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15 réponses de 1,726 à 1,740 (sur un total de 2,767)
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  • #229856

    En réponse à : loyer à oujda

    manara
    Membre

    @nezouh wrote:

    sallam à tous ,

    et si c’est pas dans ces quartiers ? ca te dérange ?

    je ne peux répondre à ta question
    puisque ce n’est pas pour moi

    moi je n’ai aucune idée des prix à oujda c’est pour cela que j poste
    l’annonce

    😉

    nass
    Membre

    au début je me suis dis: quelle est longue cette histoire !!!!!..qui ça qui va la lire..puis j’ai lue les deux premières lignes, et je me suis dis ;boff !!une autre histoire d’amour..puis j’ai continuée a lire ..et lire..et je me suis rendue compte que c’étais effectivement une histoire d’amour, mais pas celle que je croyais, c’était un amour pur saint, et une fidélité infinie, que tout être humain doit sentir et vivre…
    ton histoire m’as beaucoup émue, en la lisant je me suis surprise entrain de pleurer !!je n’ai pas pue savoir si je pleurais ton amie MAYA ou je me pleurais moi même !!..car je me suis posée la question: est ce qu’un jour je pourrais sentir ce que MAYA et NADYA ont senties et vivre leurs bonheur..??????

    merci shu3lat-al-amal

    et je demande à tout le monde de lire cette émouvante histoire

    #229217

    En réponse à : Modérés et intégristes

    saidi
    Membre

    @Alaa-eddine wrote:

    Je pense que maintenant que tu as été emporté par le debat cher ami saidi tu comprend peut etre mieux ma réaction avant …

    le problème c’est que quoi que tu fasse tu sera toujours critiqué, d’une part ou d’autre, celà est encore pire quand tu ne veux pencher ni pour un coté ni pour l’autre (ce que j’essai de faire tant bien que mal) là tu te fais traiter des deux cotés 😆 😆

    mais ce sont les règles du débat, on les prend ou on les rejette, et ce n’est que comme ca que les mentalités vont évolué .

    j’avoue que dans ce débat je n’ai trouvé aucune intervention qui convienne à ma façon de voir les choses (et c’est tout à fait normal aussi, chacun vois les choses comme il veux) , d’une part, il y a Monsieur Alain qui veux prendre le modèle européen et l’appliquer tel quel (avec tous ces avantages et toutes ses défaillances) à une société qui n’a absolument rien avoir avec la société européenne, en oubliant que le modèle européen actuel est passé par plusieurs générations avant d’en arriver là .
    d’autres part, les avis contraires veulent que tout reste comme il est, et n’admettent aucun changement.

    Mon avis (et ca n’engage que moi), c’est que le problème de tout le monde ici c’est que rare sont les intervenants qui essaient de faire un petit pas vers l’autre, peut etre par orgeuille, peut etre par fierté …. ce n’est pas le plus important .
    d’une part il y en a qui prenne le modèle européen pour un idéal que tout le monde doit suivre, et ceux qui ne sont pas d’accord … hé bien ce sont des extrémistes …
    d’autre part il y en a qui mettent la religion dans tout et rien … et de ce fait donnent l’occasion aux premiers de trouver en la religion la boué de secours et la cause à tout les problèmes …
    aucune approche ne peut etre juste, quand on veux faire évoluer une société il ne faut pas commencer par la provoquer, et aller chercher des exemples extrèmes pour les généraliser à monsieur tout le monde, quand on discute de science on discute de science, quand on discute de politique on discute politique, et quand on discute religion on discute religion … il faut apprendre à ne pas chercher les amalgames mais les éviter .

    Je sais qu’en ayant ce genre d’interventions dans ce site, je serais et je suis critiquer par les deux cotés, mais croyez moi que je suis critiqué, je le prend en compte, et je n’ai pas honte de dire j’ai eu tort et de m’excuser . et c’est normal c’est mon role ici, mais je demande à chacun de faire un peu la même chose et de laisser son orgeuil de coté quand il vois qu’il a tort, et quand on crois qu’on a toujours raison …. c’est qu’il y a un problème quelque part .

    Chèr ALAA EDDINE, bonsoir,

    J’ai lu attentivement ton dernier post.

