Résultats de la recherche sur 'origine d un nom'

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15 réponses de 46 à 60 (sur un total de 341)
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  • #280987
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant


    L’AU-DELA , C’EST COMMENT POUR L’AMOUR ?

    M_ L’Au-delà, c’est comment, pour l’amour ?
    S_ J’y étais et je n’ai pas pratiqué !
    M_ Et, tu es venue me chercher, juste pour cela ? C’est beau ?
    S- C’est sublime et extatique à ce qu’on dit. Et j’ai vu des gens heureux, comme je te vois. N’oublie pas que j’en reviens, à peine.
    M- Moi, je n’en reviens, pas du tout !
    S_ J’ai été dans cette ruche des âmes qui attendent la résurrection et les retrouvailles de leurs corps…
    M_ J’espère pour ma part qu’il sera plus grand, moins vieux, plus beau et plus fort. Et que je le reconnaitrais quand même, comme étant moi ou encore à moi ! Que restera-t-il d’utile à revivifier de ces carcasses périmées, pourries ou rouillées qu’ ?
    S_ Je sais que les corps sont réappropriés, avant d’aller devant la Cour, dans cette grande esplanade, afin d’écouter le Jugement Dernier.
    M_ Ça va prendre du temps pour nous passer tous ! Je n’aime pas faire, ni me suis habitué à faire la queue ! Si tu ne me sauves pas, on va bien me plaindre et se moquer de moi !
    S_ Je n’ai aucun droit aux intercessions, mon ami !
    M_ Essaie toujours dans tes prières, de me débrouiller un bon avocat, une jolie Sainte pour demander de la mansuétude pour moi et de la commisération !
    S_ Ce su tu me demandes, nous éloigne des lits coquins de ces braves ministres qui nous guident et qui restent vivaces, malgré tout ce que nous leur faisons comme misères ! Ça nous fait oublier, ces gentillesses de cour. Ces cours de gentlemen qu’ils font, rarement, et avec sympathie publiquement !
    M_Mais là, j’ai un papier que je me dois de rendre à mes ouailles. C’est urgent. Sinon, que ça presse ! Et ciao à la couverture de l’événement. Le train va partir sans vous…
    S_ Ils partent touts seuls, chez vous !
    M_ Ils vont se fâcher à l’ONCF.
    S_ Pour un café, le pauvre gars, a lâché son train !
    M_ Et les féministes et les machos, je vais les avoir tous sur le dos.
    S_ Oh, la Sainte Alliance que voilà !
    M_ La main dans la main ! Ils vont s’unir contre moi à la rédaction. Tous les journaux confus, heureux et confondus ! Ils vont se plaindre, qui à Poutine, qui à Natanyahoo, qui à Obama. Et se plaindre devant tous les Partis confondus ?
    S_ Bref, te crucifier !
    M_ Ils vont me reprocher toutes ces idées saugrenues, retardées ou trop en avance ! Et le les attribuer. Toutes ces balivernes avariées, que je récolte, qui du boulevard, qui des bars, auprès des gens. Ils vont me les coller, comme si c’était de moi que ça sortait, vraiment ! Alors que ce ne sont guère les miennes, d’idées, ni celles que j’entends !
    S_ Et les miennes, tu crois je les ai héritées ou inventées ? Je te les dois !
    M_ Ces idées, on me les a inculquées ! On me les a faites sur mon dos, à l’école, dans la rue, les salons, tant entre nos deux pays, que sur le Net. Ou après ma mort et ma résurrection ! Alors, là, ça vient de toi,
    S_ J’ai de l’expérience…Toi, de l’overdose !
    M_ Moi aussi ! Mais, cette dernière expérience-là, celle de l’Au-delà, dont tu reviens ! Ça me fout les boules, que je n’ai pas ! Il y a des gens qui ne croiront pas à ce mystère ! Ils vont penser à une fraude, à une fiction…Et pourtant Mamy Student, tu es là, tu es revenue à Nous ! Je te reconnais ? Ça y est ! C’est un miracle. Alléluia !
    S_ Non pas ! Je n’ai plus ce visage ridé, qui date de la création de Kénitra ! Mais un autre aussi affable mais plus jeune, il est vrai…Ça te va ?
    M_ Et plus agréable, quasi sexy, encore !
    S_ Ce trait-là qui me convient bien, Maidoc ! Mais je garde mes atours et mes vêtements.
    M_ Je ne t’ai rien demandé encore, Mamy ! Nous sommes dehors et je viens te parler du lit du ministre et de ceux-là qui se marient ! Je ne t’ai pas invité au mien…Je n’ai pas les moyens de ces literies, là !
    S_ Oui, je préfère palabrer que subir ta cour. Mais au fait, comme je ne suis plus ce visage de grand-mère, nous pourrions aller à la piscine nous dorer, et aller sans complexes, sur les plages nous bronzer ! Ce sont des fenêtres sur le paradis.
    M_ La zombie au beau visage, c’est ça. Je faire un papier ou un poème, carrément toutes affaires cessante, pour toi ! Tu l’accrocher au paradis, à côté de notre selfy, pour dire qu’il vient de moi !
    S_ Celle du visage et de mes précédentes vies, n’est plus là ! Tu te rappelle quand j’encadrais les filles de votre ministère, du temps de la fille Bassou !
    M_ Ce n’est pas Bassou ! Bassou, c’était moi.
    S_ Zut et pardon à la fois, si j’ai écorné un membre de ta tribu ou à toi.
    M_ Tu es excusée. Tu fais maintenant des miracles. Et dire que je te prenais pour un dictionnaire. La muse de Wikipédia !
    S_ Pas tant que ça ! C’est Baddou que j’avais servie dans une précédente vie ! La femme ministre députée du Parti de la Liberté, ravi par ce sabbatique Chabat. La sirène de l’électricité et des eaux !
    M_ L’ONEE ! Honnie soit qui mâle y panse !
    S_ Toujours avec tes jeux de mots, stériles et complexes ! Tu n’as ni vieilli, Maidoc, ni fait des progrès ! Je devrais ouvrir des classes pour les handicapés!
    M_ Oh maitresse zombie, fais-moi des faveurs !
    S_ Des ferveurs, je ne pourrais !
    M_ Donne-moi de bonnes notes de temps en temps !!!
    S_ Je ne suis plus cette vieille chipie…
    M_ Tu as précédé ma pensée…
    S_ Je devine aisément ce que pensent les hommes devant moi !
    M_ Tu lis dans mes pensées…
    S_ Je peux voir ce que les molécules des cellules neuronales qui te restent ! Et comment elles ressortent de son hippocampe, les influx électrochimiques qui mobilisent les muscles de ton larynx pour prononcer des mots ou les garder en mémoire dans ton impudique aire cérébrale !
    M_ Raconte-ça à d’autres ! La science n’est pas encore arrivée à ces prouesses. Laisse ça aux devins ! On a dépassé le Moyen-âge ! Laisse-moi parler aux gens des mœurs sexistes de leurs bons ministres !
    S_ Bof, tu es resté tel que je t’ai connu. Incrédule et naïf à la fois ! Je vais un jour t’analyser et te dire comme te surpasser…
    M_ Ma brave concierge, Student ou pas ! Je te laisse divaguer, mais pour mon papier, que penses-tu du lit de service, du ministre, en tant que femme !
    S_ ça y est on en a parlé ! Ce n’est pas un internat de jeunes filles, nues et délaissés, pour en faire un paragraphe à chaque page ! Paie-toi aussi un lit et on n’en parle plus !
    M_ Je dors debout ou sur le clavier !
    S_ Qui te parle de dormir ? Il est question de se reposer et non de coucher ! Ce n’est pas moi qui lui fais son lit ni qui le lui ai vendu ! Alors, la paix !
    M_ Oui seulement la paix, avec celle qui hier, radotait encore, par delà ses doctorats ! Elle, qui me faisait écrire ses péripéties et ses épisodes ! Or, j’ai soldé le stéthoscope pour acheter une plume ! Au lieu de faire le bureau, je fais le trottoir.
    S_ Il n’y a pas de sot métier. Tu rencontreras là, plus de femmes qui travaillent, que d’hommes. Ces scanneurs de fesses, figés aux cafés, qui balayent les jambes et le minois des passantes !
    M_ C’est un monde qui a besoin d’être connu…Ses humains, leurs choses ! Les yeux scrutent et décrivent ce que le cerveau veut regarder !
    S_ Ah bon ! Passons ! Oublie-les un moment ! Ôte ta blouse et jette ton stylo !
    M_ J’écoute !

    AMOURS PLATONIQUES, PLATS OU TONIQUES

    S_ Me voilà, rajeunie, ça te vas ? Ça va te conquérir, je crois? Ou, dois-je attendre longtemps ! Je m’étais éprise de toi, alors que tu fus mon précédent Toubib, tu m’avais conquise, je crois…
    M_ Platoniquement, seulement ! Tu me dépassais d’un siècle. J’avais de l’admiration pour ta culture et ta prestance d’européenne, quasi convertie…En tous cas, pleine d’élégance sans arrogance aucune…
    S_ Et moi, je respectais le médecin. Mais, quand tu parles d’amour platonique, tu mens, mon bonhomme ! C’était un peu plus que ça !
    M_ Je ne m’en suis pas aperçu. Quand je te donnais des soins, tu fantasmais, je crois ! Car j’étais jeune…Et marié à la fois !
    S_ Un jeunot pour moi, certes ! Mais, ce ne n’étaient pas des freins…Tu avais des cerbères que je ne voulais pas faire aboyer !
    M_ Mais, maintenant, j’habite un vieux vélo. Un robot de corps, malade et déplaisant…
    S_ Nonnn!
    M_ Siii ! C’est un corps, un tas de chairs rouillées, qui datent de la deuxième guerre mondiale. Nous naissions dans les arrières. Notre colonie fournissait du blé. Et des soldats d’infanterie.
    S_ Bref mon fils, ou mon chose, je suis une conquérante, une exception non ! Je suis conquise par cette vie-là. Bien sûr, il y a l’autre. Je la connais, j’en reviens. Mais, c’est toujours la Student, plus pimpante encore que jamais et moins respectueuse des us surannés et des extrémismes patents ! Qu’ils soient religieux ou laïques, des individus développés du nord ou de ceux attardés et séquestrés au Sud dans leurs sous développements.
    M_ Et comment ! Arrives-tu à joindre entre ces deux vies ?
    S_ Alternativement. D’une archive, périmée, j’ai changé mon karma. D’une carcasse où végète un esprit en mal de voyages, à travers les hommes et les temps, le destin me réanime et me donne corps, pour Te retrouver Toi et tes problèmes. Ceux de ton pays, le mien maintenant et de notre cité ! Et je ne sais plus encore vers où le destin et mes missions peuvent encore m’emporter!
    M_ Alors tu es devenue marocaine ?
    S_ Plus que je ne l’ai jamais été.
    M_ Calmez-vous, Princesse ! Ce n’est pas moi qui donne les papiers de nationalité aux immigrés.
    S_ Je mes ai déjà eus. Regarde, ils sont là !
    M_ Alors, le lit du ministre. Son tapis volant…Sa fenêtre vers le septième ciel ou vers la Mecque ! Est-ce que tu penses, maintenant que tu connais les autorités et que tu dessers l’administration, qu’il va avoir des primes pour ses transports, au septième ciel et ses déplacements pour ces missions célestes-là?
    S_ Lui, ne fera que pousser. Il assurera les voyages sans devoir se les faire !
    M_C’est ça l’altruisme ou pas ! On se casse pour vous et c’est vous qui flottez ! Mesdames.
    S_ T’inquiète ! On fait semblant pour ne pas vous décevoir ni vous perdre. Et mieux ou pire, c’est pour vous éviter de casser votre égo, votre estime pour vous-mêmes ! Messieurs ! Restez corvéables, on vous accepte, on vous fait entrer en nous, on vous comprend. La nature est ainsi faite. Ce n’est pas moi qui ai inventé la biologie, ou la sexualité qui est d’abord, la pérennité de la vie et sa transmission.
    M_ Purée, t’as pas changé, la teigne, qui caricature sans couleurs à dessein ! Même nos ministres, tu ne les respectes pas ! Ça se voit tu es restée française, chiante comme Charlie, malgré ta mort ! Et intrigante, magnifique, orgueilleuse et dédaigneuse, supérieure à toutes les femelles, comme devant ! Une 4×4 de luxe, comme je les déteste en plus aguichante qu’avant, comme je les aime.
    S_ Non, je ne connais pas le devoir de réserve. Là où je rennais, c’est mon pays et je le défends. Je défends la patrie et ma cité, là ou je mange de son pain.
    M_ On importe le blé de loin ! Tu sais ?
    S_ Taquin comme toujours ! Je n’ai pas besoin de m’exiler, je suis chez moi là où je rennais !
    M_ Et quand tu étais en Israël, que leur as-tu dis ?
    S_ ‘’Alors, aimez-nous au lieu de nous exclure, de nous gommer et faute de nettoyage final, nous emprisonner ! ’’Rien de plus Votre Honneur !
    M_ Ah ! Faut-il dire, toi ou vous ? Tu es sûre que tu es marocaine ? Maintenant du moins.
    S_ Comme il te sied ! Je suis marocaine et pro marocaine dans cette vie-là ! Et pour les jeunes lecteurs, un rappel. Je ne suis pas israélienne ni juive, mais alsacienne et catholique d’origine ! Cousine du Maréchal Lyautey. Je rappelle aussi que ce fut dans ma précédente vie.
    M_ C’est un défi conscient ou un pari aveugle pour toi ? Les femmes d’ici sont complexes et sourdes !
    S_ Fais gaffe ! Tu m’insultes et je suis karatéka. Elles t’entendent même de loin et elles te comprennent, à travers moi !
    M_ On a beau leur expliquer, elles pinaillent comme des gauloises, mal allumées ! Avec nos nosse-nosse, barbares, qui y perdraient leur langue, je ne sais pas entre quelles dents ! Je veux dire leur bas-latin.
    S_ Aucune des femmes ne te pardonneras si tu te présentes aux élections. Et aucune ne viendra te consulter si tu redeviens médecin.
    M_Baratin ? Qu’est-ce que tu insinues-là ?
    S_ Tu profanes les lieux sacrés, impudent ! Les femmes sont des lieux de culte. Il faut les entrer, respectueusement calmement et prudemment ! Sans quoi leurs dieux ladres te maudiront.
    M_ J’aime bien ce que tu dis. Je ne profane personne et ne viole aucun lieu de culte. J’y fais mes dévotions avec aménité et courtoisie. Toujours avec amour et respect…

    AMOURES MINISTERIELLES

    M_ Je veux dire qu’un cadre supérieur, un ministre, fut-il des relations, sexuelles et même des textuelles, ne peut jamais satisfaire toutes les parties ! Toutes seront en manque d’hommes de valeurs ! On ne peut pas satisfaire tout le monde au bureau. Non plus ! Aussi façonnent-t-il un autre lieu de travail complémentaire ! D’autres lieux de contacts, d’écoute et de communications, avec tant d’autres partenaires. Ministre ou pas, bardés de diplôme et de valeurs, la moralité religieuse ou laïque, en suce !
    S_ erreur orthographie ! On ne suce rein gratuitement ! C’est en sus qu’il faut écrire.
    M_ Je disais que la bête politique qui est en eux, garde ses prières, sa religion, son culte, mais aussi ses prérogatives en éveil et super actives : les instincts libidineux ! S’ils sont islamistes, ils ne sont pas asexués pour autant.
    S_ Arrête, on a compris ton jeu, Maidoc ! Avec une tablette et autre moyen de contact, le ministre a un large panel d’adresses et de conseillers. Il peut communiquer de chez lui et même de loin.
    M_ Chez, lui il n’aura pas la paix. Et la nuit, il la réserve à ses enfants…Question de les éduquer ou d’en faire de bons musulmans. Toi, la chérie en jachère, ô ma Kasbah non violée, tu ne peux pas savoir !
    S_ Pouf, à d’autres ! Sérieusement, es mails seront plus directs et leurs effets interactifs et efficaces sur le champ. Ne me raconte pas ! Il y a à chaque fois beaucoup d’aides disponibles à honorer.
    M_ Va, continue, si tu veux être son avocate ! Leur avocate, à ces ministres !
    S_ Par exemple, il y a des gens qui souffrent du dos et qui travaillent mieux, assis. Oui ou non ?
    M_ Oui, c’est certain !
    S_ Ou sur leur côté à (gauche), libérant ainsi leur droite pour gratter une note. Ou carrément assis sur un lit, leur ordi portable sur les genoux, bien en face d’eux ! Peut-il faire ça au bureau ?
    M_ Non jamais !
    S_ Pourquoi pas un ministre, Maidoc ?
    M_ Ce serait aussi cocasse que le cas Clinton.
    S_ Hilary n’avait pas ri alors ! Elle veut devenir présidente pour se venger.
    M_ Il s’est avéré qu’un certain lobbie lui avait collé une stagiaire, une jeune lubie, entre les pattes, pour l’affaiblir et lui pomper son mari ! Tu sais ça !
    S_ Ah, Ok ! Tu parles de son rapprochement des Palestiniens ? Mais en fait, c’était un homme de paix. Et à l’écoute de toutes les parties en litige au Proche-Orient.
    M_ Je ne m’en rappelle pas ! J’étais jeune ou que j’ai oublié. N’empêche que pour revenir aux femmes..On a beau leur expliquer, elles pinaillent comme une prof gauloise, qui a raté aux examens son épreuve de français
    S_ Là, je ne te comprends pas…
    M_ Oui, c’est ce que je te disais quand je devisais. Une vieille prof, ça ne comprend plus rien ! Et ça ne plaisante pas, non plus. Rigueur formelle et rigidité structurelle ! Des ruades parfois et au coin les petits garnements ! ! Privé de dessert. Alors, plus grand, ayant affaires aux mêmes ruades, mariés, en copinage ou pas, on va respirer ailleurs ! Une bouffée de cigarette mortelle, une bière ou plusieurs ! Ou d’autres biberons encore, quand on en a l’opportunité, les moyens et l’heur !
    S_ Mais tu parles de qui en fait, Mon Doc ? Tu saute des femmes au lit, des enfants aux ministres? Tu radotes à perte de vulves ! Ou tu délires très gros ? Partout, mariage égale convenances, accrochages, réadaptations, pardons et entente, parfois ! Je ne suis pas psychiatre. Je ne saurais te guérir, mon pote ? Même si c’est pour moi ! Et je te sais libre…
    M_ Libre d’esprit, mais pas de corps. Il appartient à ses maladies et autres pharmaciens qui me soignent à crédits…
    S_ N’exagère pas, Toubib-scripteur !

    ON PEUT M’AIMER, MAIS JE NE COUCHE PAS !

    M_ Madame Student, que pensez-vous du mariage ?
    S_ Mademoiselle, STP ! De quel mariage en fait ?
    M_ Le mariage de profit, le temporaire arabique, de profit temporaire, ou le chronique messianique ?
    S_ Ça revient à une prostitution à long terme ou à un mercenariat ? Dis ! Car, c’est à chaque fois une affaire, non de cœur, mais de sexe et d’argent. Ne nous mentons pas A Weldi !

    M_ Je ne suis pas ton fils ! Hé ! Tiens tu parles arabe maintenant ?
    S_ Oui arabes dial chaêb, l’arabe dialectique ! Euh, dialectal, populo !
    M_ J’aime bien ton jeu ! Pour une polémiste, ça gaze ! Des mots !
    S_ Je disais que vos mariages, d’ici, qu’ils sont laidement matérialistes. Ils sont devenus massivement coûteux. Les filles chassent les hommes…
    M_ Oui, oui elles les attisent et les attirent !
    S_ Non pas ‘’essyada be eddarija, a Sid journaliste’’! Mais, elles les tirent à force de pinailler, elles les pourchassent en les fusillant.
    M_ Elles se marient bien plus tard pour se disputer avec les homuncules restants pour des affaires de deux sous !
    S_ Allah yester !
    M_ Ah, tu es devenue musulmane aussi ?
    S_ Je connais Dieu plus que quiconque et plus que vous autres encore.
    M_ Oui, je men souviens, tu l’as dit plus haut !
    S_ C’est lui qui m’envoie. Et comme le dit cette gourde du journal l’Hexagone, le mariage rejoint l’adultère et la tromperie.
    M_ Pour cette philosophe française, il n’y a que copinage ou la vie libre à deux, homo ou hétéro, qu’on respecte chez ces démocrates laïques que vous êtes devenus ! Vive la République ! Yak a Si Drilyak »
    S_ Qui c’est Drilyak ? Un surnom ?
    M_ Un compère du Lions ! La valeur du progrès chez les identités supérieures est sidérante pour moi, comme pour toi, ma chère voisine. Et, quand je te parle de nos ministres.
    S_ J’en rajoute ! Yak ?.
    M_ C’est ce qui me plait et que je veux rapporter au Journal, parce que c’est précieux et rare…Venant d’une femme particulière, qui a de la jugeote
    S_ Et surtout qui n’a pas de copain aux arrhes ni de mari arraisonné !
    M_ C’est sûr, Alors tu es libre pour moi ?
    S_ Oulad lahlal !
    M_ Oui, ces deux ministres ce sont des oulad lahlal ! Des purs, sincères et bien éduqués !
    S_ Quoique disent, avec moqueries, leurs virulents et vicieux détracteurs !
    M_ Voilà une histoire d’amour, digne d’être écrite et d’inspirer un bon film ou un feuilleton.
    S_ Elle est comme le conte de Cendrillon et des Mille et Une Nuits. Bien mieux que ces films à la noix turque !
    M _ Nos deux héros, sont dignes du gynécée de la République. Ils lui donneraient une leçon au chef hollandais des gaulois en fonction.
    S_ Mais c’est sa vie de chef ! Ce sont leurs mœurs.
    M _ Ghi ma yabqaouche yfouhou âlina douk lagouares.
    S_ Nos, vos ministres Maidoc, montrent par leurs amours tenaces, par leur bravade et leur courage, une volonté rare ! Celle en milieu musulman, de monarchie séculaire mue par la force de la religion…
    M_ Et qui plus est, Student, pour des adeptes islamiques, de dépasser les us et de bouleverser des mœurs extrémistes, que nous sommes des libéraux et pas extrémistes…
    S_ Sur cette affaire-là ! Du moins ?
    M_ Ça montre que le gouvernement n’est pas fixiste et balisé avec les histoires figées de nos ancêtres musulmans !
    S_ Pourvu que les concernés continuent le scenario qu’ils écrivent, avec des lyrics plus francs, des râles plus persuasifs et moins étouffés.
    M_ Et qu’ils les donnent à des acteurs de bon aloi pour les jouer.
    S_ Si j’étais encore jeune, j’aurais joué ça pour eux ! Sans me faire payer, juste pour égayer ces jeunots des planches, comme j’ai pu le faire avec des amis, du temps de Si Ahmed Tayeb Laaleuj, Allah yarehamHoum ! Rien que de l’art pour du ‘’lard’’ ! »
    M_ Oui. Merci ma chère voisine. On en apprend choses chez le bon peuple avec ces interviews du trottoir ! Comme celui que tu m’as donné.
    S_ Y a pas de trottoir qui tienne. Moi je tiens à ma réputation. Je travaille pour les orphelins et les associations. Je n’ai besoin d’aucun mâle pour m’exploiter. Si je prends un homme, c’est pour l’admiration. Il se doit de m’épater…
    M_ Tu vas rester éternellement jeune fille, Mme Student…
    S_ Mademoiselle, anatomiquement vraie, STP ! Et depuis des siècles, je te le rappelle. On peut m’admirer, m’aimer, mais je ne couche pas !
    M_ Alors, il doit être fossilisé chez toi ? Ma Pauvre ! Il n’a pas servi depuis des siècles, il est atrophié. Ou qu’on va y trouver du pétrole. Avec ça, qui veux-tu conquérir ?
    S_ Un prince arabe qui a besoin de ce puits ! Tiens ! Avec ça, il pourra acheter un harem du Maroc ! Et je te laisserais, Papy, à celles qui ne veulent plus de toi.
    M_ Je dois envoyer au four ma production. La clôture du journal est immédiate.
    S- Oui, à plus !
    M- Je vous apporterai un exemplaire de mon hebdo, avec votre photo et vos mots. Les gens ont besoin de mieux voir ceux qui les gouvernent. Et les pontes ne doivent pas descendre, dans la rue ce premier Mai.
    S_ Et si les femmes se lancent dans la politique, il faut qu’elles fassent bien gaffe ! Qu’elles ne le fassent pas avec leur corps nus…
    M_ Personne n’a été vu nu, le diable au corps, ma chère dame, chez cet important gouvernement !
    S_ Ou tout comme, au Parlement ! Ce sont les machos qui se Les libertés se déshabillent. Y a qu’à porter une djellaba, une jupe ou un jean et passer à côté d’un café. Tu te sens scanné, déshabillé et lézardé ! Fissuré, pompé ! Ce n’est pas du harcèlement, c’est quasiment un viol publique !
    M_ Je ne suis pas concerné !
    S_ Tu, vous ne semblez guère être un macho.
    M_ C’est un compliment ou le sexe ne doit pas se voir. Car les anti-femmes les attendent au tournant, pour ridiculiser toutes les femmes et renvoyer tout ce beau monde aux cuisines et aux bambins !
    S_ Aujourd’hui, après les vagues d’amour sur les rochers des cœurs, une sanction clache comme un fouet sadique ! Arrêtez, les amoureux, ce jeu qui ne plait ni aux twitters ni au Gouvernement !
    M_ Au gouvernement on se dit : « On joue notre identité péjidienne* à quitte ou double. On joue les élections et notre parti tout entier avancent les PJD. Vous nous avez fait la risée de tous les Chabats du monde. A votre âge, ô ministres mariés, que dira la Ministre nôtre de la famille ? Elle va dépérir ou s’éclater. D’autres avancent ‘’ Monsieur le grand chef Benky, après le Manitou, vous nous privez de notre honnêteté. Nous sommes courageux. Vous nous poussez à être lâches, sinon de tout lâcher et de démissionner !’’
    S_ Quel mal y a-t-il à faire le chat si la chatte ronronne à nos côtés ? Quand celui-ci a sept vies, dit-on, s’il meurt il va ressusciter ! Il se rajeunit sans vampiriser personne, défiant le nombre indou des karmas ! Métempsychose.
    M_ Ces ministres veulent rajeunir, rendre hommage au corps, sans hypocrisie, être femme et rester homme, par delà les liens antérieurs, qui divorcé qui maintenu en statu quo. Sa réalité est une véritable déchirure.
    S_ Dieu sait pour quelles raisons réelles, le vieux couple en est arrivé au divorce ! Ils ne sont pas fous, ils ont seulement la cinquante bien sonnée !
    M_ Ils tiennent au Parti et réalistes au portefeuilles ministériels et à la cohésion, difficile, du Gouvernement, qui est si violenté par les huées de l’opposition, qui n’en rate pas une, mais en crée, pour le descendre et le démonter.
    S_ Si répondre au sens premier des hormones et des primitifs instincts est une pathologie, alors, à vos cailloux ! Que celui qui n’a jamais fauté leur jette la première pierre. A moins qu’il ne soit stérile ou asexué, le gars qui se mettre à les tirer !
    M_ Se remarier, c’est parfaire l’entraide et joindre au trio la fraternité des amours ainsi rénovées. Pourquoi interdire, le religieux archaïque, mais légitime et légal, pour empêcher des ministres d’officialiser ? Un simple exercice de leurs libertés et de leurs individuelles personnalités, en pays musulman, le Maroc où la Moudawana accepte, et arrangement de la polygamie, qui est ancien mais archaïque pour ses détracteurs modernistes !
    S_ Tu penses qu’ils cesseront de se voir, sexuellement parlant ?
    M_Ce serait ignorer les forces de la biologie, les mobiles, les manœuvres du comportement sous les flammes des hormones, de l’amour, de passion contrite, des éléments contraires, que le néo-couple veut forcer et se doit de forcer, pour rester uni et résister, afin décrire leur roman. !
    S_ ô gens hypocrites, Moudawana ou pas, gouvernement ou pas, pourquoi les pousser à se voir en cachette, masqués et dissimulés?
    M_ Et là, ni le Gouvernement, ni la Justice, ni les médias, péjidiennes* ou d’opposition, ne viendront plus chicaner. Vicieux, ils pourront lancer leurs sloughis, à vos trousses ! Pour vous indexer et vous pourchasser ! Pour casser la cohésion du Gouvernement. On louera les services des détectives, pour pincer les resquilleurs, afin de se moquer de la honte, de la Hchouma !

    LA NATION EST EN DELIRE. LES LIAISONS DANGEREUSES.

    M_ Lorsqu’on voit de pareilles histoires, ou pire s’exercer librement dans les hauts lieux des pays démocratiques ! L’Elysée socialiste, mon pote ! Ici, ô hypocrites, existe dans chaque rue et chaque village de mon pays.
    S_ Les veuves et les orphelines, handicapées sociales, les filles, libres, toutes en chômage de ménage, ont besoin de se caser auprès d’un compère ! Compléter un ménage, un foyer à trois, sinon de créer de nouvelles familles. Sont-elles à jamais infirmes de leurs sexes ? Leur Préférez-vous vous qu’elles ça, qu’elles fassent les putes pour plaire, ou qu’en cachette, elles se livrent à tous les dangers, à tous les excès humiliants et donner leurs corps aux faunes et aux fauves en festins ! Se livrer, comme à l’issue d’une guerre perdue, en esclaves, aux vains-cœurs ? Et dans les mêmes risques sans sécurité ni freins ! Pas besoin de remonter aux passé, ni aux religions de nos ancêtres !
    Quelles raisons sociales ou religieuses, ou politique encore, opposer à la recherche du neuf sur ces déjà vieux corps !
    M_ Ils ont eu le courage, j’ai dit l’audace de montrer leur conduite ! C’est ce qu’il faut d’abord saluer comme une avancé, légal, donc légitime ! Une grande franchise, adressée à vous, pour vous libérer, vous en premier !
    S_Il s’agit juste d’une recherche de compagnie, intime et légale, transparente, ô vous les démocrates, vous extrémistes, vous les modernes fanatisés et les religieux devenus hypocrites. Vous leur préférez les relations minutées, hermétiques. Au lieu de la bonne compagnie, légitimée, pour raffermir deux familles en dérive et sauver de la rue, de la désolation, au moins un foyer. Le mariage (d’amour) puis son report (des papiers et des fêtes) ne dépendent que du futur époux seul…Voire de ses bons gourous, le Gouvernement.
    M_ Quand je pense à ces accidents d’avion, à ces séismes, à ces pays ravages par les guerre tribales ou de religions, pour le pouvoir ou pour fracasser les pays voisins, parce qu’on a peur et qu’il faut protéger Israël des menaces des pro-palestiniens. A ces guerres préventives et punitives dictées de l’étranger, qui sécessionnistes, au MO ou en Afrique, laissent les pays ravagés aux mains des milices extrémistes et barbares, avec des centaines de milliers de morts et de blessés, lourdement affectés, à ces ruines, à ces famines, quand je pense à ces accidents d’avions, qui sur les routes, qui noyés sans secours, et que la misère poussera toujours vers l’exil et les flots. Tout ça me dit que j’ai donné trop de temps à des ministres qui veulent gentiment s’entraimer.
    S_ Et que répondra-tu à ton ami Dryilyak qui aurait aimé pouvoir venir le dimanche au Cab-one taper ses textes.
    M_ Je n’ai pas eu le temps d’ouvrir pour nos ministres amoureux, le chapitre du destin et des libertés. Ni des moyens que des gens, emportés par les périls, acteurs restés vivants, voire ceux d’ici, ont ou auraient pour changer le cours des événements qui les concernent. Changer ceux qui les agitent, qui les emportent des fois, qui les dirigent vers tels actes, précis ou inattendus.
    S_ Des actes pour lesquels, ils auront dans l’Au-delà à être jugés et sanctionnés.
    M_ Dès lors, madame Student, dis-moi,-toi qui vient d’ailleurs, où est la place réelle du Destin, quand les libertés sont minorées et les responsabilités, induites et inoculées, sont illisibles, inconscientes, effrités, ou brimées, dans de très nombreux pays et sociétés et que des ministres, doivent se cacher, pour s’aimer !

    DR IDRISSI MY AHMED
    KENITRA, LE 02 MAI 2015

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant


    Dossier de presse

    Rencontre sur la thyroïde le 21 mars à Casablanca

    La glande thyroïde : un petit volume mais un grand rôle

    Le poids normal de la glande thyroïde ne dépasse guère les 30 grammes, pourtant sa fonction est primordiale. Elle agit principalement sur le cerveau, le cœur, le tube digestif, la peau et les muscles et régule toutes nos fonctions énergétiques. La thyroïde produit des hormones dont le taux est régulé par la TSH (thyroid- stimulating hormone) sécrétée par l’hypophyse.
    L’acquisition des connaissances sur le rôle de la thyroïde n’a pas été facile à travers l’histoire. Il est resté mystérieux même jusqu’à l’époque de la renaissance où on supposait qu’elle servait de lubrifiant et d’humidificateur du larynx. Il fallait attendre 1910 pour que la Thyroxine (T4) soit isolée par l’américain Kendall, et ce n’est qu’en 1927 qu’on a pu réaliser sa synthèse chimique.
    Les dysfonctionnements thyroïdiens : une pathologie de la femme

    Les troubles thyroïdiens atteignent l’aspect de la glande ou dérèglent sa fonction. L’hypothyroïdie, caractérisée par un manque d’hormones thyroïdiennes, touche jusqu’à 2% de la population en majorité des femmes (jusqu’à 10 fois) souvent dans un contexte familial et surtout après 5O ans. Une chute des cheveux, une sécheresse et un écaillement de la peau, une fatigue avec de la lenteur et une intolérance au froid sont parmi les symptômes les plus communément associés à cette affection.

    Les causes de l’hypothyroïdie sont nombreuses, mais la forme la plus courante est liée à la thyroïdite de Hashimoto, une affection auto-immune où l’organisme produit des anticorps qui détruisent le tissu thyroïdien. L’hypothyroïdie peut être induite par certains médicaments (amiodarone, lithium) et évidemment par l’ablation chirurgicale de la thyroïde. Elle peut aussi être congénitale concernant 1 sur 5000 naissances et devant être dépistée à la naissance afin d’éviter des répercussions irréversibles sur le cerveau du bébé.
    L’hyperthyroïdie touche jusqu’à 1% de la population et 10 fois plus de femmes que d’hommes. Des palpitations, de la nervosité, une perte de poids, une sensation de chaleur excessive avec une transpiration accrue, une exophtalmie en sont les signes les plus révélateurs.

    80% des hyperthyroïdies sont d’origine auto-immune en rapport avec la maladie de Basedow. Cette affection survient lorsque le système immunitaire produit des anticorps qui stimulent la glande thyroïde
    Tous ces dérèglements thyroïdiens interviennent le plus souvent chez les femmes à un moment charnière de leur activité génitale. La grossesse, la période qui suit l’accouchement et la ménopause sont des périodes à risque thyroïdien.

    L’iode : un oligoélément vital à la thyroïde

    L’iode est indispensable à la thyroïde pour produire ses hormones. Les besoins journaliers en iode augmentent au cours de la grossesse et l‘allaitement. Mais, seules les algues et la morue fraiche en contiennent une quantité importante. Les œufs, les crustacées, les haricots verts en contiennent beaucoup moins.
    Dans tous les pays de culture occidentale, le lait et les produits laitiers transformés constituent la première source alimentaire en iode du fait de la généralisation des aliments minéraux et vitaminés dans l’élevage. Dans ces pays, l’iode apporté par le sel iodé domestique ne contribue que de façon très marginale à la couverture des besoins en iode.
    L’excès en iode n’est cependant pas souhaitable, il peut également perturber la glande.

    La thyroïde et le Maroc : de grandes avancées mais encore beaucoup à faire

    Le Maroc est situé dans une zone de carence iodée modérée. Une enquête* réalisée en 1993 a révélé que 63% des enfants âgés de 6 à 12 ans avaient un déficit en iode et 22% avaient un goitre. Depuis, un programme d’iodation du sel alimentaire a été mis en place et des textes réglementaires rendant obligatoires l’iodation du sel ont été adoptés en 1995 et révisés en 2004. La vente du sel non iodé est officiellement interdite par la législation marocaine.

    Néanmoins, après 10 ans d’instauration de la politique de la consommation du sel iodé, une étude ponctuelle menée en 2003 sur 326 enfants a révélé que seul 6% avait un statut iodé satisfaisant**.
    En outre, l’hypothyroïdie congénitale n’est pas dépistée systématiquement, elle est la principale cause de retard mental évitable dans le monde. Sa prévalence au Maroc serait 20 fois plus qu’en Europe. Depuis 1996, Il y a eu plusieurs programmes pilotes et essais de dépistage, mais non encore de dépistage systématique obligatoire, ainsi qu’une sensibilisation à large échelle des médecins.
    De nouvelles techniques innovantes ne sont pas disponibles au Maroc utilisant un robot piloté par le chirurgien et un accès à la thyroïde ne laissant qu’une cicatrice invisible, sous le bras du patient ; ainsi que l’utilisation d’un système de monitoring des nerfs des cordes vocales pendant l’intervention qui permet de limiter les conséquences de l’opération sur la voix des patients.
    Références :

    *Chaouki N, Otmani S,Saad A, étude de prévalence des troubles dus à la carence en iode chez les enfants de 6 à 12 ans. Bul. Epidém. Maroc. 1996,17 : 2-19.
    **Bousliman Y et al, Médecine du Maghreb, septembre 2011, N°189
    Casablanca, le 26 mars 2015
    DR Khadija Moussayer, Spécialiste en médecine interne et gériatrie,
    Présidente d’AMMAIS

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    Recommandations de la première rencontre clinico-biologique sur le thème ‘la thyroïde, une glande au centre du dialogue interdisciplinaire’
    Appel à de nouvelles stratégies

    L’association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques (AMMAIS) présidée par Dr khadija Moussayer et l’association marocaine de la biologie médicale (AMBM) présidée par Dr Hicham Ouazzani ont organisé avec le soutien des laboratoires Roche Diagnostic le samedi 21 Mars à Casablanca la première rencontre clinico-biologique sur le thème ‘ la thyroïde : une glande au centre du dialogue interdisciplinaire’

    La thyroïde est une actrice essentielle du système endocrinien, et ses troubles sont un véritable enjeu de santé publique. Leur fréquence ne cesse d’augmenter depuis quelques années.
    Parmi les principales recommandations issues des débats, l’ensemble des intervenants et des participants sont unanimement d’accord sur :

    1/ l’importance d’un apport optimal en iode. L’iodation du sel alimentaire est une mesure adoptée depuis plusieurs années au Maroc, mais la carence en iode reste fréquente. De plus, du fait des recommandations de l’OMS sur la limitation de la consommation du sel, des alternatives doivent être proposées comme l’enrichissement de l’eau, du pain, de l’huile ou du lait.

    2/ la nécessité du dépistage systématique de l’hypothyroïdie congénitale chez tous les nouveau-nés car ses manifestations sont peu évocatrices en période néo-natale.

    3/l’élargissement de la pratique de la cytoponction thyroïdienne devant tout nodule thyroïdien et cela avant l’acte chirurgical sur la thyroïde. Des opérations peuvent être inutiles si elles sont effectuées uniquement sur la base de la taille du nodule et son caractère froid à la scintigraphie.

    Casablanca, le 26 mars 2015
    DR Khadija Moussayer, Spécialiste en médecine interne et gériatrie,
    Présidente d’AMMAIS

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    Première rencontre clinico-biologique sur la thyroïde

    L’association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques (AMMAIS) en partenariat avec l’association marocaine de la biologie médicale (AMBM) et avec le soutien des laboratoires ROCHE DIAGNOSTIC ont organisé le samedi 21 Mars à Casablanca la première rencontre clinico-biologique sur le thème ‘ la thyroïde : une glande au centre du dialogue interdisciplinaire’
    Ont pris part à cet important événement de très nombreux participants, des médecins généralistes et de différentes spécialités : endocrinologues, internistes, gynécologues, ORL, pédiatres, chirurgiens, radiologues, anatomopathologistes et des biologistes ; ainsi que diverses catégories des professionnels de santé.

    Les dysfonctionnements de la glande thyroïde touchent plus de 10 % de personnes dans le monde, et des nodules sont présents chez plus de 50 % de la population si l’on considère les plus petits d’entre eux. Ce colloque a été l’occasion de faire le point sur les derniers développements de leur prise en charge ainsi que sur les défis à relever au Maroc, notamment en matière de systématisation du dépistage de l’hypothyroïdie congénitale, et de généralisation de la cytoponction des nodules avant le geste opératoire sur la thyroïde.

    Au cours de cette journée, science du diagnostic et biologie se sont étroitement conjugués. Dr Edouard Ghanassia spécialiste en endocrinologie en France et auteur de plusieurs ouvrages sur la question a éminemment dénoué la problématique de la prise en charge des nodules thyroïdiens ainsi que celle de la gestion des hyperthyroïdies. Le Pr Saliha Chellak, spécialiste en biologie a souligné quant à elle l’importance du dosage de la calcitonine comme importante mesure du diagnostic du carcinome médullaire devant un nodule thyroïdien. A la fin des exposés, un très riche débat s’est engagé avec les participants et de très précieux éclairages ont été apportés par le Pr Amina Barakat, chef de service de médecine et réanimation néonatales et coordinatrice de la cellule de prise en charge des cas d’hypothyroïdie congénitale dépistés, et le Dr Hamdoun Lhassani, endocrinologue et membre du groupe marocain d’étude de la thyroïde (GMET).

