لعرب عند بن خلدون les arabes selon ibn khaldoun
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mai 19, 2007 à 6:30 #202773mouradMembre
Les Arabes vus par Iben Khaldoune
La moqaddima de Iben Khaldoune
…Précurseur de la sociologie moderne, Ibn Khaldoun est une référence incontournable dans le domaine de la réflexion sur l’histoire sociale des peuples et civilisations méditerranéennes. En réponse aux arabo-staliniens et aux arabo-intégristes, qui érigent les arabes et leurs « civilisation » en modèle « universaliste « , nous publions un extrait d’ « AI Muqaddima » d’Ibn Khaldoun qui parle, justement de cette civilisation arabe et des arabes. Notre objectif est de lutter contre l’amnésie et permettre à nos lecteurs de se faire leur propre opinion. Ce serait ainsi que les arabistes seront invités à davantage de modestie et de relativisme, à se remettre en question et à se situer « objectivement » dans le concert des civilisations. …
En raison de leur nature sauvage, les arabes sont des pillards et des destructeurs. Ils pillent tout ce qu’ils trouvent sans combattre ou sans s’exposer. Puis ils se replient sur leurs pâturages au désert. Ils n’attaquent ou ne combattent que pour se défendre. Ils préfèrent éviter les forteresses ou les positions difficiles: ils ne les attaquent pas. Les tribus que protègent d’inaccessibles montagnes sont à l’abri de la malfaisance et des déprédations des Arabes. Ceux-ci ne franchiront pas de collines ou ne prendront pas de risque pour aller chercher les montagnards.
Au contraire, les plaines sont livrées à leur pillage et en proie à leur avidité, si leur dynastie est faible ou qu’elles n’aient pas de troupes pour les défendre. Alors- les Arabes y fond des incursions, des pillages, des attaques répétées, parce qu’il s’agit de territoires accessibles. Les habitants peuvent succomber et devenir les jouets des changements de pouvoir, jusqu’à ce que leur civilisation disparaisse. Dieu est tout puissant!Les Arabes sont une nation sauvage (umma washiyya), aux habitudes de sauvagerie invétérées. La sauvagerie est devenue leur caractère et leur nature. Ils s’y complaisent, parce qu’elle signifie qu’ils sont affranchis de toute autorité et de toute soumission au pouvoir. Mais cette attitude naturelle est incompatible (mund-fiya) et en contradiction (munâqida) avec la civilisation (‘ùmrân). Toutes les habitudes des Arabes les conduisent au nomadisme et au déplacement. Or, c’est là l’antithèse et la négation de la sédentarisation (maskûn), qui produit la civilisation. Par exemple: les Arabes ont besoin de pierres pour leurs foyers et leur cuisine -ils les prennent aux maisons, qu’ils détruisent dans ce but. Ils ont besoin de bois pour leurs tentes, pour les étayer et en faire des piquets: ils abattent les toits, pour en tirer le bois dans ce but. La véritable nature de leur existence est la négation de la construction (binâ’), qui est le fondement de la civilisation. Tel est, généralement, leur cas. De plus, c’est leur nature de piller autrui. Ils trouvent leur pain quotidien à l’ombre de leurs lances (rizqu- hum fi zilâl rimâ-i-him). Rien ne les arrête pour prendre le bien d’autrui.
Que leurs yeux tombent sur n’importe quel bien, mobilier ou ustensile, et ils s’en emparent. S’ils arrivent à la domination et au pouvoir royal, ils pillent tout à leur aise. Il n’y a plus rien pour protéger la propriété et la civilisation est détruite.