    Il me semble avoir compris ce que tu veux dire, je dis bien ce qu’il me semble!

    1. Cher ALAA , depuis quelues temps, j’ai remarqué que tu interviens sur certains sujets où tu n’as ta place, je prends comme exemple ce que tu dis à propos des notions religieuses ou philosophiques voir laics ou athées que te lances ALAIN qui n’est pas des derniers nés. A ta place et sije peux me le pemettre, c’est un internautes a qui je ne repondrais pas nitoi niles modérateurs qui t’nentourent. A ta place commeadministrateur, je ne rentrerais pas avec luidans les discussins, je me conterais de lancer les sujets qui ont été soulevés pa tel ou tel internaute et je les laisse discuter. Celà Cher ALAA EDDINE, je crois c’esst la première erreure que tu es occcupé à faire:

    – Tu reproches à ALAIN de devoir nous imposer son modèle occidental de vivr dans notre pays. Cher ALLAA EDDINE, j’ai posé la même question que la tinne à notre ami ALAIN? et je n’ai jamais eu de réponse?

    On l’attends! j’attends des réponses concrètess pour les questions que je lui ai posées. Si je n’ai pa eu de réponse, c’est qu’il ya manque d’arguments quelepart.

    Quand tu dis cher ALAA EDDINE, qu’il n’y pas mal de gens qui veulenht que celà reste telle que nous la vivons de nos jours, je suis d’accord, avec toi, mais je pense que ce n’est pas à toi de dénoncer ce genre de choses pcq ce n’est pas ton siège!!! laisse les internautes parler de celà, si tu constates que personne ne réagit, alors, en dernier recours, tu viens au secours, comme je sais depuis pas mal de temps que des gens comme toi, qui n’ont pas leur place dans cette discussion, se voit dégrader et lancer voir relancer le débat, c’est celà ce qui faity le niveau d’un site( relie stp alaa un sujet que j’ai envoyé sur le site topic je ne sais quoi qui s’intitule « quel avenir pour oujda city, quel type d’internautes? j’espèree qu’jourdh’ui qu’on se connait mieux, tu auras compris ce que je voulais dire au travezrs de ce message. Toujours est-il, tu continus, nous sommes derrière toi, nous sommes des gens sur qui tu peux compter dans la mesure d’élever le niveau de ce site OUJDA CITY . BIEN 0 TOI

    #228222
    saidi
    Membre

    @ayman wrote:

    @saidi wrote:

    Chèr AYMAN,

    Bosoir et je profites de te saluer et de te féliciter pour tous tes messages. Cependant, j’ai une question à te poser si tu le permet.

    Quelle est l’origine du mot RIMITI?
    BIEN A TOI

    Voilà mon frere Saidi , bonne lecture 😀

    Cheikha rimitti est Née à Tessala (village situé près de Sidi Bel-Abbès, dans l’Ouest algérien) le 8 mai 1923, la petite fille prénommée Saïda se retrouve très vite orpheline.
    A 20 ans, elle s’installe à Rélizane, un grand centre colonial où la vie est rude. La pauvreté, les épidémies et la famine sévissent. « On grillait le grain de blé pour remplacer le café, que l’on buvait avec du sirop.
    La jeune Saïda, qui dort dans les rues, dans le hammam et mange quand elle le peut, se met à suivre une troupe de musiciens ambulants. D’ailleurs en nulle part, elle rencontre le célèbre musicien Cheick Mohamed Ould Ennems, avec qui elle se met en ménage alors qu’il est père de dix enfants. Il lui fait connaître le milieu artistique algérois et la fait enregistrer à Radio Alger.

