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15 réponses de 3,211 à 3,225 (sur un total de 3,575)
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  • #207839

    En réponse à : saidia est belle

    saidi
    Membre

    SOUSSOU ET OUJDI PUR BONJOUR

    C’est encore moi. Comme la journée me paraît un peu longue ce jour, que leftour est encore loin , que je dispose d’une journée de repos, je me suis dit qu’on va faire détendre un peu l’atmosphère. Dans le suite logique de mon dernier message adressé à SOUSSOU, je voudrais vous proposer une chose si ce n’est déjà fait. je vous conseille de vous procurer une chanson qui a été lancée par un certain berkani (vous voyez qu’il ya des gens bien à berkane), elle s’intitule LPASSPORT LAKHDAR et elle date des années soixantes c a d tout à fait au début des grands départs. Si vous écoutez bien les paroles de cette chanson, vous allez tout de suite comprendre que OUJDI PUR et SOUSSOU, vous êtes sur la même longueur d’onde, écoutez bien ces paroles et vous allez vous apercevoir qu’on est tous dans la même galère. Cette chanson, je la prends comme référence pour discuter des différents qui existent aujourdh’ui entre rme et autochtones, vous allez vite vous apercevoir que nous sommes tous logés à la même enseigne, écoutez cette chanson, je vous assure qu’elle vaut la peine. vous y comprendrez sûrement que les problèmes vécus par ceux qui sont partis et ceux qui sont restés ne sont pas tellement différents. C’est la même couche de société qui sévit.
    arretons d’être sérieux et prenons des nouvelles de nos amis: OUJDI PUR, tu es hors pair, toujours présent au poste, rien ne t’échappe et apparemment tu es celui sur lequel le ramadan ne te fais pas changer de comportement bravo!
    Un autre assidu et toujours alerte c’est nediha gawriya, je trouve cher ami que tu as un humour génial et c’est un plaisir de lire tes messages, ils me font passer des moments très agréables.
    Par contre, FADI et Dahlia qui paraissaient en pleine forme aux premiers jours du ramadan me donnent l’impression d’être essouflés. YAK MMA GHLEBKOUM RAMDAN? rassurer vous ma bqa walou, ce n’est pas pour celà que vous devez vous deconnecter, encore un effort et faites nous quelques coucou pour bien terminer ce mois sacré ne fut ce que quelques blagues sans décrire les mines que vous affichez et que je devinne. Allez oujdi pur et nediha gawriya, ne vous decouragez pas, continuez sur votre lancée jusqu’au bout c’est formidable, celà détend l’atmosphère et on apprend à se connaître un peu plus. Merci les gars pour votre animation de ce site.

    #207837

    En réponse à : saidia est belle

    saidi
    Membre

    Bonjour soussou, j’ai lu ton message, ne te formalise pas trop là dessus, pour moi c’est oublié ce sont souvent des malentendus qui creent des tensions. Par contre, j’ai trouvé ce sujet interessant car il ya bien quelques années déjà depuis qu’une tension existe entre les rme et les autochtones surtout pendant les mois d’été. Ceci est désolant et je pense que c’est bien d’en parler, mais il faut en parler de manière cdonstructive. Posons nous d’abord la question de savoir d’où vient ce phénomène, alors qu’en réalité nos compatriotes autochtones comme nous les rme nous sommes tous mal dans notre peau. Ce sujet vaut à mon avis la peine d’être debattu entre nous sans pour celà organiser des conférences à ne pas en finir pour ne rien en sortir, je pense que les échanges que nous avons à travers ce forum peut certainement nous mettre un jour le doigt sur ce qui cree ce malaise que tout le monde constate, mais c’est un long débat, il faut peut être le prendre dès les racines , un peu d’historique sur l’immigration initiale, l’évolution des mentalités à travers les générations etc… Permettez moi de vous citer un exemple: Depuis quelques années et de plus en plus souvent, au retour des vacances, quand on pose la question à nos rme de retour du pays: alors? comment va le bled? très souvent , la réponse dépend de la tranche d’âge du rme, la première génération répond la plupart du temps: bladna zina wa lakine emoualiha haja okhra. Je trouve celà tout à fait normal comme réponse en effet, comment voulez vous faire un rapprochement dans la façon de raisonner entre des gens qui vivent dans le pays et selon un axe de référence autour duquel tout le pays fonctionne et ceux qui vivent en dehors du pays, même s’ils sont de la première génération sont de toute façon imprégné un tant soit peu par l’axe de référence différent qui est celui des pays d’accueil(reflechissez bien à celà, je vous assure que vous y trouverez beaucoup de vérité). Pour ce qui est de la deuxième, troisième .. générations, c’est encore une autre paire de manche! vous avez devant vous dans le bateau que nous empruntons tous d’ALMERIA à BENI ENZAR des comportements qui vous interpellent durant toute la traversée(les différentes langues parlées par les jeunes enfants , adolescents et même adultes et la manière avec laquelle ils sont devoir se debrouiller au bled est déjà en soit un phénomène poignant), à ma dernière traversée, j’ai dû intervenir auprès d’un responsable de restaurant du bateau pour lui expliquer le type de glace qu’un enfant venant de hollande avait le désir d’acheter! c’est aussi un phénomène poignant et interpellant. C’est à mon avis de celà qu’il faut continuer à parler, c’est de nos souffrances en tant que rme et pas en se ventant de remmener au pays certaines choses (c’est vrai aussi mais c’est un autre débat). Ainsi , on pourra peut être un jour arriver à nous entendre . Je ne pense pas que la manière de vous voir discuter avec oujdi pur que je salue au passage soit la meilleure. Tout le monde peut avoir tort, tout le monde peut avoir raison. tenez encore un exemple qui montre que nous vivons dans des axes de references différents et que celà pèse sur notre façon de raisonner. Pendant les vacances au Maroc, dans les trains, dans les autobus sur les terrasses de café, on voit beaucoup de marocains autochtones avec un libre, un journal etc.. Dans le bateau reliant ALMERIA-BENI ENZAR où l’on passe 6H en moyenne, en faisant le tour en sachant le nombre de passagers tout âge confondu, il est frappant de constater que les livres, les journaux, les revues, les jeux de société sont inexistants! celà aussi m’interpelle et je me pose la question de savoir pourquoi (cet exemple c’est pour faire plaisir à notre ami oujdi pur) qui j’espère qu’il terminera ce jour de ramadan sans trop se prendre la tête. excusez la longueur du texte mais je suis désolé, c’est ma façon de m’exprimer. Bien le bonjour à tous et sans rancune. saidi