    L’événement a été couronné par la présence du Dr Laila Acharai, chef du service de protection de la santé de la mère et coordinatrice du programme national de dépistage de l’hypothyroïdie congénitale. Elle a éclairé l’assistance sur les travaux effectués par le ministère pour prémunir les nouveau-nés des sérieuses conséquences de l’hypothyroïdie congénitale non dépistée.

    La journée a été entamée par une allocution du Dr Hicham Ouazzani président de l’AMBM, qui a mis en exergue l’importance de ces rencontres clinico-biologiques. Dr khadija Moussayer, présidente de L’AMMAIS a prononcé les recommandations de la journée et notamment la nécessité d’un apport suffisant en iode, du contrôle systématique du fonctionnement de la thyroïde des nouveau-nés, et de n’opérer un nodule thyroïdien qu’après la pratique d’une cytoponction.

    Des outils performants et des compétences médicales sont maintenant disponibles au Maroc pour atteindre ces objectifs, le colloque a été l’occasion d’un dialogue multidisciplinaire et consensuel sur les pathologies thyroïdiennes pour les mettre en oeuvre.

    Casablanca, le 26 mars 2015
    DR Khadija Moussayer, Spécialiste en médecine interne et gériatrie,
    Présidente d’AMMAIS

    #207140
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant


    Les hauts de sur le cœur ou les rancœurs insatiables.

    INTRODUCTION

    J’ai un ami, façon de parler, car comme membre actif du FN ses mots acerbes enclins au racisme pur et dur le plus transparent, voici en substance ce qu’il pense des relations Nord-Sud. Un monologue administré comme un sermon dirigé et indexateur qui laisse à peine percevoir les répliques de son interlocuteur.

    En fait, il parle sans violence même s’il fait mal à tous ! C’est d’un naturel génétique, , impénitent et dénégateur. Dialogue messianique critique des religions, des races, des noirs, des arabes et des past-colonies. Le ton est un peu dur et précieux, au vu des dernières attaques terroristes, des guerres éclatées, nées ou imposées au Maghreb et au Moyen-Orient.

    CHAPEAU : LA POLEMIQUE

    Il commence ses vomissures par ces mots : Edulcorons les religions sémitiques, pour plaire au Ciel et à ceux du bas ! Et qu’elles nous servent pour les encadrer, les occuper par leurs guerres civiles, et à les tolérer ! Ce, tant qu’ils nous servent encore. Rêves de civilisés : Par charité et altruisme, débarrassons les pays en voie de développement de la pratique des religions et des mœurs et pratiques qui ne suivent pas la démocratie.
    Il continue.

    LE TEXTE

    Des cauchemars que ces demeurés, des paresseux et des filous ! Surtout depuis qu’ils optent pour le terrorisme. Des lâches attardés qui ne pourront jamais aligner une armée technicisée ni puissante, face à nous, réunis. Ces ingrats n’ont pas su profiter des leçons qu’on leur a inculquées dans le passé ni des avancées qu’on leur a permises.
    Je reste perplexe, mais j’écoute. Quels profits avons-nous tirés de ces bestiaux et hermétiques barbares et de leurs cruautés sanguinaires ? Notre but, en les pénétrant, si noble d’ailleurs, n’était pas de profiter d’eux de façon stérile et unilatérale, mais de les former et de les aider à nous aider, pour exploiter ensemble, leurs mimerais et leurs terres !
    C’est ainsi que nous avons fait des émules qui nous regrettent encore et qui plaignent et regrettent leurs indépendances ! Ces leurres, factices en fait, qui nous libèrent de leurs contacts directs, préférant les administrer à travers leurs cerbères et leurs matons !
    Les autochtones avisés, ces indigènes réalistes, pleurent nos départs furtifs. Ils ont repoussé leurs us fossiles et leurs religions rétrogrades pour adopter les bonnes nôtres. Ces valeurs modernes auxquelles s’attachent nos identités supérieures. Ce sont pour te les rappeler lecteur, la démocratie, les droits de l’homme, la laïcité, l’universalité et l’ouverture (unilatérale !) des frontières. Toutes vos frontières dans le bon sens du nôtre, sans visa, pour les marchandises et les gens.
    De l’Orient en Amérique, en passant par l’Afrique, nous avons conquis le monde et réveillé les peuples de l’archaïsme végétal où ils pourrissaient comme réserves d’esclaves, et pour ceux rares, qui furent civilisés, nous les avons arrachés de leurs sommeils moyenâgeux et millénaires.
    Pour ma par, je reste perplexe et désolé. Il en est qui, forts de leur culture, la nôtre évidemment, nouvellement acquise sur nos bancs, ont remis leurs langues oubliées à l’endroit et leurs droits et à l’heure de la mondialisation, pour les faire enseigner chez eux, deux millénaires après leur disparition de la terre !

    THESE

    La démocratie est notre religion et notre morale, même si elle bouleverse leurs rites et leurs sobres et étroites valeurs ! Ce n’est pas péjoratif, c’est réel seulement, par respect pour leur orgueil. Primitifs ou primates avancés, alors que nous avons vieillis, ils ont tout l’avenir pour eux afin d’évoluer sur la sphère. Si elle n’a pas été rasée ou pété d’ici là !
    Dès lors, il vous faut décoraniser* vos livres et leur enseignement traditionnel. L’originel, comme vous dites, et ce pour vous déculpabiliser à nos yeux. Dégommez les phrases guerrières, raclez les mœurs éculées de leurs rigidités féroces et de leurs valeurs forcloses. Descendez des arbres, cassez les branches pourries, cessez d’écrire sur les murs et sortez de vos grottes.
    Ah bon ! Là, il s’adresse à moi, en homme des cavernes. Il faut penser que cette peau de tigre (du vrai zèbre) et cette crinière de lion me vont bien. Et plus, il voit l’humanité simiesque, encore accrochée aux arbres exotiques, ou édéniques dont elle descend !
    Et mieux encore il ordonne au milliard et plus d’un demi que nous sommes de revoir nos livres saints, la Bible pour commencer. Les corriger, en sauter des pages ou des passages dits bellicistes? De simple défense de soi, en fait. Sauf que là, il faudra demander à celui qui les fait ! Les mettre à jour, en revoir les sens, en replaçant les mots et les préceptes dans leur historicité…
    Je le laisse dégouliner. Je ne sais pas ce que tu marmonnes ! Je continue. Ainsi, nous les parrains civilisateurs, maîtres incontestés du monde, attendons avec fierté que vous révisiez vos versets archaïques et vos mœurs puritaines. Que vous ôtiez ces impuretés ethnocentriques d’abord, ces aspérités déroutantes et toutes ces pages vindicatives que vos brûlots de livres, dit-saints, véhiculent et qui ne sont que des slogans meurtriers et de l’intox violente !
    Vous osez porter des signes distinctifs de vos balivernes, de vos crédos risibles, pour nous irriter. Et vous nous blâmez ensuite de tenir à notre laïcité républicaine et de défendre notre patrie, alors que vous mettez en danger de conversion nos jeunes et nos femmes à vos vêtements offensants et votre islam déplorable….
    Pitié, votre honneur et maître FN ! Vous nous avez chassez de vos pays, que venez vous faire encore ici ? Vos livres vous servent de propagande guerrière et de supports pour endoctriner les jeunes et fanatiser les zélotes. Ces criminels, quel que soit le hadj qui les pilotent, aveuglés par de fausses promesses édéniques, ne sont ni des hommes ni des martyrs. Mais des assassins ! Ces bombes in-humaines, sont les éclats de votre intelligence bornée, abusée et dévoyée, le symptôme définitif de votre fanatisme extrême. Ce sont les victimes crédules et hallucinés de votre prosélytisme, criminel sans frontières.

    ANTITHESE

    Pitié maître FN ! Ils ne le savaient pas. Je vous promets qu’ils ne recommenceront jamais ça de leur vie ! Bof ! Ces conduites, ces menées misérables et sans conséquences sur le terrain, sont les batailles des lâches de la 5ème colonne. Inégales, préhistoriques, elles surviennent 15 siècles après les Croisades. Périmées, elles sont inopérantes et vaines ! Appliquées avec ce dogmatisme fanatique qui est le vôtre, cette rigueur intolérante, cet extrémiste elles sont plombées. Elles n’augurent aucun résultat ni espérance. Les affidés, les adeptes, extrémistes et étroits, ensanglantent la planète. Sans résultats autres que l’horreur misérabiliste ! Terroristes passionnels, en révolte par surenchère, ils éclaboussent de parjures et de crimes, vos propres livres, mon ami. Ces livres que vous prétendez saints et dont ils ne comprennent même pas correctement les sens, sont à réviser, à relativiser. Et vous, non plus, ni mieux qu’avant, saurez vous le faire ?
    Là, mon ami, hébraïques sépharade d’Europe, cadre du front national semble me défier et me donner une perche !
    Attends, je continue. Cette vision confuse de vos livres sacrés et de vos combats terroristes est si malheureusement et si gauchement exprimée, que ça laisse comme une pitié. Une déception, chez vos ennemis antiques et chez vos adversaires modernes.
    Aie, il mord là où ça fait mal !
    Ces visions, disais-je, hé bien, elles montrent et démontrent les travers, vos travers, ce que vous pensez évidemment et ce que vous tentez de vulgariser et de professer. Confusions, contradictions et paradoxes, des amalgames et des contre-vérités historiques, qui compliquent l’entendement. Et que nous tous en retour, Peuples élus s’il en est, nous méconnaissons et nous ne partageons guère.
    Incompréhensions, discriminations, en sont les causes ! Vous alliez dire ça, lecteur perplexe ?
    Les terroristes ont tort ! Et combien même, ils les pousseraient à la sédition ou à la sécession pour refaire les frontières plus opportunes et plus propres, avec moins de bellicisme de groupe face à l’îlot démocratique d’Israël. Les terroristes ont tort, même quand ce sont les grandes puissances ou des états forts qui manipulent ces gens…

    PROTHESE

    Mon FN d’ami vise-t-il les States de Bush et d’Obama ? Les Emirats turbulents ou à l’Arabie des rois mages ? A qui pense-t-il en fait, quand il agite le spectre des peurs ? Aux industriels qui fabriquent en masse les armes et qui manigancent ou suscitent des guerres pour les vendre ? Oublie-t-il les armes de dissuasion massive ? Mais, il obvie de dire qui a inventé ces joujoux en se dotant du nucléaire ? Cette option-là est faite pour inhiber les états turbulents, les peuples revanchards et les fous de Dieu. Vrai et nécessaire d’empêcher, par tous les moyens, la guerre y comprise, d‘acquérir ce type d’armements. Peu importe si ça empêche les plus avancés d’accéder au degré de développement et de respectabilité que ces gadgets induisent ! Le FN continue avec véhémence sa sadique et insatiable soliloquie.
    Là, il me fixe sans pudeur, me dévisage et semble m’indexer pour me responsabiliser. Il vous faut, Môsieur le Malgrébin*, des termes nouveaux pour parler des actes infâmes et traduire en mots leurs mensongères cruautés …Termes et actes, des motifs de guerres ou de paix, selon nos concepts et à nos conditions, il est vrai. Cessez donc, de nous faire peur avec votre livre et votre dieu !
    Il est allé pisser le FN, après avoir tellement vomi ! Je pensais en moi-même ceci. La race des seigneurs veut la paix. Leur fédération, libre et multiple, reste unie sur ce principe de paix, malgré la monstruosité de ses guerres bilatérales antérieures et des guerres mondiales successives. Auto-protégées, elles restent en paix en dirigeant les guerres. Des guerres qu’elles allument et induisent et qui les protègent en alimentant leurs affaires ! Elles bombardent de loin, sans se mouiller, cures chirurgicales pointues, quand les indigènes, indigents désarmés, égorgent leurs otages et les leurs.
    Je pensais à l’intérieur de moi-même ceci. C’est de la cœliochirurgie*, de la microchirurgie militaire. Des guerres propres, sans bavures collatérales, sans verser nulle goutte de sang des leurs en vendant des armes aux belligérants ! Et peu importent les dégâts collatéraux sur les hôpitaux et les écoles. Ça fera moins d’apprentis suicidaires ! Un vrai jeu de tablettes ou de computers! Un théâtre sur télécommande, avec ses politiciens et ses psychologues, ses financiers et ses militaires. Et bien sûr, ses meutes d’investisseurs pour reconstruire les villes et les infrastructures détruites, ‘’pieusement’’ détruites.
    Je pense à ces camps d’exclus, d’apartheids en périphérie des villes sanctuaires ! Et leur supposé lavage sarkosien au karcher. La stratégie des couches riches post coloniales, est faite d’exclusions dans les marais des canaques et de marginalisation sévères dans les bas quartiers, de ces honteux indigènes…..

    SYNTHESE

    L’ami du FN reprend son souffle. Ces infâmes indigènes sont venus voler le boulot des nôtres, piller la sécu, bouffer la croûte et la mie blanches de nos bons chrétiens !
    Pour ma part je me remémore leurs mots durs et qui sont autant les symptômes acerbes de cette maladie si propre aux tenants de l’identité supérieure. Une litanie faites des mots et de préceptes, des idées fixes et des versets, tels ceux que j’entends mon compadre du FN réciter comme des automatismes.
    Le perroquet qui aboie si bien en FN majeur, prend un cigare et se tait. Comme pour chercher d’autres idées ou s’en convaincre, il met ses doigts libres sous sa joue et se frotte sa barbe sel et poivre. Il regarde par la fenêtre les ruines du restaurant Argana que des maâlems sont en train de restaurer après son dynamitage.
    Voici des vérités que je reprends et que le copain du FN avoue comme un constat. Je repense à ce bellicisme atavique primaire des bien-nés et qui est le sien, exacerbé par sa torve duplicité sémitique qui le porte si haut. La naturalisation est un procédé louable et un système de redéfinition et d’identification naturel. Les commensaux de la franche république s’éclatent en lobbies divers. Une autodéfense communautaire et identitaire, les relie comme un ciment. Elle est sincère et brave pour la plupart. Les adeptes de la supériorité ethnique en font leur vraie religion. Ce qui les rallie plus que la religion, plus que la laïcité, c’est le culte de la suprématie raciale. Ils campent dans leur prépondérance historique, biblique et coloniale. Suprématie financière, commerciale, culturelle, enfermement technique, étanchéité civilisationnelle, cristallisation et enkystement.

    DISCUSSION

    Le féroce FN reprend sa plaidoirie. Cet isolement est le nôtre, cette isolation en fait préventive. C’est une séparation tactique antiseptique, une marginalisation sécuritaire prophylactique qui emmure des deux côtes ! On ne peut pas et on ne veut pas aller chez eux ! C’est leur bantoustan et leur chasse gardée. Ce n’est pas comme vous dites une exclusion ni un fait d’apartheid. Ce cirque est un zoo vivant auto géré par ses dégénérés ! Ces quartiers barbares, mis hors circuit de l’histoire et de la géographie, se sont isolés d’eux-mêmes du fait que leurs habitants ne sont pas des nôtres. C’est clair !
    Oui, c’est très clair ! Les émigrés venus de l’étranger se morfondent sur leurs sorts et pas seulement les émigrés. C’est une impasse culturelle, économique et raciste, pour leurs enfants, dopés de par la haine.
    Le FN d’ami exulte et reprend sa propre autodéfense. Nous ne sommes pas les seuls xénophobes de la terre. Pourquoi fuir cette double responsabilité et cette raison de vivre et de vouloir persister nous-mêmes et chez nous. Je trouve là que c’est une éthique et une conduite, perverses, sournoises et arrogantes de nous reprocher nos selfs défenses. Si ces ‘’bavures’’ comme vous dites, enferment les gens d’Europe dans des conduites et des positions, cyniques et cruelles à fois, c’est ainsi. Nous au FN, nous l’assumons et nous vénérons ceux qui comme nous en Europe, ne veulent pas se laisser envahir ni dévaster par les couleurs et se laisser dégénérer par des genres ‘’ discutables’’ !
    Et voilà que le pisseur du FN revient à la charge pour continuer son jet et sa conférence didactique. Il va parler des demi-dieux….
    Je vois pour ma part, que ce qui dérange les étrangers, les envahisseurs, vous en fait, ne laisse ni confusions ni regrets chez nous, les ‘’hommes supérieurs’’, qui sont ici, chez eux ! Que chacun reste maître chez ses pénates !

    DELIBERATIONS

    Nous sommes de parmi les gens du monde, de ce monde, les plus riches, les plus forts, les plus avancés des humains. Nos cultes et nos professeurs enseignent des vérités, des principes, des modes et des modèles à suivre, mais aussi des devoirs aux gens et des obligations qu’ils se doivent d’observer envers les nôtres. Les autres, les vôtres, hé bien, ils appliquent le contraire à aux couches débilitées des leurs.
    Pauvres serviteurs, me dis-je, ces hommes, modèles-réduits, sont manifestement pour les heureux Européens des infrahumains. Ils les emprisonnent dans leurs réserves de chairs à l’intérieur des frontières qu’ils ont dessinées. Ils avaient cédé la main aux administrateurs devenus mercenaires ! Les cités-ruches, logent dans leurs quartiers suburbains, les assujettis et les subordonnés. Les Europatrons des métropoles les dirigent indirectement par injonctions et par directives à leurs élus. Les maîtres, gardiens des pantins dégénérés, sont des chefs vassalisés. Les satrapes et les tyrans, les gardes chiourmes de leurs débiles et amoindris congénères.
    C’est révoltant monsieur du FN ce que vous défendez comme vertu sui generis de votre race ! C’est à croire que les clanismes ethnocentristes, les religiosités diverses et les barbarismes universels, ne sont rien à côté de votre éthique survoltée de surhomme raciste.
    Monsieur le Mauresque, la faune humaine que vous défendez et dont vous êtes jaloux n’est pas encore sortie de sa bestialité.

    CONCLUSION

    Larges comme des cités dont on vide les vies, c’est chaque jour que des autels sont allumés aux dieux voraces, de part et d’autres des frontières. On les formate on les ligue, pour appliquer des dictats ! Des prescriptions, des ordres et des injonctions. Si ce ne sont pas des religieux, qui colonisent le pouvoir à partir du temple, ce sont des hommes politiques, plus voraces, qui vendent comme autant de préceptes divins, leurs promesses électorales.

    Dr Idrissi My Ahmed, le 01 Avril 2015

    CATACOMBES PHLOGISTIQUES : LES HAUTS DE SUR LE CŒUR OU LES RANCŒURS INSATIABLES.

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Journée Internationale des Maladies Rares
    le 28 février 2015
    Dossier de presse

    Par le Dr MOUSSAYER
    Spécialiste en médecine interne
    et en gériatrie
    Vice-présidente de l’AMFM

    les Maladies Rares au Maroc
    De la nécessité d’une stratégie nationale pour des malades déboussolés

    Des maladies rares mais de nombreux malades
    Les maladies rares se définissent en général comme des affections qui touchent moins d’une personne sur 2000. Plus de 7000 pathologies sont recensées et 200 et 300 nouvelles décrites chaque année. Bien que chacune ne touche que peu d’individus, leur grande variété fait que le nombre total de personnes atteintes dépasse le nombre de malades du cancer : 1 personne sur 20 est concernée, soit 5% de la population mondiale, soit encore environ 1,5 million de patients marocains !
    Elles sont souvent chroniques, évolutives et en général graves. Le pronostic vital est fréquemment mis en jeu : 80% ont un retentissement sur l’espérance de vie. Une gêne notable et des incapacités à la vie quotidienne sont présentes dans plus de 65% des cas et une perte complète d’autonomie dans 9% des cas.
    Un panorama très large et parfois déroutant de maladies
    Extrêmement diverses – neuromusculaires, métaboliques, infectieuses, immunes, cancéreuses …-, 80% de ces maladies ont une origine génétique. 3 maladies sur 4 se déclenchent dans l’enfance mais certaines attendent 30, 40 ou 50 ans avant de se déclarer.
    Elles empêchent de : voir (rétinites), respirer (mucoviscidose), résister aux infections (déficits immunitaires), coaguler normalement le sang (hémophilie), grandir et développer une puberté normale (syndrome de Turner : absence ou anomalie chez une fille d’un des 2 chromosomes sexuels féminin X)…
    D’autres provoquent : un vieillissement accéléré (progéria, 100 cas dans le monde) ; des fractures à répétition (maladie des os de verre) ; une transformation des muscles en os (maladie de l’homme de pierre, 2 500 cas dans le monde) ; une démarche incertaine, la mémoire hésitante, des comportements parfois  » inappropriés par rapport aux convenances sociales » et des difficultés à contrôler la vessie (hydrocéphalie à pression normale : accumulation du liquide céphalo-rachidien dans le cerveau, après 60 ans) ; une anémie par anomalie de globules rouges (bêta-thalassémie) ; une sclérose cérébrale et une paralysie progressive de toutes les fonctions (leucodystrophie) … ou encore des mouvements incontrôlables et un affaiblissement intellectuel allant jusqu’à la démence (maladie de Huntington).
    Certaines pathologies sont auto-immunes, c’est-à-dire que le système immunitaire censé nous protéger des agressions extérieures (des bactéries, des virus…) se retourne contre l’organisme dans un processus auto-destructif. On citera ainsi la myasthénie, caractérisée par une faiblesse musculaire perturbant les mouvements, les vascularites qui s’attaquent aux parois des vaisseaux sanguins… ou encore le lupus, susceptible de s’attaquer à presque tous les organes.
    Enfin, des maladies plus fréquentes comme la maladie cœliaque (ou intolérance au gluten des céréales) ont des variantes rares comme la sprue réfractaire potentiellement très grave.
    Une information « fragmentaire » pour les patients comme pour les médecins
    Bien que des efforts aient été accomplis ces dernières années dans les CHU, notamment dans les services de génétique, médecine interne et pédiatrie, le manque d’information sur ces maladies est toujours patent aussi bien pour les patients que pour les professionnels et les autorités. Il a pour conséquence des errances et retards de nombreuses années avant l’identification de la pathologie, des insuffisances dans la prise en charge et les traitements et un manque de structures adaptées. Bien plus, un grand nombre de patients, jamais diagnostiqués sont soignés seulement sur la base de l’expression de leurs symptômes.
    Et pourtant, s’il n’existe pas de traitement curatif pour la plupart d’entre de ces affections, des soins appropriés peuvent permettre de « vivre avec une maladie rare », selon le thème retenu pour cette 8ème journée internationale.
    Des moyens à disposition limités
    Des tests de diagnostic, notamment en matière génétique et biologique, ainsi que de nouveaux traitements complexes et indispensables existent. Ces moyens sont toutefois limités et difficiles à obtenir car parfois coûteux (médicaments «orphelins», greffe de moelle osseuse…) et pas toujours bien connus, alors que leur bénéfice en terme financier ne se mesure que sur le long terme : un test adéquat sera toujours moins cher que des traitements inadaptés à vie ou que le nomadisme médical auquel se livrent des patients désorientés !
    Les maladies rares ont besoin d’être maintenant reconnues au Maroc comme une priorité de santé publique s’inscrivant, à l’exemple de pays européens, dans un plan national pour les maladies rares, formulant les objectifs et les mesures à prendre, notamment dans les domaines de la formation ainsi que de l’orientation et des soins aux patients.
    Sites internet utiles :
    Orphanet : site de référence gratuit sur les maladies rares, pour les professionnels et le grand public : http://www.orphanet.fr
    La Plateforme Maladies Rares: http://www.plateforme-maladiesrares.org/
    *****
    Casablanca, le 23 février 2015

    Rappel de la journée sur la fièvre méditerranéenne
    A l’occasion de la journée internationale des maladies rares, l’association marocaine de la fièvre méditerranéenne familiale organise le samedi 28 février 2015, de 14h30 à 17h, sa première journée nationale sur la Fièvre Méditerranéenne Familiale dans la grande salle de conférences de la Faculté de Médecine et de Pharmacie de Casablanca. Cette conférence/ débat est à destination des malades et leurs familles, des médecins et professionnels de santé ainsi que de toute personne intéressée par le sujet.

    Contacts :

    Mr Jamal Ghzali, président de l’AFFM – GSM 0661670773 – Mail:ghzalijamal@gmail.com
    DR Khadija Moussayer, spécialiste en Médecine interne et en Gériatrie ? Présidente de l’Association Marocaine des Maladies auto-immunes et de système (AMMAIS) et vice-présidente de l’AFMFM – Casablanca Tél : 05 22 86 23 63 GSM : 06 63 21 89 49 Mail : moussayerkhadija@gmail.com

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Aux Socialistes de France, pour leur témoignage historique et leur prise de position franche, dans le dilemme du Sahara

    AUX SOCIALISTES DE FRANCE,

    Aux fins de susciter une position franche de la part de la France dans le conflit sahraoui et leur témoignage historique pour hâter la fin des hostilités de l’Algérie.

    Parallèlement à la visite simple et constructive de SM le Roi Mohammed VI chez M. François Hollande, à l’Elysée, je vous livre quelques pensées personnelles et citoyennes.

    INTOX OU MALADIE AUTO-IMMUNE ?

    Le principal n’est pas en l’économie seule ni en les urgences qui vont de soi entre partenaires incontournables, mais dans le soutien historique, vrai et judicieux, face au bellicisme arrogant et inlassable de nos nouveaux riches et immenses voisins ! Une culture, complexe, faite de défis, de courage historique, de noblesse et d’erreurs, des arrière-pensées dépassées aussi, qui viennent intoxiquer la moitié des Maghrébins.
    Les nouvelles générations, qui à force de matraquages et d’intox, ont ingurgité dans leur génome, une haine viscérale ou un dépit morbide, une maladie auto-immune, face au régime et au droit à l’unité dans leur territoire historique, de leurs frères marocains. Le souci économique et du développement qui s’en ressent est causé par l’antinomique struggle algérien et sa conduite sénile, qui a empoisonné leurs jeunes par l’intox la propagande et la subornation .Voici ce que j’en pense, pour le moment, espérant que ces idées devraient être entendues par nos amis socialistes de France.

    Le soutien amical français, qu’on nous reproche d’ailleurs, et qui s’il dope le partenariat fidèle et prépondérant, doit se situer dans l’entreprise commune de paix et de construction de l’Afrique. Celle du Nord et de sa paix, de sa démocratisation, quelles que soient les vanités, les bannières et les banderilles des républiques qui nous livrent une bataille existentielle. Un souci de développement indépendant et clair, afin de livrer bataille aux retards, tous égaux dans la paix et ensemble fédérés sur le pourtour de la Méditerranée. Ceux dus, à la sécheresse, aux retards techniques et culturels, à la faim et à la maladie, au chômage et à l’injustice, aux guerres, à l’émigration clandestine, aussi, dont le Maghreb sert de réservoir et de freins. Comme aux réactions de dépits terroristes, de par le monde, qui installent leurs fortins et tentes nomades dans la sous-région ! A commencer par les activistes du Sud algérien. D’autant que le potentiel d’extension dévastateur pourrait toucher parallèlement la France et le reste de l’Europe.

    Les menaces de déstabilisation du Maroc et de son Régime, de la part entreprises extrémistes et terroristes, ne sont qu’une partie de l’entreprise. Fusible ou chaînon fragile, il n’en demeure pas moins, que ce foyer injuste est à clarifier pour l’éteindre par les Français les premiers, en tant que colons initiateurs des frontières, face à la partialité du délirium séparatiste et du matraquage algériens. Je parle de ceux de nos voisins qui se sont montés contre les façons de faire de Hassan II. Mais celui-ci est mort et ils n’ont guère changé de méthodes. C’est toujours le Polisario qui sert de bras armé à leur étrange politique ! On ne change pas un cheval qui gagne direz-vous !
    Mais, le cornac semble faire courir un mammouth fossile, dans une arène qui s’effrite, avec un jockey fourbu comme écuyer. L’un de ces foyers est le Sahara marocain. Justifiable qu’il est, justiciable en fait, d’une action éthique de témoignage historique, de la part de la France, devant le concert des nations en l’occurrence l’ONU et ses instruments. La France socialiste, doit par éthique culturelle et morale, y user de son poids d’ancienne puissance coloniale. Elle qui avec l’Espagne ont manipulé les tracés de la Région, avant d’y laisser sur le départ, par mégarde ?, les levains et le venin, qui empoisonnent la vie et qui bloquent le développement des Maghrébins.

    AVATARS DE L’HISTOIRE DES PEUPLES, ESPOIRS ET OPINION

    La France est devenue l’amie de tous les pays de son ancien »empire » et autres colonies, par sympathie, par besoin et par pragmatisme et complémentarité. Un prestige rare, qui fait qu’elle garde sa stature de grande puissance. Sauf, qu’elle n’est pas étrangère à la configuration des états qu’elle a dirigés ou digérés, ni à leur histoire ou leur économie. Et en sortant, leurs frontières, entre les mêmes peuples parfois et les mêmes tribus qu’elle a soumis, ont été remaniés à la hache et au bistouri. A ce titre et pour la vérité, son témoignage est impératif dans le cadre de la mondialisation des échangés, de la paix entre les peuples, qu’elle scindés, revitalisés et/ou »civilises ».
    La frontière Est et Sud du Maroc, vieil empire qu’elle a réduit ou rongé, devrait retourner à son origine ante ! En toute équité. Celle d’avant la pénétration militaire et administrative françaises et les déchirements consécutifs du pays, de son aire et de ses tribus. Faire admettre la notion de paix et de complémentarité vitales entre les pays frères et voisins, le plus près de leur histoire et de leurs droits, doit être le souci d’une diplomatie prospective, juste et réaliste. Il revient à cette France d’innover pour être sincère et de commencer, d’hériter de cette opération de reconstruction éthique, économique et de paix. Elle en profitera, certes sur tous les plans !

    POUR PARLER DE DEMOCRATIE, DE DROITS DE L’HOMME,

    Et d’autodétermination des peuples parlons de la franchise de la France et de son courage de témoigner, ostensiblement et librement, contre vents et marées. Le peut-elle, malgré l’appel des promesses ou l’interférence des intérêts miniers et énergétiques de son ancien Département ? Ce n’est pas en fuyant les témoignages, pour faire plaisir ou des concessions à un pays devenu immense et riche, l’Algérie, ou pour lui vendre des armes et puiser du pétrole, du gaz, et des minerais, qu’il faut encore taire, lâchement ou complaisamment, le droit des Marocains à être sécurisés. Dignement et tranquilles, constructifs et pacifistes, dans leurs terres, sans déchirement des peuples et autres éclatement de son territoire et/ou de ses tribus. Les Socialistes, plus que d’autres, sont sensibles à l’esprit de de partage, de démocratie, de libertés à l’intérieur des communautés, comme de leur ouverture, pacifique, digne et respectée envers les autres. C’est une culture anti-impérialiste, qui devrait être contraire à toutes les formes d’ingérences et de prétextes fallacieux. De là leur similitude avec le peuple, valeureux et fier d’Algérie…

    Encore que la similitude ne soit pas une copie-collée des cultures, des cultes, des us ou des programmes et autres intentions… Mais le témoignage de vérité est une forme d’ingérence diplomatique, nécessaire et louable. Les socialistes, par conviction éthique et par culture, sont donc de principe, contre toutes les formes de suprématie. Surtout si elles sont décriées, parce que contraires à l’histoire, ou qu’elles viendraient fausser l’équité et la vérité.

    Maintenant au pouvoir, par esprit de justice et pour corriger les erreurs graves et les événements passés, ils ne devraient plus cacher ni taire les droits dus à l’histoire. Ils ne doivent pas, par complicité ou par duplicité ou copinage, nier les droits du Maroc sur son sol, au profit clientéliste d’un régime militaro socialiste. Non pas qu’il soit en vacance ou en fin de vie, mais il est loin d’être le parangon ou l’idéal en matière d’ouverture ou de démocratie. Les Socialistes en France, sensibles aux droits de l’homme et des peuples, partout où ils sont contrits, ne devraient pas déchirer les nôtres ni leur entité. Ils ne doivent point permettre par connivence à un grand pays, riche, arrogant et fier, l’Algérie qu’elle soit nommée, de dicter à l’Afrique ses volontés. Ni encore de tenter d’écraser les peuples, les pays, les régimes ou les gouvernants, les moins nantis, pour son expansion et son profit. Et ce, malgré les vastes territoires et ses nouvelles étendues, à son indépendance, comme réparations et logique territoriale, acquis !

    MORCELEMENT ET SECESSION

    Spolier le Maroc ou tenter de le réduire et de fractionner son peuple, de clamper son territoire ou de le couper, voire de le forcer, afin d’accéder à la côte atlantique est une vision expansive envahissante et belliciste. Elle se cache derrière elle un hypocrite et prétendu droit des peuples à s’autodéterminer. Lesquels peuples et combien sont-ils selon les promoteurs de l’idée ? Et que fait-on des mélanges des peuples et des métis, des transhumances économiques et/ou par l’histoire et les batailles forcés ? Que dire des autres Sahraouis et des populations nomades, dont son actuel et gigantesque territoire d’Algérie nouvelle, a bonnement hérité ? Des hommes ambitieux, pour ne pas parler de prédateurs, ont eu des visions prussiennes, dignes qu’elles fussent des” races pures” et des” identités supérieures”, pour élargir leurs pays.

    L’histoire a clos ce chapitre des conquérants, des tzars et des Hitler et de leurs invasions funestes. Il reste des frontières et des douanes, des barbelées, dont une juste mondialisation, équitable et pacifique, devrait s’en passer. A ce titre M. François Hollande est sollicité pour faire admettre avec courage les droits inaliénables, historiques et prometteurs des Marocains. Ceux de son peuple multiethnique, arabe, berbère sahraoui et africain, dans l’étendue de ses tribus et de ses factions sur tout son territoire. Un damier qui fut dilacéré par les puissances impérialistes de l’époque. Il est tenu de défendre la justesse et l’opportunité d’une solution éthique à notre cause. Et qui plus est, pour cette méditerranée commune, de défendre ses partenaires du sud, avec équité objectivité, auprès de nos frères qui demeurent néanmoins ses sympathisants identitaires, du ‘’continent Algérie’’. A bons entendeurs, paix et merci.

    Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra
    ARCHI 12 , LE 04 FEVRIER 2015

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    SCATOLOGIE SCRIPTURALE : CHARLIE TRANSGRESSE MAHOMET ET EXPLOITE LA FRANCE

    2015, est l’année universelle de la révolution charlienne. On y aura vu Charlie se fendre d’un hommage de caricature au prophète, qui leur pardonne, sur la 1ère de l’hebdo reverdi pour le tirer à 7 millions d’exemplaires ! Des marches millionnaires, des réunions au sommet se multiplient pour combler la France, meurtrie et sécuriser l’Europe.

    Tu as raison, Henri. Mais où tangue l’esprit gaulois ?

    L’insolence est une maladie addictive, qui comme le sport, invite aux défis et aux dépassements. N’est-ce pas grotesque de doter de deux appareils vénériens la face de cette créature burlesque ? Un autre défi qui offense le quart de l’humanité et qui se moque de leur sacrosaint prophète. Quelle en est la valeur immatérielle ou culturelle ? Quel est le but de cette bravade ? Où peut-elle conduire ? L’union des français autour d’une identité particulière ? Faire grimper le président dans les sondages ? Une satisfaction quand même, lorsqu’on a vu Luz, le satire es-prophète, pencher sa joue sur la caricature doublement dotée, pour la mouiller de ses larmes.

    Le clash des zombies. Au moins on aura vécu, cette marche superbe de la France, refuge des libertés, et leader du monde laïc. La France fourmille de prosélytes de divers cultes. Ceux qui opèrent face à face, fourbes ou sournois, à travers les journaux et leurs médias, et ceux masqués, fanatisés, issus des ghettos ségrégationnistes, extrêmes et des abords des crimes.
    Sous de faux semblants et de réels moyens, entre la sédition virulente, la provoc sectaire et le blasphème, le ‘’charb-ismatique’’ Stéphane Charbonnier était le dessinateur de Charlie Hebdo.
    Dopé de par sa frénésie de génie, sous ses airs et sa couverture d’athée ou de laïc, il creusait le lit et les berges du fleuve des libertés médiatiques. Il a su user du crayon et du papier pérennes face au feu abruti et aux menaces brutales des kalachnikovs ! Il allait en équipe emporter en martyrs les siens, ce 7 janvier, sous le déluge des balles islamistes.

    La bataille de Paris .  » Deux lascars,  » ? , devenus les kamikazes de leurs propres concitoyens en la république, firent les événements du monde de ce 11 janvier 2015. Par delà la mort, Charlie et la France, devenaient superbes. Admirables, une leçon pour l’univers et les pays en déconfiture ! Malgré la frilosité, malgré les absences notables des peuples fâchés, malgré les retenues de certains chefs d’états et malgré les marches contraires.
     » Discriminations, exclusion ghettos d’où naissent les rancœurs et la criminalité,  » voire les radicalismes, de surface ou d’apparence, face au mépris et la humiliation. ..Que penser et comment penser ?
    Les révoltes suscitées de partout dans le monde, reprochent à Charlie Revived et à la France de reproduire avec plus d’insolence et de panache, encore des dessins, 7 millions de l’Hebdo iconoclastes et de moquer le prophète Mahomet de l’Islam.

    Pour qui roule-t-il , l’Hebdo ? Seulement le blasphème porteur et sa raison d’être subissent la récupération et l’amalgame religieux ou sioniste et enfonce le Journal de Charb dans la diatribe mortelle de l’islamisme politisé radical et de ses tenants-droits.
    Le journal versant dans l’apologie subliminale, persévérant et tenace, avec sa verve et sa morgue, sa morve discriminatoire, œuvre comme une cinquième colonne du sionisme israélien. Est-ce que Charlie versait, sans aide indirecte compensatoire de son commanditaire ? Avec sa cette suffisance et cet esprit déluré, avec ou sans le secours d’Israël ou pour Israël, Charlie en s’impliquait dans une guerre coloniale doublée d’une guerre de religion.
    La Palestine et les sensibilités qui la supportent, au nom de l’éthique et de l’équité, au nom du droit des peuples et de leurs terres à ne pas être colonisées, au nom de la fraternité religieuse en l’Islam.
    Les faux semblants laïcs et désuets de Charlie sont décodés. Comment vont-ils combattre un journal, à la langue simple et perverse, qui se refugie derrière les valeurs certaines de la république ? Le journal, au nom de la caricature comme art et comme libertés, à travers les caricatures, répétées sur le prophète, se moque des gens qui n’ont que cette religion comme ancrage ou comme volonté de la vivre. Quand on connait les conditions malheureuses de la majorité des musulmans, dans la pluparts des pays qui sont les-leurs, on peut parler de bataille, à armes inégale. D’ailleurs chez ces gens-là, on n’achète pas le journal, on n’en entend que les vents !

    L’avenir . Car il pète trop, car qu’il pète du soufre. Et comme ces bombes au phosphore, ça brûle violemment. Charlie Hebdo risque de capitaliser, de cristalliser la haine autour de lui. Hormis ce sujet, il ne mérite pas ! Comment s’en passer ? Mais, sou peine de faire faillite et de sombrer, il ne peut se passer, de cette drogue qu’il vend. Maintenant, sa côte de star mondiale est avérée ! Qui plus est, il redore le blason de la république qui augmente en retour sa célébrité. Impossible pour lui de relâcher son amour pour la case islam et de ce que lui rapporte comme pèze le prophète des musulmans.
    La marche a été récupérée par les 3 leaders de Sion ! Charlie en oublie la France et les fauteurs du crime, ses horizons s’ouvrent sur Israël, devenue la clef de voûte, l’explication des attaques, du trio des fous ou des malfrats de la république. Et puis le crime, le coup de Paris, sera récupéré par tel ou tel parrain de l’hallucinante intégriste.

    Charlie Abdou fait dans l’amalgame. Il entretient la belligérance par la moquerie culturelle. Il s’investit avec ses piques et ses dérisions dans un combat de gladiateurs ! Il alimente par ses lances, ce qu’il croit n’être que des vents sur de donquichottesques moulins. Mais, de l’autre côté, on les sent pour ce qu’elles sont. Ce sont des appels à la violence verbale et au meurtre, qui souillent le champ hyper susceptible du religieux. Pourquoi se battent et se tuent (bêtement) les sunnites et les Chiîtes pour bien moins que ça !
    Alors que certains pays tentent de surpasser les atrocités israéliennes et ses guerres ethnocidaires inégales, faites sur les Palestiniens….Alors que des pays arabo-musulmans, parsemés de révoltes, tentent de dépasser les misères et les malheurs militaires que l’Otan anime ou des States font directement et sous couverts de la France au Moyen-Orient. Ils savent et pourquoi ils nuisent à l’équilibre des états musulmans de la région.
    Et ce bien que des tendances méditerranéennes œuvrent pour le dialogue des civilisations, ou qui plus est, tel le Maroc qui en appelle à la paix et au dialogue des religions, en s’ouvrant à tous les vents. Des plus modernistes avec leurs investissements, qu’il veut favoriser. Et pas seulement, avec un sens unique de l’hospitalité, de l’amitié et un esprit de tolérance et d’ouverture, sans limite.

    Charlie Abdos montre ses muscles Au nom de la liberté d’expression, (de mépris visible, de haine sournois, de perverses exclusions), Charlie Hebdo foule du pied les sacralités musulmanes. Il suscite des répliques à la haine sourde et insidieuse, qu’il base sur l’offense et qu’il enseigne par bravades. Il alimente ses lecteurs de préjugés sacrilèges. Il met en effervescence les sensibilités musulmanes, de partout, pas que des quartiers ratés et ceux des ghettos. Il colporte ses actes liberticides et ses offenses en s’attaquant aux images les plus sacrée de l’islam. Sacrilèges tels des brûlots que l’on vent à l’internationale pour humilier les musulmans de partout. En semant la haine, Charlie pousse les plus impatientes des victimes qu’il interpelle, à tomber dans le piège, il agit bien pour quelque chose, à sombrer dans la terreur reflexe, la plus belliqueuse, la moins sage ! Sa cible ou ses adversaires, sur le plan des hommes et des idées, n’ont pas la plume facile ! Ils n’ont pas le mot pour léger ni la plaisanterie facile.

