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15 réponses de 841 à 855 (sur un total de 1,398)
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  • ratek84
    Participant

    NON Mr ALI si les chanteur algériens choisissent le maroc c’est pas parceque les algériens n’organisent pas bien leurs soirés MAIS parcque nos copatriotes marocains DONNENT BEAUCOUP D’ARGENT « y3amroulhom chkara »
    l’année dernière CHEB KHALED A DEMANDER 50 Millions POUR CHANTER 1h !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! (« WELLAH MAYCHADHA F ORAN »)

    pour ces algériens ils montrent de jours en jours qu’ils sont des malades mentaux du PRéSIDENT jusqu’a ABDE99A qui travaille dans la contrebande, j pense que c’est normale , ce sont un « ghachi » est non pas un peuple, ils sont trop jaloux vu notre grannnnnnnnnnnnnnnde histoire, ils veulent créer la leurs mais sans succés, ils veulent se sentir meilleure que les marocains (ils ne vont jamais le sentir)
    ils ont été sous notre gouvernance pendant des siècles , apres les turques ont venu pour les traité des esclaves chez eux apres les francais pour 130 ANS ( rah c normale qu’ils arrivent à cet etat vu leur passé malheureux )
    ON EST PAS SATISFAIT DU RENDEMENT DE NOS GOUVERNEMENTS MAIS LORSQU’ON VOIT LA FAçON AVEC LAQUELLE SE COMPORTE AVEC LES ALGéRIENS J LEUR DONNE CHAPEAU ( les chiens aboient et la caravanes continue a marché )
    les algériens se comporte comme des petits (sans expérience) wellah

    dawy
    Membre

    Mr YAMOUNI,salut.
    J’aurais aimé que tu nous gratifie d’un scoop, du genre que le maroc et l’algerie ont ,enfin,décidé d’ouvrir les frontières et permetre aux marocains et aux algeriens de circuler librement entre les deux pays.
    Pour tout ce qui a trait aux questions securitaires la « maghrabité » etait toujours effective. Pour le reste chacn doit assurer ses arrières.

    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    Révons-nous, et souhaitions que cette fois-ci sera la bonne

    Maghreb : Le Maroc et l’Algérie décident, au plus haut niveau, de renforcer leur coopération contre le terrorisme

    Le Maroc et l’Algérie renforceront leur coopération en matière de lutte contre le terrorisme. Des réunions de coordination seraient à l’ordre du jour prochainement pour examiner les moyens de faire front commun face aux menaces d’Al Qaïda au Maghreb.

    Le Maroc et l’Algérie s’acheminent à renforcer leur coopération en matière de lutte contre le terrorisme, érigé aujourd’hui comme principale préoccupation pour les pays de la région après les menaces, mais aussi les attaques, attribuées à Al Qaida aux pays du Maghreb islamique.
    Selon la presse algérienne, Rabat et Alger préparent une réunion de coordination de haut niveau. Cette première réunion, programmée prochainement et à la quelle seraient conviés des responsables sécuritaires, des politiques, mais aussi des officiels, devra être suivie de réunions périodiques de coordination qui se tiendraient au Maroc et en Algérie.
    La presse algérienne affirme que les réunions en préparation viennent en réponse aux directives données au plus haut niveau des deux états pour renforcer la coopération antiterroriste entre les deux pays. La presse algérienne fait référence à un récent échange de messages entre Sa Majesté le Roi Mohammed VI et le président Abdelaziz Bouteflika. Le Souverain, dans un message de condoléances après l’attentat de Lakhdaria, le 11 juillet dernier, avait qualifié le terrorisme de «principal danger qui menace la stabilité de la région». Dans un message de remerciements, en réponse aux condoléances royales, le président Bouteflika avait fait état de la volonté de son pays de parvenir à une synergie d’efforts et de moyens entre les deux pays pour faire face à la menace terroriste. La coopération antiterroriste entre le Maroc et l’Algérie, à en croire des responsables au ministère de l’Intérieur, remonte à 1999 et avait été renforcée ces derniers mois. Des sources informées affirment que cette coopération s’était accélérée ces dernières semaines et notamment autour des frontières communes pour empêcher des terroristes marocains de rejoindre les camps d’entraînement d’Al Qaïda dans le désert algérien et la région limitrophe du Mali. D’ailleurs, plusieurs membres de cellules terroristes avaient été extradés d’Algérie et attendent d’être déférés devant la justice au moment où les services de sécurité ont réussi, dernièrement, à mettre en échec la tentative de neuf personnes de rallier les camps installés en Algérie. D’un côté comme de l’autre, les services de sécurité multiplient les mesures de vigilance depuis que des membres d’Al Qaïda, originaire des deux pays, sont apparus sur une vidéo pour proférer des menaces contre le Maroc et l’Algérie. Trois d’entre ces derniers avaient été identifiés par les services de sécurité marocains comme étant Bilal Hmam, Mohamed Aghbalou et Mohamed Réda Belhachmi, tous originaires de Tanger.
    C’est encore le contenu de cette vidéo qui a été, entre autres, dans la décision des autorités marocaines de relever au maximum le niveau d’alerte face à d’éventuels actes terroristes. Cette décision a été suivie, pour rappel, d’une réunion de coordination de haut niveau entre les responsables marocains et espagnols à Rabat. Elle a été suivie d’une réunion similaire à Madrid à la fin du mois de juillet au moment où Miguel Angel Moratinos, ministre espagnol des Affaires étrangères a effectué une visite de travail à Alger, dédiée au même sujet.
    En Algérie, les services de sécurité continuent de traquer des groupes islamistes affiliés à Al Qaïda et qui avaient trouvé refuge dans les régions forestières et montagneuses du pays.

    saosaudade
    Membre

    Je suis la fille d’un couple algérien (miloua par mon père et méderbel par ma mère), immigrée en france dans les années 60. Comme pour la plupart de ces immigrés, il existe une véritable rupture avec l’héritage culturel issu du maghreb. Il s’impose à moi aujourd’hui par le plus heureux des hasards et je suis ravie de tomber sur ce forum d’une richesse inestimable… Merci infiniment à chacun de vous de partager le fruit de vos recherches et de vos trouvailles sur les itinérances et les valeurs de nos aïeux dont le rayonnement déborde le cadre nord africain.