    #207823

    En réponse à : saidia est belle

    saidi
    Membre

    Bonjour Oujdi pur. Avant d’intervenir dans la discussion que tu viens d’avoir avec SOUSSOU à propos de la saleté de saidia, je voudrais te dire comme tu le sais bien sûr que nous nous sommes déjà croisés à travers ce forum à plusieurs reprises et sur différents sujets. Jusque là celà n’a été que politesse, compréhension, reconnaissance de maladresse quand il le fallait. Petit à petit j’ai continué mon petit chemin à survoler ce forum en cliquant sur certains sujets qui au départ je l’avoue ne m’inspirait pas, bien au contraire, pour ne citer que ma dernière soirée d’hier le 16 octobre, j’ai parcouru assez bien de messages de tout horizon, j’y ai découvert les problèmes(faux problèmes, plutôt mal comprehension! entre oujdis et berkanis, franchement j’ai trouvé celà enfantin, les gens qui sont vexés parceque quelqu’un raconte une blague sur les berkanis ou vice versa me désole, il ya notre ami alaa eddine qui a dit qu’il faut le prendre au deuxième degré, j’ai trouvé celà génial, mais par la suite j’ai compris qu’il prechait dans le désert!). Pour ma part, je suis de ceux qui pensent qu’il faut laisser ces gens sortir contre leurs voisins à défaut de le faire contre des gens qui nous lisent et qui se foute de nous tous orientaux, oujdis, berkanis, ahfiri, benidrari, taourirti, pour ne pas citer les gens de jerada, de guenfouda, de beni methar, de touissit, de berguent, de figuig(figuig c’est un lapsus), donc pour résumer, ce que je te demande , c’est d’arrêter de te ronger les ongles, tout le monde sait que tu es un oujdi plus que pûr mais arrêtes de te faire du mal en réagissant de la sorte. Chèr ami, si je te dis celà, c’est parceque j’ai suivi hier soir le 16 octobre sur le forum Café oujda city quelques échanges que vous avez eu, toi, fadi de marrakech, neddiha gaurya de Rabat, Dahlia de? de Alaa Eddine de? en parlant du mois de Ramadan, croyez moi, c’est la première fois que j’ai eu l’impression sur ce forum que j’ai affaire à des gens de sagesse, de savoir parler, de savoir vivre, de savoir blaguer, de savoir parler de leur quotidien avec beaucoup de dignité et de sérénité en même temps je n’ai pas pû m’empécher d’éclater de rire , seul devant mon écran lors des échanges qui ont eu lieu entre les différents acteurs et neddiha gaurya avec sa télé et le zapping entre rtm et 2M, FADI qui se vante en quelque sorte entre son réveil 1h avant leftour à Marrakech, Dahlia qui a perdu la boussole avec les piles de syllabus sur son bureau, Alaa eddine qui joue bien l’intello avec ses belles lunettes et qui arrive en retard pour s’apercevoir que la guerre des tranchées entre berkanis et oujdis lui a échappé(un épisode). bref, j’ai trouvé là une des plus belles caracteristiques de la culture marocaine, c’est celà que j’aime beaucoup dans ce pays, c’est cette façon de parler, de blaguer et de quelle manière! c’est fin, c’est subtile, c’est respectueux, c’est amical, c’est une des façons qui permet aux gens de se connaître sans se cacher derrière des pseudo. Merci à tous de m’avoir permis de passer un moment agréable. saidi
    Cher Oujdi pur, je préfère terminer sur cette note optimiste plutôt que de s’embarquer dans des sujets trop sérieux comme l’a dit dahlia, nous avons tout le temps d’y revenir, passons cet agréable mois de ramadan dans la sérénité. Ceci ne peut m’empécher de te dire que j’ai eu beaucoup de difficulté pour m’abstenir d’intervenir pour te tirer mon chapeau lorsque tu as répondu à un certain futur ingénieur d’une des meilleures écoles supérieures du Maroc pour les propos qu’il a tenu dans l’un de ses messages! en tout cas, tu peux être sûr mon cher oujdi pur, c’est que ce personnage n’ira certainement pas loin avec son futur diplôme d’ingénieur. Tu sais pourquoi? pcq ,si, ce futur ingénieur (encore faut-il voir si ses maîtres n’ont pas aperçu ce qu’il a écrit, ce qui vaut à mon avis un stop définitif à la poursuite et à la prétention de pouvoir acquérir le titre d’ingénieur) un ingénieur doit savoir de quoi il parle, il doit savoir faire face à des situations catastrophiques simulées, doit savoir gérer des multinationales etc… mais doit aussi savoir qu’il existe une éthique qui lie toute l’humanité quelque soit le milieu, les conditions, les façons dont il pense une éthique basée sur ces quelques règles font de bons ingénieurs, de bons médecins, de bonnes infirmières, de bonnes secretaires, de bons maçons, de bons électriciens, de bons manoeuvres on qualifiés etc…) Mon chèr oujid pur et les autres que j’ai cité ci haut, excusez moi d’avoir quand même cédé à mes impulsions, eh oui comme oujdi pur, parfois trop c’est trop.

    #207812

    En réponse à : saidia est belle

    SOUSSOU
    Membre

    cher badr si ce message m’est déstiné je te réponds en te disant merci pour ‘sale’ et tu ne veux pas voir la realite en face tu penses parler avec qui? je suis plus marocaine que toi je le suis ds mon éducation ds mon sang et la verite est tres visible sors juste ta tete par la fenetre et tu va voir je n’invente rien notre pays est super ‘ kamil min majani3o’ mais certaines personnes saleeeeeeesssssssss lui font mal n’aiment pas le progres comme ceux qui sont contre les projets ds notre region mais alhamdo lilah ns avons notre ROI qui fait faire bouger la region c un plaisir de prendre les routes maintenant!!!!!! alors mon cher BADR aimer le maroc plus que moi je pense rak b3iiiiidddddddd . j’habite a saidia est je suis désolée de voir l’état des routes , les gens qui te donnent ‘al kalma’ et qui sont payés pour une tache mais ALLAH ijib et toussssssssssssssssss la verite je l’ai dite maintenant le sujet est clos et mm si tu m’insultes je ne te repondrai ps

    #201729
    manara
    Membre

    Belleville : un ramadan en or
    Un quartier populaire de Paris à l’heure du ramadan
    Dossier Joyeux ramadan

    Le quartier de Belleville de Paris est en effervescence. C’est bientôt l’heure de la rupture du jeun de ramadan. Le monde s’attroupe autour des étalages improvisés et surchargés. Tous les petits commerçants de la rue Jean-Pierre Timbaud ont sorti les tables sur les trottoirs sur lesquelles repose leur marchandise estampillée « spécial ramadan ». Car ils ont bien compris que ce mois béni pour les musulmans l’est aussi pour leurs bénéfices.

    Métro Couronnes. La sortie donne sur une rue descendante où se succèdent librairies, boutiques dédiées aux vêtements islamiques et autres bazars de toutes sortes. Les djellabas, foulards, gâteaux, dattes et livres spirituels et religieux se côtoient sur les étagères et dans les bacs, et débordent parfois jusque sur le trottoir.

