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15 réponses de 646 à 660 (sur un total de 899)
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  • #217924

    En réponse à : figuig : quel avenir ??

    nezouh
    Membre

    salam à tous,

    merci pour l’info Dahlia, je ne suis pas trop au courant de ce qui se passe à Figuig. Il ne reste plus grande monde de ma famille proche là-bas, plus que des cousins et oncles et tantes à mon père. La seule tante qui me restais est décédée, et ses enfants sont en france pour la plupart.
    Mais je suis bien contente que les figuiguis se bougent et n’attendent pas que la royauté le fasse pour eux. Par contre je trouve un peu risqué de développer le tourisme, on était bien tranquille, sans les étrangers!

    Mais si c’est pour faire relever notre chère Figuig alors , allons y!

    Mon père à hérité de jenènes, il faut que j’y aille pour voir dans quel état ils sont. Mon père m’a dit que ca va pour nous. Ils font des dattes, et tous les ans, on nous les envois en france pour y gouter.

    #228240
    saidi
    Membre

    @nezouh wrote:

    salam à todos,

    gracias Voujdav,

    todo lo que tu dises es la réalidad, yo pienso la misma cosa, nosotros , de dondes vienemos, quieremos solo hablar con nuestros hermanos y hermanas que estan en otros pais, y « échanger » informaciones, y ideas diferamentes.

    j’espère que tu m’as compris, avec mon vocabulaire espagnol très faible.

    hadak ma brite n’goule, khoty.

    Madame NEZOUH Bonjour,

    Votre réponse amie VOUJDAV et en espagnol .

    D’une part, celà a confirmé que ce qu’ai eu comme discussion en espagnol avec VOUJDAV n’a pas été aussi étrange que celà, que celà ne relève pas de l’impossible, j’ai vu que vous lui avez répondu en espagnol, peu importe la manière avec laquelle vous avez rédigé votre message (qui ne demande d’ailleurs aucun commentaire). L’essentiel, c’est que deux internautes marocaines ou marocains qui vivent chacun à des dizaines de milliers de kilomètres puissent se parler, celà m’a fait plaisir de voir que celà a abouti à une première expérience positive. Merci VOUJDAV, merci NEZOUH d’avoir comprises ce que je voulais dire dans l’un de mes derniers messages. Merci au aussi à AYMAN sa lucidité de comprendre lui ce que veux exprimer, merci de nou avoir donné des références qui nous permettra des traductions aisées c’est ainsi que vou verrons INCH ALLAH de plus en plus d’internautes de différents pays s’interesser à ce site et donc à leur pays et à leur région. Vous pouvez aussi lire un message que j’ai envoyé à M. BOUAYAD sur le topic « LES IDRISSIDES DU MAROC ORIENTAL » un Monsieur qui même si on a des divergences d’opinions sur certaines choses à un mérite qui mérite d’être souligné: c’est le premier Monsieur qui a bien compris notre problème des » RME TOUT HORIZON  » Je suis sûr que si des problèmes pratiques auxquels nous sommes confrontés, nous les RME, je n’hésiterais pas à lui faire appel , pcq comme on dit en français(je dis bien en français et pas en langue de molière) c’est un Monsieur qui pourra nous aider dans ce domaine et je suis sûr qu’il y en aura d’autres parceque négliger ce phénomène est à mon avis une erreur fondamentale que certains de nos gouvernants ont négligé pendant trop tontemps( demandez à vos parents quelles étaient les conditions dans les lesquelles ils ont dû passer la frontière pour entrer au pays pendant la période des vacances) . J’ai toujours dit que c’est peut être le seul peuple qui n’a pas laché son pays comme beaucoup d’autres peubles immigrés l’ont fait. L’immigration marocaine pour une raison que dieu seul sait a toujours été présente, active pour continuer à servir cette patrie particulièrement sur le plan économique comme tous les économistes et banquiers marocains se ventent aujourdh’ui d’avoir compris. En attendant, il ya peu de gens parmis ces eminces grises qui a donné la place que l’immigration merite avant l’avennement de SM. LE ROI MOHAMMED VI. Demandez à vos parents, posez les questions à votre père, votre mère, vos grands frères et grandes soeurs qui ont vécu non pas le parcours du combattant mais l’enfer de voir des immigrés vivant à l’étranger, revenir en masse dans leur pays avec des capitaux non negligeables, demandez leur comment ils étaient traités à la douane marocaine! l’histoire ne s’apprend pas toujours^par les livres ou par internet aujourdh’ui, l’histoire peut s’apprendre par une tradition orale, alors n’hésiter pas à poser des questions à vos parents, vous qui n’êtes pas de la première génération, vous apprendrez beaucoup de chose et pas seulement la JOUTIYA ET FENDEK BOULOUIZ comme certains parasites se contentent de répondre! Oui, je suis de la première génération de l’émigration, la route BELGIQUE-oujda, jela connais par coeur, par bateau, par autocars, par voiture, par avion etc… Si celà vous interesse que je joue au grand père, un jour on consacrera une rubrique particulière réservées aux anecdotes des problèmes vécus par notre immigration rien que pour sortir et rentrer au Maroc. Il va de soit que je commencerais par le fameux chanteur CHEIKH? qui a chanté EL PASSPORT LAKHDAR CE QUE J4AI TOUJOURS CONSID2R2 COMME UN GRAND CLASSIQUE QUE TOUT immigré devrait avoir dans sa » médiathèque », je rigole, je veux dire avoir ce disque 45 T et le faire écouter à ses enfants, c’est d’une pedagogie telle que SARKO ET SEGOLENE pouvaient ensemble passer des heures à écrire un discours, ils ne pouvaient pas y parvenir, c’est trop fort, il faut l’avoir vécu pour le raconter et c’est celà la richesse de ce dsique EL PASSPORT LAKHDAR. bien à vous.