    #233024
    ratek84
    Participant

    c bon je suis d acc avec tes deux paragraphe.
    e que j ai pas aimé c d’annoncé qu’un simple chanteur de rai confirme la marocanité du sahara, c sur k il a fé pr k il sera invité a plus de festivals pour ramassé le maximaum d argent ( qui pe pa le ramasser en algérie ) puisque notre pays est trop genereux (surtt avec lui khaled et haifa …)

    #233020
    ratek84
    Participant

    c témoignage ne signifie rien , d’ailleur j pense pas qu’il sait un 7arf f l problème du sahara.
    et je pense qu’il a fait ça pour que les maroains l’invite dés qu’il y aura un festival pour remplir c poches,
    j ve bien savoir combien d’argent a pu ramasser had le mois, il pe jamais de ramasser une telle somme en algérie,
    malheureusement notre Etat est une grosse ba9aratoune 7aloub ( le problème c ke l berrani li kaye7labha)

    #202942
    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    Festival Casa Music: Réda Taliani clame la marocanité du Sahara

    Réda Taliani a été incontestablement la vedette tant attendue de cette soirée de clôture du festival Casa music, le dimanche 22 juillet, sur la scène d’El Hank a Casablanca évidemment. Ce chanteur de raï algérien s’est rendu célèbre par ses chansons «Joséphine» et «Partir loin» en featuring avec le groupe de rap français 113.

    Plusieurs de ses adeptes marocains ne savaient pas qu’il était de nationalité algérienne. «J’ai toujours cru qu’il était originaire d’Oujda. Je suis étonné de savoir qu’il n’est pas marocain», témoigne une festivalière fan du chanteur. Elle est venue de Rabat pour assister spécialement à son concert.

    Heureux de son succès au Maroc, Réda Taliani a déclaré aux Marocains, dès qu’il est monté sur scène, que le Sahara était marocain et qu’il restera toujours marocain. Pour faire preuve de plus de sympathie, le chanteur n’hésita pas à porter en bandoulière le drapeau marocain qu’il lui a été remis affectueusement par l’un de ses fans.

    #202934

    Sujet: INVITATION A NADOR

    dans le forum Nador
    snp1975
    Membre

    INVITATION

    ADMEA (l’Association des Marocains expulsés d’Algerie)

    Organise une rencontre à Nador le 3 ,4 et 5 aout un rassemblement porte ouverte .
    Cette rencontre est une occasion pour cette association de reunir Ses adherantS au niveau national et international.
    L’association des Marocains d’Algerie (AMA) sera presente à cette occasion.

    http://www.dahaya.net/

    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    LES GOUVERNANTS D’ALGER SIGNENT ET PERSISTENT

    Selon des sources sahraouies(les nôtres), des luttes de pouvoir au sein du Polisario, Mohamed Lamine El Bouhali ministre de la défense des mercenaires du Polisario, n’a jamais digéré son congédiement par Mahmoud Ali Beiba de la composition de la délégation des négociateurs de Manhasset I.

    Ce dernier, président du «Parlement» polisarien…, a opposé un niet au ministre de la défense pour la simple raison que ce dernier est d’origine algérienne et que sa participation aurait pu susciter des réserves de la part de notre délégation .

    Pour calmer les esprits, Alger est intervenu pour baisser les divergences entre les membres de la bande du Polisario. Les mêmes sources affirment même que les autorités algériennes ont fini par désigner, au niveau de la présidence de la république, un nouvel interlocuteur en la personne de Ramadane Amamra.

    Ce dernier, chargé de coordonner avec le Polisario, occupait le poste de secrétaire général du ministère des affaires étrangères. Des sources bien informées indiquent qu’Alger ne voyait pas d’un bon oeil des négociations directes entre le Polisario et le Maroc.

    Pour préparer le terrain, ses services de renseignements avaient tenu une série de contacts avec la délégation polisarienne pour faire passer deux mots d’ordre : D’abord faire l’impossible pour que soit écartée des pourparlers toute référence à l’initiative marocaine d’une autonomie dans notre Sahara.

    Et deuxièmement, faire en sorte que soient «préservés» les intérêts de l’Algérie qui a «trop investi» pour perdurer le conflit .

    Ces rencontres, précisent les mêmes sources, se déroulaient en présence du général Mohamed Mediane, alias Toufik, patron des renseignements algériens.

    Après Manhasset I et la confirmation par plusieurs pays de leurs positions favorables à l’initiative marocaine, les autorités algériennes ont promis d’intervenir de nouveau pour essayer d’infléchir les positions notamment de l’Espagne, de la France et des Etats-Unis en jouant tantôt sur la manne gazière et tantôt sur les avantageux marchés d’armement.

    De passage en Algérie dernièrement, le président français Nicolas Sarkozy a ré exprimé la position traditionnelle de son pays alors que Washington a fini par se ranger derrière l’offre marocaine et ce, publiquement, juste après les consultations du 11 juillet au Conseil de sécurité.

    #232640
    snp1975
    Membre

    [Documentaire sur la Déportation des Marocains d’Algerie

    Les déportés ont été spoliés, déracinés et torturés.
    Les marocains d’algerie ont été expulsés a cause du problème du sahara.
    Le maroc tôt ou tard doit instaurer une commission d’équité pour ces victimes.