    Les musulmans de Paris, et plus généralement d’Ile-de-France s’y retrouvent pour renouveler leur bibliothèque ou pour se réapprovisionner en nourriture orientale, voire tout simplement pour vivre l’ambiance ramadan. Car celui qui connaît quelque peu le quartier en dehors de cette « saison » un peu particulière que constitue ce mois sacré peut aisément s’apercevoir du changement radical.

    Tout au long de l’année, le quartier est plutôt calme. Ceux qui y circulent en temps ordinaire font leurs emplettes et s’en vont, tandis que, durant le mois de ramadan, les trottoirs sont bondés, les tréteaux regorgent de gâteaux et autres galettes, de dattes et de figues, bref, tout ce dont la femme active ou l’étudiant esseulé pourrait avoir besoin est mis à leur disposition… à condition de délier sa bourse !

    Dattes et produits laitiers sont les rois des étalages

    Il est à préciser que, outre les dattes et les gâteaux, les produits laitiers constituent aussi un produit-phare et rapportent gros aux commerçants durant ce mois. Le beurre, le lait de ferme, le petit lait (laban) et surtout le lait caillé (raïb) parsèment les étalages. « C’est exceptionnellement pendant le mois de ramadan, que nous faisons venir tout ces produits frais de fermes », déclare un commerçant, qui s’est installé juste devant une boucherie halal. Sur l’emballage des produits, aucune indication quant à leur provenance n’y figure. Le commerçant explique que, tous les matins, les produits laitiers provenant d’une ferme basée dans l’Essonne sont livrés par un distributeur de Corbeil-Essonnes.

    De l’autre côté de la rue, Lahcène, la vingtaine, tient lui aussi un petit étalage. Le jeune homme se réapprovisionne en lait caillé chez un fermier des Yvelines, plus précisément à Jouy-en-Josas. Le lait caillé est conditionné dans des petits paquets plastiques, et l’adresse de la ferme y est mentionnée. Sur une face, les indications sont inscrites en français et sur l’autre en arabe. Visiblement, les fermiers de la région parisienne se mettent à la page durant le mois de ramadan. « Il n’y a que les musulmans pour consommer du petit lait et du lait caillé », assure Lahcène. « Les fermiers l’ont bien compris », poursuit-il. « Nous, les musulmans, nous aimons les produits naturels et traditionnels. »

    Le consommateur averti se sera rendu compte cette année de l’augmentation du prix des dattes. En moyenne, le kilo est à cinq euros. « C’est parce que c’est la récolte de l’année dernière. A Rungis, on les achète à trois euros cinquante. Dans ce prix, il y a le coût de stockage des dattes qui n’ont pas été vendues l’année précédente, c’est pour cela que le prix augmente », assure-t-il.

    Lahcène fait habituellement les marchés durant l’année. Le mois de ramadan est pour lui un mois propice pour la vente des produits frais. Et il ne le cache pas. « Je sais que les gens achètent beaucoup de nourritures et de livres, les vêtements pas trop. C’est pour ça que je vends les produits laitiers et les gâteaux, ici dans ce quartier. C’est le moment de me faire un peu plus d’argent. »

    De l’eau de Zamzam dans les librairies islamiques

    En continuant sur ce trottoir de la rue Jean Pierre Timbaut, une librairie islamique est bondée. A l’intérieur, le client n’y trouvera pas que des livres, loin s’en faut ! A l’entrée, d’emblée des dattes de la Mecque sont entreposées. Du miel, du shampoing à base de graines de Nigel (habba sawda), des savons à l’huile d’olive et même du dentifrice halal au siwak jonchent les étagères.

    On y trouve même de l’eau de Zamzam conditionnée soit dans des jars en plastiques, soit dans des petites bouteilles. Cette eau provient de la source Zamzam située à La Mecque. Selon la tradition islamique, cette source a été donnée par Dieu par le biais de l’ange Gabriel à Hagar, mère d’Ismaël et femme d’Abraham, alors qu’elle se trouvait seule dans le désert avec son fils. Source inépuisable, on rapporte qu’en la buvant, toutes les invocations du fidèle sont exaucées.

    A trois euros cinquante la bouteille de cinq cents millilitres, l’eau de Zamzam est aussi une source de bénéfice pour les libraires. Finalement, les commerçants ont bien compris que ce mois béni pour les musulmans l’est aussi pour leurs bénéfices.

    vendredi 13 octobre 2006,

    Nicolas Mom, pour SaphirNews

    et sa77a ftourek
    Allah ya9bal
    bonjour à tous les Franciliens du forum 😉 😉

    #208338

    En réponse à : la mentalité des oujdis suite

    Nadia
    Membre

    Salam,

    Pourquoi vous prendre la tête ?

    Ce topic va bientot avoir 1 an !

    Je me demande même comment il peut encore exister 🙄

    Je pense que les modérateurs devraient faire le nécessaire de manière à supprimer ce sujet débile, réducteur…

    #207500

    En réponse à : Bienvenu au forum Oujdacity

    saidi
    Membre

    Cher ALAA-eddine et chère DAHLIA

    Bonjour ,

    Je suis désolé de vous derranger à nouveau, mais, mar manque d’exp)érience (tout le monde n’arrive pas à capter et transmettre ce qu’il veut)
    j’ai essayer en tant qu’abonné avec mon email que toute le monde peut connaître), je ne suis pas arrivé à transmettre un messageconcernant le projet FADESSA, pour répondre à OUJDINO , SASSOU et ALAA-eddine)

    Dites nous SVP Comment s’y prendre pcq je crois que le maroc oriental qui veut se decoller doit se dire dire que le prmier moyen qu’il faut developper, a savoir , avant même les routes, l’assainissement public c’est celui de savoir communiquer , ce qui estb un manque desastreux dans ce pays(y compris mon message), alors, svp? apprenez-nous l’abc de ce qu’il faut faire pour que vous ayez les avis de beaucoup de marocains et marocaines qui ont beaucoup dans la cervelle mais qui ne savent pas comme moi comment il faut se servir d’un clavier pour pouvoir transmettre un message, excusez moi, c’est mon sentiment, mais si vous vous donnez la peine de consacreer une rubrique à ce sujet, je peux vous assurer que ce n’est pas cause perdue merci saidi ( NB En attendant, le message que j’avais envie d’aenvoyer à ALAA-eddine, SOUSSOU, OUJIDNOTE et DAHLIA , je n’ai pas pu l’envoyer mar manque de connaissance de manipulations claviers), c »eci n’est pas une provocation! mais une réalité quotidienne.) Combien de marocains, marocaines, amies, amis du maroc croyeze vous qui possèdent un ordi à la maison et qui n’ont pas comme moi les connaissances de pouvoir se lancer dans des messages, discussions, forums, etc…) essayez de travailler sur ce sujet, je peux vous assurer qu’il ya là beaucoup de travail que certains appellent social; à faire) bien à vous et sans complexe. saidi

    #208335

    En réponse à : la mentalité des oujdis suite

    tachafine
    Membre

    je suis berkanais et je dit a si birouk que tu es vraiment malade , il faut voir ca a vec un medecin , parler de cette facon et avec une tel haine ca doit avoir une cause alors soigne toi avant que sa soit trop tard .

    j’aime oujda et je deteste qui dit du mal sur oujda et vive wlad chark oujda berkane ahfir saidia laayoune taourirt …..