D’autre part, étant donné qu’ils font travailler de force les artisans et les ouvriers, le travail leur parait sans valeur et ils refusent de le payer. Or, comme on le verra plus loin, le travail est le fondement du profit (al- a’mâl, aslu I-makâsib). Si le travail n’est pas apprécié, s’il est fait pour rien, l’espoir de profit disparaît, et le travail n’est pas productif. Les sédentaires se dispersent et la civilisation décline. Autre chose encore : les Arabes ne portent aucun intérêt (‘inâya) aux lois (ahkâm). Ils ne cherchent pas à dissuader les malfaiteurs ou à assurer l’ordre public. Ils ne s’intéressent (hammu-hum) qu’à ce qu’ils peuvent soustraire aux autres, sous forme de butin ou d’impôt. Quand ils ont obtenu cela, ils ne s’occupent ni de prendre soin des gens, ni de suivre leurs intérêts, ni de les forcer à se bien conduire. Ils lèvent des amendes sur les propriétés, pour en tirer quelque avantage, quelque taxe, quelque profit. Telle est leur habitude. Mais elle n’aide pas à prévenir les méfaits ou à dissuader les malfaiteurs. Au contraire, le nombre en augmente: comparée au bénéfice du crime, la perte représentée par l’amende est insignifiante. En régime arabe, les sujets vivent sans lois, dans l’anarchie (fawda). L’anarchie détruit l’humanité et ruine la civilisation. En effet, le pouvoir royal tient à une qualité naturelle de l’homme. C’est lui qui garantit l’existence des hommes et leur vie sociale (ijtimâ’). On a déjà vu cela au début du chapitre.Et puis, tout Arabe veut être le chef : Aucun ne veut s’effacer devant un autre, fût-il son père, son frère ou l’aîné de sa famille. Il ne s’y résout que rarement, et parce qu’on lui fait honte (-ayâ’). Aussi y a-t-il, chez eux, beaucoup de chefs et de princes, et les sujets doivent-ils obéir à plusieurs maîtres – pour les impôts et pour les lois. C’est ainsi que la civilisation décline et disparaît. ‘Abd-al-Malik reçut un jour une délégation arabe. Il questionna un nomade (a’rabî) sur (le gouverneur) AIhajjâj, en escomptant en entendre un éloge pour sa façon de commander et son oeuvre civilisatrice. Mais l’Arabe répondit : » Quand je l’ai quitté, il était injuste tout seul! » On remarquera que la civilisation s’est toujours effondrée avec la poussée de la conquête arabe : les établissements se sont dépeuplés et la terre devint toute autre que la terre (tabaddalati l-ard ghayra l-ard). Le Yémen, où vivent les Arabes, est en ruine, à part quelques villes. La civilisation persane en Iraq est complètement ruinée. Il en est de même, aujourd’hui, en Syrie. Quand les Hilâliens et les Banû Sulaym ont poussé jusqu’à la Tunisie et au Maroc, au début du Xie siècle, et qu’ils s’y sont débattus pendant 350 ans, ils ont fini par s’y fixer et les plaines en ont été dévastées. Autrefois, toute la région entre la Méditerranée et le Soudan était peuplée, comme le montrent les vestiges de civilisation, tels que monuments, sculptures monumentales, ruines de villages et d’agglomérations. » Dieu hérite la terre et tout ce qui vit sur elle. Il est le meilleur héritier » (XXI, 89).
En effet, en raison de leur sauvagerie innée, ils sont, de tous les peuples, trop réfractaires pour accepter l’autorité d’autrui, par rudesse, orgueil, ambition et jalousie. Leurs aspirations tendent rarement vers un seul but. Il leur faut l’influence de la loi religieuse, par la prophétie ou la sainteté, pour qu’ils se modèrent d’eux-mêmes et qu’ils perdent leur caractère hautain et jaloux. Il leur est, alors, facile de se soumettre et de s’unir, grâce à leur communauté religieuse. Ainsi, rudesse et orgueil s’effacent et l’envie et la jalousie sont freinées. Quand un prophète ou un saint, parmi eux, les appelle à observer les commandements de Dieu et les débarrasse de leurs défauts pour leur substituer des vertus, les fait tous unir leurs voix pour faire triompher la vérité, ils deviennent alors pleinement unis et ils arrivent à la supériorité et au pouvoir royal. D’ailleurs, aucun peuple n’accepte aussi vite que les Arabes la vérité religieuse et la Bonne Voie, parce que leurs natures sont restées pures d’habitudes déformantes et à l’abri de la médiocrité. La sauvagerie peut être surveillée et s’ouvrir aux vertus, car elle est restée dans l’état de religion naturelle (fitra); loin des mauvaises habitudes qui laissent leur empreinte sur les âmes. Selon la Tradition: » Tout enfant naît dans l’état de religion naturelle. «
Les Arabes, plus qu’aucune autre nation, sont enracinés dans la vie bédouine et s’enfoncent profondément dans le désert. Ils ont moins besoin, pour leur vie rude et dure, des produits et des céréales des collines. Ils peuvent donc se passer des autres. Il leur est difficile de se soumettre les uns aux autres, parce qu’ils sont un peuple sans loi, à l’état sauvage. Leur souverain a donc le plus grand besoin des liens du sang (‘asabiyya), nécessaires à l’autodéfense.
