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1 000 ha pour démanteler les vieux appareils.
[Une ferraille pour avions à Oujda] Ferrailleur de vieux avions. C’est un métier qui peut rapporter gros. Et c’est la raison pour laquelle la ville d’Oujda a eu l’idée de monter un projet de site pour démantèlement d’avions réformés. La casse sera située à Aïn Beni Mathar sur un terrain de 1 000 ha faisant partie d’une ancienne base aérienne américaine.
L’acquisition du terrain est pratiquement finalisée par Royal Air Maroc qui sera partie prenante dans le projet aux côtés, certainement, d’investisseurs privés. C’est que le business peut être très rentable. Comme l’explique une source qui connaît bien le dossier, «chaque année, de par le monde, ce sont au moins 300 avions qui arrivent en fin de vie et qui ont besoin d’être garés quelque part pour être démantelés». L’activité du site d’Oujda consistera donc à démonter les vieux appareils et surtout à recycler les pièces, composants et parties qui peuvent l’être en les revendant aux avionneurs.
Mais ce n’est pas tout. Les promoteurs du projet veulent faire d’une pierre deux coups en utilisant les 1 000 ha comme parking pour les avions. Le principe est simple : pendant les périodes creuses du trafic aérien, beaucoup d’avions restent au sol et les compagnies sont obligées de les garer dans les aéroports qui en deviennent congestionnés. Oujda offrira donc à ces compagnies un espace où elles peuvent garer leurs avions inutilisés pour de longues durées. En plus, les conditions climatiques de la région semblent être idéales pour ces deux activités, expliquent les mêmes sources.
Pour ce qui est de la clientèle, le site est à deux ou trois heures de vol seulement de l’Europe et peut parfaitement convenir aux compagnies du Vieux Continent.MC – La vie Eco
· Marjane, Aswak, Métro taillent des croupières aux réseaux parallèles
· Certains de leurs produits vont jusqu’à Meghnia, Oran… en Algérie
· Ces enseignes jouent le rôle de lièvre aux investisseursIl y a quelque peu encore, personne ne pouvait miser un dirham sur l’installation d’une grande surface dans l’Oriental à cause d’une économie de contrebande très développée dans la région. Aujourd’hui, les trois grandes enseignes installées à Oujda (Marjane, Métro, Aswak Assalam) prouvent que le pari n’était pas insensé, mais qu’il est aussi un véritable succès. Un deuxième Marjane ouvrira dans quelques mois à Nador, autre bastion du commerce de contrebande, et un autre bientôt à Saïdia. La grande distribution anticipe le boom du tourisme et la dynamique économique que connaîtra la région avec un commerce plus organisé pour accompagner l’ouverture et les besoins de la station du plan Azur,
Le premier jour de l’ouverture de Marjane Oujda, la chaîne a battu son record du chiffre d’affaires quotidien à l’échelle nationale. Les produits qui marchent le plus sont les PGC (produits frais), les ustensiles de cuisine et articles ménagers ainsi que l’électroménager, surtout les climatiseurs et les réfrigérateurs. Le caddie moyen à Oujda est parmi les plus élevés du réseau Marjane. Il dépasse généralement les 1.000 DH.
Le potentiel est là dans une région qui compte plus de 2 millions d’habitants. De l’avis des observateurs, «en une année seulement, l’installation de grandes surfaces a permis une restructuration de la filière de commerce».
Les premiers effets de la grande distribution se traduisent par la sensibilisation des consommateurs qui ont de plus en plus le souci de la sécurité alimentaire, de la chaîne de froid, de la date de péremption, de la garantie, du choix, du crédit gratuit…, estime la direction du magasin de Marjane Oujda. Du coup, les grandes surfaces ont endigué substantiellement les volumes de la contrebande, surtout pour les produits frais.
La garantie sur l’électroménager et les promotions à longueur d’année ont aussi eu leur impact sur les produits en provenance d’Algérie (réfrigérateurs, gazinières, fours…). Par contre, tout ce qui est image et son ne marche pas assez. L’offre de la contrebande reste très compétitive sur ce créneau, signalent des chefs de rayons d’électroménager. Les clients viennent de partout: Nador, Berkane, Saïdia, Ahfir, Jerrada… et les hypermarchés s’érigent en lieux d’animation et de loisirs dans une région où l’offre est inexistante. Le profil de la clientèle est assez hétéroclite: fonctionnaires, commerçants et même des contrebandiers qui acheminent la marchandise de l’autre côté de la frontière. Certains produits iraient jusqu’à Meghnia, voire Oran! Surtout les vins français, les spiritueux, l’agroalimentaire de manière générale. Parallèlement, ces investissements ont permis la création de plusieurs centaines d’emplois (encadrement, vendeurs, chefs de rayons…), sans compter l’effet induit auprès des sous-traitants et fournisseurs locaux. Le rôle de lièvre se traduit par l’installation de franchises et enseignes de prêt-à-porter dans les galeries commerciales: Celio, Via Seta, Planet Sport, Big Dil… Sur 17 magasins à Marjane, 14 sont déjà occupés. D’autres enseignes vont suivre, souligne Farid Chourak, directeur du CRI de l’Oriental.