    Une femme de cœur, toujours rongée par la honte et la timidité d’apparaître en public ou dans certains endroits non conventionnels. « Elle n’aimait pas chanter là où les gens pouvaient la reconnaître, rapporte Mohamed Allalou, ancien animateur de la Chaîne III et ami de la défunte artiste. Elle cherchait à se débarrasser de cette mauvaise réputation qui lui collait injustement à la peau. » Allalou se souvient du jour où il est parti lui remettre une invitation pour animer un concert au Parlement européen de Strasbourg. C’était en 1995. « Elle ignorait même ce que ‘‘Parlement européen’’ voulait dire. Elle vivait dans un minable hôtel du 10e arrondissement de Paris. La chambre était minuscule. Meublée d’un lit, d’une petite armoire, d’une valise et d’un réveil, le décor donnait l’impression d’une femme toujours sur le point de départ. » Après de longues discussions, Rimitti accepte enfin d’aller chanter à Strasbourg. Mais pose, tout de même, deux conditions. Dans la première, elle demande au Parlement européen de lui verser des arrhes en espèces. Chose, en principe, qui ne se fait jamais. Dans la seconde, elle fait savoir qu’elle refuserait, sur place, toute rencontre avec la presse. « Attention ! Journalistes zigzag, wallou », répétait-elle à Allalou durant tout le trajet. « Autrement dit, je ne ferai aucune interview. »

    L’histoire raconte qu’un jour de pluie où elle entrait dans une cantine pour boire un café, les clients l’ont reconnue et acclamée avec ferveur. Pour les remercier, elle veut leur offrir une tournée mais ne parlant que quelques mots de français, elle ordonne à la serveuse « Remettez, madame, remettez ». Le public la baptise aussitôt « la chanteuse Remitti ».

    Il y a aussi cette anecdote où Rimitti avait refusé de chanter deux fois de suite dans une même salle parisienne. Pour lui faire changer d’avis, son manager n’avait comme solution que de lui annoncer que le concert allait enfin avoir lieu dans autre une ville, située en province. Rimitti accepte donc la nouvelle proposition, obligeant, cependant, son accompagnateur à faire quatre fois le tour du périphérique parisien pour lui faire croire que la ville était vraiment loin. Pourtant, Rimitti se retrouvera, sans se rendre compte, dans la même salle où elle avait chanté quelque temps auparavant. Pas loin de son domicile. « Ne sachant ni lire ni écrire, elle n’avait tout simplement pas reconnu les lieux. »

    A la fin des années 70, elle pique un coup de sang lorsqu’elle apprend que des chanteuses reprennent son répertoire en France. L’une d’elles se fait même appeler Cheikha Rimitti « sghira » (la petite) ! En 1978, elle débarque à Paris et écume les hauts lieux de la chanson maghrébine populaire (dont le célèbre  » Bedjaïa Club », un café situé près de la station Stalingrad, en plein cœur du 18ème arrondissement).

    La mamie du raï, Cheikha Rimitti est morte, lundi, d’une crise cardiaque à Paris. Elle avait 83 ans. Insoumise et libre, l’auteur, à la vie rock’n roll, de Cherak Gataâ et Naouri Y’El Ghaba laisse la musique algérienne orpheline.

    Cher AYMAN BONSOIR,

    J’ai bien lu ton post concernant cheikha rimiti, et je te remercie pour les informations que tu m’a fournis. Je voudrais en attendant, te dire que ce qu’i écrit à notre ami VOUJDAV? C42TAIT CE QUE JE POSSEDAIT COMME INORMATION concernant cette défunte dame. je ne connais pas l’histoire de cette dame, je me suis simplementcontenté de répéter ce qui a été dit par certains producteurs de musique algérinne  » l’histoire du rai » qui m’ a entre autre influencé, je l’ai utilisé comme argument pour expliquer ce qu’st ce mythe de RIMITI.jje n’ai pour ma part aucun argument fiable ni convaincant pour te répondre. J’ai simplement écouté certains producteurs algériens nous raconter l’histoire du rai et par la même occasion, ils ont inclus l’histoire de RIMITI, je n’ai fait rien d’autre que de répéter à VOUJDAV en espagnol ce que j’ai en ma possession enregistré de la part de nos amis algériens qui ont raconté cette histoire. Maibtenant, Si vous estimez que ces gens n’ont pas raconté la vérité, il vous appartient de le contrer, pour ce qui me concerne, la seule chose que je peux faire c’est de vous faire écouter et lire ce qui a été dit à propos de RIMITI par les professionels de musique algérienne. point terminé.

