Résultats de la recherche sur 'pas mal'
-
Résultats de la recherche
-
Sujet: Ait Joudi quitte le MCO
Une nouvelle qui reste à confirmer : Ait DJOUDI ne revient pas au MCO. Il aurait signé avec le club d’El Kouba d’Alger, malgré son contrat signé avec le MCO et malgré son démenti d’il y a quelques jours!!! Il n’a pas encore pris la peine d’informer le club ni de motiver sa décision . Et dire qu’on parle d’un entraîneur professionnel!!!!
Source :forum du http://www.mouloudiaoujda.com
il parait aussi que les deux meilleures joueurs de l MCO Bachiri et Labhij ont quitter la mouloudia en destination de la romanie
une vrai trahision de ce AIt joudi , mais c’est un algérien , il peut le faire
CES QUATRE QUESTIONS VOUS DIRONT SI VOUS CONNAISSEZ ASSEZ BIEN LES CHIENS :
1) LE CHIEN HALETE PARCE QUE:
a) IL EST ESSOUFFLE
b)L’AFFLUX D’AIR LE RAFFRAICHIT2) LE CHIEN ENTEND:
a) DE LA MEME FACON QUE L’HOMME
b) PRES DE 10 FOIS MIEUX3) LE SEUL CHIEN QUI N’ABOIE PAS EST:
a) ALASKAN MALAMUTE
b) BASENJI4)LE CHIEN VIT EN MOYENNE:
a) DE 12 A 15 ANS
b) DE 25 A 30 ANSDANS TOUTES LES FABLES DU MONDE, LE RENARD JOUE LE ROLE DU PERSONNAGE SANS SCRUPULES , INTELLIGENT ET RETORS (plein de ruses) .QUANTITES D’ANECDOTES SOI-DISANT VERIDIQUES CIRCULENT SUR SON COMPTE:IL SERAIT MALIN AU POINT DE TRAVERSER LES COURS D’EAU AFIN DE FAIRE PERDRE SA PISTE LORS DES CHASSES A COURRE (avec les chiens courants et à cheval) ON AFFIRME AUSSI, QUE S’IL LUI ARRIVE DE SE LAISSER PRENDRE ,IL POUSSE LA RUSE JUSQU’A FAIRE LE MORT QUITTE A S’ESQUIVER DILIGEMMENT(en vitesse) DES QU’ON NE FAIT PLUS ATTENTION A LUI.
LE FAIT EST QUE LE RENARD , AVEC SON MUSEAU FIN ET SES GRANDS YEUX OBLIQUES ET RAPPROCHES , PERSONNIFIE ASSEZ BIEN L’INTELLIGENCE ET LA FOURBERIE (tromperie).POURTANT , IL N’EST PAS PLUS FUTE QUE LE CHIEN OU LE LOUP.EVIDEMMENT, S’IL VIT EN UN LIEU OU IL EST TRAQUE PAR LES CHASSEURS , IL APPREND A LA LONGUE A DEJOUER LES PIEGES .MAIS CECI EST DU EN GRANDE PARTIE A L’ACUITE DE SA VUE ET DE SON OUIE.
FIN DE LA 1ere PARTIEDIS MOI COMMENT TU TE RELEVES DE TES CHUTES ET JE TE DIRAI QUI TU ES !
1) DANS LA COUR, TU GLISSES SUR UNE PEAU DE BANANE.TES COPAINS RIGOLENT:
A) tu profites de l’occasion pour faire le singe.
B)tu injures celui qui a jeté cette peau de banane.
C) tu pleures.2)TON PROF TE FAIT VENIR AU TABLEAU.TU TE PRENDS LES JAMBES DANS UN CARTABLE ET TOMBE:
A) tu fais semblant d’avoir mal pour que le prof ne t’interroge pas.
B) tu es rouge de honte.
C) tu éclates de rire.3) DEPUIS UN MOIS TES RESULTATS SCOLAIRES CHUTENT:
A) tu te plains du prof :il te note très sévèrement.
B) tu demandes des exercices scolaires à tes parents.
C) tu as peur de redoubler.4)TU FAIS POUR LA 1ere FOIS DU SKI.TU N’ARRETE PAS DE TOMBER:
A) tu t’accroches , en te jurant que tu y arriveras.
B) énervé, tu hurles que c’est un sport nul.
