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Occupez-vous de poésie et oubliez la politique !
AVERTISSEMENT : CECI EST UN TEXTE DE DÉTENTE POUR ADULTES
CET ARTICLE D’ARCHIVES EST TRANSCRIT SUR CE FORUM
À PROPOS DES TROUBLES ÉRECTILES ÉTUDIÉS LORS DU CONGRES MACHIN…CITATION :
‘’ ‘’ En effet, selon une étude épidémiologique faite en 1999, 54% des Marocains souffrent de cette pathologie. La dite étude a été menée par la wilaya du Grand Casablanca. L’échantillon avait porté sur 655 hommes âgés de 25 ans….’’’’
Le Ministère de l’Intérieur s’occupe de questions vraiment intimistes ! La Wilaya de Casa, c’est la plus grosse pièce de l’infanterie intérieure ! Elle nous veut du bien la willaya de Casa pour mener ces études sur la sexualité concomitamment avec un large panel. Ses prérogatives vont jusqu’aux organes du bonheur ! Du pain et des jeux ! Des bûches en bois pour chauffer les foyers et produire plus d’électeurs-ouvriers-chômeurs-‘’herragas’’- ! On oublie la menace démographique, le ‘’tahdid nesl’’, pour ne s’occuper que de sexe en ‘’hadid’’ ! Adieu ‘’nidam al âili’’, c’est le ‘’nidal al âili’’ , qui commence !La défense du drapeau se fait aussi par la défonce ! Multipliez-vous, (jouissez, procréez), répandez-vous dessus, dominez la Terre. C’est biblique ! Intéressés, on ne fait ici-bas, qu’appliquer à la lettre les recommandations divines ! De ce fait, les petits soins de la ‘’mère des wizarates’’ nous suivent ‘’mina el mahdi ila ellahdi’’, et bien avant la procréation maintenant, afin de contrôler les naissances et la population ! Les diables nous guettent, les anges comptabilisent nos actions et nous surveillent ! Ah s’ils pouvaient nous diriger vers les meilleures…Pour notre sécurité, les anges travaillent-ils avec le ministère de l’Intérieur ? Ne peut-on pas communiquer avec ? Palabrer, copains-copains, prendre un pot ensemble, question de ne pas cahouetter ! Mais discrets, leur bouche close les empêche de boire et de manger !
On ne se ferait pas prendre pour les niais que nous sommes ! Et puis question responsabilité, destin, fautes, libertés, on rétorquerait, ce n’est pas la mienne, c’état écrit, je ne suis que piloté ! On n’est jamais, seuls, toujours flanqués de bergagas. Ce ne sont pas des anges ni des salariés, rien que des guetteurs qui rasent gratis ! Pro patria ! Li Allah fi sabil Allah. Un ange à droite pour les bonnes actions, l’autre comme le cœur à gauche et bien plus les quidams, pas nets, qui nous matent au café, ou sur le Net. Leurs oreilles pendues à ce que tu me diras ! Avez-vous lu ‘’1989’’, le roman de science fiction où Big Brother, super branché, a les yeux partout ? Ici les délateurs, ne font guère comme les trois macaques, leur célèbre formule : ma chètche, ma goultch, ma smaêtch !
Bonjour les tests ADN à même la rue et les marqueurs de couples légaux, par puce avec surveillance GSM sur Google Map ! On ne finit pas d’exploiter la techno, mais on a toujours besoin de l’homme au lit, pour les besoins de la chose ! Pas moyen de le remplacer, même avec un gadget mécanique. Ou presque ! Aujourd’hui, les soucis internes de l’Intérieur, vont de la pilule, la douce amère, à celle du lendemain, en passant par la prescription de la Santé. Demain, méfiez vous des caméras vaginales avec empreinte du gland et fax-image extemporané aux veilleurs de nuit ! Demain l’avortement librement consentis viendra laïciser les indications médicales ! Toute erreur de la nature sera avortée ! Les intégristes auront beau crier, us religion morale et tradition, les droits de l’homme, laïques par essence, limiteront les naissances et les ardeurs incontrôlées !
L‘Intérieur avant-gardiste est au fait de toutes les avancées ! Des problèmes génésiques de territoire et de nationalité, à ce que nous faisons au lit, pas de frontière dans ce qui nous est interne ! Son territoire est en nous ! Houwwa dialna, we hna, hna- bezzaf- dialou ! C’est pour cela qu’on veut ouvrir leurs frontières aux fellagas ! Pour les instruire de ce que nous faisons ! On n’a pas peur on n‘est pas violent! On n’a rien à cacher, car on ne peut rien leur cacher. La glasnost ! Nous, nous respectons les gens en képi et en matraque. Les nôtres de voisins, ils ont leurs orgueilleuses et grosses ‘’matragues’’ ! Gare ! Faites gaffe les filles ! Ils ont le cœur qui sent le pétrole ! Ils sont devenus subitement riches nos frères camarades ! Si leurs fières frontières, permissives déjà s’ouvrent, ce sera la banqueroute de nos bourses… marocaines ! En plus, des apparts hors de prix, les femmes, les nôtres, seront hors de portées, avec des portées exogènes ! Comment ? Vive la pilule qui ouvre les frontières ! La pilule de l’UMA, avalée par le biais de l’UPM ! Toutefois, une réserve. On devra faire faire des tests du sida à l’entrée et de paternité à la sortie ! Côté Nord, les visas pour l’Europe nous emmerdent, du fait des empreintes digitales. Eux, les Gouares, ‘’el gaouareh’’, (les arrogants), ils viennent en terrain conquis. L’intérieur, cet ancien royaume de feu Si Driss est une boussole qui a les yeux ouverts dans toutes les directions. ‘’Coïté’’ Est, pour les frangins, pas de visa ! Mais, on demandera des tests ADN ! Et des garanties pour leur éventuelle descendance de ce coté ci de la monarchie à Boutef !
