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Sujet: nokta
hada wahad bal3out mcha 3and bsiciatr ….bsiciatr galo malak…..galo albal3out ana fiya bazzaf atbal3it jit 3andak bach addawini …galo bsiciatr mnin tnoud sbah goul rani brit …rani brit…rani brit..qbal matftar…o safi 3tini 500 dh ….galo albal3out goul.. rani tkhalast…rani tkhalast..rani tkhalast wa hrab 😀
Sujet: Le Maroc énergétique
Le Maroc et ses besoins en électricité
Depuis 1956, le Maroc importe des radioéléments (éléments chimiques) pour les utiliser. Nous nous préparons a la fabrication de l’électricité à partir de la chaleur dégagée par la fission (désintégration) nucléaire. Mais aujourd’hui, nous sommes prêts à faire cette opération ici même chez nous.
Après une durée d’étude d’environ dix ans est aujourd’hui finalisée et le lieu est choisi, à Sidi Boulbra, entre Essaouira et Safi..
Le réacteur du centre de la Maâmora qui es utilisé pour la recherche lui, vient de démarrer ses travaux cette semaine. La première fission nucléaire vient d’avoir lieu. Ok
Des particules utilisées dans le secteur de la santé pour explorer le corps humain, guérir les cancers…Les radioéléments qui sont importés par le Maroc à un coût exorbitant vont désormais être fabriqués dans ce centre. On n’importera plus des radioéléments pour la santé, l’agriculture, l’industrie… Les radioéléments ont une durée de vie bien déterminée. Nous importons ceux qui ont une durée de vie d’une semaineQuand au site de Sidi Boulbra, il servira à installer des réacteurs de puissance pour fabriquer de l’électricité
La France à titre d’exemple produit 85 % de son électricité à partir de l’énergie nucléaire. Il existe 31 pays qui font de même. 20 % de l’électricité mondiale est produite grâce au nucléaire
Le Maroc n’a ni charbon ni pétrole, ni gaz. Nous importons 96 % de l’énergie de l’étranger à un coût élevé.
Pour mettre en œuvre ce projet, le Maroc attend un appui internationalDepuis 1960,il n’y avait qu’un seul ingénieur en génie atomique au Maroc. Jusqu’à la fin des années 70, on ignorait quelles étaient les compétences nationales dans ce domaine.
On n’est maintenant pas loin de 200 techniciens : universitaires, docteurs en physique nucléaire, en chimie nucléaire, ingénieurs en génie atomique formés à l’étranger. Cela peut paraître peu, mais on peu estimer que c’est suffisant pour lancer les premiers réacteurs.