    Charlie est un fait d’armes, Un arme retournée par les lobbies contre la France. D’où tient-il, Charlie, sa santé et sa véhémence ? Il emplit un rôle édificateur des uns, raseur des autres, guerrier d’avant-garde, avec une propension nouvelle à copuler avec Israël ! Avec ses penseurs torrides et ses philosophes hexagonaux, ses loups et leurs hurlements, ces hyènes et leurs rires, leurs rictus sur les chaines et leur rituel chez les médias. Charlie tient bon malgré le drame qui l’a décimé. Charlie a le droit de vivre, sans s’éteindre ni brûler, …mais pas seul ! Il tient à ses démocrates, ses bonnes gens et ses lecteurs niais et aux retombées universelles de ses sémillants propos.
    ‘’Amalgame réducteur, instrumentalisé, entretenu pour en découdre avec La religion, avec les soi-disant pays de l’Islam, pour obéir aux plans du lobby du Likoud et des néoconservateurs, afin de décomposer les états, encore tenus vigoureux, par leurs chefs et tyrans, ou encore virulents de la région. On comprend que c’est pour dépoussiérer devant, l’empereur Israël, qui éternue dès qu’il sait qu’il a un voisin.
    Mais, Charlie va-t-il changer d’option et de cible ? De ton ? Non, jamais, c’est impossible et il ne le faut pas ! Changer de commanditaires, ce serait pour tous, plus heureux ! Que la France d’Astérix et de Hollande couvre dès lors, son sacré journal, et qu’elle le soutienne ! Loin de la manip étoilée, loin des struggles inutiles, loin des fils qui agitent les marionnettes !
    La France, avec ses habitants multivalents, en couleur, en odeur et en religion, n’a pas besoin d’une presse qui insulte la sensibilité de 6 millions et plus de ses habitants. Sans compter des animosités malheureuses que cette presse suscite, transfrontières, au sein des pays francophones. Car ceux qui sont de toujours ses fidèles clients, ses fermes et ses mines, ses clients indéboulonnables, ceux qui parlent sa langue, ceux qui font la fortune et la place de la France, ont pour muraille contre le terrorisme cette religion, et qui est leur ciment pour une grande part encore. S’en moquer, fragilise l’estime mutuel, détruit l’amitié, détériore les alliances, les convenances et les accords, s’il ne frappe pas pour détériorer ou détruire leur identité !

    Une presse à rictus pareille, du moins sa ligne éditoriale, sa ligne d’inconduite pathologique, telles que dévolues et asservies à une puissance belliciste étrangère est suspecte. La preuve, les 3 plus hautes kippas du lobbie sioniste étaient là, pour faire avancer la marche du dimanche. Hé bien, cette France n’a pas de besoin d’une puissance étrangère, fut-elle bien étoilée ! Un pays étranger qui subjugue ses habitants et les débauche, un pays guerrier qui opère sur ses médias et les manipule, pour lui dicter, à la République gauloise, sa politique.

    Entre les libertés et les insultes ! Peut-on rire de tout ? Peut-on rire de tous ? De la Gaule aux Afriques et en Orient, partout, les kamikazes y répondent en s’éclatant, jusqu’aux sangs et à cœur joie, face aux humiliations diverses qui les maltraitent dans leurs fondements. Les musulmans, frustrés et abusés, sont partout pris dans l’étau cynique et culpabilisant du mépris qui les indexe. On les interpelle, on les stigmatise, livrant aux malaises existentiels leurs fondements identitaires. Culpabilisés, ils sont moqués pour leurs différences et leur attachement, mordicus, aux us et aux crédos qui sont les-leurs. La liberté d’insulter les autres est institutionnalisée dans le parangon des libertés et de la démocratie, la France. La liberté d’exploiter ses peurs ataviques et ses souffrances historiques, punit toute tentative de négationnisme, en France ! Le privilège des uns est mis en balance, d’office et de force, face aux interdits des autres ! La fraternité, n’existant pas au sein de la même patrie, il y a trois mots qui lui manquent encore, l’éthique, la tolérance et l’égalité, si ce n’est l’estime ou le simple respect des autres. Le dilemme est ce droit d’exciper de ses libertés, déjà dans le même pays ! Que dire de la pratique de caricaturer le sacré et de transgresser ce que respectent les autres ? Blesser ostentatoirement autrui, alors que la planète est mondialisée et que le Net et les satellites balayent les frontières, à devenir tous des voisins qui se regardent.

    Si critiquer est libre, l’insulte est diffamatoire. . Car blasphémer, même pour un athée, c’est manquer d’égards, naturels, en injuriant les mœurs des gens que l’on vilipende dont on insulte les représentations ou les symboles. Par delà les hauteurs des Pyrénées, ce qu’on avait dit de la vérité est valable pour les libertés, selon l’endroit qu’on habite et son évolution. La liberté obéit aux mêmes réserves circonstancielles, envers les autres, existe-t-elle ? On n’a pas besoin de visa ni de passeport pour insulter et agonir ! Car avec les médias de nos jours, ça dépasse les bornes, surtout quand c’est déplacé et même si l’on ne se lève pas de son ordinateur pour attaquer et maudire.
    Le défi, la hardiesse de dépasser les interdits, le plaisir fou de surpasser les bornes et de rompre les lignes rouges…La jouissance vertigineuses du rire interdit…L’outrage fait vivre ! Qui plus est, la très juste et limpide Taubira ne dit-elle pas qu’il n’y a pas de tabou, dans la France de Voltaire et de l’irrévérence. Citant Capacité d’indignation des veilleurs de la vigilance sur la démocratie, Morts pour la France morts pour les libertés, fussent-elles vexantes pour les sensibilités offusquées.

    Je la cite quand elle parle lors d’une cérémonie vouée à Tignous : « En France, a-t-elle affirmé, il n’y a pas de tabou. On peut tout dessiner, y compris un prophète.» Elle a dit également, comme on peut le voir et l’entendre à la sixième minute de la vidéo ci-dessous: «…Ces tabous nous révèlent les failles de certaines sociétés. Anti-églises en Russie: tabou. Représentation de la mort en Suède: tabou», avant d’ajouter: «Au Maroc, il est plus prudent de ne pas vouloir représenter le roi». »

    Oser, braver, ou humilier, pour faire bouger les hommes et leurs idées ? Se moquer pour amuser et amuser, c’est être ! Se moquer donc pour rééduquer. Les classiques optaient pour la comédie en prétendant que, ‘’Castigat ridendo mores’’ ! C’est-à-dire que la comédie châtie, ou corrige les mœurs, en riant.

    La religion musulmane, puis la civilisation qui ont a hérité, a beaucoup perdu en déconseillant aux siens de s’adonner à la sculpture, à la peinture et au dessin. Ceci, dès ses primes débuts, afin de ne pas laisser ses adeptes, adorer les représentations de la déité, au lieu du Concept abstrait, lui-même ! Et de voir Dieu, quand on y croit, comme un objet ou une image, fragile, matériellement accessible ou banale.

    Tu as raison, Henri, l’esprit gaulois, frondeur à l’intérieur et irrespectueux, mais juste pour s’amuser et gausser, a été dévoyé de sa belle innocence et de sa gratuité. On s’est moqué du Vietnam, de Cuba, des Afghans, de l’Iran, de Saddam, de Ben Laden, de Kaddafi, de Bachar, du Liban, de Daech, des Talibans, de Palestine. A chaque fois mon opinion, telle que formée par les médias, s’est révélée ne pas être la bonne. Et là, le massacre de Charlie et la secousse universelle de la république et de ses amis me laisse circonspect et coit.

    Puis, de la comédie à la satire, on a utilisé les médias, faute de cirques romains. Il est mieux et plus aisé de se moquer et de faire glousser le cirque des lecteurs que de tuer dans l’arène, d’honnêtes taureaux par de cruels toréadors. Il était temps de mettre fin à cet héritage bestial et carnassier qui entachait la civilisions hispanique voisine occidentale. Ce comportement barbare et sanguinaire, où les bêtes remplaçaient les esclaves chrétiennes, livrées aux lions ou aux gladiateurs. Oui, il vaut mieux se moquer et médire, et plutôt rire et faire rire, que de tuer pour gagner sa croute ou de s’entretuera, au lieu de s’expliquer.
    La presse sarcastique de Charlie Hebdo y a trouvé comme un starter commercial. L’image véhicule l’idée et y fait adhérer les abonnés. Les lecteurs, blagueurs et moqueurs, les admirateurs et les sympathisants, en deviennent les inconditionnels de ces ‘’drogues intellectuelles’’ ! Rigolades grossières, fines, indigestes ou risibles, elles font un tabac et deviennent des drogues dures. Les initiés et les zélateurs avaient leurs apôtres, ils sont morts sur la cène. Ils se sont tués à la tâche. Départ digne des soldats du stylo face aux fascistes et aux tyrans de tous les bords ! Leur mort, par delà le crime abject et bête, a une dimension civilisationnelle, internationale, qui rehausse la place de la France dans le monde. Même morts, ils continueront d’édifier les jeunes et leur intelligence, et d’écrire faute de dessiner le destin de la Frances. La liberté osée, la république, soudain devenue Charlie pour tous !
    La presse de caniveau, se parfume des débris collatéraux ! Les journaux, les émissions satellitaires, ont leurs fideles adeptes aussi. L’internet, l’ordinateur, le phone n’ont fait que démontrer la force du phénomène addictif.

    Les leaders espiègles, les prophètes du crayon amuseur deviennent des célébrités, les pontes éminents de ces nouveaux cultes ! Leurs collectivités, connectivités fermées et à la fois éclatée, par delà l’Hexagone, sont formées d’adeptes fidèles ! Les fans abonnés deviennent les affidés et les prosélytes des stars et de leurs rites hebdomadaires ! Ils se retrouvent entre pratiquants et entre connaisseurs sectaires, dans leurs ‘’temples’ portatifs, réels mais pas si virtuels que ça !
    Leurs gazettes s’arrachent maintenant qu’ils sont morts à prix d’or ! Demain, si une autre religion naissait ou si l’on devait donner à Marianne un visage, au lieu de Bb ce sera le buste de Charb !
    Les voyeuristes ont leurs émissions comme les in de la musique de chambre. Ce sont donc des communautés, qui ne jurent que par leur ‘’ça’’ !
    Mais, ces délectations sont vite devenues des positions politiques et pire, une sublimation de la moquerie, qui ignore les bornes, parce qu’elle veut justement, par sport et par défi, les dépasser, pour démonter aux autres l’étendue de leur intelligence, d leur optiques, de leur raison, de leurs jugement et de leurs immenses libertés. Ce ne n’est pas de l’insouciance, ce n’est pas de l’indécence, c’est une incandescence. Il fallait aux yeux du monde, perclus dans ses problèmes antinomiques, ses inégalités, ses injustices, ses peurs, sa faim, ses crimes et ses maladies, des champions de ce genre ! Hors catégorie ! Non pas des martyrs, comme ils sont advenus, volens nolens, mais des héros.

    On allait sans se rendre compte, caresser la bête à poil, pardon, dans le sens des poils, à gratter. Les gazettes ont exercé un pouvoir politique réel, sans le dire aux bases. D’où tiennent-ils les cordes ou les ressources, ces gribouilleurs politiques ! ? Qui pait pour les pousser à bout et à l’outrance ? Et aux outrages ! A qui cela profite-t-il ? Car, il y a un bénéfice politique, certain ! La preuve, les meurtres, injustes, stupides et barbares, qui ont ressoudé et renforcé la Présidence et la République. Et cette image de la France, de nation avancée d’Europe, avec ses citoyens, sans peur et sans reproches, complètement délurés et libres de tout faire, cette image unique dans le monde a été exaltées par les marches de soutien et de solidarité avec Charlie Hebdo, au point de dire, ou de prétendre, que ceux qui n’ont pas pu marcher, ne sont ni indépendants, ni libres, ni conscients ni évolués ou déterminés, comme des amis ou des alliés encore ! Ou simplement des jaloux !
    Seulement, face à cette hypothèse, il y a les autres, qui ont souffert, sans être ni des Charlie ni des comparses ! Mais, des victimes, doublement affectées, et par le meurtre de Charlie et par la montée, grossie et revancharde de la xénophobie, du racisme anti-islam. Ces peuples et ces victimes honnies seront montrées du doigt, châtiés, sans déférences ni raisons. Par bravade avec plus d’amalgames ! Avec en sus, des moqueries sur leurs habitudes, leurs vêtements, leurs rites, leur prophète, mis publiquement dans des situations les plus précaires et les préjugés, les plus honteux.

    Cocasses, les fesses en l’air ou le cul étoilé ! Cette plèbe, ces ridicules pacifistes musulmans, réglos et pas islamistes, qui ne lisent point le honteux et grossier canard, ils ont des droits ignorés et des libertés brimés. Car à la sortie, virtuelle, des colons et des protectorats, ils sont soit en guerre civile, soit en guerre sécessionniste ou en guerre froide avec leurs voisins. Qui plus est, ils restent tenus de mains de maîtres, par des tyrans, qu’ils ont laissés aux postes sur leurs anciennes colonies ! Faites un tour en Afrique ! Ces chefs, souvent d’essence ou de choix militaires, sont dévoués aux impérieux diktats des républiques du Nord. Ils sont les gardes-chiourmes de leurs faméliques lions et singes d’Afrique !

    Hé bien, ces canaques et ces indigènes, ces autochtones et ces aborigènes, ces apaches, ces ouvriers hypo-smigards du bâtiment, des grosses fermes et des petits champs, s’ils ne périssent dans les boat-peuples, sous les vagues ou sous les dents de leurs tendres requins, faciles à transformer en torches humaines, sous les yeux de leurs petits commerçants ou viles ouvriers, marchands ambulants, , en quête de place au souk, et que les polices municipales pourchassent, à deux doigts de s’enflammer en martyrs, prêts à péter pour faire une révolution, fleurie au œillets. Hé bien, ces créatures dont on se gausse, librement et sans freins ni honte, on les a volontairement blessés dans leurs plus hautes croyances ! Sans leur donner la possibilité d’émettre leur avis ou de se défendre de piètres dérisions et de pareilles humiliations. Ils sont outragés dans leurs concepts les plus respectables et les plus sacrés.
    Hé bien ces mal lotis, ces mal aimés en guenilles, cette populace ignare, ces descendants de mineurs, de fantassins et de bachibouzouks, sont ulcérés, meurtris, violés jusqu’à la moelle, dans leurs ultimes refuges et les dernier espoirs de leurs vies. La religion, l’après-vie, leur prophète, Dieu ! Des idées, des balivernes, des ’’idioties’’ que balaient les craquants cracks des dessins islamophobes ! Ces français de nationalités, ont la vie pourrie ! Il en est qui veulent à jamais les apaiser et les en débarrasser. Les exiler et renvoyer de la douce France, ces 6 ou 7 millions, pour ne plus faire partie du bon peuple et les rendre à leurs sources et pénates d’origines !
    Cette populace est meurtrie par des romanciers racistes et des essayistes xénophobes. Ces habitants de dernière catégorie, ‘’ces géniteurs de monstres’, sont haïs, publiquement, politiquement. Et chez Charlie, cette plèbe sans protecteurs autres que Mahomet, quand elle y croit, est stipendiée par ces blasphémateurs avérés, irréligieux et iconoclastes de référence, qui se croit tout permis, même en dehors de leurs pays ! Oui, car ils appartiennent à la nation surprotégée et outrancièrement respectée et chérie, doublement aimée par Dieu et par son père Yahvé !
    Car, je disais, ils souvent sans culture, analphabètes et sans moyens, pour leur plupart, et ils n’ont sur cette terre, que la religion, qui les calme ou qui les refreine ; ils n’ont que cet espoir en leur prophète caricaturé et leur divinité. Et là, ils sont dévastés par ces sacrilèges, autant que par les guerres, commanditées, qu’on leur fait directement, ou par les extrémistes, issus des frontières de leurs pays ! Des mercenaires, locaux ou importés, hyper-radicalisés. Ces gens qui relèvent dans ce cas du simple Islam, ce petit peuple de bougnoules, hé bien, ils n’ont que de simples espoirs terrestres et se refugient en Dieu.

    Et si on a parle de blasphèmes, si l’athéisme ou le credo ne regarde que l’individu, là ils sont attaqués sur leurs pans religieux par une armée de 10 rigolos laïcs ‘’fanatisés’’, le crayon aux poings ! Situation sarcastique ridicule autant que partielle et partiale, inique et inégale. Quels liens y a-t-il entre Le commando meurtrier de Paris et les indigènes analphabètes que l’on estime lésés? Oui, on a fait parler Al Qaeda du Yémen ! Où est la vérité ? C’est la culture des vainqueurs, c’est l’arrogance du sionisme ? C’est la pauvreté en face, les ghettoïsés de Palestine, ces camps que l’on pulvérise et que l’on chauffe au phosphore, pour en réduire périodiquement les résistants et les habitants ? L’islamisme est-il une réponse aux guerroiements de l’Europe ? Sur des frontières qu’elle a créé et laissant instables des frontières, déchirées, entre tribus et nations ! L’islamisme, des natifs d’Europe, celui ou ceux créés par les Américains, développés par les guerres, face aux vainqueurs des pays islamiques, dévolus, dévolus, dévoués, déliquescents ? Est-ce le sionisme, puisqu’il faut l’appeler de son nom ?

    Si la presse reste libre en Europe, en France, la force de frappe du 4 ème pouvoir de France, se développe et exulte, grâce au Web, dépassant les frontières outrepassant les siennes ! Ses fais et actes, sont rapportés, et ses feux d’artifices chantés comme des brûlots. Les artificiers du crayon sont chantés comme des athlètes ou des héros ! Leurs premières pages, amusantes pour les leurs, désobligeantes pour ceux qui ne les voient pas font le tour du Net et grossissent par la voix des autres médias. Charlie Hebdo, cautérisé par une précédente attaque, survolté, exulte, s’en fout et se gausse. Si les victimes de ses véhémences espèrent de lui, un répit, une accalmie des ses caricature du prophète, lui, ne peur garder ses réserves, il se lance sans abris, dans la stratosphère et s’accroche à ses défis aussi liberticides de celles des autres ! Ne dit-on pas que la liberté des uns s’arrête là ou commence celle des autres ? Pourtant cette basse sédition ne méritait pas ce si haute et si malheureuse sanction !

    On a exacerbé les instincts répulsifs et la xénophobie pour devenir des faits d’arme culturels hyper racistes, en insultant carrément, les crédos des autres ! La diffamation et l’outrance sont devenues un Art. Un art, un arsenal qui rapporte politiquement, par delà les frontières !
    Les utilitaires prévoient le drame et les bénéfices politiques en dollars et en drachmes.
    Après les races et les couleurs, des nègres, des chinois et des japs, ce furent les juifs, ces dits-assassins du Christ, riches ou pauvres, des millions qui furent grillés, pillés, extrudés d’Europe. Et une fois la paixenues, ces sémites ‘’adsorbés’’ dans le tissu national, après la victoire des alliés sur le nazisme, on s’est livrés et ligués, sur d’autres Sémites ! Les Arabes confondus avec les Musulmans et leurs dérives islamistes !

    Amalgames par delà les temps et la raison !
    Car ces indélicats d’Arabes ou de bougnoules, ‘’ces sauvages d’islamistes’’, souvent des pauvres ou leurs princes trop riches, sont restés plus jaloux de leurs terres, spoliées ou pas et de leurs impassibles us et crédos.
    On remet aux valeurs du jour les Croisades et l’inquisition. On a oublié les guerres entre les reptiles et les autres dinosaures, on oublie la conquête de l’Ouest, les Incas et les indiens, les Noirs et l’esclavage, mais bon, on hait ce qu’on peut ! Les voisins emportent ce mérite ! Alors les adeptes de Mahomet, à la casserole, c’est sur eux que vont se fixer les menus et les haines !

    Les raisons des attaques des hommes cultivés de Charlie Hebdo, entre autres brillantissimes dénégateurs, et de leurs puérils dessins et pisseuses caricatures, renaissent des arcanes du passé de l’humanité ! Et pour la cause du lobby on remet ces comportements meurtriers au goût du jour !
    On oublie que se moquer est une arme délibérément cruelle et mortelle. Qui accepterait-fut-il un homme de Cro-Magnon, une aliénation de soi, avec une perte de l’estime de soi, une annihilation finale, une aliénation, tant pour sa personne, que sur son Dieu, son prophète et sa religion.

    Esprit culturel ou parti-pris cruel ? Sont-ce des dessinateurs français tout court, ou une armée de farfadets ? Des agitateurs, des faiseurs d’opinion, des mercenaires ou des sous-offs, à la solde de Sion, cachés sous la palissade des crayons ?
    Un peuple palestinien, une terre, un temple, une mosquée, une civilisation, un milliards et demi de sensibilités et de cœurs, portés une religion, et que l’on pousse à s’entredéchirer ! Tous frappés, sabordés par un dessin minable !
    Mais, arriérés ou pas et sous la maitrise des chefs, qu’on leur a suggéré de porter, après leurs relatives ‘’ indépendances’’, ils restent vaincus et quoi. Manifestant peu, malgré leurs désarrois! Et ce sont de extrémistes, dont la majorité se défend, qui apporte nt à ces milliard plus de honte, de culpabilité et de mépris de surcroit !

    Chez les gens, comme chez croyants, quelles que soient leurs divinités et leurs patries, se moquer déjà de leurs emblèmes nationalistes, de leur drapeau, est très grave. Mais, pire, aller les humilier publiquement, jusqu’à en réussir un consensus, occidental, républicain, planétaire, intellectuel.
    S’acharner sur eux, avec des millions d’exemplaires de cette revue furieuse et injurieuse, après avoir réussi à organiser des marches œcuméniques de cette dimension, quadri millénaire, est une réussite pour la France charlienne et son gouvernement !
    C’est, a contrario, la pire des faillites et des défaites des assassins allumeurs de pétards, lanceurs de fusée, ou tireurs du dimanche ! Ce genre de résistance est voué à plus d’inconséquences. C’est au dialogue et au consensus justes, qu’il faut arriver.

    Pire qu’avant, le camp arabe et musulman est éclaté. Vaincu par ses partitions historiques et les guerres infâmes qui lui sont imposées, en non-stop, et à chacun des états qui le compose, et ce depuis deux siècles, déjà. Alors versons des larmes un moment et faisons la politique autrement, pour accéder à notre respect, à nos droits et resserrer, dans la paix et la dignité, nos rangs.

    Au moment de clore je cite deux larmes. Et quelques réflexions à leurs sensibles propos. Sous la pluie des moussons et les clameurs des catholiques, le Pape à la mitre, François, celui de Rome, en visite aux philippines, lève les mains à Dieu et bénit les millions de fidèles qui sont venus l’acclamer. Il livre au monde qui se déchire des conseils de tolérance et de paix. Oui, les larmes seules des enfants répondent à la question de cette fillette qui lisait sa lettre devant le pape publiâmes. ‘’ Pourquoi Dieu laisse-t-Il les enfants souffrir ?’’ Tous les enfants de Palestine, d’Afrique, d’inde et d’Asie et d’Océanie sont concernés par la réponse.
    Une autre larme, celle de Luz, qui a commis l’affiche du dernier Charlie. Une trouvaille passionnelle. En expliquant sur vidéo l’idée de cette première hyper-mondialisée, il était très ému. On eût dit, que sa tête abaissée penchait volontaire sur l’épaule du prophète. Celui du magazine, devenu vert. Puis, quand il a lâché des larmes, ça devait mouiller la joue de la caricature. Le dessin perlait une larme en disant, tout en haut, ‘’ Tout est pardonné’’. Oui, il faut cesser de stigmatiser Charlie et lui pardonner. Jésus, l’aurait fait, en disant avant de s’élever, ‘’ Je suis Charlie !’’
    Dr Idrissi My Ahmed, le 16 Janvier 2015

    #207129
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    DR IDRISSI MY AHMED
    aamm25@gmail.com

    A Son Excellence Monsieur Le Professeur El Houssaine Louardi

    Bonjour Excellence,
    Que l’année nouvelle vous soit favorable et sans erreurs au ministère !

    Niet Monsieur le Ministre de la Santé !

    Là, vous vous gourez N’âamasse ! Ne sinistrez pas la Santé plus qu’elle ne l’est ! Les dossiers mal hérités, qui vous poussent ou vous obligent de commettre cette forcenée et regrettable erreur ! Sachez calmer, je vous prie, les ardeurs qui vous trompent et qui vous piègent. Et qui nous lèsent, en offrant à la flibuste mercantile, la chair de nos malades, comme on avait offert les fantassins du rif aux canons coloniaux du Nord !

    Vous, Monsieur le Professeur, votre parti, le PPS, le Gouvernement péjidéen en seriez devant l’histoire les architectes, les promoteurs, voire les pathétiques revendeurs de nos chairs ! Rien que ça et sauf votre respect ! On voit mal un excellent praticien, adepte de l’idéologie doctrinaire socialiste, telle que revisitée par pragmatisme et adaptée par consensus aux mœurs du pays et à l’esprit de la nation, céder faute de territoires aux étrangers, l’avenir de toute une profession. D’autant qu’il en est le tuteur légal au ministère, le professeur idoine et le doyen illustre et et le garant du succès de ses disciples.

    Laissez-leur leur travail à nos professionnels, qui sont vos lauréats et vos collègues ! Encouragez-les, à partir de votre Ministère ! Poussez les médecins marocains, vos collègues et vos pairs, vers le succès dans leur magistère, en excipant de leur supériorité technique, de leur formation et de leur savoir faire. Ce face aux étrangers dont on colporte et on vante la supériorité ! Ethnique? Celle de leur simple identité d’étrangers, Le marocain, friqué ou sans arrogance est féru du label étranger. Complexe du colonisé oblige. Vous le savez, et vous voudriez bien qu’on ne vous accusât point de cultiver encore plus ce complexe dénégateur ! Vous détruiseriez nonobstant, ce qu’il y a de plus noble dans la Médecine, l’humain au profit de la rumeur, du bizness et de la fausse réputation. Vous qui les représentez avec honneur, vous avez besoin des médecins marocains pour faire le Maroc et non point de mercenaires ou d’aventuriers pour vampiriser le secteur !

    Tant de travail et de temps, tant d’ambitions civiques et humanitaires, férues d’engouement scientifique, ont été investis par ces médecins et leurs familles. Il est juste et de bonne gouvernance, Excellence, que de respecter jalousement leurs droits. Et aussi judicieux de faire respecter l’adresse et l’ardeur dans le métier de ces privés qui rendent bien service à La Santé, ce Ministère que vous servez magistralement ! Pour tenter de devenir des cadres, vos collègues, ont consenti bien des sacrifices ! N’est-ce pas dangereux et partial que de les sacrifier de la sorte et de jeter aux orties leurs justes intérêts dans leur pays ! Et ce, malgré les longues études sur lesquelles vous avez-vous-même veillé longuement !

    Il n’y a pas que le lucre en médecine. A Casa au CHU, à la fac, aux urgences, en Réa vous n’avez pas connu la dureté matérielle de la moitié des médecins qui opèrent au Maroc ! Celle des généralistes, parent appauvris du système de soins et cinquième roue de la calèche ! Beaucoup d’entre nous souffrent des fins de mois mortelles et terminent très mal leurs cursus de vie.

    Les médecins n’ont même pas de couverture sociale ni de retraite pour leurs vieux jours…Songez-y Maître ! Commencez par cela, s’il vous plaît, à coté des formations post-universitaires, qu’il est temps d’offrir et d’organiser systématiquement dans ce pays !
    Avec un professeur à la tête de ce Ministère, jetez-en les fondements ! On se rappellera de vous comme fondateur ! Et non comme celui qui aura poussé le libéral marocain, à la reddition, devant les appétits féroces des investisseurs, qui pourraient trouver ailleurs, là au Maroc, d’autre créneaux pour fructifier leurs biens, au lieu de parasiter un secteur, longtemps sacré, qui a toujours appartenu aux seuls médecins. Quelle place laisseriez-vous à ceux qui ayant fait chirurgie dans vos hôpitaux, ou complu à dix ans dans vos services, d’orl, de cardio ou de gynéco, et qui voudraient une fois libérés, investir simplement dans leur propre domaine, dans des cliniques, sans se mouiller ailleurs ou se pervertir autrement !

    Est surtout, pitié pour votre beau parcours, car nous vous admirons tant. Et vous le savez Monsieur le Doyen. Nous n’avons pas besoin de vous jeter des fleurs, Si Louardi ! Ne refaites pas l’erreur de la création des cliniques CNSS. Une forfaiture anti ordinale, non réglée à ce jour. Elle aura été pour notre sensibilité éthique, pire que la création d’un certain état colonial et raciste en Palestine ! Libéraux par choix, par culture et par essence, ayant vu hier, l’Ordre dépassé par la forfaiture, nous ne pensons guère autrement ! L’histoire, ‘’ le principe de ne pas être juge et partie à la fois’’, nous ont donné raison, après quarante ans de malversations, de débauchage et d’errements ! Et depuis, de tergiversations !

    Ces Polycliniques, qui tardent à fermer ou à retrouver preneurs locaux, s’étaient ouvertes avec l’arrogance inique de l’ère ‘’saturnienne’’ antérieure ! En bravant l’Ordre d’abord et le Ministère ensuite et depuis toujours, en déviant ses cadres, ces médecins du public, de leurs offices, en tant que fonctionnaires de l’Etat. Cette forfaiture s’est incrustée dans les mœurs, comme une seconde nature, difficile à extirper, tant les passe-droits sont devenus monnaies courantes ! En rabattant sans frein ni pudeur ses malades, en racolant ses médecins, en les déviant, en les empêchant de faire intra-muros, le travail hospitalier pour lequel ils sont payés… D’autant qu’on raconte et qu’on en tait encore, les actes de dilapidation des biens des assurés, par les véreux gestionnaires de la Caisse de l’époque.

    Ce fait, fut un viol en cette époque quasi féodale. Ce forfait de leur création avait créé un précédent. Un forcing pour enfanter un Secteur pirate, bâtard comme il se doit. Lequel avec forfanterie et une arrogance inégalée, déviait les spécialistes et les profs de leurs services hospitaliers et de leurs obligations strictement universitaires. Si des malades et des étudiants ont en souffert, c’est d’une certitude qui se passe de chiffres et de commentaires ! Le passé ne sert qu’à illuminer l’avenir. Et nous espérons tellement de clarté de votre part, Professeur Louardi.

    Cette confusion, ces dépassements, ont contribué à appauvrir les hospices de la Santé Publique. D’abord en privant automatiquement les hôpitaux de l’Etat, les premiers, des apports des mutualistes et des assurés sociaux, d’un pactole non négligeable, qui eusse pu permettre de moderniser les hôpitaux d’alors ! Car ces formations ont été spoliées de la prise en charge des assurés sociaux, des mutualisés et même des malades non assurés,  » des clients », les grands payants disait-on, qui se déversaient sur ces hospices, plus attractifs ! Livrés à un secteur né rabatteur, ils ont été servis !

    On en est encore à chercher des repreneurs étrangers pour colmater la Bavure anticonstitutionnelle en leur fourguant ces unités. Ces cliniques qui doivent commencer à tomber en ruine et à se démoder, ne représentent plus peut-être que des charges salariales et des terrains immobiliers pour les éventuels acheteurs ! Une aubaine !

    Evidemment pour placer de l’argent sale, il n’y a pas mieux comme opération ! Evidemment, les prix de cession resteront totalement ou partiellement dehors ! Sauf miracle ! Mais, de notre part, ce ne sont que des supputations…

    Le Peuple n’a pas encore compris où pourrait le mener cette bavure. Une des exactions qui ont failli ternir encore plus vos prédécesseurs ! Cette extravagance que vous devriez éviter aussi, en tant qu’homme propre ! Sans vous inonder de fleurs !

    Votre opération de vente de la Santé aux étrangers, cette opération serait parallèle à celle des concessions des services par Basri ! Qui plus est, elle se commettrait sur le dos des seuls médecins libéraux. Elle livrerait les marocains malades, ligotés et conditionnés, aux conditions drastiques des investisseurs. Chose ‘’instinctivement naturelle’’ pour le lucre qu’ils viendraient chercher. Les autres secteurs libéraux en seraient soulagés!

    Un investisseur, avec sa m’halla de pontes en affiche, ne viendront que pour le gain, sensu stricto. En dehors de quelque rares cadres étrangers, qu’apportent-ils aux Régies et au Marocains, pour rafler tant de bénéfices ? Augmenter les tarifs, malgré les accords, ils trouveront et les combines et les complices parmi les ‘’honorable conseillers. Quitte à abuser de la confiance aveugle et de l’ignorance des  »indigènes », nos gens seront prédatés ! Vous ne pouvez pas avoir les yeux des Inspecteurs de la Santé, constamment vigiles et sincères, sur les dépassements et les manquements. Seuls critères de gains chez certains racoleurs qui profitent de leurs nationalités, bien introduites et quasi immunitaires, pour s’offrir des passe-droits, si naturels sur le dos des autochtones ! La nature humaine est ainsi faite.

    Seulement là, dans le domaine de la santé, c’est le seul  »secteur libéral » que vous voudriez punir et pénaliser en soldant aux capitaux privés et aux étrangers, un package de malades ! Leurs malades ! On parle volontiers et ostensiblement du savoir faire étranger…Certes ! Est-on réellement selon vous, Maître, si mortellement à la traîne ? Où déjà éteints ? Et à quoi seraient dues nos défections en tant que marocains ?

    Les taxes de TVA et de Douane sur le matos, jusqu’à 37 % ! Nous n’avons pas cessé de les décrier aux plus hautes autorités de la Nation, à partir de l’AAMM. Nous persistons à réclamer pour la Santé une révision des impôts sur les maladies et les soins. Un appel, une supplique pour les Hauts Lieux aux fins de Réforme Fiscale. Cette révision de la législation prédatrice en vigueur, se doit trouver en vous son leader ! Des taxes punitives des malades, indirectement partiales et iniques s’appliquent uniquement sur le dos des malades, respectant ceux qui sont sains ! Elles s’appliquent sans vertu ni équité, pour renchérir l’accès aux soins.

    Ces taxes moyenâgeuses, telles les dîmes et la gabelle, sont une espèce insane de chaînes, de boulets et de carcans, qui handicapent et enserrent le cou des seuls malades. Elles frappent ce qui est essentiels et vital aux seuls malades, leur juste droit à la santé ! Le diagnostic, les soins et les médications en sont bridées. Ces taxes indirectes, sournoises et perfides, inconscientes pour la masse, sont naturellement appliquées avec un sadisme effarant sur les patients ! Appliquées tant sur les instruments, le matériel, les réactifs, les intrants que les médicaments, elles pénalisent tous les secteurs, et les Hôpitaux et les Caisses de remboursement.

    Cette cherté supplémentaire bloque les investissements et la modernisation de par la plus-value, taxative et vexatoire, qu’elle englobe lors des achats. Cette partialité, qui ne frappe que les couches malades est inique, antidémocratique, contre-productive et anti-citoyenne ! Convenez-en, Excellence ! Elles pompent votre budget d’équipement médico-pharmaceutique de plus d’un tiers ! Vos propres achats en sont réduits. Les modernisations nécessaires et les investissements potentiels, ceux de la Santé Publique, la première, en sont inéluctablement affectés, monsieur le Ministre. Prenez-en conscience, de nouveau, Naâme a Sidi !

    Et si retard, il y a en matière de cadres, d’équipement et de services dans les services de santé, tous secteurs confondus, ce serait la faute de qui, Maître ? De ceux qui avant vous, ont détérioré l’enseignement au Maroc ! Comme l’a stigmatisé, avec un magistral courage, Sidi Mohammed qu’Allah le guide ? Et qui plus est, la Santé, notre mère à tous, s’en ressent et vous en êtes l’un des témoins les plus objectifs !

    Ainsi, en ne pénalisant que le secteur médical privé, par la pénétration étrangère, vous acceptez d’épargner de fait les autres fonctions libérales. Par équité, ou par glissement jurisprudentiel, inéluctable, l’Etat devrait leur appliquer la même politique d’ouverture ! Pardon, les offrir à la même curée invasive extérieure ! Et puis surtout, en élaguer ce qui ne servira à plus rien, les Marocains ! Car les Etrangers, sensés être riches et meilleurs praticiens, plus que admirés des nôtres, sont libres d’opérer en leur milieu conquis et tolérant, le Maroc. Il faudra dès lors commencer à fermer ces p….de facultés, que l’on décrie tant et pousser au DVD les enseignants restants ! Et là, retour au sublime et magistral discours de SM : « 

    Cesser de fabriquer des chômeurs » ! Je parle des marocains devenus superflus et inopérants, qu’il faut marginaliser, au profit des Gouares*. Les porteurs de capitaux et les capitalistes, d’origines douteuses, en mal de blanchiment dans notre Eden fiscal.

    Donc, avis aux libéraux de tous les métiers confondus sur cette menace qui plane sur leurs fonctions ! Pendant que les Occidentaux s’enferment et s’enkystent, protégeant les leurs du chômage et des intrus, même européen, nous autres, nous nous ouvrons à eux ! Des vétérinaires aux dentistes, des pharmaciens de ville aux architectes et aux avocats, devraient fermer leurs boîtes et leurs caquets, au profit des groupements d’investisseurs, des Siadna N’sara ! Car l’Etat, en mal d’argent frais, honteusement complexé et déficitaire en cadres, puisque non formés par lui, viendra à leur appliquer la loi martiale, pardon la loi médicale !

    Tous les métiers libéraux, seront à la merci des exo-capitalistes, qu’ils soient du métier médical, ou pas ! Qu’ils proviennent d’ici ou d’ailleurs, ils seront les bienvenus pour chasser ceux qui n’ont étudié localement que pour cela, et qui n’ont comme pays que Ça ! Le Maroc est une belle concession, pour ne pas dire plus de son ouverture intime, pardon de son éventration !

    Les privatiser, ces cliniques et demain les cabinets, par les anciennes métropoles est une sanction pour les pays vaincus. Cette forfaiture nouvelle portera, avec prestance, le nom de celui qui en permettra le premier la pénétration. Ceci est donc un projet de recolonisation du Maroc, par ce Gouvernement nationaliste ! Malgré le fait qu’il ait à sa tête des ministres, des patriotes, qui ont juré fidélité au Roi, pour la sauvegarde de l’Indépendance du Maroc, pour son unité, autour de la personne emblématique et agissante du Roi!

    Seulement cette opération, cette confusion, cette parodie économique, est un opprobre moral ! Elle aliénera les Marocains les plus affaiblis, les malades ! Ceux que vous avez aussi juré, un jour, de servir. Et nous de soigner et maintenant d’en défendre la dignité et les intérêts de ces concitoyens, en tentant de vous expliquer, avec ardeur, notre opinion !

    Cette déconfiture ouvre la voix aux Saigneurs ! Elle crée le précédent, ouvre la porte et la dérive, sur tous les métiers libéraux disais-je donc, en menaçant leur existence, carrément. En justifiant de leur nombre, de leur insuffisance et/ou de leurs compétences on les pousse au chômage ou à l’extinction. Car vous voyez déjà, avec leurs crises économiques patentes, les gens du Nord venir se déverser chez nous. Nous sommes si hospitaliers, si largement ouverts et si bienveillants envers nos anciens colons ! Les Médecins, leurs médecins et autres cadres libéraux, profiteront de nos concessions et de nos faiblesses pour inhiber encore plus la production et la formation de nos cadres. Je ne suis pas du FN, j’abhorre ses thèses, mais je suis conscient des dérives potentielles que cette greffe, que ce bricolage pourraient faire de notre métier, de notre magistère et nôtres !

    Car nous tolérons tout, au nom du conflit du Sahara. Aussi, nous-pénétreront-ils avec plus de libertés et d’engouement encore. Libres de toute cupidité, nous subirons, désarmés par tant de béatitude, les invasions des privés étrangers. Oui, là aussi, ça fera du boulot et de la création de travail….Sic ! Et les nôtres, hé bien, ils iront se réchauffer au Mali ou faire les hitistes* sur les contreforts du Mur ou de la Mauritanie. Je me demande ce qu’auraient fait un Guéant, un Hortefeux ou une Lepen, s’ils étaient des cliniciens marocains !

    Honte à nous et à nos prédécesseurs pour cette question irrésolue des polycliniques ! Je propose comme solution maroco-marocaine que la Santé Publique les prenne, ces cliniques CNSS, au dirham symbolique. Les absorber pour les sauver, avec leurs acquis, leurs malades, leurs médecins et leurs arriérés !

    Cher Maître

    Vendre des sociétés aux étrangers va ! Des terres, ça passe encore. Mais là, des patients ? Les vôtres ? Si c’est offert, c’est un pari antisocial. Mais quelle honte pour ce Gouvernement de récupérer les erreurs et les concepts trompeurs de ses prédécesseurs ! Autrement dit, si ce projet est maintenu par votre équipe, on croira qu’il n’y a plus de nationalistes parmi vous, au Gouvernement ! Aucun homme de sensé chez l’élite de la Nation, pour comprendre le danger potentiel de cette hypothèque, sur ses cadres efficients ! Et ça rapportera, tout ce bazar, combien de millions au Maroc ! Des prunes !

