Résultats de la recherche sur 'DEUX EN UN'

[compitieux]

salam
je suis furax ..

j’ai découvert ce forum il y a deux ans déjà .. à l’époque je fréquentais plusieurs communautés virtuelles marocaines …
je me suis dit, celui-là est pour moi!!!
quelle euphorie m’emportait quand je voyais mes compatriotes discuter… j’intervenais peu, mais je suivais beaucoup
sur un autre forum marocain, j’ai rencontré Alain, oui Alain sur lequel les membres s’acharnaient comme une meute de loups affamée chaque fois qu’il disait quelques chose
bref, Alain me reconnut grâce à mon avatar que j’utilise aussi sur casafree
il m’avoua sa grande déception qu’il ressentit ici sur oujdacity, déception que je n’ai senti qu’une fois je me suis approfondi dans la chose
permettez-moi de vous dire qu’il y a un énorme manque de respect sur le site!
je trouve un millier de blague sur braknas, sachez que c’est du racisme, que nos moeurs, notre religion dont vous tenez considérablement l’interdisent … nul n’a le droit de rigoler d’une autre personne!
vous dites que c’est juste des blagues!
non c’est excessif
quand je vois d’autres espaces web marocains avec des règles strictes où on ne peut rigoler du soussi, du fassi, du berkanais parce que nous appartenons tous à la même patrie je leur envie leur esprit!
non mais le comble! abdoux est devenu comme le bot lounja un automate dont les interventions se limitent à lancer des blagues sur berkane!
personne ne bouge le petit doigt, ni modérateur ni administrateur
cela est injuste!
vous voulez exclure les brakna? que nous devenions seulement vos bouffons?
je vous en conjure, mettons terme à ceci

[touria016]

@ Nadou : c’est la moindre des choses qu’on puisse faire envers les innocents persécutés sans aucune raison.

@Scania : Merci mon frère, pour ce geste.
J’espère que les gens lieront et y accorderont de l’importance, l’objectif avant tout étant de sensibiliser l’opinion publique, générallement, somnolante, pour pourquoi pas, inciter à l’action.

Comme je l’ai dis avant, je publierai la suite du rapport petit à petit.
Ce qui me chagrine, c’est que, vous êtes à proprement parlé, toi et Nadia, quasiment les seuls à, apparemment, vous interesser à la cause.
Merci à vous…

Voici maintenant, un aperçu des modalités d’organnisation des interrogatoires au sein des prisons :

Interrogatoire
L’interrogatoire des Palestiniennes arrêtées se passe dans un des cinq centres d’interrogation ; les principaux centres sont Mescobia, Jalame et Bet Hatikfa. Comme tous les prisonniers palestiniens, des prisonnières arrêtées par les autorités israéliennes risquent des passages à tabac, des insultes, des paroles injurieuses etc… pendant leur transport jusqu’à un des centres de détention. On ne leur dit pas où elles vont et les soldates israéliennes n’accompagnent pas les Palestiniennes arrêtées. Souvent les femmes sont attaquées et rouées de coups à leur arrivée dans les centres d’interrogation.

La prisonnière Maha Odeh d’Al Dahiya qui détient une carte d’identité de la Cisjordanie, (née le 3 septembre 1986), parle de ses expériences pendant l’interrogation.
« J’ai été arrêtée dans ma maison le 10 novembre 2004 pour la deuxième fois et un des soldats m’a menacée en me disant qu’il allait me tuer. Aucune soldate israélienne n’a accompagné le groupe de soldats qui m’a arrêtée. Les soldats ont répété les menaces de mort et je ne savais pas où l’on m’emmenait, puis personne ne m’a répondu quand je demandais où nous allions. On m’a emmenée en véhicule militaire jusqu’au centre de détention d’Huwarra où nous sommes arrivés à l’aube. »

Les Prisonnières palestiniennes, tout comme les autres prisonniers, sont privées de leurs droits élémentaires pendant l’interrogatoire ; elles perdent tout contact avec le monde extérieur et sont interdites de visites d’avocats ou d’hommes de loi pendant une période qui pourrait durer jusqu’à 60 jours consécutifs. Elles sont privées de toute visite de leurs familles jusqu’à la fin des interrogations et les débuts du procès. Souvent leur détention est prolongée pendant les séances d’interrogatoire aux centres d’interrogation même.