    #230226

    En réponse à : Maroc Pub ..

    nezouh
    Membre

    salam à tous,

    trop cool ces pubs, je ne les ai jamais vu!!! on a eu la télé que très tard chez nous!!!!!!!! Merci Fadi

    moi je dis mma et bba et pour les grands parents on disait jeddi et lala (maternelle)ou nana (paternelle)!!!!

    #224390

    En réponse à : Le dico Oujdi

    nezouh
    Membre

    salam à tous,

    oui moi aussi je me souviens!!!!!!!!!!!
    ma grand mère (Allah y rahameha) nous faisais du chercheme à cuire sur le majamr durant des heures et des heures, et avant elle utilisais un ryaje!

    merci Ayman!

    Fatimak, tu dis comment pour ce qui est des khringo ? tu dis barhir ?
    moi c’est ce mot qui me fait rire!!!!!

    attention je suis très suceptible!!!!!! 😆

    oujdi12
    Membre

    salam alikoum ,
    je te felicite pr cette initiative shu3lat-al-amal , inchaallah on participera à tes efforts qui mérite un grand remerciement .

    #229777

    En réponse à : Salut , Salam

    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    Salut Patrick.
    C’est mon tour aussi de te parler un peu de la partie de la région où je réside actuellement,de toute façon nous sommes preque dans la même
    lignée des deux côtés de la médétirranée,et comme il parait nous sommes
    priviligié de quelques avantages de géographie :

    La ville de Berkane (où je réside) est le chef lieu de la province; c’est aussi le centre névralgique de son activité économique et commerciale étroitement liée à l’agriculture.
    De par sa situation géographique et sa localisation sur les grands axes de desserte, notamment l’axe Oujda-Nador, elle constitue un véritable carrefour par où transite la presque totalité de la production agricole de la région qualité de ses fruits et légumes, et surtout de sa clémentine ,lui ont valu d’être connue sur les marchés nationaux et internationaux. en plus de Berkane 77026 habitants on dénombre cinq autres centre urbains

    #228222
    saidi
    Membre

    @ayman wrote:

    @saidi wrote:

    Chèr AYMAN,

    Bosoir et je profites de te saluer et de te féliciter pour tous tes messages. Cependant, j’ai une question à te poser si tu le permet.

    Quelle est l’origine du mot RIMITI?
    BIEN A TOI

    Voilà mon frere Saidi , bonne lecture 😀

    Cheikha rimitti est Née à Tessala (village situé près de Sidi Bel-Abbès, dans l’Ouest algérien) le 8 mai 1923, la petite fille prénommée Saïda se retrouve très vite orpheline.
    A 20 ans, elle s’installe à Rélizane, un grand centre colonial où la vie est rude. La pauvreté, les épidémies et la famine sévissent. « On grillait le grain de blé pour remplacer le café, que l’on buvait avec du sirop.
    La jeune Saïda, qui dort dans les rues, dans le hammam et mange quand elle le peut, se met à suivre une troupe de musiciens ambulants. D’ailleurs en nulle part, elle rencontre le célèbre musicien Cheick Mohamed Ould Ennems, avec qui elle se met en ménage alors qu’il est père de dix enfants. Il lui fait connaître le milieu artistique algérois et la fait enregistrer à Radio Alger.

