descendants.
A l’initiative du groupe parlementaire du parti catalan de la Gauche Républicaine (Esquerra Republicana, ERC), la commission des affaires constitutionnelles au Congrès des députés (chambre basse du parlement espagnol), a débattu mercredi de la proposition de loi invitant l’Etat espagnol à reconnaître le recours « systématique » aux armes chimiques, depuis la débâcle espagnole lors de la bataille d’Anoual (1921), contre la population du Rif, alors que ces armements non conventionnels étaient interdits par les conventions de la Haye de 1899 et 1907.
La proposition de loi a été rejetée en commission par 33 voix émanant des rangs du Parti Socialiste Ouvrier espagnol (PSOE au pouvoir) et du parti d’opposition, le Parti Populaire (PP droite), les deux partis majoritaires au parlement espagnol.
Le texte a été soutenu par les 3 députés de la Gauche Républicaine catalane, de la Gauche Unie (Izquierda Unida) et du Parti Nationaliste Basque, siégeant au sein de cette commission.
Le promoteur de cette initiative parlementaire, , a déploré, dans une déclaration à la MAP, que le PSOE et le PP aient rejeté en bloc le texte « sans présenter aucun amendement qui aurait permis de parvenir à un consensus minimum ».Il a également déploré cette occasion ratée pour « la réconciliation et la fraternité entre les peuples des deux rives de la Méditerranée ». Il était important, selon lui, que l’Espagne « assume, après 30 ans de démocratie, la mémoire historique de l’Etat espagnol et reconnaisse sa responsabilité dans l’usage des armes chimique contre les populations du Rif ».
Une autre député et co-auteur de la proposition de loi a affirmé que l’Espagne « qui veut vendre son modèle démocratique devait demander pardon aux populations rifaines et pouvoir ainsi envoyer un signal positif pour renforcer la transition démocratique au Maroc ».Un autre défenseur de l’initiative parlementaire, député du Parti Nationaliste Basque a estimé que le rejet par le Congrès des députés espagnol de cette proposition constitue « une occasion perdue pour l’Espagne de se réconcilier avec son passé et sa mémoire historique ».
Une autre députée a assuré que son groupe parlementaire n’allait pas baisser les bras et qu’elle compte introduire un amendement à la Loi sur la mémoire historique en Espagne, qui se limite maintenant aux exactions et victimes de la guerre civile dans ce pays, pour « inclure le triste épisode de la guerre du Rif et l’usage d’armes chimiques contre les populations » de cette région du Nord du Maroc.
Le texte soumis aux députés espagnols invitait les autorités espagnoles à demander pardon aux populations du Rif, à répondre aux demandes d’indemnisation qui pourraient être formulées, à titre individuel, par les victimes de cette agression ou par leurs ayants droit.
Les promoteurs de cette proposition de loi demandaient également au gouvernement espagnol de lancer, dans le cadre de la coopération maroco-espagnole, des programmes de développement dans le Rif, notamment dans les régions de Nador et Al Hoceima, en guise d’indemnisation collective pour les dégâts subis par les populations de ces régions.
Le gouvernement espagnol était également appelé à doter les hôpitaux des villes de Nador et Al Hoceima d’unités d’oncologie pour traiter les patients qui souffrent toujours de pathologies causées aux victimes ou transmises à leurs descendants par ces armes chimiques, notamment des cancers.Sujet: »le BURKINI »
Entre burqa et bikini, une musulmane australienne invente le « burkini » ..
Afin de permettre à ses coreligionnaires de pouvoir elles aussi s’adonner aux joies de la plage, tout en respectant leurs convictions, une musulmane australienne a inventé le « burkini », croisement entre le bikini sexy et la stricte burqa.
« Je la regardais jouer: elle portait un voile, une chemise longue et des pantalons. Et, par dessus tout, elle avait enfilé le maillot et la jupe de son équipe. Je me suis dit: +Mon Dieu, on doit pouvoir faire quelquechose+ » : c’est en regardant sa nièce jouer au netball (sorte de basketball) qu’Aheda Zanetti a décidé de concevoir elle-même une tenue qui serait à la fois pratique et « religieusement correcte ».
« Un si grand nombre de filles et de femmes ne pouvaient pas pratiquer de nombreux sports, dont la natation… Il n’y avait rien de vraiment pratique pour elles… Le tissu, la conception… ça n’allait pas », explique la Libanaise d’origine.
A 39 ans, elle a ainsi décidé de laisser tomber une carrière de coiffeuse pour laquelle elle venait d’être formée, et de se lancer dans le stylisme.
La mère de quatre enfants, qui n’a jamais porté la burqa, a d’abord conçu un haut qui reliait un voile à une chemise, avant de se lancer dans des tenues de sport plus complètes et de jeter son dévolu sur les maillots de bain.
Dans un pays où la plage est une véritable « culture », que ce soit pour le surf ou la simple baignade, il y avait « un vide qu’il fallait combler », se souvient Mme Zanetti.
La styliste crée alors le « burkini »: un costume de bain en polyester, d’une rigoureuse couleur noire, qui enveloppe l’ensemble du corps, des cheveux jusqu’aux chevilles.
Depuis, sa société « Ahiida », installée dans une banlieue de Sydney, reçoit aujourd’hui des centaines de commandes, venues de toute l’Australie mais également de l’étranger.
Coïncidant avec le centenaire des Surfeurs sauveteurs en mer d’Australie, Mme Zanetti a également sorti un burkini rouge et jaune, aux couleurs des sauveteurs.
Pour la jeune Mecca Laalaa, 20 ans, cela a été le déclencheur qui l’a convaincue de rejoindre le programme d’entraînement des maîtres-nageurs. « Ce que je portais pour nager m’empêcher de m’impliquer dans des activités nautiques… Pour moi, le burkini signifie que plus rien ne peut m’arrêter », témoigne-t-elle.
Le nouveau « maillot » a reçu la bénédiction du mufti d’Australie, le cheikh Taj Aldin al-Hilali. Les musulmans sont 300.000 dans le pays, sur une vingtaine de millions d’habitants.
Mais, pour « libérateur » qu’il apparaisse aux musulmanes, le burkini n’en a pas moins suscité la controverse dans une Australie où il y a un peu plus d’un an, en décembre 2005, des émeutes avaient éclaté sur la plage de Cronulla, à Sydney, entre des jeunes originaires du Moyen-Orient et des Australiens de souche européenne venus « reprendre possession » du rivage.
Mme Zanetti indique ainsi avoir reçu des courriels racistes mais elle fait également l’objet d’une menace de mort venant d’un musulman qui qualifie son costume de « honte ».
Il en faut cependant plus pour décourager la styliste: « Je n’y prête pas réellement attention ».
SYDNEY (AFP) ➡
qu’en pensez vous ??