A l’égard des parents
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février 7, 2008 à 9:31 #203470HouriaMembre
A l’égard des parents
Nous devons obéir à nos parents, les respecter et être bons à leur égard, car Dieu l’a voulu ainsi comme Il nous l’enseigne dans le Coran :« Ton Seigneur a ordonné de n’adorer que Lui. Il a prescrit d’être bon envers ses père et mère. Soit que l?un d’eux ait atteint la vieillesse, ou que tous deux y soient parvenus, étant à ta charge, garde-toi de marquer la moindre répulsion à leur égard ou de leur manquer du respect. Parle-leur toujours affectueusement. Fais preuve, à leur égard, d’humilité pour leur témoigner ta tendresse et dis : Seigneur Aie pitié deux comme ils l’ont été pour moi, lorsqu’ils m’élevèrent tout petit. » (17 -Le Voyage Nocturne- 23)
Le prophète (صلى الله عليه و سلم) dit :
– Voulez-vous que je vous indique les plus graves péchés ?
– Volontiers, répondirent les compagnons.
– C’est attribuer un associé à Allah et désobéir à ses parents, dit le prophète.
Ne pas renier son père
Sa`d ibn ‘Abî Waqqâs (qu’Allah soit satisfait de lui)
a entendu le Prophète (sws) dire: « Le Paradis sera interdit à tout musulman qui prétend sciemment être issu d’un autre père que le sien ».Sahih Moslim N°95
Selon ‘Abû Hurayra (qu’Allah soit satisfait de lui),
le Prophète (sws) a dit: « Ne désavouez pas vos pères (par mépris pour votre lignage). Celui qui le fait sera (considéré comme un) mécréant ».Sahih Moslim N°94
La mère
Dans l’islam, la mère a une place considérable au seins de la famille, le hadith suivant nous le montre parfaitement :D’après ‘Abû Hurayra (qu’Allah soit satisfait de lui),
un homme vint trouver l’Envoyé d’Allah (sws) et lui dit :« Quelle est la personne qui mérite le plus ma bonne compagnie? ».
– « Ta mère », répondit-il. – « Et qui ensuite? ». – « Ta mère ». – « Et qui ensuite? ». – « Ta mère ». – « Et qui ensuite? ». – « Ton père ».
(Sahih Mouslim 4621)
La bonté envers les parents lorqu’ils sont agés
Dans le monde islamique, il est rare de trouver des hospices de vieillards. L’effort requis pour prendre soin de ses parents au moment le plus difficile de leur vie est considéré comme un honneur et une bénédiction, et aussi comme une occasion de grandir spirituellement. En islam, il n’est pas suffisant de seulement prier pour nos parents; nous devons aussi agir envers eux avec une compassion illimitée, en nous rappelant que lorsque nous étions petits et faibles, ils nous ont préférés à eux-mêmes. Les mères sont particulièrement honorées. Quand les parents musulmans atteignent un âge avancé, ils sont traités avec compassion, gentillesse et désintéressement.
En islam, servir ses parents est le deuxième devoir en importance après la prière, et c’est leur droit de l’exiger. Il est considéré comme méprisable de manifester de l’irritation envers les personnes âgées lorsque, sans que ce soit leur faute, elles deviennent difficiles.
Dieu a dit (traduction du Coran en francais) :
Et ton Seigneur a décrété: « N’adorez que Lui; et marquez de la bonté envers les père et mère: si l’un d’eux ou tous deux doivent atteindre la vieillesse auprès de toi, alors ne leur dis point: « Fi! » et ne les brusque pas, mais adresse-leur des paroles respectueuses. Et par miséricorde, abaisse pour eux l’aile de l’humilité, et dis: « Ô mon Seigneur, fais-leur, à tous deux, miséricorde puisqu’ils m’ont élevé lorsque j’étais tout petit ». (Coran, 17:23-24)
février 8, 2008 à 2:19 #241939aymanMembreTres bon sujet , je t’en felicite , il est vrai que de nos jours les jeunes deviennent de plus en plus ingrats et non reconnaissants envers leur parents en tout cas c’est ce que j’ai constaté ,j’ignore la raison mais ,je suis sur qu’a mon epoque on avait plus de respect pour nos parents et il y’avait une certaine « connexion » qui nous liait les uns les autres ,on etaient malheureux pour leur malheur et heureux pour leur bonheur ,on partageait leur peine et on etait pas exigeant meme si des fois ça mettait en jeu notre avenir et nous causait des difficultés ;par exemple il nous est arrivé de nous priver de certains references et bouquins lorsqu’on savait que nos parents etaient dans le besoin ,alors que les jeunes d’aujourd’huit n’hesitent pas à manquer de respect aux parents lorsqu’ils se trouvent incapables de leur offrir des fringues à la mode !
lah yasmahana malwalidin
Une histoire:
Un homme se dirigeait vers la Mecque pour le Pèlerinage et il portait sa maman sur son dos. Il demanda alors au Prophète :« O; Messager d’Allah, est-ce que j’ai rendu à ma mère l’équivalent de tout ce qu’elle m’a donné ?»
alors il répondit : « Même pas d’un cri qu’elle a poussé lorsqu’elle t’a porté et mis au monde ! ».
L’homme, étonné, s’est écrié « Comment cela se fait-il ô Messager d’Allah ? ».
Le Messager répondit : « Tu la portes en attendant sa mort alors qu’elle t’a porté en attendant ta vie ! »
février 8, 2008 à 9:50 #241940HouriaMembreOui je sus entièrement ok sur ce sujet je souhaite qu’Allah keur ouvre l’esprit et les remet dans le droit chemin et qu’ils sachent que ses parents ne valent pas un pesant en or ou en rubis!
On doit honorer ses parents. L’énoncé de cette obligation n’est certes pas très original mais les textes talmudiques qui en traitent et les règles qui la concrétisent nous incitent à en approfondir la raison ou plus précisément le sens.
Nous leur devons respect amour et fidélité Respect envers les parents Il est important de parler de la politesse et de la bienséance vis-à-vis de tes parents. Cependant pour faire face à toute ambiguïté, je ne fais pas référence à la bienfaisance envers les parents. Je donnerai plutôt des exemples qui illustreraient plus facilement l’importance de la politesse et du raffinement en Islam. L’un des compagnons du Prophète (BP sur lui), était entrain de mourir. L’un de ses frères présents entreprit comme il est ordonné dans ces moments, de lui rappeler l’attestation de foi : il n y a d’autre divinité que Dieu. Mais le pauvre homme ne put la prononcer.Conscients de la gravité de la situation, les compagnons allèrent promptement voir le Prophète pour lui soumettre le problème. Après avoir écouté les compagnons; le Prophète s’enquit tout de suite: « A-t-il une mère ? » On répondit que oui, alors le Prophète décida d’aller la voir.
Le Prophète demanda à la mère du mourant :
– Comment était-il avec toi ?
– Il se conduisait bien avec moi, sauf qu’il rentrait quelquefois avec un paquet de fruits, il le dissimulait pour que je ne le voie pas et allait l’offrir en cachette à sa femme et ses enfants.
– Très bien, nous allons le jeter dans le feu, puisque tu ne lui pardonnes pas !
– Non, s’écria la mère, je lui pardonne, je lui pardonne !
Au même moment, l’homme mourant put enfin prononcer l’attestation.
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