Comme on ne peut faire d’omellette sans casser des oeufs, l’impact de ces hypermarchés commence à se ressentir sur le commerce de proximité. La Chambre de commerce et de services (CCIS) parle de la fermeture de plusieurs petits commerces devenus moins rentables depuis l’installation de la grande distribution. «Trois hypermarchés, c’est bien. Mais il ne faut pas qu’il y en ait plus», avertit Driss Houat, président de la CCIS d’Oujda.
La Chambre de commerce mène actuellement une enquête pour évaluer l’impact de la grande distribution sur le commerce de proximité. Selon les tendances préliminaires qui se dégagent de l’étude, ce sont surtout les grossistes des produits agroalimentaires (huile, sucre, farine…) qui pâtissent le plus de l’arrivée de la grande distribution. Les marchands de poissons, de produits frais et charcuterie accuseraient des baisses dans le chiffre d’affaires. «Pratiquement, tous les commerces qui ont une chaîne de froid se plaignent de la concurrence de Marjane, Aswak Assalam et Métro», précise la CCIS. A Béni Drar, point noir et duty free informel à ciel ouvert, 160 magasins sur 600 ont fermé cette année.
Par ailleurs, et chiffres à l’appui, selon la CCIS, Marjane répertorie plus de 12.000 articles avec seulement une quinzaine de fournisseurs de la région. «Notre rôle est de promouvoir les produits locaux et les intégrer dans le circuit de la grande distribution», tient à préciser Driss Houat.
Mais la grande distribution a aussi le mérite de pousser le petit commerce à se restructurer, consent en même temps le président de la CCIS.Amin RBOUB pour L’Economiste
Un city center pour tracter le shopping
· Un business hub sur 55 hectares au centre-ville
. Plus loins deux unités Carrefour/Label’vie sur 5 ha à l’étude
· 7 milliards de DH pour le renouvellement urbain d’Oujda
La modernisation des commerces et services est l’une des priorités des autorités locales. La restructuration de la filière commerciale est enclenchée avec l’arrivée en force de la grande distribution. L’effet d’entraînement dans le circuit des franchises est palpables (voir article grande distribution). D’autres unités prospectent à l’instar de McDo, Zara, Kitea…
D’autant plus que deux unités Label’ Vie/Carrefour sur 5 à 6 hectares sont en phase d’étude ainsi que deux autres magasins Acima. «Pour promouvoir l’attractivité de la région et attirer le plus grand nombre d’enseignes, nous sommes en train de créer un city center, un hub implanté au cœur de la ville orienté shopping», annonce Farid Chourak, directeur du Centre régional d’investissement (CRI). Deux tours de 19 étages chacune et un centre d’affaires sortiront bientôt de terre non loin du quartier de la gare qui subit une véritable métamorphose. Le renouvellement urbain de la ville d’Oujda porte sur 350 projets pour un montant estimé à plus de 7 milliards de DH. L’enjeu est de faire de la ville un véritable pôle économique national, souligne le directeur du CRI.
La zone de la gare (18 mars) abrite aussi des hôtels opérationnels (dont un 5 étoiles flambant neuf Atlas Terminus et un 3 étoiles, Ibis).
Au total, 55 hectares seront dédiés à Oujda City Center au cœur de la ville avec centre d’affaires, parc de plateaux de bureaux, boutiques, banques et assurances, restaurants, sociétés et résidences haut standing.Des showrooms, concessions automobiles, magasins de mobilier… seront livrés sous peu. Il s’agit de 23 lots pour de grandes unités commerciales sur une superficie globale de près de 9 hectares. Les locaux sont pratiquement tous vendus, précise-t-on au centre régional d’investissement. Côté PME, des unités seront créées à l’intérieur de la ville. Il s’agit principalement de concentration d’activités liées à l’électronique, la mécanique, les matériaux de construction ou encore l’agroalimentaire.
Dans le même sillage, il est aussi programmé de construire une nouvelle gare ferroviaire dans le prolongement de l’ancienne station qui est l’une des plus anciennes du Maroc. Là aussi, une galerie marchande, des parkings et activités d’animation sont prévus.
La restructuration du paysage de la ville passera aussi par une mise à niveau de la filière commerciale, le commerce de proximité notamment (aux marchés de Lazaret, Toba, Si Lakhdar…) et l’organisation des marchands ambulants. L’idée est de créer des carrefours avec places marchandes. La mise à niveau portera également sur le marché de gros de fruits et légumes, l’abattoir municipal et la réalisation d’un marché de gros de poisson.
