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Sujet: leila chahid
Leïla Chahid (ليلى شهيد) , née le 13 juillet 1949 à Beyrouth (Liban),
était de 1994 à novembre 2005 déléguée générale de Palestine en France;
depuis novembre 2005, elle occupe ce poste auprès de l’Union européenne, de la Belgique et du Luxembourg.elle appartient à la grande famille palestinienne al-Husseini,
elle est une petite-nièce du mufti de Jérusalem Amin al-Husseini,
une cousine de Yasser Arafat, de Moussa Arafat et de Fayçal Husseini.
Les dirigeants du mouvement nationaliste palestinien étaient déportés
par les britanniques vers des camps militaires et leurs familles dans
des pays sous le mandat français. C’est ainsi que sa mère,
Sirine Husseini Shahid, a été déporté au Liban où elle a rencontré
le père de Leila, professeur de médecine, qui effectuait ses
études au Liban. Leïla Shahid a fait des études d’anthropologie
et de sociologie à l’Université américaine de Beyrouth,
un des foyers historiques de la contestation politique palestienne.
En 1978, elle se marie avec l’écrivain marocain Mohammed Berrada
et s’installe avec lui au Maroc. En 1987, elle commence à écrire
dans la Revue d’études palestiniennes.Avant d’être nommée déléguée générale de Palestine en France,
Leïla Shahid avait été, pendant trois ans, le chef du bureau
d’information de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP)
à La Haye, poste où elle avait cumulé la représentation de son organisation
aux Pays-Bas et au Danemark. Auparavant, elle avait représenté l’OLP en Irlande.Entre 1993 et 2005, elle est la déléguée de l’OLP (puis du Fatah)
en France (où elle succède à Ibrahim Souss). En novembre 2005,
elle est remplacée à ce poste par Hind Khoury, et nommée à
Bruxelles, par la nouvelle autorité palestinienne dirigée par
Mahmoud Abbas, qui a succédé à Yasser Arafat
Elle fait de fréquentes apparitions dans les médias français
et belges pour donner le point de vue palestinien sur les
événements du Moyen-Orient. Elle visite pour la première
fois la terre de ses parents en 1994 après la signature des accords d’Oslo en 1993 .Sujet: curieux destins
ça fait flipperrrrrrrrrrrrr
Destins parallèles : Lincoln et Kennedy
Abraham Lincoln fut élu au congrès en 1846.
John F. Kennedy fut élu au congrès en 1946.Abraham Lincoln fut élu président en 1860.
John F. Kennedy fut élu président en 1960.Les noms de Lincoln et Kennedy contiennent chacun 7 lettres.
Tous les deux présidents luttaient pour les droits civils.
Leurs deux épouses ont perdu des enfants alors qu’elles vivaient à la maison blanche.Les deux présidents furent assassinés un vendredi.
Les deux présidents furent touches à la tete.La secrétaire de Lincoln s’appelait Kennedy.
La secrétaire de Kennedy s’appelait Lincoln.Les deux présidents furent assassiné par un Sudiste.
A ces deux présidents succédèrent des Sudistes.
Les deux successeurs s’appelaient tous les deux Johnson.Andrew Johnson qui succéda à Lincoln était né en 1808.
Lyndon Johnson qui succéda à Kennedy était né en 1908.John Wilkes Booth qui assassina Lincoln était né en 1839.
Lee Harvey Oswald qui assassina Kennedy était né en 1939.Les deux assassins sont connus par leur 3 noms.
Les noms des deux assassins comportent chacun 15 lettres.Lincoln fut tue dans un théâtre appelé »Kennedy ».
Kennedy fut tue dans une voiture appelé »Lincoln ».Booth s’échappa d’un théâtre et fut trouvé dans un entrepôt
Harvay s’échappa d’un entrepôt et fut trouvé dans un théâtre.Booth et Oswald furent assassiné avant leur procès.
Et la cerise sur le gâteau………….La semaine précédant sa mort Lincoln était à Monroe (Maryland)……
La semaine précédant sa mort Kennedy était à Monroe (Marilyn)…….🙄 🙄
J’ai trouvé cette notion interessante, et j’aimerais connaitre vôtre avis?
Vous pensez que c’est une bonne chose de concilier religion et activité économique ou qu’au contraire ceux sont deux thèmes à séparer ?Pour vous éclairer un peu, pour ceux qui en auraient jamais entendu parler, j’ai pris la partie ke j’ai trouvé essentielle pr comprendre et mener le débat :
» Le développement des banques islamiques
Il y a actuellement plus d’une centaine d’institutions financières en fonctionnement.(Khan Mohsin-S. 1986) La plupart ont été créées dans la seconde partie des années 70 dans les pays arabes comme l’Egypte, le Soudan et les États du Golfe. Bien que les capitaux pétroliers favorisent les activités économiques et, partant, les opérations bancaires et financières, la structure du capital des banques islamiques ne dépend pas de l’initiative publique mais privée.
Les premières expériences :
La première expérience a eu lieu en Egypte, sous la forme des caisses d’épargne rurales du Mit-Ghamr (delta du Nil) entre 1963 et 1967. (Mayer Anne Elizabeth, 1985) Le modèle utilisé était celui des caisses d’épargne allemandes, adapté à l’environnement rural d’un pays islamique en développement. La majorité de la population rurale, très religieuse, était alors très méfiante vis à vis des banques fonctionnant sur le modèle occidental. Une part importante des revenus de cette population était économisée pour faire face à des problèmes de nature sociale, des urgences, etc… La condition indispensable à un changement de comportement, c’est-à-dire le passage d’une « épargne en actifs réels » à une « épargne financière », était de créer de nouvelles institutions financières qui respecteraient les principes religieux de cette population. L’expérience dût prendre fin pour des raisons politiques. Néanmoins, elle ouvrit la voie à des entreprises ultérieures, telles que la Nasser Social Bank en 1971, première banque à caractère social pour les groupes sociaux à bas revenus. Outre ces institutions d’épargne et de prévoyance sociale, des banques islamiques à caractère commercial furent aussi créées dès le milieu des années 70. Elles souhaitaient offrir une solution de remplacement « islamique » à ceux qui étaient déjà en contact avec des institutions classiques. Il y eut deux types d’institutions : les banques commerciales et sociétés d’investissement, et les sociétés internationales de portefeuilles islamiques.
La Banque Islamique de Développement :
Un événement important dans l’histoire de la banque islamique a été la création de la Banque Islamique de Développement (B.I.D.), institution inter-gouvernementale, à Jeddah (Arabie Saoudite) en 1975. Selon ses statuts, la B.I.D. a pour mission de favoriser le développement économique et le progrès social dans les pays membres et dans les autres communautés musulmanes, individuellement ou conjointement, suivant les principes de la loi islamique. La B.I.D. peut fournir des fonds propres et des prêts sans intérêts pour des projets de développement. Elle est également engagée dans le financement du commerce international. Outre son aide financière, la B.I.D. apporte son assistance technique, notamment dans la coordination des projets de développement des pays membres. (Wohlers-Scharf Traute, 1982, 1983)
L’objet de la B.I.D. est de promouvoir la coopération avec les banques nationales islamiques, en fournissant, par exemple, du capital social pour la création de nouvelles institutions islamiques, du financement conjoint de projets et une coopération dans le domaine des études et de la formation. La B.I.D. s’efforce de développer l’idée de la banque islamique dans le Tiers Monde et, à cet effet, coopère avec plusieurs institutions musulmanes. (MEED Special Reports, 1980, 1981) [2]
source : http://www.fsa.ulaval.ca/personnel/vernag/PUB/Islam.html
A vous ! 😀