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Sujet: Taoufik Amri
Alla8 yara7mo
Le corps de Taoufik El-Amri retrouvé dans un canal, trois policiers en garde à vue
le corps de Taoufik El-Amri, disparu à Nantes le 22 novembre après un contrôle de police, a été identifié, mardi soir 12 décembre, comme étant celui retrouvé, en milieu d’après-midi, dans un canal du centre-ville de Nantes. Le corps de Taoufik El-Amri a été repêché peu avant 16 heures en aval du canal Saint-Félix, non loin du lieu où un témoin a découvert le portefeuille du disparu avant de le remettre aux policiers, le 10 décembre, déclenchant les recherches.L’ouvrier tunisien de 33 ans avait été vu pour la dernière fois après son contrôle sur le cours des Cinquante-Otages, non loin de l’embouchure du canal, en amont.
Selon l’autopsie, Taoufik El-Amri « est mort par noyade et aucune trace traumatique n’a été trouvée sur son corps », a affirmé une source policière qui précise que le portable de ce père de famille a été retrouvé sur lui, ce qui a facilité son identification.
« CONTRADICTIONS IMPORTANTES » DANS LES DECLARATIONS DES POLICIERS
Me Gilbert Collard, défenseur de la femme du disparu, avait expliqué, mardi après la découverte du corps, que sa « cliente se prépare au pire, pour elle, c’est sûr » : le corps est celui de son époux. Il avait précisé avoir déposé une plainte pour « disparition suspecte » au tribunal de Nantes, afin de pouvoir accéder au dossier.
Parallèlement à l’information judiciaire ouverte à Nantes pour « disparition inquiétante », le procureur de la République Stéphan Autin a demandé, mardi matin, une enquête à l’inspection générale de la police nationale (IGPN, police des polices) sur les trois policiers qui avaient procédé au contrôle de Taoufik El-Amri du fait des « contradictions importantes » entre leurs déclarations et celles des témoins.
Les trois fonctionnaires ont été placés en garde à vue, mardi, pour s’expliquer « sur les variations dans leurs témoignages quant aux lieux où ils ont procédé au contrôle de M. Amri et où ils disent l’avoir relâché », selon une source policière. Ils ont également été confrontés aux deux collègues de Taoufik El-Amri, qui l’accompagnaient au moment de son interpellation.
Un responsable régional du syndicat Synergie a indiqué que la garde à vue était une procédure « classique » après l’ouverture d’une enquête de l’IGPN.
Taoufik El-Amri avait été interpellé pour un contrôle d’identité alors qu’il déambulait en état d’ébriété avec deux collègues de travail le 22 novembre, peu après minuit. Libéré peu de temps après, il avait ensuite disparu.
L’enquête a confirmé la version des policiers sur les horaires de l’arrestation, entre 0 h 10 et 0 h 15, peu avant le retour de la patrouille au commissariat. Elle a, en revanche, révélé, selon le procureur, des contradictions sur trois points : les lieux où le contrôle a été effectué et où Taoufik El-Amri a été relâché, son degré d’ébriété et « la nature des opérations du contrôle » menées.
Des témoins ayant assisté à la sortie de Taoufik El-Amri du fourgon de police ont toutefois affirmé que ce dernier semblait normal. « Il n’y a pas sur ce point de déclarations indiquant qu’il aurait été maltraité », selon M. Autin. Il a réaffirmé n’avoir aucune information sur d’éventuels antécédents au sujet des trois policiers.
Les collègues de Taoufik El-Amri ont indiqué que l’interpellation s’était déroulée sans violence, la jugeant « normale » compte tenu de l’état d’ivresse de leur ami. Ils ont, en revanche, estimé que les policiers auraient dû « l’emmener directement au poste car il ne fallait pas le laisser dans la rue » en raison de son état. Une estimation contestée par les policiers, qui ont affirmé que Taoufik El-Amri n’était pas dans un état d’ivresse nécessitant de le conduire au poste.