Il est forcé de gouverner ses sujets en douceur et d’éviter de les heurter. Sinon, il aurait des difficultés avec l’esprit tribal, ce qui causerait sa perte et la leur. D’autre part, cependant, la monarchie et le gouvernement demandent une poigne de fer, seul gage de durée.Comme les Arabes; par nature s’emparent des biens d’autrui, de même, ils s’abstiennent de tout arbitrage et de maintenir l’ordre public. Quand ils ont conquis une nation, leur objectif est d’en profiter pour s’emparer des biens de celle-ci. De plus, ils se passent de loi. Ils punissent parfois les crimes par des amendes, pour accroître les revenus du fisc et en tirer, financièrement, avantage. Mais ce n’est pas là un frein pour le crime. Ce serait même plutôt un encouragement, car le mobile d’un crime doit être assez puissant pour compenser le simple paiement d’une amende insignifiante. Ainsi, les méfaits deviennent de plus en plus nombreux et la civilisation décline. Une nation dominée par les Arabes est dans un état voisin de l’anarchie, où chacun s’oppose à l’autre. Ce genre de civilisation ne peut durer: il court à sa perte, aussi vite que l’anarchie elle-même.
Toutes ces raisons éloignent, naturellement, les Arabes de la monarchie. Il faut que leur nature soit profondément transformée par une structure (sibgha), religieuse, qui les amène à se modérer et à maintenir l’ordre public. C’est ce que montrent les dynasties arabes musulmanes. La religion a soudé leur pouvoir temporel à la loi religieuse et à ses prescriptions, qui -de façon explicite ou implicite- sont dans l’intérêt de la civilisation. Les califes suivirent cette voie. La monarchie et le gouvernement des Arabes devinrent grands et forts. Quand Rostam vit les Musulmans rassemblés pour la prière, il s’écria: « ‘Omar m’a rongé le foie! Il apprend aux chiens les bonnes manières! » 2.
Plus tard, les Arabes furent écartés des dynasties régnantes, pour des générations. Ils négligèrent leur religion, oublièrent la politique et retournèrent au désert. Ils ignoraient le rapport de leur esprit de clan avec la dynastie régnante, car l’obéissance et la loi leur étaient redevenues étrangères. Ils redevinrent aussi sauvages que dans le passé. Le titre de » roi » cessa de leur être appliqué, à l’exception des califes de race (jîl) arabe. Après la disparition du califat, le pouvoir sortit de leurs mains : des Barbares s’en emparèrent. Les Arabes restèrent alors Bédouins au désert, ignorant la monarchie et la politique. La plupart ne savent même plus qu’ils ont régné autrefois, ou qu’aucune autre nation n’a rayonné autant que la leur. Avant l’Islâm, ce furent les dynasties de’ Âd et de Thamûd, les Amalécites, les Ijimyarites et les Tubba’; depuis, les Mudarites, les Omayyades et les Abbâsides. Mais, quand les Arabes oublièrent leur religion, ils n’eurent plus de rapport avec la politique, et ils retournèrent à leur désert originel. Farfbis encore, comme au Maroc actuel, ils dominent des dynasties trop faibles, mais leur supériorité ne peut conduire qu’à la ruine de la civilisation. Dieu est le meilleur héritier (XXI, 89) !
Notes:
1. Autre passage célèbre sur les Arabes nomades, destructeurs de civilisation. Or pour Ibn Khaldun, celle-ci est liée à la culture sédentaire. Ces considérations font, aujourd’hui, vivement critiquer Pauteur par certains nationalistes, qui voient en lui le pourfendeur des Arabes, alors qu’il s’en prend seulement aux méfaits des nomades.2. Il est toujours difficile de rendre, en arabe, J,’le mot » structure « . Aujourd’hui, la langue hésite entre bunya, bind, tarkfb, niâm, jihâz et surtout haykal. Ici, Ibn Khaldûn emploie sibgha. » Teinture, coloration « , qui reviendra souvent, dans ce dernier sens, dans son texte.