    Une femme de cœur, toujours rongée par la honte et la timidité d’apparaître en public ou dans certains endroits non conventionnels. « Elle n’aimait pas chanter là où les gens pouvaient la reconnaître, rapporte Mohamed Allalou, ancien animateur de la Chaîne III et ami de la défunte artiste. Elle cherchait à se débarrasser de cette mauvaise réputation qui lui collait injustement à la peau. » Allalou se souvient du jour où il est parti lui remettre une invitation pour animer un concert au Parlement européen de Strasbourg. C’était en 1995. « Elle ignorait même ce que ‘‘Parlement européen’’ voulait dire. Elle vivait dans un minable hôtel du 10e arrondissement de Paris. La chambre était minuscule. Meublée d’un lit, d’une petite armoire, d’une valise et d’un réveil, le décor donnait l’impression d’une femme toujours sur le point de départ. » Après de longues discussions, Rimitti accepte enfin d’aller chanter à Strasbourg. Mais pose, tout de même, deux conditions. Dans la première, elle demande au Parlement européen de lui verser des arrhes en espèces. Chose, en principe, qui ne se fait jamais. Dans la seconde, elle fait savoir qu’elle refuserait, sur place, toute rencontre avec la presse. « Attention ! Journalistes zigzag, wallou », répétait-elle à Allalou durant tout le trajet. « Autrement dit, je ne ferai aucune interview. »

    L’histoire raconte qu’un jour de pluie où elle entrait dans une cantine pour boire un café, les clients l’ont reconnue et acclamée avec ferveur. Pour les remercier, elle veut leur offrir une tournée mais ne parlant que quelques mots de français, elle ordonne à la serveuse « Remettez, madame, remettez ». Le public la baptise aussitôt « la chanteuse Remitti ».

    Il y a aussi cette anecdote où Rimitti avait refusé de chanter deux fois de suite dans une même salle parisienne. Pour lui faire changer d’avis, son manager n’avait comme solution que de lui annoncer que le concert allait enfin avoir lieu dans autre une ville, située en province. Rimitti accepte donc la nouvelle proposition, obligeant, cependant, son accompagnateur à faire quatre fois le tour du périphérique parisien pour lui faire croire que la ville était vraiment loin. Pourtant, Rimitti se retrouvera, sans se rendre compte, dans la même salle où elle avait chanté quelque temps auparavant. Pas loin de son domicile. « Ne sachant ni lire ni écrire, elle n’avait tout simplement pas reconnu les lieux. »

    A la fin des années 70, elle pique un coup de sang lorsqu’elle apprend que des chanteuses reprennent son répertoire en France. L’une d’elles se fait même appeler Cheikha Rimitti « sghira » (la petite) ! En 1978, elle débarque à Paris et écume les hauts lieux de la chanson maghrébine populaire (dont le célèbre  » Bedjaïa Club », un café situé près de la station Stalingrad, en plein cœur du 18ème arrondissement).

    La mamie du raï, Cheikha Rimitti est morte, lundi, d’une crise cardiaque à Paris. Elle avait 83 ans. Insoumise et libre, l’auteur, à la vie rock’n roll, de Cherak Gataâ et Naouri Y’El Ghaba laisse la musique algérienne orpheline.