Habituellement, les interrogateurs font des tours de rôle pour les interrogatoires des femmes et toute forme de pression psychologique est pratiquée. Ils n’ont pas plus d’égard pour les femmes de moins de 18 ans ; elles sont interrogées dans les mêmes centres de détention et par les mêmes personnes qui interrogent les adultes.

Maha a été transportée d’Huwara au centre d’interrogation à Bet Hatikfa, où il y avait huit interrogateurs qui l’ont questionnée dans plusieurs salles. Parlant de ses expériences dans ces salles d’interrogation, Maha a dit que « les salles étaient rectangulaires avec un bureau, une table, un ordinateur et deux chaises. Les interrogateurs se sont remplacés à tour de rôle et me mirent la pression en me menaçant de me mettre dans la même salle que les prisonniers de droit commun. Tous les interrogateurs m’ont parlé en Arabe et ont essayé de m’embrouiller. Je souffrais de douleurs dans le dos. La séance d’interrogatoire du 12 novembre 2004 a commencé à 5h10 et a continué jusqu’à une heure du matin.
Je me suis habituée à passer de longues heures dans la salle d’interrogation, depuis tôt le matin jusqu’aux prières du soir. »

Les conditions étaient extrêmement rudes à Bet Hatikfa ; les salles ne mesuraient que 2mX2m et dans cet espace réduit, il y avait une toilette et un matelas par prisonnière, la ventilation se faisant par climatiseur. Maha raconte : « J’ai changé mes habits (mes sous-vêtements) une seule fois, il n’y avait pas de pause pour aller dehors ou pour profiter d’une lumière naturelle et l’on ne m’a pas donné de serviette pendant une semaine ; un bain quotidien était permis au début, mais ensuite seulement environ une fois tous les trois jours ; un morceau de savon de mauvaise qualité était fourni et l’eau pour le bain ne durait que sept minutes. La nourriture qu’on nous donnait pour le déjeuner était insuffisante et servie dans des assiettes en plastique. »
Ikram el Taweel, une ancienne prisonnière administrative, a été interrogée à Atzion. Pendant les interrogatoires, on l’a forcée à s’asseoir sur une petite chaise avec les mains menottées derrière son dos puis soulevées jusqu’à la nuque – une position connue parmi les prisonnières palestiniennes comme la « shebeh » – et qui peut durer jusqu’à deux jours. Elle souffre toujours de douleurs dans le dos à cause des longues périodes assises dans la position « shebeh ». Entre les interrogatoires, elle a été parquée dans une cellule sale avec un seau en guise de toilette.

[compitieux]

@abdoux wrote:

POUR MONSIEUR POLNAREF WACH JABEK. LA3ANDAK MARHBA IL YA UNE OU DEUX BLAGUES MAIS LE RESTE JE PRESUME QUE C’EST DU REEL C’EST D’AILLEURS LA RAISON QUI A DECLENCHEE VOTRE FRENESIE
CORDIALEMENT

tiens tiens!
monsieur le blagueur qui n’a d’ailleurs que ce coin pour déverser ses complexes, parle de frénésie! quel paradoxe!!!!
c’est qui le provocateur qui s’acharne jours et nuits sur les braknas pour raconter des blagues sottes à deux balles?? ne serait-il pas lui même le fébrile qui a besoin de soin?
de quelle réalité tu parles? arrête de fantasmer un peu, et dire ensuite que nous avons marre du racisme en europe, alors que nous nous respectons même pas entre nous
mais en autre terme « la rareté de quoi faire » (dixit un oujdi allah ydakrou bkhir) n’engendre que des conneries
allah yasma7

[tahar]

Continuer à fantasmer sur l’ouverture des frontières est un comportement indigne. Il nous met dans un état d’infériorité vis à vis de nos voisins. La plus part des oujdis connaissent les clichés que certains algériens ont des marocains, en particulier, celui de tendre la main. Nos voisins de l’est ont une interprétation toute particulière sur le fait de tendre la main. Pour eux, tendre la main c’est demander l’aumône et non pas un act d’ouverture d’esprit et de civilité. Ils nous prennent pour des mendiants. Alors, SVP, cessez de quémander l’Algérie. Elle n’a rien à nous donner comme on a rien à lui donner non plus. Tout être sain d’esprit et de corps refléchirait par deux fois avant de tendre la main vers un nid de serpents. La meilleure façon de contrer les responsables algériens c’est de les ignorer et de continuer notre marche en avant vers le progrès et la démocratie. Continuons à ouvrir les grands chantiers, à réformer nos institutions et à défendre notre pays. Les algériens qui partagent notre idéal, et ils sont nombreux, attendent de nous qu’on réussisse sur ces créneaux. C’est avec eux qu’on pourrait bâtir,un jour, un ensemble géographique homogène dans l’intérêt bien compris de tous.
Pour l’instant, à l’Est il n’y a rien de nouveau. Les intérêts vitaux de notre pays se trouvent ailleurs. Ils sont impliqués au Nord. Tout ce qu’on demande aux résponsables algériens c’est de nous foutre la paix. Est-ce trop demander?