Les parties impliquées dans la conception et la réalisation de ces projets insisteront sur la convergence entre les différents sites tant sur le plan spatial qu’économique et socio-culturel pour la relance de l’économie et l’émergence d’activités aux standards requis, insiste le directeur du CRI.
Le culturel et les activités sportives ne sont pas en reste: la cité verra dans quelques mois la création d’un amphithéâtre en plein air pour accueillir concerts, pièces de théâtre et festivals, un conservatoire de musique et danse, un musée d’histoire orientale ainsi qu’un complexe culturel…
Selon l’imam Moslim, `Abd Allah ibn Farroukh rapporte avoir entendu `A’icha dire : Le Messager d’Allah (prière et salut sur lui) dit : « Chaque être humain de ces enfants d’Adam est constitué de trois cent soixante articulations. Quiconque proclame la grandeur d’Allah, Sa louange, Son unicité, et Sa gloire, ou implore le pardon d’Allah, ou écarte une pierre, une épine ou un os de la voie publique, ou ordonne un bien et interdit un blâmable, autant de fois que ces articulations, marchera ce jour étant éloigné de l’Enfer. »
Selon l’imam Ahmad, `Abd Allah ibn Borayda dit : J’ai entendu le Messager d’Allah (prière et salut sur lui) dire : « Il y a dans le corps humain, trois cent soixante articulations. Et l’être humain se doit de faire une aumône pour chacun de ces articulations. » Les gens dirent : O Messager d’Allah! Qui pourrait supporter cela ? Et le Messager de dire : « (Celui qui s’évertue à) enfouir l’expectoration qui se trouve dans la mosquée ou dégager les choses nuisible de la voie et à défaut de tout cela, les deux unités de prière surérogatoire de la Doha (la matinée) te suffirait. »
La Vérité Scientifique :
Les articulations sont les parties qui unissent deux os ou un os et un cartilage ou deux cartilages dans le corps humain. Et ce, à condition que ces parties soient des entités séparées.
Le nombre d’articulations suivant les règles établies :
1- Les articulations du crâne 86
2- Les articulations du larynx 6
3- Les articulations de la cage thoracique 66
4- Les articulations de la colonne vertébrale et du pelvis 76
5- Les articulations des membres supérieurs 32×2 = 64
6- Les articulations des membres inférieurs 31×2 = 62
Le total 360 articulationsAspect Miraculeux :
Le Prophète (prière et salut sur lui) affirma que le corps humain est composé de trois cent soixante articulations. Cette affirmation survint alors qu’il était impossible de déterminer ces articulations avec tant de précision vu que la majorité de ces articulations sont indéfinissable par la simple observation. Et l’on ne put les déterminer avec précision qu’après l’évolution de l’anatomie et de l’histologie. Par ailleurs, il faut noter linguistiquement parlant, que l’articulation est le point d’union de deux os dans le corps.
Ainsi, le Prophète (prière et salut sur lui) a-t-il déterminé le nombre d’articulations quatorze siècles jadis textuellement comme le fait l’anatomie de nos jours, mettant en exergue un fait qu’aucun être humain n’aurait pu savoir à cette époque. Ce qui est un signe révélateur de la nature divine des connaissances du Prophète (prière et salut sur lui).Sujet: Les Embouchures
Allah, exalté soit-Il, dit : « Et c’est Lui qui donne libre cours aux deux mers : l’une douce, rafraîchissante, l’autre salée, amère. Et Il assigne entre les deux une zone intermédiaire et un barrage infranchissable. » (Al-Furqan: 53)
La Vérité Scientifique :
Le premier ouvrage qui traita d’océanographie parut au dix-huitième siècle, contenant des informations très primaires. Puis l’océanographie commença à se tailler une place au milieu des autres sciences modernes, suite aux expéditions scientifiques du navire britannique Challenger de 1872 à 1876. Après quoi les expéditions scientifiques maritimes se succédèrent. A la fin du vingtième siècle, les gens redoublèrent d’espoir de prospecter encore plus les océans à l’aide des satellites et des images satellitaires. Après balayage de plusieurs embouchures, les chercheurs se rendirent compte que toutes les zones d’embouchures sont des environnements qui ont des caractéristiques naturelles et biologiques différentes des caractéristiques des fleuves et des mers, et ce, malgré l’instabilité et le contact permanent entre ces différentes eaux, malgré le flux et le reflux de la mer et malgré aussi la crue et la décrue des eaux de fleuves. Tout comme s’il y avait une barrière qui séparait entre la zone d’embouchure d’une part, et le fleuve et la mer d’autre part. barrière qui préserve les spécificités de la zone d’embouchure malgré les facteurs qui favorisent leur mélange tels que le flux et le reflux et tels la crue et la décrue. Et quand l’on essaie de classifier les trois environnements suivant leurs faunes et leurs flores, l’on se rend compte que la zone de l’embouchure a une faune et une flore qui lui sont propre, en ce sens que cette faune et cette flore ne sauraient vivre que dans la zone de l’embouchure qui a ses propres spécificités. En plus de cela, l’on se rend compte que cette zone est interdite à un grand nombre de créatures qui vivent dans la mer ou dans les fleuves, à tel point que ces créatures meurent dès qu’elles entrent dans la zone de l’embouchure, et ce, à cause de l’incompatibilité de leurs caractéristiques.
