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Sujet: LES VEUVES ET LES TITANS
@ Si Naïm Kamal , comme suite à votre :
http://www.quid.ma/billet/les-veuves-de-benkirane/
Vous relatez et sembler ne pas accepter ceci :
« …Qu’il ne fallait pas juger son bilan de mi-mandat en rapport avec les
promesses électorales de son parti, mais sur la base du programme
gouvernemental, fruit de compromis avec les autres composantes de son
cabinet. »Parce que ça les mouille, les autres ? Injustement
! Ce que vous ne voudriez peut-être pas. Et que ce soit à Benky et au PJD, seuls,
de supporter toutes les critiques et les réprimandes, les actuelles, les moqueuses,
et les électorales de demain ! On est libre de le penser et d’exprimer des
regrets, vues les sorties, spontanées des uns et le silence des autres…Qui ont
appris à se lâcher du pantalon, du passeport, sur le tarmac Par de bons mots à
l’adresse des voisins stupides. Ou plus caricaturale et moins humiliante, à marcher
pour leur procession politiques, avec des ânes comme motards.Pensez-vous sincèrement qu’au sein de ce Gouvernement
de SM, (Première expérience post avenants constitutionnels, premiers heurts d’applications
des libertés concédées du post printemps), que Benky et les siens soient les seuls responsables et qu’ils décident
de tout ? Là, pour les responsabiliser totalement !Ou qu’ils écartent les autres partenaires et
ministres des décisions de l’exécutif ? Allons donc ! Ils sont comme ‘’L’couple’’
plusieurs à parler et à décider….Au fond, sur cette question des compromis, n’est-ce
pas vrai que le gouvernement de coalition doit passer par ces accommodements ? Et
que ce soit l’essence même de la bonne politique et du bon usage ? Compliance
plus démocratique, afin de ne pas être monolithique ni de casser les options
minoritaires du groupe, de par la pression majoritaire des partis uniques et
des chefferies autocratiques.D’autant que l’Istiqlal de Chabat n’a eu ni la
formule, ni la patience, encore moins l’occase intelligente d’obtenir du CDG
Benkirane le consensus que vous semblez décrier ! Pour preuve que la
défection, je n’ai pas dit autre chose, de Si Hamid n’a servie à rien.Et ce raté, du aux deux ténors et titans, a été
l’occasion pour le RNI de demander plus de ministres dans l’équipée et de portefeuilles
importants en opérant de bons paniers pour les siens, après des mois de suspens
négatifs pour le Maroc, on s’en souvient !Ce refus des compromis a fini de casser bien
des choses ! En deux le PI, par le chahut et la voie de Si Hamid. Pauvre Koutla
qui eût pu fédérer le PJD lui-même dans son sillage. Question de refreiner cette
multi répartition des marocains, une éclaboussure boursoufflée, en 40 sectes
éclatées. Comment les gérer sinon par le consensus ? Comment maîtriser
leurs composantes antinomiques ? En les laissant se surmultiplier, avec un
leader à la tête de chaque habitant ou de chaque khayma et maisonnée…In-ingérables
cacophonie !La politique, c’est l’art du consensus…Autrement
c’est l’usage de la force, du mépris, de l’arrogance, des gros mots, voire de
la guerre, des contraintes et des scissions.Ancien
président des parents d’élèves et de la Corpo des années 66, j’ai lu aussi
votre : « Enseignement : le consensus, poison
mortel de la réforme ». Et je comprends les difficultés de tout consensus
et de tous ces programmes versatiles et changeants par lesquels passera encore l’enseignement.
Qu’il soit univoque, nationaliste, rigoriste, avec ou sans variantes régionales
et/ou linguistiques, avec ses difficultés, ses utilités, son adaptation à la
demande, pour le progrès et l’évolution.Je vous dirais pour ma part, que pour l’homme, comme pour le pays, que ce
n’est guère facile d’être une nation déchirée, de l’intérieur comme de l’extérieur,
avec tous les retards et les absences de moyens, toutes les espérances, les
freins et les ambitions, toutes ces mouvances et ces ‘’parapluies’’ obligés, obligatoires
et obligataires, à notre chevet de schizophrènes.Vous avez dans votre maison un salon (marocain, -turc ou romain- et un salon
européen, n’est ce pas ? Un tas de livres, dans plusieurs langues…Et au lieu
de manger sur le tapis, comme à l’arabe ou la rurale, vous préférez plus de
hauteur pour ne pas clamper l’estomac. Et que nos tables sont rondes, avec des matelas
disposés en rectangle ou en carré.Merci d’avoir créé le Quid Kamal !
Dr Idrissi My Ahmed le 23 juillet 2014
ARCHIVES DU DR IDRISSI DE 1984
LE TEMPLE ŒCUMÉNIQUE DES RELIGIONS
Envoi de DR IDRISSI MY AHMED (29/06/2007)» …Le Maroc, pays de tolérance et de paix entre les religions, est le symbole actif de la cohabitation entre les descendant d’Abraham, acte de civilisation dont il a toujours donné lebel exemple … ». Mme Student.
POUR ÉDIFIER LE TEMPLE ŒCUMÉNIQUE DES RELIGIONS
En 1984 j’ai eu cette idée. Depuis des années, elle a été communiquée à plusieurs personnalités de mon pays. Lisez-la au moins une fois en tant que témoins privilégiées.
COPIE D’UN TEXTE PLACE BIEN APRES SUR LE NET
http://www.rezoweb.com/forum/sante/myastheniagravi/232.shtml
UNE PREMIERE :
POUR UNE UNIVERSITÉ ŒCUMÉNIQUE DES RELIGIONS AU MAROCENVOI DE DR IDRISSI MY AHMED LE 07 AVRIL 2002. LA, JE VOUS ADRESSE CE TEXTE CONTENANT CETTE IDÉE VIEILLE DE QUINZE ANS. COPIE D’ARCHIVES.
POUR UNE UNIVERSITE ŒCUMÉNIQUE DES RELIGIONS AU MAROC
« La guerre par, définition, est inhumaine. La guerre ne me suggère pas la moindre idée digne d’être exprimée. » Kafka
POUR UN TEMPLE DES RELIGIONS AU MAROC, DÉDIE A LA CAUSE D’ALQODS, AFIN QUE L’ISLAM NE SOIT PAS EXCLU DE JÉRUSALEM, ET QUE LA TOLÉRANCE, CONVICTION DE LA NATION MAROCAINE, MAGNIFIÉE A TRAVERS LES PEUPLES, PUISSE DESSERVIR LA CAUSE DE LA PAIX ET LE DÉVELOPPEMENT DES PAYS DE LA RÉGION.
Chers lecteurs,
Sénateurs, députés, ambassadeurs, cadres et ministres et vous autres leurs électeurs,
A l’occasion des assises, dont vous gérez avec brio les succès et le développement, je voudrais reprendre avec vous, si vous permettez et vous vous en souvenez, cette idée qui m’est restée chère.
Le Temple des religions monothéistes.
UNE UNIVERSITÉ INTERNATIONALE
Laquelle idée, cadre bien avec la politique bénie de Sidna. Il existe un frein apparemment à cette œuvre œcuménique, quels que soient le travail de sape et les résultats néfastes et dilatoires de l’actuelle équipe au pouvoir en Israël ! L’idée de cette université pan-religieuse, et sa réalisation internationale, ne pouvait naître qu’au Maroc.
L’amour de nos Rois et de notre Peuple pour la paix n’a d’égal que celui de la haute culture que font les marocains de la Tolérance Que ce soit dans Sa défense de la Palestine depuis le début de son drame, que d’Al Qods Echaarif, dont il est l’un des flambeaux les plus brillant et l’un des conseillers les mieux écoutés. Ce qui nous honore tous. L’amour de S.M. pour la paix et sa philosophie du dialogue, empruntes de pragmatisme, sa grande culture et son sens aigu de la coopération nord-sud, sont la base de la politique que mène le Royaume. Sidna, a rendu notre pays grand devant les nations. Prestige acquis grâce aux efforts personnels et particuliers que mène notre Souverain bien aimé, que Dieu le protège ! Cette ouverture, cette intelligence de l’évolution que connaît le monde conforte L’esprit du Maroc qui s’est ouvert inéluctablement au libre échange et a la mondialisation.
Cette lumineuse clarté a permis au Maroc PACIFISTE d’acquérir un statut de fierté et de respect, que son seul poids spécifique ou ses richesses ne lui auraient pas donné. Dans cette la démonstration qui va suivre et que je vous souhaite non fastidieuse, j’avertis que je nulle animosité envers les juifs, parmi lesquels je compte de véritables amis. Je ne montrerai nulle animosité, mais j’userais d’un verbe franc, pensant avec bonheur libre de le faire. Par ailleurs, fier d’une francophonie héritée, que l’on a comparé à un tribut de l’ère coloniale, mais que je qualifie de trophée d’une bataille culturelle. Ce sont les racines les plus vivaces qui remportent la gloire pour fleurir les troncs les plus puissants.
La culture arabe et la langue islamique sont stimulées et se dépassent grâce à la greffe et au ferment qu’une juste jalousie lance dans la concurrence des langues coloniales pour s’épanouir sur de plus larges horizons. Non dénués de complexes, ces sphères aux interférences engrenées, se trouvent aujourd’hui confrontés, elles ne le font pas sans fractures. Le revers de la médaille est qu’une vindicte non bue, exaspérée par la culture des différences raciales, colporte encore la haine des croisades aux générations actuelles. Quinze siècles après le siège des lieux sacré ! Aujourd’hui encore, cette néfaste animosité, au départ religieuse, corrompt les relations commerciales, inhibe les échanges culturels et restreint la saine circulation des hommes bien au delà des frontières des différences. Dans le raisonnement qui va suivre, je ne soulèverai donc pas le pan chrétien.
Du simple fait que la session des académies et parlements se seraient depuis des années penchées sur Al Qods tout particulièrement. Si, pour éviter des longueurs, et à priori j’exclus le tiers des participants, C’est que je pense que les responsables du Vatican, fervents adeptes du dialogue entre les religions, parce qu’ils l’empruntent souvent, seront vite intéressés par cette idée d’un temple des religions et d’une cité d’études théologiques
Mon très cher maître,
Permettez-moi de commencer cette lettre par un avertissement préliminaire : Je ne parle pas des juifs ! Lesquels, pris en dehors des complexes communs à nous tous , sont un à un, et à l’intérieur des vielles communautés, des plus courtois et des plus intelligents que l’on puisse connaître.
Je parle du racisme, quelles que soient sa couleur et son discours politique ! Le thème des discussions de cette session sur Al-Qods, retenu pour ce semestre par votre admirable collège, se voit rehaussé dans son impact par la présence politique des parlementaires islamiques.
La réflexion des académiciens donne le pas au dialogue politique pour continuer à s’activer et à œuvrer avec sagesse afin de recouvrer les biens et les droits sacrés du monde arabo islamique. Cette disponibilité pacifiste, de lutter avec sérénité et constance, contre un adversaire des plus retors est à saluer comme l’unique recours, enfin compris. La force de la paix, armée du seul droit historique, devrait convaincre à la longue l’adversaire manœuvrier et belliciste, ainsi que ses puissants et inconditionnels partisans. Le monde abusé par les multiples tergiversations, et leurré par les sempiternels cris de souffrance juive, ne doit pas occulter et obvier les souffrances faites à tous les peuples, esclavagisés*, colonisés et asservis, avant et après la crise du pétrole. Les retards accusés par les pays arabo-islamiques, confinés dans la gestion de cette affaire d’honneur sacralisé, sont dus expressément à cette guerre larvée qui leur est faite. Finalement, nous payons tous, les décours du racisme ethno religieux, fossile mais résurgent, réduit à une haine simple de la civilisation passée sur le vu d’artificiels accoutrements pas plus ridicules que ceux qui font prospérer la mode. Le monde devient Un, avec des ouvertures pour les uns et des fosses communes pour les autres.
Nous avons affaire donc, comme l’on se plait à galvauder, COMME à un énième état des U.S. qui ne diffère en rien des autres, que par le port d’une branche de plus sur son étoile. Libre à lui , mais, face à la mainmise de ce fascisme international monolithique , tel qu’il s’est développé pour son unique profit et celui de l’hégémonie suprême israélienne dans bien des secteurs, face au capital et aux médias dont ses ressortissants disposent avec une incroyable intelligence, face aux puissances qui l’arment avec démesure, Israël s’exacerbe dans l’entêtement et redouble d’extrémisme politique. Israël dépasse dans la démesure le monstre qui l’a fait souffrir. Israël affiche, comme une obligation pour tous, le respect de sa religiosité péremptoire et sur-politisée. Israël vit et se développe comme une puissance coloniale sous-traitante d’un impérialisme dont la superbe ne cache plus son véritable nom !
Dans un monde malade, le terrorisme des états fricote avec celui des gangs et des guerres sécessionnistes dont les soulèvements sont commandités de l’extérieur. Face aux retards des uns et à leur morosité la morgue des progrès incommensurables des autres s’affiche comme un frein à leur idéal de paix et de développement. Le monde, qu’il est devenu banal de comparer à une jungle, perd ses valeurs et ses repères. L’homme marqué par l’individualisme et par la corruption de ses mœurs est confronté à un monde frappé par le doute, le manque de principes, d’éthique et l’absence de credo. Pourtant la fausseté religieuse d’une morale perverse se lit dans les visions pseudo-prophétiques des extrémistes sionistes et dans les bavures terroristes des orthodoxes.
Si ces visées se révèlent à la réflexion comme d’éhontées manipulations, toutes les sphères du monde développé, ne les ont pas perçues comme ce qu’elles sont en fait, de sordides supercheries ! Bien des intellectuels de par le monde et combien de bonnes volontés, attachés pourtant à l’idéal d’équité et à la modernité, ne perçoivent pas à leur juste dimension ces leurres exécrables. Dès lors, leur analyse permet de leur montrer et démontrer les limites suspectes. Les thèses israéliennes, saugrenues et entachée de xénophobie génésique, se révèlent être comme des mythes fallacieux, appartenant à un autre âge qu’on voudrait avec eux oublier. Pourtant ces thèses hypocrites dévoilent leur attardement et ne doivent engager que leurs promoteurs.
Aussi, sans haine aucune, sans faire montre de révisionnisme, sans renier les souffrances injustifiées des juifs, dans certains pays autres que les nôtres, il faut enseigner et faire connaître l’histoire de nos rivaux pour les comprendre s’il le faut, ou, les dénoncer quand il le faut. Scientifiquement toujours et sans dénigrement aucun ! Leur histoire doit être clarifiée pour servir de base au jugement de leurs parrains, souvent abusés. Le but est de rétablir la vérité et de collaborer dans la paix et l’équité. Cependant, Ça ne sert à rien de faire la guerre, si on ne peut pas crier la vérité Ignorer ses adversaires n’instruit pas non plus sur les méthodes à prendre pour les confondre ! Il faut les faire faire mieux connaître au monde, pour séparer les fables et les légendes colportées à leur avantage. Faire découvrir les supercheries et stopper les allégations. Mais s’ils sont instrumentalisés, diriez-vous, et qu’ils le savent ! On peut alors dès qu’on se pose cette question, admettre avec un donc, que les maîtres du monde connaissent la réalité.