Le ministre de l’intérieur, Nicolas Sarkozy, avait annoncé, vendredi, avoir demandé « un rapport à l’IGPN pour savoir ce qui s’est passé ». La France a été saisie d’une « demande d’information » par la Tunisie, dont est originaire Taoufik El-Amri, sur la disparition
Sujet: Je recherche…
Je suis à la recherche des membres vivants des familles QASSABA de Rabat, Oujda et Oran et JAHWARI de Rabat
Choukran
ZakiSujet: rencontres
salam aux oriantaux du maroc, je suis une femme de 30 ans, cultivée, bonne présentation, de bonne famille hamdoulillah, je recherche des rencontres interessantes pour discuter et + si affinités bien évidemment ça ne sera qu’une personne IoI voilà j’attend vos messages
Sujet: vive la liberte de reflechir
salut à tous de la part de Yeghmorrassen.
je voudrais chers amis si vous le voulez bien preciser certains point pour arriver ensemble à cerner notre sujet sur la descendance de IDRISS 1er.
democratiquement libre à chacun de remonter l arbre genealogique de sa famille et peu importe si celà represente un interet queconque pour lui ou non.mais alors deux problemes se pose à la personne qui entame une telle recherche :
1er probleme : le procédé suivi dans la recherche de ses ancetres . il va peut etre utiliser des livres d histoire , des actes de mariages de certains membres de sa famille voire de ses grands parents , des temoignages ecrits ou oraux rassemblés ici ou là et peut etre des chajarates ( du mot arbre) trouvés chez un parent , c est une peau de gazelle sur laquelle sont repartis des noms : x fils de y fils de ….jusqu au imam ali et sayyida fatima zohra fille de rassoul sidna Mohammad. Se pose alors le probleme de authenticité et du degré de vérité de ces sources ? avouez que celà n est du tout une chose faclle pour des documents personnels . la preuve le monde musulman est completement divisé sur lacceptation ou le refus de tel ou tel Hadith meme si celui ci se truve dans les livres de BOUKHARI , MOUSLIM et compagnie qui ne d ailleurs pas des arabes sauf peut etre AL BAYHAQUI. et à propos de boukhari il ne contient TENEZ VOUS BIEN qu un seul et unique hadith cité par Fatima fille du prophete qui ne l a jamais quitté et comporte plus 3700 hadith de abou hourayra qui n a embrassé l islam qu à KHAYBAR c est à dire 3 ans et 4 moi avant la mort du prophète. c est quand meme incroyable qu on ne dispose que d un seul ha dith de la fille du prophéte mais rassurez vous les arabes de qoraich et banou oummayya sont passés par là . quant au cousin et gendre du prophéte l imam Ali qui vécu avec le prophéte jour par jour on lui trouve 24 hadiths chez notre cher boukhari . POURQUOI alors lisez un peu et faites vos recherches . vous comprenez donc qu il est certainement tres difficile de se fier à des documents ecrits il ya seulement 3 ou 4 siecles pour décider qu on est ou pas descendant du prophéte . ceci est pour la descendance d IDRISS et pour les autres dsecendances. mais pour en avoir le coeur soumettons les documents cités plus haut par monsieur bouayad à des historiens confirmés au maroc ,et ailleurs puis organisons un clloque la dessus pour mesurer la qualité historique de ces documents . alors faisons celà par exemple à OUJDA puisqu on traite des chorfas de l oriental .mais je voius previens surtout pour les ames sensibles que la déception peut leur beaucoup de mal. à en croire tous les documents qui citent les chorfas je pense qu on doit atteindre facilement 2 ou 3 millions de chrifs au maroc
à rjouter au chrifs d algerie , de tunisie et de lybie puisqu on nous rapporte que des idrissides ont immigré vers la lybie , nous allons alors atteindre 5 ou 6 millions de chrifs au maghreb. ah j ai oublié les cherifs de la mauritanie , pardon!! . supposons que la tribu des aourabas qui avait accueilli moulay idriss etait constituée à elle seule de 1000 hommes sans compter les autres tributs avec des dizaines de milliers d hommes , combien serait le nombre de marocains aujourd hui 200 , 300 millions ???