    Visionner ce documentaire qui confirme nos récits:

    [www.dahaya.net]

    Pour lire nos récits:

    [marocains-d-algerie.niceboard.com]

    #202918
    snp1975
    Membre

    Actuellement je travaille sur la mémoire des Marocains d’Algerie.
    En plus j’ai entamé un travail sur la mémoire des Algériens au Maroc.
    Je serai comblé si des algériens ou des marocains de la region de Oujda peuvent m’aider à comprendre l’histoire de ces algériens du Maroc.
    Merci.

    http://marocains-d-algerie.niceboard.com

    L¹immigration algérienne au Maroc à l¹époque coloniale (5/28/2006)

    Le cas de la communauté algérienne à Oujda

    1ére partie

    L¹émigration algérienne à l¹époque coloniale avait comme destination principale la France métropolitaine. Pour des raisons de proximité géographique, de liens familiaux et des relations culturelles et religieuses, le Maroc a été la première destination des Algériens fuyant la colonisation française, les Mouhajirin ou «exilés pour la foi». C¹était le début d¹une émigration qui prendra plusieurs formes et durera plus d¹un siècle (1840-1962). Ainsi, des dizaines de milliers d¹Algériens (100.000 environ pendant la guerre de libération algérienne) ont fait du Maroc leur seconde patrie.
    Cette communication tente d¹apporter un premier éclairage sur cette émigration inter-maghrébine, en attirant l¹attention des chercheurs en matière d¹émigration sur ce phénomène. Etant donné que la communauté algérienne habitait principalement Oujda et sa région, nous consacrerons cette étude aux Algériens de cette ville. Il s¹avère intéressant de signaler que ce thème n¹a pas encore fait, à notre connaissance, l¹objet d¹études sérieuses. Nous avons là une nouvelle page de l¹histoire de l¹émigration algérienne à écrire1.
    Grâce à sa colonie algérienne comptant 29.300 personnes, Oujda se plaçait en 1960 en deuxième rang au Maroc pour le nombre d¹étrangers après Casablanca. A la même date, la communauté algérienne du Maroc était de 95.000, soit 24% de l¹ensemble des étrangers (396.000). 50% des Algériens résidaient dans l¹oriental2.
    Cette émigration de l¹Algérie vers le Maroc concernait les Européens de l¹Algérie (les colons), tout comme les Algériens de souche, musulmans ou juifs. Notre étude concerne seulement les Algériens musulmans. (Š)

    Les sources historiographiques

    Comme déjà signalé, il n¹existe – à notre connaissance- aucune étude de synthèse sur le sujet. Cependant, il y a un certain nombre de documents de base permettant de se faire une idée sur l¹histoire de cette immigration, malgré les préjugés classiques du colonialisme3, et de suivre l¹évolution de cette communauté dans cette région frontalière du Maroc. Ils fournissent des données chiffrées sur les différentes vagues d¹immigration, sa répartition géographique à Oujda, ainsi que les activités professionnelles exercées par celle-ci. Il s¹agit notamment des quelques rapports et mémoires de C.H.E.A.M. 4
    – M. Lemaille (1937) : les Algériens à Oujda en 1937. Bulletin du Comité de l¹Afrique Française, n° 5, mai 1937, pp.255-260.
    – P. Decroux, (1938), Les Algériens musulmans au Maroc, condition juridique et sociale. Boulogne sur Seine.
    – « la vie sociale des Algériens au Maroc ». Bulletin Economique du Maroc. 1938, pp.20-25.
    – P. Azam (1951), sur l¹émigration temporaire au Maroc oriental, comporte également des données importantes sur les Algériens dans le Maroc oriental.
    – Le rapport du Contrôleur civil adjoint H. Lombard datant de 1953, intitulé « aspects de la situation et du rôle de l¹immigration algérienne musulmane dans la région d¹Oujda ».
    – Il y a enfin le mémoire de P. Depis (1962) sur le problème des réfugiés algériens au Maroc oriental (mars 1956- mai 1962).