    #229472
    Mchichi
    Membre

    Questions et interrogations ?
    Les relations très inquiétantes qu’entretient le future « et très probable » président français Nicolas Sarkozy avec Arnaud Lagardère et Serge Dassault, des marchands d’armes très connus, ne vas t’elle pas infléchir la position de Paris, pour l’instant en faveur de la solution proposée par le Maroc, dans le conflit du Sahara occidental, en encourageant davantage la course vers l’armement dans la Maghreb « que dieu nous garde ».
    M’chichi

    #229859

    En réponse à : dons d’organes

    nass
    Membre

    c’est sûr que personne ne pourra pas te répondre catégoriquement sur ce sujet .il faudrait poser cette question a des gens qui on une connaissance approfondie dans le domaine religieux…bon courage

    #202697

    Sujet: dons d’organes

    dans le forum Religions
    manara
    Membre

    est -ce halal ou 7ram?
    je parle d’un don apres la mort
    excusez moi
    je sais pas comment poser exactement la question
    mais je crois que vous m’avez comprise
    je parle bien de don et non commerce( wa7ed ybi3 son rein par exemple)

    al mo88im
    j’aimerais bien savoir

    si on peut servir à quelque chose et sauver des vie quand on meurt 😆 😆

    #229363
    dahlia
    Membre

    salut the As.jattend ton mp.

    la question du tourisme durable m’interesse aussi.je serais dans les parrages inchallah on peut echanger des infos si tu veux.

    pour la documentation et bien tu peux la recevoir il me semble tu trouveras tout sur le site concu specialement pour cet evenement .

    je peux te dire que l’annee derniere c etait un colloque reussie .cette anne on s attend qu il soit encore plus reussi inchallah ..

    pour plus de detail tu peux me contacter en mp .

    toutes les infos c par ici ➡ ➡ http://wwwesto.ump.ma/colloque/

    Alaa-eddine
    Participant

    @OUJDI_PUR wrote:

    @allae edine : je te comprends khouya mais
    il ne s’agit pas de reglement de compte
    ce moderateur doit me respecter et il doit s’ecxuser
    c’est pas un miracle je suppose
    sinon tu peux supprimer mes messages

    oui mais je voulais juste dire que ce n’est pas le sujet de cette discussion 🙂

    @OUJDI_PUR wrote:

    en qui concerne la charte :
    je demande que ls intervenants respecte notre religion , nos valeurs , et nos principes
    et que tu veilles au bon deroulement des forums surtout la mediatheque
    je te prie de revoir tout les clips paratgés et tu sauras de koi je parle
    allez khouya alae eddine bonne journée

    ce que j’entends par respecter la religion c’est qu’on ne la traite pas, que ca soit l’islam ou autre … mais on ne peux pas empecher les gens de critiquer, ou de se poser des questions. on a aussi le droit de répondre et de défendre notre point de vue, du moment qu’on respecte notre interlocuteur, et qu’on ne l’insulte pas pour une idée qu’il exprime .

    maintenant pour ce qui est des clips postés, dans la médiatheque, encore une fois, c’est très dure de trancher aussi facilement, si ce sont des videos qui passent à la télé, qui ne remettent pas en cause notre culture, chacun a le choix de les regarder ou pas. chacun doit être responsable de ce qu’il fait, bien sure sans trop abuser non plus … mais si on commence à censurer les clips vidéos, je vois déja des vois qui vont se lever pour censurer d’autres vidéos … le compromis est là .

    j’ai mon opinion personnelles à ce sujet, mais je ne veux pas la refletter dans le forum puisque je souhaite que ca soit un espace de discussion libre pour atteindre des vrais objectifs .

    le plus important pour moi c’est de bien orienter les débats qui traitent des vrai problèmes de notre société, loins du reste . puisque jusqu’ici on arrive pas à avoir un débat constructif jusqu’au bout ! et sa finie toujours de la même manière.

    ayman
    Membre

    @fadi wrote:

    2010 c’était le reve de notre génération, 2030 ça serait celui de nos enfants !!

    Pour moi, il faut d’abord se poser la question: Le Maroc existerait-il encore d’ici 2030 ?? 😆

    Je tremble dejà !
    (j’espere que ça va durer plus longtemps que ça )

    fadi
    Membre

    2010 c’était le reve de notre génération, 2030 ça serait celui de nos enfants !!