2eme probleme: My Idriss a quand meme laissé une descendance donc suposons qu on trouve un vrai idrisside . en quoi serait il différent de ses freres AMAZIGHS? .serait il plus beau ou plus intelligent ou plus honnete ou plus pieux que ma grand mere berbere qui jeunait 6 jours sur 7 et qui refusait de faire du mal meme à une mouche et qui etait pleine de pitié pour ces pauvres betes ( chiens , chats , anes, chevaux ) qui sont tous les jours mal traitées par les descendants des banou hilal et banou salim que nous a si décrit le grand ibn Khadoun.? bref serait il d une maniere ou d une autre SUPERIEUR à nous autres?
je ne rentrerai pas dans la problematique de la definition des AHLOU AL BAYT. qui sont ils . la source la plus sure selon oum salama epouse du prophete dans le hadith du KISSAA( bernous du prophete) que ce sont ali, fatima, al hassan et al hussayn. et nous disposons queques textes concernants une dizainede petits fils de al hassan et al hussayn. le reste a subi la manipulation des ommeyyades des abbassides et les autres .
je dois vous dire que dans un livre sur les chorfas , l auteur a voulu integré la famille des al saoud dans la descendance du prophete et heureusement
qu un historien egyptien l a raisonné en liui rappelant l origine juive des al saoud , d ailleurs vous ne trouverez dans leur famille ni les prenoms de ali ou hussayn ou hassan mais vous truverez des prenoms du genre fahd, bandar, soltan etc… qui sont connus comme etant des prenoms juifs darabie. par contre chez nous les amazighs on ne trouve que lahcen( hassan) alhoucine, ali , brahim etc…
enfin j aouterai que je connais beaucoup de gens qui possedent la carte de chrif et qui sont medecins pharmaciens universitaires et meme dans le majliss al ilmi mais qui sont méchants et de vrais moutakabbirines .je prefere un alcoolique bon qu un chrif salopard.
ceci dit je suis democrate et je me donne le droit de refuser que ces salopards ne peuvent pas porter en eux une seule goutte ou meme une molecule de sang de My Idriiss que je respecte pour sa modestie et son amour des amazighs.
les soit disant chrif doivent combattre le monkar plutot que d etre complaisants ici et la.
salutSujet: الأدارسة في المغرب الشرقي
بسم الله الرحمـان الرحيم
Un grand bonjour à toi Dr. Bouayad, et Merci pour les efforts consentis pour nous éclairer, et comme chaque fois vous nous impressionné, et en se basant toujours sur des références. C’est une chance de vous avoir.
Un salut également à notre ami et voisin de Tlemcen, Mr. Bouayad, concernant le livre dont il est question, nous pouvons le procurer du Maroc, car je vais assister à une conférence là bas au mois de novembre, je peux l’ajouter dans ma liste de livres que j’ai l’intention de me les procurer. Ces livres concernent l’histoire des grandes familles (Ouled M’chich, etc.). Et ceci cher compatriote de Tlemcen peut constitué un thème de recherche et d’exposé à l’université tant le nom Bouayad et (Tabet par alliance) est porté par de nombreuses personnes à Tlemcen, Oujda, Sidi-Bel-Abbès, Oran etc…Ceci peut nous emmener même très loin vers des archives à Istambul, car sans doute, il existe la bas aussi des gens qui s’intéresse sur le sujet, et il y’a à Istambul une communauté francophone très instruite et qui peut aider à élaborer ce genre de thème.
Avec toutes mes amitiés et des plus sincères.
رمضان كريــــــــــم وكـــل عـــام ومغربنا العربـــــي الإسلامـــي بخيـــرو السلام عليكم و رحمة الله
Miloua Fodil (M’chichi)
Universiatire Sidi-Bel-Abbès.
Algérie. 😛