    #216323

    En réponse à : c est trop!

    tachafine
    Membre

    80 % !!! alors t’as fait des statistiques toi meme , c tres important ca , alors tu boi de l’alcool c bizar , iwa allah ya3fou alik ila kount tamchi les bars ,en tout cas les bars a oujda sont plus qu’a berkane c evident ,oujda est plus grande ue berkane !!

    pour le climentine je pense que la qualite et le grand calibre est exporte a l’etranger et nous les marocains ne mange que le dechet vous devez voir ca c la pire verite , ila brit njiblak dak chi li yaklou europa machi li f souk sahbi ou douk basaha

    @houlakou wrote:

    Les bars sont plein 80 pour cent par des berkanais ,pour le chamma c est une importation qui viennent d algerie..goul li a si tachfine kayane chi clementine had al aam mazian…

    #210230

    En réponse à : bonne initiative a oujda !!

    dahlia
    Membre

    c vrai ce truc des deux concurrents sur le meme plateau ❓ ❓ ❗

    je n ai toujours pas d idée la dessus …mais je ne sais pas peut etre les deux se sont mis d accord de vendre 2 produits differents chak pour soi mai en meme temps ils veulent reduire les couts de gestion et du coup celui du personnel
    c a dire pas la peine de recruter tout un autre groupe de teleconseilleres pour l autre nouveau call center ,mais de partager les charges du personnel entre les 2 pour juste un seule groupe:D 😀
    tant pis si c est au dessus des capacités des teleconseilleres 🙂

    ils peuvent feindre tout objectif (creation d emploi )de multinationalisation pour leurs interets 😆 😆

    en tout cas c juste une speculation en attendant de savoir ce qui se passe au juste …. 😉

    je ne fais que papoter la 🙂

    #201702
    manara
    Membre

    Pour juger sur pieces, voici ce texte

    Face aux intimidations islamistes, que doit faire le monde libre ?

    par Robert Redeker

    Les réactions suscitées par l’analyse de Benoît XVI sur l’islam et la violence s’inscrivent dans la tentative menée par cet islam d’étouffer ce que l’Occident a de plus précieux qui n’existe dans aucun pays musulman : la liberté de penser et de s’exprimer.

    L’islam essaie d’imposer à l’Europe ses règles : ouverture des piscines à certaines heures exclusivement aux femmes, interdiction de caricaturer cette religion, exigence d’un traitement diététique particulier des enfants musulmans dans les cantines, combat pour le port du voile à l’école, accusation d’islamophobie contre les esprits libres.

    Comment expliquer l’interdiction du string à Paris-Plages, cet été ? Étrange fut l’argument avancé : risque de «troubles à l’ordre public». Cela signifiait-il que des bandes de jeunes frustrés risquaient de devenir violents à l’affichage de la beauté ? Ou bien craignait-on des manifestations islamistes, via des brigades de la vertu, aux abords de Paris-Plages ?

    Pourtant, la non-interdiction du port du voile dans la rue est, du fait de la réprobation que ce soutien à l’oppression contre les femmes suscite, plus propre à «troubler l’ordre public» que le string. Il n’est pas déplacé de penser que cette interdiction traduit une islamisation des esprits en France, une soumission plus ou moins consciente aux diktats de l’islam. Ou, à tout le moins, qu’elle résulte de l’insidieuse pression musulmane sur les esprits. Islamisation des esprits : ceux-là même qui s’élevaient contre l’inauguration d’un Parvis Jean-Paul-II à Paris ne s’opposent pas à la construction de mosquées. L’islam tente d’obliger l’Europe à se plier à sa vision de l’homme.

    Comme jadis avec le communisme, l’Occident se retrouve sous surveillance idéologique. L’islam se présente, à l’image du défunt communisme, comme une alternative au monde occidental. À l’instar du communisme d’autrefois, l’islam, pour conquérir les esprits, joue sur une corde sensible. Il se targue d’une légitimité qui trouble la conscience occidentale, attentive à autrui : être la voix des pauvres de la planète. Hier, la voix des pauvres prétendait venir de Moscou, aujourd’hui elle viendrait de La Mecque ! Aujourd’hui à nouveau, des intellectuels incarnent cet oeil du Coran, comme ils incarnaient l’oeil de Moscou hier. Ils excommunient pour islamophobie, comme hier pour anticommunisme.

    Dans l’ouverture à autrui, propre à l’Occident, se manifeste une sécularisation du christianisme, dont le fond se résume ainsi : l’autre doit toujours passer avant moi. L’Occidental, héritier du christianisme, est l’être qui met son âme à découvert. Il prend le risque de passer pour faible. À l’identique de feu le communisme, l’islam tient la générosité, l’ouverture d’esprit, la tolérance, la douceur, la liberté de la femme et des moeurs, les valeurs démocratiques, pour des marques de décadence.

    Ce sont des faiblesses qu’il veut exploiter au moyen «d’idiots utiles», les bonnes consciences imbues de bons sentiments, afin d’imposer l’ordre coranique au monde occidental lui-même.

    Le Coran est un livre d’inouïe violence. Maxime Rodinson énonce, dans l’Encyclopédia Universalis, quelques vérités aussi importantes que taboues en France. D’une part, «Muhammad révéla à Médine des qualités insoupçonnées de dirigeant politique et de chef militaire (…) Il recourut à la guerre privée, institution courante en Arabie (…) Muhammad envoya bientôt des petits groupes de ses partisans attaquer les caravanes mekkoises, punissant ainsi ses incrédules compatriotes et du même coup acquérant un riche butin».

    D’autre part, «Muhammad profita de ce succès pour éliminer de Médine, en la faisant massacrer, la dernière tribu juive qui y restait, les Qurayza, qu’il accusait d’un comportement suspect». Enfin, «après la mort de Khadidja, il épousa une veuve, bonne ménagère, Sawda, et aussi la petite Aisha, qui avait à peine une dizaine d’années. Ses penchants érotiques, longtemps contenus, devaient lui faire contracter concurremment une dizaine de mariages».

    Exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran.

    De fait, l’Église catholique n’est pas exempte de reproches. Son histoire est jonchée de pages noires, sur lesquelles elle a fait repentance. L’Inquisition, la chasse aux sorcières, l’exécution des philosophes Bruno et Vanini, ces mal-pensants épicuriens, celle, en plein XVIIIe siècle, du chevalier de La Barre pour impiété, ne plaident pas en sa faveur. Mais ce qui différencie le christianisme de l’islam apparaît : il est toujours possible de retourner les valeurs évangéliques, la douce personne de Jésus contre les dérives de l’Église.