    Pour moi, il faut d’abord se poser la question: Le Maroc existerait-il encore d’ici 2030 ?? 😆

    #228203
    saidi
    Membre

    @ayman wrote:

    @saidi wrote:

    Chèr AYMAN,

    Bosoir et je profites de te saluer et de te féliciter pour tous tes messages. Cependant, j’ai une question à te poser si tu le permet.

    Quelle est l’origine du mot RIMITI?
    BIEN A TOI

    Voilà mon frere Saidi , bonne lecture 😀

    Cheikha rimitti est Née à Tessala (village situé près de Sidi Bel-Abbès, dans l’Ouest algérien) le 8 mai 1923, la petite fille prénommée Saïda se retrouve très vite orpheline.
    A 20 ans, elle s’installe à Rélizane, un grand centre colonial où la vie est rude. La pauvreté, les épidémies et la famine sévissent. « On grillait le grain de blé pour remplacer le café, que l’on buvait avec du sirop.
    La jeune Saïda, qui dort dans les rues, dans le hammam et mange quand elle le peut, se met à suivre une troupe de musiciens ambulants. D’ailleurs en nulle part, elle rencontre le célèbre musicien Cheick Mohamed Ould Ennems, avec qui elle se met en ménage alors qu’il est père de dix enfants. Il lui fait connaître le milieu artistique algérois et la fait enregistrer à Radio Alger.

    Une femme de cœur, toujours rongée par la honte et la timidité d’apparaître en public ou dans certains endroits non conventionnels. « Elle n’aimait pas chanter là où les gens pouvaient la reconnaître, rapporte Mohamed Allalou, ancien animateur de la Chaîne III et ami de la défunte artiste. Elle cherchait à se débarrasser de cette mauvaise réputation qui lui collait injustement à la peau. » Allalou se souvient du jour où il est parti lui remettre une invitation pour animer un concert au Parlement européen de Strasbourg. C’était en 1995. « Elle ignorait même ce que ‘‘Parlement européen’’ voulait dire. Elle vivait dans un minable hôtel du 10e arrondissement de Paris. La chambre était minuscule. Meublée d’un lit, d’une petite armoire, d’une valise et d’un réveil, le décor donnait l’impression d’une femme toujours sur le point de départ. » Après de longues discussions, Rimitti accepte enfin d’aller chanter à Strasbourg. Mais pose, tout de même, deux conditions. Dans la première, elle demande au Parlement européen de lui verser des arrhes en espèces. Chose, en principe, qui ne se fait jamais. Dans la seconde, elle fait savoir qu’elle refuserait, sur place, toute rencontre avec la presse. « Attention ! Journalistes zigzag, wallou », répétait-elle à Allalou durant tout le trajet. « Autrement dit, je ne ferai aucune interview. »

    L’histoire raconte qu’un jour de pluie où elle entrait dans une cantine pour boire un café, les clients l’ont reconnue et acclamée avec ferveur. Pour les remercier, elle veut leur offrir une tournée mais ne parlant que quelques mots de français, elle ordonne à la serveuse « Remettez, madame, remettez ». Le public la baptise aussitôt « la chanteuse Remitti ».

    Il y a aussi cette anecdote où Rimitti avait refusé de chanter deux fois de suite dans une même salle parisienne. Pour lui faire changer d’avis, son manager n’avait comme solution que de lui annoncer que le concert allait enfin avoir lieu dans autre une ville, située en province. Rimitti accepte donc la nouvelle proposition, obligeant, cependant, son accompagnateur à faire quatre fois le tour du périphérique parisien pour lui faire croire que la ville était vraiment loin. Pourtant, Rimitti se retrouvera, sans se rendre compte, dans la même salle où elle avait chanté quelque temps auparavant. Pas loin de son domicile. « Ne sachant ni lire ni écrire, elle n’avait tout simplement pas reconnu les lieux. »

    A la fin des années 70, elle pique un coup de sang lorsqu’elle apprend que des chanteuses reprennent son répertoire en France. L’une d’elles se fait même appeler Cheikha Rimitti « sghira » (la petite) ! En 1978, elle débarque à Paris et écume les hauts lieux de la chanson maghrébine populaire (dont le célèbre  » Bedjaïa Club », un café situé près de la station Stalingrad, en plein cœur du 18ème arrondissement).