Au Sud, pourvu que les Polisaroïdes relookés de barbes ne se perdent pas dans les sables ! Pourvu que le GIA, mué selon les rites de la Qaïda, avec l’aide des sécessionnistes sahraouis, calés sur leurs scénarii de gauche, ne fassent pas dans le terrorisme ! Les subversifs de papa c’était du gâteau ! Et puis qu’à cela ne tienne, l’Intérieur, version grandes écoles, Benmoussa, c’est l’ère du menu à la carte ! De la carte du territoire à celle de l’identité ! De la carte plastifiée à celle des urnes en plastic. Des affaires étrangères, à Manahasset, puis à l’INDH !! ‘’inedihache’’! Étonnement ! De Tazmamart au Taj Mam’Art. Les lieux de détention, les bagnes sordides et cruels des années de plomb, vont péter ! Ils serviront de musées et de lieux de souvenirs ! On ne va pas les exploser comme le Taj Mahal, de Bombay ! C’est un patrimoine, dont s’occuperont bien les ‘’internistes ‘’ ! Et puis de mieux en mieux, on vide les prisons ! Les fanatiques, réduisant leurs ardeurs, seront bientôt libérés, pour s’exprimer avec moins de bellicisme et plus de respects aux libertés de l’individu ! Les fatwas, on a un collège de savants pour les faire ! !
Encore qu’il y ait des terroristes qu’on ne voit pas ! Ah bon ! Je veux dénoncer ! C’est essentiel, c’est existentiel ! Je suis un marocain, non ?! Donnez-moi un numéro vert pour dénoncer la RAQ et sa racaille de compteurs qui trompent ? Non ! L’épicier du coin, les cafetiers qui squattent le trottoir ! La baladia qui ruralise la ville ! Non ! Aïne mica de ma part ! Et puis, les autorités les connaissent mieux que moi ! Alors ‘’’skout’’ !
J’en viens au sujet, après cette récréation ! Je veux exercer un droit imprescriptible ! Je veux dénoncer ceux qui nous rendent jaloux et honteux ! Ceux de parmi les gonfleurs de zizis ! Ces gaveurs d’oies qui se trompent d’animal et de foie ! Superbes prosélytes ! Je parle des Laboratoires. Les messagers d’Éros nous parlent d’addiction, de masturbations et de baises non stop, devant les écrans soft et autres imagos de femelles ! Ils sont formels ! On est des nuls question valeur au lit ! La baise est en baisse chez 16 millions de mecs, qui ne méritent plus ce nom ! Sans parler des femmes, obligées de partager la même morosité ! Le deuil de leur féminité ! Qu’elles soient victimes ou causes des ennuis de santé ! !
Ces laboratoires, CES faiseurs de bonheur, qui pour arriver à leurs fins, commencent par le nôtre ! Vu de leur Olympe, le 7 ème au ciel n’est pas loin ! 100 dh le coup ! Et la moitié pour les génériques ! ! Ces demi-dieux nous humilient pour nos faiblesses ! Pris de regrets et conscients de notre endémique imperfection, de nos faiblesses, nous nous tuerons à la tâche pour élever nos moitiés ! Et pour prescrire, non stop, aux 75 % de la population, qui ne parle pas par pudeur de leurs gros problèmes de cœur ! Comprenez de zizis et de cucus à leurs médecins !
Projet politique, projet de société, 54 % de marocains, pris dans la belle tranche des casaouis, sont de lamentables paresseux du sexe ! Des anormaux génitaux des débandeurs primitifs ! Si cette étude de la wilaya de casa C’est un grave problème de santé publique ! Et plus de 75 % « des malades » n’osent pas parler de leurs imperfections et de leurs ratés ! Notre belle et succulente ministre, Maja sanitaire, qui fait craquer les femmes, spécialement celles qui sont en phase de mutation, a du plein de sexes insatisfaits sur les bras. Oui, madame, la timidité n’est pas enseignée à la fac, aux médecins! Il faut un peu de crudité pour faire dans la verdeur !
C’est symptomatique du lobe frontal chez les vieux, avant qu’Alzheimer ne leur fasse oublier qu’ils traînent un appendice entre les fesses ! ! Un organe, flaccide, dont ils ne se rappellent plus du nom, qui excipé entre les membres, ne tire même plus le pipi, là où il le faut ! Mais toujours à côté, sur la belgha, souillant le prieur qui ne sait plus s’il a prié ou pas et pourquoi il reste affublé d’un organe affaibli ! Donc, il y un redressement à faire ! C’est un viscère creux, aux veines dégonflées qui demande ses droits pour sortir la famille de ses pannes ! Ces Laboratoires diraient, sans peur ni reproches, que ce chantier est un problème de santé publique oublié !
Mais aussi d’équilibre social et que s’en occuper, sérieusement madame, est un devoir d’état ! Demandez aux psychiatres, aux andrologues, aux sexologues, aux gynécologues, aux anthropologues, aux psychologues, aux juges, aux avocats, aux vendeurs en pharmacie, aux charlatans, aux barmaids, dont l’écoute et les séances de psychothérapie de comptoir, vaux bien celles des médecins ; demandez aux putes; ces sirènes de l’équilibre social, aux matons, aux directeurs des prisons, ils vous diront de quoi vous stupéfier, que ce chantier, ferait partie des obligations de l’INDH ! Mais c’est de la balagha , de l’impudence, en mauvais style, sinon de la basse rhétorique, à laquelle Abdou Rebbeh ne souscrit pas !
CITATION ‘’’Il est à signaler en outre que depuis 1974, l’Organisation mondiale de la santé a souligné l’importance de la santé sexuelle en tant que composante du bien-être auquel chaque individu a droit : «L’individu possède des droits fondamentaux, dont le droit à la santé sexuelle et au plaisir, et le pouvoir de contrôler son activité sexuelle et reproductrice en fonction d’une éthique sociale personnelle».’’’