Des lors, rien ne servirait de faire la quête, à l’échelle internationale, pour construire, au Maroc-terre-de-paix-et-de-dialogue, ce Temple des Religions Monothéistes, dont l’idée serait combattue sans pitié, parce que émanant d’un pays, encore à la recherche de lui même inclus dans une zone sous-développée. Or, c’est le contraire qu’il faut soutenir. Chez-nous, c’est tout indiqué de créer un Organe de paix, étant nous mêmes menacés par des intégrismes multiples dont on représente le rempart. Cette vérité est à enseigner avec clarté et intelligence aux électeurs de nos détracteurs, dans leurs différents pays ! Bien sûr qu’il s’agit là d’un travail de longue haleine, sur plusieurs générations. Une tâche exaltante pour l’ISESCO, qui devra disposer d’énormes moyens. Une tâche nouvelle pour tous les organes de nos diverses diplomaties arabo-islamiques. Tous sont victimes du préjugé millénaire qu’ils doivent combattre par le verbe, la science et les médias.
Dans cette Université des Religions, le but ne sera pas la critique stérile des dogmes, (ça se fait hélas sans grandes cultures), mais leur étude. L’idéal sera de préparer de nouvelles générations de penseurs pour la cité-Terre, globalisée. Lesquels, et c’est leur finalité, devront chasser et dénoncer le racisme cultuel et les privilèges politiques dont il se nourrit ! Ces études, assurées par les pays émetteurs qui y auront compris la mission et collaboré, se feront dans l’intelligence et la bonne concorde. Les dogmes en eux-mêmes sont à respecter comme les credo qui les soutiennent. Sans toutefois oublier de les apurer des archaïsmes de leurs traditions, manipulées depuis cinq mille ans, qui méritent d’être revisitées par les scientifiques modernes. Seulement du fait qu’ils s’entêtent, avec racisme à se croire pour certains le centre du monde, ou membres de la Nation Elue de Dieu. Inclusion fantaisiste ou inoculation de la déité, elle-même, dans un fond de commerce tout à fait séculier. Une forme suprême d’apostasie et de prévarication sur le dos du Seigneur !
La médiatisation, le Temple Œcuménique, sont les seules voix, la juste façon de combattre ces errements et de dénoncer la supercherie des colportages qui forcent la pitié de nobles donateurs et qui fait toujours chanter les coupables et anciens éradicateurs. Ces aides abondantes et incalculables renforcent Israël dans son entêtement. A contrario, elles ouvrent la voie à l’injustice permettant de se venger d’un passé ! Sauf que les musulmans sont, strictement et historiquement, innocents ! Le prophète Sidna Mohammed, paix sur lui, préconisait de respecter le gens du Livre ! Si l’insurrection des jeteurs de pierre est insuffisante pour exorciser le grand-démon qui possède la région, et la veut seul, dominer. La seule arme, l’ultime lutte est dès lors informative et culturelle. Oui je parle de luttes culturelles. Où le culte, au lieu d’être l’objet de discordes, servirait de but au dialogue et de lien à l’amitié. On ne devrait plus dire, les visées sionistes ou les visions du grand Israël, mais la mainmise expansive, patente, coloniale, antihistorique et anachronique d’Israël !
Cette politique faussaire, aux prétextes activistes et fanatiques certains, est criarde de religiosité. Cette supercherie doit être vilipendée avec rigueur et défendue à travers toutes les scènes du monde, à toutes les occasions. Une véritable croisade culturelle pourrait ou devrait être menée non seulement par le Comité al Qods, mais, pacifiquement par tous les pays islamiques, et chrétiens. Nous les prenons à témoins ! Ce déni de justice, ce vol territorial, cet empoisonnement constant de la vie et de la région, cette occupation armée, ostentatoire est hargneuse et belliciste du fait qu’elle met la région et le monde en situation constante de guerre. Ces vues dangereuses et étriquées, doivent être exhibées à la face du monde pour être dénoncées comme des mensonges historiques. Le dieu d’Israël n’est pas un liquidateur des autres sémites. Le dieu d’Israël se devant d’être unique, est le même que celui des autres religions. Et avec les temps qui courent, rares sont les courants de pensées polythéistes. C’est déjà trop bien de trouver des gens qui croient en un seul dieu ! De ce fait Israël n’a aucun mérite, aucune vertu à vouloir paraître comme le peuple élu.
Fantasme populiste, cultivé pendant des millénaires, qui n’est somme toutes qu’un mythe. Un concept fédérateur et libérateur, certes ! Devenu racisme, cette exacerbation du tribalisme sioniste, est un anachronisme. Il provoque la résurgence des guerres de religions. Et l’on sait que les marchands de canons en raffolent. Israël, tribu des juges et des religieux, est devenu une principauté de prédateurs. De plus, Israël, se veut être ou demeurer cette (maxi) tribu réfractaire à toute ouverture de sa propre religion sur les autres humains. Même convaincu par la religion judéo hébraïque, vous ne pourriez jamais devenir l’un des leurs, ni un adepte de leur religion ! C’est la seule religion qui n’a pas de budget de propagande*. Le judaïsme s’est développé comme si la religion musulmane ne devait comporter que des arabes sémitiquement* purs ou que le christianisme ne devait être que blanc, réservé aux seuls autochtones de Judée. Les autres, inaptes génésiques, ne peuvent être candidats au judaïsme. Les trans-religieux, les éventuels néophytes demeurent persona non grata.
C’est dire le poids de certaines traditions et la force du vase clos dans l’apparition des… tares ! Le seul qui n’a pas besoin de messianisme pour se répandre. Mais qui demeure redevable des siens pour perfectionner une tradition de haine des étrangers afin de garantir la pureté raciale et les préjugés historiques. Et ce malgré le mal et les souffrances horribles subies lors de cette horreur unique, la Shoah ! S’il le fallait le démontrer encore, je viens de soutenir, que, Israël est une tribu raciste, nonobstant ses allégations. Je ne parle pas des juifs ! Lesquels pris un à un, sont des plus courtois et des plus intelligents que l’on puisse connaître. Ceci, paradoxalement, va à l’encontre d’une juste et égalitaire mondialisation, dont l’immense capital juif est et sera le premier bénéficiaire. Israël, qui signifie étymologiquement la famille de Dieu, se targue d’être littéralement la tribu préférée de Dieu. Le Dieu Yahvé d’Israël aurait créé des sous races de sous-hommes, pour remplir le monde, et ce afin qu’elles soient asservies par la Sienne ! Isra Ael. Ousrat Ael ou Ousrat El Ilah ! Justice divine ! Entendu ainsi, cela émet des doutes réels et spécifiques sur son unicité, ce bon Dieu traité à la sauce des traditions orthodoxes et extrémistes juives !
Cependant le Dieu Chrétien, est par exemple, on ne peut plus ouvert. A voir comment les africains on accueilli et adhéré aux préceptes chrétiens, et, comment avec certains américains et asiatiques, ils représentent le plus grand apport de fidèles à cette belle religion ! Amour, quand tu nous tiens ! La race supérieure, la nation d’essence divine, s’est américanisée et européanisée pour se fondre dans la société, comme poisson dans l’eau. (Voir les thèses opportunes et permissives du grand penseur Maimonide, qui permirent aux plus riches bourgeois ibéro hébraïques, de ne pas être extradés de l’Andalousie catholique, et sans renier au fond d’eux-mêmes, la religion de Yahvé, de porter l’étiquette religieuse qui sauvait leur peau ! Tandis que les plus démunis, auront étés largués sur les côtes hospitalières du Maroc ! Cette erreur de l’Espagne est le plus beau compliment fait au Maroc. Le Maroc musulman y aura gagné en maturité pendant que les autres s’enfermaient en Europe dans la xénophobie. Et, la vie sauve comme la prospérité des Juifs, nouveaux venus, furent assurée, dans ce vieux Maroc, dont on peut être fier de son ouverture !
Les Juifs, quelles que soient leurs nationalités doubles qu’ils empruntent, pour commercer et voter à travers le monde, vivent de traditions cultuelles qui se centralisent autour d’un leurre qualifié, colporté à travers les âges. Celui du Dieu commun qui se serait fait le Leur. Vengeur et protecteur, pour assurer leur suprématie sur les autres tribus qui peuplaient la terre. Le peuple d’Israël est victime d’un mythe fédérateur celui du surhomme. Ils l’auront partagé avec Hitler, à leurs dépens ! Et c’est dommage, car si Israël, victime certaine, a investi la Palestine, c’est surtout à Hitler, indirectement, qu’ils doivent cette compensation posthume. Les Palestiniens continuent quant à eux d être les victimes de l’hitlérisme ! Victimes propitiatoires ! Cette vieille xénophobie, ce sectarisme ségrégatif, doit être dénoncé sur le plan culturel : Le comportement d’Israël en Palestine, est le cousin germain du nazisme ! Crime contre l’humanité qui aura été le seul mouvement historique à avoir causé le plus horrible des nettoyages ethniques en s’appuyant, là aussi, sur des foutaises ethniques !
Lourd héritage que sont les traditions ! Israël n’en sortirait qu’agrandi et allégé, s’il arrivait à oublier les horreurs de son passé et dépasser celles du vingtième siècle, qu’il n’est pourtant pas le seul à comptabiliser ! En tant que musulmans, pensant que Dieu n’est ni mort ni qu’il ait pu être tué, ( ce qui fait la force de notre monothéisme ), nous n’imputerons pas à Israël, l’actuel colon de Palestine, d’avoir été un déicide sur la personne de Jésus, le Dieu Christ des chrétiens. Cette querelle n’est pas la nôtre comme elle n’a plus cours, depuis ! Alors oublions nous aussi, leurs querelles. Chrétiens et juifs, quelle que soit la part des uns et des autres dans les pogroms et autres terreurs subies par les minorités juives, sont devenus des amis, qu’il est impensable de séparer mais d’acclamer pour ce dépassement.
Très cher Maître,
Nous croyions, par un souverain esprit de syncrétisme, aux missions prophétiques de leurs différents messagers. Malgré leur animosité soutenue par la forte duplicité de leurs puissants souteneurs, par delà la culture excipée de tout prosélytisme, j’ai imaginé, que la sagesse devrait dépasser la diatribe et les guerres. Pour contribuer au dialogue des religions j’ai souhaité le choix du cadre au Maroc pour placer et édifier une cité culturelle théologique. Bien sur, le dialogue garde à sa base les credo, mais par delà les miracles et les croyances, le dialogue est d’abord bienséance avant d’être raison. Sans se départir de franchise ! Sans haine pour autrui ni pour ses différences ! Nos critiques n’échappent à personne. Le franc parler de ma lettre n’est pas preuve de manquement à la courtoisie ni à la diplomatie, mais il est preuve de tolérance respectueuse et libérée.
Pourtant tout le projet est politique et se veut concilier les gens par le dialogue étant entendu, qu’il s’agit de créer une faculté théologique sur un même site. J’ai proposé le Gharb, quelque part dans la forêt de Maamora, entre Salé et Kenitra, non loin des universités et des sites culturels de la capitale. A moins que ce ne soit à Fès, là où le milieu historico-religieux dicte son droit de préhension ! L’idée princeps a été de créer un temple des trois religions. Dans le même élan, on peut y caser les autres ! Avec une salle de cérémonie commune et centrale. Des conférences, groupant tous les séminaristes y seront célébrées. Le projet ne s’arrête pas là. Il sera le fruit d’une collaboration internationale. Chaque religion aurait sa faculté, son internat, ses bibliothèques, ses terrains de plaisance, etc. ! Des groupes de réflexion communs devront être provoqués. Des échanges seront programmés à l’intérieur du campus. L’été, le centre international s’ouvrirait par ses séminaires à l’extérieur et sur le tourisme culturo-cultuel. Les gens y viendraient de toutes les parties du monde, quelles que soient leurs religions pour se ressourcer. Pour le construire notre pays donnera le terrain et l’idée, étant promoteur de ce qui sera un élément, un organe de paix, une force de compréhension entre les bonnes consciences.
Une contribution devra être proposée à l’ensemble des pays concernés, conscients du nécessaire dépassement des visions étriquées. Quelles que soient les principes religieux qui les sous-tendent et les idiosyncrasies politiques. Sans s’écarter pourtant du libre choix et de la capacité même pour des religieux de donner leurs opinions même en matière de politique ! C’est dire que l’affection pour une politique ne stérilise pas du sens religieux et vice versa. Et c’est justement pour cela qu’on confrontera les étudiants lors de leur formation, sans stériliser en eux les paramètres politiques, politiques afin de laisser la courtoisie dominer en eux les principes les plus sacrés.
Et c’est là qu’on innovera. Les étudiants, ayant faits leurs classes dans la tolérance et dans un cadre de collaboration internationale, seront plus à même que certains de délivrer des avis tempérés et tolérants leurs à leurs ouailles. Ce qu’on recherchera à développer, a priori, en les formant. Ceci bien sûr, sans volonté de dénaturer les religions enseignées par un œcuménisme stérilisateur. Des confusions de ce type pourraient faire écarter ces cadres, devenus suspects pour leurs propres. On les incriminera d’intelligence avec les adversaires pour les exclure des coulisses du pouvoir ou du clergé. Là où l’on voudrait qu’ils agissent pour faire évoluer l’homme du troisième millénaire.
Le but est de faire penser et faire agir pour le bien de l’humanité. Voici donc le propos que je vous demanderais, mon très cher maître de souffler à qui de droit. Avec le doigté d’un bon clinicien afin de continuer comme vous faites de servir la quête de la paix, de la justice et de la tolérance. Éclectique mission dont vous a honoré Sa Majesté, que Dieu le garde.
Avec mes sentiments soutenus d’admiration, pour votre personne et de respect immense à nos chefs et Souverain.
Avec ma reconnaissance, très chers lecteurs, députés, ministres, décideurs et maîtres, de tout ce que vous continuez à faire de prestigieux pour la médecine le droit l’économie la presse ou les autres secteurs, comme pour le prestige ajouté des nôtres à notre pays et à sa culture, ouverte sur le monde et le civisme universel, stimulé en cela par l’aura resplendissante de notre grand Roi et de son Sémillant héritier Sidi Mohammed VI, Emblème du Renouveau.
ET PUIS CE TEXTE RECENT
RECEMMENT J’AI LU CECI ET C’EST LE STARTER DE CETTE REEDITION DE MA LETTRE
UN SEUL LIEU DE CULTE POUR TROIS RELIGIONS
Gilles Devers Lundi 23 Juin 2014
Alors que l’heure est au repli sur soi et au confort des divisions, voici une initiative à contre-courant : l’unité, en assumant les différences, avec pour très beau projet, la construction à Berlin d’un lieu de culte commun aux chrétiens, aux juifs et aux musulmans.
Le projet a déjà un nom « La Maison de l’Un ». Il trouve son origine en 2009, quand des archéologues ont retrouvé au cœur de Berlin, sur la Place Saint Pierre «Petriplatz » les vestiges de la plus ancienne église de la ville, la « Petrikirche », édifiée au XIIIe siècle et détruite pendant la 2° Guerre Mondiale.
Ce terrain appartenait au culte protestant, et Gregor Hohberg, le pasteur qui est à l’initiative du projet explique : « Nous avons voulu ressusciter ce lieu, pas en construisant à nouveau une église, mais en construisant un lieu qui dise quelque chose de la vie des religions aujourd’hui à Berlin. Berlin est une ville dont les habitants viennent des quatre coins du monde et nous voulons donner un exemple de cohésion ».
Gregor Hohberg travaille avec un rabbin, Tovia Ben Chorin, et un imam, Kadir Sanci, et ça phosphore. Le bâtiment sera dédié à « la prière, la contemplation et ouvert à tous, croyants comme athées ». Chaque culte se verra doté d’espaces identiques, et une grande salle commune desservira la mosquée, l’église et la synagogue. Chaque religion aurait ensuite un espace de taille égale.
L’architecte Wilfried Kuehn a dessiné les plans, et le cout est estimé à 43,5 millions, à réunir par dons. Les trois responsables religieux ont posé la première pierre ce début juin, et ils envisagent le début du chantier en 2016, pour une première prière en 2018.
http://lesactualitesdudroit.com/2014/06/23/un-seul-lieu-de-culte-pour-trois-religions /
Lundi 23 Juin 2014
PS…..