    On croyait Basri mort avec sa permissivité, ses licences d’ordures et d’eaux, offertes aux sociétés de travaux étrangères…Nous sommes incapables de ramasser nos ordures ! On a encore besoin des colons pour nous en montrer le ‘’où’’ et le ‘’comment’’ les déposer ! On aura fait appel à des Ponts-et-chaussées pour combler nos incompétences ! Quid de nos malades, auprès de nos médecins ? Ça avait commencé par Rabat, la capitale du pays  »indépendant », avant d’aller à Tanger, l’internationale, pour s’installer à la Casa ! Casablanca, la noircie, qui a été stipendiée dans le dernier discours du Roi. Regardez les grèves, les insuffisances, les détritus et les immondices. Et ces prix de l’électricité qui deviennent pour le Peuple, exorbitants !

    Encore un mot, maître

    Cependant, les cliniques d’ici ou qui vont débarquer de l’Au-delà, les spécialistes goulus de banalités, les vendeurs en pharmacie qui opèrent les premiers actes, les gestes simples et les soins, tout comme les changements permis sur nos ordonnances, en avisant ou sans en aviser, ce n’est certes pas général. Puis ceux qui filent directement les malades aux spécialistes, en premier! Méconnaissant du rôle familial et préliminaire des généralistes, tout comme ceux des herboristes et des charlatans ! Ça ne les gêne pas, les généralistes. Ça fait partie des dégâts. Délaissés, dénigrés, notre déception est devenue organique. A titre d’exemple combien de médecins ont été médaillés ? Je ne parle pas du Nobel, mais positivement et simplement des Wissames ! Toutes les professions défendent les leurs et les illustrent ? Les nôtres, nous rabaissent, nous écrasent notre patrimoine professionnel avec une exaction terminale dopée d’une offense nationale de surcroît.

    A l’ouverture du Parlement, on ne le dit pas. On ne le sait pas, on ne le sent pas ! Le Ministre de la Santé ne pense pas y mettre de l’ordre, tout seul. Ça ferait tomber l’édifice sanitaire un peu plus vers le bas. Ou carrément chuter le Gouvernement, pour une année ‘’chabatique’’ encore ! Mais ce qui devait arriver, arriva ! Le feu vert de la loi passe au vert en nous grillant.

    Mettre de l’ordre dans des comportements éthiques, au milieu de la confusion générale entre blouses blanches et au sein des compétences diverses, vous n’y pensez pas, ce serait pire et plus dur que les travaux d’Hercule dans nos écuries d’Augias ! La Santé et ses lobbies, est un dilemme complexe et délicat. Mais vous avez eu le courage de l’affronter. Merci Patron !.

    Ce qui fait que cette histoire de cliniques, mercantilistes ou post coloniales, ne nous mord pas, nous les Généralistes privés. Car nous sommes vaccinés après avoir perdu toute réactivité immunologique et toute place dans les agendas des nôtres ! Déçus ou déprimés, désorientés, ayant vu leur métier devenir dérisoire, leur œuvre minorée et leur avenir cassé, plus rien n’émeut ni n’intéresse les médecins ! Une strate sociale, naguère fière, doit subir votre puissant et drastique karma ! En véritables apatrides de la médecine, exilés dans notre ‘’ propre‘’ pays, malmenés, nous n’avons plus aucun espoir, aujourd’hui dans nos cadres, ni dans cet avenir incertain. Et les facultés continueront de procréer des ‘’bacs plus 15’’ pour grossir les factions, fêléesn, crades et criardes, d’en face du Parlement !

    Seulement, il y a comme un sursaut civique quand on voit commettre l’impensable. Ça nous fait mal à notre Pays, qui jette l’opprobre sur ses derniers retranchements ! Et nous n’allons pas faire du 20 Fev, pour amuser les hooligans de la politique ou la galerie des badauds. Ni aujourd’hui, ni demain. Soyez en tranquille, gérez en paix, leur deuil et leur crépuscules. Ils n’en valaient pas tant ! Nous vous faisons confiance encore, Monsieur Louardi, pourtant.

    Maître Baddou avait caressé l’échine des siens ! On avait marché dessus. Ça casse ou ça passe! Matraquées, personne ne les respectera plus, ces blouses blanches ! Trois mille, fussent-ils médecins, furent d’un coup désacralisés, comme des fœtus avortés, des fétus de paille. Le message de la pimpante avocate fut clair. Elle s’est défendue en immolant les siens. Nous n’irons pas tirer des ânes caricaturaux devant le Ministère, ni nous dévêtir ou nous donner des coups devant nos séides du Parlement. Socialement parlant, ce fut une violence contre l’éthique que l’histoire retiendra. Nous ne jetterons pas nos blouses ! Et par respect, nous ne nous déshabillerons pas non plus, devant les caméras du Parlement !

    Car, il s’en va de la dignité, résiduelle et combative, de toutes les blouses blanches. Des médecins et des malades aussi. Car ceux-là, du moins, doivent croire en leurs médecins et continuer de faire confiance aux praticiens que vous formez. Et le deal, ça ne va pas loin en soldant les secteurs clés de la Santé, mais en réparant les dols de ses acteurs citoyens. En nettoyant, en encourageant, en rendant justice. Et en communiquant, ce que vous ne cessez de faire, brillamment.

    Seulement si la reddition du Ministère est totale, et si vous êtes obligés d’être aussi activement permissif devant le mercantilisme invincible ambiant, quels garde-fous restera–t-il aux malades ? Quelles garanties aux médecins contre les excès attendus du patronat ? Ceux impériaux des financiers, parachutés des cieux !

    Les manigances et le snobisme outrancier, les passe-droits arrogants des investisseurs, ont de toujours donné leurs preuves, ici ou ailleurs ? Ce ne sont pas des infos ou des rappels que l’on donne à un socialiste avéré. Il connait la musique, il sait par charisme et idéologie, tout ça ! Leurs dépassements et leurs malversations, ne sont pas des craintes mais des faits, partout où l’on va ! Quelles garanties laisseriez-vous ainsi, à vos confrères vaincus, quand vous ne serez plus là ?

    Monsieur le ministre,

    Le fait de vouloir solder les malades aux étrangers est donc une bavure anachronique. Vous avez l’exemple pernicieux et permissif des autres services municipaux ! Ou autrement, il faudrait nous importer tout un Gouvernement ! Les étrangers sont comme nous et nous ne se sommes pas pires, pour vous laisser vendre notre réputation, nos malades ou notre travail ou celui de nos aides ! Et si les cliniques tombent entre les mains des mafieux, des pontes à l’argent facile, comment leur appliqueriez-vous les lois ? Ce seront eux qui proposeront leur ministre de la Santé, pour défendre leurs intérêts seulement.

    Une incompétence, un manque d’idéal et d’idées, va encore ! Mais, une inconscience antipatriotique, comme celle de la vente de la médecine, la formation d’un 4ème néo-secteur, cosmopolite, extatique avec ses protecteurs dans les pays amis. Nous solder, à l’instar de tel service ou de telle autre concession, est finalement une trahison de la Nation. Une trahison du Peuple qui devrait pouvoir s’honorer en comptant d’abord sur les siens ! Ou qu’on ait rien compris, esclaves que nous sommes des capitaux, malgré nos diplômes ! Et puis, cette affaire est une défection de notre administration et de nos représentants qui manquent de gouvernance, en optant pour le plâtrage…Comme ce fut pour le secteur pluribricolé de l’enseignement. Après le discours de SM le Roi, on devrait en tirer un enseignement.

    Cela rappelle le deal du protectorat des années 1900 et l’appel  » obligé  » aux colons pour éponger nos dettes. Auriez-vous un Abdelkrim au Nord pour vous réveiller ? Et un autre Ali Yata pour taper sur la table, afin de reprendre les valeurs socialistes initiales de votre Parti, et que nous respecterons, lui et ses hommes, ses militants de toujours!

    Dr Idrissi My Ahmed
    Kénitra, le 20 octobre 2013
    Repris le 03 janvier 2015

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    AMMAIS RECOMMANDATIONS AUX MEDECINS POUR MIEUX CONNAITRE LES MALADIES AUTOIMMUNES

    Compte rendu de la 4ème journée de l’auto-immunité

    Association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques

    Compte rendu de la 4ème journée de l’auto-immunité

    L’association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques (AMMAIS) présidée par le Dr Khadija Moussayer, spécialiste en Médecine interne et en Gériatrie a organisé le samedi 8 novembre 2014 à Casablanca sa quatrième journée de l’auto-immunité sur le thème ‘inflammation et maladies auto-immunes et systémiques’. Deux principales thématiques où l’inflammation joue un rôle central ont été au rendez-vous, la maladie de Behçet et la maladie périodique.

    Dans les maladies auto-immunes, le système immunitaire se dérègle et s’attaque à l’organisme lui même. Il en découle plus d’une centaine de pathologies telles la polyarthrite rhumatoïde, le diabète de type I, la sclérose en plaques, la myasthénie, le lupus, le psoriasis. Un tout autre nouveau concept d’est dégagé ces quinze dernières années, c’est celui de l’auto-inflammation qui correspond à un dérèglement de l’immunité innée, la première ligne de défense de l’organisme.

    Ont pris part à cet événement scientifique de nombreux spécialistes marocains et français, notamment le Pr Loïc Guillevin, président d’honneur d’AMMAIS et dont les travaux sur les vascularites ne cessent d’éclairer la communauté médicale. Son exposé a été axé sur les actualités des vascularites et sur la gestion du syndrome inflammatoire isolé.

    La matinée a été en grande partie consacrée à la maladie de Behçet dont ses diverses manifestations ainsi que les nouveautés de son traitement ont été minutieusement passées en revue par Pr Bertrand Wechsler qui fait autorité dans ce domaine. La maladie de Behçet est une maladie systémique caractérisée notamment par des aphtes buccaux et génitaux, mais ses complications peuvent atteindre les yeux et le système nerveux central. Le Dr Hicham Ouazzani, biologiste à Casablanca, a souligné dans son propos l’importance des nouveaux marqueurs biologiques de l’inflammation dans l’évaluation de son activité et de l’efficacité thérapeutique.

    Les fièvres héréditaires et leur chef de file, la maladie périodique ont été traitées sur tous leurs angles cliniques et thérapeutiques par Dr Caroline Galeotti, rhumato-pédiatre du centre de référence de ces maladies. La maladie périodique, encore appelée fièvre méditerranéenne familiale, est une maladie génétique autosomique récessive qui touche en prédilection les turcs, les arméniens, les arabes et les juifs non-ashkénazes. Elle est à l’origine, sans aucune infection sous jacente, de fièvres répétitives spontanément résolutives et d’inflammation des séreuses enveloppant les viscères.
    Pr Ouafa Mkinsi , professeur de rhumatologie connue et reconnue, a finement découpé les manifestations extra- articulaires de la polyarthrite rhumatoïde et a en outre magistralement éclairé l’assistance sur la problématique de la fibromyalgie. Une maladie qui a connu de multiples rebondissements ces dernières années quant à son diagnostic et son traitement malgré les zones d’ombre qui y persistent.

    L’inflammation mal ou non maitrisée peut conduire au dépôt de ses produits dans les organes en particulier les reins appelée amylose. C’était tout l’objet de la remarquable intervention du Pr Ali Hda, interniste et membre du conseil scientifique de l’association.
    Tout au long de la journée, un riche débat s’est engagé avec les participants. De précieux éclairages ont également été apportés par les modérateurs, les Dr Salaheddine Maaroufi, Pr Aziz Kharchafi, Dr Fouzia Chraibi, Pr Abdelhamid Mohattane, Dr Malika Benkiran ainsi que Pr Kenza Bouayed, dont l’intérêt aux fièvres héréditaires est reconnu.

    A la fin de la journée, un appel à la constitution d’une association marocaine de la maladie périodique a été lancé par des patients et leurs parents. Un diner de Gala a clôturé la journée avec la célébration de l’anniversaire de la 5eme année d’existence de l’association et au cours duquel, une convention de partenariat avec l’Association Marocaine de Biologie Médicale (AMBM) a été signée.

    Casablanca, le 12 novembre 2014
    DR Khadija Moussayer, Spécialiste en médecine interne et gériatrie,
    Présidente d’AMMAIS

    Association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques

    ******************

    Recommandations de la 4ème journée de l’auto-immunité

    L’association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques (AMMAIS)
    appelle à un plus large dialogue entre les différents acteurs sur les maladies auto-immunes

    L’association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques présidée par le Dr Khadija Moussayer, spécialiste en Médecine interne et en Gériatrie a organisé le samedi 8 novembre 2014 à Casablanca sa quatrième journée de l’auto-immunité sur le thème ‘inflammation et maladies auto-immunes et systémiques’. Deux principales thématiques où l’inflammation joue un rôle central ont été particulièrement examinées, la maladie de Behçet et la maladie périodique.

    Les maladies auto-immunes découlent d’un dérèglement du système immunitaire qui s’attaque aux constituants sains de l’organisme. Elles sont représentées par plus d’une centaine de pathologies chroniques et parfois graves. On peut en citer la polyarthrite rhumatoïde, la spondylarthrite ankylosante, le diabète de type I, la sclérose en plaques, la myasthénie, le lupus, le psoriasis, la majorité des affections de la thyroïde, une grande partie des pathologies du foie, des muscles, des éléments du sang, des vaisseaux sanguins et du système digestif. Un tout nouveau concept a vu le jour récemment, c’est celui de l’auto-inflammation qui est déclenchée sans cause apparente à la suite d’erreurs commises par l’immunité innée.

    Le Maroc est dans la sphère étroite des pays concernés par les thématiques débattues lors de ce colloque. La maladie de Behçet, se manifestant par des aphtes buccaux et génitaux et par une potentielle inflammation des yeux et du système nerveux central, touche en particulier les pays se trouvant sur le chemin de l’ancienne route de la soie. La maladie périodique, à l’origine d’une fièvre répétitive, touche en prédilection les arméniens, les turcs, les arabes et les juifs non-ashkénazes.

    Parmi les principales recommandations issues des débats, l’association avec l’appui de ses différents partenaires, a indiqué qu’elle œuvrerait à :
    – Améliorer le dialogue entre les biologistes et les cliniciens avec une mise en œuvre plus large de rencontres clinico-biologiques multidisciplinaires.
    – Encourager la constitution d’associations de malades concernés par les maladies examinées pour mieux faire connaitre les maladies auto-immunes et systémiques dans notre pays et ainsi en réduire le coût humain et économique.

    Casablanca, le 12 novembre 2014. Dr Khadija Moussayer, Spécialiste en médecine interne et gériatrie, Présidente d’AMMAIS

    AVEC LES COMPLIMENTS DE L’AAMM
    ET DU DR IDRISSI MY AHMED

    http://myasthenie.forumactif.com/forum

    http://www.rezoweb.com/forum/sante/myastheniagravi.shtml
    Posted by maidoc at 1:17 PM

    #207110
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    ETHNOCIDE ET REQUISITOIRE POUR LA PAIX UNIVERSELLE

    L’UNIVERSITE ŒCUMENIQUE ET SON TEMPLE DES RELIGIONS

    Le fait est que, depuis sa naissance et qu’actuellement pire encore, Israël l’entêté, est dirigé par des fanatiques, parmi les plus extrémistes qui soient. Cependant, le fait que cet état voyou soit en délire de guerre ethnique constante, n’enlève rien à notre idée humanitaire. Laquelle ?

    Celle de la construction au Maroc de l’Université Théologique Universelle, avec son Temple Œcuménique des Religions. Peuple tolérant, respectueux et ouvert sur les autres pays et religions, cherchant avec respect la paix et l’équité entre nations, il est digne de recevoir en hôte cette institution mondiale et de réaliser sur son sol, cette première.

    PRISE DE POSITION HUMANITAIRE

    Rien n’empêche de dénoncer ce carnage outrageusement barbare et de montrer franchement notre refus, à toutes sortes de guerres. Fussent-elles ostensiblement encouragées et tolérées par les pays les plus puissants et les partis-pris des acolytes sionistes. Ou pire, par les silences complices, permissifs et passifs de certains états ! Des pays impuissants, qui sont rendus impassibles et qui jamais ne bronchent devant Israël et ses protecteurs. Autant de mensonges et d’amalgames criards, chez les esclavagistes et les ethnocidaires du plus cruel des colons, Israël. Ce pays phare des Juifs de la terre, où l’apartheid, racial, tribal, religieux, est une devenu une idéologie belliciste. Une ségrégation existentielle, une raison d’être de d’Etat, qui prend, qui vole et qui tue sous les applaudissements des pays libres ! Se justifiant devant ces laïques des mythes bibliques et des contes d’avant le Moyen-âge ! Les parangons universels laissent Israël sur militarisé, faire sa loi : Une idéologie, raciste, tribale belliciste !

    Nous continuerons de dénoncer ces meurtres et cette claustration d’un peuple qu’on veut liquider et cette humiliation insoutenable pour tout le monde. Cette large nation des anciennes colonies, dépecées, déchirés et dont on facilite encore les sécessions des pays dits ‘’musulmans’’, afin de les éclater de peur de menacer Israël ! Nous ne cesserons pas de réclamer pour notre part, avec force justesse et passion, la justice et la paix. Pour tous ! La résipiscence de tous les Juifs et les Palestiniens. Paix dans cette région, pour tous ses peuples et résidents, comme sur la terre entière.

    HISTOIRE ET HEGEMONIE

    A Israël, comme à Yahvé, son Dieu et Celui de tous, nous demandons la fin de la suprématie inique et injustifiée de certaines ‘’ races’’ sur toutes les autres. Un mythe fondateur erroné et injuste des soi-disant préférées de Dieu. Dieu ne pourrait être inique à ce point. Ce serait une malédiction pour toutes ses autres créatures ! Les autres ne sont pas des merdes ! Quelles que soient leurs croyances et leurs couleurs. Nous refusons que les mythes et les mensonges continuent de favoriser les injustices entre les hommes et de dicter aux peuples la suprématie et l’hégémonie d’Israël ! Nous vous interpelons pour que cessent l’esclavage et ces guerres torpides des religions. Nous voulons que l’on cesse toutes les formes de suprématies inquisitoriales, illégitimes et toutes les colonisations.

    MONSTRUOSITES ET CARNAGES

    Car dans cet abattoir nommé Gaza, Israël se livre impunément, avec une force inouïe et une démence folle, sans répit, avec méthode assurance, sans aucune éthique militaire, au nettoyage ethnique ! Par son usage démesuré de la force, arrogante dans sa suprématie et de sa sournoise et perversité fourberie, Israël cherche de se démontrer et d’exciper aux yeux des Arabes, un exploit. Une suprématie dissuasive sur tous les pays dits-musulmans, de par sa force militaire, ses techniques importées et les richesses que lui offrent ses protecteurs et ses coreligionnaires.

    RELIGION HEBRAÏQUE DEVOYEE OU IMPERIALISME ?

    Ce panache machiavélique, Israël l’exhibe en face d’un peuple inerme par l’usage criminel des armes prohibées. Ce, dans des combats suscités et programmés, ces attaques préventives, leurs raisons et causes, en vue d’essayer ces ADM sur les gens piégés dans leur terre spoliée. Ses propres cousins historiques, dit-on ! Israël, refusant justice au peuple arabe emprisonné, montre qu’il vit sous la menace des résistants ! Pour exploiter la peur qu’elle s’invente et qu’elle grossit et instrumentalise, pour terrasser des gens qu’elle traite de terroristes et de musulmans extrémistes, afin de créer l’amalgame et de susciter des réactions de sympathies chez ses protecteurs ! Aux fins et surtout de réduire de façon radicale toute velléité de résistance chez le peuple opprimé dans sa juste recherche de sa liberté, de son indépendance et de son d’autonomie. Israël y arrive. Ils sont emmurés, interdits de déplacement, largués dans la pauvreté, emmurés dans la misère, dans la désespérance sans fin et les maladies. Ils sont là, dépités, enchainés, sous la menace des drones et des exposions ciblées ou pas ! Ils sont là, fiers de montrer au Monde qui les méjuge, sa lâcheté éhontée et crade. Ils sont prisonniers, près de leurs terres volées, leurs campements emmurés, dans cet espace qui fut le leur, réduit à une peau de chagrin. Le camp concentrationnaire d’Auschwitz ne fut pas pire. Israël fête son Holocauste chaque jour en se vengeant des innocents.

    ASYMETRIE

    On n’est pas devant une légende discutable mais face une guerre inégale, impitoyable, implacable. ‘’Courage’’ et ‘’sagesse’’ de l’occupant, ce sont des invasions mécanisées, menées de main de maître, impudemment, sur des proies affamées, neutralisées et ligotées ! Pour de vrai et non dans un jeu de fiction quelconque. Un combat, non, non, c’est une guerre inégale et asymétrique, de type destruction massive. Israël haineux plus que jamais, s’applique religieusement, avec cette hystérie maniaque et sienne, à son jeu spécifique et forcené de meurtrier en masse. En montrant qu’il est une victime éplorée, pour en tirer subsistance.

    ATAVISME BELLIQUEUX D’UN LIQUIDATEUR NOTOIRE

    Jeu historique anté-médiéval de l’Europe et de porte-fléau vindicatif sur le Proche-Orient ? Carnages et croisades d’une époque révolue qu’on croyait devoir et pouvoir oublier ? En vue de prospérer ensemble, dans la mondialisation et la dignité, quelles que soient nos origines et nos croyances. Mais dupes et naïfs, la candeur ne nous met pas en Occident, à l’abri de l’intox barbare de ceux qui prônent la pureté ethnique. Le monde partial assiste sans bouger au ravage des innocents auxquels Israël et ses amis, refusent le dialogue, la négociation, sa réunion territoriale et son existence.

    Identité raciste victimaire, ostracisme, qu’ils savent en maîtres cultiver, les sionistes, nos affables cousins, et qu’ils instrumentalisent savamment. On nous fait vivre dans un complexe, fait dans l’incrimination d’une criminalité historique, pour devoir la faire payer aux Palestiniens et par extension à tous ceux qui ont une fibre musulmane quelconque, encore jalouse de son altruiste humanité.

    GUERRE DES RELIGIONS EN CATIMINI ?

    On fait pleurer l’histoire et geindre les religions sur des mythes, sur des malfaçons, des contes et des légendes, des histoires tribales, que certains peuples et régions doivent payer, dans l’exclusion, le carnage barbare, et à huis-clos, dans le sang et l’emprisonnement. Là en ce vaste goulag emmuré, de Gaza et de Palestine, sans jamais relever le dos ni le front, encore moins les yeux sur leur avenir, défunt. Par ordre de Yahvé, le dieu biblique des Israélites ! Est-ce la Thora ou la terreur ?

    A ce sport d’aliénés, Israël excelle. A cette passion, le tyran fasciste, diabolise et humilie ses victimes propitiatoires. Israël s’entraîne avec force et entêtement, à sa sordide et criminelle addiction. Nettoyer de leur terre, de la Terre ces impudents d’Arabes, faire taire et annihiler, à jamais, ce peuple de martyrs qui crie la honte de l’humanité et sa génuflexion devant les foudres d’Israël.

    SYMPATHIES DEMENTIELLES

    Pulvériser sous les yeux complices de ses puissants amis et protecteurs, dans des déluges de feu, ses victimes, quelle noble occupation pour le peuple biblique, la tribu de Dieu, le peuple de Moïse et de Yahvé ! Un créneau béni pour vendre les armes, une meurtrière par delà les murs, pour surveiller le pétrole.

    Un enfer de feu et de sang versé dans cette géhenne concentrationnaire, pour se racheter de ses géniteurs euro-américains et pour les responsabiliser de l’Holocauste.

    Seulement, nous sommes ahuris, inermes, blasés et outrés, inutiles ou complaisants devant ces crimes contre l’humanité qui perdurent face à la face du monde. Perclus et désarmés face à cette fausse et immonde humanité des financiers, sans cœur et sans scrupules ou des assassins de parmi les scientifiques fabriquant d’ADM. Hélas, nulle solution éthique ne viendra jamais limiter leur superbe, leurs avancées et leurs mortelles inventions. Suprématie, délires religieux et racial, suffisance et outrance, Israël a son plan divin pour dominer le monde en tant que branche illustre et des plus aisées des races supérieures !

    Face aux colons, la résistance, justifiée et de droit, reste désarmée, quels que soient les armes primitives qu’elle se procure. Les tirs de roquettes, fantaisistes foutaises, ridicules instruments, comme les prises d’otages, réelles ou fourbes, bien instrumentalisées, ne servent qu’à irriter un monstre, devenu un criminel de guerre, mille fois plus vindicatif et plus puissant que ne fut le führer Hitler, en son temps.

    CONCLUSION : HONTE ET PRIERES DE PAIX

    Regardez ces crânes d’enfants éclatés ! Ces membres dispersés et brûlés ! L’homme est horrible, il ne mérite ni la terre, ni le paradis ni l’enfer. La preuve est ce que font les sionistes sur la Terre Sainte des Prophètes, en plein siècle de la mondialisation, des droits de l’homme, de la libre circulation des gens et des biens, du partage des connaissances et des devoirs humanitaires. Honte à toi Israël, toi la tribu de Yahvé, mille fois exilée, éprouvée par les empires barbares, les ghettos et la guerre d’Hitler. Honte aux méchants qui te dirigent dans la voie des crimes les plus abjects ! Que t’on fait ces Palestiniens que tu massacres aux yeux du monde ahuri ? En dehors de réclamer leurs droits et leurs libertés. Merci à vous hommes et femmes, juifs et autres, des plus intègres !

    Dr Idrissi My Ahmed
    Les 25 et 28 07 2014

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    ARCHIVES DU DR IDRISSI DE 1984
    LE TEMPLE ŒCUMÉNIQUE DES RELIGIONS
    Envoi de DR IDRISSI MY AHMED (29/06/2007)

     » …Le Maroc, pays de tolérance et de paix entre les religions, est le symbole actif de la cohabitation entre les descendant d’Abraham, acte de civilisation dont il a toujours donné lebel exemple …  ». Mme Student.

    POUR ÉDIFIER LE TEMPLE ŒCUMÉNIQUE DES RELIGIONS

    En 1984 j’ai eu cette idée. Depuis des années, elle a été communiquée à plusieurs personnalités de mon pays. Lisez-la au moins une fois en tant que témoins privilégiées.

    COPIE D’UN TEXTE PLACE BIEN APRES SUR LE NET

    http://www.rezoweb.com/forum/sante/myastheniagravi/232.shtml

    UNE PREMIERE :
    POUR UNE UNIVERSITÉ ŒCUMÉNIQUE DES RELIGIONS AU MAROC

    ENVOI DE DR IDRISSI MY AHMED LE 07 AVRIL 2002. LA, JE VOUS ADRESSE CE TEXTE CONTENANT CETTE IDÉE VIEILLE DE QUINZE ANS. COPIE D’ARCHIVES.

    POUR UNE UNIVERSITE ŒCUMÉNIQUE DES RELIGIONS AU MAROC

    « La guerre par, définition, est inhumaine. La guerre ne me suggère pas la moindre idée digne d’être exprimée. » Kafka

    POUR UN TEMPLE DES RELIGIONS AU MAROC, DÉDIE A LA CAUSE D’ALQODS, AFIN QUE L’ISLAM NE SOIT PAS EXCLU DE JÉRUSALEM, ET QUE LA TOLÉRANCE, CONVICTION DE LA NATION MAROCAINE, MAGNIFIÉE A TRAVERS LES PEUPLES, PUISSE DESSERVIR LA CAUSE DE LA PAIX ET LE DÉVELOPPEMENT DES PAYS DE LA RÉGION.

    Chers lecteurs,

    Sénateurs, députés, ambassadeurs, cadres et ministres et vous autres leurs électeurs,

    A l’occasion des assises, dont vous gérez avec brio les succès et le développement, je voudrais reprendre avec vous, si vous permettez et vous vous en souvenez, cette idée qui m’est restée chère.

    Le Temple des religions monothéistes.

    UNE UNIVERSITÉ INTERNATIONALE

    Laquelle idée, cadre bien avec la politique bénie de Sidna. Il existe un frein apparemment à cette œuvre œcuménique, quels que soient le travail de sape et les résultats néfastes et dilatoires de l’actuelle équipe au pouvoir en Israël ! L’idée de cette université pan-religieuse, et sa réalisation internationale, ne pouvait naître qu’au Maroc.

    L’amour de nos Rois et de notre Peuple pour la paix n’a d’égal que celui de la haute culture que font les marocains de la Tolérance Que ce soit dans Sa défense de la Palestine depuis le début de son drame, que d’Al Qods Echaarif, dont il est l’un des flambeaux les plus brillant et l’un des conseillers les mieux écoutés. Ce qui nous honore tous. L’amour de S.M. pour la paix et sa philosophie du dialogue, empruntes de pragmatisme, sa grande culture et son sens aigu de la coopération nord-sud, sont la base de la politique que mène le Royaume. Sidna, a rendu notre pays grand devant les nations. Prestige acquis grâce aux efforts personnels et particuliers que mène notre Souverain bien aimé, que Dieu le protège ! Cette ouverture, cette intelligence de l’évolution que connaît le monde conforte L’esprit du Maroc qui s’est ouvert inéluctablement au libre échange et a la mondialisation.

    Cette lumineuse clarté a permis au Maroc PACIFISTE d’acquérir un statut de fierté et de respect, que son seul poids spécifique ou ses richesses ne lui auraient pas donné. Dans cette la démonstration qui va suivre et que je vous souhaite non fastidieuse, j’avertis que je nulle animosité envers les juifs, parmi lesquels je compte de véritables amis. Je ne montrerai nulle animosité, mais j’userais d’un verbe franc, pensant avec bonheur libre de le faire. Par ailleurs, fier d’une francophonie héritée, que l’on a comparé à un tribut de l’ère coloniale, mais que je qualifie de trophée d’une bataille culturelle. Ce sont les racines les plus vivaces qui remportent la gloire pour fleurir les troncs les plus puissants.

    La culture arabe et la langue islamique sont stimulées et se dépassent grâce à la greffe et au ferment qu’une juste jalousie lance dans la concurrence des langues coloniales pour s’épanouir sur de plus larges horizons. Non dénués de complexes, ces sphères aux interférences engrenées, se trouvent aujourd’hui confrontés, elles ne le font pas sans fractures. Le revers de la médaille est qu’une vindicte non bue, exaspérée par la culture des différences raciales, colporte encore la haine des croisades aux générations actuelles. Quinze siècles après le siège des lieux sacré ! Aujourd’hui encore, cette néfaste animosité, au départ religieuse, corrompt les relations commerciales, inhibe les échanges culturels et restreint la saine circulation des hommes bien au delà des frontières des différences. Dans le raisonnement qui va suivre, je ne soulèverai donc pas le pan chrétien.

    Du simple fait que la session des académies et parlements se seraient depuis des années penchées sur Al Qods tout particulièrement. Si, pour éviter des longueurs, et à priori j’exclus le tiers des participants, C’est que je pense que les responsables du Vatican, fervents adeptes du dialogue entre les religions, parce qu’ils l’empruntent souvent, seront vite intéressés par cette idée d’un temple des religions et d’une cité d’études théologiques

    Mon très cher maître,

    Permettez-moi de commencer cette lettre par un avertissement préliminaire : Je ne parle pas des juifs ! Lesquels, pris en dehors des complexes communs à nous tous , sont un à un, et à l’intérieur des vielles communautés, des plus courtois et des plus intelligents que l’on puisse connaître.

    Je parle du racisme, quelles que soient sa couleur et son discours politique ! Le thème des discussions de cette session sur Al-Qods, retenu pour ce semestre par votre admirable collège, se voit rehaussé dans son impact par la présence politique des parlementaires islamiques.

    La réflexion des académiciens donne le pas au dialogue politique pour continuer à s’activer et à œuvrer avec sagesse afin de recouvrer les biens et les droits sacrés du monde arabo islamique. Cette disponibilité pacifiste, de lutter avec sérénité et constance, contre un adversaire des plus retors est à saluer comme l’unique recours, enfin compris. La force de la paix, armée du seul droit historique, devrait convaincre à la longue l’adversaire manœuvrier et belliciste, ainsi que ses puissants et inconditionnels partisans. Le monde abusé par les multiples tergiversations, et leurré par les sempiternels cris de souffrance juive, ne doit pas occulter et obvier les souffrances faites à tous les peuples, esclavagisés*, colonisés et asservis, avant et après la crise du pétrole. Les retards accusés par les pays arabo-islamiques, confinés dans la gestion de cette affaire d’honneur sacralisé, sont dus expressément à cette guerre larvée qui leur est faite. Finalement, nous payons tous, les décours du racisme ethno religieux, fossile mais résurgent, réduit à une haine simple de la civilisation passée sur le vu d’artificiels accoutrements pas plus ridicules que ceux qui font prospérer la mode. Le monde devient Un, avec des ouvertures pour les uns et des fosses communes pour les autres.

    Nous avons affaire donc, comme l’on se plait à galvauder, COMME à un énième état des U.S. qui ne diffère en rien des autres, que par le port d’une branche de plus sur son étoile. Libre à lui , mais, face à la mainmise de ce fascisme international monolithique , tel qu’il s’est développé pour son unique profit et celui de l’hégémonie suprême israélienne dans bien des secteurs, face au capital et aux médias dont ses ressortissants disposent avec une incroyable intelligence, face aux puissances qui l’arment avec démesure, Israël s’exacerbe dans l’entêtement et redouble d’extrémisme politique. Israël dépasse dans la démesure le monstre qui l’a fait souffrir. Israël affiche, comme une obligation pour tous, le respect de sa religiosité péremptoire et sur-politisée. Israël vit et se développe comme une puissance coloniale sous-traitante d’un impérialisme dont la superbe ne cache plus son véritable nom !

    Dans un monde malade, le terrorisme des états fricote avec celui des gangs et des guerres sécessionnistes dont les soulèvements sont commandités de l’extérieur. Face aux retards des uns et à leur morosité la morgue des progrès incommensurables des autres s’affiche comme un frein à leur idéal de paix et de développement. Le monde, qu’il est devenu banal de comparer à une jungle, perd ses valeurs et ses repères. L’homme marqué par l’individualisme et par la corruption de ses mœurs est confronté à un monde frappé par le doute, le manque de principes, d’éthique et l’absence de credo. Pourtant la fausseté religieuse d’une morale perverse se lit dans les visions pseudo-prophétiques des extrémistes sionistes et dans les bavures terroristes des orthodoxes.

    Si ces visées se révèlent à la réflexion comme d’éhontées manipulations, toutes les sphères du monde développé, ne les ont pas perçues comme ce qu’elles sont en fait, de sordides supercheries ! Bien des intellectuels de par le monde et combien de bonnes volontés, attachés pourtant à l’idéal d’équité et à la modernité, ne perçoivent pas à leur juste dimension ces leurres exécrables. Dès lors, leur analyse permet de leur montrer et démontrer les limites suspectes. Les thèses israéliennes, saugrenues et entachée de xénophobie génésique, se révèlent être comme des mythes fallacieux, appartenant à un autre âge qu’on voudrait avec eux oublier. Pourtant ces thèses hypocrites dévoilent leur attardement et ne doivent engager que leurs promoteurs.

    Aussi, sans haine aucune, sans faire montre de révisionnisme, sans renier les souffrances injustifiées des juifs, dans certains pays autres que les nôtres, il faut enseigner et faire connaître l’histoire de nos rivaux pour les comprendre s’il le faut, ou, les dénoncer quand il le faut. Scientifiquement toujours et sans dénigrement aucun ! Leur histoire doit être clarifiée pour servir de base au jugement de leurs parrains, souvent abusés. Le but est de rétablir la vérité et de collaborer dans la paix et l’équité. Cependant, Ça ne sert à rien de faire la guerre, si on ne peut pas crier la vérité Ignorer ses adversaires n’instruit pas non plus sur les méthodes à prendre pour les confondre ! Il faut les faire faire mieux connaître au monde, pour séparer les fables et les légendes colportées à leur avantage. Faire découvrir les supercheries et stopper les allégations. Mais s’ils sont instrumentalisés, diriez-vous, et qu’ils le savent ! On peut alors dès qu’on se pose cette question, admettre avec un donc, que les maîtres du monde connaissent la réalité.

    Des lors, rien ne servirait de faire la quête, à l’échelle internationale, pour construire, au Maroc-terre-de-paix-et-de-dialogue, ce Temple des Religions Monothéistes, dont l’idée serait combattue sans pitié, parce que émanant d’un pays, encore à la recherche de lui même inclus dans une zone sous-développée. Or, c’est le contraire qu’il faut soutenir. Chez-nous, c’est tout indiqué de créer un Organe de paix, étant nous mêmes menacés par des intégrismes multiples dont on représente le rempart. Cette vérité est à enseigner avec clarté et intelligence aux électeurs de nos détracteurs, dans leurs différents pays ! Bien sûr qu’il s’agit là d’un travail de longue haleine, sur plusieurs générations. Une tâche exaltante pour l’ISESCO, qui devra disposer d’énormes moyens. Une tâche nouvelle pour tous les organes de nos diverses diplomaties arabo-islamiques. Tous sont victimes du préjugé millénaire qu’ils doivent combattre par le verbe, la science et les médias.

    Dans cette Université des Religions, le but ne sera pas la critique stérile des dogmes, (ça se fait hélas sans grandes cultures), mais leur étude. L’idéal sera de préparer de nouvelles générations de penseurs pour la cité-Terre, globalisée. Lesquels, et c’est leur finalité, devront chasser et dénoncer le racisme cultuel et les privilèges politiques dont il se nourrit ! Ces études, assurées par les pays émetteurs qui y auront compris la mission et collaboré, se feront dans l’intelligence et la bonne concorde. Les dogmes en eux-mêmes sont à respecter comme les credo qui les soutiennent. Sans toutefois oublier de les apurer des archaïsmes de leurs traditions, manipulées depuis cinq mille ans, qui méritent d’être revisitées par les scientifiques modernes. Seulement du fait qu’ils s’entêtent, avec racisme à se croire pour certains le centre du monde, ou membres de la Nation Elue de Dieu. Inclusion fantaisiste ou inoculation de la déité, elle-même, dans un fond de commerce tout à fait séculier. Une forme suprême d’apostasie et de prévarication sur le dos du Seigneur !

    La médiatisation, le Temple Œcuménique, sont les seules voix, la juste façon de combattre ces errements et de dénoncer la supercherie des colportages qui forcent la pitié de nobles donateurs et qui fait toujours chanter les coupables et anciens éradicateurs. Ces aides abondantes et incalculables renforcent Israël dans son entêtement. A contrario, elles ouvrent la voie à l’injustice permettant de se venger d’un passé ! Sauf que les musulmans sont, strictement et historiquement, innocents ! Le prophète Sidna Mohammed, paix sur lui, préconisait de respecter le gens du Livre ! Si l’insurrection des jeteurs de pierre est insuffisante pour exorciser le grand-démon qui possède la région, et la veut seul, dominer. La seule arme, l’ultime lutte est dès lors informative et culturelle. Oui je parle de luttes culturelles. Où le culte, au lieu d’être l’objet de discordes, servirait de but au dialogue et de lien à l’amitié. On ne devrait plus dire, les visées sionistes ou les visions du grand Israël, mais la mainmise expansive, patente, coloniale, antihistorique et anachronique d’Israël !

    Cette politique faussaire, aux prétextes activistes et fanatiques certains, est criarde de religiosité. Cette supercherie doit être vilipendée avec rigueur et défendue à travers toutes les scènes du monde, à toutes les occasions. Une véritable croisade culturelle pourrait ou devrait être menée non seulement par le Comité al Qods, mais, pacifiquement par tous les pays islamiques, et chrétiens. Nous les prenons à témoins ! Ce déni de justice, ce vol territorial, cet empoisonnement constant de la vie et de la région, cette occupation armée, ostentatoire est hargneuse et belliciste du fait qu’elle met la région et le monde en situation constante de guerre. Ces vues dangereuses et étriquées, doivent être exhibées à la face du monde pour être dénoncées comme des mensonges historiques. Le dieu d’Israël n’est pas un liquidateur des autres sémites. Le dieu d’Israël se devant d’être unique, est le même que celui des autres religions. Et avec les temps qui courent, rares sont les courants de pensées polythéistes. C’est déjà trop bien de trouver des gens qui croient en un seul dieu ! De ce fait Israël n’a aucun mérite, aucune vertu à vouloir paraître comme le peuple élu.

    Fantasme populiste, cultivé pendant des millénaires, qui n’est somme toutes qu’un mythe. Un concept fédérateur et libérateur, certes ! Devenu racisme, cette exacerbation du tribalisme sioniste, est un anachronisme. Il provoque la résurgence des guerres de religions. Et l’on sait que les marchands de canons en raffolent. Israël, tribu des juges et des religieux, est devenu une principauté de prédateurs. De plus, Israël, se veut être ou demeurer cette (maxi) tribu réfractaire à toute ouverture de sa propre religion sur les autres humains. Même convaincu par la religion judéo hébraïque, vous ne pourriez jamais devenir l’un des leurs, ni un adepte de leur religion ! C’est la seule religion qui n’a pas de budget de propagande*. Le judaïsme s’est développé comme si la religion musulmane ne devait comporter que des arabes sémitiquement* purs ou que le christianisme ne devait être que blanc, réservé aux seuls autochtones de Judée. Les autres, inaptes génésiques, ne peuvent être candidats au judaïsme. Les trans-religieux, les éventuels néophytes demeurent persona non grata.