    Aucune des fautes de l’Église ne plonge ses racines dans l’Évangile. Jésus est non-violent. Le retour à Jésus est un recours contre les excès de l’institution ecclésiale. Le recours à Mahomet, au contraire, renforce la haine et la violence. Jésus est un maître d’amour, Mahomet un maître de haine.

    La lapidation de Satan, chaque année à La Mecque, n’est pas qu’un phénomène superstitieux. Elle ne met pas seulement en scène une foule hystérisée flirtant avec la barbarie. Sa portée est anthropologique. Voilà en effet un rite, auquel chaque musulman est invité à se soumettre, inscrivant la violence comme un devoir sacré au coeur du croyant.

    Cette lapidation, s’accompagnant annuellement de la mort par piétinement de quelques fidèles, parfois de plusieurs centaines, est un rituel qui couve la violence archaïque.

    Au lieu d’éliminer cette violence archaïque, à l’imitation du judaïsme et du christianisme, en la neutralisant (le judaïsme commence par le refus du sacrifice humain, c’est-à-dire l’entrée dans la civilisation, le christianisme transforme le sacrifice en eucharistie), l’islam lui confectionne un nid, où elle croîtra au chaud. Quand le judaïsme et le christianisme sont des religions dont les rites conjurent la violence, la délégitiment, l’islam est une religion qui, dans son texte sacré même, autant que dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine.

    Haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est éduqué, le Coran. Comme aux temps de la guerre froide, violence et intimidation sont les voies utilisées par une idéologie à vocation hégémonique, l’islam, pour poser sa chape de plomb sur le monde. Benoît XVI en souffre la cruelle expérience. Comme en ces temps-là, il faut appeler l’Occident «le monde libre» par rapport à au monde musulman, et comme en ces temps-là les adversaires de ce «monde libre», fonctionnaires zélés de l’oeil du Coran, pullulent en son sein

    😥 😥
    c le texte de ce philosophe
    à qui le tour la prochaine fois
    et dernierement une mosqueé en balieue parisienne a été cible de tags
    racistes personne n’en parle
    les autorites musulmanes ou representants des musulmans en France font pas grand chose
    😥 😥

    #214815

    En réponse à : jm trop Berkane!!!

    tachafine
    Membre

    @zhm wrote:

    mazbalate berkane ou bien mazbalate atarikh ? !!
    stp plus de précision c’est important ! car la jvien de comprendre et grace a ton poste que berkan est mazbalte atarikh .
    relis ton poste stp !

    c scientifique ce que tu vient de dire ? si c oui explique toi plus ou bien donne nous qulque chose de plus logique pour confirmer tes blagues lalla et pour dire que berkane est une mazbalat attarikh !!!! alors aray ma3andak ,;;;

    si non alors tu veut prouve klk chose que tu as dans ton crane , c’est a dire
    une maladie de dire que tu es plus civiliser ou plus eduque ou plus raciste , se sont des paroles des racistes , revoi ton language chere zhm

    BERKANE L’HISTORIQUE

    La province tire son nom de la ville de Berkane, fondée au début du siècle sur les anciennes ruines d’un village historique, baptisé du nom de l’érudit et saint Sidi Mohamed Ben Elhassan Ben Mekhlouf Errachidi plus connu sous le nom de Sidi Ahmed Aberkane mort en 868 de l’Hégire.

    la Province Berkane s’étend sur une superficie de 1985 km², soit 2.4% de la superficie de la région de l’Oriental. Elle est limitée au Nord par la Méditerranée, à l’Est par la frontière Maroco-Algérienne et la Préfecture d’Oujda-Angad, à l’Ouest par la Province de Nador et au Sud par la Province de Taourirt.
    La situation géographique privilégiée de la province de Berkane à proximité des marchés extérieurs notamment européens et maghrébins la prédispose à devenir un pôle de développement important tant pour la région de l’Oriental, qu’au niveau national.

    Données géographiques : des reliefs contrastés
    * Relief
    Le paysage est marqué par des reliefs contrastés du Nord au Sud :
    * La plaine de. Triffa dont l’altitude moyenne est de 200 mètres, s’étend sur une superficie de 61.060 hectares (dont 39.600 ha irrigués) en rive droite de l’oued Moulouya qui constitue le principal drain du réseau hydrographique de la région (1Millards m 3/an). Elle s’insère entre les monts de Béni-Snassen au sud et les collines d’Ouled Mansour au nord qui la séparent de la petite plaine côtière de Saidia.
    * La chaîne de Béni-Snassen, dont les massifs culminent à 1429 mètres, au sommet de Jbel Bou Zaâbel.
    * Climat
    Le climat dominant dans la région est de type méditerranéen semi-aride avec :
    * Une pluviométrie moyenne annuelle faible et irrégulière (300 mm) ; les précipitations sont concentrées sur les mois de décembre, janvier et avril ;
    * Des températures moyennes annuelles variant entre 5,2°C et 18,7°C l’hiver, 18,5°C et 31°C l’été.

    LE POTENTIEL TOURISTIQUE

    La Province de Berkane est parée d’atouts naturels, culturels et traditionnels qui en font une destination phare pour les visiteurs en quête de détente sur les sables dorés d’une plage méditerranéenne, pour les fervents des grands espaces désireux de respirer l’air pur de la montagne et d’explorer une nature sauvage, exotique et dépaysante ou pour ceux qui, réfractaires aux musées, veulent découvrir in situ les traditions, rites et croyances d’une culture mystérieuse et insolite.
    En effet, la Province est dotée d’un rivage méditerranéen de 14Km, de forêts naturelles qui serpentent les monts de Béni Snassen vers les gorges de Zegzel, de grottes préhistoriques, mondialement connues, et de sources thermales réputées pour leurs vertus curatives.

    Le tourisme balnéaire : station balnéaire de Saidia

    La Ville de Saïdia est située à l’extrême Nord-est du Maroc sur un tronçon d’une vingtaine de kilomètres, à 20 Km de la ville de Berkane et 60 Km de la ville d’Oujda. Cette petite ville littorale occupe une position géographique privilégiée et constitue un carrefour incontournable ouvert sur les marchés européens et maghrébins et à proximité des principales voies de desserte terrestres, aériennes et maritimes (à 2 heures d’avion de l’Europe, à 50 Km et 60 Km respectivement de l’aéroport Oujda-Angad et de la gare ferroviaire d’Oujda, à 80 Km du port de Nador et de l’aéroport de Aroui et à 90 Km du port et de l’aéroport de Melilla).
    Le premier noyau de la ville date de 1883 et fût l’œuvre du Sultan Hassan Premier qui bâtit une Casbah de 15.600m2 de superficie sur la rive gauche de l’embouchure de l’Oued Kiss. Ce monument, vestige seigneurial d’épopées glorieuses, servait entre autre de bastion de la résistance face à l’hégémonie des envahisseurs.
    Bien qu’elle remonte à l’orée du 19ème siècle, c’est du temps du protectorat français (1927) que la ville a été aménagée en tant que station balnéaire faisant le bonheur des autochtones et de l’ensemble de la présence coloniale dans l’Oriental.
    Transformée en commune urbaine en 1992, la ville de Saïdia compte actuellement en temps normal, quelques 3338 habitants (RGPH, 2004) et reçoit des milliers de visiteurs en période estivale attirés par ses atouts touristiques multiples et diversifiés.