DR IDRISSI MY AHMED,
DE LA MERCANTILISATION DES CLINIQUES PRIVEES
LETTRE PLAIDOYER OUVERTE A TOUS NOS DECIDEURS ET CADRESL’ouverture du capital des cliniques médicales aux hommes d’affaires non médecins est une bavure.
Respectables Ministres et Conseillers de SM le ROI du MAROC
DE LA MERCANTILISATION DES CLINIQUES PRIVEES
LETTRE PLAIDOYER OUVERTE A TOUS NOS DECIDEURS ET CADRESMes compliments vont à votre constance et votre ténacité dans le combat pour développer le pays et le Peuple malgré les artefacts, les insuffisances qui nous inhibent et les dangers infiltrés et qui nous guettent.
Votre défense acharnée et jalouse continuelle de la dignité des droits des malades, de la détaxe des produits de santé, voire du corps médical, méritent cette écouté, fortement espérée de mes propos. Si vous mercantilisez les cliniques, malgré les oppositions démocratiques et que vous leur forciez la main, demain le kif, devenue thérapie licite, malgré les nos réticences, finira par anesthésier le peuple.
Voici un mot, que je vous prie d’écouter sereinement, ce après lecture d’un article de presse, où l’on parle de la ‘’cession’’ forcenée de la médecine libérale aux non-professionnels pour y placer leurs investissements. Et de ces autres où l’on parle des lobbies médicaux pharmaceutiques ! Vont-ils, ces chevaliers du bénévolat, localiser leurs milliards dans les zones sous-médicalisées ? Ou les parachuter dans les régions pauvres et autres déserts financiers ? Populisme ou simple jactance démocratique ? Vus l’aspect jurisprudentiel de l’innovation et l’effroi qu’elle jette sur les médecins. Des professionnels cultivés ou formatés de longue date par la présence de deux secteurs complémentaires et légitimes. Celui de la Santé Publique et cet autre aussi important de la Santé Libérale.
« Toute innovation est outrance » en matière musulmane de droit canonique. Mais là, vos excellences, c’est un canon inique !
Je ne suis pas chirurgien, je n’ai pas de clinique non plus et je ne compte pas en créer pour appréhender une quelconque concurrence. Je suis assez âgé et malade pour ambitionner quoi que ce soit de matériel au Maroc et ce dans n’importe quel domaine. Toutefois je ne suis pas détaché de ce que j’estime être le bien de mes confrères et de mes concitoyens, en matière de santé, de légitimité, de droits et de prérogatives pour leur avenir. Ayant débuté comme représentant des étudiants à la Corpo de Médecine, en 1965, je demeure motivé par cette médecine-là.
J’estime qu’il faut d’abord que le Conseil de l’Ordre des Médecins, récemment élu, qu’on lui permettre de donner librement, en temps opportun et sans contrainte suprême, son avis sur la question. Car, côté gouvernance, cette néocréation si elle devait soulager le Ministère de la Santé, eu égard à ses obligations constitutionnelles, il n’a qu’à les créer lui-même ses hôpitaux, avec des crédits extérieurs, afin de répondre aux besoins et à la couverture sanitaire de ses ressortissants. Amen !
Une révolution bouleversante des habitudes et des prérogatives des médecins, importe peu si l’on doit écraser leurs droits naturels, arguant leur appartenance à des lobbies. Foutaises ! Ces professionnels que vous avez contribué à former et que le Ministère de la Santé se doit d’en rester le meilleur avocat et le premier partenaire, pour les défendre, eux et leurs syndicats, au lieu d’haranguer les médias pour en médire et les jeter aux ordures !Et cette option et ces avis des professionnels, se doivent d’être publiquement partagés et expliqués, avant de clôturer le débat parlementaire pour ne pas présenter, à cet Ordre, un texte déjà passé. Autrement, il ne fera que se prononcer inutilement, sur ce qui a été déjà avalisé par le Législateur et définitivement légalisé ! Cette formalité, sollicitée ou présentée a posteriori, ne serait pas démocratique. Ce serait un diktat !
Elle fera le jeu des soldeurs de la santé. La ‘’vente du bétail malade’’ sera forclose à ce moment là. La déontologie, la voix des malades et celles des médecins ne se seront pas prononcées ! Si les hauts Commanditaires de l’Etat, le Gouvernement, les Parlements, les Partis et leurs Leaders qui font le forcing, sont satisfaits, alors c’est OK. Et là, plus rien ne pourra plus changer leurs certitudes, leurs accointances et leurs plans.
Les lois surfaites, taillées sur mesure au profit des adeptes du protectorat néo-sanitaire, serviront à installer les Bouchakara, dignement et à outrance, dans de sillage des passe-droits et des privilèges acquis, hier précisément. Cette formule de blanchiment idoine, rendra jaloux les refuges exotiques et les paradis terrestres, en mal de placement financiers.
On ne leur demandera point : ‘’d’où as-tu eu cela ? Cet argent le-leur, est propre, puisqu’on en a besoin. On ne leur demandera pas s’ils viennent seulement pour les bonnes grâces du Seigneur, comme coopérants humanitaires, afin de suppléer un Ministère que l’on ternit de déficience. Suppléance ou bouée de sauvetage, qui sur le plan des investissements ménagera le Ministère de la Santé en lui permettant indirectement de satisfaire les gens ! Peut-on lui demander d’investir plus, à ce Ministère, à ce puits sans fond, si le Gouvernement n’en a pas les moyens ? Parce qu’il a été hier, incapable de prévoir l’avenir et de saisir l’ampleur de la demande en cadres et en moyens, l’évolution des techniques et des hommes, en somme !
Dès lors, il deviendra évident de pousser le Ministère de la Santé à faire appel à l’extérieur ! Un SOS est ou a été ainsi lancé aux parasites et aux colons ! Ça étonne, ce retour au protectorat, qui nous regarde de si haut et nous minore ! Les détenteurs des techniques, des sciences et de l’argent, sont sollicités afin de sauver le bon peuple, impuissant de ses maladies honteuses et des rapaces autochtones qui les pompent et les dévorent ! Venez, sauvez-nous de nos auto-anticorps ! Nous sommes vastement ouverts aux gens, même à ceux des pays les plus fermés au nôtre. Et dans notre culture, nous ne faisons point de discriminations. Bienvenus leur dit-on, l’argent n’a pas d’odeur !
Le tour de passe-passe est admirable et certains le diront machiavélique. Exécrer les privés, faire de l’amalgame, les dénigrer publiquement. Faire inspecter massivement leurs cliniques pour baliser le terrain et le miner ! Et non point les hôpitaux ! Tiens, ils sont parfaits ceux-là ! Alors, on leur fera fermer leurs boîtes et leurs gueules, pour fragiliser leurs associations, leurs représentants, leurs syndicats. Pour les diffamer encore plus et ternir leur avenir. Pourtant, les doyens, les directeurs, les ministres ont fait ce qu’il était humainement et matériellement plausible de faire !
Par la même, cela fera sombrer les études médicales, les spécialités. Cela fera assombrir les horizons médicaux déjà quasi fermés, pour les fils des pauvres d’ici. Mais, on les gardera largement béants pour les spécialistes qui viendront coopérer par ici. Le Ministère parle de manques d’infirmiers et de cadres médicaux. On ne sait pas avec quel personnel et comment travailleront les nouvelles entités cliniques, mais si huppées, qui nous envahiront. Celles qui viendront ouvrir leurs blocs dans les régions reculées du royaume (sic) et sous médicalisées (re-sic) du pays ! Mais les magiciens ont des recettes et ils nous feront changer d’opinions en nous expliquant demain que nous n’avons rien compris de leur politique ni de leurs prévisions d’aujourd’hui !
Nos amis investisseurs, ostentatoirement non médecins, qui plus est, descendus en groupes ou en capitaux anonymes, ne viendront pas pour le Ramed ni pour les indigents. Mais pour le baroud ! Certes, ces investisseurs-là sont des hommes d’affaires et le gros gain n’est pas un pécher. Il ne les effraie pas ! Le Ministère s’y épuisera, sans aide aucune, les petits payants iront se faire déplumer ailleurs ! Complexe du colonisé oblige !
Sauf que ces investisseurs bénis, seront procureurs, juges et avocats à la fois. Assureurs, banquiers, mutualistes et prestataires de soins. Ce seront eux qui voudront ouvrir leurs cliniques monopolistiques qui barreront la route fermement aux cliniques déjà en place. Comme ils décourageront les jeunes à faire de longues études, ils obéreront les horizons universitaires. Ils dissuaderont les jeunes médecins marocains de toutes velléités et courage pour investir dans leur secteur. Investisseurs univoques potentiels d’un domaine où ils sont sensés exceller, ils seront chassés de chez eux, par des fortunés beaucoup plus puissants et féroces ! Marginalisés, sous-estimés, repoussés du seul pays où ils pouvaient travailler avec dignité et honneur, ce Maroc qui s‘offre béatement aux autres !
Mais, qui peut en vouloir aux richissimes investisseurs, de venir sauver le pays de ses dégâts sanitaires ? Même s’ils ne viennent que pour le lucre seulement ! Cependant et dès lors, quand viendront-ils, nos aimables sauveteurs, pour suppléer les cabinets indigènes d’architectes et les groupements de pharmaciens et d’avocats ? Ils sont libéraux, ces privatisables aussi, monsieur le Législateur ! N’est-ce pas ? On les attend comme des messies, là en libéraux, sur ces chantiers aussi ! Car au pays, on est vachement ouverts aux étrangers ! Et si largement encore ! On peut nous expliquer que là aussi, c’est pour la cause du Sahara que la diplomatie économique, nous oblige à de telles concessions…
S’ils restent vivaces dans tous les secteurs, les petits vampires sont passés de mode ! Place aux vrais prédateurs, les réformateurs des lois, les népotistes permissifs aux bras longs. S’ils n’ont pas, de toujours, étés là ! Me diriez-vous, quelque peu blasés, de l’avoir constaté bien avant et mieux que moi !
Nous allons vivre une autre édition du la kabbale fantasque et négative que fut la Harka du Basri et du forfait des cliniques de la CNSS. En leur temps, elles sont passées outre les avis préventifs et contradicteurs des professionnels de l’Ordre des Médecins, pour les défier et les brimer. Les voilà tristement en faillite ces unités de soins, et en vente aujourd’hui, après leurs méfaits mémorables, leurs passe-droits, leurs népotismes et leurs concussions ! Mais, ça ne serait que des racontars ! Quel est le prophète, le sauveur de l’Est ou du Nord, qui voudrait venir les prendre, ces hospices, pour nous en débarrasser ? Mon idée est que le Ministère les prenne, au dirham symbolique, pour élargir les CHU, éliminer partiellement le TPA frauduleux et sauver par la même les cadres, les murs et les gens qui y travaillent ou s’y soignent, très correctement encore.
Les vrais bénéficiaires se taisent. Ils laissent le nettoyage des écuries d’Augias se faire par les hercules de service et du moment ! Nettoyage clinique, nettoyage éthique ou ethnique, par un anesthésiste de métier ? Hier, l’honorable et sémillante Avocate a failli casser le barreau et le Parlement, pour nous faire entendre son apologétique plaidoyer pour les étrangers ! Aujourd’hui, le Réanimateur, notre admirable doyen et champion, est en train de nous mettre le masque… pour nous faire inhaler des bouffées d’oxygène salvatrices.
Qui survivra, verra !
Dr Idrissi My Ahmed
RESUME
A propos des cliniques, l’aventurisme des investisseurs, transparait à travers, la manière passionnée et la pugnacité de cette menace. La déontologie et la gouvernance préventive, peuvent se révéler sans efficience aucune ni garanties, face au capital étranger qui se profile derrière cette invasion.
Le danger de l’ouverture des cliniques médicales, au capital non médical, est un préjudice matériel et moral, face à l’université marocaine et aux droits indus de ses lauréats. Un forcing d’acier et des passe-droits, d’une époque concussionnaire et ostentatoire, semblent se profiler derrière cette procréation.
Non à la création d’un secteur mercantiliste dans les cliniques médicales libérales ! Puissants et féroces d’entrée, qui défendra les médecins et les malades contre les appétits exogènes ? Stop aux dérives anti citoyennes. Pour une tarification progressive transparente des actes dans tous les secteurs.
RAPPELs
Taxes de Douane et de TVA nécessitent une réforme fiscale humanitaire et une détaxe générale totale du matériel médical et des intrants pharmaceutiques, afin de stimuler les investissements en santé publique et libérale pour ménager les Caisses et les foyers en matière d’accès aux soins.
Er puis les infirmiers, les techniciens, les médecins et les spécialistes il faut en former et vite !
Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 05 Juillet 2014
_________________Cher monsieur Naïm Kamal,
Sur votre Quid, cette plaisante et sentencieuse »têteuse, bonne à faire des enfants », m’incite au jeu de mots.
Elle me donne des idées. Torrides, en cet été transpirant de privations et sans humaines chaleurs. Et avec cette diplopie et ce soleil, difficile d’écrire ou de lire, mais plus difficile encore est-il de rester silencieux, quand on se méprend sur les valeurs de nos mères et de nos sœurs. Chacun voit midi à sa porte. Celle du septentrion, n’est pas la obligatoirement la nôtre. Le prisme des valeurs est irisé de nuances.
Oui, ce Ramadan paradoxal. Paranoïa alimentaire, maniaque et dépressive, à outrance où le mythe, le religieux, la laïcité s’entichent et affrontent pour se donner des airs de liberté, d’envie de progrès et de liberté, que la bien-panse dénigre comme fumisterie et opium affamant des archéonaïfs, torturés entre le divin, le satanique et le seulement biologique et humain ! La valse ou le pasodoble, entre la privation diurne et les excès nocturnes ! Tortures et arrogances !
Pire, il y a des injustices et des guerres, des meurtres de civilisation, des abattoirs, qui nous refroidissent de toute humanité et tout gai plaisir. Alors revenons à la têteuse et aux jeux de mots. La presse s’en donne à cœur joie pour notre plaisir.
Par de la ces préliminaires, où il est interdit de se tenir la langue ou se de fermer sa bouche, allons vers votre « têteuse, bonne à faire des enfants ». Pas à tenir tête, voyons !
. Dérapage lingual taquin et exercice linguistique amusant. Un joli jeu de mômes. Mômes-tu vraiment ? Ce n’est pourtant pas avec la langue qu’on commande des enfants ou qu’on les fait. Mollasse ou en glaise, elle est biologiquement inepte, la langue pour s’entourer, seule, d’un essaim de beaux enfants.Ou que les seins des saintes ne soient faits que pour produire du lait aux enfants ? Machiavéliques restrictions et résistances qui tentent de contourner la hausse anti malthusienne des prix. Ceux des produits lactés, en Premier Chef. Que les seins de nos femmes se remplissent ! Amen !
Que les seins n’aient eu la militance économique, l’intelligence, de faire aussi du pétrole ? Ou, est-ce pour cela que les jeunes sauriens, gérants de nos valeurs, intrinsèques, et bons géniteurs, les voueraient au carbonifère ? Aux charbons ! L’ère et l’aire préhistoriques des foyers se sont réduites ou éteintes ?
Des feux, du feu ! Hormis celui des prix des premières nécessités, auxquels il faut inclure celui de la femme, rien de celle-ci ne baisse ! Les mariages se raréfient et pourtant que de dépenses inutiles ! Pour festoyer à perdre les fonds, l’hypothèque, l’envie et l’haleine !