    C’est dire le poids de certaines traditions et la force du vase clos dans l’apparition des… tares ! Le seul qui n’a pas besoin de messianisme pour se répandre. Mais qui demeure redevable des siens pour perfectionner une tradition de haine des étrangers afin de garantir la pureté raciale et les préjugés historiques. Et ce malgré le mal et les souffrances horribles subies lors de cette horreur unique, la Shoah ! S’il le fallait le démontrer encore, je viens de soutenir, que, Israël est une tribu raciste, nonobstant ses allégations. Je ne parle pas des juifs ! Lesquels pris un à un, sont des plus courtois et des plus intelligents que l’on puisse connaître. Ceci, paradoxalement, va à l’encontre d’une juste et égalitaire mondialisation, dont l’immense capital juif est et sera le premier bénéficiaire. Israël, qui signifie étymologiquement la famille de Dieu, se targue d’être littéralement la tribu préférée de Dieu. Le Dieu Yahvé d’Israël aurait créé des sous races de sous-hommes, pour remplir le monde, et ce afin qu’elles soient asservies par la Sienne ! Isra Ael. Ousrat Ael ou Ousrat El Ilah ! Justice divine ! Entendu ainsi, cela émet des doutes réels et spécifiques sur son unicité, ce bon Dieu traité à la sauce des traditions orthodoxes et extrémistes juives !

    Cependant le Dieu Chrétien, est par exemple, on ne peut plus ouvert. A voir comment les africains on accueilli et adhéré aux préceptes chrétiens, et, comment avec certains américains et asiatiques, ils représentent le plus grand apport de fidèles à cette belle religion ! Amour, quand tu nous tiens ! La race supérieure, la nation d’essence divine, s’est américanisée et européanisée pour se fondre dans la société, comme poisson dans l’eau. (Voir les thèses opportunes et permissives du grand penseur Maimonide, qui permirent aux plus riches bourgeois ibéro hébraïques, de ne pas être extradés de l’Andalousie catholique, et sans renier au fond d’eux-mêmes, la religion de Yahvé, de porter l’étiquette religieuse qui sauvait leur peau ! Tandis que les plus démunis, auront étés largués sur les côtes hospitalières du Maroc ! Cette erreur de l’Espagne est le plus beau compliment fait au Maroc. Le Maroc musulman y aura gagné en maturité pendant que les autres s’enfermaient en Europe dans la xénophobie. Et, la vie sauve comme la prospérité des Juifs, nouveaux venus, furent assurée, dans ce vieux Maroc, dont on peut être fier de son ouverture !

    Les Juifs, quelles que soient leurs nationalités doubles qu’ils empruntent, pour commercer et voter à travers le monde, vivent de traditions cultuelles qui se centralisent autour d’un leurre qualifié, colporté à travers les âges. Celui du Dieu commun qui se serait fait le Leur. Vengeur et protecteur, pour assurer leur suprématie sur les autres tribus qui peuplaient la terre. Le peuple d’Israël est victime d’un mythe fédérateur celui du surhomme. Ils l’auront partagé avec Hitler, à leurs dépens ! Et c’est dommage, car si Israël, victime certaine, a investi la Palestine, c’est surtout à Hitler, indirectement, qu’ils doivent cette compensation posthume. Les Palestiniens continuent quant à eux d être les victimes de l’hitlérisme ! Victimes propitiatoires ! Cette vieille xénophobie, ce sectarisme ségrégatif, doit être dénoncé sur le plan culturel : Le comportement d’Israël en Palestine, est le cousin germain du nazisme ! Crime contre l’humanité qui aura été le seul mouvement historique à avoir causé le plus horrible des nettoyages ethniques en s’appuyant, là aussi, sur des foutaises ethniques !

    Lourd héritage que sont les traditions ! Israël n’en sortirait qu’agrandi et allégé, s’il arrivait à oublier les horreurs de son passé et dépasser celles du vingtième siècle, qu’il n’est pourtant pas le seul à comptabiliser ! En tant que musulmans, pensant que Dieu n’est ni mort ni qu’il ait pu être tué, ( ce qui fait la force de notre monothéisme ), nous n’imputerons pas à Israël, l’actuel colon de Palestine, d’avoir été un déicide sur la personne de Jésus, le Dieu Christ des chrétiens. Cette querelle n’est pas la nôtre comme elle n’a plus cours, depuis ! Alors oublions nous aussi, leurs querelles. Chrétiens et juifs, quelle que soit la part des uns et des autres dans les pogroms et autres terreurs subies par les minorités juives, sont devenus des amis, qu’il est impensable de séparer mais d’acclamer pour ce dépassement.

    Très cher Maître,

    Nous croyions, par un souverain esprit de syncrétisme, aux missions prophétiques de leurs différents messagers. Malgré leur animosité soutenue par la forte duplicité de leurs puissants souteneurs, par delà la culture excipée de tout prosélytisme, j’ai imaginé, que la sagesse devrait dépasser la diatribe et les guerres. Pour contribuer au dialogue des religions j’ai souhaité le choix du cadre au Maroc pour placer et édifier une cité culturelle théologique. Bien sur, le dialogue garde à sa base les credo, mais par delà les miracles et les croyances, le dialogue est d’abord bienséance avant d’être raison. Sans se départir de franchise ! Sans haine pour autrui ni pour ses différences ! Nos critiques n’échappent à personne. Le franc parler de ma lettre n’est pas preuve de manquement à la courtoisie ni à la diplomatie, mais il est preuve de tolérance respectueuse et libérée.

    Pourtant tout le projet est politique et se veut concilier les gens par le dialogue étant entendu, qu’il s’agit de créer une faculté théologique sur un même site. J’ai proposé le Gharb, quelque part dans la forêt de Maamora, entre Salé et Kenitra, non loin des universités et des sites culturels de la capitale. A moins que ce ne soit à Fès, là où le milieu historico-religieux dicte son droit de préhension ! L’idée princeps a été de créer un temple des trois religions. Dans le même élan, on peut y caser les autres ! Avec une salle de cérémonie commune et centrale. Des conférences, groupant tous les séminaristes y seront célébrées. Le projet ne s’arrête pas là. Il sera le fruit d’une collaboration internationale. Chaque religion aurait sa faculté, son internat, ses bibliothèques, ses terrains de plaisance, etc. ! Des groupes de réflexion communs devront être provoqués. Des échanges seront programmés à l’intérieur du campus. L’été, le centre international s’ouvrirait par ses séminaires à l’extérieur et sur le tourisme culturo-cultuel. Les gens y viendraient de toutes les parties du monde, quelles que soient leurs religions pour se ressourcer. Pour le construire notre pays donnera le terrain et l’idée, étant promoteur de ce qui sera un élément, un organe de paix, une force de compréhension entre les bonnes consciences.

    Une contribution devra être proposée à l’ensemble des pays concernés, conscients du nécessaire dépassement des visions étriquées. Quelles que soient les principes religieux qui les sous-tendent et les idiosyncrasies politiques. Sans s’écarter pourtant du libre choix et de la capacité même pour des religieux de donner leurs opinions même en matière de politique ! C’est dire que l’affection pour une politique ne stérilise pas du sens religieux et vice versa. Et c’est justement pour cela qu’on confrontera les étudiants lors de leur formation, sans stériliser en eux les paramètres politiques, politiques afin de laisser la courtoisie dominer en eux les principes les plus sacrés.

    Et c’est là qu’on innovera. Les étudiants, ayant faits leurs classes dans la tolérance et dans un cadre de collaboration internationale, seront plus à même que certains de délivrer des avis tempérés et tolérants leurs à leurs ouailles. Ce qu’on recherchera à développer, a priori, en les formant. Ceci bien sûr, sans volonté de dénaturer les religions enseignées par un œcuménisme stérilisateur. Des confusions de ce type pourraient faire écarter ces cadres, devenus suspects pour leurs propres. On les incriminera d’intelligence avec les adversaires pour les exclure des coulisses du pouvoir ou du clergé. Là où l’on voudrait qu’ils agissent pour faire évoluer l’homme du troisième millénaire.

    Le but est de faire penser et faire agir pour le bien de l’humanité. Voici donc le propos que je vous demanderais, mon très cher maître de souffler à qui de droit. Avec le doigté d’un bon clinicien afin de continuer comme vous faites de servir la quête de la paix, de la justice et de la tolérance. Éclectique mission dont vous a honoré Sa Majesté, que Dieu le garde.

    Avec mes sentiments soutenus d’admiration, pour votre personne et de respect immense à nos chefs et Souverain.

    Avec ma reconnaissance, très chers lecteurs, députés, ministres, décideurs et maîtres, de tout ce que vous continuez à faire de prestigieux pour la médecine le droit l’économie la presse ou les autres secteurs, comme pour le prestige ajouté des nôtres à notre pays et à sa culture, ouverte sur le monde et le civisme universel, stimulé en cela par l’aura resplendissante de notre grand Roi et de son Sémillant héritier Sidi Mohammed VI, Emblème du Renouveau.

    ET PUIS CE TEXTE RECENT

    RECEMMENT J’AI LU CECI ET C’EST LE STARTER DE CETTE REEDITION DE MA LETTRE

    UN SEUL LIEU DE CULTE POUR TROIS RELIGIONS

    Gilles Devers Lundi 23 Juin 2014

    Alors que l’heure est au repli sur soi et au confort des divisions, voici une initiative à contre-courant : l’unité, en assumant les différences, avec pour très beau projet, la construction à Berlin d’un lieu de culte commun aux chrétiens, aux juifs et aux musulmans.

    Le projet a déjà un nom « La Maison de l’Un ». Il trouve son origine en 2009, quand des archéologues ont retrouvé au cœur de Berlin, sur la Place Saint Pierre «Petriplatz » les vestiges de la plus ancienne église de la ville, la « Petrikirche », édifiée au XIIIe siècle et détruite pendant la 2° Guerre Mondiale.

    Ce terrain appartenait au culte protestant, et Gregor Hohberg, le pasteur qui est à l’initiative du projet explique : « Nous avons voulu ressusciter ce lieu, pas en construisant à nouveau une église, mais en construisant un lieu qui dise quelque chose de la vie des religions aujourd’hui à Berlin. Berlin est une ville dont les habitants viennent des quatre coins du monde et nous voulons donner un exemple de cohésion ».

    Gregor Hohberg travaille avec un rabbin, Tovia Ben Chorin, et un imam, Kadir Sanci, et ça phosphore. Le bâtiment sera dédié à « la prière, la contemplation et ouvert à tous, croyants comme athées ». Chaque culte se verra doté d’espaces identiques, et une grande salle commune desservira la mosquée, l’église et la synagogue. Chaque religion aurait ensuite un espace de taille égale.

    L’architecte Wilfried Kuehn a dessiné les plans, et le cout est estimé à 43,5 millions, à réunir par dons. Les trois responsables religieux ont posé la première pierre ce début juin, et ils envisagent le début du chantier en 2016, pour une première prière en 2018.

    http://lesactualitesdudroit.com/2014/06/23/un-seul-lieu-de-culte-pour-trois-religions /

    Lundi 23 Juin 2014

    PS…..

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    QUAND ON N’A PLUS DE RESPECT POUR SOI NI POUR SES DIRES…
    PROPOS , PROUESSES CIVIQUES ET REVOLTES PHILOSOPHIQUES

    Quand on n’a plus de respect pour autrui ni de dignité encore, et que l’arrogance et l’offense servent aux plus rustres d’entre-nous, défiant les usurpateurs et les voleurs qui siègent, anoblis aux timons de nos devenirs…
    Quand, en guise de courage, la fuite et le mensonge nous inspirent, mettant à nu les promesses, les crédos, l’amour prétendu, l’estime, la foi en l’avenir…
    Quand en guise de loyauté, on use de faiblesses et de lâchetés, de traîtrises ou pire encore…
    Quand, faute de qualités, on s’illustre par ses défauts et on les exhibe comme un défi, une avancée, voire comme des qualités à mimer, opportunes…
    Quand, faute d’éthique, les tares épuisées, leur noblesse trop commune, on se targue de mentir pour s’amuser des défauts des plus crédules et des plus naïfs des honnêtes personnes dont on se joue…Je reste ébahi et ça me laisse perplexe !

    ET DIRE QUE NOUS SOMMES DES HUMAINS
    PROPOS SCATOLOGIQUES

    Des surhommes équipés d’engins de mort, tracent sur leurs cartes militaires le destin de nos vies. La cartomancienne devine par hasard l’avenir du ministre qui la consulte. Il sort les larmes aux yeux et dans sa bouche des cris de haine. C’est dans la merde qu’on retrouve les amis. Si les meilleurs en échappent, les plus fidèles vous secourent. Là, ses frères l’ont renié et lâché ! Lynché, peut être ! Et essoré, jusqu’à lui faire sentir le besoin, de vomir de partout ses viscères et de leur chier ses vérités ! Voyance et avenir, identité et morales se lisent donc sur les omoplates, sur les cartes et dans la crotte. Que sont-ils en fait ? Des substrats alchimiques qui traversent les corps et les humeurs pour les nourrir et les garder en vie…Mais que l’on répand sur le chemin d’autrui !

    Là, c’est une crotte de gecko domestique qui vient des hauteurs. Que la coprologie vienne nous aider de ses lumières ! Il vit collé au plafond et aux murs. Insectivore utile, il nous débarrasse de ce qui pique et qui vole !

    Nous sommes des humains, malgré nos crottes et nos cousins fossiles. Je parle de ces lézards blancs qui collent aux murs. De petits crocodiles inoffensifs ! Issus des leurs cousins culturels des bords du Nil ! Ceux aux référentiels imbus de l’étoile rouge-vermeil, russe. Sissi, le général félon, est le cousin rouge, lui aussi, de Poutine ! Nous sommes si près de Néfertiti, de Cléopâtre, de ses amis Antoine et César et leurs conquêtes des sept cieux avec la belle alexandrine. N’avons-nous pas Juba II, le roi de la Maurétanie, auquel on fit épouser Cléopâtre Séléné ? La fille de Cléopâtre et de Marc Antoine ! Ahh ! C’est dire la parenté de cette Afrique du Nord, si désunie maintenant à cause des scories et des miasmes vicinaux. Si proche, vue d’ici, des ancêtres de Berlusconi ! Ces latins de Rome, quand ils sont arrivés à nous ramasser et nous unir, alors que nous fûmes si loin hier de ce que nous sommes aujourd’hui.

    TRAÇABILITE STERCORALE

    Et dire que cette crotte de reptile, a chuté de nuit des hauteurs, du plafond, pour se coller là, sur le bord de la vasque. Le siège des toilettes, le trône présidentiel, qui écoute se lamenter vos viscères et souffrir en sortant. Oui, le centre des besoins ultimes, le PC commun à toute l’humanité, qui nous fait réfléchir par delà les exigences sur ce que nous sommes. En quête de connaissances, de réflexions et de culture, allons de ce fait explorer ce que nous avons de pire. Les déchets qui sortent des ténesmes du meilleur d’entre nous. Allons pas de modestie, allons, pas de fausse pudeur, analyser les nôtres à travers ce que nous avons d’infâme ! Traçabilité stercorale par écrit ! Osons reconnaître ce que nous sommes, des cannibales, des carnassiers, qui catabolisent autrui pour se construire et qui se lâchent…dans la nature.

    Ce fauteuil rampant qui vous sert de gite et de trône, bouffi d’intimes souvenirs et de spécieux combats, ce trône constipé qui reçoit de vos humeurs les plus dures repères, est un fauteuil qui ne doit rien aux urnes ! Les résidus repus de vos tables de vampires, s’étalent ou nagent. Les tributs broyés dans l’amertume, relevés de haines ou de pleurs, alors que ceux que vous mangez, ce que vous catabolisez, devaient crier de terribles colères.
    Et dire que cette crotte de reptile bouge encore, en son fort intérieur, même si elle ne sent plus les malfrats, ces moustiques ineptes, qu’elle digère.
    Et dire que cette crotte de reptile, un gecko pour ne pas vous apeurer…Ça vous rappelle les chiens et leurs tas d’ordures, alors que vous payez les édiles. Ces chacals, ces hyènes, ces élus qui vous pillent encore et qui vous vendent à leurs maîtres. Vassaux et acolytes, qui sévissent sur terre…Sans réparer ni soigner ce qu’ils appellent, la rue, le trottoir ou la ville.

    Et dire que cette crotte de reptile grouille et bouge de l’intérieur. Ses réactions de chimies admirables et de leurs complexes calculs, devraient vous interpeler !
    Et dire que cette crotte de reptile remue des restes indigestes et fourmille. Entre les pétales de roses et les parfums de pollens, les odeurs orientales de jasmins…Ce sont des ailles de papillons irisées et le jade des os miniatures qui percent et qui brillent. Et ces restes de viscères indigestes, la chitine des pattes hérissées de piquants, ces épines qui remuent, se délitent là et se dilacèrent…Quel spectacle ! Aussi intense que la grandeur de l’univers, la Voie Lactée et la pleine Lune

    Elle roule et remue de l’intérieur, forte de ses molécules indestructibles et de ses électrons immortels, indélébiles…

    Et dire que cette crotte impénétrable et intense, foisonne de vies encore ! De reptiles ou d’humains, quelles différences à faire, y a-t-il ? D’animaux asservis, que religieusement l’on s’octroie aux abattoirs, de prédateurs que l’on achève en forêts ou sur les champs…Des morts nécessaires pour nous servir dans leurs douleurs inutiles ! Sévices civils, tueries citoyennes, des morts serviles, livrées cuites dans nos assiettes. Temples civiques, ce sont des boucheries assassines, mes frères ! Tiens, je délire dans ce sermon !

    Alors que nous sommes tous en prison sur cette barque du Styx. Les uns nettoyeurs des autres nous nous noyons sur notre île…La Terre qui nous abrite nous voit décapiter en bourreaux affamés les êtres, dit inférieurs! Nous nageons dans la vie, habillés des cuirs et des chairs de nos proies, véritables assassins, en état constant de guerres, inégales et injustes ! Oui, nous sommes pires que ceux que nous consommons. Nous cultivons la mort en sacrifiant nos proies ! Au lieu de changer notre alimentation pour évoluer, moralement spirituellement, nous continuons chasses et élevages en montrant à nos enfants, que sur l’autel de la restauration nécessaires, les bourreaux sont supérieurs à ceux qu’ils peuvent occire. L’art de la guerre et le sport du crime sont passés par là ! Théorie, qu’il est absurde de dénoncer et que personne ne comprend ni espère !

    Et dire que cette crotte impériale est du sang généreux d’illustres corsaires. Austère apatride, exhaustif adultères, prophètes des séides, un dard dans la gorge, une dague dans le dos, une flèche avide de cœur. Tuer pour se nourrir, est affaire d’humains, de lézards et de crocodiles !
    Et dire que cet homme, parangon de ce qu‘il mime et qu’il veut exploiter, est un riche pourfendeur, féru de libertés. S’il pue d’orgueil et exhibe ses libertés, il vit sur le reste et des restes des vampires. Je vais vous dire de quel champion il s’agit, et de quelles fanges il veut nos débarrasser, pour mieux les remplacer…Crottes imprononçables et gadoues putrides salissent le texte, alors qu’on a à faire avec des super hommes ! Quand on parle de linge sale à laver en famille, on n’a pas besoin de nos yeux d’étrangers pour le voir !

    UN PRINCE MACHIAVELIQUE

    Et dire que s’il n’est plus le maître de céans. Hier, il était superbe. Altier il détient de son illustre oncle la manière altière et le bagou. Le roi défunt dans sa faconde princière déjà, colonisé encore, savait dans leurs propres maux les emmerder, car de leurs propres mots, il adorait les exciter, aimait les irriter, pour les épater et les charmer afin de s’en faire admirer.

    Et dire que cette vieille branche, écorce du chêne impérial, fière de ce qu’elle est, allait produire un résistant au sens fort. Une croûte en relief dans une belle peinture, une mèche rebelle sur une vieille perruque, saillant du fez rouge, notre traditionnel tarbouche ! Richissime idéologue, défenseur féru de ceux qui souffrent, intelligent et juvénile, il a un vrai cœur d’enfant…Gâté sur les bords! Réparé du cœur et des artères, on n’a qu’une vie, il veut la rendre plus brillante et utile. Mais il est encore jeune pardi, il se bat. Et cela lui permet de se battre et de combattre mieux encore.

    Il ne lui faut qu’un ténor, un parrain et des armes. Il y en a chez nos ennemis ! Et, et toujours en jachère. Les indigènes y croient toujours, il leur faut un héros qui les pousse et qui les attire. Faute de prophète divin, un champion méphistophélique, un démon peut faire l’affaire. Un ponte qui les envoûte ou un tribun qui les leurre ! N’a-t-on pas vu Abdelkrim se faire un nom illustre de résistant et rester en vie ! Une aura méritée dans son exil ! La célébrité universelle ! Armé de valeurs allemandes, défiant dans son Rif d’avant le kif, deux autres puissances coloniales, ténors de la Seconde Guerre Mondiale !
    Et dire que cette crotte de reptile, parangon de ce qui pue, use des restes des vampires et des succubes, pour les domestiquer…Je parle du gecko et des fourmis. Les fourmis sont des travailleuses tenaces, admirables !

    Et dire que cet illustre idéologue défie les rites millénaires, leurs complexes faisandés et toutes les idéologies surannées. Son propre statut en fait lui remonte comme un reflux qui l’estomaque ! Il éructe et se gargarise de ses propres mérycismes ! On devine ses états d’âme.

    Et dire que cet illustre dénégateur, nihiliste, refuznik ou agitateur, est un fallacieux exilé ! Auto exilé, fuyard politique, repus de cette vie princière inutile, ce paradoxe poussé au paroxysme le déçoit, sauf qu’il est zappeur paroxystique, zélote prédicateur à l’instar de Cheikh Yassine. Electron libre en fait, il est libre de revenir chez soi ! Ou d’aller partout où la curée affairiste l’interpelle. Ce n’est pas une honte d’être riche quand on est prince de sang d’une vieille dynastie que l’on respecte ! Il est aussi un virulent et ostensible interpellateur. Apostropheur impénitent, il s’adresse au roi quand il parle aux élites ! Snipper es-politique, réformateur moderne, il se place au summum de la fatwa politicienne. Leader sans parti, il sème à tout vent, le doute scientifique et vous désamorce de vos convictions, les plus fixistes. L’invocation au changement l’excite. Dans son spleen, il en parle, quitte à aller aux charbons et à user apparemment ou en douce, de séditions élégantes et de troubles borderlines !

    La valse de la fitna l’enchante et le gagne. De la révolte réformatrice, même en théorie, à la révolution, il n’y a qu’un pas ! Va-t-il le franchir ? Le chérif est un Che, sans casquette ni ostensible cigare. Il voudrait prendre l’initiative, sans trop se mouiller, tant la pudeur du fier alaouite respecte la vénérable famille alaouite, dont grassement, il hérite. Il irrite, poils au nez de la vénérable institution. Ce capital marocain identitaire, trois fois centenaire, l’attire malgré sa volontaire répulsion ! Avec en affiche Lui, SAR, comme prosélyte et réformateur. Sincèrement démocratique ou révisionniste pour son propre compte, du passé critique de ce makhzen avachi et de la complaisante ou moqueuse constitution.

    Sauf que pour le moment ce ne sont que des projections poétiques et imaginaires insanes ! Il n’y a nulle puissance pour l’épauler, en se cachant derrière lui, pour le conduire le bon prince à commettre un pareil et mortel impair. Notre sémillant prince n’est ni un fanfaron ni un pro des crimes es-majestés. C’est un beau rêveur, qui charme de par son statut et qui fait rêvasser certains, de l’extérieur.

    HERITAGES ET FAUX ATOUTS VICINAUX

    Que croire ? L’Algérie, la France, l’Amérique ne sont ni des atouts clairs ni une belle affaire. Du moins pas mûres, ni pour lui, ni pour l’instant. Il n’a pas l’ombre d’un traître pour vouloir bouleverser son pays et provoquer une guerre civile, et ça, on peut le jurer ! Car il a pour lui cette innocence claire ! Cet homme est au courant de tant de secrets…Il est mécène de son état et amis des médias, il est bien informé ! Il a vu autour de lui des pays périr, leurs nababs tués, des peuples déconstruits, dégommés, affamés, dépassant les pires périls humanitaires ! S’il représente pour la gauche de la Gauche, pour les gauchos, une alternative ? On peut le croire, sauf que ce trublion, trop visible, ne représente pas un danger, une machette aveugle ou une aventure de cinéma ! Un facho, ringard, une obsolescence du passé, une new-wave de mercenaire, un passif dans une vitrine qui a perdu de sa dorure. Sont-ce des qualificatifs justes, réels et vrais pour étiqueter le prince rougeoyant ?

    Il est fils de princes déchus et appauvris, revenus au pays après leurs études et leur exil. Exil utilisé par les milices et les résistants d’hier, par tous les partisans de l’indépendance, pour anoblir leur roi, en faire une image d’union. Passons sur les profiteurs, on n’est pas nés d’hier. Cette famille, fut une image, un emblème du pays, un phare pour l’indépendance et le combat. Un symbole, quasi déifié, qu’on voyait, femmes et enfants, sur la Lune et sur les murs.
    Je me rappelle de ce muret de la cour du CE3 de l’Ecole Européenne de Bab Riafa, près du jardin public de Boujeloud. Ses rivières, ses bassins, ses poissons, ses barques, ses norias, ses ponts fleuris, ses bambous et ses arbres, ses statues, ses fontaines et ses fleurs, tels que avalisés, protégés, avec leurs voisinages palatins, par la pimpante altesse et impériale rouquine.

    Et dire que cet illustre reliquat des rois, devenu fil des pontes, hissés par les militants et les prédateurs, sévit à l’ombre et depuis à la lumière encore.
    Que comprendre ? De quoi est mort son prince Abdou de père ? Secret de famille, secret médical ? Secret d’état ou secret d’alcôve ? Lutte pour le pouvoir ou maladie borderline pour l’époque, trop infamante pour la monarchie, ou concussion militaire. Il ne dit rien de sûr, il profère !

    Et dire que le divin fanfaron, à l’image par la presse servile, avilie ou ébréchée, semble ignorer nos droits au Sahara…Glamour avec l’adversaire fielleux, amalgame ou idiotie ? Quand on sait le culte du Sahara, les sacrifices matériels et humains de nos soldats. Un fondement patriotique, uniciste, tel que inculqué depuis des siècles et des décennies. Cette conviction est pour les masses fidèles, un culte, un endoctrinement et une passion. Une certitude politique, une religion, hautement intégrée et dignement cultivée par la plupart ! Connivence ou idiotie du Prince de l’avoir dans ses principes, éludée, larguée ou foirée?
    Si la fanfaronnade médiatique, laisse faire les jaloux et les médisants, si l’essayiste de l’exil aidé de ses nègres ou pas, place ses milliards ailleurs, il n’est point le seul mauvais exemple. Pardi ! Beaucoup des nôtres, singeant ce qui se passe chez les têtes les plus huppées du monde ont vendu non seulement leurs bourses, mais aussi leur mental, leur nationalité et leurs âmes.. Le panthéon des dénégateurs est une partouse mondialisée, rempli d’apatrides, très sincères !
    Et ne restent pour nous morfondre que les murs et les barbelés entre frères brimés et lésés.

    Les tyrans et les usurpateurs se sont ligués de toujours avec les maquignons et les pillards de la morale. Représentants de leurs dieux sur la terre, ils assujettissent ceux qui ploient du dos et terrassent les opposants et les repentis. Est-ce là, le message dans son Livre aux exilés de la patrie, qui sont restés marginalisés, sans moyens aucuns ou carrément démunis, mais chez eux ? Des salons actuels aux noualas de l’époque, tous les apaches indignés et les indigènes fiers d’hier, l’appréhendaient ou le savaient.

    UN GEANT OLYMPIEN, DIVERGENT, NOUS INTERPELLE

    Bravade existentielle du prince ? Le devoir de réserve dépassé, si la pudeur intimide et inhibe, la fierté décuple le courage et renforce.
    Prométhée pour nous autres ! Il nous contemple dans son extase, pas solitaire du tout. Il nous lorgne de sa hauteur de vue olympique et de ses alentours épiques. Les nuées de nains, de singes et de pantins qui l’admirent et qui l’entourent, applaudissent. Ils vivent, ils existent, ils sont ! Ils entrent dans la scène, là, en bas, sous les cieux où il a vécu en prince et en seigneur. Il voit le champ des manœuvres, la place des combats de coqs que sont ces humains, ces acteurs qui tombent pour hisser leurs champions. Les élus des dieux, leurs sbires et leurs acolytes. On n’est pas loin des combats où les infidèles, les croisés, les titans, les animaux de la jungle, se livrent des batailles légendaires. Des épopées épiques contre des peluches fabuleuses, des ombres de sorciers, des démons sataniques ou des zombies mythiques pour le plaisir des fils de Zeus. Cinéma des dieux qui adorent les humains qui meurent pour leur complaire en jouant.

    PRIMOFORFAITURE

    Qui a parlé d’héritage et de lignage ? Des fonctions de l’aristocratie régnante et des situations de la noblesse ? Que le premier enfant soit le roi ! Une idée, une pratique, qui l’écarte et le déçoit ! Primogéniture ? Quel barbarisme, quelle sombre et égoïste gageure ! Par dépit, le prince rouge s’assombrit et devient tout noir. Il lutte à en devenir malade ! Un jeu d’échecs cavalier, pour tenter de déloger les héritiers en place, en instillant le doute dans l’esprit des simples humains que nous fûmes. Ces sujets pervertis qu’on appelle des hommes ! Des idées curieuses et graves, des questionnements pervers ! Les règles sont des inventions humaines ! Oui, un sordide calvaire. Et toutes les constitutions, ne sont-elles pas le fait des hommes ? Ce sont eux qui écrivent doctement les règles et les obligations, pour assoir leurs profits tranquillement, assurément, pour rendre les pantins des jouets plus dociles. En confiant aux dieux terrestres leurs destinées et leurs sorts

    Et dire que fatigué encore, il fait œuvre de charité et pousse les renégats, les sbires et les déçus et orphelins du système, à écrire pour lui, dit-on, un Livre. A dessiner un tableau noir, un pamphlet pour dénigrer le machin, le makhzen, le palais pas si zen. Machinations tirées au clair et anecdotes dopent le livre de banalités bues et de curiosités souvent connues à l’extérieur comme des proches. Souvenirs et crachats sur cette soupe qui l’a rendu prince et en a fait un homme ! Des pages de scènes privées ou à peine ! Rien ne filtre qui soit secret ou privé ou qui sorte de l’ordinaire ! Rien de surprenant ou de fameux qui soit encore secret et formellement relaté dans les faits dans ce film élogieux et facétieux sur ses misères princières ! Rien que des choses humaines, des plus grandes aux plus basses. Mais rien que du beau monde. Presque pas d’hommes, dans sa suite.

    Par delà le Livre de l’exil, par delà les générations sultanesques, chasser du trône l’opportun, ou l’inopportun est-ce là, la devise ultime des seigneurs et des hommes ? La vue et le jugement changent selon la face du prisme où nous sommes ! Qu’on révise les textes et qu’on le déloge ! Semble-t-il suggérer aux plus proches de ses aventuriers ! Ça devient délicat et grave pour nous autres communs que de comprendre cette altière prouesse ! Les foudres vont tonner là où nous sommes. Même Jupiter devrait craindre pour ses burnes !

    QUE RESTE-T-IL DES FEUILLES ?
    LE CROTTIN SE RECYCLE AUSSI !

    Que reste-t-il des feuilles de l’arbre quand il est mort et que de son tronc l’on fait des lattes ou des allumettes ? Du feu pour brûler les buches aux cheminées ou de la cellulose pour faire des livres et des feuilles pour imprimer ce papier ?

    Et dire que le crottin se recycle aussi ! Mais où se cachent nos souvenirs des mauvais jours et ces pages de voluptés ?. Et quand on vieillit où vont nos souvenirs ? Et pire, quand on meurt, avec ou sans Alzheimer, où case-t-on nos secrets ? Ceux qu’on a commis à l’insu de nous-mêmes, nos souvenirs qui n’ont pas de transcripteur ? Notre mémoire est pareille à ces feuilles d’arbres. Tout revient à la terre et chute sur son sol, pour rentrer de nouveau dans le cycle que la matière opère.

    Tout le personnage, fut-il prince, ses restes futiles, ses plaisirs vains, ses ambitions, ses promesses, ses prouesses, à jamais le soldent et nous fuient. S’il reste quelque chose c’est par delà le verbe et les mots. Plus invisibles que les photons eux-mêmes et la chimie de la lumière. C’est par delà ce qu’on comprend e t par delà ce qu’on ignore qu’il faut chercher les âmes ! Et ce qu’on sera demain.

    Est-ce qu’on sera demain ? L’homme, nanti ou pas, belligérants infâmes, mécènes et travailleurs, rois, princes comme manants, s’ils mangent et qu’ils chantent dans le bonheur, s’ils s’habillent bien ou voyagent loin, s’ils, cumulent spolient plus ou qu’ils volent des fortunes, dont ils oublient les origines, ou qu’ils vivent dans la maladie et le besoin, tout revient au zéro du départ. Alors, minus, papillon !

    Même nos audacieux champions ne sont des hommes. Matière superbe ou frelatée, tout s’en va, tout est vain…Que reste-t-il des festins et des hauteurs, des crottes de geckos, remplis des restes de pattes de blattes? Et j’ai vu ces chiens, qui hier étaient de compagnie, venir salir ma rue de couches de bébés. Des pochettes froissées et éclatées, qu’ils subtilisent des sacs d’ordures. Des mets exotiques dont ils raffolent de leurs crémeuses diarrhées ! Comme nous des glaces au nougat et autres chocolateries.

    MAIS QUE DIRE ? QUE CONCLURE ?

    Et dire que le crottin, une fois apaisé, comme les feuilles des arbres se mélange à la terre dont la faune et la flore microscopiques se saisissent pour s’en nourrir et le recycler aussi ! Que reste-t-il des hommes et des princes, de leurs excès, de leurs querelles et de leurs légalités ? Que reste-t-il des champions et de leurs médailles ? Et des riches ? Des livres de comptes ? Des bibliothèques de titres immobiliers, du béton et des héritiers ? Que reste-il de leurs noms et de leurs prestiges bourgeois ? Que reste-t-il des martyrs et des tués sur ces champs d’honneur ? Des noms de stades ou des plaques de rues que l’on fera vite de changer une fois la paix rétablie !

    Et que dire du bol, de la vasque qui nous entoure les fesses ? Là d’où j’ai raclé les fientes du lézard qui ne sentent rien mais qui inspirent. Que dire du bol de soupe qui tourne et qui nous sert de nef ? De berceau, et de tombe et de ferme aussi ! La Terre qui tourne sous nos pieds sans qu’on s’en détache, malgré sa très grande allure ! Il faut qu’elle tourne très vite, sinon elle tombe et si rien ne l’attire. Elle nous retient et nous attire en nous emportant dans le sillage cyclique de ses vents.

    Et dire…Mais que dire cette Terre frelatée et de sa ponte ? De cette vermine qu’elle nourrit de son corps et qui grouille, en rampant sur sa carapace. Une ombre risible et nous donc ? La Terreur. La race prophétique, la race prolifique, la tribu préférée, la race évoluée qui ravage et qui tue pour manger toutes les autres ? Les guerres de toutes sortes, exodes, exils, terreurs nettoyages ethniques ! Racismes divers, xénophobies, haines, massacres et vols ! Politiques fallacieuses, tromperies de faussaires ! Où êtes-vous donc, mes tristes et déloyaux débiteurs ?

    ô Terre, toi et les tiens, si superbes soient-ils ! Un caillou jeté dans l’espace froid ! A peine visible de ce Soleil éloigné mais immense, qui exulte, qui la chauffe et qui l’illumine. Afin de voir ces poux et ces puces, qui la grattent et la sucent, en lui perçant le corps !

    Et que dire de ce petit reptile, qui a laissé sa crotte là, sur les toilettes, pour me faire réfléchir ? C’est un dragon miniature, un reste de sauriens dix fois plus grands que les ours et les dromadaires ! Un souvenir perspicace et pérenne, évolué et impertinent de ses ancêtres effacés, les dinosaures !
    Mais que dire alors des vrais reptiles, les pervers ? Si chers à Benkirane ? Ceux qui rampent et empoissent, ceux qui empoisonnent les êtres qu’ils avalent dans la glue collante de leur traines.

    Pour lui, les crocodiles, ce sont point des cousins ni des repères. Que des prête-noms, des voleurs de surnom et de nomenclature. Des copies difficiles à interpréter, tant le lézard ne mange que pour vivre, jamais pour entasser ni pour grossir, comme ces ‘’humains’’ qui le pourchassent et qui polluent notre atmosphère ! Ceux-là, ils ont de grosses crottes et d’épais cuirs ! Des pachydermes difficiles à dompter. Une espèce de rapaces qui gomment ceux sur lesquels ils fusent. Rien ne repousse ni persiste après leurs razzias. Herbes vertes et bêtes inférieures disparaissent, c’est l’extinction de leurs races et de leurs espèces.
    J’ai deux ou trois télés et des yeux pour regarder les hommes. Je ne retiens d’eux que le spectacle sombre des rues, où ordures et zizis me montrent où nous sommes ! Des scories où l’on peut y lire nos travers anéantis et notre destination.

    Nous sommes des humains, malgré nos crottes, nos dents et nos viscères. Mais surtout, parce que nous avons une âme qu’on ne peut ni tuer ni déloger. C’est pour cela que je Te prie et que j’espère en Toi.

    DR IDRISSI MY AHMED, KENITRA, LE 04 MAI 2014

    #278369
    Anonyme
    Invité

    @bouziane wrote:

    Bonjour,
    Y a-t-il quelqu’un d’Ahfir, qui pourrait m’éclaire sur l’origine ou du moins sur le sens du nom de Sastane et comment il s’écrit en arabe?
    Voilà, j’ai découvert que feu ma grand-mère avait un nom de famille qui est Sastane, mais je ne sais pas comment il se prononce ni comment il s’écrit en arabe, puisqu’il est écrit en langue française sur l’acte en ma possession. Information prise auprès d’amis, il m’a été indiqué qu’il y avait quelqu’un, apparemment le premier ahfiri qui faisait exploser les mines au bord de l’oued Kiss, pour récupérer le fils barbelé que l’armée française avait laissé sur place. Ce qui m’intrique c’est que ce nom n’a pas une consonance, ni berbère ni même arabe; quelle est son étymologie alors ? Mystère! Quelqu’un peut-il m’éclairer à ce sujet, avec remerciement.
    Bouziane

    Mimoune SASTANE originaire de la région de NADOR , était un homme bon à tout faire au sens propre du mot: travailleur et débrouillard vivait avec sa mère en paix, s’est bien intégré avec Ahfir et les Ahfiriens en particulier avec feu BELAHKDAR et feu CHDAG

    Il n’a jamais été à l’école et pour te dire qu’il a l’age de 60 ans, il te dit qu’il a 300 tout court

    #280908
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant


    LES MAROCAINS GALVANISES PAR DAVID GALVAN

    Le bien est dans le mal ! Cet homme est un héros, Daniel, un messie ! Grâce à lui et à cause de ses immondes méfaits, le Peuple de la Marche Verte, se relève et s’immunise, pour faire face au monstre, qui le réunit. Et peut-être pour évoluer, dans la paix entre les classes dispendieuses et les autres, vers une monarchie parlementaire, moderne, décomplexée, démocratisée.

    Le cas de cet espion doublé d’un vieux pédophile. Un traître, multirécidiviste, irako-espagnol, qui aura abusé de 11 enfants de Kénitra, âgés de 2 à 14 ans, en un temps record ! Daniel Galvan Viña  »Le violeur de Kénitra » et dont le prénom d’origine est Salaheddine, de Bassora. Khessar Eddine, est un espion infiltré à la prison d’Abou Gharaïb. C’est peut-être lui qui a vendu la cachète de Saddam Houssine. Il est l’illustration d’une sordide affaire.

    Pour faire plaisir à notre ami et parrain, le roi Juan Carlos, on lui libère 48 ibères, tous auteurs de faiblesses et d’infamies. Le roi Charles ne demandait pas tant. Il ne connaissait certes pas ces gens, encore moins le fond de leurs dossiers. Mais on va faire preuve au Maroc d’une superbe amitié, d’une noblesse d’âme proactive, qui ne sied qu’aux plus grands monarques. Une espèce épuisée. Preuve d’une large magnanimité. Très rapidement et même trop vite.

    Les nôtres, pour faire plaisir ont été plus munificents et prodigues. Ils ouvrent les vannes: Les Espagnols, dehors ! Pour une fois qu’on peut leur dire barra, sans qu’ils se fâchent, c’est bon débarras ! Ces zigotos partis, il reste tant de bonnes choses à partager au Maroc et des meilleures encore !

    Ils voulaient déguerpir, comme si nos prisons n’étaient pas humanisées pour le rachat et la rédemption et que pour l’exemple, elles n’étaient pas suffisamment hospitalières, quitte à se tasser pour faire place à l’hôte. C’est vrai, ce ne sont pas de villas ni des salons à la hauteur de ceux du palais Zarzuela ! Mais quels que soient la complaisance et les arrangements, que les convives peuvent s’offrir, une prison reste un bagne. Un pénitencier parfois, malgré les quelques conforts qu’on offre par complaisance, dans toutes les prisons, aux plus vertueux donateurs de parmi les richards. S’il a pris, l’exfiltré irakien, 30 ans de verrou comme sanction, le traître félon et vendeur de Saddam, mérite bien plus ou pire. Et non la grâce du roi et sa libération.

    Ça, non ! Choquée et subitement trop fière, la Rue ahurie, se meut spontanément. Désorganisée parce que interloquée, elle qui vient d’esquiver l’arabesque printanière, avec miracle et grande intelligence, la Rue électrisée, galvanisée, prête à tout vendre, même le sang, pour venger l’honneur.

    Une guerre civile à la mauresque, risque-t-elle de s’enclencher après le dépassement des polices ? Polices aux caractères majuscules ! La chasse aux incongrus a été évitée. Les Partis de tous bords ne sont pas descendus dans la rue. Estomaqués surpris, précautionneux !