    L¹histoire des vagues migratoires
    algériennes vers le Maroc

    -Les différentes vagues d¹immigration :
    L¹émigration algérienne à l¹époque contemporaine est un phénomène lié à la colonisation. C¹est l¹une des conséquences des grands bouleversements provoqués par celle-ci dans les sociétés maghrébines. Les Algériens sont arrivés par plusieurs vagues. Nous distinguons quatre vagues principales essentiellement dans la ville d¹Oujda et sa région. C¹est ainsi que le contrôleur civil adjoint H. Lombard qui consacra une étude à l¹immigration algérienne dans la région d¹Oujda, qualifie cette immigration d¹un terme différent qui correspond à chaque étape de son histoire. Immigration de l¹exil jusqu¹en 1907, immigration « appelée » de 1909 à 1926, immigration «favorisée» de 1926 à 1942 mais seulement «supportée» de 1942 à la fin du Protectorat.
    La première vague date de la période de l¹occupation française de l¹Algérie. Voyant leur pays occupé, beaucoup d¹Algériens fuyant cette domination, prirent le chemin d¹exil vers le Maroc. Il s¹agit des Mouhajirin (exilés pour la foi). Beaucoup ont accompagné l¹émir Abdelkader lors de son exil au Maroc en 1843-1844. Ils viennent surtout d¹Oranie : de Tlemcen, Nedroma et Mascara. Nombreux parmi eux, se posant comme concurrents des Fassis (originaires de Fès), vivaient du commerce en utilisant leur relation avec l¹Algérie pour leurs affaires. Du fait de l¹ancienneté de leur installation, à la veille du protectorat, ils étaient considérés comme Marocains. Selon plusieurs sources5 cette population suscitait chez les Oujdis (les habitants de la ville d¹Oujda) une certaine jalousie car le Cadi d¹Oujda fut souvent choisi par le Makhzen parmi les Algériens. De nombreux fonctionnaires du culte étaient algériens. Selon ces mêmes sources, cette animosité fut un facteur de maintien de la personnalité algérienne et un obstacle à la fusion totale. Cependant cette fusion se réalisa partiellement, «il y a lieu de penser qu¹au total ils n¹étaient qu¹à demi-étrangers» écrit Lombard. On trouve aussi les traces de cette première vague d¹immigration algérienne dans les sources marocaines qui parlent du bon accueil réservé par les Marocains à cette communauté d¹exilés. «Le Sultan marocain a donné ses ordres pour qu¹ils soient bien accueillis et logés.. »6 Dans son histoire de Tétouan, Mohamed Bendaoud raconte que dès le débarquement français à Alger en 1830, deux bateaux, à leur bord des familles algériennes arrivent à Tétouan en août 1830. Et en 1842 on recense à Tétouan plus de 700 algériens pauvres.7
    La deuxième vague remonte à l¹occupation d¹Oujda en 1907 et l¹établissement du Protectorat. Pendant cette période arrivèrent beaucoup d¹Algériens qui devaient jouer le rôle d¹intermédiaires entre les occupants et les Marocains. Ils étaient interprètes grâce à leur connaissance de l¹arabe et du français, greffiers, instituteurs et professeurs. Leur nombre ne cessait d¹augmenter. (Š). H. Lombard8 souligne que pendant cette première période, les Algériens musulmans formaient «une colonie annexe de la colonisation européenn ». En effet appelés par l¹Administration, par des frères déjà installés, par des cousins, et des amis, affluèrent de toute l¹Oranie et particulièrement de Tlemcen ou de Nedroma (véritables pépinière de fonctionnaires), par centaines, des familles entières qui croyaient à la pérennité de la présence française au Maroc (Š).9
    En effet, ceux qui étaient exilés pour des raisons religieuses lors de la conquête de l¹Algérie, n¹ont pas tenu, après l¹installation du Protectorat au Maroc, à se prévaloir de leur qualité de sujets français. Il leur importait peu d¹ailleurs de changer de nationalité puisque de toutes façons leur statut demeurait régi par la loi musulmane. Eux ou leurs descendants figurèrent désormais avec les Marocains dans les statistiques10. En 1907, ils formaient plus d¹un cinquième de la population d¹Oujda qui comptait quelque 6.000 habitants. Pour 1910-1911 Louis Voinot11 parle de 1.500 Algériens groupés en 300 foyers, mais le recensement de 1911 cité par Augustin Bernard12 n¹enregistrait que 200 Algériens sujets français. A vrai dire, il est difficile de se faire une idée non seulement du chiffre exact de cette population, mais aussi de sa position par rapport à la France. Surtout que le statut de « sujet français » n¹a pas toujours été facilement reconnu par l¹Administration française. Ainsi beaucoup d¹Algériens se sont trouvés «noyés dans la masse des Marocains, faute d¹avoir entrepris les démarches pour faire connaître leur origine algérienne et donc leur qualité de sujet français, ceci plus au moins volontairement»13. De nombreuses familles ont fini par avoir la nationalité marocaine. Telles que les familles Ben Mansour, Abdelghani, Ouled Sadouni…etc. D¹autres, d¹origine algéro-turque (Koulouglis) restèrent sans nationalité. H. Lombard explique qu¹il y avait des familles qui recevaient du Makhzen marocain l¹indemnité due aux Mouhajirin et prenaient la précaution d¹inscrire leurs enfants à l¹état-civil de Tlemcen ceci dès avant l¹occupation française du Maroc. C¹est le cas des Triqui et des Meziane. D¹autres ont préféré ne pas se manifester comme tels et passer pour des Marocains. Il remarque aussi que la présence des Algériens à Oujda représentait un atout pour la France. Il écrit : «dans ce Maroc étranger à la France, les Algériens qui vivaient même musulmans, même ayant fui la domination française et n¹aspirant qu¹à se fondre dans la population qui les entourait, servaient déjà l¹intérêt français commercialement et politiquement, le plus souvent involontairement» 14
    Cette participation massive des Algériens dans l¹administration du Protectorat leur a donné, aux yeux des Marocains, l¹image de gens qui se rapprochaient des Français et s¹éloignaient de leurs frères musulmans. Ainsi ils sont traités de «shab nçara» c¹est-à-dire «les amis des Chrétiens»15. Avec le temps, les Algériens sont devenus moins indispensables pour l¹administration française, ils furent progressivement remplacés par des Marocains pour les petits emplois. On réglementa leur admission au Maroc, surtout on changea le statut des fonctionnaires qui furent assimilés aux Marocains en 1926. L¹arrêté viziriel du 8 janvier 1926, déplaçait les fonctionnaires algériens musulmans du cadre français vers le deuxième cadre spécial marocain et assimilé. Les Algériens, à travers la Fédération des Algériens musulmans du Maroc, ont protesté contre cette réorganisation de 1926. Ils ont exprimé leur refus de cette confusion avec les Marocains, allant même jusqu¹à accuser la France de « racisme assimilateur ». La Fédération des Algériens musulmans du Maroc rappelle que « de nombreux algériens abandonnant leur situation en Algérie ou même interrompant leurs études, ont répondu à l¹appel de la France, se sont expatriés, ont donné au Maroc sa première armature et ont pu rendre au Protectorat de réels services… ; que la nationalité prime l¹origine et que le racisme assimilateur qui leur est opposé n¹est pas appliqué aux Israélites, le Juif algérien conservant un statut distinct et supérieur à celui de Juif marocain ».16 De même les salariés algériens ne pouvaient plus bénéficier de la législation sociale appliquée aux citoyens français. N¹étant pas des citoyens mais des «sujets français», ils ne pouvaient pas bénéficier de la majoration de traitement de 38% et du remboursement des frais de voyage en congé accordés aux Français.
    Malgré ces inconvénients, les Oranais continuaient d¹affluer vers le Maroc. Ils étaient 2471 en 1926, ils passent à 4594 en 1936. (Š) Oujda fut leur point d¹arrivée, plus de la moitié des Algériens au Maroc en 1936 vivaient dans cette ville (57,6%). Pourtant le Maroc aussi se fermait plus au moins à leur émigration, à cause de la crise économique. A partir de cette période, les conditions d¹entrée des étrangers au Maroc, donc des Algériens dans ce cas, sont devenues dures, avec le dahir du 20 octobre 1931, dont les dispositions furent renforcées en 1934, avec l¹obligation de disposer d¹un contrat de travail accordé par l¹employeur pour une durée d¹un an minimum. Ce contrat devait être visé par le Service du Travail de Rabat. Les Algériens protestèrent contre cette loi, surtout que l¹entrée des Marocains en Algérie était pratiquement libre subissant de ce fait une concurrence sur le marché du travail algérien sans réciprocité.17
    La troisième vague d¹immigration « supportée » et non pas « appelée », selon l¹expression de H. Lombard. Elle est composée essentiellement de travailleurs sans capitaux à la recherche d¹emplois et qui vont se confondre avec les prolétaires marocains. Ce caractère nouveau s¹est affirmé après la seconde guerre mondiale. A Oujda le nombre d¹Algériens passa de 4.813 en 1943 à 14.322 en 1951, leur nombre a triplé en l¹espace de huit ans. Cela concernait aussi les autres villes ou villages de la région orientale du Maroc comme Berkane, Ahfir, Taourirt. (Š). Ces immigrants sont majoritairement des ouvriers sans qualification. Un grand nombre s¹adonna à la contrebande qui régnait à Oujda. « Une population algérienne s¹est créée qui se compose de gens sans profession déterminée, instables, chômeurs… se rapprochant de la plus basse couche sociale marocaine tout près de laquelle ils vivent »18. A la fin de la guerre ce mouvement s¹intensifia, avec une foule de gens sans contrat de travail qui créait des petites boutiques et vivait avec les Marocains démunis dans des quartiers ou « villages » périphériques.
    Le dernier afflux est lié aux événements de la guerre d¹indépendance de l¹Algérie déclenchée en 1954. A partir de cette date des milliers de réfugiés algériens s¹installèrent à Oujda ; 6.386 en 1957 et 9.851 en 195819. (Š)