    Plage – Soleil

    Considérée comme l’une des plus belles plages du Royaume, Saïdia possède des atouts naturels indéniables à même de séduire les plus exigeants en matière de tourisme balnéaire. Son climat idéal (plus de 300 jours de soleil par an avec des températures moyennes annuelles oscillant entre 18 C° l’hiver et 31 C° l’été), ses 14 Km de sable fin doré, la clarté de ses eaux propres pour la baignade et animées d’une faible houle et l’exubérance de ses paysages attirent chaque année plus de 200.000 visiteurs venus des quatre coins du pays et de l’étranger avec une forte présence des MRE (14,5% du total des estivants), plus particulièrement lors de la tenue du « Festival de Saïdia » mis sur pieds depuis 1980 pour promouvoir le patrimoine culturel et artistique que recèle l’Oriental.

    Infrastructures et Animation

    Les potentialités de cette station prêtant à une plus grande exploitation et ouvrant des perspectives d’investissements considérables, sont rehaussées par les équipements qu’offre la ville en matière touristique et renforcée par le port de plaisance, la rocade longeant le rivage méditerranéen sur 560 Km et reliant Saïdia à Tanger, l’école hôtelière et par l’essor qu’ont connu les festivités aussi bien artistiques, culturelles que sportives organisées en marge du festival rendez-vous incontournable.
    Tous ces attraits prédisposent Saïdia à devenir une importante destination touristique entraînant la mise en valeur d’autres localités proches, le long de la même côte ainsi que vers l’arrière pays (surtout la zone des Béni Snassen).

    Le tourisme vert

    Les monts de Béni Snassen
    A quelques kilomètres au sud de la ville de Berkane, les monts de Béni Snassen constituent un terrain de prédilection pour les amateurs de tourisme de montagne. On y trouve un éventail de paysages et de sites, tous aussi fascinants les uns que les autres. Le SIBE des Béni-Snassen englobe deux zones : la première (6.150 ha) comprend de magnifiques paysages (grottes, falaises, escarpements) recouverts principalement de Thuyas, et la seconde (600 ha) referme la très belle chênaie du jbel Foural, habitat naturel d’une riche faune zoologique et ornithologique (Sangliers, Lièvres, Lapins, Perdrix, Pigeons, Tourterelles, etc.). Dans ces décors paradisiaques on peut s’adonner à la randonnée pédestre ou équestre, s’assoupir à l’ombre d’un chêne bercer par les murmures des eaux argentées d’un ruisseau, escalader les façades des gorges de Zegzel, découvrir la faune et la flore locales, savourer à l’issue d’une battue de chasse l’ivresse d’une belle capture ou se détendre dans la quiétude qui règne à Tafoghalt, un pittoresque petit village rustique situé en pleine forêt méditerranéenne (Thuya Chênes verts, Genévrier, Oxycèdre, Pin d’Alep, etc.). Son climat doux et frais l’été soulage les visiteurs de la chaleur qui sévi en plaine pendant cette saison. Il est fréquent que les cimes avoisinantes se tapissent l’hiver d’une couche de neige évoquant les fabuleux paysages du Haut Atlas marocain.

    Vallée de Zegzel
    Emprunter la vallée de Zegzel c’est aller à la rencontre d’une végétation luxuriante, offrande généreuse de l’Oued Zegzel qui du cœur des montagnes de Béni-Snassen dévale les pentes au fond de gorges abruptes. Tout au long de ses méandres orangers, citronniers, néfliers, amandiers, légumes et céréales, jardins en terrasse verdoyants suspendus aux versants et constituant une toile bariolée aux tons impressionnistes, semblent s’accrocher de toutes leurs racines à la terre qui leur a donné vie. Les versants plus ou moins raides de ces monts et la rigueur de leurs hivers n’ont pas dissuadé leurs habitants, tirant leur subsistance d’une agriculture artisanale, de l’élevage et de la forêt, d’y bâtir des villages parfaitement intégrés à l’environnement.

    Sites archéologiques et historiques

    Grotte des pigeons
    La grotte karstique dite ‘’grotte des pigeons’’ à cause des nombreux pigeons qui y vivent, se trouve à l’entrée de la vallée de Zegzel, à 2 km à l’Est du village rustique de Tafoghalt. C’est une grande cavité largement ouverte vers l’extérieur présentant une entrée en forme d’arche. Découverte en 1908, la grotte est un gisement préhistorique mondialement connu en raison de l’importance des résultats scientifiques qu’elle a permis d’obtenir. Les fouilles entreprises en 1959 ont mis à jour plusieurs niveaux archéologiques contenant des restes d’animaux et des outils de pierre taillée datant du Paléolithique ( entre 40000 et 100000 ans). La grotte a ensuite connu 23 occupations successives au cours de l’Epipaléothique par une population de chasseurs qui allumaient à l’intérieur de grand feux provoquant la formation de couches cendreuses pouvant atteindre plus de quatre mètres. Les mesures de radiocarbone ont permis de dater ces couches cendreuses de 10.500 à 12.500 ans. Les spécialistes déterrèrent plus de 100.000 outils en pierre taillée, des restes d’animaux et surtout 180 sépultures d’individus appartenant à une race autochtone baptisée « homme de Tafoghalt » qui est à l’origine des populations berbères actuelles. Ces individus ont été enterrés selon un rituel funéraire qui laisse penser que les Epipaléolithiques avaient des sentiments religieux. Tous ces résultats font de la grotte de Tafoghalt un gisement unique au Maghreb qui n’a d’équivalent qu’en Egypte ou au Proche Orient.

    Grotte du chameau
    Perdu parmi les contreforts de l’Oriental, la grotte du chameau est un site historique et archéologique qui fait partie de ces havres de paix, de beauté et de calme où l’on peut se réfugier loin de la pollution et du stress des grandes villes. C’est également un haut lieu de spéléologie où d’insolites silhouettes de terre s’élancent vers le plafond à la rencontre d’autres descendantes, les stalagmites et les stalactites forment un rempart de multiples colonnes patiemment sculptées dans le calcaire par les eaux d’infiltration durant des millénaires. Vu sa dimension, sa valeur comme habitat préhistorique, la beauté exceptionnelle de son site, son accessibilité, sa situation géographique privilégiée au sein des Béni-Snassen, à proximité du centre d’estivage de Tafoghalt et de la grotte des pigeons ( 5km),la grotte du chameau est une destination de choix pour les épris des grands espaces.La grotte s’ouvre dans la vallée de l’oued Farrouj, affluent de l’oued Zegzel, au coeur du massif des Béni-Snassen, sur la rive droite duquel elle présente deux entrées. C’est une grotte à trois étages de galeries, dont la partie inférieure est toujours en activité après de fortes pluies. On accède à la grotte par une entrée supérieure ; une concrétion en forme de chameau qui a donné son nom à la grotte.