    Ils sont restés prudents et muets et ahuris. Encore perplexes, en vacances, c’est le Ramadan et parce que le Gouvernement est en réfection ! Chabateries obligent. Et puis, autour de nous, il y a trop d’effervescence, partout entre le Maghreb et le Moyen-Orient, dans les pays arabo-islamiques ! On ne veut pas la peste ici ! Les petites manifs de quartiers se font sans saccages, ni extrémisme. La rue, poliment, respectueuse s’est manifestée librement. La brutalité a été au rendez-vous. L’honneur des marocains a été sali. Tant de familles brisées, méritaient ces sorties citoyennes et ces cris, pourtant§ , pour montrer que le dépit et le silence, à quelque chose, ne peuvent plus servir.

    Le Galvangate a galvanisé les marocains, les sortant de leur classique pudeur, de leur Hiba de leur Hogra. Historique inhibition, faite de respect, mais aussi de crainte et de peur génétique des autorités, du pouvoir, du Makhzen. Les têtes coupées, les piloris, les emmurés et autres spoliations ont eu suffisamment de poids, héritage atavique, devenu culte et culture, suffisamment dense et entretenus pour inscrire la terreur dans nos gènes et courber le dos à nos chromosomes aux fins d’assagir les sujets pour les laisser vivants…Ça date de quel empereur déjà, de quelle dynastie et de quel conquérant ?

    Il y eut d’abord une inconscience quasi générale sur cette affaire qui s’étant passée à Kenitra, n’a pas attisé toutes les bonnes consciences. Un simple fait divers, qui jette le froid sur la conscience nationale, pas suffisamment médiatisée. Un artefact qui n’a point concerné les partis politiques. Occupés sur d’autres sphères à la recherche d’autres combats, ils sont restés placide et muets.

    Une sorte de consensus inconscient qui a pétrifié les réactions des gens à la suite de cette affaire. Le Galvangate a sauvé de l’humiliation un peuple anéanti, silencieux, nu indifférent et stérilisé. En avisant le Roi, sur les gens qui l’entourent et qui l’ont trompé en se trompant, ou qui le trompent, habituellement, régulièrement pour ne pas l’alerter ou l’effrayer en nous réveillant de notre léthargie proverbiale.

    Ce méfait a jeté l’opprobre sur ceux qui des félons et des prédateurs, qui ont causé cette bavure, volontairement. Ceux qui auraient trahi par méprise ou par trop de manigances, encore une fois. La confiance du roi a été ignoblement trahie. C’est un pêché capital de lèse majesté ! On aura fait un travail de saboteurs aux services du Roi ! Face à la sape de l’estime, du respect, du cœur et de l’intelligence du Souverain, face à la rue versatile, face aux adversaires qui nous scrutent, face au monde qui nous regarde et qui méjuge, c’est une souillure. Un complot ne serait pas pire !

    Dieu, protégez-moi de mes amis. Et de mes aides. La colère du roi est juste et révolutionnaire. SM vient de donner ses ordres pour châtier les impétrants, quels que soient leur prestige et leurs rangs. Des rentiers de leurs fonctions, qui faisaient trembler les gens, et qui forts de la confiance du roi et de leur statuts particuliers, ont fait commettre cet impair au bon Souverain !

    Il fallait vite annuler d’urgence cet acte de grâce ! Revenir sur le droit de grâce, celui dont dispose constitutionnellement tout chef d’état, est un acte salvateur. Plus tard on révisera la formulation de ce cérémonial ! Mais il ne doit pas disparaître de nos us, à cause d’un couillon ou du fait d’un pédophile ! Mettre la main sur le bonhomme pour le rejuger chez lui a demandé moins d’un jour. La rue aura le temps de réfléchir et de s’apaiser ! Avant de revenir battre le pavé avec ses clameurs à demi cachées, ses peurs qui commencent à disparaître, pour sauver l’honneur des marocains effondrés. Main dans la main, la rue, le Peuple et son protecteur et guide, le Souverain, pour montrer qu’on est docile par respect, mais encore fiers, et qu’il ne faut pas aux manœuvriers nous faire retourner en arrière !

    UNE ANNULATION DE GRACE SANS PRÉCÉDENT

    Oui, question le traitement réfléchi et lucide du roi, est une Révolution du concept monarchique. Mohammed VI reste entier et conforme avec Lui-même. Mieux, sans totalitarisme aveugle, il donne à la fonction, à la personne et la qualité du Roi, une qualité, une dimension humaine. Non pas l’humilité soufie, mais éthique. L’écoute et la critique raisonnée de ceux qui autour de Lui s’agitent et font des dépassements au nom de SM en auront pour leur grades. Ce redimensionnement régulateur des privilèges, outrés quasi féodaux depuis siècles , risquaient d’empirer , pour cette raison contenir les jeunes, les crises et leurs dérives !Cette écoute du Peuple, fait aimer plus encore le Roi M6 pour ses qualités, je dirais  »humbles ».Une  » école de comportement nouvelle », pour les chefs et les cadres, qui devrait inspirer tous les supra-acteurs, tous les privilégiés, qui opèrent dans les grands services de la Cour et de l’Etat.

    DIVORCES CIVIL ET MÉDICAL

    Je n’ai plus de parents, je n’ai plus d’amis, tous foutus, déplacés ou partis. Je reste seul, incompris, mal aimé, avec mes maladies, étranger à ce pays, après avoir divorcé avec lui, depuis des années. Ma présence tient du virtuel ici. Et dire que j’étais citoyen de cette bourgade, gavé de civisme pour cette ville, patriote par delà ses rebelles tribus ! Nationaliste, je viens de perde mon amant, ce pays que j’aime. Ma religion, c’était d’être fier et de le tenir en estime sa communauté, comme un père qui tient à sa nouvelle famille ! Maintenant, je suis ailleurs, si vous m’avez compris.

    Exilé, déplacé ou anéanti, en tout cas, mes préceptes largués, mes principes vaincus. J’ai vu trop d’hommes mourir sans avoir démérité. Pourtant, ils sont partis dans l’oubli. Ils pensaient compter, ils avaient fait fortune! Je suis ailleurs ou que je ne suis pas encore né ! Et que je doive avant tout me préparer à ce milieu, cette ambiance, cette ambivalence. A ce pays, à cette époque, à cette multi schizophrénie? A laquelle je n’étais pas préparé !

    Les droits, les promesses, aucune parole, aucune garantie. On spolie tout ! Adieu triste éthique. On ne représente plus rien, aucune garantie. Sauf pour certains, une fortune les engagements prérogatives. L’état, l’ordre, la faculté, nos ministres, nos maîtres, nous ont largués, après nous avoir formatés et longuement menti. La médecine n’est donc pas une Religion ! Ni une communauté prestigieuse qu’on respecte. Le magistère est devenu un calvaire. Seuls les prophètes, tirent leur croix ou montent leurs échafauds avant d’y être pendus.
    Pas facile, non plus, quand les plus hauts des chefs sont évincés. Qu’ils meurent, qu’ils mentent ou qu’on les plombe, qu’on les cimente ou qu’au bout d’une corde on les pende. On live universelle, sous les huées ! Sans regrets. Que vaut la vie, la leur, quand ces hommes illustres, amis entre eux et des super pays qui les protégeaient, sont pris la main dans le sac ou après le saccage de leur pays ? La culbute est tragique. Ils se sont trompés parce qu’on les a trompés.

    Que méritent ceux qui les ont ainsi trahis ou vaincus? Que valent ces illustres chefs d’états, leurs espions, leurs ministres, leurs généraux, leurs prouesses ? Que valent leur parole, leurs promesses, leurs technologies, leurs certitudes, leurs manigances surtout ? Personne n’est parfait, personne n’est dupe non plus ! Faut-il attendre pour les hommes la Résurrection et le Jugement Dernier pour apprendre la vérité ? Devenir humbles et rendre compte de ce qu’on a fait.

    Je ne sens rien si vous n’êtes pas près de moi, vous n’êtes pas de mes amis. Je ne sens plus rien pour vous, alors que je vous admirais Fan éloigné, parmi des millions et des milliers. Mais je ne peux pas me consoler, même si j’en suis affecté. La vie est faite de piqures. De traitrises et de malentendus. Avec vos guerres racistes, vos guerres interreligieuses et civiles, vos clans xénophobes, vous m’avez abusé, trahi. Je n’aime pas cette époque. Ces deux millénaires, non plus !

    PARALYSIES

    Là, tenez cette enflure du front dont je me suis aperçu ce matin. C’est un moustique magnifique qui a dû me faire ça ! Sûr, qu’il m’a aimé, mais, si je m’en étais aperçu je l’aurais pourchassé. Mes doigts encore, c’est pareil, ce n’est pas le pied. Pour un orteil d’abord et toute la planche du pied ? Entendez la plante des pieds, elle qui ne se sait plus et qui ne se sent plus marcher. Ni sentir les attouchements ou le simple pincer. Elle aurait dû me fait mal, pour m’avertir, enfin ! Elle joue un cache-cache sensitif, pour jauger ma sensibilité. Juste pour m’énerver, pour me sentir que la sensibilité n’est plus là. Pour reprendre ses fonctions, elle fait un chantage. Aller chez le médecin ou s’établir et empirer ! En montant plus haut aux cuisses !

    Les fesses sur lesquelles je suis assis, sans qu’elles le sachent, sans les sentir. Si avant, ça me faisait mal, maintenant elles boudent, elles ne me parlent plus. Elles ne me sentent plus et vice versa. C’est une partie cruciale du corps qui est partie, alors qu’elle est là en bas. Pas plus que je ne sens les urines. Cette nuit, je n’ai pas eu la sensation habituelle de sentir le flux traverser mon émonctoire. Je pas senti la moindre urine passer par le zizi, ni vu l’endroit d’où cela sort.

    Pour le reste, paresseux délaissé rabougri, il est insensible. Il ne sent plus rien, ni au test de l’attouchement ni à celui du pincer. Il s’est emmuré dans le mépris. Il n’est plus à moi depuis que je l’ai délaissé, par devoir te par respect. Les contrecoups de l’effet Ramadan sur le bout de viscère, qui s’est mépris et qui fait carême à sa façon ! Il y a de ces musulmans ! Et pourtant la religion est une affaire de liens ! Il faut dire que ce genre de liens avec les sept cieux se relâchent plus souvent de jour…Mais, la nuit ils devraient se consolider et suivre la norme et les habitudes

    BIG BANG, CREDOS ET DESTINS

    Vivre éternellement en restant vieux ? Ou jeune, c’est encore mieux ! Ou mourir vite, et qu’on en finisse, rapidement pour le néant ou pour le paradis éternellement, parce que Dieu est magnanime et miséricordieux ! Ou mourir plus lentement ? Dépérir pièce par pièce, article par article dépecé ! Clément et charitable, ils ont tellement prié le bon Dieu qu’il a fini par exister ! Ils sont arrivés du moins à y croire, par besoin ! Pour régler leurs problèmes, leurs affaires et réaliser leurs espoirs !

    Les vieux enterrent leurs vieillards, les jeunes sont occupés par le travail ou les jeux ! La Quête du pain et des jeux depuis les romains est un secret non gardé de bonne gouvernance. Qu’on les leur fournisse afin d’apaiser les foules pour les diriger plus docilement. Questions philosophiques plus mystique: il faut pareillement aux gouvernants terrestres protéger la vie et assurer ce qui va avec. Sans la leur reprendre, cette vie et ces biens. Au besoin la leur rendre quotidiennement facile! Sans ce stress constant qui nous caractérise. Tension que seul l’alibi, la promesse d’un meilleur monde, ailleurs, peut combler. le Paradis !

    DÉMONOLOGIE

    Ceux qui idolâtrent le diable, savent qu’il était là avant eux. Ils ont d’autres promesses. Mais rien n’est certain logiquement. Les plaisirs, les occupations, le travail ou d’autres problèmes pallient à ces questionnements existentiels, au final, sans rien régler non plus. On croit pour les premiers, on feint sans certitudes ni acquis pour les autre, car la raison et le credo, ne font pas bon ménage chez eux et c’est assez pour souffrir toute la vie durant, face à la futilité de l’homme !

    Si on croit par besoin et par nécessité pour certains, on se marie de même par habitude. Religions et liens sont synonymes étymologiquement. On se marie avec ce qu’on trouve et qu’on peut acquérir à bon prix, près de chez soi. Par besoin aussi, par convenance ou par nécessité, par habitude, instinct et coutume, comme font les autres. C’est ça la vie ! C’est ce qui la maintient sur terre pour les humains, du moins, et nous maintient encore dessus. L’usage du sexe comme lien pour l’éternité.

    Souvent, c’est le contraire qui se produit. On devient acariâtre et vieux, la santé vous lâche. Satan aussi vous lâche, une fois accompli son forfait et les vôtres

    Satan vous avez compris, c’est le  »démon », qui fricote avec les  »crocodiles », des êtres de parabole, si chers mais honnis en fait à notre Premier, Benkirane ! Le diable, c’est cet autrui, multiple et majuscule, qui tient les liens et tisse les cordes, qui serre les chaînes et manie le bâton, comme un porte-plume ! Les pouvoirs multiples qui tracent les destins, dessinent leurs plans, établissent leurs programmes. Ou qui les changent, pour l’utilité publique, selon leurs versatiles volontés. L’homme simple, la rue, le peuple, ignorent les grands paramètres qui gèrent le monde et poussent les autorités à faire des entorses ou des miracles. L’électeur moyen placide ou discipliné, confiant et loyal, subit ce qu’il ignore des divines sphères ! Mais, au font, il râle à en faire de rancunières dyspnées.

    Celui vous de détourner oublier…Un moment ! En fait, c’est le calvaire de la morale. Comprenez tous les animaux conscients. Animaux, veut dire mobiles, animés de la religion, vitalité et de l’éthique, mouvements de Dieu. vie. Ça ne concerne pas les sédentaires, des vivants qui bougent peu ou pas et qui finissent par végéter. Comme des végétaux, des légumes, sans la chlorophylle, à deux pas des minéraux.

    SANS NÉGATIONNISME

    la chance de l’Afrique est que cet esclavage inhumain et maudit ait pu avec les luttes et le temps conquérir sa part d’Amérique et de faire par le travail sur ce continent un puissance. La preuve par Obama. Le cheminement des juifs, sémites d’origine, jamais reniée, comme les Arabes conspués, malgré la diaspora et les haines, le racisme, les exils et l’holocauste, ont pu renaître grâce aux qualités de travail, de recherches et de création de leur élites, par delà leur hermétique communauté. Des finances aux médias, par la chanson et le cinéma, ce peuple de Nobels et d’inventeurs est devenu impérialiste, colon, guerroyeur inlassable. Sa revanche sur son histoire ! A contre-courant des normes universelles de libertés et des progrès humanitaires, exploitant ses souffrances et ses misères historiques.
    Mais quel peuple n’a pas souffert depuis Caïn ? Ce peuple d’élus de Yahvé et de lobbies quasi totalitaires, ne cesse d’étonner et d’innover. Seulement, il maintient de mains de fer, une atmosphère identitaire et théocratique fermée, dans une ambiance de guerres incessantes sur les territoires et les campements colonisés ! Au lieu de se faire plus estimer par les peuples, ses entêtements tyrannique de félon, arrogant et crâneur, détermine plus de déception et de rancœurs et ce chez les plus inconditionnels des pays donateurs. Des pays qui le soutiennent en lui déversant sans arrêt d’incroyables aides, nonobstant son statut d’état porte-avion avancé de l’Amérique. Israël, n’en fait qu’à sa tête, malgré les recommandations mondiales. négationnisme

    IMAGES ARRÊTÉES

    Dialogues avec les petits enfants l’écoulement des bleus, dieu est-il digne de H-II ou de mèche avec M-VI. Dieu sent tout et voit chaque chose de l’infiniment petit sur terre aux plus lointaines étoiles. Celles qui ont précédé le temps et qui naitront dans l’univers, qui est en expansion. Avant que le fœtus ne se développe il sait ce qu’il fer, il sait la fin des choses et le début du commencement.

    L’orgueil la fierté, la force les richesses, la bonheur les avoirs la santé, l être devient personne et puis, le néant

    PARTANCE VERS L’OUBLI

    J’ai vu ce cortège de ministres, leurs fêtes, leur prestige, leurs richesses, leur fidélité, leurs prosternations, leur suprême autorité sur le peuple, je suis resté ébahi par la superbe de nos belles cérémonies. Rien ne dure, hélas. Les forces déclinent viennent les regrets avec les maladies. D’aucuns furent chassés comme des chiens, malgré leur puissance suprême. D’autres sont partis avec les honneurs et la fierté du service rendus et les regrets des citoyens et de leur postérité. Loyaux dignitaires d’un côté face aux conspirations et aux félonies. Beaucoup sont morts depuis ! Que faut-il conclure ? Jeunes, nous écoutions avec étonnement les plus âgés nous délivrer les mêmes sentences. Rien ne dure éternellement, tout est labile et futile. Vive l’humilité !

    Définie ainsi, est donc la vie. Philosophons alors, dans ce cours élémentaire que l’on ne peut guère surpasser. Que signifie la vie, si l’on doit mourir. N’est-ce pas tragique et regrettable de vivre et de devoir partir vers une destination inconnue ? N’aurait-t-il pas été mieux que de n’avoir jamais existé ? Perdre la vie et la vue de cette terre, ses plaisirs et ses joies ! Mais ce n’est jamais vrai pour tous, hélas, d’avoir si avantageusement réussi ! Et puis, partir et laisser ce qu’on a aimé goûter, ce à quoi on tient, sans fourberie ? Est-ce raisonnable ?
    Ou faut-il être hypocrite, pour l’accepter ? Je le dis des bienheureux qui en ont su profiter ! Ce, au moment, obligatoire, de s’en détacher…Ce n’est jamais suffisant ni parfait, ni futé de tout bazarder ! Seuls les religieux, les croyants, les philosophes peut-être et les ascètes partent, comme pour voyager. Où vont-ils, où sont-ils entrés, avec leur âme, enfin découverte et leur esprit. Chez eux…Dans le séjour des bienheureux ! Que de patrons, que de chefs, que d’oncles, que de tantes, que de voisins, que d’amis sont partis subrepticement, sans savoir leurs destinées.

    Je suis venu, sans savoir si je l’avais demandé, et puis sans prospectus ni croquis. Etait-ce un stage ou un examen pour être rodé et noté? Que fallait-il faire, en dehors de manger et de respirer et de boire ? Qu’ai-je appris, qu’ai-je retenu et que je doive traîner avec moi ? Et où ? Que garderais-je en mémoire, là-bas ? Quel là-bas ? Là-bas, c’est en bas ou en haut ? Avec ce putain d’Alzheimer, ces parties qui me manquent et ces tremblements ! Que signifie la vie, si l’on doit mourir? Répondez à ces questions d’enfants ! Afin que rien ne se perde et qu’on ne fasse pas de bêtises ou qu’on se perde aux jeux, aux crimes, au moment de retourner, là-bas ! Et qu’on n’en dise pas  »pourquoi le sortir du néant », pourquoi réveiller  »ce monstre » à la Résurrection ?

    LES DONS DU RAMADAN

    Le Ramadan mois des grands cœurs de la compréhension et du pardon ! De la tolérance? C’est sûr que les islamistes y ont réfléchi. Ils en profitent pour multiplier les bonnes actions et les bienfaits. Aussi, s’éclatent-ils entre frères, pour mériter une place de première au paradis. Avec leurs victimes méritantes, bien entendu ! Ils ne vont pas se fâcher. Et les grâces, c’est dit, il faut commencer par les plus proches, et leur délivrer les aumônes !

    Le don de soi est chose faite, puisque nous sommes des amis. Des riens, des souvenirs, des projets nous unissent ou nous défient. Le devoir de maison, le régal, le plaisir légal, reste constant pour les bons musulmans et comme ils mangent bien, il ne s’en privent pas, pour honorer les libertés en toutes permissions ! Chacun d’entre nous, n’est déjà trop vieux, compose avec la bête en faisant le lendemain, avant de prier, ses ablutions. L’été est une bonne aubaine pour se rafraîchir sans craindre le froid ! Elle n’est pas belle la religion ! Assez d’hypocrisie My Lord, et vous gentil pape François, devenez des musulmans et venez chez nous vous investir On vous trouvera de bonnes épouses ! Des femmes pas des garçons ! On n’accepte pas les unions publiques entre les maux, les mâles pour ainsi dire ! Vérifiez auprès des dames. On a fait des progrès dans la Constitution. Oui le Ramadan, nous conseille de rester de bon conseil, attentifs aux besoins d’autrui.

    Il n’y a que les copines qui refusent de s’éclater. Les boites ferment et les bars aussi. Les adeptes de Bacchus ne trouvent plus d’autel pour se sacrifier.

    LE POTENTAT ET LE PROSCRIT

    LE PROSCRIT

    Le film  » Le potentat femelle ». D’entrée et avant le générique. Un duo s’exprime devant les cameras. Unique maître de céans, source de vie, décrète. Dégage va-t-en ! Je ne veux plus de compromissions ni d’amours palimpsestes. Je ne te veux plus comme amant. Je mets un trait, une barre métallique sur ce qui était avant. Un corset d’acier. Reprends ton diamant ! Je ne t’ai jamais rien offert, en dehors de moi ! Je sais, j’en suis rassasiée! Je vais me réserver à Dieu et lui demander pardon. Pèlerinage ? Et si ne montes pas au tirage au sort? Mon sort est écrit. Tu as vieilli, il en est temps. Ce sera plus logique à ton âge d’observer l’amputation. Coupez ! Ciseaux ! Changer les artistes et cette partition. Refaites les décors…Réprimé, spolié, exilé, oublié, amoindri. Rabougri, ployé sur ses peines, incompris, stérile. L’acteur principal n’a plus de rôle. Il est desservi.

    Une pensée pour Oum Kalthoum. Elle au moins, elle le comblait. Une larme même, en élevant une prière à Dieu pour elle ! Il faut bien que quelqu’un de sérieux nous réponde de Là-haut. Elle ne peut être que l’hôte de Dieu. J’espère qu’elle est bien logée. Il faut mériter le paradis pour la réécouter. Depuis qu’elle est partie, il y a des ersatz, certes. Mais jamais plus de légende cosmique comme elle. Elle était l’Egypte, le ciment arabe et musulman ! Elle était notre voix, peu importaient les rois, les chefs et les présidents. On était qu’oreilles pour elle.

    Le Paradis était là. Près de la radio, sur la télé ou dans le CD ! Elle était la paix, l’amour. Et on savait le faire. Grâce à elle. Et même en pleurer. Sans son mythe vivant, sans son idole, regardez ce que ce pays est devenu sans elle ! On n’arrive pas à la replacer. Nous somme tombé en berne. Le firmament n’est plus au Caire ni en Orient. Il n’y a que des flemmes. L’incendie, les tempêtes entre cousins et frères ! Et on ne trouve plus de baumes pour nous apaiser ni de cervelles ! Rien pour nous réunir et festoyer. Que des ennemis pour nous faire guerroyer entre nous de l’intérieur. Nous enfouir la tête DE honte au lieu de nous lever pour combattre l’ennemi universel ! L’injustice des nations développées, la rancœur du voisin son arrogance, la haine, les insuffisances et les peurs.

    LE POTENTAT

    Pour revenir à notre film, dont le scénario est donc en réécriture, il n’a droit ni à l’existence, ni à la santé, ni au respect. Faut-il vous l’envelopper dans un linceul, ou qu’une brouette suffira en guise ! A la place de la chaise, il trônera sur un fauteuil, roulant. N’avait pas pommé ses muscles pour faire du khliêe* à sa bien aimée ? Il n’a droit ni à l’existence, comme amant, ni à la respiration. Ses articles ont fondu. Il ne peut plus se lever !

    Comment ferait-il l’amour à sa dulcinée. L’amour est fait d’habitude. Lisez hébétude ! Ou d’admiration. Il lui interdit, selon l’auteur du générique et des lyrics, du scénario, lui même coproducteur, de rêver et de se résigner. Il doit vivre avec angoisse et stresser ardemment sur sa perte coquine. Afin de délivrer un message triste et tragique aux spectateurs. Où est ta queue, vagin ? Il leur faut partager le drame, leur communiquer, pour être professionnellement compétents. Qu’ils vivent de que joue l’acteur et qu’il le sente vivement. Qu’ils sentent le drame produire ses effets sur eux, physiquement, en eux psychologiquement ! Autrement, ce n’est ² ni du thé ! Il faut qu’ils rentrent dans leur argent et au prix que sont les tickets des rares cinémas ! L’intensité du drame intérieur en plus du déchirement du couple, doit faire pleurer les âmes tendres. Il faire actionner les violons ! Et les faire sortir de la salle de cinéma les plus fragiles ! Et qu’on asperge d’essence d’oignons la salle ! Nous serons les premiers à innover par cette maîtrise.

    Dans quel état sera ? L’antihéros de la pièce. Dépecé, étranglé. Qui peut me jouer ça ? Faut-il que je fasse aussi l’acteur ? Mais qui vous dirigera ? Je ne sais pas jouer au médecin. Il est fini le temps des super héros. Les américains ne font que ça. Ils son très bons. On ne peut pas les concurrencer sur ce terrain. Le dernier de leurs films vaut notre budget d’état. misons-donc sur les faiblesses et les peurs. Sur les misères humaines que provoque l’amour, la déchéance des hommes, Ou son contraire, le crime d’amour ! La haine, en fait après le dépit, quand l’un des partenaires, souvent l’homme, n’a plus de chance ni de choix. Et faute pour obtenir le cœur de sa lubie, comprenez le sexe de sa Terreur, il la tue. Après, qu’elle l’ait empoisonné, emprisonné dans ses serres, avant de le relâcher oisif dans la nature. Incapable de lutter dans la jungle des sentiments contraires.

    Tarzan, Robin ou Zorro, ayant perdu sa superbe, cède à Napoléon ou son Hitler, fait femme ! C’est selon la culture des spectateurs, des pays vers où l’on doit exporter et distribuer mon film ! Compris messieurs dame les techniciens et les acteurs ? Faites un coucou complice, un effort de marketing, un clin d’œil à nos spectateurs. Montrez que vous êtes des humains, ils se verront en vous ! Ils ne sont pas virtuels nos spectateurs. Adhérez aux personnages, détestez-vous abondamment, en vous reprochant de ne plus vous aimer. Ça doit faire palpiter les spectateurs. N’oubliez pas que pour ce genre de films, que ce sont des couples qui les verront. Ils doivent les sentir, à vomir, pour les apprécier et pour nous apprécier, pour vous apprécier. Le Transfert, le transfert, mes potes. Collez-leur vos haines. Même si elles ne sont pas vraies ! N’hésitez pas de jouer avec tous les muscles de vos visages et de vos cerveaux. Vous n’êtes pas à vos premiers rôles et vos personnages ne sont pas des jeunots.

    Haïssez-vous ardemment, savamment sur scène ! Et même après, ça m’ira ! Ils n’ont plu l’opportunité de se refaire. S’ils se perdent, c’est pour toujours. Car il y a chez la femme le coût religieux, le côté suprématie nouvelle de la religion. Seul refuge après sa situation d’échec. C’est, c’est le démarrage de l’érosion ou du renforcement paradoxal du caractère. Du sérieux et de l’extrémisme, vécus, profondément chez l’actrice. La passion amoureuse ne peut plus combler son délire ni alimenter ses fantasmes. L’habitude ne satisfait plus son désir d’amour, rangé classique ? Sa quête de moralité d’honorabilité face aux mensonges durant des décades, face à l’hypocrisie ou simplement aux feintes sociales, à la schizophrénie vécue pour faire face au milieu ambiant !

    Cette ambivalence lui a fait perde 30 ou 40 ans de sa vie ! Après ce qu’elle a, qu’ils ont perdu et fait perdre aux autres. Après tant de sacrifices, alors qu’ils soient féroces mes acteurs chéris ! Partez en guerre, vos rôles vous le demandent, mais ça doit être interne. Montrez-le ! Montrez-le-moi ! C’est ça le deal, c’est ça le film ! C’est du final du définitif qui doit réveiller donc assez de haine entre partenaires, qui s’aient au fond et qui s’en veulent et se détestent qui ne se pardonnent pas de s’être mutuellement aimé, passionnément, par défit, par dépit, par rage. Ils se sont leurrés, à bon escient. Sans tromper chacun son partenaire. En toute fidélité. En toute exclusivité. Pour des prunes. Relisez le roman ! Gardez-le avec vous comme talisman ! Même dans les toilettes relisez vos rôles et rêvez-en aussi !

    Hé oh les partenaires, jouez-moi ce drame ! Nouez-le, éclatez-vous, faites-moi exploser les spectateurs. Qu’ils emportent avec eux le film, ses vices, ses doutes, ses incompréhensions, la susceptibilité meurtrière, les lâchetés, les sermons silencieux de fidélité, la beauté de l’amour passion et la terrible perte de l’amour rompu ! Ouf ! Et là vous vous adressez à tous les couples du monde. Faites pleurer les hommes sur les épaules des femmes. Et sur scène aussi ! Mais pas le contraire sur scène, mes amis, je ne veux pas voir l’actrice, pleurer, même si c’est une tendre de natures ! C’est trop facile d’apitoyer. Je veux énerver, secouer et interpeler ! Et vos cachets seront à la hauteur de vos pleurs inapparents. Alors vous pourrez festoyer et aller vous faire pardonner vos dires en boîte de nuit ou sur l’oreiller ! Ha ha ha ! Je ne dois pas parler ainsi ! Et je ne veux pas que vous le fassiez maintenant. Car, vous risquez de vous attendrir et de me casser le moteur, la machine psychologique qui sous-tend le drame dans ce cinéma.

    LE PROSCRIT. LA SUITE

    DE LA CHABATERIE*

    Alors de commun accord avec les indépendantistes de l’Istiqlal, il va a se relever, chassé il le veut du gouvernement et accéder aux jeux de l’opposition, le molasse compagnon son adversaire, son alter ego et prédécesseurs, représentent le tremplin, la cible la curée. On a oublié les luttes communes, le prestige, l’union sacrée, la résistance le pouvoir appelle, le trublion manigance. L’autre se résigne dans l’abnégation.

    Elastique, souple et complaisante, la politique demain ira qu’à la connivence, la corruption, le deal, Le proscrit n’a plus de dignité, il s’efface ! Le courage ostentatoire, il ne l’a jamais eu, même s’il le lui fallait de puis ! Les grandes familles c’est ainsi, la pudeur est l’art de leur politique. Obséquieux et vorace, ils ne sont plus les seuls pour vendre ces préceptes et ces louanges de cérémonie. Lui, il ose, intrépide depuis qu’il a appris à sortir des vannes, pour plaire et que ça a marché ! Le populisme comme programme, technique et sentiment partagés ! Le tribun flamboyant, invective, moque et manigance, pour vaincre et s’élever ! Après tout, les politiques, syndicalistes de métier et agitateurs, se doivent de défier et d’oser ! Il en a la tronche, Si Clisse, l’art et les qualités !
    S’il a présenté le gus des potentialités, c’est le début de l’extase pour lui, la fin de l’affectation et de l’affliction. Pour le leader tazi, c’est la fin la prescription des ruraux de Fès ! Une élévation sur les citadins racés de la vieille capitale et sur l’élite de la Qaraouiyne. Les fassis, victimes de leurs lascivité et autres lassitudes historiques, tournés en ridicule par une sombre machination, une forme de manipulation vivent comme une excommunication de leur Parti. Exacerbation de l’assentiment, ployés sur leurs accoudoirs les défaits, en larves résignées, leurs viscères crient au ciel la défection des anciens ! Les hommes politiques, les fossiles ont laissé des traces. En laisseras-tu, toi Chabat, de plus graves du fait de cette crise que tu as créée ?

    BANALITÉS

    Indicibles, nos comportements nous composent, nous complexent, nous oublient, nous terrassent et nous déterminent. Nous croyons vivre et c’est une volonté nécessaire. Et nous assistons médusés, méprisés, aux changements croyant en de risibles libertés, alors que nous ne faisons qu’obéir, obligés, aux éléments qui nous dictent nos besoins, nos instincts et nos conduites. avec quelques clartés parfois aux plus futés aux plus libres de nos éclaireurs, ils savent que les plus développés des pays avancés, influent sur nos libertés et nos destins,
    d’étudiants de cadres, de malades, de consommateurs, de militaires et de politiciens, allant jusqu’à dicter des normes à nos chefs, protéger les plus dociles et pousses les inadaptés à déguerpir. Les subversions, les manigances, les séditions les nouvelles, les rumeurs, par médias interpose, partis et clans motivés et depuis le net, pour fabriquer des printemps pour envahir un pays et le dévaster. Des exemples ? Ouvrez la radio, la tv, les vieux, journaux et ceux de demain, chaque jour!
    C’est là qu’on décline sinon le projet, le sort. Les dieux sont des vendus. Imposés par les maîtres, ce ne sont que des marionnettes, jouant pour les tyrans et les matons qui savent les fabriquer, les programmer et les agiter. Nous avons l’art de pleurer, le peuple ne sait que crier ! Et vice versa, ou mieux nous avons l’art de plumer, le peuple sans le faire crier. Je ne veux pas de vos dieux de peur de les obliger à faire de mauvaises promesses. J’aspire seulement à l’amour de Celui qui a fait l’univers et j’espère qu’Il m’entend un peu.

    ODE AU NÉANT SALVATEUR

    Je ne veux pas de vos dieux de peur de les obliger à faire de fausses promesses. Sa majesté, la reine mère, est fatiguée. Elle a pris de l’âge depuis le Big-bang. Elle en est restée assourdie. Les explosions d’Irak et de Syrie, ne cessent de l’assommer. Qui plus est plus son tapis sur l’Esplanade se rétrécit. Plus personne pour la dorloter, la sentir et l’adorer ! Elle est pompée, perforée, déflorée, dévastée. Les vaches l’ont vidée. Elle épuisée, plus de pétrole, crevée ! Elle se voile la face de nuages gris, de peur de se regarder, souillée, polluée. Perdue, elle va cesser de tourner et plonger dans un trou noir, pour s’y abîmer !

    Né moucheron, il n’a pas plus d’un cinquième de millimètre. Ça lèche, ça suce ça respire te ça mange ! Comme toi tigresse, il a des griffes, comme toi l’éléphant il a une trompe, comme toi l’aigle il a des ailes, comme toi femme, il a un cœur qui bat. Comme toi, homme, il a peut-être une âme. Toute menue, évidemment. Il ignore toute de lui-même et ne se complique pas la vie, avec le moi, le surmoi, la conscience d’être, son devenir et ces notion d’après vie et d’immortalité. Il ignore ce qu’il y a sous le sol, dans les cieux, là haut, et au-delà ! Comme nous ou presque, évidemment ! Il n’a pas besoin de lire ni d’écrire, de trahir ses pensées ni de traficoter. Il vit, point. Sans craindre aucune menace, sans savoir qu’il va disparaître, s’il s’approche de ma peau !

    Ma peau, mon derme est si fin, qu’elle devient vitreuse, et que je voie à travers mes tendons jaunis. Des veines saillantes, ou vides au lever et aplaties, dessinent des hiéroglyphes, écriture, symboles et signes, appels et paroles, des codes que je ne sais pas m’expliquer. Des capillaires extrafins sur les plis des paumes me donnent cet aspect fripé. Malgré moi et toute ma philosophie, je ne peux l’accepter. Moi, cet être là ? Qu’ai-je fait pour altérer la machine et la déglinguer ?

    Ultime manifestation avant le néant. Il ne lui reste que l’oubli. L’oubli de soi-même, l’oubli d’avoir été. Et comme baume et affection, réfléchir à ce qu’il va faire, comme s’il n’a jamais été, ni vivant ni créé.

    LE JARDIN

    Merci, voisin de tailler la haie et d’entretenir les plantes de ton jardin. J’espère que tu jouis de la vue, encore plus que moi, et que tu n’arroses pas à fonds perdus ! Comme moi, tu profites du chant des oiseaux de ton colombier et mieux tu voies leurs couleurs. Ce qui compense tes soins pour nourrir ta passion du beau et de la vie. Aimer la vie et la nature, essence du confort de l’esprit, sur terre ! Jardiner est une forme de prière où l’on se rapproche de Dieu, par la pensée et l’admiration de la nature. Tu en as les moyens, le personnel et le temps aussi. Ces gazouillis et que tu comprends seul, mais je devine ton émotion et tes penchants ? Seulement, je les préfère aux aboiements des chiens que tu entretiens. On dit chez nous qu’ils chassent les anges et les empêchent de nous protéger. Ou ce sont les chiens qui effraient les voleurs ou les anges qui sont de faction qui chassent les démons. Il faut faire ce double choix. Eviter les hurlements de nuit et les corvées de nettoyage. Se suffire comme odeurs des fleurs au lieu de répandre le fumier. Surtout quand ces relents se mêlent au brouillard et se mélangent aux fumées de charbon et aux miasmes de la ville.

    LE PAPE VOUS SALUT, C’EST LA FÊTE

    Coïncidant avec la nuit des étoiles, le cosmos, l’accès au ciel, Dieu ? La rade de Genève donne un spectacle de feux d’artifices. 500. 000 spectateurs. La musique exalte l’art de la pyrotechnie, poussant l’exploit, plus loin vers le beau et l’esthétique. Avec même dynamite, à Baghdâd, des attentats rappellent aux islamistes leurs extrêmes confusions. Comme en Syrie, chaque jour des centaines de tués. Des musulmans du même pays de même nationalité, partageant tout, en guerre civile ! On offre ses concitoyens sur l’autel de la religion, parasitée par le clanisme et la politique. Ainsi on célèbre l’Aïd el Fitr, la fin, du mois sacré de Ramadan, en tuant une centaine, à chaque jour suffit sa peine, un peu plus pour la fête. Ça rassure sur le contenu de vos têtes, les pires de vos opposants !

    A NAJIB ET SABIR

    Je n’oublierais pas vos dettes. Dussé-je me les payer à votre place, plutôt que de rester avec le sentiment d’avoir été floué, arnaqué. Trahi, par des intellectuels, des écrivains, des journalistes. Des félons qui ont abusé de ma confiance, de ma naïveté en fait, et auxquels j’ai prêté de grosses sommes d’argent.

    L’oubli passe, passe le passé et s’oubliera l’avenir. De ceux qui sont passés et de ceux qui vont passer. Je n’oublierais jamais vos lettres, même si je ne me souviens plus de leur contenu. Je n’oublierais jamais vos dettes dussé-je encore réveiller mes cendres de l’oublie et écrire avec mon argile la somme qui vous pend au cou, sur le ventre de vos mères et le revers de vos âmes. En aviez-vous, en fait ? Je n’oublierais pas vos quêtes, humbles, fourbes et sournoises, pour dire vrai. Votre détresse, qui appelait un grand geste de pitié. Votre confiance votre sens de la loyauté, ont-ils jamais existé ? Hommes éduqués, modernistes civilisés, qu’avez-vous de mieux que ces criminels que vous avez interviewé par delà les barreaux. Votre sort, votre place est digne de la leur. Allez les rejoindre, ils ont besoin de fraicheur, aussi crasse et si ignoble, soit votre peau !

    Vos valeurs, nos peurs, nos convictions, leurs salaires et leurs sanctions annoncent la couleur ! Le jugement de nos âmes éperdues. N’ayez aucune crainte, vos âmes ne vont pas renaître, afin de ne pas souiller l’enfer et lui voler ses feux. Si vous ne croyez en rien, et que vous vous en fichez de voler sur terre et de payer dans l’au-delà. Qu’est-ce que je gagnerais en retour, de vos enfers mérités, là maintenant sur cette Terre. Ce sera pour moi une bonne action ?

    Quand ? Peuchère ! Attendre l’Apocalypse, l’Armageddon, la Réincarnation, le Jugement Dernier, pour me venger de vous ? Non ! Non, je veux ça darce dare ! L’inquisition, l’enfer dans la malade, sous mes yeux, là sur terre ! Votre incrédulité vous sauve de tout blâme! Sans âme, c’est une âme sans regrets. Alors, pour ma justice pour me venger de vous, que votre corps, votre vie durant, paie ! Les incrédules, les traîtres, les lâches de votre espèce, les apostats, les renégats qui escroquent les gens et trahissent leur confiance et amitié, je vous dis, que si l’on devait créer un enfer pour votre sanction, je voudrais être celui-là pour vous !

    CONFIDENCES D’UN MÉDECIN

    Le cafard enchaîné ou la retraite du bon sens. Le travail et les conventions, partis en bonne partie, le reste ne tenant qu’à un fil….Que restera-t-il demain comme force pour gérer jusqu’à la retraite , c’est à dire la fin des forces; 3 ans , jusqu’en, 2016 pour assurer une retraite aux employés
    Et puis cette fréquence des fugues fugaces et cette amitié ? Dame, ce n’est pas tout rose ! Un début plus prévenant, simple, moins enquiquinant, mais les râles rendent l’ersatz aussi revêche, à présent comme celles plus acariâtres du passé !

    J’ai cumulé avec patience et humilité tant de problèmes. J’ai fait ma part de fautes, des erreurs monstres, pas tant que ça, mais que je paie, avec stress sur ma santé, (mais aussi des crédits à des salauds qui ne m’ont pas rendu mon argent !) Et probablement, des péchés, oui et pas si mignons que ça ! Ce sont eux qui les répareront pour moi ! J’en suis conscient mais je m’en défends, comme si je n’avais rien fait. Comme si je n’ai abusé de personne. Comme si c’était pour moi de ne prendre que mes propres défenses et mon dû. Un droit, une liberté, pour tolérer quelque peu les méfaits du  » milieu » où je vis et qui a abusé de mes gentillesses. Par delà la morale commune, les convenances usuelles, les partis pris, les incompréhensions qui me dévastent. Vivre un virage, aussi volage soit-il, un fantasme sur un rivage fantasque, comme sur île dans un monde perdu, qui n’a d’yeux et de mots que sur vous, alimentant la rumeur les racontars par le scandale. Tout un cinéma. Et tenir pendant longtemps l’affiche du village !