Aspect miraculeux :
Toute masse d’eau peut se nommer mer en arabe. Ainsi, le fleuve est-il une mer à eau douce tandis que l’océan ou la mer est une mer à eau salée. Suivant ce partage, l’on exclu les eaux des zones d’embouchures qui sont un mélange d’eau douce et d’eau salée. L’on ne saurait qualifier ses eaux ni d’eaux salées et ni d’eaux douces. C’est ainsi que l’on arrive à classifier les trois types de masses d’eaux : eaux fluviales, eaux maritimes, et eaux intermédiaires qualifiées par le Coran de barrière qui empêche la salinité des eaux de mers d’affecter les fleuves, tout comme il empêche la douceur des eaux fluviales d’affecter la mer. Ce verset indique aussi que la zone d’embouchure a une faune qui lui est propre, et qu’il n’est pas permis ni à la faune maritime et ni à la faune fluviale de s’aventurer dans l’embouchure. L’évolution historique de l’océanographie prouve qu’il n’y avait aucune information précise concernant les océans 1400 jadis. Mais déjà, le Coran donnait une description minutieuse des zones d’embouchure, expliquant que ces zones constituent un environnement spécifique qui a des caractéristiques naturelles et biologiques différentes des caractéristiques des fleuves et des mers. En plus de cela, le Coran indiqua que malgré le contact permanent entre ces eaux et l’instabilité qui y règne, chaque type de masse d’eau garde constamment ces caractéristiques intactes. D’où viendraient ces informations consignées explicitement dans le Coran si ce n’est de l’Omniscient Lui-même.
Allah exalté soit-Il dit : [ [Les actions des mécréants] sont encore semblables à des ténèbres sur une mer profonde : des vagues la recouvrent, [vagues] au dessus desquelles s’élèvent [d’autres] vagues, sur lesquelles il y a [d’épais] nuages. Ténèbres [entassées] les unes au-dessus des autres. Quand quelqu’un étend la main, il ne la distingue presque pas. Celui qu’Allah prive de lumière n’a aucune lumière. ] (An-Nour : 40)
La Vérité Scientifique:
L’encyclopédie britannique dit : « Comme l’on peut le constater à partir des images satellitaires, le plus souvent, les mers et les océans profonds sont couverts de nuages opaques peu translucide. Ces nuages reflètent une grande partie de la lumière du soleil dont ils ne laissent passer qu’une petite partie. Quant à la quantité de lumière qui réussit à passer à travers ces nuages, elle est en partie reflétée par les eaux de la mer et en partie absorbée par la mer. La quantité de lumière absorbée par la mer s’amenuise au fur et à mesure que l’on va en profondeur, créant un certain degré d’obscurité qui prévaut jusqu’à deux cent mètres de profondeur. L’obscurité prend de l’ampleur après 1000 mètres de profondeur jusqu’au point qu’il n’y ait plus de visibilité. Le Disque de Secchi fut le premier appareil utilisé pour mesurer la transparence de l’eau des océans.
• Les savants parvinrent à apercevoir (entre 600 et 2700 mètres de profondeur) des poissons qui voyaient et attrapaient leurs proies à l’aide d’organes lumineux.