L’OMS dit qu’il faut s’occuper de notre bonheur sexuel, et que c’est un droit inaliénable ! Inassouvi ! Oué ! Alors qu’elle s’exécute l’avocate ! Quitte à se faire aider par la pharmacienne de la famille, pour nous distribuer gratos, condoms, pilule dial lahlale, et pilule du bonheur ! La pilule bleue doit être délivrée gracieusement dans les dispensaires ! Sans ordonnance ! Comme c’est toujours le cas des médicaments en pharmacie !
Coté délires. Limate âla chabeâ, lahla y reddou ! De toute façon personne n’en revient ! Pilule létale ? Je ne suis pourtant pas ton dénégateur, nihiliste, ton révisionniste, ni ton apostat : j’adore ta couleur ô pilule intime ! Alors à quand les distributeurs automatiques ! Avec capote et chewing-gum! Attend pour réaliser ton délire, que la mondialisation ouvre sur nos boulevards, des bordèles et des maisons closes ! A côté des sales de jeux et des femmes en vitrine ! Mais à quoi bon si le boulevard et les rues adjacentes en sont pleins !
Côté Santé, pas côté du tout, le service d’épidémiologie est nul ! Presque, c’est une caricature à gros traits ! N’a-t-il pas vu que 54 % des marocains sont des handicapés ! A vie ! A wili ! ! Nos partenaires sont les otages, mal comprises, d’un leurre, d’un sexe devenu virtuel ! Il est pour la moitié de l’humanité, six heure trente à jamais ! Et que ces soi-disant hommes, auxquels le princeps mâle manque justement, qu’il leur faut toute une patrie, pas seulement un ministère à la Zouléikha Nasri, pour les caser par charité mohammadienne !
Cette honte nationale, cette ‘’moussiba’’ bue, est une ‘’hogra’’ à l’algérienne ! Il faut parmi les jours fastes de nos fêtes multiples, qu’on arrête une date pour célébrer ces héros en reddition, ces hommes devenus imparfaits, ces anti-héros, ces martyrs du foyer, ces vaincus à la Saddam. Et ce jour là, qu’ils se lacèrent le dos, à sang, à la manière des adeptes de la Chiâa ! Que ne peut-on faire pour contenter nos douces moitiés et les remplir à temps plein, les combler ? A gros chagrins, gros bonheur !
Mais il faudrait que les femmes majuscules, les femmes qui nous gouvernent s’exécutent ! Ces femmes d’élites défendront les droits des femmes délitées ! Du gouvernement au foyer, toutes unies pour le même sexe ! Être femmes pour être mères ! La féminité des sexes forts pour le sexe faible ! Ou simplement raffermi. Slogans pour une politique d’état, où la démocratie du sexe ne serait pas un vain mot. Elles ne demandent pas la lune, elles demandent leur droit au ciel ! Elles demandent un droit : celui qui a un rapport avec nos rapports ! Comprenez avec devoirs ! C’est ce qu’elles pensent sans oser le dire, par simple respect et par pudeur !
Pour nous, les malheureux mâles, en mal de mollesse, nous n’aurons nulle excuse pour rester ‘’frigides’’ ! Disons livides ! Si vous réservez, dans votre machiste persistant, ce qualificatif sexiste aux seules femmes ! Admettons et relevons la tête et le gland ! Quand il y a des ratés définitifs, une inadéquation entre la volonté et la force, les moyens et les idées, quand le cœur physique ne suit pas le cœur du penchant. Et que faute de laisser pencher l’aiguille éperdument, à six heure, on arrête celle des minutes de la vie, complètement ! Réchauffés, stigmatisés, requinqués, nous lutterons côte à côte, sens dessus dessous, encore qu’il faille un petit trait d’union, pour nous relier ! C’est ce qu’on appelle mourir à la tâche !
Entre les drogues, celles prescrites et celles plus dures, produites à flots et/ou prises en cachette, le sida et la frousse des problèmes de sexes aux multiples inconnues, il y la dragée bleue qu’on veut nous faire avaler de force ! Jusqu’à l’effet de mode et de suivisme, jusqu’à la floraison d’une dizaine de génériques ! 50 mg de sildénafil, 100 mg, ‘’bach twilli âoud wella fil’’, doubler la dose aux diabétiques et aux sexophiles ! Sauf qu’elle est là, l’addiction ! On nous force, par médecins interposés ! La prescription est commercialement recherchée par les labos du bonheur, avec renfort de spécialistes débarqués d’outremer, (ingérence humanitaire ou complémentarité scientifique et import technique), en plus des sommités indigènes, venues sans gros frais, pour le plaisir de soigner, uniquement !
Alors que chez nous, plus près du ventre et pas du tout du bas ventre, on dit ‘’melli el kerche ka techbaê ka tegoule le errasse, ghénni ! ‘’ Plus catholiquement, quand on n’a pas besoin de progéniture, pourquoi forniquer ! For love’s sake only ?!
CITATION : Les organisateurs du congrès notent que 54% des Marocains souffrent de troubles érectiles et en Europe, par exemple, 65 à 75% des hommes présentant un problème de sexualité n’osent pas consulter’’ Et comment le sait-on? Par calcul statique et par extrapolation ?
Un peu de vigilance, pardi ! ‘’Fine hiya had’’ l’étude ? Va-t-on laisser les labos créer le besoin, l’effet de mode, ‘’lamâaneda binatna’’, et créer des problèmes au sexe, quand celui-ci, ne nous en crée plus ! Publiez-la, cette étude sur les parties honteuses des casaouis, sur un média médical, crédible d’abord ! Au lieu d’avancer des horreurs de chiffres, des assertions faussement médicales, un blanchiment scientifique, ‘’ ‘’ ‘’ ….Une armada de faiseurs d’opinion, qui parlent pour abuser médecins et consommateurs.