    Des insomnies, j’en ai assez, j’en suis le maître souffleur, la source, le mobile et les éléments moteurs. J’ai des idées obsessives et stressantes, parfois stupides ou stupéfiantes, qui chassent le sommeil et me maintiennent énervé et ahuri. Elles profitent de ces vagues relâchement et de vigilance, pour se former, se composer, s’imposer, me séduire parfois, ou en me faisant divaguer et construire, des projets, des histoires, des bouts de chants, des bribes de poèmes, le temps d’oublier tout à coup tout ce que mes méninges ont fait d’instable, de futile et de vaporeux, pour m’énerver encore pour les avoir aussitôt perdues.
    Quel intérêt à devenir médecin ou d’aller plus loin ? Praticiens plus près des difficultés propres que des tentations, parce que plus proche des gens. Les tentations vont de pair avec les privations ou la prédation.

    Elles sont synonymes dans le temps quand nous manquent les moyens. loin de la corruption faire comme les maître de céans profiter prendre plus aux gens oser leurrer sauf que l’on est pour la plupart contraints de faire un choix, une option. Lutter constamment en restant volontairement petit. Comme sa taille pardi ! On a l’ambition des ses hormones et de ses décimètres ! Tenir la barre, debout, toujours aux affres, empêtrées entre le Triangle des Bermudes et les abysses de l’implosion. Tourner les difficultés et dévier les menaces torpides. Menacé par la perte des conventions, du travail qui permet d’honorer les fin de mois, sans trop pomper sur les maigres économies, conçues à force de privations, qui sont devenues si ridicules, face aux besoins incontournables et grandissants. Pas de vacances ni de dépenses personnelles excessives, juste le temps de mes souffrances, de mes maladies pour payer les opérations et les hospitalisations.

    MOULAT AL QAWS

    A combien as-tu acheté ton arc ? De dos ! Bientôt tu l’auras gratuitement, tons arc de vieillesse ! Où sont ces fesses saillantes, ce torse qui bombait, ces épaules larges et ces bras de costaud. J’ai longtemps gardé mes biceps, imbattable au bras de fer, premier en corde au lycée, champion de la classe, parfois en sport, aussi, le premier …

    Maintenant si le ventre alourdi sort et pèse, et que je ne puis plus voir d’où je pisse, sur les bords du WC, que je vois à peine les taches que je laisse, en cherchant l’endroit humide que je sens à travers mon pantalon…Oui, les yeux, la cataracte, la rétine… Et puis je ne saurais mettre mon slip sans m’appuyer le dos contre le mur…C’est lamentable, c’est nul d’être faible et humiliant de surcroît. Que dire des malades, les vrais, des vieux, qui le sont beaucoup ? Et, c’est mon cas ! Mon triste état, puisqu’il m’ouvre les porte, d’un avenir. Incertain ! Pas si florissant, parque ‘il ne dépend pas de moi. En peux-tu dire autant princesse ? Ou que c’est encore trop tôt pour toi ! Et puis pour m’assoir, ce que je fais pour mon travail et au repos, mes fesses ont disparu et mes os m’écrasent la peau. Et c’est sur cet anus, opéré, que je m’assois pour vous faire votre ordonnance, l’ami ! Tristes dires, triste sire ! Confidences tabous et mots interdits. Mièvreries inutiles sur la toile. Estropié des compartiments intimes, ou juste des méninges, en exagérant un peu ! Je ne les écris que pour moi, pour les garder en mémoire et pour les relire et m’en amusant un peu. Cynique, jusqu’à la gaieté !

    DÉFICITS AMICAUX

    Je suis une source de problèmes en ne taisant que peu. J’aime croire que c’est votre cas aussi. Une collection de déficits dans certains inavouables, car inconscients ou incompris. Dois-je porter le fardeau des ânes que j’en suis le prioritaire qui les nourrit. Et être responsable de leurs ruades ou quand ils braient ? Si je souffre de mes problèmes, c’est un sort une malédiction mais nullement un mérite consenti.

    Si j’évite d’en parler, ou que je ne me confie jamais, c’est le contraire de ce soir, c’est pour ne pas importuner autrui, quand je lui raconte ma vie. Que peut-il en faire, en quoi cela l’intéresse? Pour faire sur mon dos des progrès? Gagne en estime de soi-même, en me comparant à lui, ou remplir sa vie sociale en promotionnant des rumeurs sur mes ragots. si je n’aime pas parler de mes problèmes, c’est que je suis discret et que je n’ai pas d’amis, compréhensifs et muets ! Les vrais amis, indispensables frères, deux doubles d’une photocopie, vous les avez trouvés ? Ceux indispensables, que l’on voit tous les jours et que l’on vit, sont totalement pris, chacun dans son engrenage, tourne le rouet de sa vie. Les dons de soi se font rares, et ne restent que les amitiés superficielles, ou plutôt, superflues. Vas-tu te morfondre sur ce genre d’amis ? Ou les payer de l’heure pour faire ta joie ou ta psychothérapie ? L’art de s’épancher sur la vie d’autrui, ses problèmes, alors que vous en avez marre des vôtres, n’est pas donnée à tous comme faculté. Sans disponibilités sans sacrifices gratuits et désintéressés, on ne saurait faire ni garder des d’amis.

    C’est un client, un patient qui m’a dit, en pleurs ces paroles que je vous traduis.  » Je suis malheureux Docteur. Quand vous perdez un clou, ça vous laisse un vide, un trou. Mais c’est la chair de votre chère qui se déchire, qui vous fracture, quand elle vous fuit. Lorsqu’elle vous plaque après des décennies, ça vous laisse un ravin dans votre âme, grand comme ça et un besoin plus profond qu’un abîme. C’est un enfer de regrets, que vous ne pouvez plus jamais combler ».
    Que lui répondriez-vous, quand vous sentez que c’est vrai et sincère ? Quand c’est dit au médecin, ça reste un secret, mais à un ami ou une connaissance, ça risque de parcourir la ville et ses quartiers ! Et la rumeur grossit.

    Ça tombe sur des mégères et des concierges qui furètent sans votre vie pour en exploiter le substantifique extrait. La moelle qui servira de levain et de programme, qu’ils exploiteront pour frimer, broder, devenir intéressant, échanger commercer et enfin exister ! Tel est le premier élément de leurs œuvres: médire et maudire pour  »exceller  » et s’affirmer ! On remplit ainsi nos vies de celles d’autrui. Le journalisme par exemple est fait de rumeurs, de ragots, d’enquêtes sur les gens, de photos volées, et enfin de nouvelles et de réflexions dessus. Mais à quoi bon colporter les 90 % d’entre-elles ? Au fond, n’est-ce pas le lien entre les communautés ?

    QUESTION DE MOYENS

    Autres éléments et question de santé, de moyens. Si j’en ai peu ou prou, est-ce par ignorance ou par maladresse ? Est-ce par manque d’ambition et par manque d’envie ?

    Je suis un monde de problèmes, de questions incomprises ou mal posées ! Dont certaines que j’ai procréées. A l’image de ma santé que j’ai dû détraquer ! Mea culpa ! Comme pour beaucoup d’entre vous, y sont pour quelque choses, nos femmes, nos enfants, notre travail, nos collègues, leur problèmes leurs bourdes, leurs caractères…Banalités que je me reproche d’écrire, tant que ce sont des vérités communes et générales, qu’on n’a presque pas à les relever ! Est-ce un symptôme de médiocrité, que les hautes classes les élites, entendez les riches, les intellos, les hommes de pouvoir, les politiques, les constipés, ont en des vannes, des fécalomes proportionnels de leurs gros culs !

    Economie ou paresse, pour compter juste sur moi ! Ayant assez de fierté pour ne rien quémander. Et puis s’ils sont en tête, nos proches et leurs soucis, ils sont trop présents dans ma tête. Ils m’habitent, me poussent et me déterminent. Ce sont leurs problèmes à eux, diriez-vous, pourquoi m’en affecter jusqu’à vous en parler ici ? Je ne peux rien pour la plupart, ni être avec ceux a chaque instant, pour aider ou conseiller. S’ils sont éloignés ? L’individualisme je ne connais pas ? Les libertés si, malgré les liens tissés ou la relative et résiduelle, responsabilité ! Oui, je ne peux pas grand-chose, en dehors des insomnies, des stress consécutifs et de quelques envois d’argent, quant leur besoin est patent.

    Des habitudes d’enfant difficiles à tarir. Tenter de le faire serait inutile et désastreux, les priver de ces aides réveillerait-il de leurs gâteries dépassées?

    ALZHEIMER

    Le fantasme est de se tromper sans voir ni être vu de l’autre partenaire…Où sont ces jambes et ce qui leur trainait en bas. Ce bout de viscère pisseur qui ne le fait plis normalement. Et cette gorge de râleur, prolixe et bavard qui ne chante pas ! Par la prostate de Jupiter, que suis-je en train d’arroser à 5 heures du matin ?

    Inutile de te sentir, depuis …Tes parfums je ne les vois pas, tes rides me font sourire et je ne comprends rien de ce que tu vas me dire. Tu repousses une mèche de tes cheveux clairs, pour l’homme, tu dégages le front pour mieux voir les yeux. Je n’ai plus rien à offrir. Je ne sens plus ce que je touche, quels sentiments m’apporteront mes doigts et quelles affections te donneront mes mains, si je passe mon temps à trembler.

    Qu’est-ce que c’est homme qui n’a plus de bras ni de fesses ni de cou qu’on peut caresser?
    Inutile de te parfumer, je ne sens plus ton front sourire ni tes rides me parler. Je ne vois plus tes plis palpiter d’aise quand je m’en approche. Inutile de te coiffer ou de relever ta mèche rebelle. je ne vois plus ton rire. Je n’entends plus tes mots. je ne vois plus même si tu me porte pour le faire plaisir. Ta charité commence par moi-même !

    S’il est des mots gentils, que tu veux me dire? je risque de ne pas les comprendre au moment de les appréhender, ils partent, je les oublie. Avant que ma conscience, ma vigilance et ma concentration ne dorment, en effaçant la mémoire et mes souvenirs. Maintenant, je ne comprends même pas ce que les mots veulent dire. Même si tu répètes les mots qui me plaisaient hier, je ne pourrais les découvrir. Leur sens, ne me dit rien, je n’ai plus de repères! Pourtant j’espère, je pense, j’écris aujourd’hui, ce que je voudrais entendre ta bouche me dire demain … Maintenant, j’ai des pensées sans mots, des pensées vagues, qui ne pensent à rien. Je vis dans la béatitude: sur un nuage de coton blanc sans forme stérile. Je ne sais plus ce que les mots veulent dire. Tu es qui ?

    Que signifie la vie si l’on doit mourir ? De maladie, sur le chant d’honneur ou dans une manif le crâne et la cervelle éclatés sous les balles de l’armée ? Ou complètement cramé ? Grillé au lance-flammes et à l’essence, comme ces dizaines de manifestants qui dénonçaient le coup d’état des militaires qui ont renversé le président légitimement élu, Morsi ? En Egypte, Oum Dounia, la patrie des pharaons, d’Oum Kalthoum et de Nasser!

    N’est-ce pas regrettable de vivre et de devoir gâcher la vie ? Une conscience, une personne, un capital, et partir comme si on n’avait jamais existé ? Afin que rien ne se perde et que ce  »Je » ne fasse pas de bêtises et qu’on n’en dise pas  » il ne reste de lui que le néant  », je vous laisse cet écrit. Rapportez-le-moi, avec vous, quand vous viendrez !

    LE VENT

    C’est le vent qui déchire des palmes les nervures et qui les fait plier pour son plaisir. C’est le vent qui fauche les feuillent qui jonchent la terre pour offrir aux mousses un lit de verdure. C’est le vent qui plie les branches rigides qui ne savent pas fléchir ni courber la cime par respect aux ondes divines. A genou le chêne, j’ai besoin de savoir si tu m’aimes comme les cèdres ! C’est la fête d’allégeance saharienne, l’anniversaire des frères, leur baptême ! C’est le vent qui casse le tronc qui reste debout par erreur et qui ne sait pas réfléchir. Car le vent et le sable, les vagues, ne savent pas planer dans les airs ni voyager dans l’avenir.

    LES NUAGES

    Gris, rouges et blanc, le duvet des anges flotte dans le ciel. Les aigles et les lions étalent leurs ailes et secouent leurs crinières. Leurs toisons pèlent sous le soleil. De superbes peaux se déchirent dans les airs. Dans le reste de ciel bleu, fractales roman-ti-ques, les branches des bambous, aiguisent leurs feuilles en musique et narguent les sangs des derniers rayons d’un soleil assoupi. Les plus hauts de ces arbres à canne, dépassant la palissade de Sabri, percent le grillage comme pour faire un doigt d’honneur à l’entrepreneur qui les a emprisonnés ! Leurs cimes de bonheur et par le fait, vengés et réconfortées, bercent l’atmosphère en usant du vent comme d’un appareil de musique, pour accompagner leur flirt érotique. Les moins hautes des branches rythment le chant en se plaçant comme des notes de musique, sur les fils électriques de cette portée. Leurs feuilles, bruissent chantent et palpitent en se balançant en leur compagnie. Le muezzin lit le nom d’Allah, qu’écrivent les araucarias sur leurs branches, en appelant à la prière. Les colombes ont cessé de boire. Les cigognes sont revenues assagies vers leurs nids. Les hirondelles vertigineuses, signent en vitesse, leurs dernières randonnées.

    Malgré le Bar Leev que le voisin leur impose, les branches libres, les plus jeunes, comme dans un grand geste obscène face la tyrannie, pénètrent les trous que leur offrent les grillages du camp de concentration, pour calmer leurs ardeurs mâles et vengeresses de jeunes osiers ! Il faut les voir pour croire ce que le dépit peut créer comme opportunités et faire oser. Les jeunes milices font la nique au SS sans cérémonie. Libre à lui d’allumer le feu de ses camps avec les feuilles mortes qu’il n’a pas pu emprisonner ni canaliser. Les races parasites, ces feuilles parmi d’autres que le despote a haïes, et qui subissent l’épreuve du feu dans son éden d’arriviste, enverront leurs fumées au ciel pour les entendre et qu’Il puisse les ressusciter. Les voisins n’ont pas le droit de monter des clôtures vertes. Il préfère des murs élevés, des grillages opaques et des barreaux. La suffisance, l’arrogance, le mépris des gens riches, des clans chauds de leurs races bien élevées, identités supérieures et hautement civilisées, le fric mon ami, ne laissent ni estime, ni respect, ni place aux couches basses de ceux qui ne sont pas comptabilisés !

    Tout est calme, c’est l’heure où les lions vont boire après avoir chassé ! La soupe du Ramadan est comme un baume pour certain, un somnifère; un frein pour d’autres, qui apporte la paresse et le relâchement pour la plupart d’entre-nous. Le Maroc est tranquille en ce moment. Les rues sont dessertes, de rares kamikazes fusent, féroces, dans leur voitures, attisés par faim et le son de la sirène qui bientôt leur permettra de s’empiffrer.

    Miracle pour le moment, les rues sont désertes, un bref instant. Il règne une grâce, un air de paix, les anges pourront venir nous ausculter, nous soigner et nous apporter de quoi soulager nos âmes, afin de les épurer. Dans un moment, des exercices passionnés de génuflexions en groupe, dans toutes les mosquées d’imirat al mouslimine. Debout, ils, écoutent le Coran. Certains, bien sensibilisés, émus par la qualité de la diction, déclameur de cérémonie, khatib* et star du ramadan, se mettront à pleurer.

    En ce moment, ils donnent à la mosquée Hassan II, à l’espace de prière, le statut d’un hospice de rédemption. L’esplanade est une vue futuriste sur le monde d’après la Résurrection. Une ondée de larmes et une psychothérapie de groupe. Dans un moment, le croissant de lune se verra. Si ce n’est pas pour demain et nous serons les seuls à jeûner 30 jours, parmi la masse des musulmans. Chaque état a son calendrier islamique. Et souvent la naissance du prophète est fêtée, deux fois par an ! Le calvaire des incompétents. De la privation aux excès, puis la fête et ses excès, le signal de la défonce du défoulement et des dépassements.

    Tant que je suis vivant, je lève mes bras au ciel, pour Te louer, T’admirer et Te prier, en demandant aux étoiles de témoigner, au cas où je ne puisse plus le faire après…Quand je serais sable sous la terre, assimilé dans le ventre de quelques vers, ou des cendres dans les ciel en train de faire la cour aux nuages, dans les airs !

    Dr Idrissi My Ahmed
    Kénitra, le 18 Août 2013

    #207066
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    MISCELLANÉES RAMADANESQUES, PENSÉES ET RUMEURS

    EXTRAIT DE CARNET DE NOTES :

    LES CALCINES DU CAIRE

    Les calcinés du Caire fument encore, celui-ci garde encore ses lunettes sur le nez. Sa barbe n’a pas flambé. Cet autre s’agrippe à la barre, autre croix du Christ qui doit encore pleurer ! Brûlés pour avoir manifesté pour leurs droits légitimes et leur foi en la démocratie. Râ brûle au lieu d’éclairer le Nil. Pharaon est effaré qu’on ait négligé les urnes. Oum Kaltoum, Abdelwahab, Farid, Asmahane et Abdelhalim, doivent se morfondre dans leurs tombes et vouloir changer de nationalité.

    LA LUNE N’EST PLUS RONDE

    Animaux que nous sommes, oiseaux de proie, bêtes de somme, dites, combien d’heures, combien de journées nous reste-t-il avant que la « panne », la vague finale, à jamais, ne nous emporte ? Si ce n’est pas la fin du monde, serait-ce celle de l’homme, de par les mains l’homme ?

    PLAISIRS HÉDONISTES, HOMO HEDONICUS

    1- EXISTER

    Vous avez un moment pour regarder par la fenêtre et puis disparaître ! Fin de match, le sifflet, avant le son du cor, l’olifant céleste ! C’est un ordre, une loi ! Et votre conscience vous en fait souffrir. Mais, c’est le sort de la vie et sur terre, des vivants ! Le destin incontournable, le sort des animaux, en particulier celui des humains.
    Dès lors pourquoi tant d’empressements, d’arrogance de haine et de mépris, entre les primates que nous sommes ? Quand on sait la galaxie immense de ses milliards de soleils et de planètes, et que les plus forts des reptiles, les sauriens vécurent bien avant nous. Qu’a-t-on de plus qu’eux, la langue, une conscience plus aigues ? Des découvertes, des conquêtes, la science, la culture, le goût des plaisirs, le sens de la religion ?
    Et puis après ? Tout passe et nous sommes des vétilles, labiles. Sauf qu’il y a tant à faire et tants de choses auxquelles on tient. ‘’A peine montée dans le car, le préposé me dit qu’il faut descendre ‘’dit souvent Khity. Ok, pour le stage, le périple, mais où est donc la vie ?
    Son sens ? Il y a tant de choses à voir et à connaître, à avoir et qu’on veut posséder, que c’est pour toujours qu’on veut rester. Ici ! Sauf que c’est très court et que même s’il y a l’amour, parfois, il y a la vieillesse et les maladies, la richesse ou le dénuement. Tenir à la vie, ça dépend pour quelles gens, où et à quels moments. La tristesse de dégager, reste le plus gros problème. Y penser constamment vous rend fou !
    Alors on s’invente une âme, un esprit et un dieu, au point de lui parler, sans le percevoir. Certains y arrivent, d’autres encore pas ! Et la religion, parallèlement à son côté moral et civisme, apporte le programme, avec la certitude de sa réalisation. Tant mieux pour les fidèles et les croyants. Pour les autres, quelle tristesse que ce néant imparable, ne justifie pas assez l’amour de la vie! L’utilité de la vie… Mais, passons !

    2-POUR JOUIR

    Pour les musulmans dans cette première proposition de la sentence du prophète, à propos des conduites : ‘’ Fais pour ce monde comme si tu devais vivre éternellement… Une permissivité qui laisse songeur. Mais elle est vite tempérée par la suivante qui la complète.

    ‘’Deuxième partie de la citation du prophète Mohammad ‘’ Et pour l’Au-delà, fais comme si tu allais mourir demain’’. La boucle est close. C’est le paradoxe du juste milieu, de la philosophie et de la conduite sensées être pragmatique des musulmans. Un juste milieu, un frein contre les extrémismes et les dérives fanatiques de toutes sortes.

    Dans le sens pratique. La veille, en attendant la rature, le dégommage, faut-il éviter les excès, les friandises de toutes sortes, les plaisirs et les joies ? Ou au contraire en profiter, en consommer, en abuser, larga manu, plus qu’à satiété ? Leurs suppressions, leurs fins, sans être au bout de la corde, ternissent nos jours et nous dépriment sans fin ! La suspension, la cessation de cette drogue que sont les plaisirs des sens, assombrit le bonheur qui va avec. Et c’est le stress consécutif et la dépression mortelle qui s’ensuit. La psychose, l’hystérie ! L’addiction, les habitudes contrites, qui peuvent augmenter les peines, la tristesse et le désarroi. Ne serait-ce que du fait de leurs simples retards ou de leurs arrêts momentanés ! Un seul plaisir vous manque est toute la vie est à condamner ! Non pas mourir de plaisir, mais mourir par manque de plaisirs !

    Est-ce un sport psychique dès lors, que de délaisser ces agréments hédonistiques, ces agréments et ces bonheurs ? Ce confort, quand il existe ! Ces plaisirs, auxquels on se livre par culture ou par instinct et sans relâche, afin de ne pas cultiver les peines ni s’en soucier le jour de leur perte !
    Faut-il s’appliquer une cure préventive ? S’auto-recommander un processus préventif d’évitement des joies ? Aux fins de s’éviter tout risque d’échec dans la recherche du bonheur ! Les délaisser le bonheur avant que ne nous fuient les joies ? De peur de laisser impromptus, les plaisirs nous manquer. Une précaution, automutilation masochiste ! Autocensure pour s’éviter les peines et les tristesses qu’occasionne le déplaisir. Ne rien avoir pour ne rien regretter? Las, la philosophie du dénuement, n’est pas marocaine ! Un gourou hindou nous y conseillerait en nous guidant avec plus de professionnalisme ! Des racontars ! Mais heureusement Épicure convole dans le juste contraire ! Mais pas pour beaucoup ni pour toujours pour cette minorité !

    3-ERRER OU BÂTIR

    Les majdoubs* et les heddaouis*, ne font plus d’adeptes, quoique nos rues soient pleines de déments armés et d’autres errantes personnes plus pacifiques. Des SDF, les fous sont largués sur les villes ! Pour les désorienter encore plus qu’ils ne le sont dans l’esprit et les dévitaliser de toute humanité. Faute de place dans les hospices, faute de soins et de suivis, faute d’humanité en fait ! Faute d’encadrement et de réhabilitation, faute de gîtes, faute de politique psychiatrique en fait. On s’occupe des pauvres économiques, depuis SM Mohammed VI et de son chantier de règne. L’INDH est là pour sauver ceux qui sont à la limite de l’exclusion, sur les marges de la pauvreté, par le travail péri-associatif, dans divers secteurs, de l’artisanat de l’agriculture ou de la pêche, autour des coopératives ! Pourquoi pas ne s’occupe-t-on point des fous ? Et des ères !

    S’ILS N’ONT PERSONNE POUR LES DÉFENDRE ?

    Ceux qui ne peuvent rester adaptés à la vie sociale. On s’occupe bien des aveugles, pourquoi pas de ceux et celles, qui ont une cécité cérébrale ? Les victimes qui ont flippé du fait de leurs échecs dans la vie. Ceux repus de drogues et en manque ou ceux qui, saturés de problèmes, deviennent désadaptés à la société ! Étrangers à la famille, aux familles fragiles, qui repoussent ces ‘’déments’’. Des fous et des désaxés, partiels ou temporaires, il y en a partout. Ils réagissent en plaçant leur cerveau, au repos. Et leur intelligence dans les poubelles ou au frigo ! Trop trash ! Là, où ils cherchent pitance pour s’alimenter aux yeux de tous. Chez nous, c’est frappant. ô musulmans que nous sommes ? Et même traumatisant pour les croyants, car où est passé l’Islam ? Avons-nous un cœur, une conscience, une quelconque dignité ? Adieu civisme, adieu les religions, adieu socialisme, adieu humanité. Ceux qui doivent vous sauver sont absents, occupés, aveugles et sourds.

    REVENONS AUX AMOURS

    Aimer, c’est tenir à quelque chose qu’on apprécie. Par prophylaxie, apprendre à se détacher du mal des choses et de celui des hormones ! Par prévention, éviter d’aimer pour ne pas être choqués par les pertes d’amour et les déchéances de celui-ci ! J’ai entendu cela d’un patient, fort misogyne. C’est encore théorique. Car qui pourrait contenir les maladies d’amour, la perte de ses sentiments, de ses biens, de son argent et sa fortune ? Peu peuvent relativiser les décrépitudes physiques et les admettre de bonne foi ! Ainsi en est-il des maladies nerveuses consécutives aux pertes de la motricité et des organes des sens, l en va de même de l’angoisse, des délires et des colères, les peurs et les haines, tiennent les records . Tiens, c’est un sermon de prêtre-là !

    C’est probablement une variante de sadomasochisme, conjuguée à la première personne ! Une auto flagellation, que je vous relate ici. Une punition préventive, autodidactique, qui immunise contre des méfaits plus graves. Ceux que les circonstances inattendues apportent. Qui sait si ça vous prendre, vous convaincre et vous intéresser. Il faudra mettre ça sur papier et essayer ! Chiche, on commence par vous ! Cessez d’aimer ! Apprenez à vous délester de vos biens et de vos réactions, égoïstes ou brutales, afin de garder le self contrôle, en ne s’attachant qu’à ce qui essentiel. Et avec le doute que rien n’est sûr ni constant ! Ne vous attachez à rien pour des lendemains radieux ! Rien pour l’avenir, rien pour les enfants ? Rien pour soi, non plus !? De pareilles écoles existent, même si ça vous effraie ! Inscrivez-vous chez le plus proche gourou !

    FOURMI AILÉE OU MOUCHERON ?

    1- LE DÉFI DE LA VIE

    Sais-tu que le petit moucheron, fourmi ailée qu’il était, qui voletait au raz de la table de salle à manger, en ce ramadan cet été, s’est posé sur mon poignet. Ce Moucheron-fourmi qui me prend pour un aérodrome, a fini par se poser sur le toit de la tour. La salière dont il a rapidement sondé les trous pour s’envoler et reprendre pied sur une fleur. Ils étaient ainsi trois ou quatre, d’un genre que je n’ai jamais vu auparavant.

    Sait-il, ce miracle de la nature ailé, d’où qu’il provient et où il va aller ? De quoi il est fait et ce qu’il sera demain? Que ses ailes minuscules et cendrées deviendront d’infimes poussières. Avalée par un prédateur, un gecko, l’un de nos crocodiles et autres démons, ou écrasés comme ces mouches d’Irak, ces cafards du Nord ou de Libye, ces frelons de Syrie et ces scarabées d’Egypte ?

    Tous les cancrelats, riches ou pauvres, des plus puissants aux plus nantis, extrémistes ou laïques, seront recyclées dans la terre par les plantes et les micro-éléments. Espoir ou vengeance des pauvres ou des démunis, des analphabètes comme de ceux qui ont la science infuse, qu’ils ne partagent pas en toute démocraties ! Comme qui dirait que les cycles de la nature, ces mécaniques vitales, d’assimilation, de biochimie et de physique, dont nous sortons et dont vous vivons, les uns des autres, nous rendent quasiment égalitaires et démocratiques. Néanmoins, il y a de petites proies et de grosses bêtes.

    Sait-il cet autre moucheron, de 1 millimètre au plus, avec sa cervelle supposée et ses viscères nécessaires, ses quêtes de satisfactions multiples et de vie, d’instinct ou mécaniques ? Sait-il où il va quand il vole autour de moi ? Et notre fourmi ailée, que sait-elle de ses organes et ses cellules, de ses atomes et ses molécules, lesquels si fragiles n’ont jamais été à elle ou à lui ? (Parabole ou parallèle pour parler de nous). Sait-il donc, que ce sont de gros systèmes, analogues aux constellations ! Comme les galaxies du cosmos qui peuplent l’espace. Sait-il qu’il contient des analogues des sphères célestes et des étoiles, de l’univers, en plus petit ? Avec ses électrons qui tournent, relativement de loin et qui gravitent très vite autour de leurs noyaux, dans ses atomes, ses molécules, ses cellules, ses tissus, ses organes ! Certes, non !

    Il sait peu, par rapport à ce qu’il ignore, comme vous et moi ! Tels ces hommes du palais, les conseillers de toutes les cours des émirs, les empereurs enrichis des hautes sphères, les anges et les démons des légendes et des mythes. Et ceux qui le croient pour de vrai ! Les amis des présidents et des émirs, les gros banquiers, les multinationales qui sont les vrais rois ! Avec plein de stress existentiels et dynastiques, en moins !
    2- PS
    Sans rien ajouter en corrigeant cette note. J’ai écris ceci avant l’éclatement du David-Galvangate. Cet espagnol de nationalité, espion irakien exfiltré, est un pédophile qui a sévi à Kénitra en abusant 11 jeunes enfants de 2 à 14 ans. Il fut condamné à 30 ans de prison. Sa grâce, parmi celles de 48 espagnols, s’est produite après une belle visite de Juan Carlos au Maroc. Cette relaxe a choqué le monde et surtout indigné les Marocains.
    Galvanisés, ils ont manifesté malgré le reflexe pathétique des gourdins.
    Cet incident sur une affaire immonde a montré au bon Roi qu’on abuse de Sa confiance, autour de Lui ! Les Partis étant restés muets, il faut le rappeler, ainsi que le Gouvernement Benkirane du PJD, qui était aux abonnés absents, occupé à se refaire avec le RNI, depuis la défection chabatique de l’Istiqlal. Le fera-t-il ou démissionnera-t-il pour provoquer d’autres élections qui consolideront les Frères, toutes tendances confondues, et qui fragiliseront le Maroc qui tente de percer, de surnager, malgré les crises mondiales qui l’entourent de leurs ruades et les adversités malveillantes et contraires…

    CULTURE DE L’IGNORANCE ET INFLUENCE SUR LES DESTINS

    L’IGNORANCE

    On sait peu et comme dit l’autre « On nous cache tout ! « Que sait on des forces qui régissent l’univers, son devenir et le nôtre ? Hein ? Sont-ce des délires quand on sait ce que représentent le moucheron et nous-mêmes ? Des idées, des questions qui dépassent nos têtes et pour lesquelles, vous avez vu juste, on n’y peut rien ! Alors pourquoi en parler ici ou ailleurs ? Pourquoi stresser avec ce qui est inutile, vous et moi ?

    Ces questions et leurs impossibles réponses, dans le réel, présentement, ou dans notre future, dépasseront toujours notre condition d’humains d’insectes ou de mammifères ! Et notre entendement. Mais à quoi servent les chercheurs s’ils n’explorent pas l’univers en nous apportant, en vous apportant dans le futur, moins de doutes, plus de sérénité et d’explications. De quoi rejoindre les dires des sages et des prophètes, les illuminations des penseurs, des inventeurs ou des créateurs de fictions!

    Phrase, expression démocratique pour n’évacuer personne. Pour pouvoir entendre librement toutes les idées critiques. Même celles des délirants et des illuminés, des extrémistes de tous les bords, en incluant pour le sport didactique, les paroles acides des nihilistes anonymes et des détracteurs invétérés.
    Sauf celles des jeteurs de sorts ! Ces odieux disciples de Satan qui polluent les murs, les marches, les portes de leurs maléfices, mais aussi les tribunes et les rues de leurs imprécations !

    Es-maîtres des traîtrises et des félonies, perfides sorcières, ignobles manipulateurs et abjects persifleurs, ils se sont alliés au Diable, leur père, pour trahir et piéger les humains. Nous en avons vu de ces impeccables généraux et autres sémillants leaders ! Leurs rejetons excrémentiels polluent nos jours, nos villes et nos vies. Faites un tour dans votre quartier et regardez le laisser-aller. Aucune marque d’ignorance ou de paresse, aucune bavure, pas de turpitudes, ni de corruption ou de partialité ! Hum ! Juste le contraire partout dans nos pays ! Rien que des immondices. Ça c’est le bien commun, la cité, la bourgade et les citoyens.

    Sur le plan des idées et des faits, c’est plus abject que ça n’en a l’air. Je parle de ceux qui polluent nos caractères, influencent nos idées, nos conduites et nous perturbent. Je parle de tous ceux qui font l’opinion, des politiciens aux journalistes, sans objectivité. De ceux qui relatent les mensonges, qui créent la rumeur, formatent ou décident… Ceux qui pire, influencent les conduites des plus grands et qui forcent les destins des gens, en agissant sur le ‘’marché des idées’’. Je parle des financiers flamboyants, oui ceux d’ici et surtout d’ailleurs. Je fais allusion aux puissants lobbies et aux multinationales. Les faiseurs d’émis et d’empereurs, les tombeurs de président. Ils font la mode, créent le besoin et façonnent les comportements, ceux des gens simples, consommateurs et électeurs. Ils dictent les peurs et les décisions à leurs agents ! Aux chefs politiques eux-mêmes et à leurs représentants ! Ils décident de notre sort, de nos droits, de nos libertés et de notre destin, en fin de parcours.

    ALLONS VERS LE CIEL QUI NOUS GUETTE !

    Comme des nuages donc, les électrons étoffent les noyaux et leur donnent leurs propriétés chimiques, leurs pouvoirs et leurs propriétés ! Ce à la vitesse de la lumière sans éclater ! A moins que l’homme ne les pousse pour produire cet effet.

    C’est prodigieux et décourageant à la fois, admirable et faramineux. Il n’est pas nécessaire d’être un astronome ou un islamiste pour s’extasier devant le ciel. Même un athée est droit et en devoir de trouver l’univers grandiose ! Ainsi quelles que soient notre culture et ses profondeurs, quels que soient la place, le mérite, la force et la grandeur de nos supposés chefs et maîtres, l’univers qui est en face de nous nous perturbe et nous défie, nous confondant tous à rester infimes, inquiets et si faibles. Tous autant que nous sommes.

    NOTRE PLACE COSMIQUE EST…

    Mais c’est bon d’avoir une idée de sa démesure et de notre place de démons ou d’anges, de cochons ou de crocodiles. Qu’on soit sujets de Sa Majesté, leaders, chef des chefs ou dirigeants. Des niaiseries si vraies qu’elles ne manquent pas d’incrédules ou de sardoniques moqueurs, de caustiques satires et de sarcastique râleurs. Une aura cosmique de détracteurs? La galerie du Net qui s’amuse sur Youtube, Facebook, Twitter, aime les plaisanteries et les vannes ! Elle a ses gangs de hackers et de hooligans et de bons amateurs. Pour se protéger du mauvais œil, des printemps zombies, ils s’offrent des séances photos avec à la main ou dans les méninges, des roses, des œillets ou du jasmin. Peut-être des encens aux églises du santal dans les mosquées, espérant s’approcher les sympathies divines ? Pour protéger leurs amitiés romanesques avec le bon Dieu !

    Parabole. Afin pour d’aucuns de sauvegarder leurs privilèges, de se fabriquer des comme soldats pour leurs défenses conjointes et comme des sénateurs pour se fabriquer des lois à l’instar des plus belles démocraties. Réactions de justesse, c’est humain, face à cette « plèbe » subversive, qui râle et qui menace, depuis l’époque des Romains.

    Et bien avant les Latins, chez les Grecs et les Egyptiens. Oui, les militaires qui ont enfermé, on ne sait où leur Morsi de président dans une pyramide inconnue. Vont-ils le planquer dans un sarcophage ? Pour le montrer aux touristes dans 5 millénaires L’embaumer ou l’abîmer ? Le transformer en martyr ou en saint ? On a besoin de miracles à la façon dont ça tourne chez les Frères et leurs martiaux matons !

    SUR LES CHAMPS DE MARS,

    En passant, si la guerre civile est nette en Irak et en Syrie, et que c’est criminel de les laisser persister, on laisse ou on pousse les Égyptiens à commettre l’irréparable et à clasher* leurs civilisations, leurs arts, leur musique et leur arabité, dans la guerre civile ! On défend son opinion bec et ongle, ses droits et ses libertés, ses biens et les siens, son foyer sa patrie, mais plus que ça, la dignité des uns et des autres summums des valeurs de la personne les poussent aux exacerbations existentielles.
    Les haines et les meurtres, quand il n’y a plus de concordance ni d’écoute. Conflit et guerres civile, fractures, séparatisme et sécession. Si ce n’est pas face aux voisins, qui s’infiltrent dans vos affaires et vos causes, suscitent et encadrent vos opposants, les financent et les manipulent, pour se forger le statut de ‘’partie concernée’’. En tant que quoi ? A quel titre ? Libérateur de l’Afrique ? Et pour quelle raison et ambitions ? Ce que je rejette et dénigre totalement.

    Alger, de partie ‘’intéressée’’ au conflit, en sait quelque chose, pour avoir conçu son avorton polisarien, avec la complicité de Kadhafi et de ses semences…financières. Elle agite depuis 40 ans son Muppet’s show, pour déstabiliser le Maroc et le morceler. La pétreuse et militariste cousine, devenue richissime égérie sous ses mâles émirs, hyper galonnés, veut par la même, socialisme de sous-développé oblige, jeter barra la monarchie anachronique. Ce régime millénaire antinomique, représente un obstacle devant sa volonté, à elle. Celle de libérer les peuples du Maghreb et d’y étendre sa pax algériana ! Vive, selon elle, la république marocaine ! A bas son ciment fossile et ses charges monarchiques ! Le roi à la mer, veulent-ils nous imposer, pour s’installer sur la côte atlantique, en suzerain prussien.

    Initiées et poussés de l’extérieur, les milices sécessionnistes du Polisario, gonflées par l’endoctrinement, fanatisme, matraquage, endoctrinement importés et prosélytisme à profusion. Valeurs au goût du jour et à la mode, contagieux pour certains. Échaudés par les rêves altruistes, humanistes, démocratiques, louables espérances, on véhicule ces théories et Alger en instructeur, instille ces valeurs républicaines, volontiers chez les voisins ! Les opposants, renégats serviles, sécessionnistes, servent de mercenaires et de causes à défendre pour donner aux ambitions des maîtres tyrans, un sens existentiel ! Eux, les militaires qui ne tiennent pas appliquer ces ‘’valeurs démocratiques’’ chez eux, les premiers ! Alors on échauffe les oreilles des subversifs sahraouis. On les arme et leur donne un front. Puis une république, pour affronter comme ennemis leurs frères marocains. L’OUA éclate sous la vindicte et la corruption.

    Ailleurs et de l’intérieur de leurs pays, d’immondes factions de sunnites et de chiites, entre-tuent, sans honte, pour illustrer la voie de l’islam et la grandeur arabe, les carnages insoutenables et odieux, horribles tares des guerres, qu’on ne peut accepter ni supporter ! Là, au Moyen-Orient, sous le regard amusé ou cynique de leur adversaire, atavique. Là, dans le sang, les cris, les pleurs et les explosions de dynamite, des milliers de blessés, des milliers de meurtres, des corps horriblement éclatés, dans les anciens pays du front, contre l’extension d’Israël, là chez la nation de Dieu. Allah, Allah, je suis triste et déçu de tes musulmans chéris ! Raisons : le pouvoir, les amis d’Israël qui cherchent à annihiler les menaces et à casser les moindres velléités de risques pour Israël. Pour le pétrole, certes, mais aussi pour leur primauté dans la région, face aux meneurs de l’ancien duo du bloc socialiste, là de mèche, les Chinois et les Russes ! Concurrents néanmoins des States, quoique aujourd’hui assagis, malgré la chute du mur de Berlin !

    Des opportuns donc, des méchants au sens biblique ou satanique du terme, qui clachent leurs démons sur leurs avoirs et leurs gains et qui veulent les en chasser pour les déposséder, point ! Et les jaloux, ceux qui veuillent les déloger de leur privilèges indus et de les expulser, barra ! Les Privilèges sont toujours, irréguliers, indus sinon ce sont des primes qui corrompent et qui fabriquent des mercenaires. Mais ce sont des moteurs des mobiles, des arrhes et des garanties, qui asservissent les bons amis ! Qu’est-ce qu’on ne peut pas faire pour développer les richesses, starters de l’économie, afin de développer les commerce et l’industrie, conditions du progrès dans le pays. Amen

    LA LUNE N’EST PLUS RONDE

    Superstitions, malédiction ! La fin du monde arrive ! Et c’est le dire-vrai des sociétés hermétiques qui se justifie. La prophétie des et des extrémistes de tous les bords qui se vérifie ! Dépêchez-vous de croire de demander pardon et de regretter ! C’est d’abord les tsunamis et les tremblements de terre. L’eau va noyer les terres. C’est tout. La terre polluée pompée, vidée, déchiquetée, assombrie de nuages et de sangs, va avorter ses créatures. Ils l’on bien cherché!