    Cher AYMAN BONSOIR,

    J’ai bien lu ton post concernant cheikha rimiti, et je te remercie pour les informations que tu m’a fournis. Je voudrais en attendant, te dire que ce qu’i écrit à notre ami VOUJDAV? C42TAIT CE QUE JE POSSEDAIT COMME INORMATION concernant cette défunte dame. je ne connais pas l’histoire de cette dame, je me suis simplementcontenté de répéter ce qui a été dit par certains producteurs de musique algérinne  » l’histoire du rai » qui m’ a entre autre influencé, je l’ai utilisé comme argument pour expliquer ce qu’st ce mythe de RIMITI.jje n’ai pour ma part aucun argument fiable ni convaincant pour te répondre. J’ai simplement écouté certains producteurs algériens nous raconter l’histoire du rai et par la même occasion, ils ont inclus l’histoire de RIMITI, je n’ai fait rien d’autre que de répéter à VOUJDAV en espagnol ce que j’ai en ma possession enregistré de la part de nos amis algériens qui ont raconté cette histoire. Maibtenant, Si vous estimez que ces gens n’ont pas raconté la vérité, il vous appartient de le contrer, pour ce qui me concerne, la seule chose que je peux faire c’est de vous faire écouter et lire ce qui a été dit à propos de RIMITI par les professionels de musique algérienne. point terminé.

    #228203
    saidi
    Membre

    @ayman wrote:

    @saidi wrote:

    Chèr AYMAN,

    Bosoir et je profites de te saluer et de te féliciter pour tous tes messages. Cependant, j’ai une question à te poser si tu le permet.

    Quelle est l’origine du mot RIMITI?
    BIEN A TOI

    Voilà mon frere Saidi , bonne lecture 😀

    Cheikha rimitti est Née à Tessala (village situé près de Sidi Bel-Abbès, dans l’Ouest algérien) le 8 mai 1923, la petite fille prénommée Saïda se retrouve très vite orpheline.
    A 20 ans, elle s’installe à Rélizane, un grand centre colonial où la vie est rude. La pauvreté, les épidémies et la famine sévissent. « On grillait le grain de blé pour remplacer le café, que l’on buvait avec du sirop.
    La jeune Saïda, qui dort dans les rues, dans le hammam et mange quand elle le peut, se met à suivre une troupe de musiciens ambulants. D’ailleurs en nulle part, elle rencontre le célèbre musicien Cheick Mohamed Ould Ennems, avec qui elle se met en ménage alors qu’il est père de dix enfants. Il lui fait connaître le milieu artistique algérois et la fait enregistrer à Radio Alger.

    Une femme de cœur, toujours rongée par la honte et la timidité d’apparaître en public ou dans certains endroits non conventionnels. « Elle n’aimait pas chanter là où les gens pouvaient la reconnaître, rapporte Mohamed Allalou, ancien animateur de la Chaîne III et ami de la défunte artiste. Elle cherchait à se débarrasser de cette mauvaise réputation qui lui collait injustement à la peau. » Allalou se souvient du jour où il est parti lui remettre une invitation pour animer un concert au Parlement européen de Strasbourg. C’était en 1995. « Elle ignorait même ce que ‘‘Parlement européen’’ voulait dire. Elle vivait dans un minable hôtel du 10e arrondissement de Paris. La chambre était minuscule. Meublée d’un lit, d’une petite armoire, d’une valise et d’un réveil, le décor donnait l’impression d’une femme toujours sur le point de départ. » Après de longues discussions, Rimitti accepte enfin d’aller chanter à Strasbourg. Mais pose, tout de même, deux conditions. Dans la première, elle demande au Parlement européen de lui verser des arrhes en espèces. Chose, en principe, qui ne se fait jamais. Dans la seconde, elle fait savoir qu’elle refuserait, sur place, toute rencontre avec la presse. « Attention ! Journalistes zigzag, wallou », répétait-elle à Allalou durant tout le trajet. « Autrement dit, je ne ferai aucune interview. »

    L’histoire raconte qu’un jour de pluie où elle entrait dans une cantine pour boire un café, les clients l’ont reconnue et acclamée avec ferveur. Pour les remercier, elle veut leur offrir une tournée mais ne parlant que quelques mots de français, elle ordonne à la serveuse « Remettez, madame, remettez ». Le public la baptise aussitôt « la chanteuse Remitti ».