Quels sont les labos qui sont derrière ce consumérisme de pointe ? Cette honteuse assertion ! Ne sont-ils là que pour nous exploiter vendre pour vendre, quitte à meurtrir, appauvrir et tuer ?L’OMS devrait s’occuper des millions d’enfants qui crèvent en Afrique, du fait du climat, des guerres tribales, du chômage, de la pauvreté, de la malnutrition et des maladies simples, infectieuses et parasitaire, du manque d’eau et de salubrité, de ces drames qui sévissent au lieu de nous faire perdre la raison, le sens des priorités, en oubliant les premiers droits, ses premiers devoir, qu’elle doit imprimer à l’ONU, en pensant nous combler de confort sexuel, au lieu de nous aider à lutter contre la faim et la désertification, au lieu de faire limiter les industrie de guerre et d’armements, qui créent les foyers de tension, pour attiser les guerres et provoquer les commandes !
Il y a un méchant ange, de gauche, qui me dicte : Va te coucher !
Et un autre de droite, qui me conseille : Occupez-vous de « baiser » et oubliez la politique !
CHRONIQUE DU ZIZI QUI TOMBE PREMIER JET, LE 1ER DÉCEMBRE 2008
Sujet: L’ elimination du Maroc
Je ne suis même pas surpris…Notre réalité cést que nous sommes une equipe de 3 eme niveau. Toutes les equipes africaines ont un fondement de leurs championnat interne, seuls nous pour notre schizophrénie nous faison l’ exception…Il faut arrêter avec cette politique HIPOCRITE et FAUSSE, avec ces gens incompétents et IGNORANTS.
Regarder qui est en tête des entraineurs marocains : UNE HONTE. Des entraineurs qui n’ ont même pas le Brevet…des joueurs délaissés á leurs sort…Des gens qui parlent de n’ importe quoi!!!!!!
Donner les moyens aux gens et surtout surtout FILTRER les entraineurs: Il parait que ces marocains qui viennent de la BELGIQUE ont leurs diplomes dans des centres privés…Demander de l’ aide aux voisins Espagnols pour qu’ il nous forme nos cadres y entraineurs (là-bas au moins c’ est different que les autres pays: tout est controlé par l’état).
Changer de mentalité…c’ est urgent!!!!PENSÉES BIAISÉES ET RÉCRIMINATIONS FASTIDIEUSES
Comment puis-je creuser une montagne dans l’image que je vois à la télé ? Comment sortir du tunnel que je vois dans le rêve ? Aller sur d’autres mondes et retourner sans crainte du néant ? Comment rendre vivant cet objet et faire de cette image une femme mienne ou mon autre frère ? Rendre les images vraies et agir dessus et par elles ? Questions d’enfants ? Pas si sûr ! La réalité dépasse la fiction. Il n’y a qu’à être puissant et riche. Mais le contraire est plus facile. Détruire les objets, saper la nature, médire des autres et en avoir peur ! On y a pour la lecture…
Oniric’art ou sciences oniriques…Entre la fiction et les fantasmes, la métaphysique et les recherches sur les potentialités du cerveau, voici quelques divagations banalisées et des imprécations autour de l’amour de la nature et de la place de l’homme imprécateur, insatisfait mais positif. Un exutoire pour les premiers jours de 2012.
Nous ne sommes que les invités d’un corps et d’une terre, des occupants brutaux et peu amènes! Idées préconçues, pensées en errance, ou comment exploiter les souffrances et les insomnies. Dire banalement aux autres ce qu’ils savent, n’est pas facile, surtout à l’endroit des cadres tordus ! Ils se reconnaitront, s’ils ont la chance de nous lire. Lâcher des invectives quand on a des protecteurs est également lâche. Surtout quand on jouit d’autres sanctuaires, d’autres revenus parallèles, d’autres dieux ladres et chiques nationalités. Le courage est de s‘exprimer ici, quitte à bêler parmi les vaches, de vive voix et selon les voies qui sont à peine tolérées.
Tonnerres sur les viscères. Éclairs dans les chairs, lumières dans les hémisphères, veille consciente, douleurs aux tendons et aux jointures. Le député ou la ministre est partie. Elle ne peut plus complaire ni en rire ou attirer sur elle, les imprécations, messire. Les muscles répondent point par point aux tortures. L’ire liquide attise la colère. L’insomnie donne l’impression d’une éternelle douleur. Exaspéré, tu prends conscience de ta souffrance, celle de ton bien, celle de ton corps, pour ressasser sans les oublier celles de ta cité ou de la terre entière. Et pourtant c’est la fête dehors. On vous empêche de dormir. On fait du bruit avec de la musique et on se marie.ARBRES ET TROTTOIRS
Là, ce sont des arbres ‘’urbanisés’’, vivant dans la même serre. Sur l’un d’entre eux, tu pourrais admirer un souvenir gravé avec art. Un cœur est dessiné, un poignard le perce dans l’écorce. Y sont écrits depuis presque cent ans deux prénoms. Ce buste vient de tomber sous la scie. Le souvenir avec de ceux qui sont passés. Il ne reste plus de témoins à cet amour.
Nos administrateurs peuvent se targuer de dire : là, ce furent des arbres ‘’urbanisés’’, qui vivaient dans la même serre que nous. Nous respirons le même air avec ressentiment l’air pollué, âcre et stertoreux qui révolte les poumons et révulse les narines. On voulait rendre muet les sujets, maintenant on veut asphyxier les citoyens. Façon de les apaiser ou de les maudire. De les sanctionner en les forçant à respirer leurs excréments ?
Pourtant, ces êtres immobiles, les arbres, rafraichissaient l’atmosphère et donnaient de leurs vertes statures un air embelli à la ville. Malgré ses trous et ses territoires, ses façades délabrées et sales, qui persistent comme une offense à la modernité du pays, sans que nulle campagne publique ne vienne à les restaurer pour ne pas dire les embellir. Pour être justes et objectifs, en fait on s’active, mais c’est trop peu. Autres sujets, délicats et plus tranquilles, cloués au sol comme des demandeurs d’emploi devant le parlement, ils sont de toujours serviables et utiles. Je parle des arbres.