Festoiements culturels schizophréniques ! Musique d’aliénés, à perdre l’ouïe, surbouffe, la gave à vomir et à n’y rien comprendre ou retenir, comme leçon. Cette furieuse comédie, ressemble dans son calvaire, à un sacrifice, sur un autel. Un banquet entre les bacchanales sataniques et les martyres sémitiques.Le ménage est torturé et se doit rendre à gros frais ses dettes, pour le sexe légitime. Et cela le plonge dans les problèmes. Grosses frasques. Sources pérennes de mésententes couvent de conflits certains qui explosent les couples ou les rendent malheureux.
Pour le reste, tout se renchérit à cause des mafieux de l’immobilier. Pas les seuls, certes. Les œufs et les poules augmentent de prix là, encore. Les sAigneurs de l’argent font la boucle et nous y enchaînent.
Nous…On veut du feu pour exciter de par leurs flammes culinaires nos satisfactions gouapeuses et notre marmaille. On en a besoin. Sauf que ça n’a pas été dit comme ça par notre Chef.La langue, la policée a été chaleureuse et épicée pour annoncer au Parlement, la chôme et l’été. Sans tribun point de foire et sans zoo point d’enfants ! Et vice versa. Dragons ânes, diables et reptiles, amusent les enfants, grands et petits.
La langue, la polémiste et la suceuse, (la têteuse) se doivent d’éviter l’incendiaire et l’infâme. Afin de ne descendre personne dans les flammes d’ici-bas ni de les jeter aux enfers. La presse, en bonne pédagogue, prend le parti et sort. Sans ça, elle ne se vendrait point. Et c’est la jachère du quatrième pouvoir et ce sont les libertés que l’on bride et que l’on profane !
Osons le dire puérilement et à notre péril, d’acteurs agissants. La presse ‘’préceptrice’’, se doit des réserves pudiques à ses disciples lecteurs. Ah ! Je ne parle ni d’interdits ni de lignes rouges. Pour s’éviter des délits, il y a une éthique, appelez ça des freins. Les freins, c’est bien d’en avoir dans une voiture. Des garde-fous, en somme ! Pas des garde-bébés ! Ni des barbelés barbus de lames, pour ne pas révolter ni réduire plus ce qu’il nous reste de désir d’autrui et de fantasmes. Des mythes en les femmes ou des rêves d’évasion vers d’autres cieux ! Les leurs. Mais les cerbères bloquent les sorties, minent les passages et élèvent face à nous des remparts. Même nos prussiens et sacrés frères.
Revenons sans haine d’autrui, vers notre maman, ces princesse des fourneaux, cette fée ‘’têteuse, bonne à faire des enfants’’. Ces blancs et pâteux aliments que sont les extraits des mamelles, qu’on renchérit aussi, parce qu’ils ont la permissivité du visa. Le gout vrai, alterne et non virtuel du visa pour l’étranger. Le goût facile, sans l’obligation humiliante de faire la queue devant les officines emplies de cerbères !
Sans la banche lactance, point de café ni de gâteries à la crème. Ces laits, que la mondialisation, dans notre niaiserie univoque et dans son sens large, exclusif et post colonial, a vendus. Collectés, monopolisés, agrandis comme nous et offert aux étrangers. Ces fantasmes économiques, sont des magies, nous font pâlir comme des gosses qui ne comprennent rien à leurs baves ni à leur larmes ! A l’instar de nos modernistes, nous restons jaloux de nos racines parentales multiples, fiers de nos cultures et de nos folklores, bienveillants envers toutes les religions médianes et tolérantes.
Forts de cette ouverture en quête de valeur ajoutée, il n’y a rien de fermé pour eux, les étrangers, ni d’étrange ! Ils ont augmenté de prix au péril boursier de nos enfants. Nargué et arnaqué nos poupons ! Des sévices ou des séditions pédiatriques ! Pas de pitié pour les jeunes téteurs. Pas de compassion pour les extraits mammaires, chez les vaches. Nos dérivés du lait, sont devenus subitement des marques, un luxe, une franchise exogène ! Opposition et révolte s’obligent à renâcler, là devant le Parlement. Sans issue ni échos. Le Premier n’est pas du reste. Il a dénoncé le méfait. Comme un leader, il l’a fait. Il est en est brave. L’ombre de Ghandi plane sur Benkirane.
Malgré la relative pureté et l’ethnicité de nos vaches, de leurs mamelles indigènes. Le lait, qui sent la paille des nôtres, ses extraits ont le goût de la poudre, parce qu’ils affichent un prix explosif, plus hautain. Celui des conquérants conservateurs !
La traite des pères et la maltraitance sur les poupons. Des bébés, auxquels il faut souvent donner à téter, pour ne pas acheter du lait aux Vaches ! T’barek Allah ! Voilà un rôle de résistante, de plus, pour la femme marocaine. On dit chez nous que la ‘’langue ne contient pas d’os’’ pour pallier à son âpreté et alléguer que la langue n’est pas faite pour blesser et qu’il faut laisser passer les mots fâcheux et irritants.
Dans la maison comme au travail, dans la rue comme, au foyer, en ville comme à la campagne, avec ou sans lait, avec ou sans enfants, avec ou sans travail, la femme reste femme. L’unique égale de l’homme. Qu’elle s’entête ou qu’elle tienne tête, qu’elle tète ou qu’on la tète, sans elle ne serait rien.Kénitra, le 29 Juin 2014
Dr Idrissi My AhmedVotre référence est sur ce lien:
DR IDRISSI MY AHMED,
NOTE A SON EXCELLENCE
MONSIEUR LE PROFESSEUR EL HOUSSEINE LOUARDI,
MINISTRE DE LA SANTESujet :
L’ouverture du capital des cliniques médicales aux hommes d’affaires non médecins.Intervention à propos de :
»La vigilance attendue du conseil de l’Ordre ».A Monsieur le Ministre
Sur un plan d’exercice démocratique et du côté de l’aspect et du respect jurisprudentiel voici un mot. Il faut d’abord que le Conseil de l’Ordre des Médecins soit élu, afin de lui permettre de donner librement et en temps opportun son avis sur la question !
Et ce, avant de clôturer le débat parlementaire pour ne pas présenter, à cet Ordre, un texte déjà passé. Autrement, il ne fera que se prononcer inutilement, sur ce qui a été déjà avalisé par le Législateur et définitivement légalisé ! Cette formalité, sollicitée ou présentée a posteriori, n’est pas démocratique. Elle fait le jeu des soldeurs de la santé. La ‘’vente du bétail malade’’ sera forclose à ce moment là. La déontologie, la voix des malades et des médecins ne se sera pas prononcée ! Si les hauts Commanditaires, le Gouvernement, les Parlements, les hommes de peine et leurs Leaders qui font le forcing, sont satisfaits, alors c’est OK. Et, plus rien ne pourra plus changer plus leurs certitudes, leurs accointances et leurs plans.
Les lois surfaites, taillées sur mesure au profit des adeptes du protectorat serviront à installer les Bouchakara, dignement et à outrance, dans de sillage des diktats et des privilèges acquis, hier précisément. Cette formule de blanchiment idoine, rendra jaloux les refuges exotiques et paradis terrestres en mal de placement financiers. On ne leur dira pas ‘’d’où as-tu eu cela ? Cet argent est le-leur, puisqu’on en a besoin. On ne leur demandera pas s’ils viennent seulement pour les bonnes actions, comme des coopérants humanitaires, afin de suppléer un Ministère, celui de notre Santé, hier si fortement déficiente. Bouée de sauvetage, qui sur le plan des investissements ne fera pas forcer le Ministère de la Santé à faire son devoir pour soigner les gens ! Lui demander d’investir plus, il n’en a pas les moyens ! Parce qu’il a été incapable de prévoir l’avenir, hier, et de saisir l’ampleur de l’évolution.
Dès lors, il deviendra évident de pousser le Ministère de la Santé à faire appel à l’extérieur ! Un SOS est lancé aux parasites et aux colons. Ça étonne ! Les détenteurs de techniques, de sciences et d’argent, sont sollicités, afin de sauver le bon peuple des maladies et des rapaces autochtones qui les pompent et les dévorent ! Venez, sauvez-nous ! Nous sommes vastement ouverts aux gens (même les plus fermés) et nous ne faisons pas de discriminations.
Le tour de passe-passe est admirable et certains le diront machiavélique. Exécrer les privés, faire de l’amalgame, les dénigrer publiquement. Faire inspecter massivement leurs cliniques pour baliser le terrain et le miner ! Et non point les hôpitaux ! Tiens, ils sont parfaits ceux-là ! Alors, on leur fera fermer leurs boîtes et leurs gueules, pour fragiliser leurs associations, leurs représentants, leurs syndicats. Pour les diffamer encore plus et ternir leur avenir.
Par la même, cela fera sombrer les études médicales, les spécialités. Cela fera assombrir les horizons médicaux déjà quasi fermés, pour les fils des pauvres d’ici. Mais, on les gardera largement béants pour les spécialistes qui viendront coopérer par ici. Le Ministère parle de manques d’infirmiers et de cadres médicaux. On ne sait pas avec quel personnel et comment travailleront les nouvelles entités cliniques, mais si huppées, qui nous envahiront. Celles qui viendront ouvrir leurs blocs dans les régions reculées du royaume (sic) et sous médicalisées (re-sic) ! Mais les magiciens ont des recettes et ils nous feront changeront d’opinions en nous expliquant demain que nous n’avons rien compris de leur politique ni de leurs prévisions d’aujourd’hui !
Nos amis investisseurs, ostentatoirement non médecins, qui plus est, descendus en groupes ou en capitaux anonymes, ne viendront pas pour le Ramed ou les indigents. Maos pour le baroud ! Certes, ces investisseurs là sont des hommes d’affaires et le gros gain n’est pas un pécher. Il ne les effraie pas ! Le Ministère s’y épuisera, sans aide aucune, les petit payant iront se faire plumer ailleurs ! Complexe du colonisé oblige !
Sauf que ces investisseurs bénis, seront procureurs, juges et avocats à la fois. Assureurs, banquiers, mutualistes et prestataires de soins. Ce seront eux qui voudront ouvrir leurs cliniques monopolistiques qui barreront la route fermement aux cliniques déjà en place. Comme ils décourageront les jeunes à faire de longues études, ils obéreront les horizons universitaires. Ils dissuaderont toutes velléités, aux jeunes médecins marocains investisseurs dans leur secteur, à investir chez eux, dans le seul domaine où ils sont sensés exceller ! Dans le seul pays où ils pourront le faire, ce Maroc, qui s‘offre aux autres !
Mais, qui peut leur en vouloir, aux richissimes investisseurs, sensés venir sauver le pays de ses sanitaires dégâts ! ? Même s’ils ne seront là que pour le lucre, seulement ! Mais alors, quand viendront-ils nos aimables sauveteurs suppléer les cabinets indigènes d’architectes et les groupements de pharmaciens et d’avocats ? Ils sont libéraux, eux aussi, monsieur le Législateur, n’est-ce pas ? On les attend. Nous sommes vastement ouverts !
Les petits vampires sont passés de mode ! Place aux vrais prédateurs, réformateurs des lois et népotistes permissifs aux bras longs. S’ils n’ont pas, de toujours, étés là !
Nous allons vivre une autre édition du forfait des cliniques de la CNSS. En leur temps, elles sont passées outre les avis préventifs et contradicteurs des professionnels de l’Ordre des Médecins, pour les défier et les brimer. Les voilà tristement en faillite et en vente aujourd’hui, après leurs méfaits mémorables et leurs passe-droits ! Quel est le prophète, le sauveur de l’Est ou du Nord, qui voudrait venir les prendre, pour nous en débarrasser ?
Les vrais bénéficiaires se taisent. Ils laissent le nettoyage des écuries d’Augias se faire par les hercules de service et du moment ! Nettoyage clinique, nettoyage éthique ou ethnique ? Hier, l’honorable et sémillante Avocate a failli casser le barreau et le Parlement, pour nous faire entendre son apologétique plaidoyer pour les étrangers ! Aujourd’hui, l’anesthésiste-réanimateur est en train de nous mettre le masque pour nous faire inhaler des buées d’oxygène, progressistes ou périmées.
Qui survivra, verra !
Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, 20 mai 2014
Sujet :
L’ouverture du capital des cliniques médicales aux hommes d’affaires non médecins.Intervention à propos de :
»La vigilance attendue du conseil de l’Ordre ».
Sur un plan d’exercice démocratique et du côté de l’aspect et du respect jurisprudentiel voici un mot. Il faut d’abord que le Conseil de l’Ordre des Médecins soit élu, afin de lui permettre de donner librement et en temps opportun son avis sur la question !
Et ce, avant de clôturer le débat parlementaire pour ne pas présenter, à cet Ordre, un texte déjà passé. Autrement, il ne fera que se prononcer inutilement, sur ce qui a été déjà avalisé par le Législateur et définitivement légalisé ! Cette formalité, sollicitée ou présentée a posteriori, n’est pas démocratique. Elle fait le jeu des soldeurs de la santé. La ‘’vente du bétail malade’’ sera forclose à ce moment là. La déontologie, la voix des malades et des médecins ne se sera pas prononcée ! Si les hauts Commanditaires, le Gouvernement, les Parlements, les hommes de peine et leurs Leaders qui font le forcing, sont satisfaits, alors c’est OK. Et, plus rien ne pourra plus changer plus leurs certitudes, leurs accointances et leurs plans.
Les lois surfaites, taillées sur mesure au profit des adeptes du protectorat serviront à installer les Bouchakara, dignement et à outrance, dans de sillage des diktats et des privilèges acquis, hier précisément. Cette formule de blanchiment idoine, rendra jaloux les refuges exotiques et paradis terrestres en mal de placement financiers. On ne leur dira pas ‘’d’où as-tu eu cela ? Cet argent est le-leur, puisqu’on en a besoin. On ne leur demandera pas s’ils viennent seulement pour les bonnes actions, comme des coopérants humanitaires, afin de suppléer un Ministère, celui de notre Santé, hier si fortement déficiente. Bouée de sauvetage, qui sur le plan des investissements ne fera pas forcer le Ministère de la Santé à faire son devoir pour soigner les gens ! Lui demander d’investir plus, il n’en a pas les moyens ! Parce qu’il a été incapable de prévoir l’avenir, hier, et de saisir l’ampleur de l’évolution.
Dès lors, il deviendra évident de pousser le Ministère de la Santé à faire appel à l’extérieur ! Un SOS est lancé aux parasites et aux colons. Ça étonne ! Les détenteurs de techniques, de sciences et d’argent, sont sollicités, afin de sauver le bon peuple des maladies et des rapaces autochtones qui les pompent et les dévorent ! Venez, sauvez-nous ! Nous sommes vastement ouverts aux gens (même les plus fermés) et nous ne faisons pas de discriminations.
Le tour de passe-passe est admirable et certains le diront machiavélique. Exécrer les privés, faire de l’amalgame, les dénigrer publiquement. Faire inspecter massivement leurs cliniques pour baliser le terrain et le miner ! Et non point les hôpitaux ! Tiens, ils sont parfaits ceux-là ! Alors, on leur fera fermer leurs boîtes et leurs gueules, pour fragiliser leurs associations, leurs représentants, leurs syndicats. Pour les diffamer encore plus et ternir leur avenir.
Par la même, cela fera sombrer les études médicales, les spécialités. Cela fera assombrir les horizons médicaux déjà quasi fermés, pour les fils des pauvres d’ici. Mais, on les gardera largement béants pour les spécialistes qui viendront coopérer par ici. Le Ministère parle de manques d’infirmiers et de cadres médicaux. On ne sait pas avec quel personnel et comment travailleront les nouvelles entités cliniques, mais si huppées, qui nous envahiront. Celles qui viendront ouvrir leurs blocs dans les régions reculées du royaume (sic) et sous médicalisées (re-sic) ! Mais les magiciens ont des recettes et ils nous feront changeront d’opinions en nous expliquant demain que nous n’avons rien compris de leur politique ni de leurs prévisions d’aujourd’hui !