• A la fin du dix-neuvième siècle et au début du vingtième siècle, surtout après l’utilisation des appareils photographiques développés dans les années trente, les savants utilisèrent des cellules électroluminescentes qui permirent la découverte de forts courants dans les mers profondes. L’encyclopédie britannique dit : « L’homme ne prit connaissance du phénomène des vagues internes des mers profondes que 100 ans jadis. Ces vagues internes naissent entre deux couches d’eaux différentes du point de vue de la densité, de la pression, de la chaleur, du flux et du reflux et de l’impact du vent. A l’interface des deux niveaux de densités différentes, là où il y a la plus basse température, se forment les vagues internes qui séparent les eaux chaudes de surface des eaux froides des profondeurs. Ces vagues internes qui se forment à l’interface de deux couches d’eaux différentes du point de vue de la densité, de la salinité et de la température, ressemblent fort bien aux vagues de surface quoiqu’il soit difficile de les apercevoir de la surface de l’eau. Par ailleurs, la formation de ces vagues internes nécessite une énergie qui serait en mesure de faire avancer un bateau. Mais l’on trouve souvent des bateaux qui n’arrivent plus à avancer après s’être retrouvés dans une zone d’eau stagnante dont le mérite de la découverte revient au docteur suédois Van W. Ekman au début du vingtième siècle.Aspect Miraculeux :
L’homme a longtemps cru à des légendes qui avaient trait à la mer et aux océans. Les marins n’avaient pas alors d’informations scientifiques réelles concernant les mers profondes. Car il y avait si peu d’informations sur les courants maritimes. Ainsi, les légendes purent s’approprier des eaux stagnantes que les bateaux échouent à traverser. Les anciens romains crurent alors qu’il y avait des poissons suceurs dotés de vertus magiques qui causent l’immobilisation des bateaux. Bien que ces anciens savaient l’impact du vent sur les vagues et les courants de surface, il leur était très difficile de savoir quoi que ce soit sur les vagues internes des mers profondes. L’histoire de la science démontre que les études océanographiques n’ont vraiment connu leur essor qu’au début du vingtième siècle et précisément après l’invention des appareils adéquats pour ce type d’études minutieuses. L’océanographie moderne a donc réussi à percer les mystères des mers profondes et des océans en découvrant deux phénomènes importants qui sont d’une part, l’obscurité des mers profondes et d’autre part, les mouvements des vagues internes. Le verset coranique cité plus haut fait allusion à ces deux phénomènes de façon explicite : Ce verset indique les ténèbres des mers profondes en qualifiant la mer de profonde et en affirmant que l’obscurité qui y règne est superposée. Les exégètes disent à ce propos que les ténèbres en question sont l’ensemble des obscurités des nuages, des vagues et de la mer. Ténèbres qui privent de la vue quiconque y plonge. Les nuages condensés qui sont au-dessus de ces mers reflètent une partie de la lumière du soleil tout comme les vagues de surface reflètent une autre partie de la lumière du soleil. Après quoi les eaux absorbent les couleurs du spectre qui proviennent du soleil, couleur après couleur jusqu’à ce que ces couleurs s’effacent complètement. Puis vient le rôle des vagues internes qui plongent les mers profondes dans une obscurité si noire que même l’on ne pourrait y voir sa propre main. L’expression coranique [Ténèbres [entassées] les unes au-dessus des autres] décrit minutieusement la réalité des mers profondes. D’autre part, il faut noter que les poissons de ces mers profondes ne sont pas dotés d’yeux mais plutôt d’organes lumineux dont Allah les a dotés pour éclairer leurs routes. Raison pour laquelle, Allah exalté soit-Il dit dans le verset mentionné plus haut : [Celui qu’Allah prive de lumière n’a aucune lumière]. Ce même verset fait allusion aux vagues internes en ces termes : […sur une mer profonde : des vagues la recouvrent, [vagues] au dessus desquelles s’élèvent [d’autres] vagues…] Ce qui veut dire que la vague interne est au dessus de la mer profonde. Les océanographes corroborent cela en affirmant que la mer profonde est différente de la mer de surface en ce sens que des vagues autres que les vagues de surface se forment à l’interface des deux mers. Ce que l’on ignorait cent ans auparavant. Le Coran a mentionné ces réalités scientifiques étonnants quatorze siècles jadis. Qui a pu communiquer ces informations à Mohammad ? Il va de soi que Seul Allah exalté soit-Il a pu le faire !
Allah exalté soit-Il dit : [ N’avons-Nous pas fait de la terre une couche, et (placé) les montagnes comme des piquets] (An-Naba’: 6-7)
La Vérité Scientifique:
L’on ignorait tout jadis des montagnes excepté le fait qu’elles sont des masses rocheuses élevées au-dessus de la surface de la terre. Cette définition resta de mise jusqu’à ce que Pierre Bouguer signale en 1835 que les forces gravitationnelles enregistrées de la chaîne montagneuse des Andes sont beaucoup inférieures à ce à quoi l’on pourrait s’attendre concernant une si immense masse montagneuse. Raison pour laquelle, Pierre Bouguer affirma la forte probabilité de l’existence d’une plus grande masse de la montagne enfouie sous terre. Ce qui expliquerait le déséquilibre de la gravitation. Au milieu du dix-neuvième siècle, George Everest signala un déséquilibre dans les résultats de mesure de la gravitation des montagnes de l’Himalaya, et ce, en deux endroits. Ne pouvant pas expliquer ce phénomène, Everest lui donna comme nom « L’énigme de l’Inde ».En 1865, George Airy déclara que toutes les chaînes de montagnes sur terre sont des masses flottantes sur une mer de matières fondues sous l’écorce terrestre. Il ajouta ensuite que ces matières fondues sont plus denses que la matière de la montagne. Raison pour laquelle il est irréversible que les montagnes s’enfoncent dans ces matières fondues qui ont une très forte densité, et ce, afin de maintenir leur position. Ainsi, la géologie découvrit-elle petit à petit que l’écorce terrestre est constituée en fait de plaques lithosphériques et que ces grandes montagnes flottent sur une mer de roches molles d’une forte densité. La géologie découvrit aussi que les montagnes ont des racines qui les aident à flotter et à stabiliser les plaques afin qu’elles ne subissent aucun déséquilibre. Le géologue Van Anglin dit à la page 27 de son ouvrage « Géomorphologie », publié en 1948 : « L’on comprend maintenant qu’il est nécessaire que chaque montagne sur terre doit avoir une racine sous terre. » Quant à la fonction de la montagne dans le raffermissement de l’écorce terrestre, elle fut corroborée par le principe de « L’équilibre hydrostatique de la terre » comme cela fut affirmé par le géologue américain Dutton en 1889 qui dit que l’enfoncement des massifs montagneux dans la terre va crescendo avec la hauteur des montagnes. La réalité des plaques lithosphériques qui fut établie en 1969 montre que les montagnes maintiennent l’équilibre de chacune des plaques lithosphériques.