    Le tourisme écologique

    Le Site d’Intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) de la Moulouya
    Sur une superficie de 2700 Ha s’étale le SIBE de la Moulouya, un site naturel particulier sans équivalent sur la côte méditerranéenne orientale en matière de biodiversité, en particulier pour l’Herpétofaune et l’Avifaune, avec la présence de nombreuses espèces menacées et remarquables.
    L’Embouchure de la Moulouya (le seul cours d’eau marocain important se déversant dans la Méditerranée) est classée comme site d’intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) sur une superficie de 2.700 Hectares environ. Il comprend l’oued Moulouya ( de l’embouchure jusqu’à Ain Zerga), le cap sableux (Est de l’embouchure), l’arrière plage (falaises incluses) et les marais d’Ain Zerga, des Chrarba et gueltat Sidi Boudiaqui. Ces marais constituent de superbes étendues d’eau douce provenant de l’accumulation de précipitations pluviales et de résurgences ; ils sont cernés par une dense végétation palustre (Salicornes, Typhas, Roseaux,…), qui les rend quasiment inaccessibles. Ces zones abritent une avifaune riche et diversifiée comprenant des espèces endémiques d’importance mondiale à savoir : L’Ibis chauve, la Sarcelle marbrée, le Goéland d’Audouin, etc, et d’importantes populations d’oiseaux nicheurs tels que les poules sultanes, le héron pourpré, le busard cendré et Plusieurs espèces de fauvettes aquatiques. Elles constituent, par ailleurs, la plus importante escale migratoire de l’oriental, accueillant des espèces hivernantes dont certaines sont menacées d’extinction tels que les canards colverts, les oies cendrées, etc. Le tapis végétal environnant est composé de sansouïres à salicornes accompagnées de phragmites, de jonc, etc. L’herpétofaune (reptiles et amphibiens) de ce site est remarquable avec des espèces reliques endémiques de la région de Kebdana et l’Oranais, considérées comme éteintes de la planète depuis un siècle (Chalcides mauritanicus et Chalcides parallelus). Ces lieux d’une rare beauté où on peut contempler des levées et couchées de soleil féeriques, offrent un cadre agréable pour le tourisme vert.

    Phyto-écologie : 95 espèces représentant 38 familles avec de nombreuses formes endémiques, rares, remarquables et plantes médicinales qui abritent de nombreuses espèces dont 12 endémiques et rares.
    Habitat : Ripisylve de Tamarix d’une densité exceptionnelle abritant un peuplement spécifique d’une diversité unique au Maroc.
    Invertébrés Terrestres : sur 216 taxons retenus, 8 n’ont pas été trouvé ces 230 dernières années, 19 endémiques, 32 rares au Maroc et 5 classés comme espèces vulnérables inscrites sur la liste des espèces protégées au Maroc.
    Herpétologie : 23 espèces dont 8 remarquables par leur endémisme et leur rareté, notamment Testudo graeca et Chamaeleo chamaeleo, deux espèces qui figurent sur la liste rouge internationale.

    Site de la cigogne blanche
    A la sortie de la ville de Berkane, sur la rive droite de l’Oued Cherâa à proximité du ‘’Darih’’ de Sidi Ahmed Aberkane saint, patron de la ville, et à quelques dizaines de mètres de la grande mosquée, se localise le SIBE de la cigogne blanche. On y dénombré 33 nids juchés en haut de vieux et grands eucalyptus témoins silencieux de l’évolution et de l’extension de cette agglomération. Cette colonie est l’une des deux plus importantes du Maroc après celle des murailles de Dar El Kbira de Méknes (42 nids). Ce site constitue, d’ailleurs, l’un des rares points de concentration où ces grands échassiers se reproduisent normalement.

    Le Thermalisme

    La source de Fezouane

    merci a http://said35.chez-alice.fr/
    La source thermale de Fezouane est située au piémont nord des Béni Snassen. Elle est née à l’issue d’une intense activité volcanique durant la fin du tertiaire et le début du quaternaire. Elle a pris du renom et de l’importance avec le premier sondage effectué par les pouvoirs publics entre le 29 Octobre 1961 et le 14 Janvier 1962.
    Ses eaux de bonne qualité, appartiennent au groupe des bicarbonates calco- magnésiennes. Elles sont appréciées pour leurs propriétés curatives, notamment dans le traitement des maladies des reins.

    La source thermale de Chouihiya

    Une source dont les eaux possèdent des propriétés thérapeutiques en dermatologie, se situe au centre de la commune rurale de Chouihiya à 30 Km de la ville de Berkane.

    L’héritage culturel

    Toute forme d’art est une source de renseignement sur la vie, la pensée et la sensibilité des hommes qui le crée. Le patrimoine culturel de la région de l’oriental s’est imprégné au cours de son histoire de traditions héritées des différentes civilisations qui s’y sont relayées.

    Artisanat

    Les produits de l’artisanat locale offrent une variété appréciable d’articles tels que couvertures, tapis, djellabas, robes et caftans au style Oujdi (mansouj), et produits de vannerie, ainsi que différents autres objets à base d’Alfa (paniers,…), se sont de véritables œuvres d’art reflétant la créativité et la sensibilité des artisans de cette région.

    Chants, musiques et danses traditionnelles

    Cette région se distingue par ses chants, ses musiques et ses danses populaires : Ahidous, Laâlaoui et ses variantes le Mengouchi , le Nhari et le Sghairi, des formes d’expression rythmées riches en percussions. Ces danses séculaires exécutées par plusieurs danseurs se tenant à coude et se mouvant comme un seul corps, exaltent le courage et la solidité des guerriers face à l’ennemi. La province possède également des groupes de Bardias, uniques en leur genre au Maroc. Se sont des guerriers à pied exécutant des figures expressives ; fusils à la main ils terminent leur prestation dans un nuage de poudre.

    😉 😉 😉 😉

    #215489

    En réponse à : Presentez vous

    dahlia
    Membre

    mra7ba b lalla amal .mra7ba b nass dial ljanoub 🙂

    ca fait vraiment plaisir de t entendre dire cela.saches que tu es la bienvenue parmi nous.wella lla oujdinautes ❓ ❓

    pour les recettes que tu souhaites avoir ,je ne sais pas si sur forum t en trouveras assez ,mais c est juste que nous venons d avoir une rubrique cuisine …j suis sure qu au fur et a mesure tu trouveraa ce que tu voudras nchallah….on t aidera a reussir ta bekbouka et ton karan 😉

    bref si tu veux visiter oujda ,tu ne le regrettera pas crois moi 😆 tu risque de vouloir y finir le restant de ta vie 😆 😆 comme on dit oujda wellaaaafa 🙂
    et permets moi par la meme occasion ,de te dire que tiznit est aussi une ville legendaire ,qui regorge de tres tres beaux paysages..
    les falaises de mirleft par exemple….trop fort cette vue sur la mer ❗ 🙁 j y etais en 1990 ,je ne sais pas ce que ca devient j espere qu elle n a pas été envahie par ces operateurs touristiques ki plantent leurs structures partout et nimporte comment….