Nos amis investisseurs, ostentatoirement non médecins, qui plus est, descendus en groupes ou en capitaux anonymes, ne viendront pas pour le Ramed ou les indigents. Maos pour le baroud ! Certes, ces investisseurs là sont des hommes d’affaires et le gros gain n’est pas un pécher. Il ne les effraie pas ! Le Ministère s’y épuisera, sans aide aucune, les petit payant iront se faire plumer ailleurs ! Complexe du colonisé oblige !
Sauf que ces investisseurs bénis, seront procureurs, juges et avocats à la fois. Assureurs, banquiers, mutualistes et prestataires de soins. Ce sont eux qui voudront ouvrir leurs cliniques monopolistiques qui barreront la route fermement aux clinques déjà en place. Comme ils qui dissuaderont toute velléités des jeunes investisseurs et médecins-marocains à investir chez eux dans le seul domaine où ils sont sensés exceller ! Dans leur pays !
Mais, qui peut leur en vouloir, aux richissimes investisseurs, sensés venir sauver le pays de ses sanitaires dégâts ! ? Même s’ils ne seront là que pour le lucre, seulement ! Mais alors, quand viendront-ils nos aimables sauveteurs suppléer les cabinets indigènes d’architectes et les groupements de pharmaciens et d’avocats ? Ils sont libéraux, eux aussi, monsieur le Législateur, n’est-ce pas ? On les attend. Nous sommes vastement ouverts !
Les petits vampires sont passés de mode ! Place aux vrais prédateurs, réformateurs des lois et népotistes permissifs aux bras longs. S’ils n’ont pas, de toujours, étés là !
Nous allons vivre une autre édition du forfait des cliniques de la CNSS. En leur temps, elles sont passées outre les avis préventifs et contradicteurs des professionnels de l’Ordre des Médecins, pour les défier et les brimer. Les voilà tristement en faillite et en vente aujourd’hui, après leurs méfaits mémorables et leurs passe-droits ! Quel est le prophète, le sauveur de l’Est ou du Nord, qui voudrait venir les prendre, pour nous en débarrasser ?
Les vrais bénéficiaires se taisent. Ils laissent le nettoyage des écuries d’Augias se faire par les hercules de service et du moment ! Nettoyage clinique, nettoyage éthique ou ethnique ? Hier, l’honorable et sémillante Avocate a failli casser le barreau et le Parlement, pour nous faire entendre son apologétique plaidoyer pour les étrangers ! Aujourd’hui, l’anesthésiste-réanimateur est en train de nous mettre le masque pour nous faire inhaler des buées d’oxygène, progressistes ou périmées. Qui survivra, verra !
Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, 20 mai 2014
ASSOCIATION DES AMIS DES MYASTHÉNIQUES DU MAROCA L’ATTENTION DE LEURS EXCELLENCES
MONSIEUR LE PROFESSEUR EL HOUSSEINE LOUARDI, MINISTRE DE LA SANTE,
MONSIEUR LE CHEF DU GOUVERNEMENT SI ABDELILAH BENKIRANE
MONSIEUR RACHID TALBI ALAMI, PRESIDENT DE LA CHAMBRE DES DEPUTES
MONSIEUR LE PROFESSEUR MOHAMED CHEIKH BIADILLAH
PRESIDENT DE LA CHAMBRE DES CONSEILLERSIl faut un leader et du courage pour décider.
Pour le Ministère de la Santé, moins de taxes équivalent à un plus large budget et à plus de santé pour plus de marocains.Votre continuité et votre nomination sont une occasion bénie, pour vous en féliciter. Un moment opportun et propice pour rappeler nos dols aux élus, comme à tous les Pouvoirs concernés et les Cadres qui sont placés à la tête de la Nation. C’est une demande de Réforme fiscale des circuits de santé faite à l’Etat. Renouvelée avec foi et sans relâche depuis 9 ans, elle s’adresse respectueusement aux premiers responsables et aux élus. Le premier concerné des ministres étant celui de la Santé, le Professeur Louardi, épaulé par le chef du Gouvernement et les représentants du Pouvoir législatif.
LE BUT
En supprimant ces taxes fossiles, antisociales, si contraires à la philosophie musulmane, notre Gouvernement et notre Souverain donneront une leçon de démocratie et modernité à tous les pays du monde. On a vu dernièrement les efforts de M. Barak Obama, on l’a vu lutter pour faciliter l’accès aux soins aux Américains, on a souvenir de nos accords avec l’OMC, devant supprimer les taxes de douane, comme on a vu les tentatives du Ministère de la Santé tenter de diminuer les prix des médicaments pour un meilleur accès aux soins. On est redevable aux décideurs, longuement sollicités en voyant quelques maladies effacer leur sordide TVA. Mais il reste à exonérer des taxes de Douane et de TVA toutes les maladies ! Toutes, sans exception aucune et sans discrimination entre elles, afin d’aider les pauvres, les malades, les chômeurs et les handicapés.
APPEL CONJOINT A MESSIEURS LES CONSEILLERS DE SA MAJESTE LE ROI
Ces déshérités et ces affaiblis, n’ont pas de taxes à payer à l’Etat pour leurs déficiences physiques. Fussent-elles chroniques, légères ou passagères ! Pour toute bonne gouvernance, ce sont là des valeurs de probité fiscale et non de passe-droit de l’Etat. Ce sont des normes d’équité et de justice qui se confondent avec les droits de l’homme et l’éthique bien sentie de d’Islam. Ces valeurs d’amour et de proximité avec les citoyens, sont le premier souci et le premier chantier d’Amir El Mouminine. Et c’est là, sans hypocrisie, sans faiblesses ni atermoiements, la seule solution et la plus radicale, la plus humaine, la plus juste des évolutions fiscales. C’est la Réforme la plus efficiente de par son audace et son inventivité.
A MONSIEUR LE MINISTRE DE LA SANTE
A MONSIEUR LE CHEF DU GOUVERNEMENT DE SM LE ROI
A MESSIEURS LES PRESIDENTS DES DEUX CHAMBRES PARLEMENTAIRESLe Gouvernement de M. Benkirane, comme les Deux Chambres du Parlement, devraient tenir ce défi complémentaire, comme un but et comme une norme morale, éthique, légitime, législative et légale, afin d’honorer leurs électeurs. Protéger le Peuple et le hisser dans la paix, padans le concert des pays les plus modernes, lui permettre à ce Peuple le travail et la scolarité, sans entraves, lui assurer le pain et surtout le médicament, sans plus-values ni prédations fiscales. N’est-ce pas là, le but final de toutes les politiques et pour tous bons gouvernants qui se respectent ?
IL NE PEUT PAS Y AVOIR DE DEMOCRATIE SINCERE ET LOYALE
AVEC L’EXPLOITATION MORBIDE DES MALADESIl ne peut pas y avoir de projet de société ni de représentation parlementaire ou ministérielle allant de pair avec l’exploitation par les élus ou l’administration des souffrances du peuple.
Il ne peut pas y avoir de projet ou de programme électoral sincère et loyal centré sur l’ignorance des souffrances du peuple, dont celles des couches affaiblies et des malades.
Il ne peut pas y avoir de projet de société sans solidarité entre les riches et les pauvres, les élites et ceux qui luttent contre leurs marginalisations, contre ces fractures sociales qui se grèvent de multiples facteurs et paramètres d’exclusion et de morbidité.
Il ne peut pas y avoir de projet de société sans engagement de l’administration, ni de bonne gouvernance des guides et des responsables, sans leurs écoutes franches, sincères et loyales des tranches qui souffrent ! Des souffrances qui irritent les citoyens et qui les font sombrer dans le dépit, le mécontentement et la haine de leurs élites concernées. Des maladies et des désillusions qui révoltent et qui causent des freins aux progrès, du fait de leurs maladies et de l’inaccessibilité des soins.
Il ne peut pas y avoir de projet de société ni de paix sociale avec les négligences ostentatoires et les insouciances arrogantes, ou les silences suffisants de ceux qui sont portés aux affaires de par les voix et les urnes du peuple.
Il ne peut pas y avoir de projet de démocratie réelle ou d’égalitarisme, ni de visions socialistes ou sociales, en snobant les droits des couches les plus affaiblies du peuple, en égarant leurs droits, par incompétence ou par paresse, par ignorance des conseils de SM le Roi, qu’il est d’innover et de faire actes de créativité et de courage pour le progrès du Maroc
Il ne peut pas y avoir de projet de démocratie, de respect et de dignité, de liberté et de droits de l’homme ou de progrès, malgré l’INDH, si les droits des malades sont corrompus ou ignorés. Spécialement ceux des malades.
Il ne peut pas y avoir de démocratie réelle avec l’exploitation des malades et de leur état de maladie pour leur extorquer des impôts indirects sur leurs états de maladies. Impôts sur les affres, qui sont une aberration de l’éthique et de la morale, une iniquité antireligieuse dans un pays aux référentiels religieux, lesquels sont les fondements de ce ciment unioniste qu’est le Trône.
Il ne peut pas y avoir de démocratie réelle avec cette infamante prédation des situations de maladies et des faiblesses, qu’est la fiscalisation des médicaments et des produits sensés n’être utiles qu’aux malades. La prédation, l’exploitation de ces situations, sont des exactions, des abus contraires aux droits. Ils sont antisociaux et anti humanitaires. Nous le répétons.
POUR UNE MEILLEURE SANTE DES MAROCAINS,
IL Y A UNE NECESSITE DE REFORME FISCALE
DEMOCRATIQUE, PAR HUMANISME ET PAR EQUITE.Fiscaliser les porteurs de maladies, exploiter les malades, pénaliser les fièvres et les détresses, c’est taxer les douleurs et arnaquer les faiblesses. Ce sont des escroqueries, doublées de rançonnements prévaricateurs, outrageux, infondés et excessifs. Ces taxations qu’il faut réformer, sont des extorsions illégitimes sur des états de déchéance et de non productivité. Nous le répétons car c’est flagrant de vérité.
Les taxes de douanes, foncièrement injustes sur le plan humain, les taxes de TVA, (Taxes sur les Valeurs Amputées), sont iniques et ineptes par essence. Car, elles sont appliquées sur des situations de non-productivité et sur des états de faillite de la santé, de détérioration et de déficit de celle-ci. Ces pénalités sont illégitimes et injustes, donc antilibérales et immorales.
Imposer les taxes sur les médicaments et leurs intrants, sur les réactifs et le matériel de diagnostic, sur les instruments des laboratoires, ceux des cliniques et des hôpitaux, est une sinécure et un non-sens graveleux pour un pays, dépourvu de technologies de pointe, qui ne crée ni ses médicaments, ni façonne ses machines ou ses instruments.
Fiscaliser les médicaments ainsi que toutes les étapes diagnostiques et de soins, c’est semer des embuches et des freins sur l’accès aux soins. C’est retarder ceux-là et provoquer chez les gens des aggravations supplémentaires, sinon chez les couches paupérisées, des tergiversations et des renoncements aux soins. Ces entraves sont alors capables de freiner la production, quand elle existe, et de provoquer des atteintes supplémentaires sur leur état de santé. Donc des nuisances ‘’ iatrogènes ‘’ sur leur santé voire même des atteintes à leurs vies.
DES EXACTIONS INSOUTENABLES :
SOUFFRANCES DANS L’ETAU DES MALADIES ET DES TAXES INIQUESCes butées et ces freins, de par les taxes qui les représentent, sont des handicaps sérieux et des blocages. Ils répercutent leurs nuisances et se répercutent plus gravement sur toutes les étapes des soins et du diagnostic. Comme sur les hospitalisations, du fait que des taxes indirectes de Douane et de TVA frappent aussi inconséquemment, les réactifs et les intrants , tout le matériel de laboratoire et d’analyse, dont ils renchérissent le coût des actes.
Ces arnaques, confortées par l’État qui ne les supprime pas, carcans aux cous des plus faibles, enchainent et asservissent ceux qui souffrent, et eux seuls, nous avons dit, dans un état d’esclavage et d’exploitation, plus gravement que ne furent au Moyen-âge, les peuples soumis à la dîme et à la gabelle !
Si ces malades avaient la force de se lever et de s’unir, pour marcher, zombies à leur manière, ils auraient rejoint les rangs des manifestants pour crier, à leur façon, leurs dols surmultipliés par l’Administration aveugle qui les ignore encore.
Ils seraient les premiers à adresser leurs doléances au Roi, sans oser malgré tout, à lancer des lettres impudentes sur son passage !
Ils seraient les premiers à présenter leurs condoléances à eux-mêmes et à une nationalité, d’un pays dont l’administration, les ignore et ne les dessert pas !
En guise d’invectives impudentes face à la parésie des lois, s’ils devaient lancer des slogans, ils écriraient sous la bannière rouge sang, frappée de leur mauvaise « étoile jaune », qu’ils risquent de perdre leur nationalité avec leur santé, colonisée et exploitée, au point de se renier et de renier leur propre identité !
Ils iront crier à l’injustice qui les frappe et à l’infamie qui les ignore, au manque de respect envers leurs droits et leur dignité, parmi les jeunes hurleurs qui fermentent encore dans les rues. Les malades soumis aux taxes coloniales, boiteux et fébriles, rhumatisants ou psychotiques, infectés de par les taxes qui les parasitent, lèveront leurs bras au ciel. Dans un silence funèbre, ils espèreront qu’à leur mort on chantera aux ministères aveugles, qui les exploitent, la prière des absents !
Les lois de taxation douanières et de taxes sur les valeurs ajoutées, sont des héritages coloniaux ou calqués sur les us et les affres faisandés des métropoles honnies.
CES TAXES SONT DES CHARGES INUTILES POUR LES HOPITAUX ET LES CAISSES DE MALADIE
COMME SUR LE DOS DES PATIENTS DEMUNIS. ALORS, QUI PERD ET QUI BENEFICIE ?Ce sont les Caisses qui épongent les dols et qui casquent pour les malades européens. Les nôtres spolient les biens des malades par milliards de dirhams. Tout en assurant des soins de qualité à leurs ressortissants et en les couvrant tous, d’une sécurité sociale quasi parfaite, les remboursements les rendent imperceptibles aux yeux de leurs adhérents.
Pour un pays qui ne produit ni intrants ni médicaments, ni réactifs ni matériel de diagnostic ou de soins, l’État devrait avoir la pudeur de ne pas taxer ses citoyens malades ! Surtout que dans la plupart des cas, les malades n’ont aucune couverture médicale.
Et ne venez pas demander à ces citoyens, amoindris et exploités, impondérables sur le plan de leurs droits et de leur dignité, d’aller encore voter pour des représentants qui ont failli dans le passé à leurs justes doléances et qui dans leurs programmes actuels encore, ne suggèrent ni présentent aucune solution à ce problème national, qu’est la « taxation des maladies » !
Ces taxes sont des réglementations usuraires. Ce sont des lois taboues, des lois frappées du silence, ou tout comme, issues de la négligence des responsables, incompétents ou insensibles, qui les laissent surexploiter les souffrances, malgré le départ des colons !
Cette partialité de l’État, inconsciente, sournoise, ces lois sadiques et incestueuses qui agressent les plus affaiblis, sont des violations iniques de la condition des malades. Les malades sont assujettis à des frappes discriminatoires, des impositions sur leurs états de faiblesses ! Ter repetita.