Aspect Miraculeux:
Alors que l’homme pataugeait encore dans une ignorance de la réalité des montagnes qui resta de mise jusqu’au milieu du dix-neuvième siècle, le Saint Coran affirma dans les versets ci-dessus que les montagnes sont des piquets du point de vue de leur forme et de leur fonction. Et de nos jours, la véracité de cette comparaison coranique minutieuse fut démontrée. Etant donné que le piquet est formé d’une part, d’une partie saillante au-dessus de la surface de la terre, et d’autre part d’une partie enfoncée dans l’écorce terrestre et qui a pour fonction de raffermir ce qui est accroché au piquet. De même, les montagnes ont une partie saillante au-dessus de l’écorce terrestre et une autre partie enfoncée dans la terre et dont l’enfoncement va crescendo avec la hauteur de la montagne. Il est utile de noter que la fonction des montagnes est la stabilisation des plaques lithosphériques qu’elles empêchent de connaître un quelconque déséquilibre susceptible d’être occasionné par la couche fondue qui est sous les montagnes. Ainsi, devint-il explicite que cette parole est la parole d’Allah exalté soit-Il qui a créé les montagnes et les univers. Allah exalté soit-Il dit à cet effet: [Ne connaît-Il pas ce qu’Il a créé alors que c’est Lui le Compatissant, le Parfaitement Connaisseur.] (Al-Molk :14)
Allah, exalté soit-Il, dit : [ Il a donné libre cours aux deux mers pour se rencontrer ; il y a entre elles une barrière qu’elles ne dépassent pas. Lequel donc des bienfaits de votre Seigneur nierez-vous ? De ces deux [mers] sortent la perle et le corail.] (Ar-Rahmân:19-22)
La Vérité Scientifique :
L’on ignorait que les mers salées n’ont pas une composition homogène jusqu’à ce que cela soit révélé en 1873 par l’expédition de Challenger qui dura trois ans. Et ce n’est qu’en 1942 que l’on eut les résultats de longues études accomplies par des centaines de stations maritimes installées sur les mers et les océans. On trouva que l’Océan Atlantique par exemple, est composé de plusieurs mers et non d’une seule mer bien qu’il soit un seul océan. Raison pour laquelle ses masses d’eaux n’ont ni le même degré de chaleur, ni la même densité, ni la même salinité, ni les mêmes êtres vivants marins et ni la même capacité de dissolution de l’oxygène. Toutes ces disparités qui sont perceptibles dans le même océan, sont encore plus aiguës quand l’on compare plusieurs mers telles que la Mer Méditerranée et l’Océan Atlantique ou telles que la Mer Rouge et le Golfe d’Aden qui se rencontrent à certains détroits. Il faut signaler à cet effet qu’en 1942, l’on sut pour la première fois qu’il y a des mers dans lesquelles des eaux de différentes origines se déversent sans pour autant que ces eaux acquiert des caractéristiques homogènes. En réalité, les eaux de mers ne sont aucunement stables. Elles sont en perpétuel mouvement. Ce qui fait qu’elles s’entremêlent mais tout en gardant leurs spécificités concernant le degré de salinité, de chaleur et de densité. Il va de soi que le flux et le reflux, les courants d’eaux, les vagues et les tornades sont tous des facteurs qui favorisent le mouvement continuel des eaux de mers, mais sans, toutefois, que les masses d’eaux maritimes qui ont chacune des caractéristiques propres à elles ne se diluent les unes dans les autres. Ce qui donne l’impression qu’il y a une sorte de barrière qui sépare entre les mers qui se jouxtent dans un même océan ou un même detroit.