    La mamie du raï, Cheikha Rimitti est morte, lundi, d’une crise cardiaque à Paris. Elle avait 83 ans. Insoumise et libre, l’auteur, à la vie rock’n roll, de Cherak Gataâ et Naouri Y’El Ghaba laisse la musique algérienne orpheline.

    Bonsoir AYMAN,

    Merci pour les informations que tu m’as adressées, je les ai bien lues, J’avais une autre interprétation de l’histoire de cette défunte, que j’ai expliqué à VOUJDAV en espagnol, non pas pour dire que maitrise la langue cestellane mais simplement pour lui faire plaisir à elle aussi qui se sent un peu malmenée dans la langue française et arabe qui n’oubliez pas, relisez les archives si vous voulez savoir qui a commencé avec celà, vous y trouverez des gens qui revendiquaient l’utilisation de la langue arabe et rien d’autre sur ce site! ces personnes se rendent compte aujourdh’ui qu’ils étaient à côté de la plaque puuisque le principal c’est de communiquer avec n’importe quelle langue et n’importe quel dialecte avec ou sans fautes pourvu qu’on se comprennent. Il n’ya pas longtemps, j’ai lu sur ce site certains internautes revendiquer l’exclusivité de la langue arabe, je m’aperçois aujourdh’ui qu’ils se sont rendus compte qu’ils doivent se soumettre ou se tailler comme moi, je le fais en langue arabe, je fais un effort pour comprendre ce que les gens écrivent en arabe et j’ai tout le loisir de répondre dans la langue qui me paraît être la plus facile de me faire comprendre. Voilà, c’est aussi simple que celà et je ne pense pas qu’il ya là de quoi fairre un monde et en tout état de cause, si j’ai écrit des choses déplacées qui ont blessées l’un ou l’autre des internautes, je les prie de m’excuser. bien à toi

    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    F O O T – B A L L:

    COUPE DU MONDE 2010 L’AFRIQUE DU SUD NE SERA PAS AU RENDEZ-VOUS…MALHEUREUSEMENT !!!

    Joseph Blatter refait parler de lui. Le patron de la FIFA envoie un message intimité à l’Afrique du Sud. En gros, il dit aux amis africains, face auxquels nous avons perdu l’organisation de la Coupe du monde de football, que s’ils ne sont pas prêts pour 2010, il les doublera sans coup porter.

    En ligne de mire du gage du foot mondial, les retards dans la construction des stades ou les assomantes questions de sécurité y compris sanitaires. Tout cela M.Blatter le savait.

    On le lui avait dit à temps. Il avait fait la sourde oreille, et il avait, quand même, voté pour Johannesburg. Histoire de monter la pression sur ses protégés, il dit, maintenant, qu’il peut demander à d’autres de relever,instantanemment , le pays défaillant.

    Devrait-on le croire ? «Il y a d’autres pays qui sont prêts à organiser une Coupe du monde dans deux jours ou dans deux mois. Les Etats-Unis, le Mexique peuvent le faire. Le Japon peut le faire. Ils ont suffisamment de stades.», a-t-il avancé avec ruse. Il a, juste, oublié le Maroc qui était candidat au coude-à-coude avec l’Afrique du Sud. Dommage. Il vient de voter une deuxième fois contre nous, mais cette fois-ci pour de faux .

    #229741
    ratek84
    Participant

    salam
    pr les source sma3tha f wahed la radio (hit) hadro m3ah apres starac du maghreb et il a repondu sur la question « est ce ke tu va venir chanter au maroc ? »
    « galhom 9rib nchallah, pour oujda et saidia c sur « 
    il a des attitudes mauvaise bessah il a une des meilleures voix au monde 😀

    #228192
    ayman
    Membre

    @saidi wrote:

    Chèr AYMAN,

    Bosoir et je profites de te saluer et de te féliciter pour tous tes messages. Cependant, j’ai une question à te poser si tu le permet.