VERS UNE QUETE DE JUSTICE INLASSABLE
UNE QUETE DE JUSTICE INLASSABLE
Malgré le délire d’informations et de communication, d’écrits policés et de plaintes antérieures, malgré les récriminations, les appels tout azimut, les mises en garde et les demandes de protection aux plus hauts cadres de l’État, cette ineptie, cette tare atavique, tarde à disparaître de nos lois. L’avenir se doit de solder cet héritage fossile, fait d’exploitations et de mutisme. La loi du silence et celle de l’incapacité, celle de la langue de bois ne sont pas de bonne gouvernance ! Elles doivent disparaître.
QUI ECOUTERA DONC LES PAROLES DE SM LE ROI ?
Qui écoutera donc les paroles de SM le Roi, quand il a appelle les cadres et les élus à créer, à oser, à inventer, à innover pour faire avancer le pays ! Hélas, nous démontrons nos capacités d’inaptitude à évoluer, à sortir des sentiers battus, à refaire les lois, à être plus interactifs aux Partis, plus présents et plus efficients aux Parlements ! Au lieu de se déchirer aux élections, ils doivent déchirer ces lois infâmes !
L’État asservit ceux qui souffrent. Que leurs maladies soient légères, sévères, chroniques ou graves ! Sauf exceptions, (et elles existent) ! Si nous constatons depuis trois mois quelques progrès, ils sont à saluer. Mais, ils restent partiels et partiaux et très insuffisants encore.
De notre part, à l’AAMM, nous militons pour tous les malades, sans discrimination aucune entre les tares !Contrairement à d’autres respectables et très pugnaces associations, qui ont avec elles le poids de l’État ! Et, c’est merveilleux de voir leurs réussites, quoique partielles ! Nous espérons que la sensibilité et l’humanité, la logique et la volonté, puissent accompagner encore plus le Législateur, afin de dispenser toutes les maladies des taxes illégitimes qui les contraignent, et ce, quels que soient la forme ou l’état des maladies.
Les malades asservis, seront-ils toujours aussi mal servis ? Arnaqués, exploités, dans tous les secteurs et par l’Etat….Le faiseur des lois ringardes, lui-même casque des taxes, qui amputent son budget ! Lui, le premier secteur qui offre aux gens des hôpitaux, empesés par des taxes, sur le matériel et les médicaments ! Risible paradoxe ?
DANS BIEN DES PARTIS, DE LA PRESSE AUX MEDIAS,
ON OBVIE CETTE AFFAIRE DES TAXES SUR LES MALADIES.Perclus dans les faiblesses et les manques de moyen, les maladies et l’ignorance, dans la lassitude et l’inaction, le manque de courage et d’entreprise, on se tait devant cette impasse du destin. Et on se lance en invectives, en se complaisant face aux lois qui demeurent par mépris, illogiques, illégitimes, insensibles et inchangées !
On semble faire silence sur cette nécessité de réforme, réclamée et agitée depuis huit ans. Même chez ces groupements prestigieux des partis, qui colorent et patchent la scène électorale et politique. Rien ne promet-il d’espérer ? Aucune faction n’a soulevé ce grave déficit avec la vigueur indispensable pour libérer les marocains aliénés par cette fiscalité injuste et antisociale. Sûrement contre-productive. Nous avons reçu quelques courriers, compréhensifs sans être suffisamment prometteurs. Sans plus. Jusqu’aux dernières dispositions incomplètes, il faut dire!
Cependant l’État et les Partis veulent remplir les urnes. Mais, comment régler cette inadéquation et cette conspiration du silence et des incompétences ?
IL FAUT DU COURAGE ET DE LA VOLONTE
POUR FAIRE DES PROGRES A NOTRE PEUPLE
EN ELIMINANT CES LOIS SCELERATESIl faut un starter, un leader, pour cette louable et nécessaire réforme, d’abord fiscale de la santé !
Seule la grâce de SM LE ROI MOHAMMED VI pourrait nous libérer de ces taxes infâmantes! Lui, qui cumule prestige et qui délègue Ses pouvoirs, en donnant conseils et directives, peut libérer le Peuple de ces lois. Le gracier des réglementations honteuses qui se complaisent à l’épuiser, à le traire et à le torturer. Faut-il encore que Ses bons Conseillers nous lisent et qu’ils Lui transmettent nos dols et les Lui disent, avec nos vœux de santé et de succès. C’est le moindre service civique que l’on attend d’eux !
Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 10 Avril 2014
ASSOCIATION DES AMIS DES MYASTHÉNIQUES DU MAROC
CENTRE DE RÉFÉRENCE RÉGIONAL DES MALADIES NEUROMUSCULAIRES112, avenue Mohamed Diouri, Kénitra, Telfax: 0537376330, Assistance: 0661252005,
Courriel: aamm25@gmail.com , Site : http://myasthenie.forumactif.com
QUAND ON N’A PLUS DE RESPECT POUR SOI NI POUR SES DIRES…
PROPOS , PROUESSES CIVIQUES ET REVOLTES PHILOSOPHIQUESQuand on n’a plus de respect pour autrui ni de dignité encore, et que l’arrogance et l’offense servent aux plus rustres d’entre-nous, défiant les usurpateurs et les voleurs qui siègent, anoblis aux timons de nos devenirs…
Quand, en guise de courage, la fuite et le mensonge nous inspirent, mettant à nu les promesses, les crédos, l’amour prétendu, l’estime, la foi en l’avenir…
Quand en guise de loyauté, on use de faiblesses et de lâchetés, de traîtrises ou pire encore…
Quand, faute de qualités, on s’illustre par ses défauts et on les exhibe comme un défi, une avancée, voire comme des qualités à mimer, opportunes…
Quand, faute d’éthique, les tares épuisées, leur noblesse trop commune, on se targue de mentir pour s’amuser des défauts des plus crédules et des plus naïfs des honnêtes personnes dont on se joue…Je reste ébahi et ça me laisse perplexe !ET DIRE QUE NOUS SOMMES DES HUMAINS
PROPOS SCATOLOGIQUESDes surhommes équipés d’engins de mort, tracent sur leurs cartes militaires le destin de nos vies. La cartomancienne devine par hasard l’avenir du ministre qui la consulte. Il sort les larmes aux yeux et dans sa bouche des cris de haine. C’est dans la merde qu’on retrouve les amis. Si les meilleurs en échappent, les plus fidèles vous secourent. Là, ses frères l’ont renié et lâché ! Lynché, peut être ! Et essoré, jusqu’à lui faire sentir le besoin, de vomir de partout ses viscères et de leur chier ses vérités ! Voyance et avenir, identité et morales se lisent donc sur les omoplates, sur les cartes et dans la crotte. Que sont-ils en fait ? Des substrats alchimiques qui traversent les corps et les humeurs pour les nourrir et les garder en vie…Mais que l’on répand sur le chemin d’autrui !
Là, c’est une crotte de gecko domestique qui vient des hauteurs. Que la coprologie vienne nous aider de ses lumières ! Il vit collé au plafond et aux murs. Insectivore utile, il nous débarrasse de ce qui pique et qui vole !
Nous sommes des humains, malgré nos crottes et nos cousins fossiles. Je parle de ces lézards blancs qui collent aux murs. De petits crocodiles inoffensifs ! Issus des leurs cousins culturels des bords du Nil ! Ceux aux référentiels imbus de l’étoile rouge-vermeil, russe. Sissi, le général félon, est le cousin rouge, lui aussi, de Poutine ! Nous sommes si près de Néfertiti, de Cléopâtre, de ses amis Antoine et César et leurs conquêtes des sept cieux avec la belle alexandrine. N’avons-nous pas Juba II, le roi de la Maurétanie, auquel on fit épouser Cléopâtre Séléné ? La fille de Cléopâtre et de Marc Antoine ! Ahh ! C’est dire la parenté de cette Afrique du Nord, si désunie maintenant à cause des scories et des miasmes vicinaux. Si proche, vue d’ici, des ancêtres de Berlusconi ! Ces latins de Rome, quand ils sont arrivés à nous ramasser et nous unir, alors que nous fûmes si loin hier de ce que nous sommes aujourd’hui.
TRAÇABILITE STERCORALE
Et dire que cette crotte de reptile, a chuté de nuit des hauteurs, du plafond, pour se coller là, sur le bord de la vasque. Le siège des toilettes, le trône présidentiel, qui écoute se lamenter vos viscères et souffrir en sortant. Oui, le centre des besoins ultimes, le PC commun à toute l’humanité, qui nous fait réfléchir par delà les exigences sur ce que nous sommes. En quête de connaissances, de réflexions et de culture, allons de ce fait explorer ce que nous avons de pire. Les déchets qui sortent des ténesmes du meilleur d’entre nous. Allons pas de modestie, allons, pas de fausse pudeur, analyser les nôtres à travers ce que nous avons d’infâme ! Traçabilité stercorale par écrit ! Osons reconnaître ce que nous sommes, des cannibales, des carnassiers, qui catabolisent autrui pour se construire et qui se lâchent…dans la nature.
Ce fauteuil rampant qui vous sert de gite et de trône, bouffi d’intimes souvenirs et de spécieux combats, ce trône constipé qui reçoit de vos humeurs les plus dures repères, est un fauteuil qui ne doit rien aux urnes ! Les résidus repus de vos tables de vampires, s’étalent ou nagent. Les tributs broyés dans l’amertume, relevés de haines ou de pleurs, alors que ceux que vous mangez, ce que vous catabolisez, devaient crier de terribles colères.
Et dire que cette crotte de reptile bouge encore, en son fort intérieur, même si elle ne sent plus les malfrats, ces moustiques ineptes, qu’elle digère.
Et dire que cette crotte de reptile, un gecko pour ne pas vous apeurer…Ça vous rappelle les chiens et leurs tas d’ordures, alors que vous payez les édiles. Ces chacals, ces hyènes, ces élus qui vous pillent encore et qui vous vendent à leurs maîtres. Vassaux et acolytes, qui sévissent sur terre…Sans réparer ni soigner ce qu’ils appellent, la rue, le trottoir ou la ville.Et dire que cette crotte de reptile grouille et bouge de l’intérieur. Ses réactions de chimies admirables et de leurs complexes calculs, devraient vous interpeler !
Et dire que cette crotte de reptile remue des restes indigestes et fourmille. Entre les pétales de roses et les parfums de pollens, les odeurs orientales de jasmins…Ce sont des ailles de papillons irisées et le jade des os miniatures qui percent et qui brillent. Et ces restes de viscères indigestes, la chitine des pattes hérissées de piquants, ces épines qui remuent, se délitent là et se dilacèrent…Quel spectacle ! Aussi intense que la grandeur de l’univers, la Voie Lactée et la pleine LuneElle roule et remue de l’intérieur, forte de ses molécules indestructibles et de ses électrons immortels, indélébiles…
Et dire que cette crotte impénétrable et intense, foisonne de vies encore ! De reptiles ou d’humains, quelles différences à faire, y a-t-il ? D’animaux asservis, que religieusement l’on s’octroie aux abattoirs, de prédateurs que l’on achève en forêts ou sur les champs…Des morts nécessaires pour nous servir dans leurs douleurs inutiles ! Sévices civils, tueries citoyennes, des morts serviles, livrées cuites dans nos assiettes. Temples civiques, ce sont des boucheries assassines, mes frères ! Tiens, je délire dans ce sermon !
Alors que nous sommes tous en prison sur cette barque du Styx. Les uns nettoyeurs des autres nous nous noyons sur notre île…La Terre qui nous abrite nous voit décapiter en bourreaux affamés les êtres, dit inférieurs! Nous nageons dans la vie, habillés des cuirs et des chairs de nos proies, véritables assassins, en état constant de guerres, inégales et injustes ! Oui, nous sommes pires que ceux que nous consommons. Nous cultivons la mort en sacrifiant nos proies ! Au lieu de changer notre alimentation pour évoluer, moralement spirituellement, nous continuons chasses et élevages en montrant à nos enfants, que sur l’autel de la restauration nécessaires, les bourreaux sont supérieurs à ceux qu’ils peuvent occire. L’art de la guerre et le sport du crime sont passés par là ! Théorie, qu’il est absurde de dénoncer et que personne ne comprend ni espère !
Et dire que cette crotte impériale est du sang généreux d’illustres corsaires. Austère apatride, exhaustif adultères, prophètes des séides, un dard dans la gorge, une dague dans le dos, une flèche avide de cœur. Tuer pour se nourrir, est affaire d’humains, de lézards et de crocodiles !
Et dire que cet homme, parangon de ce qu‘il mime et qu’il veut exploiter, est un riche pourfendeur, féru de libertés. S’il pue d’orgueil et exhibe ses libertés, il vit sur le reste et des restes des vampires. Je vais vous dire de quel champion il s’agit, et de quelles fanges il veut nos débarrasser, pour mieux les remplacer…Crottes imprononçables et gadoues putrides salissent le texte, alors qu’on a à faire avec des super hommes ! Quand on parle de linge sale à laver en famille, on n’a pas besoin de nos yeux d’étrangers pour le voir !UN PRINCE MACHIAVELIQUE
Et dire que s’il n’est plus le maître de céans. Hier, il était superbe. Altier il détient de son illustre oncle la manière altière et le bagou. Le roi défunt dans sa faconde princière déjà, colonisé encore, savait dans leurs propres maux les emmerder, car de leurs propres mots, il adorait les exciter, aimait les irriter, pour les épater et les charmer afin de s’en faire admirer.
Et dire que cette vieille branche, écorce du chêne impérial, fière de ce qu’elle est, allait produire un résistant au sens fort. Une croûte en relief dans une belle peinture, une mèche rebelle sur une vieille perruque, saillant du fez rouge, notre traditionnel tarbouche ! Richissime idéologue, défenseur féru de ceux qui souffrent, intelligent et juvénile, il a un vrai cœur d’enfant…Gâté sur les bords! Réparé du cœur et des artères, on n’a qu’une vie, il veut la rendre plus brillante et utile. Mais il est encore jeune pardi, il se bat. Et cela lui permet de se battre et de combattre mieux encore.
Il ne lui faut qu’un ténor, un parrain et des armes. Il y en a chez nos ennemis ! Et, et toujours en jachère. Les indigènes y croient toujours, il leur faut un héros qui les pousse et qui les attire. Faute de prophète divin, un champion méphistophélique, un démon peut faire l’affaire. Un ponte qui les envoûte ou un tribun qui les leurre ! N’a-t-on pas vu Abdelkrim se faire un nom illustre de résistant et rester en vie ! Une aura méritée dans son exil ! La célébrité universelle ! Armé de valeurs allemandes, défiant dans son Rif d’avant le kif, deux autres puissances coloniales, ténors de la Seconde Guerre Mondiale !
Et dire que cette crotte de reptile, parangon de ce qui pue, use des restes des vampires et des succubes, pour les domestiquer…Je parle du gecko et des fourmis. Les fourmis sont des travailleuses tenaces, admirables !Et dire que cet illustre idéologue défie les rites millénaires, leurs complexes faisandés et toutes les idéologies surannées. Son propre statut en fait lui remonte comme un reflux qui l’estomaque ! Il éructe et se gargarise de ses propres mérycismes ! On devine ses états d’âme.
Et dire que cet illustre dénégateur, nihiliste, refuznik ou agitateur, est un fallacieux exilé ! Auto exilé, fuyard politique, repus de cette vie princière inutile, ce paradoxe poussé au paroxysme le déçoit, sauf qu’il est zappeur paroxystique, zélote prédicateur à l’instar de Cheikh Yassine. Electron libre en fait, il est libre de revenir chez soi ! Ou d’aller partout où la curée affairiste l’interpelle. Ce n’est pas une honte d’être riche quand on est prince de sang d’une vieille dynastie que l’on respecte ! Il est aussi un virulent et ostensible interpellateur. Apostropheur impénitent, il s’adresse au roi quand il parle aux élites ! Snipper es-politique, réformateur moderne, il se place au summum de la fatwa politicienne. Leader sans parti, il sème à tout vent, le doute scientifique et vous désamorce de vos convictions, les plus fixistes. L’invocation au changement l’excite. Dans son spleen, il en parle, quitte à aller aux charbons et à user apparemment ou en douce, de séditions élégantes et de troubles borderlines !