C) tu abondonnes, et tu optes pour un sport moins risqué.5) TU JOUES AVEC TON AMI ET IL TE FAIT UNE PRISE DE JUDO:
A) tu lui demandes de t’apprendre cette prise.
B) un peu vexé, tu essaies à ton tour de le faire tomber.
C) tu lui dit qu’il est violent et tu t’arrête de jouer avec lui.6) EN SAUTANT DU PLONGEOIR DE 5 METRES TU FAIS UN « PLAT »:
A) tu choisis désormais un plongeoir moins haut.
B) tu recommences aussitôt en essayant de faire mieux.
C) tu jettes un regard aux alentours pour voir si on ne se moque pas de toi .7) LE PIRE POUR TOI:
A) tomber dans une bouse de vache, devant tes amis.
B) faire du ski sur une piste noire.
C)se faire une entorse et être privé de sport pendant un mois.
TU REPONDS AUX QUSTIONS EN CHOISISSANT A B OU C.APRES TU FAIS LE COMPTE DE CHAQUE LETTRE POUR SAVOIR QUELLE EST TA CATEGORIE QUI DOMINESujet: L’ASSUREUR EXIGEANT
Monsieur l’assureur,
Je vous écris en réponse à la demande d’informations complémentaire concernant mon accident de travail du 8 novembre dernier. J’ai précisé : « manque de chance » dans la case réservée aux « causes du sinistre » et vous me demandez des précisions.
Je suis couvreur de formation. Le jour de l’accident, je travaillais seul sur le toit d’un immeuble de 6 étages. Une fois le travail terminé, cet après-midi là, j’ai constaté qu’il restait environ 280 tuiles, ce qui représente un poids de près de 120kg. Plutôt que de descendre à la main, j’ai décidé de les placer dans un monte-charge manuel qui fonctionnait grâce à une poulie fixée au 6ème étage.
J’ai donc chargé les tuiles dans la caisse du monte-charge sur le toit et suis redescendu au bas de l’immeuble pour procéder à la descente du chargement. Je tenais fermement la corde pour assurer la sécurité de cette manoeuvre. Comme vous le noterez dans mon fichier médical ci-joint, mon poids est actuellement de 68 kg. Dès que le monte-charge s’est retrouvé suspendu en l’air, j’ai été irrésistiblement attiré vers le haut et, je le reconnais, n’ais pas eu la présence d’esprit de lâcher la corde. J’ai donc progressé à grande vitesse vers le haut de l’immeuble et, au niveau du 3ème étage, j’ai rencontré le monte-charge qui, lui, progressait à la même vitesse en sens inverse. Cela explique la fracture du crâne que je vous ai mentionnée dans mon courrier précédent.
Mon ascension s’est toutefois ralentie au niveau du 6ème étage et s’est arrêtée lorsque mon index et mon majeur se sont retrouvés coincés dans la poulie. Cela détaille les nombreuses fractures de ma main droite que j’avais mentionnées. Suspendu en l’air et malgré la douleur intense, je n’ai pas lâché prise. Mais au même moment, le monte-charge percuta le sol à vive allure, ce qui brisa net le fond de la caisse. Toutes les briques éclatèrent et se répandirent sur le sol.
Le monte-charge endommagé pesait à présent environ 20 kg, si bien que, comme je tenais toujours fermement la corde, j’ai commencé une rapide descente vers le bas. Au niveau du troisième étage, comme vous l’imaginez, j’ai rencontré le monte-charge à très grande vitesse, ce qui explique les quatre dents cassées et les deux côtes enfoncées que je vous ai reportées précédemment. Cette percussion du monte-charge a toutefois ralenti quelque peu ma descente, si bien que mon atterrissage sur le tas de tuiles brisées ne m’a causée qu’une simple fracture du genou.
Le fait que je ne mentionne nulle part dans ce rapport la cause exacte de l’enfoncement de la cage thoracique, que j’ai pourtant déclaré dans ma lettre précédente, ne vous aura sans doute pas échappé. J’ai en effet le regret de vous informer que me retrouvant ainsi étendu sur un tas de tuiles brisées avec de multiples fractures, je n’ai pas eu la présence d’esprit de tenir la corde quelques secondes de plus. J’étais dans l’incapacité totale de bouger lorsque le monte-charge de 20 kg a entamé sa rapide descente…
Très cordialement.