Aspect Miraculeux:
Les versets coraniques ci-dessus ont trait à deux mers salées avoisinant qui s’entremêlent tout en préservant chacune leurs caractéristiques. Et ce, tout comme s’il y avait une barrière qui les empêchait de se diluer l’une dans l’autre. D’autre part, ces versets font allusion aussi aux perles et aux coraux que l’on ne trouve que dans les eaux salées. Ce qui corrobore le fait que les eaux en question ici sont des eaux salées. Ce qui veut dire que le Coran parle des eaux d’océans et des mers qui sont des eaux salées. Eaux qui, apparemment, forment une seule masse, mais qui sont en réalité des masses avoisinantes avec des caractéristiquement différentes. Oui ! Apparemment, les océans et les mers salés qui se jouxtent forment une seule masse d’eaux qui a des caractéristiques homogènes. Mais en réalité, ce sont des masses d’eaux différentes du point de vue du degré de salinité, de chaleur et de densité. L’on ne put se rendre à l’évidence de cette réalité qu’en utilisant les technologies modernes. Pourtant, le Coran a fait cas de ces mêmes réalités en mettant en exergue les différences caractéristiques de deux mers salées qui s’entremêlent sans pour autant se diluer l’une dans l’autre tout comme s’il y avait une barrière qui empêchait leurs eaux de se mélanger. Cela ne prouve-t-il pas évidemment que le Coran est la parole d’Allah.
Sujet: Laisser la Moisson en Epi
Il est dit dans le Saint Coran : [“O toi, Youssef (Joseph), le véridique ! Eclaire- nous au sujet de sept vaches grasses que mangent sept autres très maigres, et sept épis verts et autant d’autres, secs, afin que je retourne aux gens et qu’ils sachent [l’interprétation exacte du rêve]”. Alors [Joseph dit] : “Vous sèmerez pendant sept années consécutives. Tout ce que vous aurez moissonné, laissez-le en épi, sauf le peu que vous consommerez. Viendront ensuite sept années de disette qui consommeront tout ce que vous aurez amassé pour elles sauf le peu que vous aurez réservé [comme semence]. Puis, viendra après cela une année où les gens seront secourus [par la pluie] et iront au pressoir.”] (Youssef : 46-49)
La Vérité Scientifique :
Stocker les grains en épis est un système fondamental de préservation de la production dans des environnements très hostiles. Ces directives englobent l’agriculture, les techniques de stockages et de préservation de la production autrement les techniques de gestion de la production. Le docteur `Abd al-Majîd bel-`Abid et ses collègues de l’Université de Rabat au Maroc, ont fait une étude expérimentale sur des grains de blé conservés en épis. Ces grains restèrent intacts durant deux ans contrairement aux grains battus. Les résultats préliminaires montrèrent que 100% des grains en épis étaient restés en bon état. Sans oublier que le lieu de stockage était un lieu ordinaire qui ne jouissait d’aucune condition climatique spéciale. Dans ce cadre, il apparut que les grains en épis perdirent une grande quantité d’eau et devinrent secs avec le temps. Et ce, contrairement aux grains battus. Autrement dit, l’on se rendit compte que le blé battu était constitué de 20.3% d’eau. Ce qui a un effet néfaste sur sa productivité, sa croissance et sa valeur nutritive. Car l’eau favorise son pourrissement et sa détérioration. Puis les chercheurs comparèrent les facteurs de croissance des grains restés en épis et celles des grains battus. Et ce, durant deux ans. Les résultats furent les suivantes : les grains en épiss’avérèrent plus croissants de 20% du point de vue de la longueur des racines, et de 32% du point de vue de la longueur des tiges. Après quoi, les chercheurs évaluèrent les protéines et les glucides qui restent intacts. Concernant les grains battus, ils perdirent 32% de protéines après deux ans et 20% après un an. Quant aux grains en épis, ils ne perdirent rien du tout.
Aspect Miraculeux :
Il est dit dans le Saint Coran : [Tout ce que vous aurez moissonné, laissez-le en épi…] Ce qui veut dire que préserver les grains en épis est la bonne méthode de préservation des grains à long terme. Il y a deux remarques scientifiques qui ont trait à ce verset :
1- La détermination de la productivité des semences à 15 ans repartis comme suit : sept années de vache grasses pendant lesquelles les gens sèmeront et récolteront sans coup férir, suivis de sept années de vaches maigres qui seront suivis de l’année du retour à la fertilité au bout de laquelle les gens se rendront aux pressoirs. Et les expériences scientifiques ont prouvé que les semences gardent leurs facteurs de productivité et de croissance durant 15 ans au maximum.