La valse de la fitna l’enchante et le gagne. De la révolte réformatrice, même en théorie, à la révolution, il n’y a qu’un pas ! Va-t-il le franchir ? Le chérif est un Che, sans casquette ni ostensible cigare. Il voudrait prendre l’initiative, sans trop se mouiller, tant la pudeur du fier alaouite respecte la vénérable famille alaouite, dont grassement, il hérite. Il irrite, poils au nez de la vénérable institution. Ce capital marocain identitaire, trois fois centenaire, l’attire malgré sa volontaire répulsion ! Avec en affiche Lui, SAR, comme prosélyte et réformateur. Sincèrement démocratique ou révisionniste pour son propre compte, du passé critique de ce makhzen avachi et de la complaisante ou moqueuse constitution.
Sauf que pour le moment ce ne sont que des projections poétiques et imaginaires insanes ! Il n’y a nulle puissance pour l’épauler, en se cachant derrière lui, pour le conduire le bon prince à commettre un pareil et mortel impair. Notre sémillant prince n’est ni un fanfaron ni un pro des crimes es-majestés. C’est un beau rêveur, qui charme de par son statut et qui fait rêvasser certains, de l’extérieur.
HERITAGES ET FAUX ATOUTS VICINAUX
Que croire ? L’Algérie, la France, l’Amérique ne sont ni des atouts clairs ni une belle affaire. Du moins pas mûres, ni pour lui, ni pour l’instant. Il n’a pas l’ombre d’un traître pour vouloir bouleverser son pays et provoquer une guerre civile, et ça, on peut le jurer ! Car il a pour lui cette innocence claire ! Cet homme est au courant de tant de secrets…Il est mécène de son état et amis des médias, il est bien informé ! Il a vu autour de lui des pays périr, leurs nababs tués, des peuples déconstruits, dégommés, affamés, dépassant les pires périls humanitaires ! S’il représente pour la gauche de la Gauche, pour les gauchos, une alternative ? On peut le croire, sauf que ce trublion, trop visible, ne représente pas un danger, une machette aveugle ou une aventure de cinéma ! Un facho, ringard, une obsolescence du passé, une new-wave de mercenaire, un passif dans une vitrine qui a perdu de sa dorure. Sont-ce des qualificatifs justes, réels et vrais pour étiqueter le prince rougeoyant ?
Il est fils de princes déchus et appauvris, revenus au pays après leurs études et leur exil. Exil utilisé par les milices et les résistants d’hier, par tous les partisans de l’indépendance, pour anoblir leur roi, en faire une image d’union. Passons sur les profiteurs, on n’est pas nés d’hier. Cette famille, fut une image, un emblème du pays, un phare pour l’indépendance et le combat. Un symbole, quasi déifié, qu’on voyait, femmes et enfants, sur la Lune et sur les murs.
Je me rappelle de ce muret de la cour du CE3 de l’Ecole Européenne de Bab Riafa, près du jardin public de Boujeloud. Ses rivières, ses bassins, ses poissons, ses barques, ses norias, ses ponts fleuris, ses bambous et ses arbres, ses statues, ses fontaines et ses fleurs, tels que avalisés, protégés, avec leurs voisinages palatins, par la pimpante altesse et impériale rouquine.Et dire que cet illustre reliquat des rois, devenu fil des pontes, hissés par les militants et les prédateurs, sévit à l’ombre et depuis à la lumière encore.
Que comprendre ? De quoi est mort son prince Abdou de père ? Secret de famille, secret médical ? Secret d’état ou secret d’alcôve ? Lutte pour le pouvoir ou maladie borderline pour l’époque, trop infamante pour la monarchie, ou concussion militaire. Il ne dit rien de sûr, il profère !Et dire que le divin fanfaron, à l’image par la presse servile, avilie ou ébréchée, semble ignorer nos droits au Sahara…Glamour avec l’adversaire fielleux, amalgame ou idiotie ? Quand on sait le culte du Sahara, les sacrifices matériels et humains de nos soldats. Un fondement patriotique, uniciste, tel que inculqué depuis des siècles et des décennies. Cette conviction est pour les masses fidèles, un culte, un endoctrinement et une passion. Une certitude politique, une religion, hautement intégrée et dignement cultivée par la plupart ! Connivence ou idiotie du Prince de l’avoir dans ses principes, éludée, larguée ou foirée?
Si la fanfaronnade médiatique, laisse faire les jaloux et les médisants, si l’essayiste de l’exil aidé de ses nègres ou pas, place ses milliards ailleurs, il n’est point le seul mauvais exemple. Pardi ! Beaucoup des nôtres, singeant ce qui se passe chez les têtes les plus huppées du monde ont vendu non seulement leurs bourses, mais aussi leur mental, leur nationalité et leurs âmes.. Le panthéon des dénégateurs est une partouse mondialisée, rempli d’apatrides, très sincères !
Et ne restent pour nous morfondre que les murs et les barbelés entre frères brimés et lésés.Les tyrans et les usurpateurs se sont ligués de toujours avec les maquignons et les pillards de la morale. Représentants de leurs dieux sur la terre, ils assujettissent ceux qui ploient du dos et terrassent les opposants et les repentis. Est-ce là, le message dans son Livre aux exilés de la patrie, qui sont restés marginalisés, sans moyens aucuns ou carrément démunis, mais chez eux ? Des salons actuels aux noualas de l’époque, tous les apaches indignés et les indigènes fiers d’hier, l’appréhendaient ou le savaient.
UN GEANT OLYMPIEN, DIVERGENT, NOUS INTERPELLE
Bravade existentielle du prince ? Le devoir de réserve dépassé, si la pudeur intimide et inhibe, la fierté décuple le courage et renforce.
Prométhée pour nous autres ! Il nous contemple dans son extase, pas solitaire du tout. Il nous lorgne de sa hauteur de vue olympique et de ses alentours épiques. Les nuées de nains, de singes et de pantins qui l’admirent et qui l’entourent, applaudissent. Ils vivent, ils existent, ils sont ! Ils entrent dans la scène, là, en bas, sous les cieux où il a vécu en prince et en seigneur. Il voit le champ des manœuvres, la place des combats de coqs que sont ces humains, ces acteurs qui tombent pour hisser leurs champions. Les élus des dieux, leurs sbires et leurs acolytes. On n’est pas loin des combats où les infidèles, les croisés, les titans, les animaux de la jungle, se livrent des batailles légendaires. Des épopées épiques contre des peluches fabuleuses, des ombres de sorciers, des démons sataniques ou des zombies mythiques pour le plaisir des fils de Zeus. Cinéma des dieux qui adorent les humains qui meurent pour leur complaire en jouant.PRIMOFORFAITURE
Qui a parlé d’héritage et de lignage ? Des fonctions de l’aristocratie régnante et des situations de la noblesse ? Que le premier enfant soit le roi ! Une idée, une pratique, qui l’écarte et le déçoit ! Primogéniture ? Quel barbarisme, quelle sombre et égoïste gageure ! Par dépit, le prince rouge s’assombrit et devient tout noir. Il lutte à en devenir malade ! Un jeu d’échecs cavalier, pour tenter de déloger les héritiers en place, en instillant le doute dans l’esprit des simples humains que nous fûmes. Ces sujets pervertis qu’on appelle des hommes ! Des idées curieuses et graves, des questionnements pervers ! Les règles sont des inventions humaines ! Oui, un sordide calvaire. Et toutes les constitutions, ne sont-elles pas le fait des hommes ? Ce sont eux qui écrivent doctement les règles et les obligations, pour assoir leurs profits tranquillement, assurément, pour rendre les pantins des jouets plus dociles. En confiant aux dieux terrestres leurs destinées et leurs sorts
Et dire que fatigué encore, il fait œuvre de charité et pousse les renégats, les sbires et les déçus et orphelins du système, à écrire pour lui, dit-on, un Livre. A dessiner un tableau noir, un pamphlet pour dénigrer le machin, le makhzen, le palais pas si zen. Machinations tirées au clair et anecdotes dopent le livre de banalités bues et de curiosités souvent connues à l’extérieur comme des proches. Souvenirs et crachats sur cette soupe qui l’a rendu prince et en a fait un homme ! Des pages de scènes privées ou à peine ! Rien ne filtre qui soit secret ou privé ou qui sorte de l’ordinaire ! Rien de surprenant ou de fameux qui soit encore secret et formellement relaté dans les faits dans ce film élogieux et facétieux sur ses misères princières ! Rien que des choses humaines, des plus grandes aux plus basses. Mais rien que du beau monde. Presque pas d’hommes, dans sa suite.
Par delà le Livre de l’exil, par delà les générations sultanesques, chasser du trône l’opportun, ou l’inopportun est-ce là, la devise ultime des seigneurs et des hommes ? La vue et le jugement changent selon la face du prisme où nous sommes ! Qu’on révise les textes et qu’on le déloge ! Semble-t-il suggérer aux plus proches de ses aventuriers ! Ça devient délicat et grave pour nous autres communs que de comprendre cette altière prouesse ! Les foudres vont tonner là où nous sommes. Même Jupiter devrait craindre pour ses burnes !
QUE RESTE-T-IL DES FEUILLES ?
LE CROTTIN SE RECYCLE AUSSI !Que reste-t-il des feuilles de l’arbre quand il est mort et que de son tronc l’on fait des lattes ou des allumettes ? Du feu pour brûler les buches aux cheminées ou de la cellulose pour faire des livres et des feuilles pour imprimer ce papier ?
Et dire que le crottin se recycle aussi ! Mais où se cachent nos souvenirs des mauvais jours et ces pages de voluptés ?. Et quand on vieillit où vont nos souvenirs ? Et pire, quand on meurt, avec ou sans Alzheimer, où case-t-on nos secrets ? Ceux qu’on a commis à l’insu de nous-mêmes, nos souvenirs qui n’ont pas de transcripteur ? Notre mémoire est pareille à ces feuilles d’arbres. Tout revient à la terre et chute sur son sol, pour rentrer de nouveau dans le cycle que la matière opère.
Tout le personnage, fut-il prince, ses restes futiles, ses plaisirs vains, ses ambitions, ses promesses, ses prouesses, à jamais le soldent et nous fuient. S’il reste quelque chose c’est par delà le verbe et les mots. Plus invisibles que les photons eux-mêmes et la chimie de la lumière. C’est par delà ce qu’on comprend e t par delà ce qu’on ignore qu’il faut chercher les âmes ! Et ce qu’on sera demain.
Est-ce qu’on sera demain ? L’homme, nanti ou pas, belligérants infâmes, mécènes et travailleurs, rois, princes comme manants, s’ils mangent et qu’ils chantent dans le bonheur, s’ils s’habillent bien ou voyagent loin, s’ils, cumulent spolient plus ou qu’ils volent des fortunes, dont ils oublient les origines, ou qu’ils vivent dans la maladie et le besoin, tout revient au zéro du départ. Alors, minus, papillon !
Même nos audacieux champions ne sont des hommes. Matière superbe ou frelatée, tout s’en va, tout est vain…Que reste-t-il des festins et des hauteurs, des crottes de geckos, remplis des restes de pattes de blattes? Et j’ai vu ces chiens, qui hier étaient de compagnie, venir salir ma rue de couches de bébés. Des pochettes froissées et éclatées, qu’ils subtilisent des sacs d’ordures. Des mets exotiques dont ils raffolent de leurs crémeuses diarrhées ! Comme nous des glaces au nougat et autres chocolateries.
MAIS QUE DIRE ? QUE CONCLURE ?
Et dire que le crottin, une fois apaisé, comme les feuilles des arbres se mélange à la terre dont la faune et la flore microscopiques se saisissent pour s’en nourrir et le recycler aussi ! Que reste-t-il des hommes et des princes, de leurs excès, de leurs querelles et de leurs légalités ? Que reste-t-il des champions et de leurs médailles ? Et des riches ? Des livres de comptes ? Des bibliothèques de titres immobiliers, du béton et des héritiers ? Que reste-il de leurs noms et de leurs prestiges bourgeois ? Que reste-t-il des martyrs et des tués sur ces champs d’honneur ? Des noms de stades ou des plaques de rues que l’on fera vite de changer une fois la paix rétablie !
Et que dire du bol, de la vasque qui nous entoure les fesses ? Là d’où j’ai raclé les fientes du lézard qui ne sentent rien mais qui inspirent. Que dire du bol de soupe qui tourne et qui nous sert de nef ? De berceau, et de tombe et de ferme aussi ! La Terre qui tourne sous nos pieds sans qu’on s’en détache, malgré sa très grande allure ! Il faut qu’elle tourne très vite, sinon elle tombe et si rien ne l’attire. Elle nous retient et nous attire en nous emportant dans le sillage cyclique de ses vents.
Et dire…Mais que dire cette Terre frelatée et de sa ponte ? De cette vermine qu’elle nourrit de son corps et qui grouille, en rampant sur sa carapace. Une ombre risible et nous donc ? La Terreur. La race prophétique, la race prolifique, la tribu préférée, la race évoluée qui ravage et qui tue pour manger toutes les autres ? Les guerres de toutes sortes, exodes, exils, terreurs nettoyages ethniques ! Racismes divers, xénophobies, haines, massacres et vols ! Politiques fallacieuses, tromperies de faussaires ! Où êtes-vous donc, mes tristes et déloyaux débiteurs ?
ô Terre, toi et les tiens, si superbes soient-ils ! Un caillou jeté dans l’espace froid ! A peine visible de ce Soleil éloigné mais immense, qui exulte, qui la chauffe et qui l’illumine. Afin de voir ces poux et ces puces, qui la grattent et la sucent, en lui perçant le corps !
Et que dire de ce petit reptile, qui a laissé sa crotte là, sur les toilettes, pour me faire réfléchir ? C’est un dragon miniature, un reste de sauriens dix fois plus grands que les ours et les dromadaires ! Un souvenir perspicace et pérenne, évolué et impertinent de ses ancêtres effacés, les dinosaures !
Mais que dire alors des vrais reptiles, les pervers ? Si chers à Benkirane ? Ceux qui rampent et empoissent, ceux qui empoisonnent les êtres qu’ils avalent dans la glue collante de leur traines.Pour lui, les crocodiles, ce sont point des cousins ni des repères. Que des prête-noms, des voleurs de surnom et de nomenclature. Des copies difficiles à interpréter, tant le lézard ne mange que pour vivre, jamais pour entasser ni pour grossir, comme ces ‘’humains’’ qui le pourchassent et qui polluent notre atmosphère ! Ceux-là, ils ont de grosses crottes et d’épais cuirs ! Des pachydermes difficiles à dompter. Une espèce de rapaces qui gomment ceux sur lesquels ils fusent. Rien ne repousse ni persiste après leurs razzias. Herbes vertes et bêtes inférieures disparaissent, c’est l’extinction de leurs races et de leurs espèces.
J’ai deux ou trois télés et des yeux pour regarder les hommes. Je ne retiens d’eux que le spectacle sombre des rues, où ordures et zizis me montrent où nous sommes ! Des scories où l’on peut y lire nos travers anéantis et notre destination.Nous sommes des humains, malgré nos crottes, nos dents et nos viscères. Mais surtout, parce que nous avons une âme qu’on ne peut ni tuer ni déloger. C’est pour cela que je Te prie et que j’espère en Toi.