    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    Sahara marocain : Bouteflika ne lâche pas le leste

    Le président du Nicaragua, Daniel Ortega(dictateur mondialement connu), vient d’effectuer une visite officielle en Algérie. Il a été reçu avec tous les honneurs et avec<>.

    Cette information serait passée inaperçue pour nous les Marocains puisqu’elle ne nous intéresse pas du tout, s’il n’y avait pas eu un petit détail, (un de plus…).

    Prononçant un toast lors du déjeuner officiel qu’il a offert en l’honneur de son invité, le président algérien, a remercié son convive pour avoir rétabli les relations avec la fantoche république sahraouie…. ???

    Il faut préciser que l’ancien tyran sandiniste a décidé, deux jours à peine après sa reconquête du pouvoir de son pays en janvier dernier de rétablir les «relations diplomatiques avec la prétendue RASD…>>.

    Des relations qui avaient été rompues par son prédécesseur puisqu’il avait considéré qu’il s’agit d’une mascarade ridicule que d’entretenir des relations avec un Etat qui n’existe pas et qui n’avait aucun fondement juridique ou historique.

    En tout cas, que M. Ortega décide, soudain, d’avoir des relations avec un pseudo-Etat…, c’est une décision qui le concerne. Il a certainement ses propres motivations. Mais, que cette décision soit élevée par le chef de l’Etat algérien au rang d’une initiative qui va avoir une grande influence non seulement sur l’affaire du Sahara mais sur la région toute entière, c’est ce qui est choquant de la part du manager d’El-Mouradia .

    Comment la décision du président nicaraguayen peut-elle avoir une influence sur l’évolution de la situation dans la région ?

    L’influence politique d’un Etat sur un autre n’existe que s’il y a un impératif géographique, une dépendance économique, une supériorité militaire ou une domination idéologique.

    Or, il se trouve que, par rapport au Maghreb, le Nicaragua ne peut être classé dans aucune de ces situations.

    Donc,il est clair que le président Algérien ne décourage pas,ne repose pas et ne pense même pas à lâcher le leste pour ne pas contrecarrer notre intégrité territoriale,même en ce moment,que l’affaire est entrée dans une nouvelle phase où ces petits jeux faussement diplomatiques se trouvent hors contexte.

    #211634

    En réponse à : Saidia & FADESA

    saidi
    Membre

    Il me semble avoir déjà répondu aux detracteurs des projets touristiques de saidia. Comme je ne suis pas sûr que les gens ont compris ce que je voulais dire, parceque, je voulais être discret, essayer de comprendre les arguments de chacun, je me suis rendu compte que nous patogeons dans la boue. Le projet station balneaire saidia est en train de faire son travail, il est bien avancé dans les travaux, alors, venir nous demander de signer des pétitions pour contrer ce projet , celà me semble relever de l’utopie.
    Cela c’est une première remarque que je voulais faire.