    Il y a aussi cette anecdote où Rimitti avait refusé de chanter deux fois de suite dans une même salle parisienne. Pour lui faire changer d’avis, son manager n’avait comme solution que de lui annoncer que le concert allait enfin avoir lieu dans autre une ville, située en province. Rimitti accepte donc la nouvelle proposition, obligeant, cependant, son accompagnateur à faire quatre fois le tour du périphérique parisien pour lui faire croire que la ville était vraiment loin. Pourtant, Rimitti se retrouvera, sans se rendre compte, dans la même salle où elle avait chanté quelque temps auparavant. Pas loin de son domicile. « Ne sachant ni lire ni écrire, elle n’avait tout simplement pas reconnu les lieux. »

    A la fin des années 70, elle pique un coup de sang lorsqu’elle apprend que des chanteuses reprennent son répertoire en France. L’une d’elles se fait même appeler Cheikha Rimitti « sghira » (la petite) ! En 1978, elle débarque à Paris et écume les hauts lieux de la chanson maghrébine populaire (dont le célèbre  » Bedjaïa Club », un café situé près de la station Stalingrad, en plein cœur du 18ème arrondissement).

    La mamie du raï, Cheikha Rimitti est morte, lundi, d’une crise cardiaque à Paris. Elle avait 83 ans. Insoumise et libre, l’auteur, à la vie rock’n roll, de Cherak Gataâ et Naouri Y’El Ghaba laisse la musique algérienne orpheline.

    Bonsoir AYMAN,

    Merci pour les informations que tu m’as adressées, je les ai bien lues, J’avais une autre interprétation de l’histoire de cette défunte, que j’ai expliqué à VOUJDAV en espagnol, non pas pour dire que maitrise la langue cestellane mais simplement pour lui faire plaisir à elle aussi qui se sent un peu malmenée dans la langue française et arabe qui n’oubliez pas, relisez les archives si vous voulez savoir qui a commencé avec celà, vous y trouverez des gens qui revendiquaient l’utilisation de la langue arabe et rien d’autre sur ce site! ces personnes se rendent compte aujourdh’ui qu’ils étaient à côté de la plaque puuisque le principal c’est de communiquer avec n’importe quelle langue et n’importe quel dialecte avec ou sans fautes pourvu qu’on se comprennent. Il n’ya pas longtemps, j’ai lu sur ce site certains internautes revendiquer l’exclusivité de la langue arabe, je m’aperçois aujourdh’ui qu’ils se sont rendus compte qu’ils doivent se soumettre ou se tailler comme moi, je le fais en langue arabe, je fais un effort pour comprendre ce que les gens écrivent en arabe et j’ai tout le loisir de répondre dans la langue qui me paraît être la plus facile de me faire comprendre. Voilà, c’est aussi simple que celà et je ne pense pas qu’il ya là de quoi fairre un monde et en tout état de cause, si j’ai écrit des choses déplacées qui ont blessées l’un ou l’autre des internautes, je les prie de m’excuser. bien à toi

    #228192
    ayman
    Membre

    @saidi wrote:

    Chèr AYMAN,

    Bosoir et je profites de te saluer et de te féliciter pour tous tes messages. Cependant, j’ai une question à te poser si tu le permet.

    Quelle est l’origine du mot RIMITI?
    BIEN A TOI

    Voilà mon frere Saidi , bonne lecture 😀

    Cheikha rimitti est Née à Tessala (village situé près de Sidi Bel-Abbès, dans l’Ouest algérien) le 8 mai 1923, la petite fille prénommée Saïda se retrouve très vite orpheline.
    A 20 ans, elle s’installe à Rélizane, un grand centre colonial où la vie est rude. La pauvreté, les épidémies et la famine sévissent. « On grillait le grain de blé pour remplacer le café, que l’on buvait avec du sirop.
    La jeune Saïda, qui dort dans les rues, dans le hammam et mange quand elle le peut, se met à suivre une troupe de musiciens ambulants. D’ailleurs en nulle part, elle rencontre le célèbre musicien Cheick Mohamed Ould Ennems, avec qui elle se met en ménage alors qu’il est père de dix enfants. Il lui fait connaître le milieu artistique algérois et la fait enregistrer à Radio Alger.