DR IDRISSI MY AHMED, KENITRA, LE 04 MAI 2014
J’AI LU UN ARTICLE SUR LNT, AINSI QUE CELUI DE ALM , CONCERNANT LE CONGRES DU PPS,
TOUT COMME LE BILLET DE NAIM KAMAL SUR SON QUID.MA
( EN VOIR LE CONTENU SVP, PLUS BAS ).JE LUI AI REPONDU CECI :
Etes-vous admiratif ou critique, Si Naïm Kamal ?
Sont-ce des louanges sur le mode élégant, ou une admiration cachée par le dépit ? Aucune des éventualités, certes ! Est une critique alors de l’opportunisme en politique ? Ou tout simplement, le constat de l’évolution saine du PPS !
L’eau dans le vin, pour le boire sans risques pour la santé ? C’est du vin quand même je dirais, qui aura sa part relative sur l’effet recherché ! Le plaisir de boire, non pas la saoulerie ! L’ivresse à minima, mesurée et classe, qui permet de ne pas quitter impromptus, la table. Sans l’ébriété nuisible ni la maladie regrettable !
En vérité, il me semble que c’est la preuve de l’autocritique du PPS, active, opérationnelle. Une phase de révision-adaptation, si chère aux rouges…Ou simplement le fait d’être un parti proprement marocain. L’effet du terroir ! Ce serait, il me semble l’adaptation intelligente de la Pensée aux possibilités rares et difficiles de l’Action.
L’accès du PPS au Gouvernement, du temps de la Koutla, était de percer le Makhzen, logés dans un cheval de Troie ! Allah yarham Si Ali Yata. Plutôt que de rester, pour le PPS, un soldat de plomb, hier sous l’ère de plomb, affiché comme un timbre du passé sur un coin de manuscrit moisi ! Un cadre archaïque, une coquille vide, comme un gadget russe, voire une statue de cire, une pièce percée dans un musée.
Pour ma part, j’encourage le Parti PPS à s’adapter pour ne pas mourir.
Par exemple, sans trahir, le ‘’ camarade PJD’’ , demain à la fin de cet exercice, s’activer et activer les partenaires naturels, dans le cadre du remembrement de la Koutla. Avec le PPS comme ferment, ciment et catalyseur. Ça pourrait arriver, pourvu que les excès de verbe des tribuns et des icônes se tassent !
Un gain pour les Marocains pour les intéresser à la politique, de façon concitoyenne pour le pays ! Face à toute les dissensions, face à cette plaisanterie de près de 35 partis qui nous représentent. (Qu’ont-ils au fait comme différends et comme différences dans leurs programmes, pour nous offrir tout cet éventail de micro partis. A nous donner le tournis pour nous y perdre ! Si, une seule raison en fait : c’est le mal être des seconds couteaux à rester dans les rangs ! Le désir, le-leur, d’être des leaders. Le syndrome du ‘’ Moi aussi, je suis un chef ’’!
Ce n’est pas rêve, mais une réelle nécessité pour le parti de Nabil Benabdallah. Evoluer pour le PPS et les Partis, les pousser à se remembrer à se fédérer. Plutôt que de ternir, de mourir, déchirés et de vieillesse, à l’instar du parangon, la feue URSS !
Tenir en s’adaptant, plutôt que de faire plaisir à KAMAL. Rester pur et dur, fâcheux, isolé, refuznik, bien rouge alors que la mère Russie craquelle et son image de leader chancelle est un non-sens ? Non, c’est impossible pour le PPS. Décommunisé, depuis ! D’autant plus que depuis la Chute du Mur de Berlin, la Russie serait devenue aussi impérialiste et plus capitaliste que les States ! Des retards à combler, au plus vite. Alors à quoi bon au PPS, d’être la Crimée, de nos partis ?Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 08 avril 2014
http://www.quid.ma/billet/sans-le-faire-expres/
” A titre personnel, Nabil Benaballah, ministre de l’habitat et secrétaire général du PPS, se considère toujours comme communiste. C’est lui qui l’assure, faucille de bois marteau de fer. Mais c’est un communiste estampillé d’ici. Un rouge teinté de vert. Ça ressemble à quelque chose comme les couleurs nationales. ”….PS :
Entre l’entêtement et la dynamique de persévérance, si le fixisme un signe de sclérose, l’évolution est un signe d’intelligence. L’adaptation est un moyen de perduration, de force et de pérennité.DEFENSE ET ILLUSTRATION DE M. SALADIN MEZOUAR. DETENTE SEMANTIQUE POLEMIQUE
‘’Pratiques élégantes et enseignements de la politesse : la diplomatie, une école de respect ’’
EXTRAIT DU ‘’MANUEL’’ AFFABLE’ D’UN PRESIDENT ‘’NORMAL’’, HADJ HOLLANDE DE FRANCE :
1-Changer de ‘’partenaires’’ le plus souvent, en gardant un faible pour les plus fortes de caractère. Huum ! Quitte à les reprendre, la Royale en tête. Remembrer son harem élyséen en vue d’une plus belle entente.
2-Changer de ton et de chef d’orchestre, le Premier de Maquignon en cas de ratés et renvoyer le héros disgracié, l’Ayrault, à sa Nantes…pour plus de rentes.
3-Opter pour le rythme des VALLS. Je parle des danses et non des pastilles de menthe.
4-Faire danser ‘’nu’’ dans la halqa du Charles De Gaule notre basketteur des affaires étrangères, Saladine Mezouar, le chef RNIste himself , d’un gouvernement ‘’ami ‘’, zaâma, c’est une honte !
On a vu sur la personne de notre ministre des Relations Extérieures, M. Mézouar, comment on déshabille les fidèles d’entre les dignes fils de la ‘’partenaire facile’’, ‘’La’’ Maroc, avant qu’ils ne pénètrent au sein de la douce France…A mini-stre serein, maxi stress en colère !D’ABORD UNE QUESTION LOGIQUE :
Que pouvait cacher le ministre Mézouar en allant chez les ultimes Gaulois ? Dans ses poches, dans ses basques ou sous son slip ? Une arme de destruction massive par trop proéminente, une cigarette roulée dans le kif, des diams ou quelques malheureux euros ?Si j’étais à la place de notre Ministre des Relations Extrêmes ou de Jamal Desbouses, qui ont subi la même plaisanterie, la même épreuve, cette sorte de bizutage de carabins, j’aurais opté pour l’une des conduites suivantes, voire pour elles toutes. Debbouze Jamal en piquera une pour sortir une de vannes, à moins que notre princier maroquin, Gad Elmaleh, n’en fasse l’une de ses ‘’coquinades*’’ sémites et bien salées au goût des marrakchis !
Une mesure de rétorsion. Ou de retro torsion ? Entrer ‘’nu’’ à Paris ! Un ministre nu, c’est adorable à voir gigoter sur les Champs Elysées ! Un homme peinturluré comme des Femen, c’est d’un chic parfumé pour la ville lumière, l’avenue de la Paix, le Moulin Rouge, la Comédie Française, le Panthéon, empalé sur la Colonne Vendôme, l’Obélisque ou la Tour Effel, face au Sénat ou au Père Lachaise. C’est la reconnaissance internationale, l’Arc de Triomphe, l’Oscar du Nobel, la célébrité mondiale. Ou directement la psychiatrie, jusqu’à ce que ‘’maure’’ s’en suive !
Et je leur laisserais mes hardes et mes fringues dans le caniveau de déshabillage. En cadeau mes babouches et mes chaussettes sur la ‘’banquise’’ qui leur sert de cœur ! Parce que ça doit sentir des pieds les Sudistes, après un si long voyage. Surtout qu’il venait juste, le Ministre, de serrer la patte du beau brun, notre ami Barak Obama. Cette mesure de prophylaxie, propre au Charles De Gaule est nécessaire pour chasser les mouches du tarmac. Elle permettra de dissuader les touristes malvenus, ceux aux identités remarquables, les mulâtres et les noirs d’Afrique. Comme elle devra instruire ceux d’Orient. Ces péteurs de pétrodollars, qui n’ont rien à foutre auprès des humaines et des blondes des pays démocratiques, modernes et civilisés.
Une riposte aussi et un mea culpa. Démissionner pour ce Ministre, obligé au dénuement devant les voyeuristes, s’auto éjecter du Ministère des Affaires ‘’Etranges’’ ! Du Gouvernement marocain et du Parti RNI par la même ! Car si un ponte de ces mensurations-là, s’il n’est pas capable de traverser les frontières, avec respect et dignement, c’est qu’il n’a ni couverture diplomatique, ni amis importants, ni c..illes ouailles! Mais aussi par compassion et solidarité, faire démissionner en bloc le Gouvernement RNI-PJD de notre pieux Benkirane. A moins qu’une fatwa ne vienne demander aux ministres marocains d’aller en France, vêtus dans leur simple appareil ! Nus, dorénavant, afin d’éviter les fouilles inélégantes et intempestives ! Ils porteront serti, un anuscope enserré au rectum pour vérifier si leur colon ne contient ni devises, ni poudre, ni dynamite.
Déchirer le passeport et ses visas schenguinolents et vaseux, tout comme cette corvée des empreintes et des coulisses aux consulats ! Comme si nos pays ne pouvaient pas se communiquer nos estampilles digitales, au besoin des polices internationales ! Zut ! Que fait notre Intérieur pour nous faire respecter à l’extérieur ?
Rester chez soi, faire la queue, tout seul ! Rigoler seul pour Jamal, parce que ça ne sert à rien de faire rigoler les reliques des Gaulois qui vous rendent mal vos ‘’sorties’’ et vos entrées sur leur, votre devenu territoire et patrie natale ! Ça ne sert à rien, non plus, que ces épousailles françaises avec une journaliste célèbre et mère de son enfant. Et la nationalité acquise à coup de zizi par un Zarabe, ça compte pour du Beur ! Ça se comprend enfin, c’est une nationalité, d’emprunt, une couverture, un masque, une guenille !
Ou, pour le Ministre Saladin Mézouar, revenir aux basques des Séides pour les embrasser. Ça les réconforte, ça les rend forts. Leur cirer les pompes aux pontes qu’il est allé voir, afin de péleriner en toute quiétude aux hauts lieux civilisés, où il aurait était invité et bien reçu ! Certes, non, c’est difficile!
Ou se recycler à cause de cet échec correctif cuisant ! Retourner au basquet, son sport favori de l’époque, afin de ‘’se marquer’’ d’autres paniers aussi époustouflants qu’incongrus. D’autres buts que la niaiserie politique, qu’il défend si mal, en se laissant palper et peloter à la douane policée de Paris ! Pas assez policée ni polie, en fait ! Fête ou défaite ? Réputation surfaite pour les doux agneaux que nous sommes ! Devant les vaches ! Car le dol ou la honte est nationale. De qui perdre son étoile verte ou ses couleurs rouges en casser sa hampe au drapeau devenu soudain fané !
Marquer cette journée d’un drapeau noir alors ! Comme ce témoin que l’on érige sur les ‘’plages interdites’’ ou dangereuses ! Preuve des mauvaises vagues inattendues ? à venir, d’un tsunami sentimental prévu. Voire comment célébrer cette date infamante comme journée internationale de la dignité. Une façon de graver de hontes notre histoire. Et de dénoncer la face hypocrite et mal cachée de cet irrespect organique envers les bougnoules et du manque de diplomatie envers la pute, pardon, la ‘’respectueuse attitrée’’ qu’on est obligé de défendre ! Comprendre, interdire pernicieusement l’accès de ses fils à leur matrice culturelle !
Pour des maîtres es-diplomatie, nos enseignants francophones, nos parangons, ceux des Relations Extérieures ou mieux des affaires étrangères, (très étrangères), c’est la fin du cycle francophile. Le repoussoir est arrivé à la fin de sa vis d’Archimède. A la fin de sa vie ou à son vice de forme ! Trop c’est trop !
Défendre son ministre, c’est aussi défendre sa propre fierté, devant ces excès et face aux erreurs, des dits-premiers-partenaires et grands amis ostensibles du Maroc. Mais le petit peuple, lui, est sujet aux exactions régulières. Et c’est un fait d’inégalité et de xénophobie, qui rappellent sans hypocrisie une autre époque. Ce qui met en doute toute la littérature et tout le blabla qui enjolivent nos relations. Des relations intimes, fidèles et étroites, de dépendances multiples et de promiscuité, entachées malheureusement de manques d’égards manifestes. La preuve est sortie de la bouche de cet ambassadeur onusien …Passons.
Comme le cœur, la vessie est pleine. Pleine d’assentiments au point d’éclabousser malgré la prostate les murs de la honte, ceux du silence, celui des lamentations et du Web, la coupe est pleine. Ras le bol, le passeport diplomatique est un leurre, une foutaise bien établie. C’est de la scatologie diplopique !
Il vaut mieux rester chez soi, loin de la police et des douanes, même des nôtres. Elles, qui reçoivent complaisantes et hospitalières, sans visa, sans chicaner, toutes les minois du Nord, riches ou me..diques mesquins, sans racisme, sans ostentations ni suspicions maladives. Sans enfreindre aux lois de la bienséance et sans atteintes aux droits de l’homme.
Demain, il faudra donc un régime spécial à l’endroit de nos hôtes de France, de Hollande et de Navarre ! Déshabiller les ministres et les politicards, à leurs entrées comme à leur sorties. Ça s’appelle en diplomatie, rendre la politesse par la pareille. Et alors, un gentil ministre, en porte parole officiel ou en catimini, pourra toujours crier sur les journaux et embuer le Net : ‘’ Merci de nous excuser, pour cette nécessité sécuritaire vitale, empreinte de déférence, mais hélas applicable démocratiquement à tous nos illustres visiteurs ’’. A la manière de Fabius ou des fables de La Fontaine.
On reçoit ces jours-ci le Secrétaire d’Etat américain, alias Ministre des Affaires Etrangères des States. Que faire et quel rite observer, sur quel rythme nudiste danser avec ce John Kerry ? Quand on pense, Sahara oblige, à ses cousins pro-Polisàriens et à leurs effervescences lobbyistes et ennemies de notre entité et cause première, ce sera la valse Kerry ? La Walkyrie ? Le déshabiller, notre super hôte, lui chercher des poux‘’ dans’’ la tête, des morpions, parce qu’il est descendu chez la sœur Algérie ?
Non, non France, que tu soies ‘’ gauche’’ ou plus adroite, corrige ton français ! Parce que si c’est notre langue d’ouverture et d’échanges, de sciences et de diplomatie, elle restera celle de politesse aussi ! Et c’est ça la francophonie, une civilisation !
Dr IDRISSI My Ahmed, le 1er Avril 2014

La golfeuse Marocaine Maha Haddioui et le footballeur Mehdi Benatia ont été désignés meilleurs
sportifs de l’année 2013 lors du sondage annuel réalisé par le desk sport de l’Agence Maghreb Arabe Presse (MAP).
Hassan Benabicha, l’ancien entraineur des U20, a été nommé à la tête de la sélection nationale des locaux. Le technicien qui a notamment remporté les Jeux méditerranéens avec les juniors dirigera les Lions de l’Atlas évoluant dans le championnat local lors de la prochaine coupe d’Afrique des nations (CHAN) prévue du 11 janvier au 1er février en Afrique du Sud.
Pour rappel, Benabicha avait également réussi à remporter avec les U20 les Jeux Islamiques, en plus d’une médaille d’argent aux Jeux de la Francophonie. Il a été élu entraîneur marocain de l’année puis décoré d’un Ouissam royal.
Après sa nomination, le technicien a dévoilé sa liste composée de 26 joueurs qui seront en stage de préparation le 30 décembre jusqu’au 2 janvier au centre national de football de la Maamora. Il devra choisir les 23 qui participeront à la CHAN.
Les Lions de l’Atlas débuteront les hostilités le 12 janvier face au Zimbabwe à Cap Town, avant de défier le Burkina Faso le 16 janvier et l’Ouganda le 20 janvier.