    2. J’ai lu parci parlà que pas mal d’écologistes commencent à s’interesser à cette plage de saidia au point qu’il ya des journalistes avec camera au point qui sont déjà desendu sur place et qui menacent de revenir en JUILLET pour faire un reportage plus vaste sur cette plage. Pour parler franc, les français qui s’interessent à ce sujet en connivence avec certains citoyens marocains sont à mon avis des brebis galeuses. Pourquoi? pcq si ces gens étaient capables de faire quelque chose ils devaient commencer par regler le problème d’écologie en France avant de venir mettre leur net comme par hasard à saidia. par la même occasion, je dirais à ces gens là, allez voir les sites qui sont d’une beauté loin d’envier saidia et qui se trouve en afrique noire. Seulement, ces gens n’ont pas le courage d’aller s’aventurer dans ces pays parcequ’ils savent ce qui les attends, alors, ils se rabattent sur le maroc et en particulier sur saidia. Pourquoi ces journalistes (si on doit vraiment les appeler journalistes ne se sont jamais interessés à MARRAKECH, AGADIR et région?), la réponse est simple: dans ces régions du maroc, ils auront affaire à des gens marocains, capables, connaissant leur sujet à fond, comme ils se sont déjà rendu compte de celà, alors, ils se rabattent sur une région non pas demunies par des defenseurs, mais pcq ils y trouvent encore des gens simples d’esprit qui sont prêt à se faire montrer devant les cameras et à qui on peut faire dire n’importe quelle connerie! c’est ce que LYAUTEY A APPELE LE MAROC INUTILE? APR7S PLUSIEURS DECENNIES? ON Y TROUVE ENCORE DES GENS sur qui LYAUTEY COMPTAIT pour faire passer le message à l’assemblée nationale à PARIS pour monter de grade. Celà s’est passé de la même manière en ALGERIE, les Algeriens avertis et de première génération n’ont pas tardé à les appeller les BENI OUI OUI. Ce n’est pas celà qui a empeché les purs algériens de dire à la France, tu n’as pas le choix que de te tailler de ce pays que vous avez toujours considéré comme terra nula après l’avoir occupé pendant 132 ans.( si je dis celà c’est parceque les journalistes europeens avec leurs cameras nous ont toujours considérés comme des arriérés mentaux jusqu’au jour où quelques citoyens marocains et algériens aussi peu nombreux ils étaient ont eu la bravoure non pas des baroudeurs, les tabors, marocains, algériens, sénégalais qui les a debarassé d’HITLER. Aujourdh’ui, on fait du cinéma, on les invitent pourles décorer!! quelle cinéma!!!. Non, depuis le départ, il ya eu des citoyens marocains et algériens qui ont compris le scenario, ils ont dit non! nou ne voulons pas accepter cette vie d’esclaves, nous nous considerons comme des gens libres, nous sommes capables de diriger notre destin, partez chez vous et laissez nous nous debrouiller, ceci est encore un sujet d’actualité, si les puissances étrangères fasait abstraction des richesses de ces pays, se tenir à l’écart sans livraison d’armes, je suis sûr que les africains seraient arrivés à un stade où ils donneraient pas mal de leçon à ces occidentaux sur pas mal de sujets, la politique, la démocratie qui existaient avant qu’ils n’arrivent, l’économie d’aujourdh’ui et de demain, nous avons des hommes qui sont capables de mener tout celà à bien, mais voilà, dans nos pays, les anciens coloniaux ont toujours laissés des bombes a retardement, ce qui fait qu’à chaque fois qu’on veut réaliser quelque chose qui nous est propre, spécifique, fière, nous tombons sur ces bombes a retardement que ces messieurs ont planté avant de faire semblant de partir alors, qu’ils savent qu’ils sont toujours là et que ce sont eux qui continueront à nous diriger.Si vous prenez comme exemple la dislocation du monde musulman, vous y trouverez des traces de cette bombe a retardement, si vous prenez le problème de la palestine, vous y trouverez, des traces des bombes a retardement, si vous prenez le problème de l’Irak et de l’iran, vous y trouverez des traces des bombes a retardement, si vous prenez le problème de l’émigration de l’afrique vers l’europe, vous y trouverez des traces des bombes a retardement etc…. je peux continuer à donner beaucoup, beaucoup d’exemples qui vont dans le même sens. Quand je me promène à Oujda, que je rencontre un africain de race noire, me tendre la main pour me dire qu’il est parti de son pays natal depuis deux ans avant d’arriver à Ou!jda et dans l’espoir de rejoindre la montagne de gourougourou avant d’essayer de couper les barbelés qu’on a installé entre melilla et le territoire marocain, je ne peux m’abstenir de dire que c’est la bombe a retardement que les occidentaux avaient prévus. Celà me fend le coeur, je mets la main à ma poche et j’essaye de donner ce que je peux!!!! Pourquoi? je suis aussi capable de raisonner comme pas mal de mes compatriotes(pas tous, pcq je sais qu’il ya des gens à Oujda qui font un travail extra dans ce domaine) et dire, ouf!!! nous sommes envahi par ces subsahariens qu’on qualifie de tous les adjectifs péjoratifs, alors que peu de marocains se donnent la peine de leur parler, de leur dsemander qu’elle était leur aventure et où ils pensent la terminer!. Je le dis aux émigrés, mettez la main dans la poche, sorter un euro, vous ne pouvez pas immaginer le bien que vous faites avec un euro!!!! pendant ce temps là une glace à caracas à saidia ou à oujda coutent 3 voir 4 euros!!!. Je reviens enfin à l’histoire de la plage de saidia et les manifestants contre les projets touristiques.
    Je vais raisonner par l’absurde. Nous ne voulons aucun investisseur etranger venir nous envahir avec ses projets et nous salir notre belle perle bleue.

    Quelle perle bleue? l’avez vous visité en hiver ce qui nous differentie des européens. Pouvez vous me dire depuis combien de temps les marocains s’interesse à la plage(je ne parle pas des marins) je parle des marocains qui ont commencé à s’interesser à la plage et de surcroit s’interesser à la plage en été. Je ne parle pas de la plage en hiver, qui pour moi sont les meilleurs moments, les plus beaux sur le plan climatique, sur le plan des vues panoramiques etc… depuis combien de temps les marocains remplissent la plage bleude saidia en hiver ou au printemps?
    La dernière fois que je me suis promené avec ma femme et mes enfants sur cette plage c’était en décembre 2005, depuis les barbelés de la frontière avec l’algérie jusqu’à caracas, nous n’avons pas rencontré un chat, par contre, la saleté, les bouteilles de bierres, de vins, de toute sorte de saleté nous a demandé beaucoup d’effort pour continuer la promenade!