    Une femme de cœur, toujours rongée par la honte et la timidité d’apparaître en public ou dans certains endroits non conventionnels. « Elle n’aimait pas chanter là où les gens pouvaient la reconnaître, rapporte Mohamed Allalou, ancien animateur de la Chaîne III et ami de la défunte artiste. Elle cherchait à se débarrasser de cette mauvaise réputation qui lui collait injustement à la peau. » Allalou se souvient du jour où il est parti lui remettre une invitation pour animer un concert au Parlement européen de Strasbourg. C’était en 1995. « Elle ignorait même ce que ‘‘Parlement européen’’ voulait dire. Elle vivait dans un minable hôtel du 10e arrondissement de Paris. La chambre était minuscule. Meublée d’un lit, d’une petite armoire, d’une valise et d’un réveil, le décor donnait l’impression d’une femme toujours sur le point de départ. » Après de longues discussions, Rimitti accepte enfin d’aller chanter à Strasbourg. Mais pose, tout de même, deux conditions. Dans la première, elle demande au Parlement européen de lui verser des arrhes en espèces. Chose, en principe, qui ne se fait jamais. Dans la seconde, elle fait savoir qu’elle refuserait, sur place, toute rencontre avec la presse. « Attention ! Journalistes zigzag, wallou », répétait-elle à Allalou durant tout le trajet. « Autrement dit, je ne ferai aucune interview. »

    L’histoire raconte qu’un jour de pluie où elle entrait dans une cantine pour boire un café, les clients l’ont reconnue et acclamée avec ferveur. Pour les remercier, elle veut leur offrir une tournée mais ne parlant que quelques mots de français, elle ordonne à la serveuse « Remettez, madame, remettez ». Le public la baptise aussitôt « la chanteuse Remitti ».

    Il y a aussi cette anecdote où Rimitti avait refusé de chanter deux fois de suite dans une même salle parisienne. Pour lui faire changer d’avis, son manager n’avait comme solution que de lui annoncer que le concert allait enfin avoir lieu dans autre une ville, située en province. Rimitti accepte donc la nouvelle proposition, obligeant, cependant, son accompagnateur à faire quatre fois le tour du périphérique parisien pour lui faire croire que la ville était vraiment loin. Pourtant, Rimitti se retrouvera, sans se rendre compte, dans la même salle où elle avait chanté quelque temps auparavant. Pas loin de son domicile. « Ne sachant ni lire ni écrire, elle n’avait tout simplement pas reconnu les lieux. »

    A la fin des années 70, elle pique un coup de sang lorsqu’elle apprend que des chanteuses reprennent son répertoire en France. L’une d’elles se fait même appeler Cheikha Rimitti « sghira » (la petite) ! En 1978, elle débarque à Paris et écume les hauts lieux de la chanson maghrébine populaire (dont le célèbre  » Bedjaïa Club », un café situé près de la station Stalingrad, en plein cœur du 18ème arrondissement).

    La mamie du raï, Cheikha Rimitti est morte, lundi, d’une crise cardiaque à Paris. Elle avait 83 ans. Insoumise et libre, l’auteur, à la vie rock’n roll, de Cherak Gataâ et Naouri Y’El Ghaba laisse la musique algérienne orpheline.

    #229438
    ayman
    Membre

    @nass wrote:

    nooooon !!!!!

    il s’est mis sur la pointe des pieds pour paraître plus grand 🙂 🙂 🙂

    Aaah , ok, merci Nass;
    mais je pense qu’il vise le president, regarde bien son regard ou il va 😆 😆

    #217388

    En réponse à : isly golf

    The AS
    Membre

    qustion organisation de l’espace elle est tres bien faite
    la salle est tres grande ce qui te done une liberté de l’amenager à l’interieur comme tu le souhaite, elle est aussi tres bien eclairé et ventilé pas mal de fenetres… il fé pa tres chaud le soir en fait le makillage pr les dames ne coule pas 😉
    une terrasse exterieur où tu pourras mettre wahed 4 à 5 table plus dak chi dyal traiteur (pr ns c t le3lawi ils etaient à l exterieur un delir madayerch 😀 )
    un grd parking où ta une entrée majestueuse des futur mariés depuis la terrasse ca c un gadget en plus 8)
    voila c à peu pré tt si ta d autre question n hesite pas, si t interesser j pourrais te passer leur numero de tel il faut reserver à l avance
    bon courage 🙂

    @kaydi wrote:

    Salam! 🙂
    je vais aussi peut etre louer cette salle mais je n’aurai pas la possibilté de la voir avant , comment la touve tu?, aurais tu des photos à m’envoyer?
    Merci

    #225638
    OUJDI_PUR
    Membre

    la zaouiya a infecte la societe aussi par ces khouza3bilates ?

    sma3 leklam alli ybakik machi alli ydahkake
    @sidiyb : tu sais tu es d’une grande naïveté

