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Sujet: wa7ed salamo alaykom
Slamao alaykom freres et soeurs , çavatoun? bekher
ben disant que je me rappelle plus comment je me ss retrouvée sur ce sitea vrai dire tt ce qui est en rapport avec Oujda m’inspire bcp ; je voudrais dire Tbarkellah 3likom w bonne continuation
un dernier truc –> twa7asht Oujda bzaf ga3yalah bonne journée
je vs propose de mettre une sous rubrique presentation, la où tout membre veut se présenteri il n a qu ‘ a y acceder 8)Sujet: Je recherche un bon Fkih
Salam wa âalikoum,
Voilà je recherche un bon Fkih sérieux et compétent….
Merci par avance
Sujet: citation de Ibn ‘Ata ‘Allah
salam alaïkoum
« Si tu hésites entre deux choses, choisis la plus déplaisante à ton âme passionnelle, et suis-là ; en effet ne lui déplaît que ce qui est juste. »
A méditer …
Sujet: les visions de la jamaa
Salam alaykoum mes frères et soeurs
dernièrement la jamaa « al adl wa al ihsan » s’est lancée dans un délire qui me rage …
je ne suis ni pour ni contre cette jamaa mais prendre les gens pour des cons ça je suis archi contre ….ils font des visions maintenant ? et puis quoi encore, demain il vont annoncer un prophet (astarfirou allah) ….?
arretez de délirer les gens ont besoins de vrai réponses, arretez de les prendre pour des imbéciles
comme quoi y’en a qui sont pret à vendre meme leur dignité pour la politique !
Sujet: salam aleikoum
Salut à tous,
Je suis nouvelle sur ce forum, je viens de découvrir ce site et comme je suis originaire de Oujda, je n’ai pu m’empecher de m’inscrire.
Voilà, j’espère que nous pourrons faire connaissance..
Salamou Alaykoum Frere,Soeur & bonne lecture – retiens tes larme en
cas…Il était 4 h du matin Lorsque la mort frappa à la porte. Qui est-ce?
S’écria l’homme hébété. Je suis Izraël (3azraël). Laisse-moi donc entrer! Alors l’homme se mit à trembler, Comme pris d’une fièvre ubite.
Il cria à sa femme endormie : Ne le laisse pas me prendre la vie !
S’il vous plaît, O Ange de la mort ! Laissez-moi, je ne suis pas
encore prêt. Ma famille vit à mes dépens, De grâce, ton acte suspend .Déjà l’ange de la mort se tenait au seuil de sa porte.
Ô mon ami, l’ordre d’Allah ne peut être différé, Prépare-toi, pourla tombe, C’est pour maintenant.
Je te couvrirai d’or, Mais épargne-moi la tombe sombre.
Pourquoi as-tu peur, ô homme, de mourir selon le voeu d’Allah ?
Viens,souris-moi et ne t’attriste point, Soit heureux de revenir
vers Lui.
Ô ange j’ai honte de moi, je n’avais pas le temps de penser à Allah, Du matin au soir, je faisais ma richesse sans pensée pour ce
moment. Aux ordres d’Allah, je n’ai point obéi, Tout comme jamais, cinq fois par jour, je n’ai prié. Les « Ramadhan » venaient, les « Ramadhan » passaient, Mais toujours sans mon repentir. Le Hajj fut déjà Faraz sur moi,
Mais de mon argent, je ne voulus point me départir.
La charité, j’ignorais, Mais l’usure et l’intérêt, je m’en accaparais.
Mes engagements, j’oubliais. L’administration, je craignais, De ma
foi,j’avais honte. Le blâme des mécréants m’effrayait. La détresse de mes frères m’ennuyait. Les artifices de ce monde m’attiraient. Les mécréants, j’imitais, Le champagne et le vin, j’appréciais. Les femmes m’attiraient.
Malheur sur moi! Ô ange, accorde-moi donc un sursis.J’ai peur, dit l’ange, que ce moment soit le dernier de ta vie. Ne sais-tu pas, qu’à la mort, goûtera chaque âme ? Tu as vécu dans ce
monde et tes parents tu as négligé, Tandis que le mendiant, affamé, tu repoussais. Tes filles chantent et dansent dans les boîtes de nuits. Tes fils se sont perdus avec des femmes sans vertu ni foi. Au lieu de procréer des musulmans, Tu as fait de tes enfants des mécréants. Riches, mais si pauvres ! L’appel du muezzin, tu ignorais, Tout comme le Coran t’est étranger. Tes promesses ne furent jamais tenues, Et ton arme favorite
était la calomnie. Tes employés, tu sous-payais, Et le fruit de leur travail, tu récoltais, Jamais partagé avec le pauvre ou l’orphelin. Les malades tu fuyais la compagnie.Ô ange de la mort, Je sais, j’ai honte Que n’ai-je reçu de ta part, Des signes, quelques avertissements, De cette mort si imminente ! Âme misérable, le Créateur y a pourvu.
Point donc ne L’insulte, Il est parfait. Mais à Ses signes tu restais sourd et aveugle. Tes cheveux blancs t’annonçaient le retour… Ta vue faiblissante
t’annonçait le retour… Ta force qui s’étiole t’annonçait le retour…
Ton échine recourbée t’annonçait le retour… Voilà de avertissements suffisants, Pour des gens qui réfléchissent ! Mais ta préoccupation se confinait à ce monde. Puisque le Coran tu as ignoré, Sache au moins alors, qu’il y était écrit Que ce monde n’est qu’un éclair devant l’éternité. Mais les
avertissements du Coran, tu as dédaigné!
Cesse de pleurnicher, O humain! Vers ton Créateur sera ton retour, Car ton âme je la prends maintenant. Le répit m’est interdit.Un cri de l’homme et sur le sol il s’affaissa. Son corps immobile, son visage éteint. Il semblait se reposer, du sommeil éternel. Son corps ne pouvait simplement plus exprimer La douleur alors toujours intense de l’âme qu’on arrache.
La vie, des fois, peut réserver des surprises, mais jamais la mort.
Car enfin, chacun sait bien, qu’il est né… pour un jour, mourir !