    En été pour parler franc! où se concentre la majorité de la population autochtone et émigrées? en dehors de l’embouchure de mouloya qui est fréquentée par une population qui elle même peut ouvrir un débat(dans lequel je ne veux pas entrer) La toute grosse densité de la population se concentre sur la corniche qui part de la frontière algérienne jusqu’à la sortie N° 1 bien connue par l’hôtel tordue(alors qu’il n’a jamais été tordu depuis plus de dix ans, maintenant qu’il est pris par le ministère de la justice, il est devenu droit et on a compris que ce qui était tordu et qui a bloqué la construction de cet hôtel ce n’est pas parcequ’il était tordu mais parcequ’il y avait beaucoup d’argent dans les fondations sur lesquels les différents belligérants que je ne nommerais pas ont bloqué cet hôtel!!!
    celà ressemble au blocage de l’achevement du marché couvert à oujda, là aussi, il a été bloqué pendant plus de 10 ans pour une histoire d’architecture, mais simplement pour une histoire de flouss qui se passait entre tel et untel, je ne donne pas de noms!

    Revenons a saidia, Depuis la frontière, il ya un monde fou! pourquoi pcq le marocain et la marocaine aiment bien la promiscuité, si on ne sent pas la jambe du voisin ou de la voisine on n’est pas épanoui, celà fait partie de notre culture, je ne la critique pas, je ne fais que la relater. sur un espace de quelques centaines de mètres, il faut qu’on y trouve des gens qu’on connait, des gens avec lesquels je vais papoter, des gens qui jouent au foot avec des ballons de foot d’origine, des gens qui sautent sur les jets sky demarrant entre des enfants qui savent à peine nager, en leur envoyant au passage à eux et aux parents sur le sable la bonne dose de fumée de carburant au point qu’après quelques heures l’atmosphère devient irrespirable, heureusement que pour détendre l’atmosphère, il ya le marchand de guermel guermel, le marchand des beignets, le marchand ds glaces, le marchant du thé à la menthe en ambulatoire, et j’en passe. au moins, je n’ai rien à dire pour ces marchands ambulants, d’abord, ils souffrent le martyr, ils rendent service, et ils sont polis et serviables y compris le marchand de journaux, tout celà est bien et celà fait plaisir.

    Revenons aux gens qui ne veulent pas se mêler à la populasse comme j’ai souvent entendu dire. Ils leur reste tout l’espace qui sépare la fin de la corniche actuelle et caracas(séparée par les différents immenses espaces occupés par différents ministères mais rien n’empêche personne d’aller s’y installer, mais voilà, le problème c’est que la famille s’emmerde, les enfants ne veulent pas de ce calme, la femme a envie de voir le marchand de zarriaa et les beignets passer toutes les 5 minutes. Vous avez donc pour les gens qui aiment la tranquilité un espace d’au moins 3 kilomètres pratiquement vide et non exploité. On arrive a caracas, C’est bien connu et bien fréquenté pcqu’il ya des payottes à 50 DH et ou la petite bouteille de coca est facturée à 10 DH SANS PARLER DES SANDWICHS ET LES PIZZAS QUI D2PASSENT LES PRIS DE TOUTES LES PIZZAS QUE NOUS PAYONS 0 BRUXELLES OU 0 PARIS? ALLER MANGER 0 MIDI AVEC LA FAMILLE SURTOUT QU4ELLES SONT TOUJOURS NOMBREUSES? VOUS NE QUITTEZ PAS LA TABLE POUR MOINS DE 500 0 MILLE DIRHAMS.

    PASSONS? CARACAS? MAINTENANT C4EST FINI C4EST DUDOMAINE DE FADESA ET C4EST CE QUI DERANGENT BEAUCOUP DE GENS. EN ATTENDANT? LORSQUE VOUS ARRIVEZ 0 FADESA? VOUS DEVEZ NECESSAIREMENT Y ALLER EN VOITURE? D7S LORS? SI VOUS FAITES QUELQUES KILOM7TRES DE PLUS VOUS ALLEZ VOUS TROUVER AVEC LES BARBUS? LES FOULARDS ETC… ALLER NAGER EN BIKINI VOUS ËTES LA MIRE DE TOUS LES REGARDS. DONC CE N4EST PAS CEL0. vOUVOUS ENERVEZ? VOUS PRENEZ VOTRE VEHICULE VOUS TRAVERSEZ MOULOYA ET VOUS ËTES SUR UNE LONGUEUR SAUVAGE DE PLAGE DE PLUSIEURS KILOM7TRESZ O% IL N4YA PAS UN CHAT? ON VOUS DIRA DANS LA VOITURE? NOUS? ON N4A PAS ENVIE DE VENIR ICI ALORS QU4IL N4YA PERSONNE8 VOUSZ CONTINUEZ JUSQU40 LA MAGNFIQUE PLAGE DE CAP DE L4EAU? VOUS ALLEZ Y RENCONTRER DES FEMMES EN JELLABAS ASSISES SUR DES CHAISES ET REGARDER LES ENFANTS NAGER? PAS UN SEUK ADULTE N4OSE SE METTRE TORSE NU ET ENCORE MOINS UNE FEMME EN MONOKINI? SI VOTRE FEMME SE MET EN BIKINI ET VA NAGER AVEC SES ENFANTS? VOUS DEVENEZ LA BËTE RARE.
    VOUS CONTINUEZ SUR LA ROUTE CAP DE L4EAU ET LA SUPERBE PLAGE DE AKARMAN? VOUS CHANGEZ DE DECORS? C4EST LA POPULATION DE NADOR? MIDAR ETC QUI LA FREQUENTE ALORS LA LES US ET LES COUTUMES JE NE VOUS DIS PAS! vous continuez jusqu’a nador il n’ya rien. vous quittez nador pour les plages saucages entre nador et beni bougafar, c’est idylique, pas un chat, mais encore une fois il n’ya personne donc ce n’est pas interessant.