[abdoux]

POUR MONSIEUR POLNAREF WACH JABEK. LA3ANDAK MARHBA IL YA UNE OU DEUX BLAGUES MAIS LE RESTE JE PRESUME QUE C’EST DU REEL C’EST D’AILLEURS LA RAISON QUI A DECLENCHEE VOTRE FRENESIE
CORDIALEMENT

[mounavri]

La double médaillée d’or des Jeux olympiques (JO) de Pékin, l’éthiopienne Tirunesh Dibaba, et son compatriote, l’athlète Sileshi Sihine ont décidé de célébrer leur mariage qu’ils veulent « très spécial », le 26 octobre prochain à Addis-Abeba, la capitale, a confié le couple à la presse.

Les deux athlètes avaient fait part de leur projet de mariage après leurs victoires à Pékin.

Dibaba, âgée de 23 ans, a remporté les médailles d’or sur 5.000 et 10.000 mètres aux JO de Pékin. A cette occasion, elle avait établi de nouveaux records olympiques sur les deux distances.

Quant à Sihine, âgé de 25 ans, il avait remporté une médaille d’argent sur le 10.000 mètres à Pékin, après avoir été sacré sur la même distance, il y a quatre ans à Athènes, en Grèce.

Les deux athlètes ont à leur actif plusieurs victoires dans les joutes internationales.

[ayman]

Salut Nizar,j’ai toujours suivi ton histoire même si j’intervenais pas ,pour repondre à tes quistions: je peux te dire que ta reaction etait tout à fait normal , d’abord la surprise puis la colere et la deception, la seule remarque que je peux faire c’est que t’as oublié que la fille avait quand meme un petit probleme, et je crois que le fait qu’elle a touché à tes affaires c’est pas par besoin , mais plûtot par « maladie » y’a des gens qui volent, pas parcequ’il sont dans le besoin mais ce sont des gens qui ne peuvent pas s’empecher d’entrer dans un endroit (maison, magasin, supermarché ..) sans mettre quelque chose dans la poche ou dans le sac ;
alors je crois que t’as mal fait de lui dire que t’es malde et une voleuse et que tu dois consulter un psy…
c’est vrai que c’est ce que t’as pensé à ce moment là et surtout emporté par ta colere ,mais il fallait pas lui parler de cette façon, je pense pas que cette fille est vraiment mechante c’est possible même qu’elle est entrain de souffrir à essayer de se situer entre la personne ideale celle qui fait sa priere et qui est correcte , et la personne qui se permet tout sans barriere ni obstacle..elle est un peu perdu entre les deux ..
et n’oubli pas que c’est toi qui lui a proposé tes services donc tu devrais assumer ;et n’oubli pas aussi que tu savias que les comportements de cette personne manifestaient des signes qui laissaient paraitre le doute et le desequilibre .

[touria016]

Oui, avec plaisir même.

Peux-tu (aux hommes et aux femmes), avoir en charge une famille composée de :

_ 9 enfants dont 5 garçons.
_ une maison de 320m²
_ deux chiens et un chat. ❓

[abdoux]

Berkani zed 3andeh weld ma ychoufche, sammah roummayda!

Pendant une journée d’une chaleur intense en plein mois d’aout , deux Berakna roulent avec une mercedes dernier cri, climatisé, apres un moment ça commence a glacé dedant , les 2 pauvres ne savent pas reglé la temperature, ni l’eteindre , wa9fou 7da 7anout , chraw 2 kachates ou gal lsa7bou n’dah..

Deux Brakna jaw el wajda doukhlou l9ahwa chafou ennas ila3bo billard, sawlou moul l9ahwa ch7al lbartiya galhoum 10dh, galoulah khallihalna b 7dh wa lemtarag m3andna.

