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Bonjour je suis à la recherche des prix des salles pour reception en avril à oujda?
Pouvez vous m’aidezsalut tt le monde,
on a bcp parlé des femmes d’oujda et des changements qu’elles ne cessent pas de nous surprendre mais faux savoir que l’homme dans tous ca et loin d’etre un ange, d’aprés des amies a moi le taux de divorce a oujda a augmenté jconnai mm des cas rééls, on vois une femme a peine marié depuis 6 mois é deja elle commence les procedure de divorce é d’apré c cas rééls le seul reponsable c l’homme jveu dire ke a la maison ilé son mari mais ds la rue c une autre personne un homme NULLEMENT MARIé un coureur de jupon com on dis. é ce ki est grave ds l’affaire c kon trouve des femme a peine agé de 20 ou 19 é deja divorcé 😕 é personnlement jtrouve ke c tres inkietant car le mariage é qq chose de sacré c pas un jeux ❗ ❗Les divorces «explosent» à Oran
Les mariages et les divorces explosent à Oran, mais les séparations sont plus nombreuses que les unions. Ces dernières années, le nombre des mariages était plus ou moins égal à celui des divorces. Cependant, cet équilibre s’est brutalement rompu l’année passée avec un taux de divorce record de 78%, selon le service des mariages de la commune d’Oran. «On n’a jamais vu autant de divorces que l’année passée. C’est incroyable. Même cette année, nous avons remarqué qu’il y a beaucoup de couples qui divorcent», affirme une employée du service des mariages. Le taux de divorce de 78% atteint l’année passée est sur toutes les bouches au niveau de la mairie d’Oran. Tout le monde en parle. Chacun essaie d’analyser, à sa façon, le phénomène qui gangrène la société algérienne.Certains accusent le nouveau code de la famille, d’autres la crise économique et sociale. Le logement serait l’une des causes principales de l’augmentation des cas de divorce. Les mariages de complaisance sont également les plus fragiles, d’autant que les familles sont de moins en moins associées dans les décisions de mariage. «Les jeunes se marient en été et divorcent en hiver. En six mois, ils découvrent, pour une raison ou une autre, qu’ils ne peuvent pas continuer à vivre ensemble. Certains se remarient juste après. En août dernier, nous avons atteint les 110 mariages par jour. Un record. C’était vraiment beau de voir autant de nouveaux mariés chaque jour à la mairie. Même durant le Ramadhan, les mariages ne s’arrêtent pas, avec une moyenne de 20 par jour. Mais quelques mois après, les filles en larmes commencent à venir pour signaler le divorce», explique une employée de la mairie. Autre phénomène qui prend de l’ampleur, de plus en plus d’adolescents se marient. Filles et garçons qui n’ont pas atteint l’âge légal du mariage sont de plus en plus nombreux à célébrer leurs noces. «Ils ramènent une dérogation de la justice et se marient. Ce sont ceux-là qui divorcent le plus, contrairement aux couples dont la moyenne d’âge est plus grande», affirme une autre employée qui s’attend à une fin d’année «bien chargée» et des divorces à la pelle.
Hamid G. Quotidien d’Oran, le Dimanche 22 Octobre 2006.
Précision : Code de la famille en Algérie = Moudaouana au Maroc.
Alors, que vont nous dire maintenant les défenseurs « du droit de la femme ».Pour juger sur pieces, voici ce texte
Face aux intimidations islamistes, que doit faire le monde libre ?
par Robert Redeker
Les réactions suscitées par l’analyse de Benoît XVI sur l’islam et la violence s’inscrivent dans la tentative menée par cet islam d’étouffer ce que l’Occident a de plus précieux qui n’existe dans aucun pays musulman : la liberté de penser et de s’exprimer.
L’islam essaie d’imposer à l’Europe ses règles : ouverture des piscines à certaines heures exclusivement aux femmes, interdiction de caricaturer cette religion, exigence d’un traitement diététique particulier des enfants musulmans dans les cantines, combat pour le port du voile à l’école, accusation d’islamophobie contre les esprits libres.
Comment expliquer l’interdiction du string à Paris-Plages, cet été ? Étrange fut l’argument avancé : risque de «troubles à l’ordre public». Cela signifiait-il que des bandes de jeunes frustrés risquaient de devenir violents à l’affichage de la beauté ? Ou bien craignait-on des manifestations islamistes, via des brigades de la vertu, aux abords de Paris-Plages ?
Pourtant, la non-interdiction du port du voile dans la rue est, du fait de la réprobation que ce soutien à l’oppression contre les femmes suscite, plus propre à «troubler l’ordre public» que le string. Il n’est pas déplacé de penser que cette interdiction traduit une islamisation des esprits en France, une soumission plus ou moins consciente aux diktats de l’islam. Ou, à tout le moins, qu’elle résulte de l’insidieuse pression musulmane sur les esprits. Islamisation des esprits : ceux-là même qui s’élevaient contre l’inauguration d’un Parvis Jean-Paul-II à Paris ne s’opposent pas à la construction de mosquées. L’islam tente d’obliger l’Europe à se plier à sa vision de l’homme.