    Non ce sont vos yeux qui ternissent et votre cristallin qui s’opacifie. La Lune est encore ronde, vous pouvez lever les yeux au ciel ou y aller la vérifier ! Tiens ça fait longtemps que les astronautes n’y ont plus mis les pieds. A en croire sceptiques et les détracteurs de l’épopée américaine! Les astronautes nous ont menti ! Les péripéties racontées là-dessus ne furent que mensonges, mises en scène pour monter au monde qui si les expéditions russes de ancienne URSS ont envoyé une chienne, Laïka, les Américains eux, en labo ou de vrai ?

    Eux, les êtres supérieurs qui ont sauvé l’Europe et l’Asie des deux guerres, eux les maîtres du monde actuel, avec beaucoup de dette et de crédits, y ont mis le pied dans les années 60 déjà ! Allez comprendre et vérifier ! Autant que les mythes! Les histoires fantastiques, de science fiction, de vampires, de revenants et de sorcières ! Pourtant la Lune nous ensorcelle encore. Littérature colportée qui nous inonde, façonne nos pensées, en nous berçant, dès jeunes, de mystères, de fantasmes ou de fantaisies ! Que des aimer et ma regarder encore scintiller surtout si vous êtes amoureux, plongé dans le spleen romantique ou simplement déçu !

    CHAIR, OS, VISAGES ET MESSAGES

    Mechidia ! Fouilles archéologiques des héritages et de la mémoire conspuée, savamment pollués par tant de conspirations. Rien que pour dégager un squelette, ça demande de l’argent et du temps.

    Que dire d’une fosse commune, d’un charnier ? Qui plus est l’exhumation des idées que l’on se doit d’extirper de la gangue des manipulations, des oublis, des négations, du néga-sionisme*, des haines héritées, des clanismes divers et des guerres insatiables ? Il faut réveiller les humains du néant, de leur Alzheimer recherché qui prospère dans toutes les têtes et les cités. Les sortir des saumures de la peur, des censures organisées par les encenseurs et les partis pris ! Les libérer des prisons virtuelles ou réelles où les gens se cachent, par leurs craintes exacerbées, devenues des préceptes de morale civique et des principes de sagesse héréditaire. Des opinions stigmatisées et des vérités obviées par le pouvoir, les polices et les militaires ! Programmes enseignés, prosélytismes divers, écoles dans lesquelles ils ont été produits, modélisés, endoctrinés, nourris d’idées étanches, rigides et renfermées. Personne ne sera épargné, si on ne s’attaque pas aux idoles du passé qui nous ont formatés. Autrement, nous n’aurons à faire qu’à des extrémismes belliqueux, hermétiques et fanatisés.

    Mechidia . Ce n’est ni de la fiction, ni des approximations ni des excès. Ces paramètres, ces machiavéliques manigances, ces manipulations exubérantes sont des méthodes de gestion que les pouvoirs publics, locaux ou étrangers, ont sur les gens, pour les endiguer et les guider. Sociologues et anthropologues vous le diront mieux que moi.

    HÉRITAGE DES ANCÊTRES.

    ÉLÉGIE DU PR BENSOUDA MOHAMED.

    Il était l’un des plus jeunes et plus beaux de la promotion, , brillant professeur de chirurgie, compétent anatomiste, d’extraction bourgeoise et andalouse, pas très riche mais riche d’une haute alliance, celle d’une belle nièce, devenue princesse ! Il vient de partir pour prospecter l’Au-delà ou s’y reposer! Entre les mains de Dieu, Amen ! Ses connaissances se rappelleront de lui.

    LA LUNE N’EST PLUS RONDE

    Elle a une bosse comme sourcil, une calotte, je la vois bien ! C’est du n’importe quoi ! Instantanés, des flushs momentanés. Les étoiles peinent à sortir du déchirement et du délire pour briller malgré les épaisses nuées.
    Le gris du climat est tel qu’on enterre sans visa de sortie, mais rien n’est gratuit. Est-ce qui je ne suis plus là ? Je me rends compte que je n’ai rien fait de notable, pas assez utile, rien fait qui puisse et qui puisse durer de quoi désespérer ! Est-ce que je ne suis plus là. C’est à peine si je devine que je suis encore là. Ce qui me réconforte encore malgré les soucis et les doutes ! Et que c’est de ma tombe que je vous interpelle, par anticipation.

    PUB POUR MME STUDENT

    Lisez mes nouvelles sur Mme Student et sur le Net. C’est gratifiant et gratuit. Hélas fictif et subjectif. Mon héroïne, dans son délire mythique et mystique, ou le mien peut-être, qui dans ses chroniques différées aura fait de l’enseignement son métier. Après les affres de la politique elle part. De retour après l’Apocalypse elle fait une réapparition comme messagère divine ! Avant la Résurrection et le Jugement Dernier, un dernier recours par la grâce de Dieu. Il en a les moyens. Un retour pour réformer les vivants avant qu’il ne soit trop tard. Une prophétesse, plus une revenante pour refaire le monde et l’épurer de ses crimes et chagrins.

    CYNISME ET DÉLICATESSES:
    CHRONIQUES SENTIMENTALES DES VISIONS FLOUES.

    Ce n’est pas qu’il soit impoli le vendeur de journaux qui m’a vu et ne m’as pas salué c’est peut-être qu’il vend les salamalecs aussi ou qu’il attende comme de coutume que ce soit ceux qui arrivent qui saluent les premiers ! Culture qui incruste des normes civiles, égalitaires dans la démocratie. Et même les vieux n’ont pas de privilège quand aux bonnes us! C’est peut-être qu’il vend de bonnes nouvelles qui marchent et qu’il n’a pas besoin de marketer dans ce genre de politesse et de civilités ! Ou que depuis l’inondation du Web, il n’a plus rien à ajouter. S’il paraît gonflé, ce n’est du fait de ses propres papiers! C’est peut-être parce qu’il me respecte, comme vieux voisin ! Qui sait s’il m’aime pour m’éviter ainsi. C’est pour ne pas m’augurer de quelques mauvaises nouvelles, en ces temps de canicule, de ramadan, de grosses dépenses et de bas revenus !

    MON STYLE EST PROSAÏQUE,

    Certes ! Il peut être de ce fait emphatique ou ampoulé ! Je n’ai pas que des laudateurs de parmi mes confères et autres aimables inconnus rencontrés sur le Net ! Un détracteur de surnom « Elchi » sur Yabiladi, a trouvé mon  »texte »,  » Combat des titans des leaders politiques »» écrit à propos des dernières sorties des leaders politiques, au Maroc. Son jugement péjoratif méchamment gratuit, a été posté en rajout à un écrit de Mohammed Ennaji. »

    L’Ellechie de service, l’étiquette et le taxe « d’une lourdeur incroyable » ! « Il conseille au Dr Idrissi s’il est l’auteur de ce texte », signé Maidoc25,  » d’aller s’auto soigner » ! Merci donc de son conseil indigeste et méchamment intéressé ! Je répondrais, offusqué mais sans médire ni insulter, car loin de là, ce n’est pas mon style, que je ne sais pas écrire comme lui ! Et que pour m’exprimer que de cette façon-ci, classique, il faut le dire, j’espère et je requière le respect et la dignité !

    Je suis le résultat de mes professeurs. Voyez-vous, je n’ai pas dis  »profs » tout court ! Et le sobre objet des influences, peut-être, des lectures au programme d’antan. Celles qu’ils m’avaient ordonnées et conseillées ! On ne s’invente pas, mais on peut évoluer si on nous indique, de meilleurs sens, pardi. Etant classique et d’un certain âge, donc, n’ayant pas vécu en France ni fait littérature en faculté de Paris, je n’ai pas eu l’opportunité de me faire, dans les quartiers de France, où l’on parle plus vif, parce qu’ils sont chauds ! Je manque de légèreté, c’est un fait.

    Pour ce qui est de critiquer, c’est mieux d’être un professionnel, afin d’être raisonnablement écouté ! Il faut s’éviter toute colère et toute célérité, sous peine de méjuger et de médire en passant lamentablement à côté ! Pour s’imposer critique crédible et s’imposer comme nettoyeur du Net, il faut faire preuve de ces capacités ! Oui c’est une façon de dépolluer le Web en décourageant les textes les plus lourds, les remarques désobligeantes ou les textos inappropriés. Encore qu’il faille donner ses preuves, en matière de qualité propre, et apporter quelque chose de récent. Non pas à l’inverse, faire office de censeur, parasite, pour se payer le plaisir malveillant, de pouvoir médire licencieusement, en toute impunité, afin de conforter son ego de maton.

    La libre expression est positive ne matière de Web. Sauf que, écrire pour moi, je le dis à son enseigne, est déjà une cure de liberté. Celle de m’exprimer librement. Et ça, je le revendique ! Cette façon de me soigner est contagieuse. Je la lui souhaite. Aussi inviterais-je sans insistance ni cynisme, le détracteur importun et inopportun, fâcheux et gratuit, ‘’à venir’’ et non point ‘’d’aller’’ se faire soigner ! Pas une ligne pour contrecarrer M. Ennaji. Aucune référence ni sur quelle ligne et par quelle phrase, j’aurais été lourd ! Les mots et les tournures, n’ont de sens que si on les lit et qu’on les mette dans leur contexte pour les comprendre et se les interpréter. N’est-ce pas ? Mon style est prosaïque ? Il peut être emphatique de ce fait ou ampoulé ! « ElleChie » n’a pas menti ! Qu’il me lise ou pas, je ne le fais pas payer et je ne veux en rien lui imposer mes idées.

    ANIMAUX QUE NOUS SOMMES,

    Animaux que nous sommes, oiseaux de proies, bêtes de somme. Combien d’heures, combien de journées, nous reste-t-il avant que nous emporte à jamais ? Pour toujours, et de sombrer malgré nos espoirs, pour de longs et sombres oublis ? Eviter les friandises, faire la gym, ne pas fumer, éviter les excès ! Eviter les plaisirs et le stress et vice-versa ! Les soucis et les peines et même les joies et ne doivent pas nous influencer ? Les droits, les libertés c’est pourquoi faire?

    Que faire quand on ne les a pas et qu’il faille les demander. Et l’agent et le travail, qu’en dites-vous de plus ? Entre les privations et les maladies, les délires et les peurs, les sanctions et les critiques des râleurs et des protestataires, des parents, des maîtres, des clients et des fournisseurs, ne faut-il pas montrer quelques courroux ! Etre soi, un peu et défendre son ego, de droit ou à juste titre ? Que reste-il des jours grevés de souffrances et de douleurs, chez ceux qui sont partis ? Gommés, délogés, morts en gémissant ! Ou sous le coup fatidique des rancœurs, des acrimonies et des colères ? Que reste-t-il de nos heures comptées, de nos belles heures ou de nos si importantes occupations ? Des leurres ! Qui sommes-nous, pour représenter quelque chose de durable ou d’important ? Un être distinct, qu’il faille réveiller un jour, sous de meilleurs habits ? Pour lui donner des ailes brillantes et une âme éternelle, épurée !

    CRAINTES ET PEURS,

    La peur de tout laisser, même ce qu’on a jalousé le plus, ce qu’on a de plus cher, son corps. Soi-même, son identité, sa personne particulière, sans rien emporter avec soi et pour ne plus exister ! A moins que ce soit temporaire et que le retour soit certain pour les plus sûrs ! Crainte du retour, craintes pour le sable et les cendres, crainte d’être jugés de nouveau et pas seulement sur terre et c’est plus rigoureux et plus dur encore ! L’âme en peine sans en être si sûr!
    L’âme en peine pour ceux qui ont fauté et qui sont certains des sanctions éternelles! Vous n’allez pas partir, Monsieur le Président et vous messieurs les ministres sans rendre compte ! Ne serait-ce qu’un peu, par discrétion, par pitié, par complaisance ! Au moment où tout s’en va, partir, sans demander pardon aux gens que vous avez « bouffés », engloutis ou détruits ? Ignorés ou leurrés ! Sans corriger vos erreurs, afin de ménager un peu votre âme ? Vous n’en auriez pas ? Peut-être bien, je vous crois !

    Sans demander pardon à l’Eternel ! Vous vous mentez, en ne craignant plus rien, vous chassez ainsi votre responsabilité! Si vous ne croyez en rien, si vous ne croyez pas avoir une âme, qui fait vivre votre esprit et votre corps, alors vous n’êtes pas comptables de vos erreurs. De rien bien sûr, ailleurs que sur terre ! Vous ne faites rien, tout s’en va, et l’instant est rare, sauf l’instant existant du moment.

    BALIVERNES, POUR LA MAGIE DES MOTS,

    Astuces et valses des idées, tangos des retournements, pour le pouvoir entre les factions. Droite, gauche, milieux avec leurs terribles nuances, leurs faux compromis, les compromissions égoïstes, complots! Promesses des hommes politiques, prestidigitateurs en mal d’imprécations, manœuvres des politiciens, de la justice, des votes des élections ! L’ensorcellement des enfants de chœur que nous sommes ! Dogmes universels, justice pour tous, lois, vérités, rigueur et sanctions, pour la liberté et la justice. De qui se moque-t-on ? Il ne manque que la santé et les soins, les routes dans les montagnes, et les forets, les gouffres et les déserts à ce programme pour les élections. Sauf que les doutes montent avec les faussetés et les apparences la réalité des nantis et celles des appauvris et des exclus ! La grosse masse de la terre ! Les exclus ont parfois des satellites des Infos, pour admettre la fausseté des dires, vues leur conditions. Quand on voit la faim dans le monde et les excès, des nanti, autant ailleurs que pour d’autres ici, les injustices fréquents et les inégalités, les discriminations entre les hommes, les classes et les nations, les prédations et les exploitations, des plus faibles, des affaiblis souvent.

    SERMON POUR LES GRANDES NATIONS

    La suite, en fait. La théorie du complot n’est pas une invention, c’est la seule certitude et la plus sordide. Qu’on regarde l’Irak décomposée, la Syrie qui se déchire, qu’on retourne en Libye, chercher le mobile et l’arme du crime ! Un mot pour la Palestine, mouton sacrifié, le cousin et le frère, sur l’autel d’Israël, en répartition des pogroms d’Europe et des crémations d’Hitler ! Injustice féroce ! Le calvaire, la croix du Christ est portée par les enfants d’Orient et leurs vieux pères ! Pour réévaluer l’histoire et le mobile, le motif, le modus operandi ! On prépare, on fabrique des guerres, entre tribus, entre états voisins et nations sœurs ! Car on ne veut pas faire cesser les haines qui rapportent à certains. Et gros sur le cœur aux autres

    Je m’arrête. Vous connaissez tout ça. Mais vous ne voulez pas le reconnaître, ni le confesser ni cesser ce qui est pire de continuer à le faire. Car, vous le connaissez, mais à l’envers, à travers le prisme des différences. Dissemblances exacerbées et mises en vitesse supérieure, par les cultes étanches, l’histoire remaniée devenue dogme inébranlable et un culte de ralliement. La suprématie entretenue des identités, ça rapporte. Les cultures hermétiques et le cynisme des-apriori, avec leur moteur à échappement hypocrite, leur fuite des responsabilités, leurs défaussements, la haine, vont-elles cesser ? Les droits de l’homme, universellement chantés, la mondialisation…des mots cérémonieux, lancés avec acrimonie ! La politique étrangère est un mythe de couvent, un label de reconnaissance identitaire, la connivence d’un club, dans un congrès, une messe, dans une auberge espagnole, un refrain qui les identifie entre eux et en écarte les indésirables. Et un code qui congratule et réconforte les maîtres dans leurs hypocrites et bilatérales concurrences en les asseyant plus solidement aux commandes de leur solide et universelle suprématie. Colonisé, déraciné, comme des milliards d’êtres, j’ai parlé des puissances étrangères qui servent d’ombrelles, de parapluie et de parachute, de gendarme fortement intéressé ! « Ça l’air d’un farfadet et ça pense comme un arabe ! »

    COURBES ET TANGENTES

    PARABOLE 1

    A l’ombre des tangentes frêles, sur les courbes bombées qu’elles dessinent en dessous d’elles…Elles planent. Diaphanes comme une âme, sont les tremblantes ailes de ce miracle qui vient de naître ! Les quatre ailes d’une libellule qui voltige en fête et qui vient de se poser élégamment sur une belle tige verte, un massif de fleurs, qui jaillit de la rivière. De la nymphe, laide, un être véloce et fier, se libère !

    Sur les courbes repues et pleines du fruit, elle va oser fureter. Oser se poser et caresser ces fruits d’instinct. Car ils sont faits pour elle. Les sphères abondantes au beau galbe, halètent et respirent. Leur pulpe esquissée, tressaille prometteuse. C’est un doigt intrépide qui les jauge. Il se pose. Il se promène et se referme. Il sent les entrailles de sa découverte. Pourtant, la libellule est l’image même de la légèreté.

    Ses pattes, ses doigts sont fins, légers et agiles ! Dans son délire de découvertes enthousiastes, d’errances passionnelles et de libertés nouvelles, ses ailes et son torse frétillent dans tous les sens. Elle caresse les globes des splendeurs et sent l’enivrement, le détachement. L’ivresse du moment, un fantasme éclair. Le plaisir ! Dans le délire, la ligne ailée se replie et se referme sur le nectar béni. Du néant précédent au sinus timide et tiède, ému et craintif, l’ambroisie conquise, coule comme un paysage qui défile.

    Elle s’agite comme une âme sur son aura, source de vie, parfum exquis du corps. Le doigt se confond avec ce qu’il touche et bat la mesure. On entend comme de la musique qui se détache des sphères. Le papillon taquin, la libellule devient un tatouage permanent, là, à la place des soutiens.
    Confusion de l’objet et du désir, deux en un ! Sous la main tangente qui l’effleure, le globe entier tremble et s’émeut sous la flamme des doigts. Le papillon est une main en forme d’ange ou d’ailes. Il butine et s’abreuve d’extase et de plaisirs. Adorateur, esclave mu par ses plaisirs, ils le poussent aux grandes œuvres, consciemment ou d’instinct L’homme devient dieu en un clin d’œil. On peut l’entendre, et le reconnaître aux chants, aux plaintes essoufflées de son délire. Des mots qu’il trace comme des cœurs et des vers qu’il écrit sur la poitrine. Hédonisme ?

    VARIANCES DANS LE SEIN DES SAINTS

    PARABOLE 2

    Il s’agite dans un corps à corps, comme une âme lovée et lascive sur sa source de vie. Rien ne vient troubler cette espérance, entre la vocation et l’esprit, le satisfecit des désirs, le bonheur d’en jouir et le plaisir d’y être parfait. Se confondre dans le corps et d’en être l’objet, les doigts et la main, l’ombre de soi et la représentation de l’esprit, de deux personnes sur leurs cerveaux.

    Cette boule magique qui affole réconforte et assagit, est une porte, pour un instant dans l’infini. L’infini délirant et extatique qu’on retrouve en soi à travers l’entente d’autrui. Triomphe équitable, délire dans les cieux, le miracle de l’élévation est double. Et on aime le répéter et le reproduire, sans fin.
    Le globe, c’est la lune, un soir, sans nuages ni habits. C’est le spleen offert par Dieu à ceux qui le regardent et qui aiment s’en approcher.
    La main tient son bien et le relâche pour y revenir. En sueurs, le lait sourd dans l’esprit du bébé, la bouche est pleine mais il n’est jamais rassasié. Le bonheur est une drogue dont il ne peut se détacher. Et, c’est un crime de lui enlever cette porte vers l’absolu. Le vide, le départ ne peuvent remplacer l’être cher, ni celui de bonne compagnie. Il faut à chaque fenêtre sa clef pour l’absolu. Et c’est un délit quand on le prive, alors qu’il ne peut s’en passer.

    QUESTIONS EN QUÊTE DE RÉPONSES.

    A quel titre perpétuer ou interdire, les clefs faussaires dans des serrures pirates qui veulent s’essayer ? Le sens éthique, moral, religieux ou laïque ? Des freins, des balises, des limites saines ? Celui de la correction, des libertés, de la propriété, du respect d’autrui de la dignité partagée ? C’est quoi interdire ou empêcher ? ! Ne pas heurter le bon vouloir des gens et des individus !?

    La tendresse se livre en prières. Le but est d’oublier la raison et les doutes, devant l’instinct de prendre et le défi de se donner. La prière des doigts sur le torse, en respect, et sur les globes aussi, transcende l’espoir et la transe se prépare ici. Le corps tremble de vies, l’esprit, l’aura couvre la nudité. Élémentaire vêtement pour de donner intégralement au rite qui unit et réconforte. Et c’est l’Eden, le ciel …Donnez m’en sept, s’il vous plaît. Si haut, si loin, selon les dires des meilleurs cosmonautes. Ô tangentes laissez moi vous chevaucher. Me détacher des dômes de ton esplanade, aller du rocher nu, l’étrier sur Alboraq, guidé par l’ange Gabriel, sur le chemin astral de Mahomet.

    Sans quitter ce lieux, ni ces barreaux d’où je t’appelle, viens en ces jours de fêtes. Donne-moi ton trône, pour te faire ma reine, ma conquête malgré et les risques de tempêtes. ô Liberté ! Liberté, c’est à toi que je fais ma cour et que je voue mes prières.

    TALISMAN ET AMULETTE :

    Refrain contre le dédain. ô tangentes affolantes, retournez effleurer les tours. Retournez vivre dans vos rêves. Répandez mes doigts sur ces lieux d’amour. Supprimez les gardes, ôtez les chaînes, enlevez les barreaux. L’amour que tu répands sur ces lieux, comble mes oublis et répare ma mémoire et mes trous. ô tangente reviens, tour à tour, de nuit et de jour, si le soleil brûle le ciel, il éparpille les nuages et luit. Et je te ressens et te vois.
    Et, dans cette bombe de chair, où explose ma mine, laisse-moi, l’heur du retour, laisse-moi me jeter dans l’ombre de ton puits. Enlève la clef ! Enlève les aiguilles du réveil…Palper les rides avec délices, pour m’y agripper, avant de plonger dans tes eaux avec volupté. Arrête ô Temps, souffle, respire et sent ! Dans le sanctuaire humide de mes prières de paix, planent les essences sacrées de nos amours ondoyantes, les parfums pénétrants et les arômes de nos intarissables printemps.

    Parjure, jure, ment et meurt sans crier ! Dans le ciment des chairs, à jamais gravées, les liens s’illuminent et les chaines complices s’en vont. Elles se perdent pour exister. Elles errent sur les chemins des sens, pour combler les absences et repêcher les oublis.

    LE SOLEIL EST AU ZENITH DES HORREURS

    Ramadan en été est doublement une épreuve. S’il assèche le corps, il multiplie les envies. La foi, n’en parlons pas, il lui faut une divine échographie. La silhouette sue, l’ombre est celle du chapeau, seuls les pieds dépassent, quand tu avances tes pas. J’ai coupé les larmes au couteau pour faire ta peinture. Et j’ai une lettre entre les dents que j’écrirais sur ton portait. Palimpseste où se confondent sueurs et baves ! Je mordrais la toile pour que rentrent mes mots dans ton esprit et que ton portrait, griffé de mes doigts, les entende enfin. L’option vertu ne peut éliminer les manques ni les soucis ! Le tas de morales est une pression, une peine, qui névrose et culpabilise. Les lois sont faites d’éthique, une bannière élastique qui s’effile pour les plus puissants, qui els font pour actionner les autres et les inhiber.

    LE DÉLIRE DES CLOPORTES

    Mon métier comme un rempart, un masque, un frein des barreaux, me prive et paralyse ma vie particulière. Il me pousse à faire de la déontologie, une éthique corsetée, une morale corsetée, là où je ne dois être qu’un mâle commun la vie ne s’arrête pas aux choses intimes, le sexe vous avez compris. Elle est celle des ailes et du vent, les délires de l’esprit les libertés du corps, seul soleil qui éclaire au firmament
    Une goutte ignore le tuyau d’où elle vient et s’évapore en tombant sur le sable. L’homme depuis sa conception est fait d’une multitude de gouttes. L’ombre du jasmin palpite sur le sol sans donner de parfum à la terre qui la nourrit. Le bruit dans les airs ne laisse pas de traces d’ailes. Ce ne sont que des anges et non les fumées des réacteurs ?

    Je doute des mes libertés factices, de mes sentiments, de mes sensations, de mes perceptions et de ma vue. Et peut-être des mots erronés que je sors pour réfléchir et à défaut pour m’en amuser.

    Les douleurs, seules libertés de se plaindre, de se peindre et de se pleurer. De prendre et de comprendre de ce qui est en dehors de la tête et qui la fait tourner. Ce qui nous fait prendre autrui, pour des dieux, ou qui nous fait pleurer.

    A FATTOUMATOU TRAORE DU MALI

    PROMENADE GÉOGRAPHIQUE

    Que reste-t-il de l’ombre de la ruche des os et des cendres ? Que reste-t-il des clartés des chants des cris et des pleurs ? Que reste-t-il des plaideurs, des critiques, des râles du vagin des vierges, que les soldatesque islamiste viole et engrosse ! Un bambin que ne trouvera nul pays comme sanctuaire. Nulle affection pour le protéger, nul maître pour l’éduquer ou lui donner une chance, face à l’humiliation de sa mère et des Maliens !
    De l’insolence vengeresse de ces milices barbares, qui desservent leur cause islamiste au Mali et donnent raison aux invasions punitives coloniales…Aux délires d’orgueil de ces milices révolutionnaires ! Que regrets en Syrie où le maître Léonin n’a aucune pitié pour les siens ni intelligence pour évoluer et leur préfère son trône sur les ruines de son pays ! Un règne sur les abattoirs et sur les cimetières ! ô funeste pays de ma civilisation chérie !
    Non loin de là Kerry tente de raisonner Israël. Il sait qu’Israël prend et ne donne rien par atavisme, et que par égoïsme identitaire et peur cultivée, la victime dupe et trahit. Mais qu’est-ce qui empêche Israël de vivre en sécurité ? De sortir de son sectarisme et de sa mythologie ? Après avoir démontré son savoir et ses avoirs, sa force de persuasion et sa sagacité, ses capacités propres et la suprématie de ses protecteurs inconditionnels ! Qui évoluera verra !

    LES GUERRES, LA VIE, BOF !

    Où va l’amour quand les amants partent ou va son plaisir quand la cigogne descend du ciel ou sont ces images des nuages qui s’effilochent où partent les traces et son des avions à réactions. Personne ne s’intéresse ça car ça ne rapporte rien, mais il fallait se poser la question pour toucher la futilité du doigt et regarder la vie, aussi longue soit-elle comme une image qui fuit dès qu’on commence à la regarder. Sans lendemain pour beaucoup, un intervalle sur terre avant de renaître pour ceux qui espèrent que leur âme repoussera sur leur corps leur reviendra de là où elle se case pour les ressusciter un jour.
    Curieux comme concept, il est quasiment binaire. Entre le néant et l’éternité, j’opte pour la seconde possibilité. La réincarnation est une réquisition, un besoin. Mais pas trop de sanctions, SVP ! Se rappellera-t-on des choses banales et des futilités? Surtout après un triste et profond Alzheimer ! Cette maladie des vieux, en particulier, qui nous perdre toute mémoire et toutes nos capacités au point de nous déchoir, d’annihiler notre personnalité. La conscience se perd et de là, tout sens de la vie et toute responsabilité. Peut être bien puisqu’on sera jugé et audité. J’ai bien peur de montrer demain ce que je tais aujourd’hui ou ce que j’ai carrément et innocemment, oublié, aujourd’hui !

    Entre temps, ici et là, des millions d’êtres zélés, pour qui la vie est donnée, comme à nous, cherchent leur pitance, d’instinct, entre ciel et terre. L’instinct est cette mécanique du comportement, héritée des ancêtres qui fait de nous des vivants ! Des conduites caractéristiques de l’espèce, qui rend les choses vitales automatiques, abstraction faite de la volonté de l’animal en question. Peu reconnaissent en eux l’origine de leurs chimies et mouvements de vie. En fait qui fait de nous des esclaves, obligés, vitalement dépendants, d’un cheminement planifié, génétiquement conditionnés, au destin inévitablement prescrit.
    Actes prédestinés, écrits, non volontaire : on ne pas être plus déterminé que ça ! Une grande part dans le destin est prescrite dans ces instincts et autres activités involontaires qui nous permettent de vivre, myopes sur nos actions internes, physiologiques. Si on ne s’occupe que partiellement de la respiration, les autres phénomènes, la digestion et l’assimilation par exemple, on n’y est pour rien, l’alchimie des sens, le transport des influx neveux, qui nous dirigent, les hormones, notre pensée, notre mémoire, ça laisse rêveurs…

    VALSE QUANTIQUE : LES PETITS GRAINS DE LIBERTÉ

    Chaque atome, chaque électron, dans son cycle ionique, leurs charges électriques, leurs composantes quantiques, chaque molécule ingérée, chaque gène est porteur d’un miracle, d’une mission, dont il ignore le but, le contenu et sa destinée. Ces microparticules ne savent rien des propriétés qu’elles sont capable de faire. Rien a priori des cycles et des recombinaisons, des réactions potentielles et des recompositions qui furent à leur origine et qui conditionnent leurs propriétés physico-chimiques, et électromagnétiques. Rien comme approches de leur futur et des réactions qui les incluront dans d’autres schémas chimiques ou aspects physiques. Pour former tel minerai, tel végétal, tel être animal avant de se fondre dans la nature, l’univers ou de disparaître.
    Ces éléments imperceptibles, découverts par les sciences nous composent et nous défient. Indicible inconstance, sublime silence de ce foisonnement de vies. Nous sommes faits de milliards de milliards et de milliards encore de corpuscules et d’atomes étrangers. Ils nous composent et nous recomposent, nous les ignorons comme ils nous méconnaissent. Et c’est pourtant de nous qu’il s’agit. Nous somme un être, un organisme fait de constellations d’organites, en éternelle mutation, que nous ne savons pas dominer.

    Nos hôtes font leur boulot, ils s’activent et se composent et réagissent, nous appelons ça la  »vie ». Et nous oublions le miracle que chacun d’entre nous représente. Pire quelle certitude, quelle place occupent en nous cet esprit et cette âme que nous pensons avoir ou être ? Combinaison triple et muette, tenue au secret, le complot du silence: c’est de nous qu’il s’agit. Ces entités qu’on espère ou qu’on pense être, prospèrent en nous. Alors que nous ne pouvons ni les sentir ou les voir et encore moins les toucher ! Et c’est de nous qu’il s’agit.
    Nous assistons, étrangers à nos propres changements, de la fécondation à la mort, sans savoir consciemment d’où nous venons et vers où nous allons transiter. Entre de risibles libertés et d’énormes freins, qui nous asservissent au biotope terrestre, nos connaissances, si admirables déjà sont si élémentaires devant les champs immenses de notre ignorance. Des étendues que nous ne pouvons guère investir et vers où nous ne pouvons accéder.

    Entre les libertés et la démocratie, variables entre les personnes et les pays, les hasards et les influences, notre autonomie, nos initiatives, nos actes et leurs limites, que de conflits, d’imperfections, d’inexactitude et d’intolérances ! Nous sommes déjà en conflit avec nous-mêmes, soi-même, notre corps composite. Mais, avec les autres, c’est pire. Que ce soit nos proies, alimentaires, pauvres bêtes et monstres que nous sommes, qu’avec nos adversaires ou nos pires ennemis ! Et ce n’est pas gai.

    CRIMES ET LIBERTES

    Nous sommes des prédateurs, des cannibales ! Et je vous fais grâce, je ne parlerais pas des homophiles, les gays, ni des lesbiennes et de leurs subtiles amoures pour leurs semblables. Ce n’est pas un déni de leur droit d’être libres de cette promiscuité et de pouvoir, librement, la montrer, sans honte de la société. Ça dépasse et ça me déconcerte aussi. Je parlerais de leur volonté logique d’être publiquement reconnus et sans cachette hypocrite. J’ouvre seulement une parenthèse sur les enfants qu’ils veulent adopter. Elever dans une famille, normale, et dans quel sens les  » former  » et les éduquer.

    Les pédophiles, immensément odieux et abjects sont des horreurs aussi horribles que les crimes d’inceste. Et puisqu’on en parle de pédophilie. .Je fais allusion aux drames commis par l’espions exfiltré d’Irak, David Galvan, sur 11 jeunes enfants de Kénitra. Affaire quasiment couvée, qui a réveillé le peuple de sa léthargie sur la honte et l’injustice qui allait être commise. La méprise organisée et l’humiliation subies à la suite de la grâce royale arrachée par l’abus de confiance dont a bénéficié le criminel. Puis à la souveraine remise en question de tout l’establishment qui a fait ré-emprisonner dans son pays intercesseur et d’adoption, l’Espagne. On en reparlera…

    En parler, j’en ai assez, comme de la loi du talion. Celle qui consiste à faire payer les coupables et à les sanctionner, à hauteur des mêmes crimes qu’ils ont commis. L’injustice est comme le mal et les douleurs. Les peurs augment les souffrances et les souffrances font écrire ou crier. Les gens qui manifestent leurs souffrances devant les médecins, les juges ou les émirs, se doivent d’être écoutés. C’est un devoir de l’homme, du Responsable que de répondre à leurs prières. La joie du médecin est de découvrir le mal et de l’atterrer, le plaisir de guérir est immense, il est égal à celui du juge et du professeur quand ses élèves ont tous réussi. Que dire des rois quand ils écoutent les leurs et de Dieu, quand il répond aux humains avec faveur !

    Le problème n’est pas de partir à jamais ! Car, où sont passés les autres, en laissant les souffrances et les faiblesses s’anéantir. Le problème, c’est celui de perdre ce qu’on va laisser. C’est aussi pour les autres de perdre celui ou celle qui a trépassé. Et l’orgueil, la fierté d’être soi-même, la passion de vivre libre, ensemble, avec la dignité, c’est ce qu’on enlève justement ceux qu’on a mortellement blessés. Et c’est peut-être que la mort, alors on voit des martyrs, des suicidés, des soldats tués et des gens qui vont s’exploser, en emmenant les autres, des victimes innocentes, à la suite d’un dépit, d’une sombre idée ! Qu’ont-ils fait de mortel pour une si tragique destinée ? Le hasard du chemin; vers la mosquée, l’école, l’armée ou le marché ?

    Anonyme
    Invité

    Bonjour,
    Si c possible de m’indiquer des références pouvant m’etre utile pour mieux connaître l’histoire de la tribu tsoul notamment les idrissides.
    En fait, mon père est d’origine touli, de ahl zaouiya. Je n’y étais jamais mais d’après ce que me raconte ma famille paternelle, on est des chorfas adarissa et un de mes oncles à déjà changé son nom de famille grâce à l’arbre généalogique qu’on possède , d’ailleurs, on atous cette carte de nassab établi par naqib chorfas lhmidi idrissi.
    Or d’après mes lectures, je vois que les tsouls sont dorigine zenetes berbères. Je veux juste savoir ma vrai identité et si je suis mi arabe mi berbère , ou si on était arabiser. En fait g lu qlq part, que les berbères de tsoul, awraba et autres ont été exterminé et le peu survivant se sont installés à l’Andalousie et puis christianisé.
    Si qlqun connaît bien ahl zaouiya ou dwar ghilane à bni frasn quil me réponde et me donne des pistes de recherche.
    Merci d’avance
    [GVideo][/GVideo]@Boukhwali wrote:

    Bonjour c hers amis!
    Je suis nouveau sur le site et je m interesse aux Idrissides.
    Le Rawd Alqirtas apparait de prime abord comme une bonne reference au sujet de l histoire des Idrissides.Mais Ibn Khaldoun en donne un deroulement plus naturel et moins embelli.
    De toute facon deja avec le titre d Imam les Idrissides se rattachent a l Islam shiite zaidite identique a celui du Yemen.
    Le Shiisme zaydite ne croit pas a l Imam cache,mais se contente d oeuvrer avec un Imam( descendant d Ali et de Fatima) pour faire regner la justice.

    le cas d Idriss est historiquement connu mais son histoire a ete embellie pour faire la publicite aux ahl Albayt,car ceux qui ecrivaient l histoire faisaient l eloge d un Islam triomphant chez les Amazighes.

    La vengence des Awraba est visible dans le cas de l emergence d Al-Adarissa en tant que Pouvoir politique affranchi de Baghdad.

    Koseyla,le grand nationaliste amazighe etait le Chef des Awraba et s etait oppose avec toutes ses energies contre les armees omeyyades qu il a reussi a defaire par deux fois.
    Mais finalement les armees omeyyades finirent par prevaloir sur le terrain tout en y laissant beaucoup de pertes.
    A l epoque de la conquete d Afrique du Nord par les Omeyyades le Khaliphe omeyyade n avait pas autorise l Islamisation des peuples conquis.
    Il a fallu attendre l an 100 de l Hegire pour que Omar Ben Abdelaziz autorisat les peuples conquis a se convertir..Donc les armees omeyyades n avaient pas pour MOTIF ou MOBILE la propagation de l Islam l Islam mais un autre but etrange a toute justification theologique :elles cherchaient le pillage ,le butin et al ghanaim( al anfal).

    Les Awraba qui occupaient le Maroc oriental et le sud du Tell algerien etaient obliges de renter en coin dans le MAGHREB via la TROUEE DE TAZA (IL faut entendre le MAGHREB geographique designee par Rawd alqirtas et Ibn Khaldoun comme etant la Mauretanie Tingitane s.l et non le pays des Barghwata( Vallee Bouregreg _ Vallee de la Tensift c esta dire plaine atlantique de Tamesna).Il y a une confusion entre Maghreb des auteurs medievaux et le Maghreb actuel .Les medievaux designaient le triangle Volubulis,Sala et Tingis comme etant le Maghreb .Le petit Imamat d Idriss etait l equivalent d une grande province reunissant Fes et Volubulis ni plus ni moins………..le reste etait une Terre amazighe avec des populations juives ,chretiennes ou majus qu il fallait conquerir et reconquerir pour assurer le fonctionnement de l Etat……..
    la conquete arabe par l est a COMPRESSE les tribus amazighes a travers le COULOIR DE TAZA et de le rendre ZENETE……..alors qu auparavant ce tait un couloir BARANES( dans la terminologie d Ibn Khaldoun: Awraba/Ghyata est une tribu Branes alors que Tsoul ,Meghrawa et banu Yefran etaient des Meknassa ZENETES).

    Les Awraba ont cree une dynastie imamite a Volubulis puis Fes pour servir leur propres interets dans le triangle Volubulis ,sala Colonia et Tingis: les Idrissides ont pille d apres Ibn Khaldoun Sala ,Lixus et autres localites limitrophes a leur territoire: l objectif etant le pillage….

    Mais on oublie l oncle paternel d Idriss qui etait aussi Imam a Tlemcen et qu Ibn Khaldoun signale comme etant un Idrisside avant qu il se soumetteaux Awraba.
    On peut dire sans se tromper que l entreprise politique des Awraba etait de se servir d un Fuyard arabe de ahl Albayt pour se vanger de Baghdad et echapper a la taxation que menait le Gouverneur de Kairouan au nom de Baghdad.

    Apres Idriss II les gueguerres rapportees par ibn Khaldoun ont fait de ces Imams de veritables guerriers a la recherche de la rapine et de l epanchement du sang au point qu un de ces Imams Idrisside avait un surnom de HAJJAM c est a dire le SANGUINAIRE.

    Les Maghrawa,Tsoul et benou Yefren vont venir a bout des Idrissides et certains auteurs parlent de leur extermination sauf la branche qui a pris la fuite en Andalousie pour creer un des royaumes de Taifa…….et qui a fini par etre christianisee.

    L histoire des Idrissides etait terminee si Youssef ibn Tachfine pour des considerations politiques( afin de rallier les Awraba car les Barghwata lui avaient resiste avec succes)n eut pas CONSTRUIT la TOMBE presumee d Idriss II et rehabilite la sacrosaintete des fuyards moyen orientaux………….Alors qu Idriss II d apres certaines sources etait enterre a Volubulis……….le premier culte des Saints ,par paradoxe etait initie par l Almoravide qui se prenait pour un puritain.
    A mon avis le seul lieu ou la genealogie des Idrissides est conservee est au sein de la Tribu d Awraba et nulle part ailleurs.
    Depuis La Dynastie des Saadiens( autre dynstie shiite zaydite du Maroc)
    les fausses genealogies ont commence a faire le jour pour creer une couche de population qui repugne de travailler et de gagner sa vie en vivant en parasitage sur les autres tribus( schour et zakate)…………….
    Je ne pense pas a titre personnel que Idriss a laisse autant de descendance que l on recense actuellement au Maroc.
    Mes references bibliographiques
    rawd alqirtas
    Ibn KHaldoun: kitab al ibar………..

    @berkane wrote:

    Le pêché originel !

    Voici un passage du fameux livre « Roudh El-Kirtas » qui relate l’Histoire du Maroc :

    « …Idriss (II), ayant reçu la soumission de tous les habitants du Maghreb, régularisa et étendit sa domination, augmenta le nombre de ses officiers et agrandit ses armées.
    On accourait vers lui de tous pays et de tous côtés.
    Il employa le reste de l’année de sa proclamation, 188 (Hegire), à distribuer des biens, à faire des présents aux nouveaux venus et à s’attacher les grands et les cheikhs.

    En 189 (804 JC), une foule d’Arabes des pays d’Ifrikya et d’Andalousie arrivèrent chez Idriss, ainsi que cinq cents cavaliers environ des tribus d’Akhysia, El-Houzd, Medehadj, Beni Yahtob, Seddafy et autres.

    L’imam les accueillit avec joie, les éleva aux honneurs et les initia aux affaires de son gouvernement, à l’exclusion des Berbères, auxquels il les préférait à cause de l’idiome arabe que ces derniers ne savaient pas… »

    Visblement le phénomène ne date pas d’aujourd’hui : quand on est dans le besoin, tout le monde est frère, tout le monde est musulman. Mais dès qu’on a le pouvoir, les réflexes ethniques arabes reprennent le dessus !

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