On demande à un Berkani de leurs dire en français comment traduire une MA9ROUTA ? galhoum Renault … référence au logo de Renault !!!

comment connait ont des Berkani dans une mercedes? ils sont trois a monté avant et les places vides derriere ( ils croient que c’est une 404 bachée)

[touria016]

ARMEe ➡ BATAILLE PDT_Armataz_02_53

Désolée nassou : Mounavri t’as devancé de deux minutes.
Allez, assume tes actes sans regret. PDT_Armataz_02_07 😆 😆 lol

[touria016]

La prison Nafe Trista (al-Ramlah)
Des prisonnières palestiniennes incarcérées à la prison de Nafe Trista sont enfermées dans des salles séparées. Une prisonnière, Lenan Yusef Musa Abu Gholmi, de Bet Fueek, à Nablus, arrêtée le 9 septembre 2004, est veuve ; son mari est un martyr de la dernière Intifada.
En parlant des conditions des prisonnières dans la prison de Nafe Trista, Lenan dit :

« Il y a quatre prisonnières par chambre ; des conditions en général sont extrêmement mauvaises. La chambre mesure 2mX2m avec dedans 4 lits, 4 couvertures, une fenêtre ; la chambre, n’ayant pas suffisamment de lumière naturelle, est éclairée par une lampe électrique. La sortie est autorisée pendant 3 heures, de 8h à 11h puis le lendemain de 13h à 16h ; le w-c est disponible à tout moment, puisqu’il est dans la chambre même… L’administration fournit de la nourriture mal cuite, des repas sans viande, avec un morceau de fruit et des légumes une fois tous les trois jours. La qualité de la nourriture est exécrable et beaucoup de femmes sont dépendantes de la cantine pour leurs besoins alimentaires. Chacune des quatre femmes dépense environ 1 500 shekels (340$ US) par mois. Les repas doivent être consommés dans les chambres. Les prisonnières ont la charge du nettoyage de leurs toilettes et autres commodités. Celles qui ont besoin de soins médicaux sont obligées d’attendre deux ou trois jours. Il n’y a pas de quoi laver le linge ; chaque prisonnière doit laver son propre linge à la main, et il n’y a pas de quoi coudre des vêtements non plus, donc on ne peut pas réparer ceux qui sont usés ou déchirés. Il n’y a pas de scolarité pour celles qui ont moins de 18 ans, pas de cours de quoi que se soit, pas de loisirs sauf quelques journaux, l’écoute de la radio, la télé ; les exercices et les sports sont interdits et il n’y a pas de livres pour lire. Les prisonnières sont obligées de pratiquer leurs rites religieux dans leurs chambres, n’ayant pas d’endroit adéquat. »

L’administration pratique le régime cellulaire continuellement et en répétition comme moyen de punition contre des prisonnières, parfois interdisant les sorties dehors aussi. Des fouilles surprises sont pratiquées régulièrement dans des chambres. Les prisonnières souffrent beaucoup de fouilles à corps, pendant qu’on les transfère d’un endroit à l’autre et chaque prisonnière est fouillée séparément par une ou deux policières. Il n’y a aucune séparation entre les différentes catégories de prisonnières ; celles qui sont reconnues coupables ne sont pas séparées des celles qui attendent leur procès, ni les détenues administratives des autres.

[touria016]

ALLAH yer7ém jami3 el muslimine.
Que ce soit sidi Yahia ou sidi Mohammed, les deux cimetières sont, comme l’a dit Soulaf, dans un état pitoyable !

Un truc que je comprend pas : pourquoi dans certaines tombes on voit une sorte de cage par dessus? 🙄

[soulaf]

الله يرحم اللي ماتو est un topic où je proppose de faire des douaa pour nos morts ,ne pas les oubliés dans nos douaa est essentiel !!!
je commence inchallah:
que dieu nous pardonne et nous fasse misericorde ainsi que nos morts!
mon grand père allah yrehmou « al haj boujemaa mimouni « ainsi que mon autre grand père « al haj mohammed » et ma grand mère oum el kheir !
mon voisin » fares » (le père) !
et tout nos prédécesseur !allahoumma amine !

ps: j’ai visité les deux cimetières d’oujda et j’ai eu mal au coeur tellement les tombes sont dans un états déplorable 😥 limite on voit ce qui a en dessous tellement ya des trous !
sans parler du manque de place (allah yeghferli) je crois que j’ai marché sur des tombes sans le savoir….
à vous …

[OUJDI_PUR]

et oui c’est decevant mais allah ghaleb
Silence, on abat les arbres à Oujda

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Ces derniers temps, il a été remarqué par les citoyens de la ville d’Oujda, un manque total de respect à l’Environnement et aux arbres d’alignement.