    Je suis fatigué, je résume, il ya de la place pour tout le monde, pour tous les gouts, sans deranger personne mais le peuple marocain veut vivre en promiscuité, sinon celà ne vaut pas la peine, vous revenez le soir après cette ballade qui n’a fait plaisir à personne, vous vous dites, tiens, je passe par zegzel, taforalt avec toutes ses splendeurs de montagnes qui vous change la vie de la plage, les routes sont tellement sinuseuses, qu’il ya des gens qui vovissent, il ya des adultes qui ne profite d’aucun panorama si ce n’est de vous surveiller si vous tenez bien le volant, au point culminat de taforalt qui est une région superbe, on amorce la desencete sur la cuvette de la région d’oujda, tout le comnde commence à respirer, et ils vous demandent d’accelerer pour arriver le plus vite possible à oujda pour que les enfants aillent s’amuser avec leurs amis du derb mbasso jusqu’à minuit! et ils sont heureux! à méditer!!!!

    #202898
    dahlia
    Membre

    La plage de Saidia est l’une des plus réputées au Maroc. Pour les amoureux de la nature et de la mer bleu azur, un passage par cette station balnéaire à proximité d’ Oujda s’impose.

    La docilité des vagues, la clarté des eaux, la beauté des paysages et la température ambiante (31° en été) font de Saidia la destination privilégiée de l’Oriental.
    La perle bleue vous souhaite la bienvenue ! C’est ce que signale le premier écriteau de la ville. A droite de cette pancarte, c’est vers le souk et la médina que votre périple vous mène. A gauche, c’est la Méditerranée et la nouvelle ville qui vous accueillent.
    Au départ Saidia était une forteresse bâtie par le Sultan Moulay El Hassan Premier en 1883. Un avant poste frontalier juste sur la rive gauche de Oued Kisst, une frontière naturelle entre le Maroc et l’Algérie. D’une superficie de 15 600 m2, elle abrite une centaine de maisons. En 1936, on y recensait 210 habitants alors qu’actuellement, elle en compte plus d’un millier d’habitants. Ses vestiges sont d’architecture marocaine avec tout l’arsenal de remparts, de bâtisses de terre aux couleurs locales et de portes spécifiques. Sa muraille a connu plusieurs consolidations et réfections pour lui conserver son teint jeune et vivace. Juste en face de la médina, c’est le souk de toutes les convoitises. Un espace grouillant et coloré par tous les délices de l’été. Un espace traditionnel mais où vous trouverez tout : des sardines méditerranéennes au henné de la mariée tout en passant par les plats les plus succulents. Un complexe gastronomique à la marocaine, mais aussi tous les articles de saison.
    A gauche de la médina et du souk, c’est l’une des stations balnéaires les plus prisées de la Méditerranée. Avec ses quatorze kilomètres de sable doré reliant les deux rivières de la région : le Kisst et la majestueuse Moulouya. Cette interminable plage sablonneuse est d’un éclat solaire ensorcelant et d’une finesse exquise. Elle est d’une profondeur terrestre de plus de cinquante mètres par endroits et d’un amont maritime de plus de cent cinquante mètres. La nage sans risque est assurée. Une mer de rêve plus attractive en temps de marée basse. Pour les amateurs du calme, il suffit de longer la côte vers l’embouchure de la Moulouya pour apprécier les félicités de la tranquillité absolue et les intimités de la faune et la flore. Par contre les mélomanes de la foule ne s’ennuieront nullement en clapotant des vagues dociles, ou en pratiquant un sport de leur préférence.
    Ces derniers temps, les balades en scooter des mers sont devenues monnaie courante. Ces randonnées nautiques s’adressent aux initiés et aux débutants accompagnés d’encadreurs de circonstance. Reste à négocier le prix si vous tenez à une croisière aquatique. Pour les jets – skieurs confirmés, des compétitions sont improvisées à tout moment. En plus du sport, c’est de l’intérieur de la mer qu’on apprécie le mieux la beauté des côtes et de la plage. Avec ces dresseurs des vagues, les tracking randonnées en quad proposent un autre genre d’aventures, soit sur la plage ou dans les alentours. Une randonnée pour dépoussiérer les tracas du travail. Là aussi, il faut veiller au respect des normes en vigueur.
    La balade des gens heureux se fait à cheval. Un club équestre ainsi que des « chevaux à location » sont d’un prix abordable ; et à vous la galopade sur les sables.
    La corniche connaît une densité impressionnante d’estivants surtout la nuit, amateurs d’animations artistiques, de veillées tardives, de dancings, de cafés familiaux ou de balades nocturnes trouveront leur compte

    Ajourd’hui le Maroc (18-06-2007) : http://www.aujourdhui.ma/mon-ete-2007-details406445.html

    mujahid48
    Membre

    prk tt le monde né pa venu i investir? peutètre ke lé investisseur oriento n’on pa tous dé milliar ds leur poche on a pa besoin du tourisme ché ns ok rien mai rien a faire de ça si c pr ke chak été vienne 1million de touriste a saidia c pa la peine ils ont ka alé se bronzé ailleur je sais kon peu peuttre rien i faire contre mai o moin arété dencouragé avec vos parole c le minimum un tourisme durable ds loriental etc …….. ns ne somme pa dé marakchi ns somme pa doué pr cela le tourisme o maroc cé tré connu ça et en france tt le monde reconné le maroc comme un pays bourré de… meme lé algérien vienne profité et aussi « lé homme sous le zero » de saoud ils viennen o maroc pr profité dé chikhat de gharb jbala et souassa li halin famhoum ki lhmir on diré dé esclave de gwer ns ne somme pa comme ça tu croi kun touriste va venir a asaidia sil ya pa dalccol ni de prostitué ? vous comprendré jms rien de tte façon mai ke dal on prèfère crevé de faim sil le fau ke servir et donné nos ….. aux koufar

15 réponses de 841 à 855 (sur un total de 1,398)
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