Des arbres, des concitoyens silencieux et immobiles, hé bien, un décret malin vient de les condamner. A la scie et au bucher, comme les martyrs du moyen-âge. Ce qu’ils vont devenir, du charbon. Ce sont des arbres ‘’ domestiques ‘’ que l’on enferre, que l’on enferme, que l’on vide, que l’on tue et que l’on viole. Que penser, qu’imaginer, que voir, que dire, que faire ? Même les arbres souffrent, dans nos murs et sur nos trottoirs, sur ce qu’on appelle improprement nos terres ! La terre, ‘’mine aïna laka ma lane yakouna qate înedaka ?’’ Réduits, exigües, troués, encombrés de trous et longeant des avenues devenues plus étroites de que des rues, les trottoirs sont sur la coupe du néo-colonialisme, cafetier. Les piétons n’ont qu’à aller se bousculer sur le bitume et s’éviter de casser les pare-chocs des voitures ! Envahie, la ville, dortoir humide, est quasi tétanisée.HOMO SAPIENS
L’aube dorée de la femme juxtapose le crépuscule violet de l’homme décrépi. Le brasier des passions et les barbouzes du sexe prospèrent dans leur viscérale industrie. La noblesse des idées se heurte à la fausseté de la pratique, quand les contraintes morales échouent sur la réalité. Idées préconçues, théories, allégations, singeries, copiage sans garde-fous des frasques du plus vieux métier ! Autrui nous sert d’exemple faussaire. Littérature, lubies et rêves estropiés. Le roman n’est pas une biographie. Ce qu’on raconte n’est pas forcément vrai. Du moins ça change comme le regard et la vue, la vision du moins, à travers les facettes d’un prisme. L’entrelacs des civilisations libertaires, mosaïques multicolores et tourbillonnantes vues à travers les dentelles boisées des moucharabiehs.
Vous dites enthousiaste, ingénu et franc : « Je sais comment travailler, mais je ne sais pas contrôler ». On vous répond, avisé et magnanime : « Faites ce que vous avez à faire, le reste viendra ». Fort bien ! Compliments et assurances sereines et averties comme ressorts ! Par delà les essais et les erreurs on retient la moralité de l’histoire. Pour l’avenir commun on compose. J’écarte, tu disposes. On ne détruit plus. Les accaparateurs et les exploitants aux tristes records seront plus avertis contre les excès, les bricoles et les bavures. On solde ceux qui vous ont fait inventer de quoi épuiser les terres ? Peut-être pas ! On les assagit, avec le gîte et le couvert.THÉÂTRE PROLIFIQUE
Le jeu, celui de vivre et se multiplier sur terre est une comédie assez courte, une anecdote, une blague éphémère par rapport çà ce que l’homme, sapiens de surcroit, profane, épuise à jamais et consomme. Le jeu, la vie de l’espèce humaine, cette comédie où les acteurs se suivent et ne jouent qu’un instant sans faire carrière, à quoi est-ce que ça sert ? A qui sert-il ? Y a-t-il un but ? Pour quels acteurs et spectateur ? Qui est dans les coulisses ? Est-ce simplement le fruit des hasards ? Pour une pièce, dont le générique et le scénario, se sont pas totalement écrits et dont les acteurs inconstants sont toujours des novice, qui n’ont lu ni préface ni prospectus, nous sommes toujours à l’essai ! On ne devrait pas nous juger ! Le jeu se complique et se développe à l’intérieur de lui-même. La pièce prend le dessus sur ce qui a été auparavant prescrit pour elle. Elle s’invente et s’amplifie au fur et à mesure, selon la véhémence des acteurs et ou leurs interprétations placides.
Nous sommes les spectateurs insensibles de nous-mêmes, les acteurs inconscients et distraits. Nulle moralité n’est à attendre de cette fable dont les plus avertis partent sans laisser d’adresse ! Quelques plaisirs futiles, oniriques, pour certains et puis le néant ! Ou les funérailles qui laissent de vagues cendres sur la scène que les acteurs triturent des pieds. Pour les autres, la grande majorité, c’est un tissus conjonctif, mou, aux marges de figurants, qui ne sont que de sombres des silhouettes au plus. L’exclusion est leur ratage habituel, les privations les douleurs leur lot. Certains obtiennent des cachets qui sont des millions de fois supérieurs à ceux que récoltent d’autres acteurs pour jouer sur la même scène, avec les mêmes compétences et parfois plus ! Parfois, avec plus de maitrise, de sérieux, d’intelligence et de compétence et plus d’ardeurs que les tristes opportunistes. Les bonnes manières perdent leurs détenteurs.
Retraites sophistiquées et pesanteurs financières. Qu’ont-ils fait pour obtenir ces mérites, ces salaires prohibitifs et insultants, ces retraites qui poussent à la révolte les plus pudiques et les plus austères comme les plus sincères ? Qu’ont-ils fait pour obtenir sans mérite visible, pour tout prendre et tout posséder ? Des acres et des acres de terres en plus des âmes et des corps qu’ils ont de leur entrisme dans le pouvoir investis. Ou seulement montré un peu plus d’hypocrisie que les plus humbles envers le ciel ? Et plus d’arrogance et de mépris face à leurs frères des basses sphères ! Leurs fruits hors saison, des usurpations pour ne pas dire des rapines sur les commerces et sur les terres. Toutes les terres, avec en plus du pouvoir et des privilèges, l’arrogance comme nous disions et le silence, légitimisé*, sur l’asservissement.DÉVELOPPEMENT EN SOUS SOL
Les chercheurs, le savent ils, ils sont nombreux à avoir joui des actes de cette pièce, que nous continuons de jouer, d’imaginer et de compléter. Souvent comme observateurs, parfois aveugles et passifs, parfois vivants, avec conscience et critique à porté de lèvres, parfois comme des ombres, des zombies ou des avatars, une déviance du rôle tel qu’il a été conçu et prescrit.
Ils ont dit, preuve à l’appui, qu’il a fallu des millions d’années en durée, il y a des millions d’années de cela, pour que les forêts poussent, se développent et comment les plantes sont devenues un minéral. Du charbon qui a été exploité pour faire naître la révolution industrielle, développer les machines, les industries du fer et de l’acier. Puis, par la suite, ce furent des mers de pétrole, qu’on a pompées des profondeurs pour rouler, pour cuire et s’échauffer.