Comme jadis avec le communisme, l’Occident se retrouve sous surveillance idéologique. L’islam se présente, à l’image du défunt communisme, comme une alternative au monde occidental. À l’instar du communisme d’autrefois, l’islam, pour conquérir les esprits, joue sur une corde sensible. Il se targue d’une légitimité qui trouble la conscience occidentale, attentive à autrui : être la voix des pauvres de la planète. Hier, la voix des pauvres prétendait venir de Moscou, aujourd’hui elle viendrait de La Mecque ! Aujourd’hui à nouveau, des intellectuels incarnent cet oeil du Coran, comme ils incarnaient l’oeil de Moscou hier. Ils excommunient pour islamophobie, comme hier pour anticommunisme.
Dans l’ouverture à autrui, propre à l’Occident, se manifeste une sécularisation du christianisme, dont le fond se résume ainsi : l’autre doit toujours passer avant moi. L’Occidental, héritier du christianisme, est l’être qui met son âme à découvert. Il prend le risque de passer pour faible. À l’identique de feu le communisme, l’islam tient la générosité, l’ouverture d’esprit, la tolérance, la douceur, la liberté de la femme et des moeurs, les valeurs démocratiques, pour des marques de décadence.
Ce sont des faiblesses qu’il veut exploiter au moyen «d’idiots utiles», les bonnes consciences imbues de bons sentiments, afin d’imposer l’ordre coranique au monde occidental lui-même.
Le Coran est un livre d’inouïe violence. Maxime Rodinson énonce, dans l’Encyclopédia Universalis, quelques vérités aussi importantes que taboues en France. D’une part, «Muhammad révéla à Médine des qualités insoupçonnées de dirigeant politique et de chef militaire (…) Il recourut à la guerre privée, institution courante en Arabie (…) Muhammad envoya bientôt des petits groupes de ses partisans attaquer les caravanes mekkoises, punissant ainsi ses incrédules compatriotes et du même coup acquérant un riche butin».
D’autre part, «Muhammad profita de ce succès pour éliminer de Médine, en la faisant massacrer, la dernière tribu juive qui y restait, les Qurayza, qu’il accusait d’un comportement suspect». Enfin, «après la mort de Khadidja, il épousa une veuve, bonne ménagère, Sawda, et aussi la petite Aisha, qui avait à peine une dizaine d’années. Ses penchants érotiques, longtemps contenus, devaient lui faire contracter concurremment une dizaine de mariages».
Exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran.
De fait, l’Église catholique n’est pas exempte de reproches. Son histoire est jonchée de pages noires, sur lesquelles elle a fait repentance. L’Inquisition, la chasse aux sorcières, l’exécution des philosophes Bruno et Vanini, ces mal-pensants épicuriens, celle, en plein XVIIIe siècle, du chevalier de La Barre pour impiété, ne plaident pas en sa faveur. Mais ce qui différencie le christianisme de l’islam apparaît : il est toujours possible de retourner les valeurs évangéliques, la douce personne de Jésus contre les dérives de l’Église.
Aucune des fautes de l’Église ne plonge ses racines dans l’Évangile. Jésus est non-violent. Le retour à Jésus est un recours contre les excès de l’institution ecclésiale. Le recours à Mahomet, au contraire, renforce la haine et la violence. Jésus est un maître d’amour, Mahomet un maître de haine.
La lapidation de Satan, chaque année à La Mecque, n’est pas qu’un phénomène superstitieux. Elle ne met pas seulement en scène une foule hystérisée flirtant avec la barbarie. Sa portée est anthropologique. Voilà en effet un rite, auquel chaque musulman est invité à se soumettre, inscrivant la violence comme un devoir sacré au coeur du croyant.
Cette lapidation, s’accompagnant annuellement de la mort par piétinement de quelques fidèles, parfois de plusieurs centaines, est un rituel qui couve la violence archaïque.
Au lieu d’éliminer cette violence archaïque, à l’imitation du judaïsme et du christianisme, en la neutralisant (le judaïsme commence par le refus du sacrifice humain, c’est-à-dire l’entrée dans la civilisation, le christianisme transforme le sacrifice en eucharistie), l’islam lui confectionne un nid, où elle croîtra au chaud. Quand le judaïsme et le christianisme sont des religions dont les rites conjurent la violence, la délégitiment, l’islam est une religion qui, dans son texte sacré même, autant que dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine.
Haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est éduqué, le Coran. Comme aux temps de la guerre froide, violence et intimidation sont les voies utilisées par une idéologie à vocation hégémonique, l’islam, pour poser sa chape de plomb sur le monde. Benoît XVI en souffre la cruelle expérience. Comme en ces temps-là, il faut appeler l’Occident «le monde libre» par rapport à au monde musulman, et comme en ces temps-là les adversaires de ce «monde libre», fonctionnaires zélés de l’oeil du Coran, pullulent en son sein
😥 😥
c le texte de ce philosophe
à qui le tour la prochaine fois
et dernierement une mosqueé en balieue parisienne a été cible de tags
racistes personne n’en parle
les autorites musulmanes ou representants des musulmans en France font pas grand chose
😥 😥