mai 25, 2007 à 11:16 #230917oujdi12Membretu me fait rire avec tes sujets tjrs bien ecrit par tes maitres , d’ailleurs passe les le bonjour . mais franchement tu empoche pas du tt le succes souhaité , parce que apparement tt le monde a pris conscience de ce que tu vaut .tu ns montre l’exp imparable d’un vendu perdu entre son identité et les désirs de ces maitres , c pkoi tu risque chaque de déraper vers ce coté ou l’autre .
mai 25, 2007 à 1:59 #230918dawyMembre@oujdi12,
Au lieu de féliciter notre ami mourad pour sa rémission,tu le sermonnes.
Ce n’est pas bien! Vilain garcon!!!!!.
En réalité notre ami « mourad al moujta8id » souffrait d’une maladie ,rare,connue dans le monde des confrèries, sous le nom de « ghourraf wa7ed ».Cette maladie que le personnel hospitalier vient juste de découvrir et baptiser de nosocomiales.
Mr mourad,apres une longue période de constipation, n’a fait que nous inonder d’une belle diarrhée semantique.
Au delà des délires d’ibn khaldoun et des siens ,la nature n’a fait que reprendre ses droits.mai 25, 2007 à 2:44 #230919OUJDI_PURMembreje n’arrive pas a te comprendre
parfois tu defends les arabes ,parfois tu defends le malekisme , parfois tu deviens chi3i
parfois tu defends ale aalbayte
iwa ma3rafnakch a khouya
dayer ki tata !!si c’est vrai ce qu’dis ibn khaldoun et bein a lors ca ss’applique sur notre prophete mohammed salla allahou 3alayhi wa sallam ?
hacha ma3ada allah
s’appliquent ils sur ses compagnons ??iwa wach ngoullek a ssi mourad allah yahdik w yahdina kamline
mai 25, 2007 à 2:59 #230920mbarkiMembreعن أنس رضي الله عنه قال:
قال رسول الله صلى الله عليه وسلم:
(حب العرب إيمان وبغضهم نفاق)mai 25, 2007 à 3:08 #230921dawyMembre7chouma 3lik assi oujdi pur, khalli8 3al ala9el yakhrouj ghir man bit alma.
Malek m’9alle9 8akda?.mai 25, 2007 à 3:50 #230922OUJDI_PURMembre😆 😆 😆
wach ngoullek a ssi dawi rak danger nta et houlakou ze3ma tfawjou 3lina
ayya tel9a rbahe@mourad : allah yahdik w yahdina kamline
mai 25, 2007 à 4:32 #230923dawyMembreMa kayen mouchkil a hoya Oujdi-pur,khona mourad matsaldawach ghir b’fwazan petillant.loubbada ra8om 3amrin.
7atta lam7akka sounnya kayna.
Kima kaygoulou d’khoul zawya(wella l’7ammam,mabti9ch 3a9el)machi b’7al khroujo.mai 27, 2007 à 1:03 #230924mouradMembreallons banou ouahbane , soyez raisonnables . je dis à la centaine de personnes qui ont lu ce topic sur les arabes chez ibn khaldoun que tout simplement je n ai fais que relater ce qu a ecrit ibn khaldoun il y a plusieurs siecles . donc vous etes libres d insulter ibn khaldoun si vous n avez rien à proposer pour expliquer la decadance des aarabes .
oujdi tazzina n oublie pas de saluer la famille kaddour et passe quand tu veux au majliss ilmi pour recevoir ta recompense , tu as bien travaillé yal khabith.
pour dawy quand tu auras reglé tes problemes avec al mahkama , ya foum al bitalama , tu pourras vendre tes dictionnaires mais avant finis ton nouveau roman et presente toi aux elections . le parti de al kouhan te soutiendra yal khabith.