    #207431
    saidi
    Membre

    Chère SOUMYA, bonjour.

    J’ai bien lu ton message où tu donnes ton opinion pour ce qui est de la frontière entre le Maroc et l’Algérie. Certes, vu sous un angle un peu restreint, on serait tenté de comprendre tes arguments, malheureusement, la réalité est différente. En effet, malgré tous les exemples que tu cites et qui te paraissent bénéfiques pour la population pauvre frontalière, je ne pense pas être de ton avis, je m’explique: Nous savons tous que la population marocaine frontalière y trouve son compte (je ne te caches pas que lorsque je suis de passage à Oujda, mes pleins de réservoir de carburant pour mon véhicule, je les fait avec du carburant provenant en contrebande de l’algérie), ceci n’est qu’un exemple parmis tant d’autres. Il est vrai aussi qu’on a l’impression que la vie des gens paraît plus abordable. Mais ce que je voudrais te dire que c’est un système qui n’est pas viable ni durable. Pour exemple, si la population frontalière continue à se servir des différents produits provenant de la contrebande et par conséquent moins chèrs que les produits marocains (produits algériens, en provenance de Melilla, produits provenant d’autres pays sans même transiter par l’algérie etc…) Tu dois savoir que ce n’est pas la population pauvre qui profite de l’essentiel, ceux qui profitent de l’essentiel, c’est nos contrebandiers marocains en connivence avec les contrebandiers algériens qui ramassent le plus gros des gains au point qu’ils ne savent que faire de leurs gains si ce n’est d’ériger des bâtiments que tout le monde se pose la question de savoir à quoi peuvent-ils servir et combien de gens sont mis au travail pour résorber le chômage. D’un autre côté, tu ne dois pas oublier, que c’est une politique dangereuse en ce sens qu’il suffit aux gouvernants de l’autre côté de la frontière de donner un coup de vis pour arrêter cette contrebande et tu sais qu’ils sont capables, pourqu’on soit placé dans une très mauvaise position. J’ajouterais à celà que tout ce marché informell est nuisible à notre région, peutêtre pas à court terme mais sûrement à long terme. On doit se poser la question de savoir qui sont les investisseurs qui vont s’interesser à venir installer des usines dans la région s’ils savent qu’ils ne pourront jamais concurencer les prix des produits de la contrebande, alors? on doit continuer dans cette voie qui me paraît fragile et incertaine où faire un effort pour permettre à nos hommes d’affaires de venir installer leurs usines pour, je le repète engager, engager, engager car c’est la seule voie qui pourra permettre à nos jeunes universitaires diplômés passer des journées à pousser des charettes pour ventre des fruits et légumes ce qui nous désole tous quand on se rend à Oujda pour y passer quelques semaines(il faut aller voir en hiver ce que deviennent ces jeunes hormis le rêve d’attente d’un éventuel contrat pour venir grossir les rangs de chômeurs qui existent en europe). Pour bien te faire comprendre ces choses, sais tu que le complexe touristique que FADESA réalise à SAIDIA se répercute déjà sur pas mal de corps de métiers? comme nos hommes d’affaires ont souvent une vue courte sur l’avenir, au lieu de se mettre au travail, aggrandir leurs usines, multiplier l’embauche, il m’est venu à l’oreille (celà reste à prouver) que nos hommes d’affaires, au lieu de réagir comme je l’ai dit, ils se contentent malheureusement de faire venir des marchandises en contrebande en provenance de l’algérie pour pouvoir faire face à la demande pressante du groupe FADESA? cet exemple parmis tant d’autres doit nous donner à réflechir! ces hommes d’affaire, ce qui les interesse, ce n’est pas d’avoir le sens du civisme et de la citoyenneté et se mettre au travail pour développer notre région, non, ce qui les interesse, c’est de se procurer de la marchandise d’où qu’elle vienne pour peu qu’elle soit à moindre coût et que les bénéfices qu’ils feront soient colossaux.

    Même si celà nous paraît à tous presque utopique, compte tenu des différents diplomatiques et politiques, je persiste à croire que le developpement de la région passera necessairement par l’ouverture des frontières, quand je dis celà, je ne parle pas que de l’algérie mais de l’UMA qu’on nous a toujours fait miroiter et que nous ne voyons toujours aucune prémisse qui permet d’être optimiste.

    Vous voulez des exemples? pourquoi croyez vous que l’EUROPE de Bruxelles s’acharne à faire élargir son cercle en se tournant notamment vers les pays de l’Est? croyez vous que c’est pour sortir certains de ces pays de la misère qu’il le font? non! il le font pour attendre le retour de la manivelle, en élevant le niveau de vie de ces pays, ils finiront par devenir des consommateurs, et qui va leur fournir les produits de consommation? c’est les pays initiateurs qui n’arrêtent pas de les bombarder à coups de milliards d’euros, c’est parcequ’ils savent qu’il y aura un jour ou l’autre ce fameux retour de manivelle. Voilà, je ne veux pas me comparer à ces puissances, mais je suis convaincu, compte tenu du marché potentiel que nous avons d’abord entre les pays de l’UMA et pourquoi pas prendre les devant et viser les pays subsahariens.
    Raisonner en termes des frontières en faisant allusion à la pastèque marocaine, au yaghourt algérien et les boissons qui ont d’ailleurs changées de sens puisque le cocacola dont rêvait l’algérien d’hier est devenu un commerce qui se fait dans le sens inverse puisque dans les familles d’Oujda, on voit rârement une bouteille de coca marocaine mais plûtot algérienne et à des prix défiant toute conccurence, celà pourrait être vrai demain pour beaucoup d’autres produits, que restera alors au maroc? fermer l’usine de coca d’oujda comme celà a déjà été évoqué à plusieurs reprises avec tous les licenciements qui suivront et les drames sociaux qui en découleront à moins qu’on se contente de dire que nous resterons supérieurs en leur fournissant des substances nocives sur lesquelles on ne doit malheureusement pas baser l’économie d’une région. Je vous demande de m’excuser d’avoir été long. salutations

    #216343

    En réponse à : oujdi(e)s de paris IDF

    oujdideparis
    Membre

    @dahlia wrote:

    @fadi wrote:

    wé , el fait le ménaj :mrgreen:

    ➡ ➡ si seulement je faisais le menage ❗ ❗

    on peut avoir une explication de ton pseudo ,, il est bien ton avatar dahlia !!! 😉

15 réponses de 3,211 à 3,225 (sur un total de 3,575)
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