Mais comme certaines espèces, ces filons, ces puits se sont épuisés, formant ça et là des fortunes colossales dont les propriétaires et les envieux ont fomenté des guerres pour les défendre ou pour se réapproprier ces richesses. Le charbon et le pétrole, issus de cette ère géologique si prolifique du carbonifère, sont le résultat des forets enterrées sous la pression des couches telluriques. Imaginez ce qu’il a fallu comme vie et longévité des espèces dans ces forets et leur destin qui n’allait servir aux hommes d’aujourd’hui, qu’un court instant ! Une durée de 2 ou 3 siècles, pour anéantir à jamais ces trésors du temps que l’homme a dû pomper, sans réserve, jusqu’à épuisement définitif ! Et après, ces matières, ces réserves, toute cette richesse n’auront plus d’existence. Enterrés dans les cendres, évaporées sous formes de gaz, toxiques, nuisibles ou mortels.LA VIE LEUR VIENT DU CIEL
Ils sont lumière et chaleur, cachant les nuages, trouant la couche d’ozone, apportant maladies, inondations, désertifications et fragilisant hommes, animaux, végétation et terres.
Bonjour à toi, ô trait de lumière ! Heureux de pouvoir te saluer chaque matin au travers des persiennes. Heureux que l’on te voie et de constater que le soleil n’ait pas sombré loin de la terre. Que celle-ci par miracle, pivote encore, penchée sur son axe, en spinant* autour de toi, Soleil et que l’homme ne l’ait pas luxée par quelques trous d’explosif ou de bombes que ce soit ! Bonjour à toi, heureux de te voir pénétrer en cette chambre. Heureux que mon cerveau et ma rétine, enfin ce qu’il en reste, puissent encore te percevoir. Bonjour à toi et heureux d’avoir conscience de te voir. Grâce à toi lumière, par toi qui proviens d’explosions survenant sur les astres, les arbres poussent et se synthétisent grâce au feuillage. Grâce à toi, Soleil, forêts et buis nous servent, nous réchauffent et nous éclairent, à travers nos divers appareils en brulant arbres, charbon et bois.
A côté des cris d’oiseaux qui saluent ton réveil, leurs parlers incompréhensibles, ils chantent les mêmes refrains que moi, sur toute la terre. Salut à la vie, salut au soleil ! Qu’est-ce qu’il y a pour manger tout à l’heure ! Dialogue, matinal, projets de ce qu’ils vont faire, ils parlent du temps, de ce qu’ils vont ingurgiter pour honorer les cycles de l’azote et du carbone.
Réflexions ou philosophie, ces piaillements sont certes pour eux des pensées et toute une littérature. Gracieux par moment, incompréhensibles, ces trémoussements tiennent compagnie et nous donnent un aperçu de ce qu’il y a sur les planches sur cette terre. D’autres acteurs, d’autres êtres vivants, qui marchent, qui volent et qui s’ignorent. Chacun a sa part, son rôle, dans cette vaste et prodigieuse comédie, qui des profondeurs marines aux cimes, des montagnes, des sables aux nuées, grouille d’êtres. Ils s’activent, de leur naissance à leur fin, ils chassent, lutent, s’accouplent et se multiplient. J’éviterais de parler de ceux que l’on consomme et que l’on brise, pour vivre comme eux, un instant en s’en nourrissant ! Et comme la plupart d’entre eux, les carnassiers, les carnivores !
Ignorant comment l’homme, qui veut sortir de la bête, pourrait se libérer de consommer d’autres êtres vivants, on devrait devenir végétariens ! A commencer par moi-même, pour adhérer à un projet de société, mondialisé grâce à l’internet et de nouvelles lois. Toute une révolution culturelle. A se demander qui cette tendance pourrait léser pour être empêchée de se faire ! Ceux qui se nourrissent de la chair des autres, comprenez les agro-industriels !LES ARBRES, NOS CONCITOYENS
Mais pour être moins idéaliste, moins rêveur et plus prosaïque, je m’inquièterais pour les arbres ! Ceux juste à côté, comme ceux qui gisent à terre!
Vies simples parmi ces milliards de milliards d’arbres des forêts et ceux du bosquet de ce jardin. Comme ces feuilles de bambous, qui prises une à une, adorent en l’écrivant de leurs alifs et ha, le nom d’Allah, le Seigneur. Vies immobiles qui flirtent la tête en l’air, avec les insectes, face aux vies conscientes des gens, qui bougent. Conscience de la vie et de soi, durant celle-ci et de rien d’autre de plus, sauf des questionnements !
Et ces piaillements et ces pensées, gracieuses par moment, incompréhensibles à la gente humaine, qui tiennent compagnie s’ils ne nous réveillent, en comblant le silence et le souffle du vent. Ils montrent que sur ces arbres et ces branches, sur cette terre, que d’autres acteurs marchent s’ils ne volent pas. Chacun a sa part dans les deux sens et dans cette comédie, qui même dans les profondeurs des mers et des sables, vit et s’agite, multiplie les êtres les plus divers, les plus curieux, leurs activités, leurs nuisances, leur fins, leur invisible complémentarité, au hasard des nécessités et de l‘évolution.
Nous épuisons lourdement les mêmes planches sur lesquelles nous jouons, pour notre drame, cette comédie humaine. D’autres l’ont dit mieux que moi. Je ne retiens pas très bien et je ne sais répéter. Je la vois et contribue à la jouer, à ma manière, moins comme acteur et plus comme sujet. Je vois de mon ornière ces arbres que l’on tue et abat.