    @sidiyb wrote:

    je te remerci si ahmed pour ton message qui fai chaud au coeur , et on en manque de gens neutre comme vous , qui cherche!!!merci beaucoup

    #225605
    marocaine10
    Membre

    salut mes frères et soeurs et merci pour ce qui m’ont ardonnée
    cher frere qui a dit que rien n’est changé dans l’institut que fais la zaouya juste a cote ca reste que peux de chose (comme la peinture…) et une grande jami3a comme ca ne doit pas etre finie avant 2008 car c’est tres grand et pour ceux qui disent des foukara des cons vous devrez un peu les respetaient .
    pour ceux qui disent que sidi hamza est assis pour voir les mouridines saoutait a cote de lui c’est faux .(je vais inchaallah vous cherchez des choses vraie)
    je veux savoir et s’il vous plait savoir qui habites a oujda car ma famille fait des soirs pour le dikr
    قال رسول اللله صلى اللله عليه و سلم قال
    قال الله تعالى من دكرني في نفسه دكرته في نفسي و من دكرني في ملا دكرته في ملا خير منه
    et merci

    #228119
    ayman
    Membre

    Nezouh: Tu m’as oublié 😀
    D’abord je te trouve raisonnable et posée qd t’as dit:
    @nezouh wrote:

    Ensuite, je tiens à dire que je ne prends pas vos remarques pour des critiques. Au contraire, il vous fallait des exemples concrets différents de votre mode de vie pour pouvoir en débattre. et si cela faire couler de¨..

    On fait que s’echanger les idées respectueusement et apprendre mutuellement l’un dl’autre.. merci pour cette grandeur d’esprit
    @nezouh wrote:

    tu me parles de jouer avec le feu, dans mon cas, ce n’est pas du tout ça , pour la simple raison, que j’ai élevé et je continue à éléver mes enfants en leur ayant appris tant que possible la différence entre le bien et le mal.
    N’importe quel être humain si tu le mets devant un brasier, il ne prendra pas le risque de s’en approcher ou de le toucher!!! Une discothèque n’a jamais été un brasier, ce sont les gens qui sont dedans qui risquent d’être dangereux ou pas.

    Faut esperer arriver à temps 🙂 « vaut mieux prevenir que guerrir » je crois 🙄
    @Nezouh wrote:

    Et si vous observez bien les phénomènes de « délinquances » se sont rarements nos enfants qui font partie du lot. C’est plutôt les enfants arrivés plutard ou ceux qui sont nés ici

    Là je suis totalement pas d’accord avec toi, les gens qui partent en europe n’ont qu’un seul objectif travailler ,gagner sa vie ..et pas devenir delinquant ,ce sont les enfants nés en europe qui font trop de degats ,et ils sont tres odacieux , quelqu’un qui vient de bled à tjr peur d’un policier pas comme les jnouns qui ont grandi en Europe 😆
    Y’a sur ce site pas mal de personnes qui vivent en europe et qui connaissent les deux monde ,ils peuvent comfirmer ce que j’ai dit 🙂

    #228059
    dahlia
    Membre

    MR ALAIN ce qui se passe au cinéma le Paris n’a rien a voir avec l’amour tel que vous l’aviez décrit ..vous croyez que ces ados sont la parcequ’ils s’aiment…???parcrequ ils veulent avoir des enfants qui grandiront sous un toit ou l’amour continuera de regner…??????!!!pensent ils deja au mariage pour penser a l’amour qui conduit vers cette »heureuse  » fin????

    Désolée mais ce n’est pas du tout le cas faudra vivre entre ces ados pour comprendre pourquoi ils font ca… 🙄 c’est malheureux de l’avouer mais faut reconnaitre que nos jeunes aujourd’hui ne savent plus qui suivre ,ni quoi faire …..c’est la mauvaise education des parents ou surtout leur insoucience ,c’est l’ignorance ,c’est le vouloir faire comme ,c’est l’irrespect …..c’est et c’est …sans parler de la religion !!!

    ces gamins et gamines ne comprennent rien a l’amour parceque si c’etait le cas ils -elles ne se laisserait pas faire …que ce soit dan un milieu public ou pas…nous sommes musulmans et lamour dans l’islam est plus noble que celui des romans ,des series des films ,et chansons…il n’exclut pas le respect….Dieu Merci…

15 réponses de 646 à 660 (sur un total de 899)
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