Ce jour du Jeudi 17 Janvier 2008 les citoyens ont constaté l’agression non civilisée de « Grevillea robusta » qui longeait les deux bords de la rue Moulay IDRISS ALAKBAR à Oujda.

Sous les instructions de Mr Mohamed IBRAHIMI, Wali de la région de l’Oriental et Gouverneur de la Province d’Oujda Angad, Les arbres d’alignement de cette rue ont été abattus sauvagement avec sang froid.

Par la même occasion et en tant que citoyen voulant s’enquérir de cette activité anormale, j’ai été agressé par le chef de chantier qui dirigeait cette action inhumaine et qui aurait commis un autre délit sans l’intervention du Public témoin et présent sur les lieux.

Je me demande et à juste titre sur l’opportunité qui a poussé Mr le Wali à donner cette instruction pour procéder à l’arrachage de ces arbres merveilleux qu’on appelle à juste titre dans d’autres pays l’arbre de soie en référence à leur inflorescence d’une extrême beauté.

Même au cas ou pour une nécessité impérieuse, il s’avérait nécessaire d’enlever ces arbres, il aurait fallu procéder minutieusement et avec plus de respect et de délicatesse pour pouvoir transplanter ces arbres dans d’autres endroits pour orner les Rues de la ville qui manquent atrocement d’arbre d’alignement, d’autant plus que cette espèce d’arbre « Grevillea Robusta » n’existe à Oujda que dans cette rue de Moulay IDRISS AL AKBAR.

A cette occasion, je condamne la destruction massive des arbres d’alignement qui a eu lieu à la ville d’Oujda depuis l’opération de « Mise à Niveau » de la ville. Je considère que ce qui se passe est une agression caractérisée de l’Environnement et s’effectue sans aucun respect de l’arbre qui s’est vu la grande victime de cette opération qui a privilégié le béton au détriment des espaces verts.

De même l’acquisition de Palmiers dattiers depuis d’autres Régions lointaines du Royaume, ayant atteint un age avancé et ne présentant aucun charme ni beauté, ayant un coefficient d’ombrage limité, ne peuvent en aucun cas remplacer la diversité et le charme des anciens espaces verts et les arbres de notre ville.

Il est à rappeler, si besoin est, que la Loi Marocaine interdit l’arrachage des palmiers dattiers et leur transfert

Je me demande aussi sur les véritables motifs qui ont poussé Mr Le Wali à donner ses instructions pour procéder à la coupe de ces merveilleux arbres, que les citoyens oujdis se sont habitués depuis 1982 à la beauté de son inflorescence qui n’allait pas tarder à apparaître dans les prochains jours.

Benata Mohamed (Ingénieur Agronome)

Président de l’Espace de Solidarité et de Coopération de l’Oriental
source :numedya

[houmidi59]

*Merci ami Mounavri pour ta remarque et tes compliments.
pour la 1ere , tu n’as pas tort ; seulement, tu dois remarquer quand tu lis la 2 eme partie que toujours je la précède par suite de…..
Pour les compliments, c’est une gentillesse de ta part et ça me va droit au coeur ; aussi, merci!
PS:je crois que j’ai une bonne idée :je vais reproduire l’histoire toute entière.

NOUVELLE : Moha La Poisse

Il n’avait jamais eu de chance.La guigne le suivait partout : chez lui, à son travail, dans la rue, et même dans ses propres pensées.
Quand il entreprenait une quelquonque besogne , cela finissait toujours en catastrophe .S’l lui arrivait d’aider un voisin ou un ami, les tuiles tomberait forément sur la personne aidée.
Chez lui, tout ce qu’il touchait , se cassait , s’abimait ou se détériorait .
Son entourage qui venait de réaliser la cause de ses malheurs , commençait à l’éviter.En effet , les gens avaient peur de s’approcher de lui .Certains refusaient toute aide de lui.
Un jour, un voisin avait décidé de peindre sa maison .Certes, il n’était pas peintre , ce qui n’excluait pas qu’il était maladroit.
Il était perché sur une échelle de trois mètres, entrain de donner des coups de pinceaux .Aussitôt, le Malchanceux passait justement par là Comme il aperçut son voisin, il allait lui propser son aide .Cependant, le peintre avait préssenti que le malheur était près de lui.
Bien entendu, il pensait qu’en faisant éloigner la Poisse de lui, il éviterait une catastrophe .aussi, il l’interpela :
_ » Rebroussez chemin!je n’ai pas besoin de votre aide « 
Moha le regarda étonné .Il ne savait quoi faire .Aussi, il s’immobilisa sur place .L’autre ne paraissait pas rassuré .Alors , il agita ses deux mains et cria :
_ » Va-t- en !……….. »