2- Le procédé de stockage mentionné dans le Coran en ces termes : [ Tout ce que vous aurez moissonné, laissez-le en épi…] est le procédé qui s’avéra dans l’étude expérimentale comme le procédé le plus fiable. Ainsi, devint-il évident que la meilleure méthode de stockage est la méthode indiquée par le Prophète d’Allah Youssef (salut sur lui), méthode qu’il tint de la révélation divine. Il va de soi que cette méthode était méconnue auparavant notamment chez les anciens égyptiens qui conservaient les grains après battage. Mentionner ainsi la bonne méthode, est l’un des aspects miraculeux de ce verset coranique qui prouve encore une fois de plus la précision et la justesse des informations contenues dans le Coran et partant, la vérité irrévocable que le Coran est une révélation d’Allah.Allah exalté soit-Il dit :[Alif, Lâm, Mim. Les Romains ont été vaincus, au plus bas point de la terre, et après leur défaite ils seront les vainqueurs, dans quelques années. A Allah appartient le commandement, au début et à la fin, et ce jour-là les Croyants se réjouiront du secours d’Allah. Il secourt qui Il veut et Il est le Tout Puissant, le Tout Miséricordieux. C’est [là] la promesse d’Allah. Allah ne manque jamais à Sa promesse mais la plupart des gens ne savent pas.] (Ar-Roum : 1-6)
Vérité Scientifique:
Les références d’histoire mentionnent la bataille qui eut lieu entre les Perses et Byzance (qui était la partie orientale de l’empire Romain). Bataille qui eut lieu entre Adhri`ât et Bosrâ près de la Mer Morte. Cette bataille qui eut lieu en 619 se solda par une victoire écrasante des perses. Cette défaite cuisante des romains byzantins amena plus d’un à croire que l’heure de la décadence de leur empire avait sonné. Contrairement à toutes les prédictions, une autre bataille éclata entre les perses et les byzantins en décembre 627 dans la région de Nineveh. Et cette bataille se solda par une défaite perse. Après quelques mois, les perses durent opter pour un armistice qui leur imposait la rétrocession de toutes les terres qu’ils avaient réussies à arracher aux byzantins. Les images géographiques des altitudes de la surface de la terre, démontrent que la plus basse altitude sur terre se trouve près de la Mer Morte en Palestine où la surface de la terre est 395 m.en dessous de la surface de la mer. Les photos et images satellitaires corroborent cette réalité.
Aspect Miraculeux :
Il y a deux aspects miraculeux qui se rapportent aux versets ci-dessus : D’une part, le Coran prédit que la victoire byzantine après la défaite face aux perses aura lieu après quelques années. Et selon les spécialistes de la linguistique arabe, « quelques années » veut dire ; entre cinq et sept ans ou entre un et neuf ans. Et comme prédit par le Coran, la victoire eut lieu après sept ans lors d’une bataille qui opposa perses et byzantins en 627, bataille qui se solda par une victoire éclatante des byzantins. Et cette victoire coïncida aussi avec la victoire musulmane de la bataille de Badr face aux polythéistes. Il faut noter qu’au moment de cette prédiction coranique, les mécréants de la tribu de Qoraych avaient tourné ces versets en dérision tellement ils trouvaient une telle victoire invraisemblable. Ils allèrent même jusqu’à promettre des dons aux musulmans si jamais cette prédiction se réalisait. Mais cette victoire qui marquait encore une fois l’aspect miraculeux du Coran se réalisa au grand dam des mécréants. Quant au deuxième aspect miraculeux de ces versets, l’on le trouve dans l’affirmation d’une vérité scientifique qui était alors méconnue de tous ; ces versets affirment que les romains ont été vaincus au plus bas point de la terre. Il faut dire en passant que le mot que nous traduisons ici par «plus bas point de la terre » a deux sens en arabe : le plus proche et le plus bas. Et chacun de ces deux sens est en accord avec la réalité; d’une part, le théâtre des opérations est la zone la plus proche de la péninsule arabique, et d’autre part, c’est aussi la zone qui a la plus basse altitude du globe terrestre vu qu’elle est en dessous de la surface de la mer de 1312 pieds (environs 400 m.). Et tel que l’affirme l’Encyclopédie Britannique, cette zone est le plus bas point de la surface de la terre qui fut enregistré par les satellites. Et il est prouvé historiquement que la bataille en question eut lieu dans cette zone qui a la plus basse altitude sur terre et qui se trouve dans la vallée de la Mer Morte. Il va de soi que nul n’aurait pu établir cela en l’absence des nouveaux procédés topographiques. Raison pour laquelle il était impossible en ces temps qu’un être humain puisse savoir que cette zone était le plus bas point de la surface de la terre. Ces versets coraniques ne prouvent-ils pas que le Coran est une révélation d’Allah exalté soit-Il, qui dit : [Dis : « Louange à Allah ! Il vous fera voir Ses preuves, et vous les reconnaîtrez » !] (An-Naml : 93)