Les auteurs ont bien quelques raisons pour les assassiner et pour dévaster les espaces que ces eucalyptus occupaient hier encore. Ils vont mettre en jachère les jardins, déjà réduits, qui résistaient encore un peu aux barbares, Oui, c’est pour ramasser ou voler, prendre ou octroyer des faveurs, en vue de rapiner à leur tour. Bien sûr, je ne parle que des arbres et des vautours accessoirement. Mais, il n’y a pas que la vie des arbres, des animaux que nous leur prenons, aux dépens de leur cortes existence. Il y a celles, connexes des hommes, nos contemporains, puis celles de ceux qui finiront la pièce de théâtre que nous jouons en ce moment. D’autres clans, d’autres partis, d’autres parties, d’autres âmes !AU SECOURS ON AIME OU LE SEXE DES ANGES
On a tous entendu cette littérature verbale ou écrite, si peu convaincante des premiers concernés. On a senti ou vu faire les passions pour autrui, la fièvre des jeux, du sexe, au hasard des rencontres. Des couples et plus, en nombre, se sont vus naître et devenir prolifiques pour la masse et illustres pour une minorité. Ce sentiment, ces approches, cette férule-là est devenue une véritable religion unioniste tendant à couvrir de plaisirs horizontaux toute l’humanité qui gite sur la sphère. Né instinct et conduite hormonale biologique, l’activité du sexe est devenue une culture fondamentale et une industrie prospère. Des comportements, devenus culturellement primordiaux sont labélisés du trivial mot et qualificatif ‘’ amour ‘’. L’Amour qui enjolive de la plus banale des sensations au plus amène des sentiments, tire-t-il quelque chose du mot âme ? Ou, que c’est plus animal encore, alors qu’il se balade au septième ciel souvent ?
La littérature abonde de tout ce qui fait flipper, bander et jouir. Jouir, c’est être heureux, simplement. Et cela va des plus éloquentes émotions de romance, d’amitié respectueuse au spleen anxiogène des anciens. Des industries, fort nombreuses, sont nées de cette ‘’délicatesse’’ torride envers l’autre sexe. La passion conquérante d’un autre corps, la fascination pour sa beauté, la séduction des manières, vite attractives et attachantes, en vue de s’approprier de l’être désiré.
Souvent ou plutôt toujours, cela tourne aux métiers du sexe. Que ce soit à travers l’écrit, la photo ou la lucarne. Modes, tenues, bijoux et objets, pratiquement toute l’industrie humaine se mobilise afin de complaire au besoin d’accessoires. Un monde parallèle, des plus inventifs, offre ses attirails onéreux afin d’opérer avec succès le cérémonial voué au dieu Amour. Et Aphrodite sert sur l’autel du désir, le sexe, sa jouissance et son sens de l’appropriation. Le mot, le sentiment ‘’amour’’ se vêt d’objets dispendieux. Des cadeaux qu’il faut offrir pour affirmer son sentiment d’amour. Une dévotion en fait, afin de certifier ce besoin d’appropriation exclusive d’autrui et du don de soi. La passion et la conquête, l’éloquence et la morale, les droit de l’homme, de la femme particulièrement, ne sont pas toujours au beau fixe ni trop souvent respectés. L’outrance, la possession illégitime, la contrainte sauvage et le viol, illustrent de manière pénale et criminelle les plus élevées des sociétés. Là où les qualificatifs de ‘’laïc’’ et de ‘’civilisé’’ sont de coutume. L’argent interfère avec le sexe, le crime et l’honneur, pour battre le tempo de la comédie humaine.VOLONTÉ DE PUISSANCE ET DON DE SOI
Peut-être que le travail, les biens, la puissance ne sont que les procédés, les solutions pour cumuler de quoi opérer la conquête de l’autre. L’abandon de soi, n’est pas aisé. C’est une aventure, un véritable pari, un sacrifice périlleux. Le plus souvent celle qui accepte l’effusion des sentiments, la fusion et l’acception des jeux ou d’appropriation du corps de l’autre est une assujettie, fragilisée, plus qu’un acteur avertie. Toute cette gymnastique physicochimique, ces exercices d’application physico-chimiques, des rêveries romantiques, et depuis cinématographiques, qui s’appellent le besoin de sexe, de séduction, d’érotisme et autres dénominations plus ou moins hard, soft ou romanesques.
La quête du travail et la volonté de puissance ne seraient finalement que les instruments et les voies détournées, pour arriver à l’essentiel, la conquête de l’autre. L’amour, ni plus ni moins. Assurer ses pulsions et sa longévité, (instinctivement), avoir de la compagnie peut-être, de l’aide dans la vie, parfois, mais surtout une progéniture pour garder un nom, une fortune. Si on travaille pour vivre, assurément, c’est aussi pour faire son nid, construire son foyer, un synonyme de sécurité et de protection. On trime pour payer son loyer, assurer sa subsistance, si on ne vole pas pour ériger un hôtel, étaler des villas, ça et là ou de véritables palais, sinon des édifices hauts comme une montagne, au milieu d’une île. Ces conduites extrêmes biaisent ce qui est fondamental, l’assurance d’un simple foyer et la sécurité d’une petite famille. Les dérives poussent vers la conquête du pouvoir pour le pourvoir et pas seulement face à l’insécurité. Tout comme à la quête de la fortune et la possession des biens. Parfois, juste pour en disposer face au regard d’autrui et palier aux risques de l’infortune !
Cette richesse, ce pouvoir qui vont assurer à l‘individu, à la personne adulte conquise, suffisamment de sérénité, de garantie de sécurité, et lui permettre de céder sa part de sexe à l’amour, à se préparer à l’idée d’enfanter. Mais l’idée d’enfants est connexe. Primordiale pour la continuité de la vie, a contrario elle ne vient pas à l’idée lors des premières initiations au sexe ni au moment du jeu, à la ludicité*. Elle y est évitée et même combattue. Bien sûr la biologie et la chimie des hormones dictent les conduites et mécanisent les instincts et les formules d’approche. Mais le résultat est symboliquement le même et pratiquement toujours vérifié : avoir pour posséder et vice versa.Dr Idrissi My Ahmed, le 1er Janvier 2012
APPEL DE L’AAMM : HYPER URGENT DE SOLIDARITÉ
AAMM ,
ON NE SE COUVRE PAS LA TÊTE POUR DEMANDER DE L’AIDE ! SURTOUT POUR UN MALADE GRAVE. APPEL DE L’AAMM POUR AIDER SAMIA, MYASTHENIQUE GRAVE , D’AZROU – MAROC
CHERS AMIS DU MAROC , DE FRANCE ET D’AILLEURS,
JE VIENS DE RECEVOIR IL Y A UN MOMENT CET EMAIL . LE VOICI TEL QUEL !