Le pauvre, il n’avait pas le temps de crier davantage.Aussitôt, il venait de se retrouver par terre après avoir piqué un saut de deux mètres .Le porteur de malheur avait suivi la scène sans piper mot , mais plutôt bouche bée.
Ame charitable, il alla secourir le blessé .Ce dernier se déchaîna de plus en plus :
_ » Non !Non ! Eloigne toi de moi !Eloi…..
Le « secouriste » n’en croyait pas ses yeux .Il se demanda comment pouvait-il être ainsi redouté ? Etait -il aussi dangereux que le Sida , le choléra, ou Satan en personne ?
Bientôt, une foule de badauds s’attroupa autour de la victime.On s’interrogea sur ce qui venait de se passer :
_ » Qu’est -il arrivé à Miloud ?
_ Il est tombé de cette échelle probablement.
_ Quelqu’un l’a poussé ?
_ L’échelle est peut-être vieille !
_ Miloud est toujours maladroit !
_ Non, regardez par là !N’est-ce pas Moha la Guigne ?
Tous se retournèrent vers lui.L’un d’eux cria :
_ » c’est lui le coupable, capturons-le jusqu’à l’arrivée de la police ! »
Moha essaya de s’enfuir .C’était la seule solution pour ne pas être pris.Malheureusement, ils étaient les plus forts .Ainsi, on ne tarda pas à lui mettre la main dessus.
Le pauvre Mouha dût subir non seulement les insultes , mais aussi les coups de poing et de pied.
Arrivés au poste de police, Moha était dans un piteux état.
Le policier de garde croyant que c’était lui la victime , le conduisit personnelement au bureau du chef.

Le peintre n’avait rien de cassé .Quand il se réveilla de son coma, il avait le dos endolori , mais rien de tragique .Il essaya de se relever , puis marcha avec peine .
Après quelques mouvements, sa force lui était revenue .Il chercha du regard quelqu’un de familier .Justement, l’un des passants se dirigea vers lui :
_ » Comment te sens-tu à présent ? lui dit-il .
_ Un peu malmené , mais ça va ……Au fait, que m’est-il arrivé ?
_ Ah, tu veux parler de ton agresseur !Et bien, rassure-toi , on vient de l’emmener au commissariat.On va porter plainte contre lui pour coup et blessure .
_ Mais, de qui parles tu ?
_ Voyons! Moha la Poisse.
_ Mon Dieu!Je vais les rejoindre tout de suite. »
Aussitôt, il se mit au volant de sa voiture et démarra en trombe.
Dans le bureau du commissaire, toues les personnes présentes accusaient Moha d’homicide volontaire.
Devant le témoignage de treize personnes, Moha préfèra garder le silence.Il savait bien qu’on ne le croirait jamais .
Le commissaire était obligé de l’appréhender ..Il appela un garde pour le mettre au frais .
Soudain, Miloud entra dans la pièce sans pourtant frapper à la porte :
_ » Non , monsieur le commissire, ce n’est pas lui le coupable !
L’interpelé se retourna vers lui:
_ Qui êtes vous ?
_ C’est moi la victime…ou plutôt, l’accidenté je suis tombé de l’échelle , et cette personne, n’y est pour rien.
Moha soupira et dit:merci, mon Dieu !
Quant aux autres, ils restaient bouche-bée un long moment.
Le chef de la police leur lança aussitôt :
_ » Qu’avez-vous à dire, messieurs ? Vous n’ignorez sans doute pas qu’un faux témoignage est passible de prison .A moins que….
Après un court silence, les « nouveaux inculpés  » redessèrent leurs têtes , et le commissaire ajouta :
_ » A moins que vous ne reveniez sur vos déclarations . »
Tous répondirent en choeur :Oui, monsieur le commissaire !

Finalement, Moha fut libéré .Il alla sortir quand Miloud le rattrapa par l’épaule :
_ » Excuse moi, dit-il, je t’ai causé assez de problèmes. »
Moha le regarda un moment et reprit son chemin sans rien dire.[/color]