    Quelle est l’origine du mot RIMITI?
    BIEN A TOI

    Voilà mon frere Saidi , bonne lecture 😀

    Cheikha rimitti est Née à Tessala (village situé près de Sidi Bel-Abbès, dans l’Ouest algérien) le 8 mai 1923, la petite fille prénommée Saïda se retrouve très vite orpheline.
    A 20 ans, elle s’installe à Rélizane, un grand centre colonial où la vie est rude. La pauvreté, les épidémies et la famine sévissent. « On grillait le grain de blé pour remplacer le café, que l’on buvait avec du sirop.
    La jeune Saïda, qui dort dans les rues, dans le hammam et mange quand elle le peut, se met à suivre une troupe de musiciens ambulants. D’ailleurs en nulle part, elle rencontre le célèbre musicien Cheick Mohamed Ould Ennems, avec qui elle se met en ménage alors qu’il est père de dix enfants. Il lui fait connaître le milieu artistique algérois et la fait enregistrer à Radio Alger.

    Une femme de cœur, toujours rongée par la honte et la timidité d’apparaître en public ou dans certains endroits non conventionnels. « Elle n’aimait pas chanter là où les gens pouvaient la reconnaître, rapporte Mohamed Allalou, ancien animateur de la Chaîne III et ami de la défunte artiste. Elle cherchait à se débarrasser de cette mauvaise réputation qui lui collait injustement à la peau. » Allalou se souvient du jour où il est parti lui remettre une invitation pour animer un concert au Parlement européen de Strasbourg. C’était en 1995. « Elle ignorait même ce que ‘‘Parlement européen’’ voulait dire. Elle vivait dans un minable hôtel du 10e arrondissement de Paris. La chambre était minuscule. Meublée d’un lit, d’une petite armoire, d’une valise et d’un réveil, le décor donnait l’impression d’une femme toujours sur le point de départ. » Après de longues discussions, Rimitti accepte enfin d’aller chanter à Strasbourg. Mais pose, tout de même, deux conditions. Dans la première, elle demande au Parlement européen de lui verser des arrhes en espèces. Chose, en principe, qui ne se fait jamais. Dans la seconde, elle fait savoir qu’elle refuserait, sur place, toute rencontre avec la presse. « Attention ! Journalistes zigzag, wallou », répétait-elle à Allalou durant tout le trajet. « Autrement dit, je ne ferai aucune interview. »

    L’histoire raconte qu’un jour de pluie où elle entrait dans une cantine pour boire un café, les clients l’ont reconnue et acclamée avec ferveur. Pour les remercier, elle veut leur offrir une tournée mais ne parlant que quelques mots de français, elle ordonne à la serveuse « Remettez, madame, remettez ». Le public la baptise aussitôt « la chanteuse Remitti ».

    Il y a aussi cette anecdote où Rimitti avait refusé de chanter deux fois de suite dans une même salle parisienne. Pour lui faire changer d’avis, son manager n’avait comme solution que de lui annoncer que le concert allait enfin avoir lieu dans autre une ville, située en province. Rimitti accepte donc la nouvelle proposition, obligeant, cependant, son accompagnateur à faire quatre fois le tour du périphérique parisien pour lui faire croire que la ville était vraiment loin. Pourtant, Rimitti se retrouvera, sans se rendre compte, dans la même salle où elle avait chanté quelque temps auparavant. Pas loin de son domicile. « Ne sachant ni lire ni écrire, elle n’avait tout simplement pas reconnu les lieux. »

    A la fin des années 70, elle pique un coup de sang lorsqu’elle apprend que des chanteuses reprennent son répertoire en France. L’une d’elles se fait même appeler Cheikha Rimitti « sghira » (la petite) ! En 1978, elle débarque à Paris et écume les hauts lieux de la chanson maghrébine populaire (dont le célèbre  » Bedjaïa Club », un café situé près de la station Stalingrad, en plein cœur du 18ème arrondissement).

    La mamie du raï, Cheikha Rimitti est morte, lundi, d’une crise cardiaque à Paris. Elle avait 83 ans. Insoumise et libre, l’auteur, à la vie rock’n roll, de Cherak Gataâ et Naouri Y’El Ghaba laisse la musique algérienne orpheline.

15 réponses de 1,726 à 1,740 (sur un total de 2,767)
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