à la prochainer yal mourtaziqa.
mai 27, 2007 à 9:27 #230925oujdi12Membrepauvre vendu ,
tu deçoit tes maitres 😆 😆mai 27, 2007 à 4:10 #230926ahmedMembreبعد السلام ، أحب أن أشير إلى أن مقدمة إبن خلدون تعتبر مرجعا لكل الباحثين في علم الإجتماع . لا أحد ينفي أن إبن خلدون من العلماء اللذين تركوا بصماتهم في التاريخ . لا أفهم كل هذا تحرش على الأخ مراد ، فكل ماكتبه موجود في المقدمة منذ قرون خلت . النتيجة اللتي وصل إليها إبن خلدون أظن أنها بديهية : العرب شعب همج إن لم يكن هناك دين أو إديلوجية تأطرهم . فل ننظر إلى تاريخ العرب قبل الإسلام ، بعد الإسلام و أخيرا عندما إبتعدوا عن جوهر دينهم الحنيف . أنهي كلمتي بجملة لعبد الله العروي » ماهي القيمة الأساسية لنظامنا الفكري و الأخلاقي : الوفاء أم الإبداع ؟
mai 27, 2007 à 9:03 #230927oujdi12Membreje tiens à te dire que nul ne peut etre sauvage parce qu’il s’appartient à une telle ou telle race mr ahmed . personne ne peut nier la valeur scientifique que ibn khaldoun a rapporter à l’humanité , d’ailleurs c le 1er sociologue de l’histoire .
de tte façon , si mourad a ecrit ce post , c justement pr ns humilier autant qu’arabe , il cherche pas à découvrir la vérité . il essaye de montrer sa haine chaque fois qu’il trouve une occasion .mai 28, 2007 à 9:48 #230928dawyMembreMr Mourad,qui de son propre aveu ,est un mourid ,un asservi qui ne peut s’empecher de prostituer sa plume,en copiant -collant(en plus) pour assouvir les fantasmes post-mortem de certains personnages,aussi respectables,soient-ils,dans le seul but de flatter son égo.
Je lui conseille d’écouter mohammed abd al wahhab,l’égyptien celui qui chante <>.
On est en 2007, arretons de nous mentir en louant (notre petit passé).mai 29, 2007 à 3:11 #230929mouradMembremonsieur dawy qui louche ( lahoual ) qui lorsqu il n a pas ses dictionnaires sous ses yeux d IBLISS qui louchent parle sa langue maternelle qui baigne 24h sur 24 dans une veritable bitalma. alors reprenons ya lahoual une par une :
tu as ecris « Au delà des délires d’ibn khaldoun » eh bien BRAVO ya lahoual , les 216 personnes qui ont lu ce topic vont bien te situer ya l intellectuel » raisonnable » al khari fel kharij.
citer ibn khaldoun est un honneur pôur moi copie-collée ou pas copie-collée…est ce ça vraiment le probleme ? depuis que je te connais sur ce site tu passes 10heures devant tes dictionnaires pour peter une ou deux phrases style « .Cette maladie que le personnel hospitalier vient juste de découvrir et baptiser de nosocomiales. » meskine ya lahoual !!
ne serais tu pas complexé de ne pas avoir fait medecine comme syadek
qui t offrent de temps en temps un café pour t apprendre ces conneries.maintenant je suis averti ya lahoual car je sais quand est ce que tu ecris à l aide de tes 50000 dictionnaires et quand tu perds les pédales et que tu reponds avec ce que tu as vraiment dans citrouille .
j espere que parmi syadek les medecins il y a au moins un bon ophtalmo tya lahoual et fais attention de ne pas passer pres de al fallouja..
j aime bien mohammed abdelouahhab et sa chanson arraquidouna tahata attourab … mais tu connais la suite ya foum al bitalma.. à toi d ecouter maintenant FARID AL ATRACHE : IICHE ANTA ya lahoual.
et puisque tu as la memoire saturée je te signale que le prophete mohammad saaw fait partie des arraquidouna tahta attourab ainsi que tes ancetres .
IL EST DES MORTS QUI SONT ETERNELLEMENT PARMI LES VIVANTS GRACE A LEURS OEUVRES ET DES VIVANTS QUI NE VALLENT PAS RABTA NAANAA…
à bon entendeur salut
mai 29, 2007 à 4:52 #230930nassMembre@MOURAD:
pourquoi toujours utiliser des mots blessants..
moi je dis toujours, que ceux qui agressent les gens..
n’ont pas assez d’arguments pour discuter
ou n’ont pas la capacité de faire passer leurs idées
aux lecteurs ..et leur seul moyen reste,l’agression verbale..
tu devrais faire un tour ici, parce que tu risque l’expulsion ..!! ➡ http://forum.oujdacity.net/oujda-discussion-2605-0-asc-0.html -
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