Cher Dr. Idrissi.
Je suis ravi de vous écrire cet e-mail pour vous dire que j’ai déjà parlé à votre association par téléphone pour vous informer du cas d’une jeune fille A . Samia d’Azrou qui est myasthénique.
Elle est d’une famille démunie et nécessite une opération comme indiqué dans son dossier médical.
J’été bien accueilli au téléphone de la part de votre secrétaire Mme Fatima qui m’a bien expliqué votre rôle humanitaire à aider les malades myasthéniques au Maroc.
Abouali Samia a besoin de TEGELINE et D’AUTRES MEDICAMENTS cités dans son dossier.
Ici à Azrou nous sommes en train de collecter des dons pour pouvoir acheter la Tégéline et j’espère que votre association peut nous envoyer d’autres médicaments ou nous donner des conseils sur son état.
Samia est évacuée le lundi dernier 05/12/2011 au CHU de Fès à cause de l’aggravation de son état.
On doit agir le plus vite possible pour qu’elle puisse être opéréeMerci Docteur de votre collaboration et de votre action humanitaire.
Mon adresse est : O. Abdelmounaim
Tel : 0535………. 066…… BP : …… Ifrane.
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EN PLUS CLAIR, LECTEURS, COMMENT PEUT-ON L’AIDER ?
CONTACTEZ SVP LE DR IDRISSI MY AHMED
AU 112, AVENUE DIOUIRI, KENITRA
EMAILS : aamm25@gmail.com
TELFAX : 0537376330 , ASSISTANCE : 0661252005********************************************
Sujet: LA CIGALE ET LA FOURMI

*VERSION ALLEMANDE *Une fourmi travaille dur tout l’été dans la canicule.
Elle construit sa maison et prépare ses provisions pour l’hiver.
La cigale pense que la fourmi est stupide, elle rit, danse et joue.
Une fois l’hiver venu, la fourmi est au chaud et bien nourrie.
La cigale grelottante de froid n’a ni nourriture ni abri, et meurt de froid.
FIN.
*VERSION FRANCAISE*La fourmi travaille dur tout l’été dans la canicule.
Elle construit sa maison et prépare ses provisions pour l’hiver.
La cigale pense que la fourmi est stupide, elle rit, danse et joue tout l’été.
Une fois l’hiver venu, la fourmi est au chaud et bien nourrie.
La cigale grelottante de froid organise une conférence de presse et demande pourquoi la fourmi a le droit d’être au chaud et bien nourrie tandis que les autres, moins chanceux comme elle, ont froid et faim.
La télévision organise des émissions en direct qui montrent la cigale grelottante de froid et qui passent des extraits vidéo de la fourmi bien au chaud dans sa maison confortable avec une table pleine de provisions.
Les Français sont frappés que, dans un pays si riche, on laisse souffrir cette pauvre cigale tandis que d’autres vivent dans l’abondance.
Les associations contre la pauvreté manifestent devant la maison de la fourmi.
Les journalistes organisent des interviews, demandant pourquoi la fourmi est devenue riche sur le dos de la cigale et interpellent le gouvernement pour augmenter les impôts de la fourmi afin qu’elle paie ‘sa juste part’.La CGT , Le Parti Communiste, la Ligue Communiste Révolutionnaire, les Verts, le Modem, la Nouvelle Gauche, la Nouvelle Droite, le Juste Centre, organisent seat-in et manifestations devant la maison de la fourmi.
Les fonctionnaires décident de faire une grève de solidarité de 59 minutes par jour pour une durée illimitée.Un philosophe à la mode écrit un livre démontrant les liens de la fourmi avec les tortionnaires d’Auschwitz.
En réponse aux sondages, le gouvernement rédige une loi sur l’égalité économique et une loi (rétroactive à l’été) d’anti-discrimination.
Les impôts de la fourmi sont augmentés et la fourmi reçoit aussi une amende pour ne pas avoir embauché la cigale comme aide.
La maison de la fourmi est préemptée par les autorités car la fourmi n’a pas assez d’argent pour payer son amende et ses impôts.
La fourmi quitte la France pour s’installer en Suisse où elle contribue à la richesse économique.La télévision fait un reportage sur la cigale maintenant engraissée.
Elle est en train de finir les dernières provisions de la fourmi bien que le printemps soit encore loin.
Des rassemblements d’artistes et d’écrivains de gauche, se tiennent régulièrement dans la maison de la fourmi.Le chanteur Renaud compose la chanson ‘Fourmi, barre-toi!’…
L’ancienne maison de la fourmi, devenue logement social pour la cigale, se détériore car cette dernière n’a rien fait pour l’entretenir.
Des reproches sont faits au gouvernement pour le manque de moyens.
Une commission d’enquête est mise en place, ce qui coûtera 10 millions d’euros.
La cigale meurt d’une overdose.Libération et L’Humanité commentent l’échec du gouvernement à redresser sérieusement le problème des inégalités sociales et à lutter contre la détresse de la cigale.
La maison est squattée par un gang de cafards affamés.
Les cafards organisent un trafic de marijuana et terrorisent la communauté…
Le gouvernement se félicite de la diversité multiculturelle de la France.
FIN
Sujet: De retour au bled
bonjour
suis de retour inchallah au bled (oujda) de la Hollande.
je vouderais bien savoir si ma fille de 11 ans pourrat encor s integrer aux ecoles primaires(privees) au Maroc,surtout
que ma petite etudie actuellement en Hollande ,recoit tout en langue nederlandaise.
Je vous pris de m orienter sur ce sujet…/
merci d avance .